Last posts on judo2024-03-29T07:57:37+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://www.hautetfort.com/https://www.hautetfort.com/explore/posts/tag/judo/atom.xmlLizouzouhttp://lespetitslivresdelizouzou.hautetfort.com/about.html”Questions / Réponses : Le judo & L'aéroport & les religions”tag:lespetitslivresdelizouzou.hautetfort.com,2017-06-08:59389232017-06-08T19:13:40+02:002017-06-08T19:13:40+02:00 - Le judo de Jean-Michel Billioud et Julien Castanié Ce...
<p style="text-align: center;"><img id="media-5615761" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lespetitslivresdelizouzou.hautetfort.com/media/02/02/2478027841.JPG" alt="questions,réponses,judo,aéroport,religions,nathan" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: tahoma, arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">- <span style="text-decoration: underline;"><strong>Le judo</strong></span> de Jean-Michel Billioud et Julien Castanié</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: tahoma, arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Ce documentaire rend un bel hommage au judo. On y apprend la tenue réglementaire, le lieu, l'inventeur de ce sport, l'échauffement, le rôle des arbitres, les termes prononcés, les prises, les règles des combats et deux doubles pages sur cette pratique aux jeux olympiques.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: tahoma, arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">- <strong><span style="text-decoration: underline;">L'aéroport</span></strong> de Philippe Godart et Julie Mercier</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: tahoma, arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Dans ce livre, vous saurez tout sur les avions et les aéroports : l'enregistrement des bagages, les contrôles de sécurité, l'embarquement, l'organisation des avions sur les pistes, la tour de contrôle, le décollage, la structure de l'avion et l’atterrissage.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: tahoma, arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">- <strong><span style="text-decoration: underline;">Les religions</span></strong> de Sylvie Baussier et Mélisande Luthringer</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: tahoma, arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Ce livre présente de manière assez simple les différentes religions qui existent sur terre. On y présente les lieux de prière, quelques fêtes religieuses, les symboles et les personnages incarnant les diverses religions.</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: tahoma, arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Voici trois nouveaux documentaires jeunesses de la collection Questions ? Réponses ! des éditions Nathan !</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: tahoma, arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Les trois sujets abordés sont très différents mais font partis du quotidien ou sont appris à l'école. Ces livres permettent d'en apprendre davantage sur un sujet, de manière simple au travers de questions et de réponses. C'est également un bon complément au programme scolaire.</span><br /><span style="font-family: tahoma, arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Les dessins très colorés et remplis de détails illustrent à merveille les éléments traités dans ce livre.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: tahoma, arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Je remercie <a href="http://www.nathan.fr/" target="_blank">les éditions Nathan</a> !</span></p>
Creseveurhttp://creseveur.hautetfort.com/about.htmlTrump montre ses limites en Syrietag:creseveur.hautetfort.com,2017-04-07:59303472017-04-07T12:01:40+02:002017-04-07T12:01:40+02:00
<p style="text-align: center;"><img id="media-5601566" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://creseveur.hautetfort.com/media/00/00/3803361760.jpg" alt="wladimir poutine, ours, judo, idleb, massacre au gaz sarin, beautiful babies, donald trump, syrie, bachar el assad, dessin de presse, caricature" /></p>
Creseveurhttp://creseveur.hautetfort.com/about.htmlLa sacro-sainte constitution: Douillet va changer tout ça!tag:creseveur.hautetfort.com,2016-07-21:58288662016-07-21T23:23:38+02:002016-07-21T23:23:38+02:00
<p style="text-align: center;"><img id="media-5419706" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://creseveur.hautetfort.com/media/01/00/2433641928.JPG" alt="Douillet en a marre de la sacro sainte constitution.JPG" /></p>
jfvhttp://blogjfv.hautetfort.com/about.htmlChampionnat de France Juniors de Judotag:blogjfv.hautetfort.com,2015-05-25:56281562015-05-25T11:27:00+02:002015-05-25T11:27:00+02:00 Je ne vais pas jouer les chroniqueurs sportifs, surtout en Judo, sport qui...
<p><span style="font-family: tahoma, arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">Je ne vais pas jouer les chroniqueurs sportifs, surtout en Judo, sport qui n'est spectaculaire que par très court instant, et que je ne connais qu'à travers les compétitions de mes petits fils. Difficile de comprendre les résultats, en particulier les pénalités.</span></p><p><span style="font-family: tahoma, arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">Depuis quelques années j'ai suivi les championnats de France cadets puis juniors, pour encourager l'aîné de mes petits enfants. Chaque année il est monté sur le podium, malheureusement jamais sur la première marche. L'année prochaine il ne sera plus junior. Je continuerai à suivre les championnats de France pour voir en action son plus jeune frère, d'abord en cadet.</span></p><p><span style="font-family: tahoma, arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">Ce que j'ai trouvé </span><span style="font-family: tahoma, arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">touchant à observer au fil de ces championnats, c'est la réaction de ces superbes athlètes, dans la victoire comme dans la défaite.</span></p><p><span style="font-family: tahoma, arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">Il y a celles et ceux qui prennent un air détaché, comme si tout cela ne les concernait pas.</span></p><p><span style="font-family: tahoma, arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">Il y a celles et ceux qui se referment sur eux mêmes, l'air buté. les mots de réconfort sont inutiles, au moins dans un premier temps.</span></p><p><span style="font-family: tahoma, arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">Il y a celles et ceux qui laissent éclater leur rage, généralement contre l'arbitre, ou contre eux-mêmes. Parfois sans attendre d'être sortis du tatami. Ce qui leur vaut d'être réprimandés.</span></p><p><span style="font-family: tahoma, arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">Il y a celles , et même ceux, beaux bébés de plus de 80, 90 ou 100 kg qui ont du mal à retenir leurs larmes, d'émotion d'avoir gagné, ou de déception d'avoir échoué pour le titre de champion de France, ou au pied du podium , ou éliminés dans les premiers tours.</span></p><p><span style="font-family: tahoma, arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">Les philosophes se disent que cela ira mieux la prochaine fois...ou qu'il n'y a pas que le judo dans la vie !</span></p><p> </p>
Annabel Andre Laurenthttp://annabelandrelaurent.hautetfort.com/about.htmlStage départemental de Ju jitsutag:annabelandrelaurent.hautetfort.com,2015-03-19:55864282015-03-19T16:26:00+01:002015-03-19T16:26:00+01:00 Mercredi 18 mars, le Judo club d'Annecy organisait un stage départemental...
<p style="margin: 0cm 0cm 0.0001pt; text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><span style="font-family: 'Verdana','sans-serif'; mso-bidi-font-family: Helvetica; color: #141823;">Mercredi 18 mars, le Judo club d'Annecy organisait un stage départemental de Ju Jitsu avec des personnes atteintes de handicap. Ce fut l'occasion pour moi de rappeler que l'on n'a pas tous les mêmes chances et que lorsque tout va bien on a le devoir de tendre la main aux plus fragiles. Les valeurs du sport, telles qu'on souhaiterait les voir plus souvent, sont bien celles portées par ce club dont la solidarité et la fraternité font partie intégrante. </span></span></p><p style="margin: 0cm 0cm 0.0001pt; text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><span style="font-family: 'Verdana','sans-serif'; mso-bidi-font-family: Helvetica; color: #141823;">Merci à Jean, fondateur du club et à Monique qui a crée cette section handi. </span></span></p><p style="margin: 0cm 0cm 0.0001pt; text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><span style="font-family: 'Verdana','sans-serif'; mso-bidi-font-family: Helvetica; color: #141823;">Vous incarnez les valeurs les plus belles du Sport, vous êtes les piliers de ce temple. Nous vous devons beaucoup et entre autre, beaucoup de respect. </span></span></p><p style="margin: 0cm 0cm 0.0001pt; text-align: justify;"><span style="font-size: small; font-family: Helvetica, sans-serif; color: #141823;"> </span></p><p style="margin: 0cm 0cm 0.0001pt; text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><span style="font-family: 'Verdana','sans-serif'; mso-bidi-font-family: Helvetica; color: #141823;">Merci aussi, bien évidement à tous les entraîneurs et membres de ce club, qui je l'espère seront les dignes "héritiers" de ces valeurs.</span></span> </p><p style="text-align: center;"><a href="http://annabelandrelaurent.hautetfort.com/media/00/00/554327803.jpg" target="_blank"><img id="media-4976029" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://annabelandrelaurent.hautetfort.com/media/00/00/112432685.jpg" alt="judo,annecy,handi,ju jitsu,mars,2015,stage" /></a></p><p style="text-align: center;"><a href="http://annabelandrelaurent.hautetfort.com/media/02/01/1442580232.jpg" target="_blank"><img id="media-4976032" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://annabelandrelaurent.hautetfort.com/media/02/01/3143615106.jpg" alt="judo,annecy,handi,ju jitsu,mars,2015,stage" /></a></p><p class="MsoNormal" style="text-align: center;"> <a style="text-align: center; font-family: Helvetica, Arial, 'lucida grande', tahoma, verdana, arial, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 1.38;" href="http://annabelandrelaurent.hautetfort.com/media/01/00/3885268358.jpg" target="_blank"><img id="media-4975958" style="margin-top: 0.7em; margin-bottom: 0.7em;" title="" src="http://annabelandrelaurent.hautetfort.com/media/01/00/456352393.jpg" alt="ju jitsu 18 mars.jpg" /></a></p>
5 Pourquoihttp://weird-bb.hautetfort.com/about.htmlTeddy Rinner à Roland Garros et la faiblesse de Laurent Luyattag:weird-bb.hautetfort.com,2014-05-30:53809292014-05-30T14:48:00+02:002014-05-30T14:48:00+02:00 On en parle depuis hier : Teddy Riner, invité de Laurent Luyat sur le...
<p><img id="media-4600095" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://weird-bb.hautetfort.com/media/00/01/236864869.jpg" alt="riner.jpg" />On en parle depuis hier : Teddy Riner, invité de Laurent Luyat sur le plateau France télévision de Roland Garros, a lancé une balle sur le court en plein match, obligeant les joueurs à rejouer un point.</p><p>De la part d'un joueur de judo, sport où l'on est sensé apprendre le respect et la maîtrise de soi, ce n'est pas vraiment exemplaire. Et encore moins d<span style="text-decoration: underline;">e ne même pas s'excuser publiquement,</span> mais au contraire de dire "il a qu'à venir me chercher". Donc quand on fait 130kg et qu'on est champion de judo, on peut faire ce qu'on veut, on ne risque rien ? Belle mentalité.</p><p>Et ce qui est encore plus fort, c'est qu'aucun commentateur de France télévision n'a osé dire publiquement que ce qu'avait fait Teddy Riner était vraiment une imbécilité tout au plus digne d'un écolier de CM2. Tout ça parce que Monsieur est champion olympique. J'aimerais bien voir ce qui se passerait si un quidam faisait la même chose aujourd'hui ou demain, ou si quelqu'un lançait une ceinture de judo sur le tatami pendant que Môsssieur Teddy y fait ces petits jeux de jambe. </p><p>Quand on est une personnalité publique, on se doit d'être un minimum exemplaire. En ne disant rien, les commentateurs entretiennent l'idée que quand on est connu, on est au dessus des lois, des règlements, et des règles de savoir-vivre.</p><p><strong>J'invite à lui balancer une balle de tennis dessus pendant un de ses combats aux prochains championnats du monde !</strong></p><p> </p>
tierihttp://aikidomontluconasptt.hautetfort.com/about.htmlManuel de Jujutsu de l'école Kano à Tokyotag:aikidomontluconasptt.hautetfort.com,2014-03-27:53293852014-03-27T00:10:00+01:002014-03-27T00:10:00+01:00 Réédition du 15/07/2013 Yugen éditions Kanō...
