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Houdaer
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Parti un 2 août
tag:houdaer.hautetfort.com,2023-08-02:6455136
2023-08-02T19:20:08+02:00
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Bad jobs are good jobs when the writing is good. Raymond...
<p style="text-align: left;"><a href="http://houdaer.hautetfort.com/media/00/02/170099740.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-6466154" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://houdaer.hautetfort.com/media/00/02/1009372441.jpg" alt="8858026_orig.jpg" /></a></p><div class="xdj266r x11i5rnm xat24cr x1mh8g0r x1vvkbs x126k92a"><div dir="auto" style="text-align: justify;"><em><span style="font-size: 14pt; font-family: georgia, palatino, serif;">Bad jobs are good jobs when the writing is good.</span></em></div><div dir="auto" style="text-align: justify;"> </div><div dir="auto" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; font-family: georgia, palatino, serif;">Raymond Carver</span><em><span style="font-size: 14pt; font-family: georgia, palatino, serif;"> </span></em></div></div><div class="x11i5rnm xat24cr x1mh8g0r x1vvkbs xtlvy1s x126k92a"><div dir="auto"> </div></div>
Xavier JASSU
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Joie chrétienne ?
tag:lapinos.hautetfort.com,2021-05-03:6313625
2021-05-03T16:54:00+02:00
2021-05-03T16:54:00+02:00
Peut-on parler de "joie chrétienne" ? Y a-t-il quelque chose de réjouissant...
<p style="text-align: justify;">Peut-on parler de "joie chrétienne" ? Y a-t-il quelque chose de réjouissant à se savoir dans la Vérité, tandis <img id="media-6255493" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://lapinos.hautetfort.com/media/01/01/1183566359.jpg" alt="joie,chrétien,job,mélancolie,albert dürer" />que les autres cheminent dans les Ténèbres de l'ignorance ?</p><p style="text-align: justify;">La charité empêche ici de se réjouir de savoir autrui dans les Ténèbres, y compris quand il s'y obstine suivant une pente humaine.</p><p style="text-align: justify;">La plainte du prophète Job adressée à Dieu fait écho à cette question un peu théorique. Loin de se réjouir ou d'être satisfait de son sort, Job envierait plutôt les païens et leurs dieux souvent généreux, pourvoyeurs de dons.</p><p style="text-align: justify;">Sans l'assistance de l'Esprit saint, la Vérité demeure comme un petit trou de lumière au bout d'un tunnel, y compris quand on est chrétien. L'effort de l'Apôtre pour faire comprendre à ses disciples pourquoi seule la Foi sauve, à l'exclusion des oeuvres, n'est ni un mince ni un vain effort ; ce n'est pas un effort caduc non plus, si l'on se fie aux âneries proférées parfois par de soi-disant "chrétiens".</p><p style="text-align: justify;">Un païen au cours de son existence terrestre connaît une certaine quantité de jouissances physiques et une certaine quantité de frustrations physiques dont l'équilibre approximatif et précaire représente à peu près ce que l'on appelle "bonheur".</p><p style="text-align: justify;">Le bonheur et la joie de vivre des chrétiens ne sont pas si différents du bonheur et de la joie de vivre terrestres des païens, dont la pierre angulaire décelée par leur philosophe (Epicure) est la modération. Pour la même raison que l'Apôtre recommande d'accomplir des oeuvres sur cette terre, il est recommandable de cultiver la vertu comme font les païens ou les athées ordinairement, s'efforçant d'être ainsi en bonne intelligence avec la Nature.</p><p style="text-align: justify;">- Comme je l'ai déjà écrit ici : <strong>il n'y a aucune raison de voir dans l'aliénation mentale et les délires hystériques qui les accompagnent autre chose que le vice. </strong>Les chefs des communautés chrétiennes, à l'instar de Paul, ne devraient pas permettre à tel alcoolique ou tel illuminé de se proclamer "chrétien" ; encore moins soustraire aux autorités civiles des criminels ou délinquants, ce qui revient à préférer la gangrène à l'hôpital.</p><p style="text-align: justify;"><strong>Quelques mots sur la mélancolie, par lesquels j'aurais dû commencer.</strong> En effet, aussi heureux soit-il, l'athée n'échappe pas à la mélancolie, "humeur" que le peintre érudit Albert Dürer a figurée sous les traits de Satan, ange déchu, entouré d'objets symboliques. De la mélancolie on peut dire qu'elle est le propre de l'homme -les plus belles oeuvres d'art ont toujours un caractère mélancolique, parfois imperceptible au commun des mortels qui préfère la musique à des arts moins légers. La mort a pour effet de conférer aux plus belles oeuvres et aux plus grandes jouissances humaines une légère amertume.</p><p style="text-align: justify;">Le chrétien, lui, n'est pas condamné à la mélancolie, ni sous la forme aristocratique de l'art, ni sous celle, vulgaire et entraînant la déchéance, de l'alcoolisme.</p>
herisson
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Job d'été , elle adore . . .
tag:deliredumonde.hautetfort.com,2018-08-18:6069325
2018-08-18T23:55:00+02:00
2018-08-18T23:55:00+02:00
<p style="text-align: center;"><img id="media-5847113" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://deliredumonde.hautetfort.com/media/02/02/2785083763.jpg" alt="monde,france,été,job,humour,brigitte macron,politique,fake,blague,foto,image,vendeuse,glace,photo,fake,plage,churros,beignets,glace plage,commerce" /></p>
Annabel Andre Laurent
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Train BtoB my Job.
tag:annabelandrelaurent.hautetfort.com,2018-05-11:6050669
2018-05-11T14:04:16+02:00
2018-05-11T14:04:16+02:00
Inauguration du # trainBtoBemyjob , les entreprises du secteur...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;">Inauguration du <a class="_58cn" href="https://www.facebook.com/hashtag/trainbtobemyjob?source=feed_text" data-ft="{"tn":"*N","type":104}"><span class="_5afx"><span class="_58cl _5afz">#</span><span class="_58cm">trainBtoBemyjob</span></span></a>, les entreprises du secteur de gros recrutent chaque année 90 000 personnes, 95% en CDI ! Le train une manière orginiale pour découvrir les métiers du commerce de gros et international : 100 postes à pourvoir dès aujourd'hui !</span></p><p style="text-align: center;"><a href="http://annabelandrelaurent.hautetfort.com/media/02/02/1245823361.jpg" target="_blank" rel="noopener noreferrer"><img id="media-5813280" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://annabelandrelaurent.hautetfort.com/media/02/02/188805822.jpg" alt="btb.jpg" /></a></p>
Christian COTTET-EMARD
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Carnet / Des rentrées à dormir debout, de la Tour rouge, des micro-sommeils et de la tentation de Venise
tag:cottetemard.hautetfort.com,2017-09-02:5976024
2017-09-02T01:48:00+02:00
2017-09-02T01:48:00+02:00
Je ne suis personnellement plus concerné par toute forme de rentrée mais je...
