Last posts on kidnapping2024-03-29T00:34:53+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://www.hautetfort.com/https://www.hautetfort.com/explore/posts/tag/kidnapping/atom.xmlLizouzouhttp://lespetitslivresdelizouzou.hautetfort.com/about.html”Treize jours” de Roxane Gaytag:lespetitslivresdelizouzou.hautetfort.com,2017-10-24:59908522017-10-24T15:16:29+02:002017-10-24T15:16:29+02:00 Mireille Duval Jameson est originaire d'Haïti. En vacances avec son mari...
<p style="text-align: center;"><img id="media-5708531" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lespetitslivresdelizouzou.hautetfort.com/media/01/00/2166396723.JPG" alt="treize, jours, roxane, gay, denoël, & d'ailleurs, haïti, kidnapping" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: tahoma, arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Mireille Duval Jameson est originaire d'Haïti. En vacances avec son mari Michael et son bébé Christophe à Port-au-Prince, Mireille est kidnappée. Ses ravisseurs demandent un million de dollars en rançon à son père, homme riche d'affaire à Haïti. Mais ce dernier refuse de payer. Jour après jour, Mireille va vivre un véritable cauchemar auprès de celui qui se fait appeler Commandant et de ses hommes.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: tahoma, arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Le résumé et la superbe couverture m'ont tout de suite attiré et donné envie de découvrir ce roman.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: tahoma, arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Le premier chapitre nous permet de rentrer dans le vif du sujet puisque Mireille nous raconte d'emblée son kidnapping. Il s'agit de chose assez courante en Haïti, ce pays qui se démarque nettement par le décalage entre les pauvres d'un côté et les riches de l'autre. Cette opposition frappante, Mireille nous l'exprime à plusieurs reprises, surtout lorsqu'elle nous explique sa vie avant son kidnapping (rencontre avec son mari, rencontre de Michael avec ses parents, ses séjours en Haïti...).</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: tahoma, arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Puis nous avons le récit de ses jours de captivité, où Mireille tente de résister à plusieurs reprises et finira par en payer les conséquences... Certains passages sont durs et très violents. On a l'impression d'être dans la même cage qu'elle et on a terriblement envie de l'aider.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: tahoma, arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Vient ensuite la libération après treize jours de captivité. S'en suit alors le retour à la vie normale, à comment essayer de surmonter ce traumatisme et savoir si le pardon est envisageable ou pas.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: tahoma, arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Les différentes parties (sa vie d'avant, son kidnapping et sa vie d'après) sont aussi intéressantes les unes des autres. J'ai été littéralement captivé par le récit de Mireille qui nous fait passer par une palette d'émotions diverses et variées.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: tahoma, arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Bref, un roman choc à découvrir !</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: tahoma, arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Je remercie <a href="http://www.denoel.fr/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">les éditions Denoël</a> !</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: tahoma, arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;"><span style="text-decoration: underline;">Petite citation pour la route</span> : "<em>Nous adorions Haïti. Nous haïssions Haïti. Nous ne comprenions ni ne connaissions Haïti. Des années plus tard, je ne comprenais toujours pas Haïti, mais je me languissais d'Haïti de mon enfance. Quand on m'a enlevée, j'ai su que je ne retrouverai jamais ce Haïti-là.</em>"</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;"><em><span style="font-family: tahoma, arial, helvetica, sans-serif;">Titre : Treize jours</span></em></span><br /><span style="font-size: 10pt;"><em><span style="font-family: tahoma, arial, helvetica, sans-serif;">Auteur : Roxane Gay</span></em></span><br /><span style="font-size: 10pt;"><em><span style="font-family: tahoma, arial, helvetica, sans-serif;">Traducteur : Santiago Artozqui</span></em></span><br /><span style="font-size: 10pt;"><em><span style="font-family: tahoma, arial, helvetica, sans-serif;">Editeur : Denoël</span></em></span><br /><span style="font-size: 10pt;"><em><span style="font-family: tahoma, arial, helvetica, sans-serif;">Collection : & d'ailleurs</span></em></span><br /><span style="font-size: 10pt;"><em><span style="font-family: tahoma, arial, helvetica, sans-serif;">Parution : 24 août 2017</span></em></span></p>
ITENARASAhttp://quel-bookan.hautetfort.com/about.htmlMéthode 15-33 - Shannon Kirktag:quel-bookan.hautetfort.com,2017-06-12:59514692017-06-12T12:22:00+02:002017-06-12T12:22:00+02:00 Contre-pied Enceinte, kidnappée et déterminée à s'en sortir... L'un...