<p style="text-align: center;"><a href="http://aikidomontluconasptt.hautetfort.com/media/01/01/2173479088.jpg" target="_blank"><img id="media-4492571" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://aikidomontluconasptt.hautetfort.com/media/01/01/259559577.2.jpg" alt="judo-manuel-jujutsu.jpg" /></a></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;">Réédition du 15/07/2013 <span style="text-decoration: underline;"><a href="http://www.yugenshop.com/souscriptions/10-manuel-de-jujutsu-de-l-ecole-kano-a-tokyo.html" rel="nofollow" target="_blank">Yugen éditions</a></span></p><p style="text-align: center;"><img src="http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/0/0c/Kano_Jigoro.jpg/330px-Kano_Jigoro.jpg" alt="Kano Jigoro.jpg" width="220" height="273" /></p><p style="text-align: center;">Kanō Jigorō, fondateur du <a title="Judo" href="http://en.wikipedia.org/wiki/Judo">judo</a>.</p><p style="text-align: center;">Ce manuscrit écrit par deux des principaux et premiers élèves de <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Jigor%C5%8D_Kan%C5%8D" target="_blank">Jigoro Kano</a>, Sakujiro YOKOYAMA et Eisuke OSHIMA, retranscrit la pensée du fondateur du Judo, assez loin de celle pratiquée actuellement où le sport l'a emporté sur la voie et le développement personnel. Paru en 1911, il fut traduit par Yves Le Prieur, un officier de Marine et un inventeur français, envoyé au Japon comme élève-interprète. Il y restera deux ans et pratiqua au<a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/K%C5%8Dd%C5%8Dkan" target="_blank"> Kodokan</a> à Tokyo.</p><p style="text-align: center;"> <img class="thumbborder" src="http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/9/98/Yokoyama-Sakujiro.jpg/248px-Yokoyama-Sakujiro.jpg" alt="" width="165" height="200" /></p><p style="text-align: center;"><a title="Yokoyama Sakujiro" href="http://en.wikipedia.org/wiki/Yokoyama_Sakujiro">Yokoyama Sakujiro</a><br /> (1864 - 1914)</p><p style="text-align: center;">La plupart des pratiquants de Judo ont entendu parler de ce manuscrit, mais pratiquement personne n'a vu cette version traduite par Le Prieur du fait de sa rareté. Cela reste un document unique, qui montre ce qu'était le Judo au temps du fondateur. Les principes de la voie sont décrits : le déséquilibre, l'utilisation de l'énergie, l'attitude juste, ainsi que le modèle d'éducation prôné par cette discipline.</p><p style="text-align: center;">A cette époque le Judo de Jigoro Kano éclipsa les différents <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Kory%C5%AB" target="_blank">koryu</a>.</p><p style="text-align: center;"> </p><h1 id="watch-headline-title" class="yt" style="text-align: center;"><span id="eow-title" class="watch-title yt-uix-expander-head" title="Jigoro Kano" dir="ltr">Jigoro Kano</span></h1><h1 class="yt" style="text-align: center;"> <span id="eow-title" class="watch-title yt-uix-expander-head" title="Jigoro Kano" dir="ltr"><br /><iframe width="400" height="271" src="http://www.youtube.com/embed/FoFwE8pX2js?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen=""></iframe></span></h1><h1 class="yt" style="text-align: center;"> </h1><h1 id="watch-headline-title" class="yt" style="text-align: center;"><span id="eow-title" class="watch-title long-title yt-uix-expander-head" title="Jigoro Kano 1860 -1938 JUDO extremely rare demonstration" dir="ltr">Jigoro Kano 1860 -1938 JUDO extremely rare demonstration </span></h1><p style="text-align: center;"><span class="watch-title long-title yt-uix-expander-head" title="Jigoro Kano 1860 -1938 JUDO extremely rare demonstration" dir="ltr"><br /><iframe width="360" height="270" src="http://www.youtube.com/embed/GhPCXELZTq4?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen=""></iframe></span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"> </p><h1 class="yt" style="text-align: center;"><span id="eow-title" class="watch-title long-title yt-uix-expander-head" title="Amazing OLD JUDO Throw Defense Mifune accepts challenges from high level students!" dir="ltr">Amazing OLD JUDO Throw Defense <a href="http://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=http://en.wikipedia.org/wiki/Kyuzo_Mifune&prev=/search%3Fq%3Dmifune%2Bsensei%26sa%3DX%26biw%3D1067%26bih%3D691" target="_blank">Mifune Kyuzo</a> accepts challenges from high level students !</span></h1><h1 class="yt" style="text-align: center;"><span id="eow-title" class="watch-title long-title yt-uix-expander-head" title="Amazing OLD JUDO Throw Defense Mifune accepts challenges from high level students!" dir="ltr"><br /><iframe width="360" height="270" src="http://www.youtube.com/embed/63xMDIy3Xic?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen=""></iframe> </span></h1><h1 class="yt" style="text-align: center;"> </h1>
DBAUDhttp://dominiquebaud.hautetfort.com/about.htmlEt encoretag:dominiquebaud.hautetfort.com,2012-08-11:48030722012-08-11T21:57:00+02:002012-08-11T21:57:00+02:00 C'est tout aussi sidérée, que j'ai entendu, Patrick Balkany, non pas saluer...
<p style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;">C'est tout aussi sidérée, que j'ai entendu, Patrick Balkany, non pas saluer le travail et le résultat de Teddy Riner en Judo, mais s'indigner qu'il ait du, lors de la demie finale, attendre jusqu'aux 10 dernières secondes pour le voir gagner.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;"><span style="font-size: 12.0pt; line-height: 115%; font-family: 'Times New Roman','serif';">Dommage que ces jeux olympiques aient été l’occasion de donner la parole à ceux qui non rien d’autre à dire que de critiquer.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;"><span style="font-size: 12.0pt; line-height: 115%; font-family: 'Times New Roman','serif';">Mais on l’a vu, dans le cas de l’escrime, il s’agit de juger les mauvais résultats en incriminant la direction d’une fédération qu’on a apparemment pas laissé travailler correctement en respectant « la trève olympique », perturbant certainement les athlètes, tout cela pour prendre la place ou dans le cas présent semble t-il, influer pour que son conjoint l’obtienne. Beau résultat et qu’en est-il du partage de responsabilité ? </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;"><span style="font-size: 12.0pt; line-height: 115%; font-family: 'Times New Roman','serif';">Mais, en l’occurrence, les bonnes habitudes ne se perdent pas si vite. Dans la 13<sup>ème</sup> circonscription de Paris, on sait de quoi on parle.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;"><span style="font-size: 12.0pt; line-height: 115%; font-family: 'Times New Roman','serif';">Dominique Baud</span></p><p> </p><p> </p>
fredlautrehttp://lantidote.hautetfort.com/about.htmlMETEO DES JEUXtag:lantidote.hautetfort.com,2012-08-10:48007792012-08-10T09:00:00+02:002012-08-10T09:00:00+02:00 Pensée du jour : ce n'est pas seulement à cause de la loi de la...
<p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: impact,chicago; font-size: x-large;"><span style="text-decoration: underline;">Pensée du jour</span> : ce n'est pas <span style="text-decoration: underline;">seulement</span> à cause de la loi de la pesanteur que 100 % <span style="font-size: medium;">(ou presque)</span> des femmes portent un soutien-gorge. </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"> </p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"> </p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;">Le sprinteur est par principe vaniteux, égocentrique et dur. Sa cheville enfle. C'est mécanique. C'est même scientifique. En tout cas, c'est une condition de la réussite d'USAIN BOLT, vous savez, le bonhomme qui est parvenu, devant des milliards de témoins, à parcourir la distance surhumaine de 100 mètres, et qui était tout essoufflé après. Celui-là, il va falloir qu'il s'entraîne un peu s'il veut vivre vieux.</span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"> </p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"> </p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"> </p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;">Car il s'agit d'abord d'être le plus raide possible pour conserver la vitesse acquise. Plus le ressort est raide, plus grande est la vitesse. C'est scientifique. C'est pour ça que les haltérophiles sont mous de la cheville et ne savent pas courir. La raideur est essentielle. Chez le sprinteur. Sans doute aussi chez la sprinteuse. </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"> </p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"> </p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"> </p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;">On utilisera de petits accéléromètres, qui ne sont en réalité que les vulgaires myotests que chacun peut se procurer dans le commerce. On privilégiera, pour s'améliorer, la pliométrie. </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"> </p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"> </p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;">Il faut savoir, par ailleurs, que réduire la fréquence des jambes diminue la vitesse. En fait, je l'aurais parié, et pour une raison simple : quand l'amplitude de la foulée diminue, la fréquence du cycle augmente. C'est scientifique. On voit par là combien importe le fait de connaître bientôt le tour de cheville d'USAIN BOLT. </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"> </p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"> </p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"> </p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;">COURIR : porter des chaussures amène le corps, à chaque pas, à prendre appui sur le talon. Laissez tomber la chaussure, très vite vous allez vous appuyer soit sur le milieu, soit sur l’avant du pied. Moi qui ai pratiqué le judo pendant une dizaine d’années (et sans bonnet de bain sur la tête, c’était au J.C.R., Judo Club du Rhône, sous l’égide du fabuleux Maître MIDAN, 9, rue de l’Epée, Lyon 3, j'en parlerai peut-être), je peux confirmer que, quand on se déplace pieds nus sur le tatami, on prend vite l’habitude d’effacer le talon et de tendre la pointe du pied. C’est encore plus vrai sur le sol nu. </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;">La raison est évidente : attaquer du talon nu sur une surface dure, ça vous le nique en moins de rien, comme le montre le schéma ci-contre, où l'on voit bien que la moitié du calcanéum est en porte-à-faux. <img id="media-3697834" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://lantidote.hautetfort.com/media/00/02/2604616055.jpg" alt="sprinteur,usain bolt,jeux olympiques,vitesse" /> Il faut donc avancer avec le pied en extension, pour que le gras du dessous soit le premier point de contact. Conditionnés par l’usage de la chaussure, ce n’est finalement pour nous qu’une habitude à prendre. Ou plutôt à reprendre : après tout, ça ne fait que 4000 ans, selon des sources bien informées, que l’homme a inventé la godasse. </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;">On nous raconte que la mode du pied nu est née aux Etats-Unis en 2009. « </span><span style="font-family: 'Century Gothic','sans-serif'; font-size: 14pt; mso-bidi-font-family: Arial;">Barefoot runners</span><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;"> », on dit. Quelle fable ! Quel orgueil démesuré ! Quelle injustice ! C’est bien la prétention étasunienne qui est ici à l’œuvre, une fois de plus. Ma parole, pour un peu, ils se prendraient pour l’origine du monde, <img id="media-3697828" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://lantidote.hautetfort.com/media/00/01/2215271748.jpg" alt="sprinteur,usain bolt,jeux olympiques,vitesse" /> si <span style="text-decoration: underline;">L’Origine du monde</span> n’était pas un tableau qui scandaliserait les Américains, si religieux quand ils ne sont pas pornographiques. « Ils sont fous, ces Ricains ! », dirait qui vous savez, qui est tombé dedans quand il était petit.</span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;">D’abord, s’il y a mode, c’est plutôt celle de la chaussure. Ensuite, qui a gagné le marathon olympique de Rome, en 1960 ? Je vous le demande. <img id="media-3697821" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://lantidote.hautetfort.com/media/02/02/1615965697.jpg" alt="sprinteur, usain bolt, jeux olympiques, vitesse," /> Un certain ABEBE BIKILA – un Ethiopien de la Garde Impériale du Négus, le Roi des Rois, HAÏLÉ SÉLASSIÉ – qui courait <strong><span style="text-decoration: underline;">pieds nus</span></strong> sur les chemins pierreux de son pays, et qui a couru ses 42,195 km sans rien aux pieds. <strong><span style="text-decoration: underline;">En 1960</span></strong>. Les doigts (de pied) dans le nez. Il a en quelque sorte fait un pied de nez à tous les fabricants de grolles qui remuent les méninges surréalistes de leurs bureaux d’études, et qui ne savent plus quoi inventer pour vendre toujours plus et toujours plus nouveau.</span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;">Il en est de même à la Réunion, qui organise la « </span><em style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: Algerian; font-size: 14pt; mso-bidi-font-family: Arial;">Diagonale des fous</span></em><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;"> ». Je ne sais pas si vous connaissez. Je ne vais pas vous refaire la liste des 208 sortes de FOUS qu’énumèrent par alternance Pantagruel et Panurge (RABELAIS, <span style="text-decoration: underline;">Tiers Livre</span>, XXXVIII), mais les cinglés qui font cette course parcourent 162 kilomètres. Cent soixante-deux. </span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-3697825" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lantidote.hautetfort.com/media/00/02/3454495589.jpg" alt="sprinteur,usain bolt,jeux olympiques,vitesse" /></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: book antiqua,palatino; font-size: small;">JE N'AI PAS CALCULE LE DENIVELE TOTAL,</span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: book antiqua,palatino; font-size: small;">MAIS IL DOIT Y AVOIR PAS LOIN DE 7000 METRES EN MONTEE.</span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;">Ne parlons pas de l’Ultra-Trail du Mont Blanc, 166 kilomètres, 9400 mètres de dénivelé, et tout ça en moins de 46 heures. Le genre de truc qui implique forcément les « médecines » les plus en pointe, si vous voyez ce que je veux dire, et qui finit mal.</span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;">Dans la région, on connaît le Lyon-Saint-Etienne (ou l’inverse), 63 km qui se courent de nuit, début décembre. C’est quelque chose de pas très ordinaire. Mais à la Réunion, déjà que la physiologie du marathonien n’a pas grand-chose à voir avec, mettons, au hasard, la mienne, je vous laisse imaginer celle qu’il faut pour courir le quadruple de la distance (40 x 4), et en pleine nature tropicale, par-dessus le marché. Quand on apprend des choses pareilles, on se dit que « le sport, c’est la santé », c’est un aussi gros mensonge que la petite souris ou le Père Noël (à ne pas confondre avec MAMERE NOËL). Avec un préjugé favorable (… de lapin) pour la petite souris.</span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;">J’ai croisé un ancien participant de la « </span><em style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: Algerian; font-size: 14pt; mso-bidi-font-family: Arial;">Diagonale des fous</span></em><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;"> », dans un petit patelin d’Alsace (on trouve TOUT, en Alsace, exactement comme à la Croix-Rousse, qui est une sorte d’Alsace en réduction) : je n’aurais pas aimé être ses genoux, vu la capilotade où ils étaient. Bref, plusieurs de ces anormaux (des « locaux », nous dit-on) courent pieds nus. Eh bien, réjouissons-nous, leurs pieds arrivent en meilleur état que ceux de certains porteurs de chaussures. La chaussure, voilà l’ennemi.</span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;">Voilà ce que je dis, moi.</span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;">Suitetfin demain.</span></p>
fredlautrehttp://lantidote.hautetfort.com/about.htmlQUOI DE NOUVEAU DANS LES NOUVELLES ?tag:lantidote.hautetfort.com,2012-08-04:47965082012-08-04T09:00:00+02:002012-08-04T09:00:00+02:00 C’est vrai, quoi, on nous cache tout, on nous dit rien. Non, ça, c’est une...
