Last posts on kean2024-03-29T16:12:58+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://www.hautetfort.com/https://www.hautetfort.com/explore/posts/tag/kean/atom.xmlLe déclinologuehttp://dernieregerbe.hautetfort.com/about.htmlALEXANDRE DUMAS : SES MEILLEURS APHORISMEStag:dernieregerbe.hautetfort.com,2017-08-09:59698312017-08-09T04:20:00+02:002017-08-09T04:20:00+02:00 ...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt; font-family: georgia, palatino, serif;"><img id="media-5670527" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://dernieregerbe.hautetfort.com/media/01/00/4013468002.jpg" alt="alexandre dumas,dumas père" /> Alexandre Dumas (1802-1870) n’est pas un grand aphoriste, mais c’est un écrivain très français : c’est pourquoi il est <em>aussi</em> un moraliste, nécessairement. Ce qui implique que ses écrits contiennent quelques belles maximes ici et là. En voici une petite collection.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt; font-family: georgia, palatino, serif;"> Je n’ai pas voulu les répartir par thèmes, j’ai préféré les donner selon les œuvres où elles figurent. J’ai classé ces œuvres dans un ordre un peu complexe : dabord par genre, mais, pour le roman, genre largement dominant, selon l’époque de l’intrigue et néanmoins, à l’intérieur de ces portions historiques, selon l’ordre d’écriture. Voici les treize rubriques constituées, accessibles ici d'un clic :</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt; font-family: georgia, palatino, serif;"><a href="#drames historiques">Théâtre : drames historiques</a> <a href="#drames modernes">Théâtre : drames modernes</a> <a href="#Moyen Âge">Romans historiques : Antiquité et Moyen-Âge</a> <a href="#seizième">Romans historiques : XVIe siècle</a> <a href="#mousquetaires">Romans historiques : Trilogie des mousquetaires</a> <a href="#dix-septième">Romans historiques : XVIIe siècle et début XVIIIe siècle</a> <a href="#révolution">Romans historiques : XVIIIe siècle, Révolution, Empire</a> <a href="#contemporains">Romans contemporains (XIXe siècle)</a> <a href="#russes">Romans russes</a> <a href="#fantastiques">Récits fantastiques</a> <a href="#histoire">Récits d’histoire</a> <a href="#mémoires">Mémoires et récits de voyages</a> <a href="#divers">Divers et propos oraux</a></span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;"><strong><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva, sans-serif;"><a name="drames historiques"></a>THÉÂTRE : DRAMES HISTORIQUES</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">. Napoléon : « Il faut se servir de ses conquêtes pour conquérir. » (Alexandre Dumas, <em>Napoléon Bonaparte ou trente ans de l’histoire de France</em> (1831), acte III, tableau 5, scène 1 ; <em>Théâtre complet, première série</em>, Michel Lévy frères, 1863, p. 359). <img id="media-5670528" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://dernieregerbe.hautetfort.com/media/02/02/155904547.jpg" alt="alexandre dumas,dumas père,napoléon,la tour de nesles,la jeunesse de louis xiv,kean,antony,louise bernard,les trois mousquetaires,henri iii et sa cour,citations,aphorismes,théâtre,drame romantique" /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">. Marguerite : « Il y a des poisons si violents, qu’ils brisent le vase qui les renferme. » (Alexandre Dumas, <em>La Tour de Nesle</em> (1832), acte III, tableau 6, scène 5 ; Omnibus <em>Drames romantiques</em>, 2002, p. 522).</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">. Mazarin : « Bernouin, si zamais tou deviens homme d'État, n'oublie pas que le grand secret de la politique est dans ces deux mots : <em>Savoir attendre</em>… […] Bernouin ! si zamais tou es ministre, souviens-toi qu'on se tire de tout avec ces deux mots : <em>Savoir azir</em>. » (Alexandre Dumas, <em>La Jeunesse de Louis XIV</em> (1854), II, 8 ; <em>Théâtre complet, douzième série</em>, Michel Lévy frères, 1865, p. 128-129).