<p><img id="media-5643218" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://quel-bookan.hautetfort.com/media/02/01/2493233973.jpg" alt="méthode15-33,shannon kirk,thriller,kidnapping,sang-froid,vengeance,enquête,interrupteur mental,sociopathie ou instinct de survie?" /><span style="font-size: 12pt; color: #ffffff; background-color: #cc99ff;">Contre-pied</span></p><p>Enceinte, kidnappée et déterminée à s'en sortir...</p><p>L'un veut la tuer, l'autre veut la retrouver.</p><p style="text-align: justify;">Aussitôt reçu, aussitôt lu et en une journée s'il vous plaît! Au-delà du fait que l'obtention des 225 points de l'item éphémère du challenge Coupe des 4 maisons m'a motivée, il n'a pas été bien difficile de rester accrochée aux pages de ce thriller.</p><p style="text-align: justify;">En quelques lignes le lecteur saisit la situation : une jeune femme en captivité qui, loin d'être prostrée par la situation, est au contraire en train d'élaborer un plan pour se venger de son ravisseur. Et parce qu'elle s'adresse à nous, dix-sept ans plus tard, nous savons qu'elle s'en est sortie. Peu après, viendront les informations relatives à son âge et son état de santé. <br /><br />Le cerveau de cette jeune fille est une véritable turbine à 10 000 tours par minute. Là est son secret, sa particularité, son atout et ce qui lui confère une force mentale hors norme, que certains n'hésiteraient pas à qualifier de psychotique et qui surtout lui permet une maîtrise totale d'elle-même.<br />Son esprit analytique dissèque tout ce qui l'entoure et rétablit chaque élément (qu'elle qualifie d'item numéro X) dans une fonction qui devra servir sa vengeance et son évasion.<br /><br />La personnalité de notre narratrice, son comportement glacial et calculateur pourra dérouter, voire rebuter certains qui auraient souhaité plus d'émotions pour pouvoir s'attacher à elle et la prendre en sympathie.<br />Mais il serait faux de dire que les émotions sont absentes de ce récit. Bien que contenues, elles transpirent entre les lignes de l'histoire de cette jeune fille, à travers le regard posé sur elle, à travers sa relation à sa mère, à travers la description distanciée de ce qu'elle ressent en captivité et même quant à ce qu'elle est devenue et dans l'expression de cette vengeance rageuse.<br /><br />Le principal intérêt justement pour moi de ce thriller est, qu'une fois n'est pas coutume, nous sommes face à quelqu'un qui réagit, qui ne se laisse pas dominer par la peur et qui n'attend pas des autres une potentielle délivrance. Alors suivre les mécanismes du cerveau de cette jeune fille est plutôt fascinant, sans compter qu'ils nous entraînent dans un rythme soutenu qui se révèle être bien prenant.<br />Et nous avons beau savoir qu'elle s'en est sortie, le suspens reste entier. Parce qu'il reste à savoir comment et à quel prix, elle a regagné sa liberté.</p><p style="text-align: justify;">Shannon Kirk n'a pas négligé l'aspect enquête de son récit. Cet élément est introduit par l'agent spécial Roger Liu, pourvu lui aussi de certaines facultés telles qu'une hypermnésie et une acuité visuelle de rapace. Deux atouts majeurs qui servent à merveille sa fonction au département enlèvement d'enfant. Accompagné de sa partenaire, Liu est en charge du dossier 332578, Dorothy M. Salucci, adolescente enceinte, disparue en juin 93.<br />La narration de l'enquête, en alternance avec celle de la captive, apporte à cette histoire un souffle différent, fait lui d'un certain nombre de rebondissements et d'éléments propres à tenir le lecteur en haleine.<br />La personnalité de l'agent Liu est tout aussi travaillée que celle de notre captive, les éléments de son passé permettant de comprendre son choix de carrière au FBI.<br />En laissant le lecteur s'immiscer plus librement dans ce qu'il ressent, il tempère le côté "émotions closes" de la narratrice et il inspire d'emblée de la sympathie.