<p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;">C’est vrai, quoi, on nous cache tout, on nous dit rien. Non, ça, c’est une vieille chanson yéyé. Bon, c’est pas tout ça, mais il faut rattaquer, on dirait. Allez, à la mine. Alors voilà : quoi de neuf ? C’est ce que disait invariablement mon père en rentrant le soir à la maison. Cela semblait vouloir dire : « Quoi de neuf dans le nouveau des nouvelles ? », mais ce n’était pas une question.</span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;">Après tout, la réalité temporelle n’est jamais ancienne. Au contraire, vous avez sûrement remarqué qu'elle se renouvelle à chaque instant. On appelle ça des « événements ». Il y en a pour tous les goûts : des petits, des moyens, des grands, et même des historiques. En ce moments, les « historiques », c’est tous les jours, voire plusieurs fois pas jour. </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"> </p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"> </p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-3691592" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lantidote.hautetfort.com/media/02/01/2910205124.jpg" alt="EMBLEME OLYMPIQUE.jpg" /></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"> </p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;">Tenez, en ce moment, il y a des « Jeux Olympiques », une vague espèce de foire aux événements « historiques », où il s’agit, pour des jeunes gens et des jeunes filles apparemment très bien et convenablement formés aux usages, de se dégourdir les jambes sous l’œil des caméras et des chronomètres. Je résume. </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;">Il y a beaucoup de gens qui trouvent ça très intéressant, et qui passent le plus clair de leur temps avachis, comme des bouses fraîchement tombées du cul de la vache, devant un rectangle lumineux animé, couramment appelé « récepteur de télévision ». C’est assez drôle, je trouve, mais après tout on trouve son plaisir où l’on peut. </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;">J’entendais dernièrement, accoudé à un comptoir, un individu qui, de toute évidence, se laissait pousser la graisse (jamais vu des omoplates pareilles, ma parole, ça voulait déverser le flot écumant d’un Niagara de gras double hors du "marcel" forcément trop étroit !) lancer dans un grand hoquet d’enthousiasme sportif un éloge éructé de l’exploit « historique » d’un nageur français qui a fait honneur à la nation en humiliant ses adversaires américains, uzvarèches et moldo-valaques. </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;">Je n’en disconviens pas : cet enthousiasme a pour moi quelque chose d’énigmatique. Et c’est d’autant plus vrai que, par-dessus le marché, j’ai entendu, de la bouche même de CYRILLE GUIMARD (qui a failli être un champion cycliste, dans le temps), que la grande vertu de l’athlète de haut niveau se situe dans sa « <em>capacité à se faire mal</em> ». </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"> </p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"> </p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;">Autrement dit, plus l’athlète se fait mal, plus la graisse dégouline d’enthousiasme hors du marcel du spectateur conquis. C’est la loi des vases communicants. Ce qui reste étonnant, c'est qu'il y a peut-être 30.000 athlètes à Londres et qu'en face, les bouses avachies devant le poste se comptent par milliards. J'espère que personne ne se sent visé ou insulté : telle n'est pas mon intention.</span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;">Vous voulez que je vous dise pourquoi je n’ai que mépris pour le soi-disant « olympisme » des Jeux Olympiques ? Parce que c’est une vaste farce : combien de gens savent que le Comité International Olympique (C.I.O.) n’est pas une Institution, une sorte d'O.N.U. dédiée au Sport, une entité abstraite et désintéressée, située très loin au-dessus des appétits de toute sorte, très loin au-dessus du panier de crabes ?</span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"> </p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"> </p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;">Car ce que très peu de gens osent dire en public, c'est que le C.I.O. n'est pas cette structure idéale, neutre et au-dessus des partis, mais une vulgaire </span><em style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: 'Gill Sans Ultra Bold','sans-serif'; font-size: 14pt; mso-bidi-font-family: Arial;">entreprise privée<span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif;">.</span></span></em><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;"> Combien de gens savent que le dit C.I.O. obéit, pour son fonctionnement, aux règles du </span><em style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: 'Gill Sans Ultra Bold','sans-serif'; font-size: 14pt; mso-bidi-font-family: Arial;">droit suisse </span></em><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;">? « Farpaitement ! », s’écrie Obélix, dans <span style="text-decoration: underline;">Astérix chez les Helvètes</span>.</span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;">Les Jeux Olympiques, s’ils ont porté, il fut un temps, l’idéal de la gratuité de l’effort humain et de l’abnégation, sont depuis longtemps une simple machine à cash, construite dans la plus parfaite opacité de fonctionnement. Depuis 1980, pour être précis. Quand le C.I.O. fut pris en main par un certain JUAN ANTONIO SAMARANCH. Qui fit prendre à l'entreprise le virage enthousiaste de la mondialisation marchande.</span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"> </p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"> </p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;">Rappelons que le nommé JUAN ANTONIO SAMARANCH, mort en 2010, fut ministre des sports sous FRANCO, et se fit aider, pour accéder à la présidence du Comité, par ANDRE GUELFI, alias DÉDÉ LA SARDINE, accessoirement condamné par la justice française pour avoir mis les doigts dans de la confiture peu légale, celle qui rapporte donc un maximum. </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"> </p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"> </p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;">Tiens, une petite question : en échange de quoi le C.I.O. a-t-il autorisé une judokate saoudienne à concourir la tête couverte d'un voile ? Comment circule l'argent olympique ? Où trouve-t-on le bilan financier de l'entreprise olympique ? </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;">On le voit, l’idéal olympique est guidé par de « vraies valeurs ». Comment voulez-vous, dans ces conditions, qu’on puisse s’intéresser à l’olympisme quand on n'a pas une vie ennuyeuse ? N'y a-t-il pas, à la base de l'intérêt des masses humaines pour le spectacle olympique, le sentiment de s'ennuyer dans l'existence ? A la rigueur, en 1964, à Tokyo, quand vous avez vu que MICHEL JAZY, au lieu de placer son accélération irrésistible, se faisait lâcher, vous avez éprouvé une vexation. En vous, c’est le drapeau français qui se trouvait froissé, humilié, piétiné.</span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;"><span style="mso-spacerun: yes;"> </span>Mais aujourd’hui ? Où est-il, le drapeau français ? Où est-elle, la nation ? Il n’y a guère qu’en Suisse qu’on voit le drapeau rouge à croix blanche dressé dans les jardins des maisons. Très curieux, ne trouvez-vous pas ? En France, le drapeau tricolore est sifflé, la Marseillaise n’est chantée que par le sportif égaré. Combien y a-t-il de patriotes véritables, en France, aujourd’hui ? Ne parlons plus de la nation, s’il vous plaît. Parlons d’affaires à faire. De marché. De transactions. La marchandise a avalé l’ordre des valeurs. La marchandise est l’ordre du monde. Parlons donc de Mafia olympique, et tirons l’échelle.</span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;">Voilà ce que je dis, moi.</span></p><p><span style="line-height: 115%; font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt; mso-fareast-font-family: Calibri; mso-fareast-theme-font: minor-latin; mso-fareast-language: EN-US; mso-ansi-language: FR; mso-bidi-language: AR-SA;"><br style="page-break-before: always; mso-special-character: line-break;" clear="all" /> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="line-height: 115%; font-family: 'Arial','sans-serif'; font-size: 14pt;"> </span></p>
Phil Chamhttp://philippechamosset.hautetfort.com/about.htmlEcole Des Sports - Bilantag:philippechamosset.hautetfort.com,2011-11-24:38740472011-11-24T20:38:00+01:002011-11-24T20:38:00+01:00 Un an d'Ecole des Sports, et l'adhésion des seynodiens a été...
<p style="text-align: center;"><a href="http://philippechamosset.hautetfort.com/media/00/01/543926785.JPG" target="_blank"><img id="media-3299747" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://philippechamosset.hautetfort.com/media/00/01/2253402476.JPG" alt="DSC02081.JPG" /></a></p><p style="text-align: justify;">Un an d'Ecole des Sports, et l'adhésion des seynodiens a été immédiate. Dans le cadre de notre politique de promotion du Sport et de notre adhésion au Programme National Nutri Santé (PNNS), nous avons souhaité instaurer une Ecole des Sports en partenariat avec les clubs sportifs de la Ville.</p><p style="text-align: justify;">L'Ecole des Sports c'est la possibilité pour les enfants de primaire de pratiquer, essayer, tester, s'initier à 4 activités sportives par cycle de 8, 9 séances sur une année scolaire. 20 euros (voire 15 pour les détenteurs de la carte Pass Soleil) par cycle et l'enfant peut tester le Rink Hockey, les Echecs, le Football, le Judo, le Tennis, le Tir à l'Arc, le Karaté, le VTT, la Natation, le Tennis de Table, les Boules, la Danse Latino Jazz... Dès la première année, près de 160 enfants du primaire ont ainsi pu découvrir 4 activités sportives, soit près de 18 % des enfants concernés. Les inscriptions à ce jour laissent entrevoir une nouvelle augmentation de la participation à cette structure.</p><p style="text-align: justify;">Tous les échos que j'ai en direct des parents, des éducateurs, des présidents d'associations sont extrêmement positifs, les parents sont contents, les enfants peuvent faire un choix en une seule année (au lieu de prendre une licence par an sur 4 ans...), et les clubs se voient reverser les sommes perçues par la Ville dans ce cadre sous forme de subvention. Sur un plus long terme, en dehors de l'aspect instantané du nombre de nouveaux enfants qui accèdent à des activités sportives, il conviendra de mesurer le pourcentage de nouveaux adhérents que cela apporte aux clubs et la part des enfants qui auront participé sur plusieurs années avec des découvertes d'activités redondantes.</p><p style="text-align: justify;">Aujourd'hui, je croix que nous pouvons être heureux de l'effet immédiat, qui est déjà extrêmement important, tant sur le plan de la santé que socialement, sportivement et sur l'apprentissage du bien vivre ensemble par l'apprentissage du respect des règles et des autres !!!</p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"> </p>
DBAUDhttp://dominiquebaud.hautetfort.com/about.htmlBravo à nos judokastag:dominiquebaud.hautetfort.com,2011-08-29:37563182011-08-29T00:56:08+02:002011-08-29T00:56:08+02:00 Depuis mardi dernier, Bercy accueillait les championnats du monde...
<p> </p><p class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;">Depuis mardi dernier, Bercy accueillait les championnats du monde de Judo.</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;">Aujourd’hui nous pouvons saluer avec enthousiasme leurs performances, tant celles des femmes que celles des hommes, tant pour les combats individuels qu’à l’occasion des compétions par équipe.</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;">Souhaitons leurs de renouveler les mêmes performances en 2012, à Londres, pour les jeux olympiques et de gagner avec la même sobriété et simplicité.</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; line-height: 115%;">Dominique Baud</span></p>
Le Corbeau 78http://corboland78.hautetfort.com/about.htmlLa voie de la souplessetag:corboland78.hautetfort.com,2010-09-16:29007022010-09-16T07:00:00+02:002010-09-16T07:00:00+02:00 Teddy Riner notre judoka n’aura pas réalisé l’exploit inégalé d’engranger un...