<p class="p1" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Je ne suis personnellement plus concerné par toute forme de rentrée mais je dois dire que ce mot me rappelle de très mauvais moments de ma vie.</span></p><p class="p1" style="text-align: justify;"><span class="s1" style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">J’ai un souvenir cuisant de ma première rentrée qui sentait le pipi du hall et du couloir de l’école maternelle, ce qui m’a tout de suite, et pour le restant de mes jours, conduit à associer toute forme de vie en collectivité à l’odeur des latrines.</span></p><p class="p1" style="text-align: justify;"><span class="s1" style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Le cauchemar de la rentrée, c’est aussi le travail. Les dernières années de mon passage dans la presse, mes retours de vacances me jetaient en pilote automatique dans l’agence du quotidien où je travaillais. De mon appartement de l’époque à ce bureau de radotage, je n’avais qu’un grand parc à traverser. Sa large allée centrale bien droite et bien bordée des deux côtés me permettait de marcher les yeux fermés, ce qui me donnait l’impression de gagner encore quelques minutes d’un ersatz de sommeil.</span></p><p><img id="media-5680590" style="margin: 0.7em auto; display: block;" title="" src="http://cottetemard.hautetfort.com/media/00/02/2258596380.jpg" alt="rentrée scolaire,rentrée professionnelle,classe de maternelle,école maternelle,travail,emploi,job,boulot,turbin,parc,tour rouge,giorgio de chirico,peinture métaphysique,blog littéraire de christian cottet-emard,sommeil,micro-sommeil,évanouissement,magnétophone sony,médecin,diagnostic,venise,italie,fâcheux,emmerdeurs,bonne santé,christian cottet-emard,note,souvenir,billets d'humeur,chroniques,voyage,rêves,rêves diurnes,rêves nocturnes" /></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: 10pt;"><em><span style="font-family: 'times new roman', times, serif;">La Tour rouge, <a href="http://www.ina.fr/video/CAA7500823001">Giorgio de Chirico</a></span></em></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">La nuit, je rêvais que j’arpentais d’étranges paysages déserts, hiératiques, et je découvris un jour que l’un d’eux n’était autre, à quelques variantes près, que la Tour rouge du peintre <a href="https://www.google.fr/search?q=giorgio+de+chirico&rlz=1C5CHFA_enFR755FR755&source=lnms&tbm=isch&sa=X&ved=0ahUKEwjSqZzlmYXWAhVNalAKHSH2B_oQ_AUICigB&biw=1236&bih=628">Giorgio de Chirico</a>.</span></p><p class="p1" style="text-align: justify;"><span class="s1" style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Durant cette période, il m’arrivait à n’importe quel moment de la journée d’être saisi de micro-sommeils qui passaient la plupart du temps inaperçus à l’exception de ce jour où l’un de ces évanouissements d’à peine deux ou trois secondes se produisit face à un notable que j’interviewais. Ma tête s’abaissa lourdement, pas loin de ma tasse de café et de mon petit magnétophone Sony qui était le seul encore en état d’écouter le monsieur.</span></p><p><img id="media-5680591" style="margin: 0.7em auto; display: block;" title="" src="http://cottetemard.hautetfort.com/media/01/01/3300140775.jpg" alt="rentrée scolaire,rentrée professionnelle,classe de maternelle,école maternelle,travail,emploi,job,boulot,turbin,parc,tour rouge,giorgio de chirico,peinture métaphysique,blog littéraire de christian cottet-emard,sommeil,micro-sommeil,évanouissement,magnétophone sony,médecin,diagnostic,venise,italie,fâcheux,emmerdeurs,bonne santé,christian cottet-emard,note,souvenir,billets d'humeur,chroniques,voyage,rêves,rêves diurnes,rêves nocturnes" /></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: 10pt;"><em><span style="font-family: 'times new roman', times, serif;">Venise, juin 2003</span></em></span></p><p class="p1" style="text-align: justify;"><span class="s1" style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Le plus étonnant de ces micro-sommeils était que des fragments des rêves de la nuit parvenaient parfois à s’y faufiler, notamment des images de mes voyages à Venise où je me promenais souvent à cette époque et où la tentation de retourner sans cesse me hantait. </span></p><p class="p1" style="text-align: justify;"><span class="s1" style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Les micro-sommeils traversés de peintures métaphysiques et de paysages vénitiens survenant bientôt au contact de personnes un peu plus nombreuses, j’en parlai à mon médecin, une jeune femme au diagnostic réputé excellent. <em>Vous êtes en parfaite santé,</em> me dit-elle, <em>mais votre problème est que vous voyez trop d’emmerdeurs et de fâcheux.</em></span></p><p class="p1"> </p><p><a title="WebAnalytics" href="http://www.xiti.com/xiti.asp?s=563914" target="_top"><script type="text/javascript">// <![CDATA[Xt_param = 's=563914&p=page_ du_ jour';try {Xt_r = top.document.referrer;}catch(e) {Xt_r = document.referrer; }Xt_h = new Date();Xt_i = '<img width="39" height="25" border="0" alt="" ';Xt_i += 'src="http://logv4.xiti.com/hit.xiti?'+Xt_param;Xt_i += '&hl='+Xt_h.getHours()+'x'+Xt_h.getMinutes()+'x'+Xt_h.getSeconds();if(parseFloat(navigator.appVersion)>=4){Xt_s=screen;Xt_i+='&r='+Xt_s.width+'x'+Xt_s.height+'x'+Xt_s.pixelDepth+'x'+Xt_s.colorDepth;}document.write(Xt_i+'&ref='+Xt_r.replace(/[<>"]/g, '').replace(/&/g, '$')+'" title="Internet Audience">');// ]]></script><noscript>Mesure d'audience ROI statistique webanalytics par <img width="39" height="25" src="http://logv4.xiti.com/hit.xiti?s=563914&p=page_du_jour" alt="WebAnalytics" /></noscript></a></p>
Jean-Marie Thévoz
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Job 1. « Qu’est-ce que j’ai fait au bon Dieu pour mériter ça ? »
tag:clamans.hautetfort.com,2015-09-03:5679579
2015-09-03T16:44:00+02:00
2015-09-03T16:44:00+02:00
Job 1 30.8.2015 « Qu’est-ce que j’ai fait au bon Dieu pour mériter ça...
<p>Job 1<br />30.8.2015<br /><br />« Qu’est-ce que j’ai fait au bon Dieu pour mériter ça ? »<br />Job 1 : 1-12 Jean 9 : 1-7<br /><br />Télécharger le texte : <a id="media-5146935" href="http://clamans.hautetfort.com/media/00/01/890925200.pdf">P-2015-08-30.pdf</a><br /><br />Chères paroissiennes, chers paroissiens, <br />« Qu’est-ce que j’ai fait au bon Dieu pour mériter ça ? »<br />C’est une phrase qu’on entend lorsque des personnes sont brusquement plongées dans le malheur, quand elles sont dépassées par ce qui leur arrive. Ces mois de juillet et août j’ai pris du temps pour faire des visites, d’une clinique à un hôpital, d’un EMS à une Unité de soins de réhabilitation. En effet, plusieurs de nos fidèles paroissiens ont été affectés dans leur santé, avec pour les uns un retour en santé et à la maison et pour d’autres des séquelles : un départ en EMS ou un suivi en soins palliatifs. <br />Et chaque fois vient de question du « pourquoi ? » Et chacun peut se poser la question — dans ces situations — « Mais qu’est-ce que j’ai fait au bon Dieu pour mériter cela ? »<br />Il y a deux faces à cette question : la question du soi. En quoi suis-je complice ou responsable de ce qui m’arrive ? Et la question de Dieu : Que fait Dieu dans tout ça ? Où est-il ?