</p><p style="text-align: justify;">J'ai vraiment apprécié de pouvoir suivre tour à tour l'un et l'autre sans que mon entrain à cette lecture n'en pâtisse. Ces deux narrations se complètent et servent parfaitement les points forts de chacune, elles rattrapent même ce qui pourrait être perçu comme un point faible mais qui pour moi ne l'a pas été.</p><p style="text-align: justify;">Mais ce que je retiens de ce thriller c'est qu'indubitablement, Shannon Kirk est une maline, une parfaite manipulatrice, qui nous emmène exactement là où elle veut avant de scotcher le lecteur à un moment précis de son récit et de relancer la roue du suspens. Je me suis laissée piéger et je dis bravo pour ça!</p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #ffffff; background-color: #cc99ff;"><em>"Évidemment, je me fichais de son petit ego, mais il faut mettre en place ce genre de ruses pour tromper l'ennemi, pour l'endormir et le border dans ses faiblesses et ses insécurités, jusqu'à ce que vienne le moment de refermer le piège, de tirer sur la corde et de frapper d'une main prompte et mortelle."</em></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #ffffff; background-color: #cc99ff;"><em>"Ne jamais se fier à une première impression Toujours creuser plus loin. Chaque personne est une énigme. Les stéréotypes sont toujours très rarement exacts."</em></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #ffffff; background-color: #cc99ff;"><em>"Faire croire à quelqu’un qu’il a du pouvoir c’est le coup de force suprême."</em></span></p><p style="text-align: justify;">Merci aux <span style="text-decoration: underline;"><span style="color: #000080; text-decoration: underline;"><strong><a style="color: #000080; text-decoration: underline;" href="http://www.folio-lesite.fr/Policier/Thrillers">Éditions Folio</a></strong></span></span>!!!</p>
Zébrahttp://fanzine.hautetfort.com/about.htmlAu secours, on me kidnappe !tag:fanzine.hautetfort.com,2015-11-21:57198582015-11-21T16:09:00+01:002015-11-21T16:09:00+01:00 Dessins de Michel Soucy Jr
<p style="text-align: center;"><em>Dessins de <a title="Blog Michel Soucy Jr" href="http://soucymichel.com/" target="_blank">Michel Soucy Jr</a></em></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><a href="http://fanzine.hautetfort.com/media/02/02/3308795394.jpeg" target="_blank"><img id="media-5220265" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://fanzine.hautetfort.com/media/02/02/2023811020.jpeg" alt="webzine,bd,zébra,gratuit,bande-dessinée,michel soucy,dessin,kidnapping,munch" /></a></p>
Creseveurhttp://creseveur.hautetfort.com/about.htmlLes #Femen auraient kidnappé un curé contre la non-venue du #pape!tag:creseveur.hautetfort.com,2014-11-22:54951152014-11-22T12:30:47+01:002014-11-22T12:30:47+01:00
<p style="text-align: center;"><img id="media-4770035" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://creseveur.hautetfort.com/media/00/01/2763787960.JPG" alt="Les femen kidnappent un curé.JPG" /></p>
ITENARASAhttp://quel-bookan.hautetfort.com/about.htmlLes morsures de l'ombre - Karine Giébeltag:quel-bookan.hautetfort.com,2014-07-20:54140382014-07-20T19:53:00+02:002014-07-20T19:53:00+02:00 C'est celui qui dit qui est Dur est le réveil pour le commandant...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><img id="media-4634226" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://quel-bookan.hautetfort.com/media/00/00/2507815090.jpg" alt="les morsures de l'ombre,karine giébel,kidnapping,vengeance machiavélique,tromperies,mensonge,manipulation,briser pour briser" /><span style="color: #ffff00; background-color: #000000;">C'est celui qui dit qui est</span></span></p><p style="text-align: justify;">Dur est le réveil pour le commandant Lorand. Les matins post-culbute ne se ressemblent pas. Le béton en guise de matelas, des murs froids, une quasi-obscurité, issue verrouillée. Tête en vrac. Que fait-il là? Peut-être cette femme, cette superbe rousse à qui il a succombé la veille et qui l'observe de l'autre côté des barreaux pourrait lui expliquer. Mauvais tirage. La jeune femme lui renvoie sa rage et sa soif de vengeance au visage. Il va payer le prix fort pour ce qu'il a fait. Qu'importe la vérité, il va payer.