<p>Teddy Riner notre judoka n’aura pas réalisé l’exploit inégalé d’engranger un cinquième titre mondial. C’est dur car sa défaite en finale ne semble pas résulter d’une décision exclusivement sportive mais d’une « politesse » vis-à-vis du pays hôte, un Japon bien à la peine depuis plusieurs années pour obtenir des titres dans ce sport dont il est le créateur. Ce n’est que partie remise car Teddy, 21 ans seulement, est trop fort pour que son palmarès ne s’étoffe pas dans les prochaines années, j’en suis certain.</p><p>Si je vous parle de judo, c’est que ma carrière sportive est aussi passée par cette discipline. Là encore je dois rassembler des souvenirs lointains du temps de ma tendre enfance comme le veux l’expression. Disons que j’avais l’âge de ceux qui sont en classe de 6<sup>ème</sup> ou 5<sup>ème</sup> et que nous étions à Herblay, commune du Val d’Oise en bord de Seine, où nous avions emménagé avec ma famille au début des sixties. Arrivant en droite ligne de Paris, la petite ville bordée de champs à cette époque, avait tout du village de province où les parisiens venaient en masse les week-ends de printemps cueillir les lilas avant de retourner par le train dans la capitale, les bras chargés de couleurs et d’odeurs qui égaieraient leurs salons tristounets durant de nombreux jours.</p><p>Poussé vers le sport par mes parents, mon père avait beaucoup pratiqué et ma mère y voyait une source d’épanouissement pour son fils, ainsi que par la Faculté car mon embonpoint certain nécessitait que je fasse des efforts physiques, je me risquais à mon corps défendant vers un club accueillant. Le football semblait la voie naturelle mais timide, introverti et déjà mal à l’aise avec la promiscuité j’écartais cette hypothèse et me tournais vers un tout petit club de bénévoles pratiquant le judo.</p><p>L’entraînement se déroulait dans une salle paroissiale attenante à l’église, avantageuse pour moi car non loin de notre maison. Une fois ( ?) par semaine nous nous réunissions, quelques gamins de mon âge encadrés par des jeunes de dix-huit ou vingt ans pour apprendre les bases de cette discipline. Par une relation de mon père j’avais obtenu un kimono de qualité dans lequel je me sentais néanmoins un peu ridicule, une sorte de pantalon de pyjama m’arrivant à mi-mollet, aux genoux renforcés et retenu aux hanches par des cordelettes avec une veste assez lourde, aux épaules et revers très costauds puisque c’est par là que nous assurerions notre prise sur l’adversaire. Le costume blanc agrémenté de broderies de la même couleur sur la veste, discrètes et viriles, était complété par une longue ceinture – blanche pour les débutants comme moi – m’entourant la taille plusieurs fois. La couleur de la ceinture indique le niveau technique du judoka, le but étant d’atteindre le noir, niveau supérieur qui peut encore être surpassé par les dans, pour les maîtres. Je n’en étais pas encore là dans mon petit ensemble immaculé.</p><p>J’ai parlé d’un petit club de bénévoles et véritablement c’était le cas. Je m’étais inscrit à l’automne ou au début de l’hiver peut-être et j’ai le souvenir encore bien précis de ces cours qui débutaient en toute fin d’après-midi ou début de soirée, quand la nuit froide tombe sur les hommes. Alors que mon esprit se serait réjoui de rester bien au chaud à la maison, mon corps s’obligeait à sortir et rejoindre notre équipe de volontaires. GI’s Joe était en construction. La salle paroissiale n’ouvrait ses portes qu’à l’arrivée d’un « grand » qui avait la clé. Pas de vestiaires ni de douches, bien entendu, mais des bancs pour poser notre sac tandis qu’au centre le tatami nous attendait calmement. La première chose à faire en entrant dans le « dojo » c’était d’allumer le chauffage, car évidemment il n’était pas branché quand la salle ne servait pas ; la chaudière n’était pas d’un modèle récent et performant aussi nous ne pouvions pas attendre que la salle fût chaude pour débuter le cours. Je vous rappelle que le judo se pratique en pyjama (avec un slip quand on est prudent) pour tout vêtement, alors quand il fait froid dans le dojo il faut réellement aimer cela. Le pire ce sont les doigts de pieds. Quand vous avez les ripatons gelés et que ce sont eux qui vont vous servir à placer des balayages des jambes de votre adversaire ou au contraire à vous assurer de solides appuis pour contrer ses attaques, vous comprendrez qu’il faut les chérir et les choyer. J’étais mort de froid sur ce tapis géant et la séance d’échauffement ne parvenait pas à chasser la chair de poule recouvrant mon corps grassouillet. Certains penseront que l’arrondi des ronds peut être un avantage dans ce genre de sport où l’on roule à terre plus souvent qu’on ne le souhaite. Erreur. Engoncé dans mon kimono à la veste trop rigide, les pieds gelés dont je craignais à chaque instant de m’en casser un orteil, les chutes pas toujours bien amorties par le bras comme on me l’enseignait, tiraillé de droite et de gauche par les revers de ma veste par les bras de mon adversaire, parant tant bien que mal son pied droit qui cherchait à me faucher ou esquivant son mouvement de hanche visant à me mettre au sol, je n’avais comme défense que mon poids à opposer. Si le combat se poursuivait au sol, par de laborieux soubresauts je pouvais m’affaler sur le corps de mon partenaire et l’immobiliser par le seul poids de mon inertie, ce qui indisposait un peu notre professeur, car trop lourd pour les gamins de mon âge, j’étais trop peu qualifié pour opposer une technique suffisante à ceux de mon poids car beaucoup plus âgés !</p><p><em>O soto gari</em>, <em>O goshi</em>, <em>De ashi barai</em>, toutes ces prises font très exotiques citées dans ce texte, aujourd’hui elles sonnent même très agréablement à mon oreille mais il y a cinquante ans elles étaient synonymes de chutes avec fracas sur un tapis de sol frigorifié. Bien entendu ce qui devait arriver arriva, une chute mal contrôlée et ma clavicule céda. A ce propos, une courte parenthèse car une lectrice de ce blog très au courant de mon dossier médical m’a fait remarquer que ma clavicule cassée je la devais à mon expérience dans le judo, alors que ma tentative de carrière dans le cyclisme <strong><a href="http://corboland78.hautetfort.com/archive/2010/09/08/comment-j-ai-debute-dans-le-cyclisme.html">évoquée récemment</a></strong> s’était en fait soldée par une fracture du bras mal ressoudée par la suite. Avec le recul il s’avère que cet accident me fut bénéfique puisque lorsque je fis mes « 3 jours » de service militaire en 1973, ils me valurent une exemption signifiée sur mon carnet « Inapte au service militaire ».</p><p>Cette clavicule brisée m’éloigna du tatami durant quelques semaines. Loin des yeux loin du cœur, quand je retrouvais mon intégrité physique, l’envie pas très forte au départ s’était enfuie à tire d’ailes et le kimono rangé dans la penderie y finit ses jours. Le judo (ju-do, littéralement « la voie de la souplesse ») m’avait au moins enseigné une chose, quand on n’est pas fait pour quelque chose inutile d’insister, il est préférable de s’adapter aux circonstances.</p><p> </p><p> </p>
Phil Chamhttp://philippechamosset.hautetfort.com/about.htmlDernier entrainement Judo Club Seynod - le 16 juin 2010tag:philippechamosset.hautetfort.com,2010-06-20:27948202010-06-20T10:37:00+02:002010-06-20T10:37:00+02:00 Mercredi 16 après midi, à Max Décarre s’est tenu le dernier...
<div style="text-align: left;"><a target="_blank" href="http://philippechamosset.hautetfort.com/media/00/02/1544341320.jpg"><img name="media-2518536" src="http://philippechamosset.hautetfort.com/media/00/02/916597889.jpg" alt="16062010354.jpg" style="margin: 0.7em 0;" id="media-2518536" /></a></div> <div style="text-align: left;"></div> <div style="text-align: justify;">Mercredi 16 après midi, à Max Décarre s’est tenu le dernier entrainement de l’année au Judo Club de Seynod : chaque année tous les membres et tous les parents sont invités à venir quelques petits échanges sur le tatami : comme vous pouvez le voir sur les photos nombreuses et nombreux sont celles et ceux qui répondent à l’invitation. Le président m’a proposé une veste de kimono mais arrivant du travail et n’ayant pas eu le temps de m’échauffer, j’ai eu le regret de répondre par la négative... Ce fut également l’occasion en présence de Françoise CAMUSSO, d’assister à la remise de la ceinture noire à Benjamin BELLEVILLE qui a obtenu le nombre de points nécessaire le week-end dernier. Mme le Maire en a profiter pour remercier individuellement chaque judoka méritant pour le parcours réalisé cette année.</div> <div style="text-align: justify;"></div> <div style="text-align: justify;"></div> <div style="text-align: justify;"> <div style="text-align: right;"><a target="_blank" href="http://philippechamosset.hautetfort.com/media/00/00/1689557446.jpg"><img src="http://philippechamosset.hautetfort.com/media/00/00/1169619183.jpg" alt="16062010360.jpg" style="margin: 0.7em 0;" id="media-2518542" name="media-2518542" /></a></div> </div>
Phil Chamhttp://philippechamosset.hautetfort.com/about.htmlRemise de ceintures Judo - le 29 mai 2010tag:philippechamosset.hautetfort.com,2010-06-08:27789242010-06-08T15:14:00+02:002010-06-08T15:14:00+02:00 L'après midi se tenait au Dojo...
<p><a target="_blank" href="http://philippechamosset.hautetfort.com/media/02/00/400146376.jpg"><img name="media-2500794" src="http://philippechamosset.hautetfort.com/media/02/00/1803065597.jpg" alt="29052010305.jpg" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" id="media-2500794" /></a><a target="_blank" href="http://philippechamosset.hautetfort.com/media/00/01/1055042117.jpg"><img name="media-2500796" src="http://philippechamosset.hautetfort.com/media/00/01/648526611.jpg" alt="29052010302.jpg" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" id="media-2500796" /></a></p> <p> </p> <p> </p> <p> </p> <p> </p> <p style="text-align: justify;">L'après midi se tenait au Dojo du Complexe Max Décarre, la remise des ceintures du Club de Judo de Seynod : comme chaque année les enfants ont réalisé des combats toute l'après midi qui ont donné lieu à une remise de médailles et les 2 plus beau Ipons ont été récompensé. Une fête particulière pour le Président Christian CABOT puisque il vient d'obtenir son 3<sup>ème</sup> DAN qui couronne un travail et un investissement énorme notamment celui réalisé auprès des jeunes. L'occasion aussi de saluer Loïc Kerolleur qui a été blessé au cours de la saison et qui pourrait passer une saison quasi blanche si une opération se confirmait. Je ne doute pas de sa volonté à revenir quoiqu'il arrive sur le devant et à confirmer par son travail ses qualités naturelles.</p> <div style="text-align: center"><a target="_blank" href="http://philippechamosset.hautetfort.com/media/01/00/1908680249.jpg"><img src="http://philippechamosset.hautetfort.com/media/01/00/752411181.jpg" alt="29052010306.jpg" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" id="media-2500799" name="media-2500799" /></a></div>
Phil Chamhttp://philippechamosset.hautetfort.com/about.htmlRemise de Ceintures au Judotag:philippechamosset.hautetfort.com,2009-06-16:22433852009-06-16T10:25:52+02:002009-06-16T10:25:52+02:00 Samedi après midi au gymnase Max Décarre, le judo club de...
<p><a target="_blank" href="http://philippechamosset.hautetfort.com/media/02/01/318933575.JPG"><img src="http://philippechamosset.hautetfort.com/media/02/01/2001643714.JPG" alt="DSC00223.JPG" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" id="media-1819406" name="media-1819406" /></a><a target="_blank" href="http://philippechamosset.hautetfort.com/media/00/02/976854980.JPG"><img src="http://philippechamosset.hautetfort.com/media/00/02/982616878.JPG" alt="DSC00224.JPG" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" id="media-1819409" name="media-1819409" /></a><a target="_blank" href="http://philippechamosset.hautetfort.com/media/02/02/71876604.JPG"><img src="http://philippechamosset.hautetfort.com/media/02/02/133276318.JPG" alt="DSC00225.JPG" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" id="media-1819413" name="media-1819413" /></a></p> <p>Samedi après midi au gymnase Max Décarre, le judo club de Seynod faisait sa remise de médailles, de ceintures et de trophées de fin d'année.</p> <p>Les tôles du gymnase renvoyaient très bien la chaleur du soleil sur le tatamis... ce qui n'a pas empêché les enfants de faire une petite compétition en douceur pour passer à la fin de l'après midi sur le podium qui a départagé ou pas (un podium fille a donné 3 gagnantes) les jeunes « combattants ». A l'image du club de boxe (Best Gym Seynod), j'apprécie beaucoup l'ambiance et l'esprit qui règne dans ce club, avec des encadrants qui inculquent de la rigueur et des principes aux enfants !!!</p> <p>Les médailles ont été remises par Loïc KEROLLEUR, champion au niveau national qui vient d'intégrer le pôle France à Marseille, et je profite de l'occasion pour à nouveau le féliciter !!!</p>
aikido el menzahhttp://aikidoelmenzah2.hautetfort.com/about.htmlBudo arts martiaux ou ché pas koitag:aikidoelmenzah2.hautetfort.com,2008-09-24:18131252008-09-24T00:52:40+02:002008-09-24T00:52:40+02:00 Budo : Terme japonais désignant un ensemble de pratiques semi-martiales...