<br />A. Prenons d’abord la question de soi. Qu’est-ce que j’ai fait pour mériter cela ? C’est une question inévitable, utile un moment si on veut prendre des mesures pour ne pas répéter la même erreur, si y en a une. Mais en même temps c’est une question piège, parce que tout n’arrive pas par notre faute, par nos erreurs, par notre responsabilité. Il y a également dans cette question une touche de culpabilité. C’est le propre de l’être humain de retourner contre soi ce qui arrive. A-t-on mérité ce qui nous arrive ? La réponse est ambivalente : on a toujours quelque chose à se reprocher, parce que personne n’est irréprochable. Mais en même temps, ce qui nous arrive n’est pas du tout en proportion de ce qu’on a fait. Il est donc nécessaire de dire : « Ça suffit ! Stop ! » à cette culpabilité. <br />C’est ce que Jésus dit à ses disciples lorsqu’ils lui demandent qui a péché pour que cet homme soit né aveugle. Stop, ce n’est ni lui ni ses parents. La maladie n’est pas un châtiment, elle arrive, point. <br />B. Quand on a fini de s’en prendre à soi, on s’en prend à Dieu : « Qu’est-ce que j’ai fait au bon Dieu ? » C’est l’autre cause possible lorsqu’on est face a l’infortune. (Je distingue l’injustice — qui est un malheur créé par les humains — de l’infortune — qui est un malheur qui vient de la nature et du hasard.)<br />Face à une infortune on peut crier contre Dieu ! Pourquoi Dieu a-t-il permis cela ? Je n’ai pas mérité cela ! C’est le cri de Job sur qui le malheur s’abat. Il n’y a pas de problème à crier contre Dieu— les Psaumes sont remplis de ses cris. Dieu est assez grand et assez fort pour recevoir et supporter tous nos cris, et les comprendre. <br />Le problème est de savoir si le cri est adressé à la bonne personne. Ou pour le dire autrement, si Dieu est bien à l’image que nous en faisons. Dans le malheur — mais peut être en tout temps — nous imaginons que Dieu est là pour nous protéger, pour ôter les pierres sur notre chemin, pour nous éviter les maladies et les malheurs. <br />C’est l’image exacte qu’a le Satan, l’accusateur de l’histoire de Job. « Si Job t’est fidèle, est-ce gratuitement ? Ne le protèges-tu pas de tous côtés, comme par une clôture, lui, sa famille et ses biens ? » (Job 1:9-10a).<br />Le Satan pense que Job vit dans un enclos bien protégé. Nous aimons à penser que Dieu veille sur nous et sur nos biens et qu’il maintient une clôture entre le monde et nous pour qu’il ne nous arrive rien. Mais que se passe-t-il quand le malheur arrive ? Quand la clôture est brisée ? Quand Dieu n’assume pas la casco-totale à laquelle nous avions cru souscrire ? Si nous avons de Dieu l’image d’un assureur— qui protège celui qui paye ses primes — alors nous plongeons et nous le perdons au premier malheur. C’est bien la difficulté du Dieu Providence, vu comme un Dieu assurance. <br />C’est vrai que l’historiographie du peuple Israël dans l’Ancien Testament nous est présentée sous cet angle. Lorsque le peuple obéit aux commandements, le pays est prospère et obtient des victoires. Mais lorsqu’il désobéit, alors le pays est envahi, d’abord par les Assyriens puis par les Babyloniens. C’est aussi ce que croient les pharisiens. Et c’est pourquoi Jésus a tellement d’affrontements avec les pharisiens. <br />Jésus vient changer l’image de Dieu. Il vient renverser, abolir l’image du Dieu assurance, l’image d’un Dieu rétributeur. <br />Jésus parle d’un Dieu qui fait lever son soleil sur les bons comme sur les méchants (Mt 5:45), d’un Dieu qui paye de la même façon les <a href="http://clamans.hautetfort.com/archive/2006/09/26/a-nos-manques-dieu-repond-par-l-abondance-de-ses-dons.html">ouvriers de la</a> première et de la <a href="http://clamans.hautetfort.com/archive/2006/09/26/a-nos-manques-dieu-repond-par-l-abondance-de-ses-dons.html">onzième heure</a> (Mt 20:1-16). Il accueille le péager et la prostituée comme le pharisien ou le centurion romain. <br />Jésus vient lui-même comme la nouvelle image de Dieu — déjà présente dans certaines pages de l’Ancien Testament — comme Emmanuel, Dieu avec nous. Le changement d’image est de passer d’un Dieu contre l’être humain à un Dieu avec l’être humain, un Dieu à nos côtés dans l’épreuve et le malheur. Une position que Jésus a endossée jusqu’à la mort, une mort pareille à la nôtre. Jésus abandonne l’image d’un Dieu qui régente l’univers et la nature, pour un Dieu qui prend place à nos côtés. <br />Cette position est une immense remise en question, pour les pharisiens comme pour nous aujourd’hui. Pouvons-nous nous passer de l’image d’un Dieu Providence ? Un Dieu qui veille sur nos biens, voir qui favorise notre succès, cela peut-être, même sûrement. Mais pouvons-nous renoncer à un Dieu qui veille sur notre santé, qui garantit notre vie, notre survie terrestre ? Où est-ce que Dieu agit ? Où est-il en contact avec nous ?<br />Lorsque le Satan met Dieu au défi d’ouvrir la clôture, Dieu l’y autorise, mais place une limite. Il lui dit : « Tu peux prendre tout ce qui est à lui, mais ne touche pas à lui ! » (Job 1:12).<br />Il y a quelque chose en nous que Dieu protège, malgré toutes nos pertes. Il y a un noyau, une place, un centre en nous — notre être essentiel — qui reste intouchable quoi qu’il arrive. On pourrait le comparer à l’abri anti-atomique de nos maisons. Si tout est détruit, ce qui sera dans l’abri sera sauvegardé. <br />Cela pose de questions, avec lesquels je vous laisserai. 1) La première question est celle de notre préparation. Comment prenons-nous soin de notre être intérieur pour qu’il soit le plus riche possible au moment où tout le reste disparaîtra ? En image : que mettons-nous à l’abri dans notre abri anti atomique ? <br />2) La deuxième question est : Quelle est l’espérance que nous plaçons en Dieu ? Puisqu’il n’est pas une assurance-casco contre les événements de la vie. Où est notre espérance ? Je crois que la réponse est dans la réponse à cette autre question sur laquelle chacun pourra méditer : « Qu’est-ce que Jésus avait en lui, qui lui a permis d’aller à la croix sans se dérober ? »<br />Amen</p><p>© Jean-Marie Thévoz, 2015<br /></p>
Zébra
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Le Strip de Lola
tag:fanzine.hautetfort.com,2015-07-10:5654943
2015-07-10T19:58:00+02:00
2015-07-10T19:58:00+02:00
Le strip hebdo de Lola ( par Aurélie Dekeyser )
<p style="text-align: center;"><strong style="text-align: justify;">Le strip hebdo de Lola (</strong><strong><span style="text-decoration: underline;"><a title="Book Aurélie Dekeyser" href="http://aurelie-dekeyser.ultra-book.com/" target="_blank"><span style="color: #000000; text-decoration: underline;">par Aurélie Dekeyser</span></a>)</span></strong></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-5098068" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://fanzine.hautetfort.com/media/01/01/140325206.jpg" alt="webzine,bd,gratuit,zébra,fanzine,bande-dessinée,strip,lola,aurélie dekeyser,job,été,jeffrey,poulet,comic,strip,coq" /></p>
Zébra
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Boring Job
tag:fanzine.hautetfort.com,2015-03-21:5587839
2015-03-21T18:00:00+01:00
2015-03-21T18:00:00+01:00
Retrouvez chaque semaine les dessins de Michel Soucy dans l'hebdo BD...
<p style="text-align: center;"><span style="color: #000000;"><em>Retrouvez chaque semaine les dessins de Michel Soucy dans l'hebdo BD Zébra.</em></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000;"><img id="media-4978592" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://fanzine.hautetfort.com/media/01/00/278850210.jpeg" alt="webzine,bd,gratuit,fanzine,zébra,bande-dessinée,dessin,michel soucy,job" /></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000;"><em><strong>par <span style="text-decoration: underline;"><a title="Blog Michel Soucy" href="http://soucymichel.com/" target="_blank"><span style="color: #000000; text-decoration: underline;">Michel Soucy</span></a></span></strong></em></span></p>
stephanedugast
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VOYAGE : UN JOB DE RÊVE
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2014-05-29T06:00:00+02:00
2014-05-29T06:00:00+02:00
Les voyages vous passionnent ? Vous souhaitez tailler la...