</p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000080;">La vie est dure parfois, on croit avoir passé une énième soirée de baise sensass et voilà que la bombasse rousse levée au bord de la route nous la joue dominatrice sado-maso. Je l'avais pas dit qu'il fallait se méfier des rou<span style="text-decoration: line-through;">x</span>sses (cf. billet <em><span style="text-decoration: underline;"><a href="http://quel-bookan.hautetfort.com/archive/2014/01/06/le-chateau-des-poisons-serge-brussolo-5264462.html"><span style="color: #000080; text-decoration: underline;">Le château des poisons</span></a></span></em> de Brussolo)? Benoît Lorand aurait dû lire mon avis...</span><br /><span style="color: #000080;">Et voilà notre policier privé de son plus bel attirail. Tss tss, non la demoiselle n'a pas émasculé le monsieur (même si ce n'est pas l'envie qui lui en manque!), elle lui a juste subtilisé ses joujoux : menottes, pistolet. C'est que ça peut servir ces choses-là dans des échanges coquins et virils. Ajoutez-y une bonne barre de fer et un taser et voilà de quoi offrir des heures de jouissances.</span><br /><br /><span style="color: #000080;">Vous l'aurez compris, le commandant Benoît Lorand est dans la m...ouise totale. De celle qui laisse des traces physique et psychique. De celle qui fait appeler "maman" dans le noir et qui annihile tout ce que vous êtes. Toutes les émotions vont le traverser : peur, angoisse, espoir, doute, colère. Plus que le Pourquoi de tout ça, c'est le Qui est derrière tout ça qui va le ronger. Et parce que c'est bien écrit, parce que la psychologie du personnage est si bien détaillée, parce que les dires du bourreau peuvent être crédibles en regard de ce que l'on sait du commandant, alors le lecteur est tout aussi malmené que Ben. On est là à se creuser la tête, à essayer de déceler le vrai du faux et à se dire "et si elle disait vrai", "et si elle était juste folle", "et si c'était lui ou elle qui..."</span><br /><span style="color: #000080;">Giébel concocte ici un huis clos magistral, véritable page turner. On n'a de cesse de tourner les pages pour savoir qui dit vrai, qui est en cause, qui est responsable et si la fin viendra soulager le lecteur de toute cette tension accumulée dès les premières pages.</span><br /><span style="color: #000080;">Alors la fin arrive révélant un plan machiavélique auquel je n'avais pas une minute pensé. Et boum, il y a le reste et on ne sait pas si on est sonné par la vérité ou par le point final.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000080;">Giébel encore une fois parvient à nous éloigner de tout jugement sans appel pour celle que l'on devrait haïr. Est-ce la maladie mentale qui excuse bien des choses ou la souffrance mentale ou même la manipulation mentale? </span><br /><span style="color: #000080;">Et si je ne me suis pas sentie touchée par le sort du commandant (sans jubiler pour autant hein) est-ce parce que c'est un foutu coureur de jupons qui n'a eu que ce qu'il mérite?</span><br /><span style="color: #000080;">Bref, au plaisir de lire ce terrible thriller s'ajoute diverses pistes de réflexions comme je les aime.</span><br /><br /><span style="color: #000080;">A votre tour de descendre à la cave!</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #ffff00; background-color: #000000;"><em>"Tant que ton cœur bat, que le sang circule dans tes veines; tant que tes paupières sont capables de s'ouvrir. Tant que le jour se lève encore pour toi.. Tant que tu sais encore qui tu es : n'abandonne pas." </em></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #ffff00; background-color: #000000;"><em>"Mieux qu'une armada de caméras de surveillance : une mamie postée derrière une fenêtre !"</em></span></p>
Soundandfuryhttp://talememore.hautetfort.com/about.htmlClaustrophobe s'abstenirtag:talememore.hautetfort.com,2012-07-09:47755362012-07-09T03:12:00+02:002012-07-09T03:12:00+02:00 Room , Emma Donoghue Avis chrono' Quelle femme n'a jamais...