<p>Budo : Terme japonais désignant un ensemble de pratiques semi-martiales effectuées par des gens voulant péter la gueule à tout le monde mais sans faire de mal. Aspect philosophique et spirituel desdites pratiques (Mais attention, on peut te casser la gueule quand même si on veut, hein!).<br /> <br /> *origine:Si on voulait résumer le budo en trois mots (anglais, désolé, il est des choses difficilement traduisibles...), ce serait "Holier than thou" (traduction littérale: Plus sacré que toi). Le budo est un système politico-médiatique mis en place par les membres de la caste samouraï à la fin du XIXe siècle au Japon pour continuer à enfoncer les castes inférieures comme ils l'avaient fait par le passé.Revenons en arrière. XVIIe siècle au Japon, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. Les shogun ont des armées, les samouraï se foutent sur la gueule avec joie, et le peuple la ferme, parce que l'ouvrir signifie se manger un grand coup de sabre en pleine tronche. Et un katana, ça coupe plutôt bien. Il ne faisait pas bon être paysan, à cette époque: le samouraï avait tous les droits sur les castes inférieures et pouvait parfaitement décider d'interpréter un regard de travers comme une insulte mortelle. Que ceux qui croient toujours au code d'honneur des samouraï et au Père Noel lèvent la main gauche et ouvrent un livre d'histoire de la main droite au lieu de se toucher les glaouis: le fameux bushido, code d'honneur faisant du samouraï un demi-dieu bon, juste et plus blanc que blanc (ou plus jaune que jaune, pour être exact...) est une invention littéraire du XIXe siècle, une fable destinée à redorer le blason des psychopathes à katana. Il est un proverbe concernant la véracité historique au Japon: mieux vaut un beau mensonge qu'une affreuse vérité.<br /> <br /> Nous sommes donc fin du XIXe siècle, et les samouraï en ont gros sur la patate. Ca fait des décennies que la paix règne au Japon, et l'Empereur commence à comprendre que les guerriers surentraînés, parfois, on se dit qu'il aurait mieux valu qu'ils crèvent sur le champ de bataille. Soucieux d'ouvrir le Japon au commerce avec les pays étrangers, l'empereur envoie les samouraï à l'ANPE en leur ordonnant une réorientation professionnelle. Leur prestige est brisé, leurs droits sont supprimés les uns après les autres, et le jour où l'empereur leur interdit de porter le sabre en public, c'est le drame. Humiliés par cette interdiction fort malvenue de massacrer leur prochain sans sommation (une mentalité reprise par la NRA aux Etats-Unis des années plus tard), les samouraï lèvent une armée contre les forces de l'empereur et prennent une raclée fort mal venue lors de la bataille de Satsuma (allez voir le dernier samourai: c'est très romancé, mais en gros, c'est comme ça que ça s'est passé). Eh oui, au sabre contre des fusils les chances sont plutôt limitées, mais les samourais avaient depuis des siècles échangé leur matière grise contre de la testostérone.<br /> <br /> Modernes, les samouraï décident donc, plutôt que de former une élite militaire, de fonder une élite spirituelle et intellectuelle. Ils pondent le Bushido, crachant gentiment à la figure de cinq siècles de massacres au nom de l'honneur, et plutôt que d'arrêter de s'entraîner au sabre pour se mettre aux armes à feu, décident de mettre en place un nouveau fondement spirituel pour leur pratique martiale: le Budo, ou comment mentir habilement à propos des objectifs de l'entraînement.<br /> <br /> *Chniya ek hkeya?Si vous demandez à dix pratiquants de budo ce qu'est le budo, vous aurez douze réponses différentes. Cela est dû a fait que l'expansion du budo dans le monde est liée à une campagne de désinformation profonde et complexe initiée par les anciens samouraï, bande de fourbes, et reprise par les yakuza, les triades, le kuomintang et le 666e clone de pikachu, dont le but avoué est de pousser tous les belliqueux du monde à apprendre un système de combat pourri, pour que les Japonais puissent revenir en force et conquérir un par un tous les pays du monde à coups de sabre (vous voyez, ils n'ont toujours pas digéré le coup des fusils).<br /> <br /> Le budo, donc, place l'amélioration de soi et le perfectionnement technique, mental et spirituel au-dessus de la simple recherche d'efficacité martiale. Là où auparavant, on se disait "Et si je lui coupais le bras pour l'empêcher de tenir une arme", on travaillera maintenant sur un axe différent, commençant par "Je vais donner 800 coups de sabre dans le vide pour perfectionner ma trajectoire" pour passer à "Je visualise mon adversaire... je ressens les battements de son coeur... je sais quand il va bouger... je perçois son énergie... ah merde, je bande", afin d'enfin parvenir au niveau ultime: "Je n'ai pas besoin de me battre". Si vous en êtes là, dites-vous une chose: le mec en face, lui, il en veut, et si vous ne voulez pas vous battre, lui se fera un plaisir de vous démonter la tronche, budo ou pas, et ce d'autant plus facilement que vous ne vous défendez pas, engoncé dans vos convictions ridicules.<br /> <br /> Un pratiquant de budo, donc, est un agressif refoulé adepte de l'autosuggestion, qui plutôt que de s'avouer à lui-même que tout ce qu'il veut, c'est faire mal aux gens avec des objets pointus ou contondants, ou même à mains nues ou avec les dents s'il le faut, préfère noyer le poisson dans un charabia ésotérique mélangeant honneur, droiture, respect de l'adversaire (déjà, là, sachant que ça vient des samourais, on devrait avoir des doutes), élévation de la perception, recherche d'amélioration de soi, méditation transcendentale, procrastination, surévaluation des propres capacités martiales, soumission aveugle à un maître spirituel, masturbation pas seulement intellectuelle et suicide collectif. Les plus vicieux y rajoutent un soupçon de médecine chinoise traditionelle pour faire bonne figure et faire croire qu'ils peuvent réparer une fracture avec deux aiguilles et un violent serrage de tétons.<br /> <br /> *pourquoi faire?<br /> <br /> C'est fort simple, voyons. Le jour où tous les bagarreurs du monde, militaires y compris, croiront dur comme fer que:<br /> <br /> * l'adversaire le plus dur à vaincre, c'est soi-même (et non pas, disons, trois régiments de mecs à la Bob Sapp surentraînés équipés de FAMAS et de poignards de combat)<br /> * la méditation est la clé de l'élévation spirituelle (c'est ça, faites la sieste pendant que les autres s'entraînent)<br /> * le combat est un rituel sacré qu'il convient d'approcher avec une certaine étiquette (preuve que les budoka habitent rarement les quartiers chauds)<br /> * d'un bon combattant émane une aura surnaturelle qui dissuade les adversaires de l'attaquer (non, au pire, un bon combattant s'entraîne beaucoup, a de gros muscles, un regard de pitbull et sent la sueur, ce qui dissuade un peu tout le monde de l'approcher)<br /> * on peut esquiver les balles de fusil ou les arrêter avec le torse (oublions joyeusement la Révolte des Boxeurs et la bataille de Satsuma)<br /> <br /> ... alors le complot Japon-Yakuza-Triades-communistes-Pikachu n'aura plus qu'a débarquer la fleur au fusil et flinguer tous ces branleurs incompétents qui se prennent pour des vrais guerriers pour être maîtres du monde. Fourbe, mais élégant.<br /> <br /> L'autre but non avoué, mais dont les gouvernements profitent bien, c'est que ça fait rentrer des sous dans les caisses des clubs de sport. Comment voulez-vous attirer les chétifs, les non-sportifs, les trouillards, les victimes et les simplets si vous annoncez que dans votre club, c'est (modèle n° 1) 650 pompes, trois kilomètres à ramper dans la boue, une heure de tir à la mitrailleuse sans compensation de recul et quatre heures de combat au couteau de survie plein contact sans protection? C'est beaucoup plus facile de prétendre (modèle n°2) que le but n'est pas la victoire, que l'aspect spirituel est primordial, que la défense vient d'elle-même quand on a cotisé pendant suffisamment longtemps, etc. Généralement, le jour où les adeptes du modèle n°2 se frottent à ceux du n°1, il y a des déceptions parmi les survivants.<br /> <br /> Le budo, une machine à fric? Meuh non, voyons. Qui a été vous raconter ça?<br /> <br /> les forms:<br /> <br /> Budo n'est pas budo. Quand il s'agit de faire prendre des vessies pour des lanternes à son voisin, tous les moyens sont bons. Les requins commerciaux du complot Japon-Yakuza-Triades-communistes-Pikachu ont donc développé divers parfums de budo. C'est comme les glaces, tout le monde y trouve son compte.<br /> <br /> * Judo: la lutte, c'est bien, c'est un beau sport, c'est même vachement vieux puisque les grecs la pratiquaient déjà dans l'antiquité. Si apprendre à lutter ne vous suffit pas, que vous êtes un adepte du "tendez bien le petit orteil", que vous êtes trop feignant pour enlever votre pyjama le matin, que vous trouvez la vraie lutte gréco-romaine trop violente, alors le judo est fait pour vous. N'espérez pas que ça vous serve à quelque chose pour vous battre. Mais au moins, ça vous donne l'occasion de peloter convenablement les copines à l'entraînement.<br /> * Karaté: Prenez al pose, inspirez profondément, concentrez-vous, serrez les fesses, crispez bien tout le corps, frappez la planche en balsa d'un coup sec en criant de toutes vos forces. Soignez votre main. Recommencez jusqu'à ce que la planche casse (pour du balsa 3mm, il vous faudra environ 6 mois). Prenez-vous pour un surhomme et racontez à qui veut l'entendre que vous fracassez des murs sans défense à mains nues.<br /> * Iaido: le summum du foutage de gueule, ou comment apprendre à ne pas savoir se servir d'un sabre. La pratique est simple: mettez votre beau pyjama pattes d'eph' avec sabre à la ceinture, faites une demi-heure de sieste à genoux, levez-vous (doucement, une demi-heure sur les genoux ça fait des rhumatismes), tirez votre sabre pour trancher un petit fagot de paille en deux (l'échec est autorisé, voire recommandé), rentrez votre sabre, retournez vous coucher.<br /> * Kendo: avec un sabre en bambou, courez vers votre adversaire en armure en hurlant quelque chose d'inintelligible. Frappez-vous en même temps et continuez votre chemin. Il paraît qu'un a gagné et l'autre perdu, mais même au ralenti sur la vidéo, c'est dur à dire. Le kendo est un vrai budo car l'équipement coûte horriblement cher, mais un peu moins cher en général que les cotisations mensuelles.<br /> * Kyudo: après les armes de contact, le tir à l'arc, sauf qu'ici il vous faut une semaine de préparation intellectuelle et vestimentaire avant de tirer une flèche. Ah, et regarder la cible, c'est tricher.<br /> * Aikido: l'aikido part du principe que l'adversaire réagira de façon intelligente à vos techniques car il préfère protéger son intégrité physique que de venir abîmer la vôtre. Tout ce qu'il y a à en dire, c'est que si les axiomes sont bidons, la théorie qui en résulte est rarement mieux.<br /> * Kobudo: soucieux de préserver la tradition des ancêtres, les pratiquants de Kobudo utilisent une méthode d'entraînement proche du Karaté, mais uniquement avec les armes traditionnelles des paysans d'Okinawa (bonjour l'ouverture internationale). Vous pourrez y apprendre à vous battre avec des objets de tous les jours tels rame, faucille, fléau à grain, poignée de meule, etc. Que des trucs qui traînent partout dans la rue et qu'on transporte souvent sur soi, en fin de compte...<br /> <br /> Le budo a donc, par l'intermédiaire du complot machintruc (faites un copier-coller vous-mêmes, après tout), pourri à peu près tous les arts martiaux asiatiques vendus de par le monde. Le complot est en pleine forme, aussi bien morale que financière, et s'attaque lentement à l'escrime, la boxe, le tir et le rugby. D'ici peu, tous les sports et arts plus ou moins guerriers de la planète seront sous leur domination, et alors, ET ALORS...<br /> <br /> <br /> Arts Martiaux! La notion d'art martial (de art : "art", et de martial : "de mars") a été crée "créé" à partir du moment "moment" ou l'être "humain" a arrêté de "parler" entre guillemets (ouf !) pour mettre un pain dans la gueule de son voisin. La référence à Mars est censée evoquer la tenacité, la capacité d'aller au combat, symbole du sexe masculin qui remet le couvert, ne dit on pas "un mars et ca repart" ?Il n'y en pas, au final c'est fait pour péter la gueule à son voisin en rêvant de faire comme chuk norris, simplement les pratiquants en avaient assez de passer pour des brutes sans cervelle alors ils ont mis "art" devant, tout comme d'autres abrutis parlent d'arts de la table, d'art de vivre, d'artagan, d'artichaux, dardevil ou d'art des champs. Bref, c'est n'importe quoiAujourd'hui la plupart des arts martiaux du monde s'alignent petit à petit sur le modèle japonais.Proposant ainsi un système de grade allant de la ceinture blanche (débutant vraiment tout naze qui ferme les yeux quand le sensei lui tend la main pour dire bonjour en hurlant "aïe pas tapé, pas moi") à la ceinture noire en passant par les ceintures jaune, orange, verte, bleue, rose, fuschia, begonia, azur, violette, indigo, cyan, mauve, teal, paprika, bouton d'or et enfin la NOIIIIIIIIIIIIIIIIIRE (excusez-moi je me suis fait dessus).<br /> <br /> Puis arrivent les dans du premier au 6ème, marqués par des barettes (tu m'étonnes qu'ils voient tout en couleur les mecs s'ils prennent leurs 6 barettes tous les jours, les maîtres...). Passé le 6ème dan, on porte parfois, selon les diciplines, d'autres ceintures et l'on revient, à la fin, à la blanche (mais plus large, non, parce que bon, on a beau avoir atteint l'ultime sagesse, on est quand mme le maître quoi, merde.)<br /> <br /> <br /> AIKIDO,Definition et historique:<br /> <br /> L'aïkido (合気道) est un BUDO JAPONAIS a la finalité ambigüe qui voit des individus en pyjama blanc,parfois vêtus d'une robe bleue ou noire courir autour de celui qui a la ceinture la plus sale(heu,noire,pardon) dans le but de lui attraper le poignet ou de poser symboliquement la partie charnue du tranchant de sa main sur son crane.<br /> <br /> il est egalement possible de faire tout ceci en faisant semblant de s'etre fait couper les tibias,dans ce cas ,on nomme cela "suwari waza"(pratique pour nains).