<p style="text-align: center;"> <img id="media-4574366" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://stephanedugast.hautetfort.com/media/02/00/2910433132.jpg" alt="expedia pioneer,voyage,concours,job,rêve" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;"><strong>Les voyages vous passionnent ? Vous souhaitez tailler la route ? Vous cherchez un job de rêve ? Le projet intitulé <em>Expedia Pioneer</em> est fait pour vous…</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">À la clef pour le lauréat ? La chance de sillonner les routes de France le temps d’une année à la découverte du patrimoine culturel, de la richesse gastronomique, des trésors cachés de nos régions et à la rencontre de personnes passionnées…</span></p><p><iframe width="400" height="225" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" src="http://player.vimeo.com/video/95766666" webkitallowfullscreen="" mozallowfullscreen="" allowfullscreen=""></iframe></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">«<em>Un job de rêve !</em>», assure ses promoteurs. Car, le candidat sélectionné se verra proposer un contrat de 12 mois avec une indemnisation de 115 000 € environ.<br /><br />En contrepartie, le lauréat devra voyager en France et faire partager ses découvertes - en vidéo, en photos et via des articles - sur le site <a href="http://blogs-de-voyage.fr/" target="_blank">Blogs de Voyage</a> et sur les réseaux sociaux.<br /></span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4574374" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://stephanedugast.hautetfort.com/media/02/02/3573711480.jpg" alt="expedia pioneer,voyage,concours,job,rêve" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;"> </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: x-small;">› EN SAVOIR +<br /></span><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Pour participer à la sélection, toutes les modalités sont expliquées sur <a href="http://pioneer.expedia.fr/" target="_blank">Expedia Pioneer</a></span></p><p style="text-align: justify;"> </p>
herisson
http://deliredumonde.hautetfort.com/about.html
Les âges de la vie . . .
tag:deliredumonde.hautetfort.com,2014-02-23:5305909
2014-02-23T11:14:00+01:00
2014-02-23T11:14:00+01:00
« Tout âge porte ses fruits, il faut savoir les cueillir....
<p style="text-align: center;"><img id="media-4453119" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://deliredumonde.hautetfort.com/media/02/00/2301151019.jpg" alt="société.jpg" /></p><p style="text-align: center;"> </p><h1 class="western" style="text-align: center;"><span style="font-size: small; color: #ffffff;"><em>« </em><em>Tout âge porte ses fruits, il faut savoir les cueillir. »</em></span></h1><p><span style="color: #ffffff;"> </span></p><h2 class="western" style="text-align: center;"><span style="font-size: xx-small; color: #ffffff;"><em> de Raymond Radiguet</em></span></h2><p> </p><h1 class="citations-main"> </h1><p> </p><p> </p>
Christian COTTET-EMARD
http://cottetemard.hautetfort.com/about.html
Morale de la peur
tag:cottetemard.hautetfort.com,2013-12-18:5249992
2013-12-18T13:43:00+01:00
2013-12-18T13:43:00+01:00
(Du concept militaire de dissuasion appliqué aux rapports sociaux et au...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><strong>(Du concept militaire de dissuasion appliqué aux rapports sociaux et au monde du travail)</strong> </span><br /><br /><span style="font-size: small;"><img id="media-4370731" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://cottetemard.hautetfort.com/media/00/01/533524033.jpg" alt="blog littéraire de christian cottet-emard,travail,peine,job,boulot,turbin,syndicat,rapport de force,équilibre de la terreur,dissuasion,concept militaire de dissuasion,dissuasion nucléaire,front,guerre,affrontement,conflit,suicide,souffrance,violence,victime,oppression,harcèlement,souffrance au travail,michel cornaton,pourquoi nous travaillons,collection le croquant,harmattant, éditions l'harmattant,équilibre de la terreur,je te tiens tu me tiens par la barbichette" /></span><span style="font-size: small;">Il est évident que le nouveau champ de bataille est désormais le monde du travail. Pendant les années de prospérité, on avait affaire à une guerre de position (lutte des classes) et à des affrontements de masse (syndicats contre patrons). C’était le bon temps, l’époque bénie où un syndicat puissant pouvait « casser une boîte » du jour au lendemain, les années fastes où régnait l’équilibre de la terreur dans le rapport de force social, exactement comme dans la dissuasion nucléaire, seule garantie d’éviter la guerre ouverte en partant du principe que le premier qui tire est le second à mourir. C’est triste mais ça fonctionne. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Ce qui fonctionne encore aujourd’hui dans le domaine militaire (pour les grandes puissances occidentales tout au moins) ne marche hélas plus sur le nouveau théâtre d’opérations qu’est le monde du travail. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><strong>Solitude du travailleur au casse-pipe</strong><br /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">L’individu s’y retrouve seul sous le feu, avec de moins en moins de soutiens collectifs institutionnels et de moins en moins de solidarité individuelle car les syndicats sont hélas devenus des partenaires des dirigeants au lieu de rester des adversaires, aussi bien dans le privé que dans le public, et les collègues des concurrents qui n’ont plus qu’une idée en regardant tomber les autres, celle de ne pas tomber eux-mêmes. En gros, ce sont les assauts meurtriers et absurdes de la guerre de 14 transposés du champ de bataille au lieu de travail où l’on n’est plus que le flingueur et le flingué de quelqu’un, pour le plus grand profit de la classe dominante et les petits et précaires profits de ses kapos. J’appelle Kapos les petits grades de l’armée silencieuse et dévastatrices de ceux qui gèrent ce qu’on appelle sans complexe « la ressource humaine » comme on désigne les ressources minière, pétrolière, ressources destinées, ne l’oublions pas, à être consumées. Dans son deuxième sens, le verbe consumer signifie brûler, mais dans son sens premier il signifie « épuiser complètement les forces, abattre, user » . </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><strong>Chair à canon, chair à profit</strong><br /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Être épuisé, abattu, usé, brûlé, c’est ce qui arrive aux soldats sur les champs de batailles mais c’est ce qui arrive aussi aujourd’hui aux salariés dans les entreprises et de plus en plus souvent dans le service public également. Sur les champs de bataille, il arrive que des soldats se suicident. Dans le monde du travail aussi. La notion de souffrance au travail est désormais reconnue, qu’on l’éprouve soi-même ou qu’on en soit témoin. L'un des résultats extrêmes de cette souffrance est le <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Syndrome_d%27%C3%A9puisement_professionnel">« burnout » (syndrome d'épuisement professionnel)</a>. Le terme renvoie bien sûr au fait d'être épuisé, abattu, littéralement « brûlé » . Le lieu de travail est devenu un lieu de souffrance et d’affrontement violent comme le champ de bataille. Je me rappelle d’un de mes petits supérieurs hiérarchiques qui appelaient les gens qui perdaient leur emploi dans la mêlée des « morts » . Et de fait, celles et ceux qui chutent deviennent effectivement, d’un point de vue social, des « morts » . </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><strong>Management par la peur</strong><br /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Sur les deux fronts, hier militaire, aujourd’hui professionnel, règne désormais en maîtresse absolue la peur, peur de perdre la vie physique, biologique à la guerre, peur de perdre la vie économique, sociale, au travail. Moi qui ne travaille plus depuis longtemps au sens strictement social et économique du terme, je vois la peur à l’œuvre partout où je vais effectuer mes démarches quotidiennes de consommateur de biens et de services. Des mairies qui deviennent des « maisons de l’angoisse » , des services publics où le personnel souffre en silence, coincé entre le management par la terreur de la petite hiérarchie et l’agressivité des usagers qui viennent se défouler sur les fonctionnaires de ce qu’ils vivent eux-mêmes chez leurs employeurs privés.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Comment trouver un espoir de sortir de cette spirale, de cet enfer dont les portes hélas toujours entrouvertes dans les périodes à peu près fastes ont carrément cédé lors du funeste virage économico-social des années 80 du vingtième siècle ?</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Pour l’instant, les réponses ne sont hélas que dans les livres et si je suis en cette situation bénéfique de retrait de la société qui me permet d’observer ce qui se passe sous mes yeux sans être aveuglé parce que trop impliqué, je ne suis pas plus malin que les autres pour proposer des solutions. Je lis peu d’ouvrages théoriques et d’essais sur les sujets de société car la société m’intéresse aussi peu que je ne l’intéresse et parce qu’à mon âge (54 ans), je préfère me concentrer sur ce qui a toujours primé pour moi, la poésie et la fiction romanesque.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><strong>Pourquoi nous travaillons</strong><br /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">L’année dernière, j’ai lu très attentivement le livre Pourquoi nous travaillons (Collection Le Croquant, l’Harmattant éditeur) de mon ami Michel Cornaton, fondateur de la revue Le Croquant à laquelle j’ai collaboré à peu près un quart de siècle. Je m’étais promis d’écrire un compte-rendu de cet ouvrage brillant et surtout passionnant mais je me suis vite aperçu que j’en étais incapable. La raison de ce blocage est simple, je suis probablement en état de <a href="http://www.souffrance-et-travail.com/infos-utiles/questions-importantes/nevrose-traumatique/">névrose de stress post-traumatique</a> après ce que j’ai vécu dans ma vie professionnelle, dans les quelques métiers que j’ai exercés, le pire s’étant produit lorsque je travaillais dans la presse quotidienne régionale.