<h2><strong><em><img id="media-3661743" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://talememore.hautetfort.com/media/01/02/4163192154.jpg" alt="room, donoghue, enfermement, kidnapping, fait divers, viol, relation mère-fils, oups pas facile de plaisanter sur ce thème auj. , madame commode, Dylan le maçon, enfant sauvage, psychiatrie, psychologie" /><span style="color: #ffffff; background-color: #ff6600;">Room</span></em><span style="color: #ffffff; background-color: #ff6600;">, Emma Donoghue</span></strong></h2><p><span style="color: #ff6600; background-color: #ffffff;"><strong>Avis chrono'</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><strong>Quelle femme n'a jamais frémi en songeant à ce qui se passerait si sa route devait croiser celle d'un pervers? D'un violeur? D'un kidnappeur? <em>Room</em> est un roman (et pourtant...) très bien fait, qui esquive quelques clichés - presque tous. Paradoxalement, c'est aussi une très belle façon d'aborder le thème de la maternité.</strong></p><hr /><p style="text-align: justify;"><img style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" src="http://talememore.hautetfort.com/images/extenso.jpg" alt="extenso.jpg" />Je tournais autour de sa couverture toute simple, intriguée, depuis quelques mois et j'ai fini par me décider à l'offrir à quelqu'un qui saurait me le prêter ensuite! Je suis trop forte!</p><p style="text-align: justify;">Jack est un petit garçon de cinq ans. Précoce, il apprend à lire, aime chanter des comptines, faire du sport, regarder la télé avec modération parce que ça n'est pas bon pour les neurones et, comme de juste à son âge, sa mère est tout pour lui. Elle est le centre de son monde. Un monde enfantin dans lequel les objets sont des monsieurs-madames: Madame Table, Monsieur Tapis ... Un monde de quelques mètres carrés puisque nous ne tardons guère à comprendre qu'il est né dans cette pièce et pense que l'univers entier s'arrête à ces murs.</p><p style="text-align: justify;">Les deux parties de l'histoire sont racontées à la première personne, par Jack. Bien sûr, l'adulte que nous sommes devine à travers son récit innocent tout le drame étouffé de la mère, qui tente de l'élever du mieux qu'elle peut dans de si sordides conditions, de le préserver en lui cachant tant que possible la vérité (Procédé qui évoque un peu <em>La vie est belle</em> de Benigni). <br />La relation fusionnelle d'une mère et de son fils, c'est même le thème principal et sans doute ce qui évite au roman de verser dans le fait divers. J'ai trouvé cette partie glaçante et d'une grande richesse.</p><p style="text-align: justify;">La seconde partie est très différente. J'ai commencé par en être déçue. Vautour que je suis... Mais après le basculement ce que j'ai avancé ci-dessus se renforce encore, le fait que le monde formé par le duo mère-fils est au centre de ce récit psychologique, bien au delà du thème de la détention à la Natascha Kampusch. Qu'il reste encore pas mal de questions en suspens et que les conséquences d'un drame courent encore, quand les journaux n'en parlent plus et que notre télé est éteinte.</p><p style="text-align: justify;">"Qui sauvera qui?"</p><p style="text-align: justify;">Un livre à ne pas manquer, qui me réjouit encore un bon mois après sa lecture!</p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><strong>P.S.</strong> Merci à <strong>C'era...</strong> qui m'a fait des suggestions pour cet article et en propose le titre. A quand ton propre blog, squatteuse?</p>
adibs1http://adibs1.hautetfort.com/about.htmlUn Autrichien accusé d'avoir enfermé et abusé 24 ans de sa filletag:adibs1.hautetfort.com,2008-04-29:15951772008-04-29T14:53:00+02:002008-04-29T14:53:00+02:00 Le monde part en coui.... Une histoire digne du livre des...