<br /> <br /> Crée au milieu du 20 eme siècle par Morihei Ueshiba,un obscur visionnaire pré HIPPIE néo communiste adepte du Bouddhisme et fréquentant la secte de l'Omoto Kyo du réverend Déguchi,contrairement a ce qui est d'ordinaire avancé,Morihei ne serait pas décédé en 1969 mais aurait découvert le secret de la vie éternelle.<br /> <br /> Ayant désormais atteint son but secret,il laissa les clés a son bon a rien de fils qui continua de gesticuler comme avant.<br /> <br /> Aujourd'hui,Morihei,âgé de 124 ans serait réfugié en FRANCE et enseignerait les clés de son savoir en haut d'une tour dans un fort entouré de nains en charente maritime.<br /> <br /> Lorsque Kissomaru,fils du pere fouras repris la succession de l'aïkido,la plupart des anciens élèves tombèrent(ca c'est pas nouveau,ils le faisaient deja avant)en désaccord avec la facon de tomber et d'aller chercher le poignet de l'autre en robe et a la ceinture sale(faut suivre).<br /> <br /> Koichi Tohei preferait attraper les poignets avec le ki.<br /> <br /> Gozo Shioda,preferait attraper les poignets plus fort.<br /> <br /> Kenji Tomiki preferait attraper les poignets ou le premier qui attrape il a gagné.<br /> <br /> d'autres éleves creerent ainsi leur propre facon d'attrapper les poignets tel Saito qui separe sa gesticulation en deux phase : une ou on attrape les poignets sans bouger et une ou on attrape les poignets en bougeant.<br /> <br /> Faut dire que,pas bete,le Saito a gardé la maison de campagne du pere fouras ou,il faut bien le dire,la retraite est bien agréable,surtout avec les stagiaires occidentaux qui viennent vous labourer les champs.<br /> <br /> "aïkido" est composé de trois caractères :<br /> <br /> "ai" qui,selon les transcriptions peut vouloir signifier union,fusion,mais aussi "cri de douleur"<br /> <br /> "ki" qui peut être traduit par énergie,demi sexe ou "quelle personne"?<br /> <br /> vous retrouvez "ki" dans "kiloutou","kilimandjaro" ou "kiproquo" par exemple(a non,tout comptes faits,kilimandjaro n'est pas japonais ^^)<br /> <br /> "do" qui signifie "voie d'épanouissement personnelle,opposé au nombrilisme(qui lui se dit "ventre",avouez que c'est fort quand même le japonais)....au final,cela signifie voie d'épanouissement personnel par laquelle des personnes qui a un demi sexe et qui cri en fusionnant avec l'autre coté de mon ventre.<br /> <br /> NB: ne pas confondre avec l'aiki jutsu qui font a peu près pareil mais vont chercher les poignets depuis plus longtemps<br /> <br /> Samourai: C'est est un japonais qui a pour seul but de tuer ou de se faire tuer.Quand il n'a pas réussi à résoudre son quota de sudoku de l'année, il se fait seppuku avec son petit couteau pour ouvrir le courrier.Il n'aime que deux choses dans ce monde : son katana et utiliser son katana. Alors que le japonais normal n'aime lui que les sushis et les geishas.En ce qui concerne ses passe-temps, il y a faire la guerrre, faire des massacres et nettoyer ses armes après utilisation. Certains vont même jusqu'à faire des haiku en hiragana, en katakana ou en kanjii pour tuer le temps.L'âge moyen d'un samouraï ne dépasse pas les 30 ans, car ils finissent tous par se faire tuer par un autre samouraï ou il se suicident parce qu'ils ont raté leur mission. Si un jour vous rencontrez un samouraï, courez autour de lui en l'insultant (mais gardez vos distances tout de même) et il risque de finir par tomber sur le dos, et vu le poids et la forme de leur armure, il ne pourra jamais se relever, du moins pas avant que vous n'ayiez eu le temps de lui voler son katana qui vaut très cher !<br /> <br /> Seppuku :On raconte que dans le Japon médiéval (qui est quand même resté médiéval jusqu'en août 1945, où Littleboy et Fatman, deux rappeurs américains, leur ont apporté la bonne parole), vivaient de grands fous furieux avec des grosses armures et des masques effrayants. Ces dingues suicidaires profitaient de la moindre excuse pour se suicider joyeusement : ils se faisaient alors seppuku.<br /> <br /> Se faire seppuku (hara kiri ) pour les incultes), consiste à se planter un wakizashi (katana pour nain) ou un tanto (wakizashi pour gnome) dans le ventre, juste au-dessus du nombril (là où ça fait le plus mal, sinon, c’est pas drôle). La mort par éviscération dure approximativement 10 minutes, mais ça fait pas assez spectaculaire pour les Japonais, tous ces intestins sur le sol. Alors quand un samouraî se fait sepuku, un autre samouraï, généralement le vainqueur, ou un passant sadique, se place derrière lui et lui tranche la tête en poussant un long cri plaintif semblable à celui des mouettes sur la côte de Blankenberge.<br /> <br /> Ensuite, ils enterrent le corps, les intestins et la tête du pauvre samouraï mort dans une jolie tombe toute fleurie, et tout le monde le respecte pour son sens de l’honneur. En fait, au Japon, pour prouver son honneur, il suffit de prouver qu’on a pas peur de tripoter ses boyaux.<br /> <br /> Un autre truc :le Karaté ! c'est un art martial en provenance de l'archipel d'Okinawa, situé au sud du Japon. (En théorie, Okinawa appartient d'ailleurs au Japon, mais si vous dites ça à un Okinawaien, il se fera un plaisir de vous faire une démonstration de la technique de ses ancêtres. C'est comme les Alsaciens en France, sauf qu'ils mettent du riz dans la choucroute)<br /> <br /> Contrairement à l'idée populaire, le Karaté n'est pas né par inspiration divine et les braves paysans d'Okinawa ne se sont pas transformés en mr Miagui ou en ryu du jour au lendemain. Il existait sur Okinawa avant l'introduction du Karaté d'autres systèmes de combat, pour la plupart armés: le Kobudo, basé sur l'utilisation d'instruments agricoles (fléau, faux, rame, vache, épouse...) comme armes, le Mikado (combat à la baguette au chocolat), le Fédodo (pratiqué la nuit), le Sudoku, le Karaoke (n'importe qui ayant déjà entendu de la musique traditionnelle d'Okinawa confirmera qu'il s'agit bien d'une méthode guerrière)... Enfin bref, plein de choses pour pourrir la vie de son voisin. Mais toujours est-il qu'un beau jour certains okinawaiens qui en avaient marre de vivre sur un caillou de 3m² perdu au milieu de l'océan traversèrent les mers et arrivèrent à pied par la Chine. Et là, ô surprise, les gens se foutaient sur la gueule aussi, mais ils appelaient ça kung-fu. Comme les Okinawaiens étaient moins cons qu'il paraît, ils se rendirent bien compte que Zhang Ziyi était quand même vachement plus sexy que Toshiro Mifune et se mirent au kung-fu, avant de rentrer chez eux le coeur léger et les bourses vides.<br /> <br /> Oui mais. Là où les Chinois étaient souples et agiles dû à leurs nombreuses années d'entraînement à blouser les touristes dans le parc d'attractions de SHAOLIN, les p'tit gars d'Okinawa, eux, étaient des paysans, pas forcément malins ni agiles. Ils se mirent donc en tête de singer les mouvements appris en Chine, et comme ils ne comprenaient pas tout, de simplifier, raccourcir, épurer, jusqu'à ce qu'il ne reste plus que... pas grand-chose. De même, dans un souci de respecter la physiologie de leurs compatriotes, plus proches de l'arbre que du singe, ils enlevèrent l'aspect souple et rond pour le remplacer par un aspect raide et carré. De plus, comme ils s'étaient rendus compte que se taper dessus à l'entraînement, ça fait mal, ils supprimèrent le contact pour le remplacer par des techniques dans le vide. Le Karaté était né.<br /> <br /> Le premier effort des paysans empreints de mysticisme et d'auto-satisfaction fut de rejeter les méthodes de combat traditionnelles. Après tout, c'est vrai que se battre avec une faucille dans une main et une massue dans l'autre, c'est bien moins efficace pour tuer son voisin que de se percher des heures sur un rocher face à la mer en couinant Kiai de temps à autre. Les chétifs et faibles d'esprit, qui se seraient fait massacrer dans n'importe quelle discipline guerrière, affluèrent en masse. L'expansion du Karaté comme moyen de mystification des masses faiblardes en mal de sagesse ancestrale trouvée dans les gâteaux porte-bonheur chinois était lancée.<br /> <br /> Par un miracle inexpliqué certainement lié au fait que le Karaté se développa pendant une période de paix et que la plupart des pratiquants ne se sont jamais battus, sauf bourrés au saké, auquel cas le Karaté est bien vite oublié, les Karateka sous la férule du fondateur Atchoum Fumepasquandjechie perdurèrent et se répandirent dans Okinawa d'abord, et au Japon ensuite. La Japan Karate Association fut rapidement fondée en tant que sous-département Handisport du Ministère de l'Agriculture japonais. Suite à l'occupation américaine pendant la Seconde Guerre Mondiale (durant laquelle les arts martiaux étaient interdits au Japon), le Karaté, reconnu comme méthode de rééducation douce pour paraplégiques, fut rapidement ré-autorisé. C'est alors que Japonais et Européens, suite à une étude de marché fort avancée dont on peut trouver les traces à la bibliothèque du département Psychiatrie de l'hôpital central de TOKYO, se rendirent compte d'une chose: emballé d'un poil de mysticisme, de légendes farfelues sur un ivrogne tuant les taureaux à coup de tête et d'une bonne dose de nationalisme fascisant pro-Japonais, le Karaté pourrait se vendre plutôt bien.<br /> <br /> Et c'est ainsi qu'en France le Karaté arriva, importé par Henri Replet(qui était loin d'être con puisqu'il s'est rendu compte tout de suite que tout ça c'était du flan et a fait fortune dans la pub ensuite). Pour donner une image forte, Henri provoqua en duel plusieurs combattants de styles européens, et comme le p'tit père Henri était avant d'être karatéka un sacré bon boxeur et lutteur, il a pété les dents de ses adversaires en criant: "Vous voyez? C'est du karaté!". Et hop: dans un petit coin tranquille du Marais, rue Monte-là-dessus Sainte-Guenièvre, le premier dojo de Karaté français fut fondé. On s'y faisait entuber comme dans tout le quartier, mais à un niveau plus mystique. La tradition de prendre les élèves pour des vaches à lait stupides juste bons à sautiller en pyjama et taper dans le vide en poussant des cris pathétiques non sans similitudes avec l'orgasme d'un PONEY perdure aujourd'hui encore au sein de la FFKAMMA (Fédération Franc-Comtoise de Karaté et Autres Maladies Mentales Affligeantes).<br /> <br /> La journée du Karatéka est longue et dure, contrairement à son... mais je m'égare, je m'égare. Elle commence par un lever aux aurores, suivi d'un petit déjeuner composé de RIZ non cuit et de racines déterrées à mains nues. S'ensuit une longue douche sous une cascade (Okinawa n'a pas encore l'eau courante partout) où le Karatéka ferme les yeux pour ne pas y recevoir la mousse qui pique de son shampooing Dop Enfants. Ensuite, pour se sécher, le Karatéka trouve un poteau avenant sur la plage (à Okinawa, on n'est jamais loin de la mer) et grimpe dessus, ce qui en soi est déjà un bon échauffement, pour y rester perché sur une jambe en plein soleil jusqu'au repas de midi, composé de riz non cuit et de racines déterrées à mains nues, pris en haut du poteau. Le pratiquant y travaille son esquive, car rare est le karatéka qui ne se fait pas piquer régulièrement son déjêuner par les mouettes. Il y travaille également son endurcissement corporel en tombant régulièrement sur le sable chaud (saloperies de mouettes).<br /> <br /> Peu enclin à se risquer contre un adversaire digne de ce nom, le Karatéka passe ensuite une heure à casser des planches en balsa et des tuiles moisies avec n'importe quelle partie imaginable de son corps. Sans doute y trouve-t-il une satisfaction immense. S'ensuit le travail des "kata", suites de mouvements codifiées censées représenter un combat contre plusieurs adversaires (vous savez, un peu comme ces gens qui font semblant de jouer de la guitare dans les concerts et se croient musiciens). N'importe qui s'étant battu une fois dans sa vie vous dira que le kata est au combat ce que la pétomanie est à chopin, mais il paraît que le but est plus "mystique", du moins, c'est ce que prétendent les karatéka. En tout cas, ça fait peur aux oiseaux, ce qui explique pourquoi les karatéka paysans peuvent se permettre d'économiser un épouvantail. Le travail de tension du corps est très important: si le karateka n'est pas contracté au point qu'il est impossible de lui glisser un noyau d'olive huilé dans le rectum et que seule la dynamite peut lui faire desserrer les mâchoires, c'est qu'il n'est pas encore assez crispé.<br /> <br /> Enfin ça, c'est à Okinawa. En france et dans le reste du monde, le Karatéka rentre de sa journée de boulor, desserre sa cravate, enlève ses pompes et se prend une bière en un croque-monsieur devant le JT, avant de ramasser son sac de sport et de filer au dojo (prétentieux, les karateka refusent de parler de salle de sports, ça fait trop nouveau riche). Là, il y enfile un pyjama sale, serre une ceinture de couleur variable autour de sa taille, et répète ses kata dénués de sens (mais n'a même pas la joie de faire peur aux oiseaux). Il pratique également une forme de combat sportif qui n'est pas sans rappeler deux marionnettes faisant du kick boxing sans se toucher. Puis il va à la buvette s'enfiler une demi-douzaine de pastis avec ses copains d'entraînement, en devisant sur le sens de la vie, du devoir et de l'honneur, et l'importance de la position du 2e orteil lors du mouvement 17 du kata Bassine d'Ail, sans oublier de bien cracher sur les autres arts martiaux qui eux, ne sont que des sports sans profondeur et ne forment pas des vrai Kill3r$ comme eux. Cette séance de masturbation intellectuelle poussée est censée remplacée la méditation zen, qui fait trop Dahlia Lama au goût du bon français.<br /> <br /> Comme si ça ne suffisait pas, les karatéka se réclament en général d'un "style", un peu comme les danseurs (à la différence près qu'un bon danseur, en général, maîtrise plusieurs styles). Voici les plus connus:<br /> <br /> 1. Chatte-o-kan: la technique originale de maître Atchoum Fumepasquandjechie enseigne à ses élèves que pour gagner un combat en étant pratiquant de karaté, faut avoir une sacrée chance.<br /> 2. Shit-o-ryu: les pratiquants de ce style font de la merde, mais au moins, ils en sont fiers! (Une autre branche secrète de ce style pratique uniquement sous stupéfiants, mais ils se cachent...)<br /> 3. Wesh-y-ryu: le style le plus répandu parmi les kevins.<br /> 4. Gadjo-Ryu: style enseigné uniquement aux non-Gitans par les Gitans.