</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva, sans-serif; font-size: 10pt;"> </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;"><strong><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva, sans-serif;"><a name="drames modernes"></a>THÉÂTRE : DRAMES MODERNES</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">. Combien, pour un beau jour, de tristes lendemains ! (Alexandre Dumas, <em>Antony</em> (1831), poème liminaire ; La table ronde, coll. Petite vermillon n°31, 1994, p. 10).</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">. Antony : « Douter, voilà le malheur ; mais lorsqu’on n’a plus rien à espérer ou à craindre de la vie, que notre jugement est prononcé ici-bas comme celui d’un damné,… le cœur cesse de saigner : il s’engourdit dans sa douleur ;… et le désespoir a aussi son calme, qui, vu par les gens heureux, ressemble au bonheur… Et puis, malheur, bonheur, désespoir, ne sont-ce pas de vains mots, un assemblage de lettres qui représente une idée dans notre imagination, et pas ailleurs ;… que le temps détruit et recompose pour en former d’autres… Qui donc, en me regardant, en me voyant vous sourire comme je vous souris en ce moment, oserait dire : "Antony n’est pas heureux !…" » (Alexandre Dumas, <em>Antony</em> (1831), I, 6 ; La table ronde, coll. Petite vermillon n°31, 1994, p. 37). <img id="media-5670702" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://dernieregerbe.hautetfort.com/media/02/01/1755117896.jpg" alt="alexandre dumas,dumas père,antony,théâtre,drame romantique,citations,aphorismes" /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">. Antony : « Voilà les hommes… Que j’aille au milieu d’eux, qu’écrasé de douleurs, je tombe sur une place publique, que je découvre à leurs yeux béants et avides la blessure de ma poitrine et les cicatrices de mon bras, ils diront : "Oh ! le malheureux, il souffre ! ", car là, pour leurs yeux vulgaires, tout sera visible, sang et blessures… Et ils s’approcheront ;… et, par pitié pour une souffrance qui demain peut être la leur, ils me secourront… Mais que, trahi dans mes espérances les plus divines… blasphémant Dieu, l’âme déchirée et le cœur saignant, j’aille me rouler au milieu de leur foule, en leur disant : "Oh ! mes amis, pitié pour moi, pitié ! je souffre bien !… je suis bien malheureux !… ", ils diront : "C’est un fou, un insensé ! ", et ils passeront en riant… » (Alexandre Dumas, <em>Antony</em> (1831), I, 6 ; La table ronde, coll. Petite vermillon n°31, 1994, p. 37-38).</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">. Antony : « Depuis le jour où je me suis connu, tout ce qui eût été pour un autre positif et réalité n’a été pour moi que rêve et déception. N’ayant point un monde à moi, j’ai été obligé de m’en créer un ; il me faut, à moi, d’autres émotions, d’autres douleurs, d’autres plaisirs, et peut-être d’autres crimes ! » (Alexandre Dumas, <em>Antony</em> (1831), II, 3 ; La table ronde, coll. Petite vermillon n°31, 1994, p. 52). <br /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">. Antony : « Pourvu que je change de lieu, que je voie de nouveaux visages, que la rapidité de ma course me débarrasse de la fatigue d’aimer ou de haïr, qu’aucun cœur ne se réjouisse quand j’arrive, qu’aucun lien ne se brise quand je pars, il est probable que j’arriverai comme les autres, après un certain nombre de pas, au terme d’un voyage dont j’ignore le but, sans avoir deviné si la vie est une plaisanterie bouffonne ou une création sublime… » (Alexandre Dumas, <em>Antony</em> (1831), II, 4 ; La table ronde, coll. Petite vermillon n°31, 1994, p. 55).</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">. La vicomtesse : « Allons, allons, n’allez-vous pas retomber dans vos accès de misanthropie !… Oh ! je n’ai pas oublié votre haine pour les hommes… » — Antony : « Eh bien, madame, je me corrige. Je les haïssais, dites-vous ?… Je les ai beaucoup vus depuis, et je ne fais plus que les mépriser ; et, pour me servir d’un terme familier à la profession que vous affectionnez maintenant, c’est une maladie aiguë qui est devenue chronique. » (Alexandre Dumas, <em>Antony</em> (1831), II, 4 ; La table ronde, coll. Petite vermillon n°31, 1994, p. 61).