<p> </p> <div style="text-align: center"><a target="_blank" href="http://adibs1.hautetfort.com/media/02/02/1635367971.jpg"><img src="http://adibs1.hautetfort.com/media/02/02/1635367971.jpg" alt="1635367971.jpg" style="margin: 0.7em 0px; border-width: 0px" id="media-997272" name="media-997272" /></a></div> <p>Le monde part en coui....</p> <p>Une histoire digne du livre des horreur...les scénaristes vont s'entretuer pour les droits d'auteurs!</p> <p>AMSTETTEN, Autriche (Reuters) - La police autrichienne a arrêté un homme soupçonné d'avoir séquestré sa fille dans une cave pendant 24 ans et d'avoir eu avec elle des relations incestueuses dont sont nés sept enfants.<br /> La police, qui poursuit son enquête, a identifié la femme sous le nom d'Elisabeth F., 42 ans. En 1984, il l'a attirée dans la cave d'un immeuble d'habitation où vivait la famille, à Amstetten, et l'a enfermée dans une pièce sans fenêtre après l'avoir droguée et menottée, a-t-elle dit.<br /> <br /> Trois de ses enfants ont vécu enfermés toute leur vie dans la cave du bâtiment avec leur mère. Ils n'ont jamais vu la lumière du jour ni reçu d'éducation, a indiqué la police.<br /> <br /> Les autorités d'Amstetten, à 130km à l'ouest de Vienne, tentent encore de comprendre ce qui s'est passé. L'affaire rappelle le cas d'une autre Autrichienne, Natascha Kampusch, qui a passé huit ans enfermée dans une cellule sans fenêtre avant de s'évader, en août 2006.<br /> <br /> "Nous sommes confrontés à un crime incompréhensible", a déclaré le ministre de l'Intérieur, Günther Platter, à la télévision autrichienne. "Tout ce qui s'est produit ici dépasse l'imagination."<br /> <br /> INTROSPECTION<br /> <br /> La presse autrichienne se demande lundi comment le voisinage a pu ne pas se rendre compte de ce qui se passait dans la cave de ce bâtiment. "Il ne sera pas possible de revenir à une vie normale après cela", écrit le quotidien Der Standard dans un éditorial. "Tout le pays doit vraiment se demander qu'est-ce qui ne va pas."<br /> <br /> Josef, électricien de formation aujourd'hui âgé de 73 ans, a montré aux enquêteurs comment accéder au sous-sol dans lequel il séquestrait sa fille.<br /> <br /> "Il y avait une étagère couverte de boîtes et de bidons, et derrière cette étagère se trouvait une porte en béton armé, protégée par un code électronique et coulissant sur des rails en acier. Seul le suspect connaissait le code", a indiqué un responsable local, Heinz Lenze.<br /> <br /> Le sous-sol comprend plusieurs pièces et dispose de lits, de quoi y préparer à manger et laver du linge, a précisé Franz Polzer, chef de la cellule d'enquête criminelle chargée de l'affaire, à la chaîne ORF.<br /> <br /> Les autorités continuaient lundi matin à fouiller le sous-sol, rapporte l'agence de presse autrichienne APA, ajoutant que certaines des pièces ne faisaient que 1,70m de hauteur.<br /> <br /> Citant Lenze, APA écrit en outre que la police enquête sur une "cellule insonorisée" trouvée dans la cave.<br /> <br /> L'épouse de Josef, Rosemarie, n'était pas au courant de ce qui se passait. A l'époque, les parents ont reçu une lettre d'elle disant qu'il ne fallait pas la rechercher, ce qui a donné à penser qu'elle avait disparu volontairement.<br /> <br /> DOSSIER MÉDICAL<br /> <br /> Elisabeth a donné le jour à sept enfants, dont un est mort peu après sa naissance, selon la police. Trois des enfants, les plus jeunes, ont été abandonnés avec une lettre expliquant que leur mère ne pouvait s'en occuper. Tous ont été recueillis par Josef et son épouse comme enfants adoptifs.