<img id="media-4370792" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://cottetemard.hautetfort.com/media/00/02/1090687047.jpg" alt="blog littéraire de christian cottet-emard,travail,peine,job,boulot,turbin,syndicat,rapport de force,équilibre de la terreur,dissuasion,concept militaire de dissuasion,dissuasion nucléaire,front,guerre,affrontement,conflit,suicide,souffrance,violence,victime,oppression,harcèlement,souffrance au travail,michel cornaton,pourquoi nous travaillons,collection le croquant,harmattant,éditions l'harmattant,je te tiens tu me tiens par la barbichette" /> </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Mon expérience désastreuse du monde du travail dès l’instant où j’y suis entré ne me permet pas de parler sereinement de ce livre dont on trouvera le <a href="http://www.editions-harmattan.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=livre&no=38188">résumé ici.</a> J’en recommande la lecture tout en n’adhérant pas au très relatif optimisme réformiste de Michel Cornaton, notamment lorsqu’il écrit : « Dans l’immédiat, il nous faut revoir nos idées sur l’entreprise ; l’époque où elle faisait figure d’ennemie de classe est révolue, celle où elle était une zone de non droit aussi. » </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><strong></strong>Tout, dans mon vécu professionnel passé et dans le vécu présent de toutes les personnes que je connais de près ou de loin, à quelque niveau de compétence que ce soit, me prouve le contraire. À mon très humble avis qui n’est ni celui d’un intellectuel, ni celui d’un universitaire ni celui d’un détenteur d’une expertise particulière en ce domaine mais celui de quelqu’un qui a connu comme presque tout le monde la désespérante expérience du travail contraint, je pense que seul un retour à un rapport de force équilibré sinon équitable entre travailleur et employeurs (publics ou privés) peut ramener une situation acceptable dans un monde du travail où l’on sait très bien que l’enjeu n’est pas de s’aimer mais tout simplement de ne pas se détruire. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Autrement dit, le concept militaire de dissuasion appliqué au champ économique et social qui peut garantir une forme de paix, une paix triste, mais la paix quand même. Ce que j’appelais « une Morale de la peur » , titre que j’avais choisi quand j’avais une vingtaine d’année pour un essai que je m’étais mis en tête de perdre du temps à écrire sur ce sujet du travail mais dont j’ai eu la sagesse d’abandonner le vain projet au vu de ce qui se passe aujourd’hui sous mon regard las.</span></p>
nauher
http://off-shore.hautetfort.com/about.html
Job (substantif)
tag:off-shore.hautetfort.com,2013-06-05:5085819
2013-06-05T07:17:00+02:00
2013-06-05T07:17:00+02:00
Dans la série des anglicismes qui ne devraient servir à rien mais dont...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: large; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Dans la série des anglicismes qui ne devraient servir à rien mais dont l'usage induit une inflexion de l'esprit français vers les valeurs anglo-saxonnes, il y a <em>job</em>.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: large; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Nous sommes déjà passés de l'époque du métier à celui de l'emploi, ce qui, pour beaucoup, signifie un rabais qualitatif du travail et pour la plupart une disponibilité, une flexibilité, une employabilité dont le nouvel esprit du capitalisme (comme l'ont si bien décrit Boltanski et Chiapello) voudrait nous faire croire qu'elles sont une chance, alors qu'elles sont les révélateurs d'une incertitude chronique et stratégique (du point de vue des dirigeants). Et ce n'est pas la dernière loi socialo-libérale sur la "sécurisation de l'emploi" (justement) qui va arranger la situation. Le désastre est tellement flagrant et la complicité des <em>gouvernants de progrès</em> tellement évidente qu'on se doit de rappeler tout ce qu'un Jean-Claude Michéa dénonce d'une gauche qui fait pire, d'une certaine manière, que la droite.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: large; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Mais revenons à notre <em>job</em>.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: large; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Pour les gens de ma génération, l'usage de ce mot était circonscrite : il renvoyait quasi exclusivement à cette période estivale pendant laquelle on cherchait un boulot pour financer ses études ou partir en septembre avant que la fac ne reprenne son train-train en octobre. Le <em>job</em> avait par excellence cette connotation joyeuse parce que temporaire d'un travail qui ne pouvait pas nous définir, par lequel nous étions concernés pour autant que le plaisir ou l'indépendance relative était au bout. Jusqu'à un certain point (je pense à ceux qui faisaient des colonies), le <em>job</em> servait à vous fabriquer des souvenirs.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: large; font-family: arial, helvetica, sans-serif;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Avec le temps, le </span><em style="font-family: arial, helvetica, sans-serif;">job</em><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif;"> s'est installé dans le quotidien, dans la continuité annuelle d'une société en crise, dans la perpétuation des incertitudes sociales et économiques. Ce qui tenait du furtif et du sommaire sans crispation s'est transformé en une recherche répétitive et flottante pour échapper la misère et à la précarité. Le </span><em style="font-family: arial, helvetica, sans-serif;">job</em><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif;"> d'été n'est plus, ou si peu. À la place : trouver un </span><em><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif;">job. </span></em>Un <em>job</em> à l'année, s'entend, selon des contrats précaires, des renouvellements aléatoires, et des conditions défavorables. Par le biais de toutes ses connotations, le mot <em>job</em> a signifié que le monde du travail français avait changé, que les heures de gloire de l'ouvrier et de l'employé lambda, dans ses revendications de reconnaissance légitimes, étaient passées.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: large; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Le <em>job</em>, c'est le managériat à l'américaine. C'est le triomphe symbolique de MacDo. C'est l'effacement de toute valeur humaine au profit de la comptabilité. Xavier ou Paul a trouvé un <em>job</em> : autant dire que ce sont des années de CDD et, même en cas de CDI, une plongée à la minute en cas de baisse d'activité. Le <em>job</em> cadre bien avec l'éternel jeunisme ambiant. Il va de pair avec le discours stratégique qui demande à ce que de votre énergie vous fassiez un plus pour l'entreprise. Et de presser le citron avant de le jeter.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: large;">Il a fallu attendre le tournant des années 2000 et même un peu au delà pour le mot franchisse une étape supplémentaire, celle de l'univers politique. L'an passé, Copé <em>l'ectoplasme</em> disait que pendant la campagne il avait fait le job (a minima semble-t-il). Ce jour, Valls <em>je-n'aime-que-moi</em> déclare qu' "</span><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: large;">il y a un président de la République François Hollande qui je l'espère est là pour longtemps. Il y a aussi un Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, qui fait bien son job." Laissons de côté ce que le propos porte d'implicite et d'ambition. Retenons simplement que la politique est un <em>job</em>, que la direction politique est un <em>job</em>, que l'orientation d'une nation est un <em>job</em>.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: large;"><em>Faire le job</em>... Il ne s'agit plus d'un travail. Cela n'équivaut pas à <em>faire son travail</em>. L'idée est tout autre. C'est le triomphe de la logique d'entreprise. Le <em>job</em> est indissociable du <em>business</em>. Il n'est pas étonnant que des personnalités aussi peu politiques que Copé ou Valls (mais les autres ne le sont pas plus) usent d'un tel vocabulaire. Le repli du politique sur les critères de l'économique, de la finance et des cadres comptables ne peut qu'aboutir à ce dépérissement. Ayrault fait (bien) son <em>job</em> ; il ne mène pas une politique. Et pour cause : il faudrait qu'il en ait une, qu'il ait le droit d'en avoir une, qu'il ait la volonté d'en affirmer une. Mais rien de tout cela ne peut désormais advenir.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: large;">Reste le <em>job</em>. C'est-à-dire la posture et l'instrumentalisation à peine cachées maintenant de la classe politique qui occupe la place ou le poste, en sicaire obéissant de la finance (l'ennemi par principe, comme dirait l'homme normal...). Pour le <em>job</em>, la compétence est moins importante que la stratégie, la valeur moins porteuse que le symbole (sans quoi Ayrault ne l'aurait pas décroché, le <em>job</em>). </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: large;">Dans le <em>job</em>, les ordre viennent d'ailleurs, la pression est extérieure, la raison invisible et le souci commun une petite brume qui se dissipe.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: large;">Et après <em>faire le job</em>, que nous reste-t-il à attendre (façon de parler évidemment, puisque nous n'attendons rien, en soi) ? <em>Do the job</em>. Une version anglaise intégrale ou le statu quo. Belle perspecive d'un langage politique niché entre l'euphémisme (le mot rigueur n'a pas de raison d'être) et le sabir minimum d'une mondialisation asséchante et destructrice.</span></p>
Prieto
http://www.chemindamourverslepere.com/about.html
Vendredi 10 mai 2013
tag:www.chemindamourverslepere.com,2013-05-10:5066598
2013-05-10T08:00:00+02:00
2013-05-10T08:00:00+02:00
Calendrier liturgique
<p style="text-align: center;"><span style="color: #008080; font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span style="color: #990000;"><strong><a title="calendrier liturgique mensuel" href="http://www.spiritualite-chretienne.com/au_fil_des_jours/calendrier_liturgique_2013_05.html" target="_blank"><span style="color: #008080;">Calendrier liturgique</span></a></strong></span></span></p>
Fernand Louis Olbec
http://lafaceclairedelanuit.hautetfort.com/about.html
ici, pas de pourquoi
tag:lafaceclairedelanuit.hautetfort.com,2013-04-20:4993261
2013-04-20T02:30:00+02:00
2013-04-20T02:30:00+02:00
12.00 « Ici ,il n’y a pas de...