</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">. Antony : [Je ne crois pas] « À l’amitié, non… C’est un sentiment bâtard dont la nature n’a pas besoin, une convention de la société que le cœur a adoptée par égoïsme, où l’âme est constamment lésée par l’esprit, et que peut détruire du premier coup le regard d’une femme ou le sourire d’un prince. » (Alexandre Dumas, <em>Antony</em> (1831), II, 4 ; La table ronde, coll. Petite vermillon n°31, 1994, p. 62).</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">. Antony : « Et quand je pense qu’il ne faudrait pour sortir de l’enfer de cette vie que la résolution d’un moment, qu’à l’agitation de la frénésie peut succéder en une seconde le repos du néant, que rien ne peut, même la puissance de Dieu, empêcher que celà soit, si je le veux… Pourquoi donc ne le voudrais-je pas ?… est-ce un mot qui m’arrête ?… Suicide !… Certes, quand Dieu a fait des hommes une loterie au profit de la mort, et qu’il n’a donné à chacun d’eux que la force de supporter une certaine quantité de douleurs, il a dû penser que cet homme succomberait sous le fardeau, alors que le fardeau dépasserait ses forces… Et d’où vient que les malheureux ne pourraient pas rendre malheur pour malheur ?… Celà ne serait pas juste, et Dieu est juste !… » (Alexandre Dumas, <em>Antony</em> (1831), III, 3 ; La table ronde, coll. Petite vermillon n°31, 1994, p. 89-90).</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva, sans-serif; font-size: 10pt;"> . Antony : « Oh ! si elle pleure, que ce soit ma mort du moins… Antony pleuré par Adèle… Oui, mais aux larmes succéderont la tristesse, la mélancolie, l’indifférence… Son cœur se serrera encore de temps en temps lorsque par hasard on prononcera mon nom devant elle ;… puis on ne le prononcera plus… l’oubli viendra… l’oubli, ce second linceul des morts !… » (Alexandre Dumas, <em>Antony</em> (1831), III, 3 ; La table ronde, coll. Petite vermillon n°31, 1994, p. 90). <img id="media-5670703" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://dernieregerbe.hautetfort.com/media/00/02/1779511014.jpg" alt="alexandre dumas,dumas père,kean,théâtre,drame romantique,citations,aphorismes" /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">. Eugène : « Si vous avez à vous plaindre d’une chose, c’est de ce que la vie est si courte et de ce que les jours sont si longs. » (Alexandre Dumas, <em>Antony</em> (1831), IV, 1 ; La table ronde, coll. Petite vermillon n°31, 1994, p. 107).</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">. Kean : « Il n'y a d'amitié qu'entre égaux, monseigneur, et il y a autant de vanité à vous de m’avoir dans votre voiture, que de sottise à moi d’y monter<span style="font-size: 10pt; font-family: georgia, palatino, serif;"><span style="background: white;">…</span></span> ». (Alexandre Dumas, <em>Kean ou désordre et génie</em> (1836), acte IV, tableau 4, scène 7 ; Omnibus <em>Drames romantiques</em>, 2002, p. 843).</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva, sans-serif; font-size: 10pt;"> . Kean : « En amour, qui doute accuse. » (Alexandre Dumas, <em>Kean ou désordre et génie</em> (1836), acte V, tableau 6, scène 6 ; Omnibus <em>Drames romantiques</em>, 2002, p. 859).</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">. Antoine : « La maman crie d'abord<span style="font-size: 10pt; font-family: georgia, palatino, serif;"><span style="background: white;">…</span></span> puis elle pleure, puis elle sanglote<span style="font-size: 10pt; font-family: georgia, palatino, serif;"><span style="background: white;">…</span></span> puis elle pardonne… Les mamans, ça pardonne toujours… c'est venu au monde pour ça. » (Alexandre Dumas, <em>Louise Bernard</em> (1843), II, 5 ; <em>Théâtre complet, sixième série</em>, Michel Lévy frères, 1864, p. 32).