<br /> <br /> Les deux aînés, âgés de 18 et 19 ans, ainsi que le plus jeune, âgé de cinq ans, étaient enfermés avec leur mère depuis leur naissance.<br /> <br /> L'affaire a éclaté lorsque l'aînée est tombée gravement malade et a été hospitalisée à Amstetten.<br /> <br /> "Une jeune fille de 19 ans a été déposée le week-end dernier à l'hôpital de Amstetten. Elle est gravement malade et lutte contre la mort", a dit un porte-parole de la police.<br /> <br /> Les médecins ont lancé un appel à la mère - qu'ils croyaient alors disparue - pour qu'elle leur apporte des précisions sur le dossier médical de sa fille.<br /> <br /> Josef a alors sorti de sa cachette Elisabeth et les deux autres enfants vivant avec elle en expliquant à son épouse que leur fille "disparue" avait choisi de revenir à la maison.<br /> <br /> "Il ne s'agit pas ici d'une mère abandonnant son enfant, qui a dû ensuite être hospitalisé dans un état grave (...). Nous savons qu'elle a elle-même été séquestrée par son propre père pendant 24 ans dans le sous-sol et, de plus, elle a de toute évidence aussi été victime d'agressions sexuelles", a dit Polzer.<br /> <br /> Après avoir obtenu l'assurance qu'elle n'aurait plus de contacts avec son père - qui, a-t-elle dit, a commencé à la violer à l'âge de 11 ans - Elisabeth a accepté de faire une "déposition complète", a ajouté la police.<br /> <br /> Rosemarie, Elisabeth et les enfants bénéficient d'un soutien psychologique. Des prélèvements ADN de toutes les personnes concernées ont été effectués et seront analysés.</p>
adibs1http://adibs1.hautetfort.com/about.htmlLes membres de l'Arche de Zoé graciés par le président tchadientag:adibs1.hautetfort.com,2008-03-31:15424632008-03-31T23:25:13+02:002008-03-31T23:25:13+02:00 La honte! La france a acheter la liberté de ses gens grace à son...
<p class="first"><a target="_blank" href="http://www.google.fr/custom?domains=find+on+adibs1&q=arche+de+zoe&sitesearch=find+on+adibs1&sa=Rechercher&client=pub-0467695462294674&forid=1&ie=ISO-8859-1&oe=ISO-8859-1&cof=GALT%3A%23008000%3BGL%3A1%3BDIV%3A%23336699%3BVLC%3A663399%3BAH%3Acenter%3BBGC%3AFFFFFF%3BLBGC%3A336699%3BALC%3A0000FF%3BLC%3A0000FF%3BT%3A000000%3BGFNT%3A0000FF%3BGIMP%3A0000FF%3BFORID%3A1%3B&hl=fr"></a></p> <div style="text-align: center"><img width="293" src="http://archedezoe.free.fr/sticker.jpg" height="298" style="width: 293px; height: 298px" /></div> <p class="first">La honte!</p> <p class="first">La france a acheter la liberté de ses gens grace à son soutien militaire pour le gouvernement tchadien. suite à cette grace presidentielle ses ravisseurs d'enfants(pas encore prouvé) vont être libre! que serait'il arrivé si les ravisseurs étaient des tchadiens noirs et les victimes des enfants français blancs?</p> <p class="first">combien d'enfants ont été kidnappés par ce genre de pseudo organisations humanitaires pour alimenter les reseaux mafieux de pedophilie et d'esclavagisme moderne? combiens de fois les gouvernements pourris ont couvert ce genre de crimes?</p> <p class="first">biensur reste à connaitre la vérité!