<p><img id="media-4064931" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://lafaceclairedelanuit.hautetfort.com/media/02/01/2538118257.2.jpg" alt="les enfants,auswitchz,brazillac,job,souffrance,dieu,camus,la peste" /> </p><!--[if gte mso 9]><xml> <o:DocumentProperties> <o:Version>12.00</o:Version> </o:DocumentProperties></xml><![endif]--><p class="MsoNormal"> </p><p class="MsoNormal"><span style="mso-spacerun: yes;"> </span><span style="font-size: 18.0pt;">« <span style="color: #000000;">Ici ,il n’y a pas de pourquoi !»</span></span></p><p class="MsoNormal"> </p><p class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt;"><span style="font-size: medium; color: #000000;">« Il faut se séparer des juifs en bloc et <strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">surtout ne pas garder les petits</strong> » Brazillac condamné à mort pour intelligence avec l’ennemi a été fusillé au fort de Montrouge en 45. Epouser l’antisémitisme des nazis, c’est déjà très grave ; La France étant occupée, c’est de plus une trahison et une forme d’intelligence avec l’ennemi et c’est à ce titre qu’il a été jugé et fusillé.(la peine de mort fût abolie bien apres) Mais le « ne pas garder les petits », à lui seul , est effroyable .C’est ainsi que des milliers d’enfants ont été exterminés à Auschwitz « là où il n’y avait pas de pourquoi ». Hier ist hein warum.</span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-size: medium; color: #000000;">Job sur son fumier disait, pourquoi ? Et même pourquoi moi ? A Auschwitz, pas de pourquoi. Pas même de « pourquoi les enfants ? » </span></p><p class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt;"><span style="font-size: medium; color: #000000;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">L</strong>’évangile est plein de pourquoi posé par ses disciples devant les choix parfois étranges de Jésus et ses paroles anticonformistes, à contre courant de la pensée et de la religion officielle. En réponse Jésus pose aussi des pourquoi pour enseigner en guise de maïeutique à la Socrate. Mais le seul vrai pourquoi de l’Evangile, un pourquoi tragique face au silence de Dieu qui parait si loin, c’est celui du psaume 22 prié et crié par Jésus sur la croix.</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt;"><span style="font-size: medium; color: #000000;">« Mon Dieu, mon Dieu, <strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">pourquoi</strong> m’as-tu abandonné ?</span></p><p><span style="font-size: medium; color: #000000;"><img id="media-3981420" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://lafaceclairedelanuit.hautetfort.com/media/00/00/2555928979.jpg" alt="les enfants,auswitchz,brazillac,job,souffrance,dieu,camus,la peste" /></span></p><p class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt;"><span style="font-size: medium; color: #000000;">Mon Dieu, le jour j’appelle, point de réponse ».</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt;"><span style="font-size: medium; color: #000000;">Matthieu l’a transcris en araméen .Jésus aurait ainsi retrouvé sa langue maternelle pour crier son « pourquoi » vers le père : Eli,Eli lama sabachtani !</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt;"><span style="font-size: medium; color: #000000;">Au Golgotha, sur la colline, il y a eu donc ce <strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">pourquoi</strong> questionnant suivi il est vrai d’un grand cri de confiance.Ladislas Kijno a dénommé "pourquoi" un tableau impressionnant ou il a peint une sainte face couronnée d'épine,oeil et lévres tuméfiés sur toile froissée .Comme le christ de son tableau,Ladislas a fermé les yeux . "De sa chair", voit il Dieu comme l'espérait Job ? A t il maintenant une réponse à son pourquoi ?</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt;"><span style="font-size: medium; color: #000000;">« Père je remets mon esprit entre tes mains »</span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-size: medium; color: #000000;">Pour répondre à ce pourquoi, il y a eu des bibliothèques entières d’explication. Comment comprendre ce mystère de la rédemption ? Comment comprendre que le salut du genre humain se jouait dans ce pourquoi qui prolonge celui du serviteur souffrant dans le deuxième Isaïe ( ch. 53) et celui de Job.</span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-size: medium; color: #000000;">Je reviens à ce : « Pourquoi les petits » ? Dramatique, ce pourquoi là est tout bonnement tragique car sans retour. Job retrouvera des enfants mais il n’a jamais pu oublier les autres. Ceux qui ont perdu des enfants dans la shoah en ont eu d’autres eux aussi mais ce n’était pas les mêmes. « Impossible d’oublier les autres », dit Dostoïevski « même si avec les années, le chagrin se mêle à la joie…C’est ainsi dans le monde. Chaque âme est à la fois éprouvée et consolée » (1)</span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-size: medium; color: #000000;">Dans la peste qui ravage Oran, Camus met en scène le père Paneloux qui prêche et tente d’expliquer le mal, tandis que la plainte du vent s’engouffre sous les portes et occupe les silences pesants qui rythment le sermon. Dés qu’il touche à la mort des enfants, il sent le public lui échapper . S'il cherche à expliquer l’inexplicable,le public décroche et va jusqu'à mumurer, tousser,bouger les pieds .Alors le prédicateur se tait et laisse le sifflement du vent déchirer le silence puis il invite les gens à se mettre à genoux. « <em style="mso-bidi-font-style: normal;">Le temps de peste exige une religion de temps de peste, il est des moments ou la religion de tous les jours ne suffit plus. »</em></span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-size: medium; color: #000000;">Pierre Assouline dans son livre : Vies de Job (2), cite Jacques Ricœur dans une conférence en 85 à l’université de Lausanne: « <em style="mso-bidi-font-style: normal;">Pourquoi la mort des enfants ? Pourquoi tant de souffrance en excès ? » </em> : « <em style="mso-bidi-font-style: normal;">Leur souffrance est l’incarnation du mal superflu, du mal excédentaire, du mal qu’on ne peut décidément pas accepter et encore moins concevoir</em>. » Ricoeur ne met pas son auditoire à genoux comme le pére Paneloux dans la cathédrale d’Oran qu’emplit le hurlement du vent, mais se met à rêver et faire « <em style="mso-bidi-font-style: normal;">rêver d’une condition humaine débarrassée de la violence où serait enfin dévoilée l’énigme de la vraie souffrance ».</em></span></p><p class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt;"><span style="font-size: medium; color: #000000;"><em style="mso-bidi-font-style: normal;"> </em></span></p><p class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt;"><span style="font-size: medium; color: #000000;"><em style="mso-bidi-font-style: normal;"> « Si je crie à la violence, pas de réponse ;Si j’en appelle, point de jugement.