</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva, sans-serif; font-size: 10pt;"> </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;"><strong><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva, sans-serif;"><a name="Moyen Âge"></a>ROMANS HISTORIQUES : ANTIQUITÉ et MOYEN-ÂGE</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">[à compléter]</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva, sans-serif; font-size: 10pt;"> </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;"><strong><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva, sans-serif;"><a name="seizième"></a>ROMANS HISTORIQUES : XVIe siècle</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">[à compléter]</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva, sans-serif; font-size: 10pt;"> </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;"><strong><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva, sans-serif;"><a name="mousquetaires"></a>ROMANS HISTORIQUES : TRILOGIE DES MOUSQUETAIRES</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">. Ce qui frappe l’esprit capricieux du poète n’est pas toujours ce qui impressionne la masse des lecteurs. (Alexandre Dumas, <em>Les Trois mousquetaires</em> (1844), préface ; Pléiade, 1962, p. 3).</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">. [Il] était donc admiré, craint et aimé, ce qui constitue l’apogée des fortunes humaines. (Alexandre Dumas, <em>Les Trois mousquetaires</em> (1844), chap. II ; Pléiade, 1962, p. 26). <img id="media-5691634" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://dernieregerbe.hautetfort.com/media/00/02/1689150212.jpg" alt="alexandre dumas,dumas père,les trois mousquetaires,vingt ans après,le vicomte de bragelonne,d'artagnan,richelieu,mazarin,athos,citations,porthos,aramis,buckingham,anne d'autriche,aphorismes" /><br /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">. L’espérance est la dernière chose qui s’éteint dans le cœur de l’homme. (Alexandre Dumas, <em>Les Trois mousquetaires</em> (1844), chap. IV ; Pléiade, 1962, p. 49).</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">. Les trois mouquetaires : « Il en est des valets commes des femmes, il faut les mettre tout-de-suite sur le pied où l’on désire qu’ils restent. » (Alexandre Dumas, <em>Les Trois mousquetaires</em> (1844), chap. VI ; Pléiade, 1962, p. 93). </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">. Aramis : « La femme a été créée pour notre perte, et c’est d’elle que nous viennent toutes nos misères. » (Alexandre Dumas, <em>Les Trois mousquetaires</em> (1844), chap. IX ; Pléiade, 1962, p. 106).</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">. L’amour est la plus égoïste de toutes les passions. (Alexandre Dumas, <em>Les Trois mousquetaires</em> (1844), chap. XI ; Pléiade, 1962, p. 125).</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">. Ce n’est pas à propos d’un premier amour qu’il faut demander de la discrétion. Ce premier amour est accompagné d’une si grande joie qu’il faut que cette joie déborde, sans celà elle vous étoufferait. (Alexandre Dumas, <em>Les Trois mousquetaires</em> (1844), chap. XI ; Pléiade, 1962, p. 126).</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">. Anne d’Autriche : « Quelle folie de nourrir une passion inutile avec de pareils souvenirs ! » — Buckingham : « Et avec quoi voulez-vous donc que je vive ? Je n’ai que des souvenirs, moi. C’est mon bonheur, mon trésor, mon espérance. » (Alexandre Dumas, <em>Les Trois mousquetaires</em> (1844), chap. XI ; Pléiade, 1962, p. 145).</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">. Le diable ne se laisse pas déposséder facilement d’une place où il a mis garnison. (Alexandre Dumas, <em>Les Trois mousquetaires</em> (1844), chap. XVI ; Pléiade, 1962, p. 183).</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">. Bonacieux : « Les intérêts particuliers ne sont rien devant les intérêts de tous. Je suis pour ceux qui sauvent l’État. » (Alexandre Dumas, <em>Les Trois mousquetaires</em> (1844), chap. XVII ; Pléiade, 1962,