<br /> 5. Coucou ch'tite caille: les pratiquants de ce style se concentrent principalement sur leur physique afin de mieux pouvoir lever les gazelles.<br /> <br /> Vous noterez que le nom de Ryu apparaît souvent dans les noms de style. C'est parce que les fondateurs desdits styles aiment beaucoup street fighter.<br /> <br /> Malgré ses défauts, le Karatéka a retenu deux ou trois choses des secrets soi-disants ancestraux de ses maîtres soi-disant secrets (mais inscrits au Registre du Commerce). Pour commencer, le Karatéka est souvent sportif, bien entraîné, bien musclé, et pas trop moche. Cela lui permet d'assurer en boîte et de ramasser les vanessa à la pelle. En général, il finit par en épouser une, lui fait un gosse parce que l'utilisation de la capote n'est pas expliquée dans le kata Hayon Sans Dents, et éduque son gamin comme il a appris: trois mille coups de poings, pied, tête et testicules par jour sur un poteau en acier dès l'âge de 18 mois, posant ainsi les bases de la future génération de pratiquants. On a vu pire, et puis ça favorise la sélection naturelle après tout.<br /> <br /> Ensuite, le Karatéka a le "spirit". Ce qui veut dire qu'à force d'autosuggestion, il est arrivé à croire qu'il était un type intègre, honnête, courageux, droit, franc, et surtout, modeste. Cela ne l'empêche pas de provoquer des bagarres dans les bars quand il a un coup dans le nez comme tout un chacun, ou pour certains de voter trop à droite. Il est des réflexes innés que même le karaté ne suffit pas à effacer. Le "spirit" lui permet de voir le monde différemment. Quand un karatéka s'arrête en admiration devant une mouche ou un papier de bonbon sur le trottoir, ne lui parlez pas! Laissez-le profiter de cet instant de béatitude dans lequel il a retrouvé dans les mouvements de la mouche ou la posture du papier un des secrets du Karaté. De toute façon, il ne peut pas vous expliquer ce qu'il ressent.<br /> <br /> Ceci mis à part, le karatéka a une vie normale. Il fait ses 35 heures, fait ses courses chez Auchan, aime Julien Lepers, passe ses vacances à Ibiza (pour les plus jeunes) ou à Dunkerque (pour les autres), lit Captain America et X-Men, mange bio, et vote à gauche parce qu'il est "aware", ou à droite parce qu'il a plus de 30 ans. Une majorité écrasante de karateka arrête la pratique sportive passé 50 ans et souffre le reste de ses jours de ses genoux, de son dos, ou de ses hanches qu'il a tellement maltraités au cours de ses années de jeunesse, faisant le bonheur et la fortune des ostéopathes.<br /> <br /> Les valeurs quasi-aryennes de beauté, perfection, discipline et rigueur que véhicule le Karaté sont à l'origine du succès des films basés sur cet art. L'histoire de ces films est souvent simple (on a le public qu'on mérite...) et les personnages fort stéréotypés. En voici les représentants principaux.<br /> <br /> 1. Le petit jeune qui n'en veut. Ce personnage est en général incarné par un ou une ado en mal de vivre, type clement le nolife, souvent maltraité par ses camarades, qui refoule des pulsions destructrices et apprend le karaté pour péter la gueule de ses petits copains. Il apprend au cours du film la sagesse, la patience, l'endurance, le nettoyage de voitures et la sodomie au cactus. À la fin, il/elle gagne le tournoi régional "Kill the Poney".<br /> 2. Le petit vieux qui n'en veut plus. Ca fait 57 ans qu'il ne s'est pas battu, depuis qu'il a fait pleurer Bébé Jean en lui collant un coup de pelle dans le bac à sable et qu'il ne s'est toujours pas pardonné cet affreux excès de violence. Arrive un petit jeune, et le vieux est bien emmerdé, donc plutôt que de lui enseigner un art auquel il ne connaît rien, il le manipule pour le pousser à faire tous les trucs domestiques chiants qu'il ne veut pas faire lui-même: nettoyer la bagnole, peindre la clôture, poncer la véranda, tout ça... À la fin, il est bien embêté parce que le p'tit jeune a gagné le tournoi "Kill the Poney" et ne veut plus venir chez lui. Alors, il s'en trouve un autre.<br /> 3. Le killer au regard d'acier. Méchant ou gentil, peu importe, c'est tout juste si son cerveau fait la différence. Musclé, hyper résistant, hyper fort (mille coups ne lui font rien, mais avec une frappe il dégomme dix-sept adversaires), sexy, cool, il va sauver la veuve et l'orphelin s'il est gentil, ou violer la veuve et enlever l'orphelin sinon. Deux fins possibles: s'il est gentil, il est gravement blessé mais a tué tout le monde et a le droit de sauter la veuve pendant que l'orphelin dort. S'il est méchant, il se fait mettre minable par le p'tit jeune qui n'en veut, malgré ses huit titres olympiques, ses 27 cm et 38 kg d'avantage et son expérience de 20 ans à faire le gros bras pour son chef.<br /> <br /> AIKIDO,Definition et historique:<br /> <br /> L'aïkido (合気道) est un BUDO JAPONAIS a la finalité ambigüe qui voit des individus en pyjama blanc,parfois vêtus d'une robe bleue ou noire courir autour de celui qui a la ceinture la plus sale(heu,noire,pardon) dans le but de lui attraper le poignet ou de poser symboliquement la partie charnue du tranchant de sa main sur son crane.<br /> <br /> il est egalement possible de faire tout ceci en faisant semblant de s'etre fait couper les tibias,dans ce cas ,on nomme cela "suwari waza"(pratique pour nains).<br /> <br /> Crée au milieu du 20 eme siècle par Morihei Ueshiba,un obscur visionnaire pré HIPPIE néo communiste adepte du Bouddhisme et fréquentant la secte de l'Omoto Kyo du réverend Déguchi,contrairement a ce qui est d'ordinaire avancé,Morihei ne serait pas décédé en 1969 mais aurait découvert le secret de la vie éternelle.<br /> <br /> Ayant désormais atteint son but secret,il laissa les clés a son bon a rien de fils qui continua de gesticuler comme avant.<br /> <br /> Aujourd'hui,Morihei,âgé de 124 ans serait réfugié en FRANCE et enseignerait les clés de son savoir en haut d'une tour dans un fort entouré de nains en charente maritime.<br /> <br /> Lorsque Kissomaru,fils du pere fouras repris la succession de l'aïkido,la plupart des anciens élèves tombèrent(ca c'est pas nouveau,ils le faisaient deja avant)en désaccord avec la facon de tomber et d'aller chercher le poignet de l'autre en robe et a la ceinture sale(faut suivre).<br /> <br /> Koichi Tohei preferait attraper les poignets avec le ki.<br /> <br /> Gozo Shioda,preferait attraper les poignets plus fort.<br /> <br /> Kenji Tomiki preferait attraper les poignets ou le premier qui attrape il a gagné.<br /> <br /> d'autres éleves creerent ainsi leur propre facon d'attrapper les poignets tel Saito qui separe sa gesticulation en deux phase : une ou on attrape les poignets sans bouger et une ou on attrape les poignets en bougeant.<br /> <br /> Faut dire que,pas bete,le Saito a gardé la maison de campagne du pere fouras ou,il faut bien le dire,la retraite est bien agréable,surtout avec les stagiaires occidentaux qui viennent vous labourer les champs.<br /> <br /> "aïkido" est composé de trois caractères :<br /> <br /> "ai" qui,selon les transcriptions peut vouloir signifier union,fusion,mais aussi "cri de douleur"<br /> <br /> "ki" qui peut être traduit par énergie,demi sexe ou "quelle personne"?<br /> <br /> vous retrouvez "ki" dans "kiloutou","kilimandjaro" ou "kiproquo" par exemple(a non,tout comptes faits,kilimandjaro n'est pas japonais ^^)<br /> <br /> "do" qui signifie "voie d'épanouissement personnelle,opposé au nombrilisme(qui lui se dit "ventre",avouez que c'est fort quand même le japonais)....au final,cela signifie voie d'épanouissement personnel par laquelle des personnes qui a un demi sexe et qui cri en fusionnant avec l'autre coté de mon ventre.<br /> <br /> NB: ne pas confondre avec l'aiki jutsu qui font a peu près pareil mais vont chercher les poignets depuis plus longtemps<br /> <br /> Samourai: C'est est un japonais qui a pour seul but de tuer ou de se faire tuer.Quand il n'a pas réussi à résoudre son quota de sudoku de l'année, il se fait seppuku avec son petit couteau pour ouvrir le courrier.Il n'aime que deux choses dans ce monde : son katana et utiliser son katana. Alors que le japonais normal n'aime lui que les sushis et les geishas.En ce qui concerne ses passe-temps, il y a faire la guerrre, faire des massacres et nettoyer ses armes après utilisation. Certains vont même jusqu'à faire des haiku en hiragana, en katakana ou en kanjii pour tuer le temps.L'âge moyen d'un samouraï ne dépasse pas les 30 ans, car ils finissent tous par se faire tuer par un autre samouraï ou il se suicident parce qu'ils ont raté leur mission. Si un jour vous rencontrez un samouraï, courez autour de lui en l'insultant (mais gardez vos distances tout de même) et il risque de finir par tomber sur le dos, et vu le poids et la forme de leur armure, il ne pourra jamais se relever, du moins pas avant que vous n'ayiez eu le temps de lui voler son katana qui vaut très cher !<br /> <br /> Seppuku :On raconte que dans le Japon médiéval (qui est quand même resté médiéval jusqu'en août 1945, où Littleboy et Fatman, deux rappeurs américains, leur ont apporté la bonne parole), vivaient de grands fous furieux avec des grosses armures et des masques effrayants. Ces dingues suicidaires profitaient de la moindre excuse pour se suicider joyeusement : ils se faisaient alors seppuku.<br /> <br /> Se faire seppuku (hara kiri ) pour les incultes), consiste à se planter un wakizashi (katana pour nain) ou un tanto (wakizashi pour gnome) dans le ventre, juste au-dessus du nombril (là où ça fait le plus mal, sinon, c’est pas drôle). La mort par éviscération dure approximativement 10 minutes, mais ça fait pas assez spectaculaire pour les Japonais, tous ces intestins sur le sol. Alors quand un samouraî se fait sepuku, un autre samouraï, généralement le vainqueur, ou un passant sadique, se place derrière lui et lui tranche la tête en poussant un long cri plaintif semblable à celui des mouettes sur la côte de Blankenberge.<br /> <br /> Ensuite, ils enterrent le corps, les intestins et la tête du pauvre samouraï mort dans une jolie tombe toute fleurie, et tout le monde le respecte pour son sens de l’honneur. En fait, au Japon, pour prouver son honneur, il suffit de prouver qu’on a pas peur de tripoter ses boyaux.<br /> <br /> Un autre truc :le Karaté ! c'est un art martial en provenance de l'archipel d'Okinawa, situé au sud du Japon. (En théorie, Okinawa appartient d'ailleurs au Japon, mais si vous dites ça à un Okinawaien, il se fera un plaisir de vous faire une démonstration de la technique de ses ancêtres. C'est comme les Alsaciens en France, sauf qu'ils mettent du riz dans la choucroute)<br /> <br /> Contrairement à l'idée populaire, le Karaté n'est pas né par inspiration divine et les braves paysans d'Okinawa ne se sont pas transformés en mr Miagui ou en ryu du jour au lendemain. Il existait sur Okinawa avant l'introduction du Karaté d'autres systèmes de combat, pour la plupart armés: le Kobudo, basé sur l'utilisation d'instruments agricoles (fléau, faux, rame, vache, épouse...) comme armes, le Mikado (combat à la baguette au chocolat), le Fédodo (pratiqué la nuit), le Sudoku, le Karaoke (n'importe qui ayant déjà entendu de la musique traditionnelle d'Okinawa confirmera qu'il s'agit bien d'une méthode guerrière)... Enfin bref, plein de choses pour pourrir la vie de son voisin. Mais toujours est-il qu'un beau jour certains okinawaiens qui en avaient marre de vivre sur un caillou de 3m² perdu au milieu de l'océan traversèrent les mers et arrivèrent à pied par la Chine. Et là, ô surprise, les gens se foutaient sur la gueule aussi, mais ils appelaient ça kung-fu. Comme les Okinawaiens étaient moins cons qu'il paraît, ils se rendirent bien compte que Zhang Ziyi était quand même vachement plus sexy que Toshiro Mifune et se mirent au kung-fu, avant de rentrer chez eux le coeur léger et les bourses vides.<br /> <br /> Oui mais. Là où les Chinois étaient souples et agiles dû à leurs nombreuses années d'entraînement à blouser les touristes dans le parc d'attractions de SHAOLIN, les p'tit gars d'Okinawa, eux, étaient des paysans, pas forcément malins ni agiles. Ils se mirent donc en tête de singer les mouvements appris en Chine, et comme ils ne comprenaient pas tout, de simplifier, raccourcir, épurer, jusqu'à ce qu'il ne reste plus que... pas grand-chose. De même, dans un souci de respecter la physiologie de leurs compatriotes, plus proches de l'arbre que du singe, ils enlevèrent l'aspect souple et rond pour le remplacer par un aspect raide et carré. De plus, comme ils s'étaient rendus compte que se taper dessus à l'entraînement, ça fait mal, ils supprimèrent le contact pour le remplacer par des techniques dans le vide. Le Karaté était né.<br /> <br /> Le premier effort des paysans empreints de mysticisme et d'auto-satisfaction fut de rejeter les méthodes de combat traditionnelles. Après tout, c'est vrai que se battre avec une faucille dans une main et une massue dans l'autre, c'est bien moins efficace pour tuer son voisin que de se percher des heures sur un rocher face à la mer en couinant Kiai de temps à autre. Les chétifs et faibles d'esprit, qui se seraient fait massacrer dans n'importe quelle discipline guerrière, affluèrent en masse. L'expansion du Karaté comme moyen de mystification des masses faiblardes en mal de sagesse ancestrale trouvée dans les gâteaux porte-bonheur chinois était lancée.<br /> <br /> Par un miracle inexpliqué certainement lié au fait que le Karaté se développa pendant une période de paix et que la plupart des pratiquants ne se sont jamais battus, sauf bourrés au saké, auquel cas le Karaté est bien vite oublié, les Karateka sous la férule du fondateur Atchoum Fumepasquandjechie perdurèrent et se répandirent dans Okinawa d'abord, et au Japon ensuite. La Japan Karate Association fut rapidement fondée en tant que sous-département Handisport du Ministère de l'Agriculture japonais. Suite à l'occupation américaine pendant la Seconde Guerre Mondiale (durant laquelle les arts martiaux étaient interdits au Japon), le Karaté, reconnu comme méthode de rééducation douce pour paraplégiques, fut rapidement ré-autorisé. C'est alors que Japonais et Européens, suite à une étude de marché fort avancée dont on peut trouver les traces à la bibliothèque du département Psychiatrie de l'hôpital central de TOKYO, se rendirent compte d'une chose: emballé d'un poil de mysticisme, de légendes farfelues sur un ivrogne tuant les taureaux à coup de tête et d'une bonne dose de nationalisme fascisant pro-Japonais, le Karaté pourrait se vendre plutôt bien.