</em></span></p><p class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt;"><span style="font-size: medium; color: #000000;"><em style="mso-bidi-font-style: normal;">Il m’a dépouillé de la gloire,il a ôté la couronne de ma tête ;</em></span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-size: medium; color: #000000;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"><em style="mso-bidi-font-style: normal;">Il déracine comme un arbuste mon espérance</em></strong><em style="mso-bidi-font-style: normal;">. Job ch. 19 /7 à 10</em></span></p><p class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt;"><span style="font-size: medium; color: #000000;"><em style="mso-bidi-font-style: normal;">Oh ! Je voudrais qu’on écrive <strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">mes paroles</strong>,Qu’elles soient gravées en une inscription,</em></span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-size: medium; color: #000000;"><em style="mso-bidi-font-style: normal;">Avec le ciseau de fer et le stylet,Sculptées dans le roc pour toujours Job ch. 19/23,24</em></span></p><p class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt;"><span style="font-size: medium; color: #000000;"><em style="mso-bidi-font-style: normal;"> </em><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"><em style="mso-bidi-font-style: normal;">Je sais, moi que mon Défenseur est vivant, que lui le dernier se lèvera sur la terre</em></strong></span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-size: medium; color: #000000;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"><em style="mso-bidi-font-style: normal;">Apres mon réveil, il me dressera prés de lui et, de ma chair, je verrai Dieu. »(3)</em></strong></span></p><p class="MsoNormal"> </p><p class="MsoNormal"><span style="font-size: medium; color: #000000;">(1) Makar ivanovitch</span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-size: medium; color: #000000;">(2) Vies de Job Gallimard 2011.</span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-size: medium; color: #000000;">(3) Job ch. 19/25</span></p><!--[if gte mso 9]><xml> <w:WordDocument> <w:View>Normal</w:View> <w:Zoom>0</w:Zoom> <w:TrackMoves/> <w:TrackFormatting/> <w:DoNotShowPropertyChanges/> <w:HyphenationZone>21</w:HyphenationZone> <w:PunctuationKerning/> <w:ValidateAgainstSchemas/> <w:SaveIfXMLInvalid>false</w:SaveIfXMLInvalid> <w:IgnoreMixedContent>false</w:IgnoreMixedContent> <w:AlwaysShowPlaceholderText>false</w:AlwaysShowPlaceholderText> <w:DoNotPromoteQF/> <w:LidThemeOther>FR</w:LidThemeOther> <w:LidThemeAsian>X-NONE</w:LidThemeAsian> <w:LidThemeComplexScript>X-NONE</w:LidThemeComplexScript> <w:Compatibility> <w:BreakWrappedTables/> <w:SnapToGridInCell/> <w:WrapTextWithPunct/> <w:UseAsianBreakRules/> 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Xavier JASSU
http://lapinos.hautetfort.com/about.html
Besoin d'amour
tag:lapinos.hautetfort.com,2013-04-01:5032673
2013-04-01T14:13:36+02:00
2013-04-01T14:13:36+02:00
La subversion de l'amour procède comme celle du christianisme. Le besoin...
<p style="text-align: justify;"><strong>La subversion de l'amour procède comme celle du christianisme. Le besoin d'amour est mis à la place de l'amour, comme le besoin de dieu est mis à la place de dieu. Dieu a-t-il besoin de l'homme ? Non. Tandis que la nature est difficilement concevable sans l'homme, quoi qu'en disent les adeptes du transformisme des espèces, hypothèse elle-même inconcevable en dehors du prisme humain.</strong></p><p style="text-align: justify;"><strong>Il est donc aussi difficile pour l'homme d'appréhender dieu qu'il lui est facile de faire la démonstration de la grande architecture du monde (666). C'est, en gros, le drame du prophète Job, que cette distance qui le sépare de son dieu - celle de la bêtise humaine -, tandis que les païens reçoivent tous les jours des témoignages de la présence du grand architecte auprès d'eux, "tutélaire" comme un père ou une mère pour un enfant. Même pour Jésus, dieu ne semble pas bouger le petit doigt, ce qui déclenche les sarcasmes des assassins Juifs et Romains, au nom de la loi.</strong></p><p style="text-align: justify;"><strong>L'homme a-t-il besoin de dieu ? Non. Les élites ne peuvent se passer d'un principe qui inspire le respect aux masses qu'elles gouvernent, mais l'homme n'a pas plus besoin de dieu qu'un animal requiert d'être domestiqué. Indiqué comme un besoin, dieu n'est que le principe conçu par les élites pour intimer à la masse le respect de ses possessions. Dans les régimes dits "laïcs", c'est la culture qui joue ce rôle. La culture pour les niais, l'argent pour ceux qui le sont un peu moins.</strong></p><p style="text-align: justify;"><strong>C'est ce qui explique l'absence de dieu, mais aussi de l'amour, dans un monde bourgeois ou capitaliste organisé en fonction des besoins ou de la nécessité. Pour ce qui est d'exclure dieu des arts et des lettres, c'est-à-dire de la culture, c'est d'abord le clergé catholique qui s'en est chargé. La technique de Pascal est exemplaire, mais elle est loin d'être le seul exemple. La technique de Pascal est typiquement cléricale, et Voltaire ne la caractérise pas ainsi suffisamment : elle consiste à expulser dieu de la conscience humaine au profit d'un principe d'organisation essentiel : le hasard. Dans l'ensemble, il faut dire que la méfiance atavique du Français vis-à-vis des mathématiciens et des mathématiques est bien fondée. Il faut s'en méfier autant que des femmes, car tous leurs raisonnements partent d'eux-mêmes.</strong></p><p style="text-align: justify;"><strong>Un monde sans amour est l'enfer. Si Shakespeare inspire parfois le respect, même à ceux qui n'y comprennent rien, c'est parce qu'il écrit au milieu de l'enfer, que les esprits faibles et les esprits manipulateurs s'entendent pour situer au-delà du moment présent. Pratiquement toute la religion ou la culture est faite pour ça : pour mettre l'enfer et la mort à distance. Ce qui dissout presque instantanément la niaise Ophélie, n'est pas le mépris ou le rejet de son fiancé, mais la conscience subite que le monde dans lequel elle vit ne connaît l'amour que sous la forme d'un subterfuge. Ophélie n'est pas, contrairement à ce qu'elle croit, la fille chérie de son père, mais un vulgaire appât ; pire qu'une putain, car la putain sait qu'elle est un appât, et que la société n'est qu'un bras de fer. La putain est animée par l'énergie du désespoir : la petite Ophélie raisonne comme un fromage à pâte molle.</strong></p><p style="text-align: justify;"><strong>Shakespeare est l'auteur d'une charge d'une violence inouïe contre la culture occidentale. Les papes sont à quatre pattes dans la boue, cherchant leurs lunettes. Les rois se tiennent la gorge à deux mains, pour tenter de retenir le sang qui s'en écoule. Le cinéma : le cinéma est un invention uniquement pour tenter de cautériser la plaie que Shakespeare a ouverte.</strong></p><p style="text-align: justify;"><strong>Ne laissons pas Shakespeare tenir sa position seul à la bataille d'Armagédon. Prenons la milice de Satan à revers.</strong></p>
Xavier JASSU
http://lapinos.hautetfort.com/about.html
Arcturus
tag:lapinos.hautetfort.com,2012-11-29:4906206
2012-11-29T15:02:59+01:00
2012-11-29T15:02:59+01:00
L'histoire de l'humanité s'achève à l'Occident, aussi Hamlet s'adresse-t-il...
