Franz Kafka. Les Aphorismes de Zürau 1/3

Considérations sur le péché, la souffrance, l'espérance et le vrai chemin     Guttuso Renato - Portrait de Kafka (détail)   1 Le véritable chemin passe par-dessus une corde qui n’est pas tendue en hauteur, mais à peine au-dessus du sol. Elle semble plus faite pour faire trébucher que pour être franchie. [i]   2...

Publié le 05/07/2014 dans Art &... par Fabien Rothey | Lire la suite...

H/ombres (I)

Il faut parler de la création comme traçant son chemin entre des impossibilités... C’est Kafka qui expliquait l’impossibilité pour un écrivain juif de parler allemand, l’impossibilité de parler tchèque, l’impossibilité de ne pas parler. Pierre Perrault retrouve le problème : impossibilité de ne pas parler, de parler anglais, de parler français. La création se fait dans des goulots...

Publié le 01/06/2014 dans Certains jours par Frasby | Lire la suite...

La carte postale du jour ...

"J'ai cherché en vain, dans la mer sans fond des plaisirs comme dans les profondeurs de la connaissance, une place où jeter l'ancre. J'ai senti la force presque irrésistible avec laquelle un plaisir tend la main à l'autre plaisir ; j'ai senti la sorte de fausse exaltation qu'il peut faire naître ; j'ai senti aussi l'ennui, le déchirement qui le suit. J'ai goûté les fruits de l'arbre de la...

Publié le 29/05/2014 dans Manoeuvres... par la bouche plein de terre | Lire la suite...

Le coût des autres

Début de journée, j'ouvre ma messagerie. J'apprends qu'un décret du 20 mai 2014 abroge la Prime de Fonction et de Résultat à compter du 1er juillet 2015. Nous n'avions même pas eu le temps de la mettre en application. Dans la matinée, le facteur nous amène quatre cartons. Ce sont les bulletins de vote pour les Européennes. Tant mieux, nous dîmes-nous, point n'est besoin de courir au...

Publié le 23/05/2014 dans Journal... par Attachée détachée | Lire la suite...

Pensées éparses

• Kundera, dans Les Testaments trahis , se place historiquement à l'origine de la modernité ("je fais partie de quelque chose qui n'est déjà plus", écrit-il). Voilà un joli tour de passe-passe. Il se trouve bien parmi Kafka, Broch et les autres, mais sans considérer ce qui est venu après eux. D'ailleurs, Kundera se reconnaît comme un néoclassique , en somme. D'où son éloge de Stravinsky,...

Publié le 07/04/2014 dans Le blog de... par Jacques-Emile Miriel | Lire la suite...

Rêveuse bourgeoisie

Il y a dans un amour naissant, même quand il paraît sous une mauvaise étoile, même quand il s'annonce comme un chemin de perdition, quelque chose d'emprunté à la fascination des rêves qui enchaîne les témoins et les rend complices de sa fatalité. Et plus ceux-ci sont sensibles et étroitement liés à sa future victime, plus ils ressentent  le mouvement de vie qui se produit dans le coeur...

Publié le 07/01/2014 dans Stories... par Debbie Gaines | Lire la suite...

Permettez moi de me taire aujourd'hui...

Publié le 05/01/2014 dans La renouée... par Paola Pigani | Lire la suite...

Aux plages, citoyens !

Eté: 5.000 policiers et gendarmes déployés pour la sécurité des vacanciers On prend presque peur en lisant le titre de 20 Minutes  : Al Qayda aurait-il envoyé des hordes de terroristes islamistes ? Le vilain Bachar, las d’entendre les rodomontades fabiusiennes, aurait-il lâché ses armes chimiques sur les plages de la Douce France ? A moins que ce ne soit une armée de...

Publié le 03/07/2013 dans SOLKO par Solko | Lire la suite...

La Splendeur de la vie - Michael Kumpfuüller

L'amour à mort                                       Dora Diamant J’ai dans ma bibliothèque le journal et les romans de Kafka . Autant le dire, j’aime le journal mais je suis toujours restée imperméable à ses romans   Ce roman m’a attiré car il apporte un éclairage sur l’écrivain...

Publié le 10/06/2013 dans A sauts et à... par ivre de livres | Lire la suite...

Les grands auteurs... (4)

Un jour d’été, vers le soir, j’arrivai dans un village où je n’étais encore jamais allé. Je remarquai avec étonnement combien les chemins étaient larges et dégagés. On voyait partout devant les fermes de vieux arbres très hauts. Il avait plu, le vent était frais, tout cela m’agréait fort. Je m’appliquai à le montrer en saluant les gens debout devant leurs portes, ils répondaient...

Publié le 31/05/2013 dans Les songes... par Kraly | Lire la suite...