</p> <p class="first">N'DJAMENA (AFP) - Les six Français de l'Arche de Zoé ont été grâciés lundi par le président tchadien, trois mois après leur condamnation pour avoir tenté d'exfiltrer 103 enfants vers la France, et seront libérés "dans les heures qui viennent" même s'ils restent visés par une information judiciaire à Paris.</p> <p>Dominique Aubry, sapeur-pompier de 30 ans, était employé comme logisticien bénévole de l'association Arche de Zoé à Abéché (<a href="http://www.hautetfort.com/fc/tchad.html"><font color="#003399">Tchad</font></a>). Il avait expliqué pendant le procès au Tchad que son travail "était de nourrir les enfants et de les habiller".</p> <p>"Il est accordé une grâce présidentielle au six Français membres de L'Arche de Zoé", selon un décret du président tchadien Idriss Deby Itno, qui cite nommément le meneur de l'association française Eric Breteau, sa compagne et assistante Emilie Lelouch, le médecin Philippe van Winkelberg, l'infirmière Nadia Merimi et les logisticiens Alain Péligat et Dominique Aubry.</p> <p>La grâce concerne aussi l'intermédiaire tchadien Mahamat Dagot, condamné à quatre ans de prison pour "complicité", mais pas l'autre intermédiaire condamné à cette même peine, le Soudanais Souleïmane Ibrahim Adam, qui n'aurait pas formulé de demande de grâce.</p> <p>Condamnés le 26 décembre 2007 par la Cour criminelle de N'Djamena à huit ans de travaux forcés pour "tentative d'enlèvement d'enfants", les six membres de l'association ont été transférés deux jours plus tard en France pour y purger leur peine commuée en huit ans de prison ferme par un tribunal.</p> <p>Après le feu vert donné par le président Deby, qui a échappé, grâce au soutien militaire apporté par la France, à une attaque rebelle menée les 2 et 3 février,</p> <p>Les proches et avocats des six condamnés ont tous salué cette mesure de grâce, l'avocat de Breteau et Lelouch, Me Gilbert Collard, soulignant qu'ils allaient "mettre à profit" leur liberté "pour faire entendre (leur) vérité".</p> <p>L'avocat de Nadia Merimi, Me Mario Stasi, s'est "réjoui de cette mesure", regrettant toutefois qu'elle "arrive peut-être un peu tard".</p> <p>Ces avocats avaient fait appel du jugement du tribunal de Créteil près de Paris, convertissant la peine tchadienne dans le droit français.</p> <p>La grâce "n'est qu'une dispense d'exécution de peine" mais n'annule en rien cette peine qui, en cas de désistement de l'appel, restera inscrite au casier judiciaire des six membres de l'Arche de Zoé, a-t-on indiqué de source judiciaire.</p> <p>Les six membres de l'Arche n'en ont par ailleurs pas fini avec la justice française.</p> <p>Ils sont mis en cause dans une procédure judiciaire française pour "exercice illégal de l'activité d'intermédiaire en vue d'adoption", "aide au séjour irrégulier de mineurs étrangers en France" et "escroquerie".</p> <p>Quatre d'entre eux, Eric Breteau, Emilie Lelouch, Philippe van Winkelberg, et Alain Péligat ont été inculpés dans ce dossier.</p> <p>Nadia Merimi et Dominique Aubry ont été placés sous le statut de témoin assisté (à mi-chemin entre le statu de témoin et celui de mis en examen).</p> <p>Aucun des six Français n'a fait l'objet d'un placement en détention provisoire dans le volet français de l'affaire.</p> <p>La question des 4,12 milliards de francs CFA (6,3 millions d'euros) que les condamnés doivent toujours verser "solidairement" aux familles des 103 enfants reste également posée. Cette question "n'est pas concernée par la grâce", a insisté le gouvernement tchadien</p> <p class="first"> </p>