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Notes sur le tag : jules laforgue

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Dernières notes

Crève-coeur

Ah ! jusqu'à ce que la nature soit bien bonne, - Moi je veux vivre monotone. JULES LAFORGUE , extr. "Complainte d'un certain dimanche" in "Complaintes" (1885). La musique est toujours dans les fleurs, il suffit de cliquer sur l'image ... Le besoin de beauté nous aura transformés en monstres chagrinés. Nous agitons nos parchemins dans la brume, petits pieds, petites têtes, le flou...

Publié le 14/08/2010 dans Certains jours par Frasby | Lire la suite...

Notes givrées 1

"La source de goutelette pour le givre est un nuage ou le brouillard [...] Il est fréquent en hiver sur le sol, la végétation, les objets et les aéronefs. Le givre peut également se déposer sur des flocons de neige dans les nuages et les enrober d'un dépôt glacé qui augmentera leur densité." Wikipédia : voir "givre" . (Si vous ne voulez pas vous en tenir à la poésie du Ouiki vous pouvez...

Publié le 28/12/2009 dans Certains jours par Frasby | Lire la suite...

La chanson des morts

  La chanson des morts, d'Ouraphle (pseudonyme de Jules Laforgue) Le Louvre, par Sara     Une nuit que le vent pleurait dans les bruyères, À l'heure où le loup maigre hurle au fond des forêts, Où la chouette s'en va miaulant dans les gouttières, Où le crapaud visqueux râle au fond des marais, Disputant ma pelisse à la bise glaciale, Par...

Publié le 24/12/2009 dans AlmaSoror par Note | Lire la suite...

Se consumer... (Interlude)

Oui, ce monde est bien plat ; quant à l'autre, sornettes. Moi, je vais résigné, sans espoir, à mon sort, Et pour tuer le temps, en attendant la mort, Je fume au nez des dieux de fines cigarettes [...] Allez, vivants, luttez, pauvres futurs squelettes. Moi, le méandre bleu qui vers le ciel se tord Me plonge en une extase infinie et m'endort Comme aux parfums mourants de mille...

Publié le 10/12/2009 dans Certains jours par Frasby | Lire la suite...

Des fondus enchaînés

Non, non ! C'est la saison et la planète falote ! Que l'autan, que l'autan Effiloche les savates que le Temps se tricote ! C'est la saison. Oh déchirements ! c'est la saison ! JULES LAFORGUE (1860-1887). Extr. "L'hiver qui vient" in "Derniers vers" (1886). Quittant un homme qui marchait seul au milieu de son travail, j'allais au jardin du musée . Sous "l 'Adam " de Rodin ,...

Publié le 09/12/2009 dans Certains jours par Frasby | Lire la suite...

vers de Jules Laforgue

    Phot Sara       S ous le ciel pluvieux, noyé de brumes sales, Devant l'océan blême, assis sur un îlot, Seul, loin de tout, je songe au clapotis du flot Dans le concert hurlant des mourantes rafales. C rinière échevelée, ainsi que des cavales, Les vagues en se tordant arrivent au galop Et croulent à mes pieds avec de longs sanglots...

Publié le 25/10/2009 dans AlmaSoror par Note | Lire la suite...

complainte de l'apacheraie sus-citée

Pour cette cinq cent cinquantième note, un hommage à ce type tant plein de sa gouaille juteuse qu'il en a gâché ses poumons avec le sang misérable des miséreux pour finir par mourir emporté dans un crachat de trop à l'âge de vingt-sept ans ; à toi, Jules ! à tes dimanches, jamais autres, toujours pluriels et plus vieux que l'un dit ; à tes Pierrots les plus...

Publié le 21/09/2009 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

Crépuscule décisif dans l’année 75

Tu étais sorti sous d’épais nuages mauves et gris un merle avait traversé devant toi sans juger utile de s’envoler Ces nuages sentaient la forêt et ce merle comme il était réel ! Tu avais entendu de la mauvaise musique dans une salle enfumée où l’on jouait du théâtre amateur et où les collégiens avaient gym dans la poussière En mémoire de Jules Laforgue « Je fume au nez des dieux de fines...

Publié le 29/01/2008 dans LE BLOG... par Christian COTTET-EMARD | Lire la suite...

La Salomé de Laforgue

Chapitre IV de Salomé , extrait du recueil les Moralités légendaires " Accoudée au parapet de l'observatoire, Salomé, fuyeuse de fêtes nationales, écoutait la mer familière des belles nuits. Une de ces nuits étoilées au complet ! Des éternités de zéniths de brasiers ! Oh ! que de quoi s'égarer, par exemple, pour un express d'exil ! etc. Salomé, soeur de lait de la Voie Lactée, ne...

Publié le 05/04/2005 dans Les voiles... par S. | Lire la suite...

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