<br /> <br /> Et c'est ainsi qu'en France le Karaté arriva, importé par Henri Replet(qui était loin d'être con puisqu'il s'est rendu compte tout de suite que tout ça c'était du flan et a fait fortune dans la pub ensuite). Pour donner une image forte, Henri provoqua en duel plusieurs combattants de styles européens, et comme le p'tit père Henri était avant d'être karatéka un sacré bon boxeur et lutteur, il a pété les dents de ses adversaires en criant: "Vous voyez? C'est du karaté!". Et hop: dans un petit coin tranquille du Marais, rue Monte-là-dessus Sainte-Guenièvre, le premier dojo de Karaté français fut fondé. On s'y faisait entuber comme dans tout le quartier, mais à un niveau plus mystique. La tradition de prendre les élèves pour des vaches à lait stupides juste bons à sautiller en pyjama et taper dans le vide en poussant des cris pathétiques non sans similitudes avec l'orgasme d'un PONEY perdure aujourd'hui encore au sein de la FFKAMMA (Fédération Franc-Comtoise de Karaté et Autres Maladies Mentales Affligeantes).<br /> <br /> La journée du Karatéka est longue et dure, contrairement à son... mais je m'égare, je m'égare. Elle commence par un lever aux aurores, suivi d'un petit déjeuner composé de RIZ non cuit et de racines déterrées à mains nues. S'ensuit une longue douche sous une cascade (Okinawa n'a pas encore l'eau courante partout) où le Karatéka ferme les yeux pour ne pas y recevoir la mousse qui pique de son shampooing Dop Enfants. Ensuite, pour se sécher, le Karatéka trouve un poteau avenant sur la plage (à Okinawa, on n'est jamais loin de la mer) et grimpe dessus, ce qui en soi est déjà un bon échauffement, pour y rester perché sur une jambe en plein soleil jusqu'au repas de midi, composé de riz non cuit et de racines déterrées à mains nues, pris en haut du poteau. Le pratiquant y travaille son esquive, car rare est le karatéka qui ne se fait pas piquer régulièrement son déjêuner par les mouettes. Il y travaille également son endurcissement corporel en tombant régulièrement sur le sable chaud (saloperies de mouettes).<br /> <br /> Peu enclin à se risquer contre un adversaire digne de ce nom, le Karatéka passe ensuite une heure à casser des planches en balsa et des tuiles moisies avec n'importe quelle partie imaginable de son corps. Sans doute y trouve-t-il une satisfaction immense. S'ensuit le travail des "kata", suites de mouvements codifiées censées représenter un combat contre plusieurs adversaires (vous savez, un peu comme ces gens qui font semblant de jouer de la guitare dans les concerts et se croient musiciens). N'importe qui s'étant battu une fois dans sa vie vous dira que le kata est au combat ce que la pétomanie est à chopin, mais il paraît que le but est plus "mystique", du moins, c'est ce que prétendent les karatéka. En tout cas, ça fait peur aux oiseaux, ce qui explique pourquoi les karatéka paysans peuvent se permettre d'économiser un épouvantail. Le travail de tension du corps est très important: si le karateka n'est pas contracté au point qu'il est impossible de lui glisser un noyau d'olive huilé dans le rectum et que seule la dynamite peut lui faire desserrer les mâchoires, c'est qu'il n'est pas encore assez crispé.<br /> <br /> Enfin ça, c'est à Okinawa. En france et dans le reste du monde, le Karatéka rentre de sa journée de boulor, desserre sa cravate, enlève ses pompes et se prend une bière en un croque-monsieur devant le JT, avant de ramasser son sac de sport et de filer au dojo (prétentieux, les karateka refusent de parler de salle de sports, ça fait trop nouveau riche). Là, il y enfile un pyjama sale, serre une ceinture de couleur variable autour de sa taille, et répète ses kata dénués de sens (mais n'a même pas la joie de faire peur aux oiseaux). Il pratique également une forme de combat sportif qui n'est pas sans rappeler deux marionnettes faisant du kick boxing sans se toucher. Puis il va à la buvette s'enfiler une demi-douzaine de pastis avec ses copains d'entraînement, en devisant sur le sens de la vie, du devoir et de l'honneur, et l'importance de la position du 2e orteil lors du mouvement 17 du kata Bassine d'Ail, sans oublier de bien cracher sur les autres arts martiaux qui eux, ne sont que des sports sans profondeur et ne forment pas des vrai Kill3r$ comme eux. Cette séance de masturbation intellectuelle poussée est censée remplacée la méditation zen, qui fait trop Dahlia Lama au goût du bon français.<br /> <br /> Comme si ça ne suffisait pas, les karatéka se réclament en général d'un "style", un peu comme les danseurs (à la différence près qu'un bon danseur, en général, maîtrise plusieurs styles). Voici les plus connus:<br /> <br /> 1. Chatte-o-kan: la technique originale de maître Atchoum Fumepasquandjechie enseigne à ses élèves que pour gagner un combat en étant pratiquant de karaté, faut avoir une sacrée chance.<br /> 2. Shit-o-ryu: les pratiquants de ce style font de la merde, mais au moins, ils en sont fiers! (Une autre branche secrète de ce style pratique uniquement sous stupéfiants, mais ils se cachent...)<br /> 3. Wesh-y-ryu: le style le plus répandu parmi les kevins.<br /> 4. Gadjo-Ryu: style enseigné uniquement aux non-Gitans par les Gitans.<br /> 5. Coucou ch'tite caille: les pratiquants de ce style se concentrent principalement sur leur physique afin de mieux pouvoir lever les gazelles.<br /> <br /> Vous noterez que le nom de Ryu apparaît souvent dans les noms de style. C'est parce que les fondateurs desdits styles aiment beaucoup street fighter.<br /> <br /> Malgré ses défauts, le Karatéka a retenu deux ou trois choses des secrets soi-disants ancestraux de ses maîtres soi-disant secrets (mais inscrits au Registre du Commerce). Pour commencer, le Karatéka est souvent sportif, bien entraîné, bien musclé, et pas trop moche. Cela lui permet d'assurer en boîte et de ramasser les vanessa à la pelle. En général, il finit par en épouser une, lui fait un gosse parce que l'utilisation de la capote n'est pas expliquée dans le kata Hayon Sans Dents, et éduque son gamin comme il a appris: trois mille coups de poings, pied, tête et testicules par jour sur un poteau en acier dès l'âge de 18 mois, posant ainsi les bases de la future génération de pratiquants. On a vu pire, et puis ça favorise la sélection naturelle après tout.<br /> <br /> Ensuite, le Karatéka a le "spirit". Ce qui veut dire qu'à force d'autosuggestion, il est arrivé à croire qu'il était un type intègre, honnête, courageux, droit, franc, et surtout, modeste. Cela ne l'empêche pas de provoquer des bagarres dans les bars quand il a un coup dans le nez comme tout un chacun, ou pour certains de voter trop à droite. Il est des réflexes innés que même le karaté ne suffit pas à effacer. Le "spirit" lui permet de voir le monde différemment. Quand un karatéka s'arrête en admiration devant une mouche ou un papier de bonbon sur le trottoir, ne lui parlez pas! Laissez-le profiter de cet instant de béatitude dans lequel il a retrouvé dans les mouvements de la mouche ou la posture du papier un des secrets du Karaté. De toute façon, il ne peut pas vous expliquer ce qu'il ressent.<br /> <br /> Ceci mis à part, le karatéka a une vie normale. Il fait ses 35 heures, fait ses courses chez Auchan, aime Julien Lepers, passe ses vacances à Ibiza (pour les plus jeunes) ou à Dunkerque (pour les autres), lit Captain America et X-Men, mange bio, et vote à gauche parce qu'il est "aware", ou à droite parce qu'il a plus de 30 ans. Une majorité écrasante de karateka arrête la pratique sportive passé 50 ans et souffre le reste de ses jours de ses genoux, de son dos, ou de ses hanches qu'il a tellement maltraités au cours de ses années de jeunesse, faisant le bonheur et la fortune des ostéopathes.<br /> <br /> Les valeurs quasi-aryennes de beauté, perfection, discipline et rigueur que véhicule le Karaté sont à l'origine du succès des films basés sur cet art. L'histoire de ces films est souvent simple (on a le public qu'on mérite...) et les personnages fort stéréotypés. En voici les représentants principaux.<br /> <br /> 1. Le petit jeune qui n'en veut. Ce personnage est en général incarné par un ou une ado en mal de vivre, type clement le nolife, souvent maltraité par ses camarades, qui refoule des pulsions destructrices et apprend le karaté pour péter la gueule de ses petits copains. Il apprend au cours du film la sagesse, la patience, l'endurance, le nettoyage de voitures et la sodomie au cactus. À la fin, il/elle gagne le tournoi régional "Kill the Poney".<br /> 2. Le petit vieux qui n'en veut plus. Ca fait 57 ans qu'il ne s'est pas battu, depuis qu'il a fait pleurer Bébé Jean en lui collant un coup de pelle dans le bac à sable et qu'il ne s'est toujours pas pardonné cet affreux excès de violence. Arrive un petit jeune, et le vieux est bien emmerdé, donc plutôt que de lui enseigner un art auquel il ne connaît rien, il le manipule pour le pousser à faire tous les trucs domestiques chiants qu'il ne veut pas faire lui-même: nettoyer la bagnole, peindre la clôture, poncer la véranda, tout ça... À la fin, il est bien embêté parce que le p'tit jeune a gagné le tournoi "Kill the Poney" et ne veut plus venir chez lui. Alors, il s'en trouve un autre.<br /> 3. Le killer au regard d'acier. Méchant ou gentil, peu importe, c'est tout juste si son cerveau fait la différence. Musclé, hyper résistant, hyper fort (mille coups ne lui font rien, mais avec une frappe il dégomme dix-sept adversaires), sexy, cool, il va sauver la veuve et l'orphelin s'il est gentil, ou violer la veuve et enlever l'orphelin sinon. Deux fins possibles: s'il est gentil, il est gravement blessé mais a tué tout le monde et a le droit de sauter la veuve pendant que l'orphelin dort. S'il est méchant, il se fait mettre minable par le p'tit jeune qui n'en veut, malgré ses huit titres olympiques, ses 27 cm et 38 kg d'avantage et son expérience de 20 ans à faire le gros bras pour son chef.<br /></p>
DBAUDhttp://dominiquebaud.hautetfort.com/about.htmlFélicitation à nos 5 champions du jour...tag:dominiquebaud.hautetfort.com,2008-08-10:17477352008-08-10T18:01:00+02:002008-08-10T18:01:00+02:00 Tout d'abord avec l'équipe de France de tir à l'arc. Virginie ARNOLD ,...
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Tout d'abord avec l'équipe de France de tir à l'arc. <b>Virginie ARNOLD</b>, <b><span style="text-transform: uppercase;">Dodemont</span> Sophie</b> <b>DODEMONT</b> et <b>Bérengère SCHUH</b> ont remporté la médaille de bronze face à la Grande–Bretagne. C'est l'incroyable équipe Coréenne, invaincue depuis 10 ans, qui a reçu la médaille d'or.</p> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"> </p> <div style="text-align: center"><img src="http://dominiquebaud.hautetfort.com/media/01/02/1089817059.jpg" id="media-1213099" alt="Img214525973.jpg" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" /></div> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Puis, ce fut au tour du judoka <b>Benjamin <span style="text-transform: uppercase;">Darbelet</span></b> de nous surprendre en décrochant la médaille d'argent en -66 kg. Très beau parcours du français dès le matin, qui a enchaîné les victoires face à des champions mondiaux, mais finit par s'incliner devant le japonais UCHISHIBA Masato.</p> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"> </p> <div style="text-align: center"><img src="http://dominiquebaud.hautetfort.com/media/02/00/5861621.jpg" id="media-1213100" alt="Img214526249.jpg" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" /></div> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">La dernière médaille obtenue aujourd'hui est celle de l'épéiste <b>Fabrice <span style="text-transform: uppercase;">Jeannet</span></b>, déçu de son résultat lors de sa dernière compétition en individuel, il termine quand même deuxième. Face à lui l'italien Matteo TAGLIARIOL qui a dominé le français de 15 touches à 9.</p> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"> </p> <div style="text-align: center"><img src="http://dominiquebaud.hautetfort.com/media/00/02/952161287.jpg" id="media-1213101" alt="Img214526823.jpg" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" /></div> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">A demain avec l'espoir d'un plus grand nombre de médaille.</p> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"> </p>
DBAUDhttp://dominiquebaud.hautetfort.com/about.htmlLE JUDO A L’HONNEURtag:dominiquebaud.hautetfort.com,2007-09-14:12187522007-09-14T19:25:00+02:002007-09-14T19:25:00+02:00 Je souhaite saluer aujourd’hui la performance de ce jeune judoka français...
<p align="justify"><img src="http://dominiquebaud.hautetfort.com/media/00/02/960c9c6a2d084e57e5fc0640f8f52b73.jpg" name="media-546869" alt="f66498dbff4de3d290e8129e25cba2f7.jpg" style="border-width: 0px; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0px; float: left" id="media-546869" />Je souhaite saluer aujourd’hui la performance de ce jeune judoka français de tout juste 18 ans médaillé d’or à Rio de Janeiro.<br /> <br /> Il est vrai que dans ma famille le judo tient une grande place, 4 de mes enfants sur 5 le pratiquant à haut niveau au sein de leur club Force 15, dont je salue les performances. Ces derniers sont d’autant plus fiers qu’ils l’ont rencontré lors de compétitions à Paris, même s’ils ne pratiquent pas dans la même catégorie.<br /> <br /> Un tel résultat est à l’honneur de la France et je voudrais dire combien le sport est pour nos jeunes aujourd’hui encore plus qu’hier un gage d’équilibre et de lien social.<br /> <br /> Nous transmettons donc nos sincères félicitations familiales à <b>Teddy RINER</b> pour tous les efforts, sacrifices et exigences qu’il a dû accepter et supporter pour arriver ainsi à la 1ère marche du podium.<br /> <br /> Nous lui souhaitons plein d’autres succès et notamment à l’occasion des JO de 2008.<br /> <br /> Mais, même champion olympique, pour autant sera-t-il demain un bon ministre ?<br /> <br /> Bravo aussi à Stéphanie POSSAMAI pour sa médaille de bronze.<br /> <br /> Et à tous les autres participants, car comme disait le Baron de Coubertin : « L’important, c’est participer. ».<br /> <br /> Dominique BAUD<br /> Conseiller de Paris</p>