<p style="text-align: justify;">L'histoire de l'humanité s'achève à l'Occident, aussi Hamlet s'adresse-t-il à l'Esprit, son père, en direction d'une région bien précise de la voûte étoilée, comprenant Cassiopée, le Bouvier, les Pléiades, non loin des grande et petite Ourses et de la queue du dragon. La mythologie chrétienne selon Shakespeare est reliée au ciel, comme celle des anciens.</p><p style="text-align: justify;">- Chacun sait que la naissance du Messie coïncide avec l'apparition d'une étoile, qui guida des savants <img id="media-3859811" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://lapinos.hautetfort.com/media/01/01/2191285292.jpg" alt="arcturus,hamlet,bouvier,shakespeare,job,saint paul,polonius,copernic,mazzaroth" />étrangers au peuple hébreu jusqu'à Bethléem, en Judée. L'avènement du Christ de la fin des temps est lié lui aussi à un astre. Celui-ci est, dans la prophétie chrétienne, le cavalier monté sur un cheval blanc, revêtu d'un manteau teint de sang, qui dans certains contes chrétiens populaires, vient sauver l'Eglise des saints et martyrs fidèles et justes des griffes d'une mauvaise reine. Cette représentation de l'Esprit divin et de sa parole comme un cavalier armé d'une épée (<em>"Je suis venu apporter le glaive."</em>, dit Jésus), n'a pas un sens moral ; la justice et la morale des hommes est, quant à elle, figurée par un cavalier noir néfaste. Les calamités de l'humanité, dit l'apocalypse, l'humanité s'y expose en s'éloignant de la vérité.</p><p style="text-align: justify;">De la bouche de ce cavalier, dont personne ne connaît le nom, si ce n'est lui-même, sort une épée pointue pour frapper les nations - les confondre, comme Hamlet confondit tous les protagonistes du royaume de Danemark.</p><p style="text-align: justify;">Avant que Polonius-Copernic ne brouille le ciel avec ses calculs de trajectoires, l'apparition d'une nouvelle étoile était un événement considérable dans la communauté des savants chrétiens. Telle la survenue de l'étoile "supernova", dite de Tycho Brahé, dans la constellation de Cassiopée, que l'astronome danois observa du château où Shakespeare a installé son propre conte, puisque les astres sont comme des dieux ou des messagers.</p><p style="text-align: justify;">La bible est émaillée de référence à l'astrologie - les prophètes en particulier. <em>"Est-ce toi, </em>demande dieu à Job<em>, qui fais lever les constellations (mazzaroth) en leur temps, qui conduit Arcturus et ses fils ? Connais-tu les lois du ciel ?"</em></p><p style="text-align: justify;"><em>"Il y a une gloire pour le soleil, et une autre pour la lune, et encore une autre pour les étoiles ; chaque étoile diffère en gloire d'une autre.", </em>précise saint Paul.</p><p style="text-align: justify;"><em></em>A celui qui gardera les oeuvres de dieu intactes, et vaincra, le cavalier blanc, agissant au nom de dieu, donnera "l'étoile du matin". <em>"Que celui qui a des oreilles entende ce que l'Esprit dit aux sept Eglises"</em>. La précision est ailleurs d'une ressemblance de l'étoile avec l'astre solaire, vénéré par les anciens Egyptiens. D'autres éléments convergent encore vers Arcturus, "chasseur à l'affût de l'ours", l'étoile la plus brillante du ciel boréal (encore appelée Alpha Boötis) ; on la trouve dans le prolongement du timon de la grande ourse (queue de la grande casserole).<img id="media-3859812" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://lapinos.hautetfort.com/media/02/01/3059372463.png" alt="arcturus,hamlet,bouvier,shakespeare,job,saint paul,polonius,copernic,mazzaroth" /></p><p style="text-align: justify;">Et ces événements se produiront, la tribulation des chrétiens fidèles prendra fin, quand l'espoir du salut aura été perdu, et que la plupart des hommes auront été séduits par les nations, puisant dans l'énergie solaire toute leur puissance et leurs miracles trompeurs.</p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-3859813" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lapinos.hautetfort.com/media/02/02/3984471754.jpg" alt="arcturus,hamlet,bouvier,shakespeare,job,saint paul,polonius,copernic,mazzaroth" /></p>
Fernand Louis Olbec
http://lafaceclairedelanuit.hautetfort.com/about.html
pourquoi ?
tag:lafaceclairedelanuit.hautetfort.com,2011-11-19:3789281
2011-11-19T02:42:00+01:00
2011-11-19T02:42:00+01:00
Pourquoi...
<p><img id="media-3209834" style="margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://lafaceclairedelanuit.hautetfort.com/media/01/02/718613176.3.jpg" alt="camps de concentratin,dachau,job,punition,dieu" /><span style="color: #000000; font-size: medium;">Pourquoi ? Why ?</span></p><p style="text-align: right;"><span style="color: #000000; font-size: medium;"><img id="media-3209838" style="margin: 0.7em 0px;" title="" src="http://lafaceclairedelanuit.hautetfort.com/media/02/02/3111926212.jpg" alt="camps de concentratin,dachau,job,punition,dieu" /> </span></p><p style="text-align: right;"><span style="color: #000000; font-family: Calibri; font-size: medium;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">Pourquoi</strong><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"> </strong><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">??? </strong> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="color: #000000; font-size: medium;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"></strong> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="color: #000000; font-size: medium;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: Calibri;"> </span></strong><span style="font-family: Calibri;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">Ici,</strong> il n’y a pas de <strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">pourquoi </strong>! « <strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"><em style="mso-bidi-font-style: normal;">Hier</em></strong><em style="mso-bidi-font-style: normal;"> ist kein warum</em> » <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>Si tu ne comprends<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>pas l’allemand, tu meurs dans le quart d’heure. Le <strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">pourquoi </strong>est proscrit. Demander à un <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>garde SS<span style="mso-spacerun: yes;"> </span> : <strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">pourquoi </strong><span style="mso-spacerun: yes;"> </span>les enfants, <span style="mso-spacerun: yes;"> </span><span style="mso-spacerun: yes;"> </span>c’est prendre<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>sans retard le<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>chemin de la chambre à gaz<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>car <strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">ici</strong> il n’y a pas de <strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">pourquoi </strong>et encore moins de <strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">pourquoi </strong><span style="mso-spacerun: yes;"> </span>moi <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>ou <strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">pourquoi</strong> les petits (1 ) ?</span></span></p><p><span style="color: #000000; font-size: medium;"> <span style="font-family: Calibri;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">Pourquoi </strong>?<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>Why ? Voila un mot anglais prononcé<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>par de jeunes afghans<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>dans le vent et la pluie alors<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>que<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>sur ordre de la<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>sous préfecture, une grue déchirait les<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>pauvres abris qu’ils s’étaient fabriqués dans la « jungle », sur le territoire du port autonome à Loon plage. Triste consolation<strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">, Ici</strong>, on peut encore<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>crier <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>Why, mais <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>le vent marin<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>emporte ces <strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">pourquoi </strong><span style="mso-spacerun: yes;"> </span>sans réponse qui <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>continuent <span style="mso-spacerun: yes;"> </span><span style="mso-spacerun: yes;"> </span>de <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>vivre <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>longtemps après <span style="mso-spacerun: yes;"> </span><span style="mso-spacerun: yes;"> </span>dans la tête et le cœur<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>des humanitaires. (1bis)</span></span></p><p><span style="color: #000000; font-size: medium;"> <span style="font-family: Calibri;">-Job<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>sur son fumier dans la plus grande déréliction pose la question radicale : « <strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"><em style="mso-bidi-font-style: normal;">Pourquoi</em></strong><em style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="mso-spacerun: yes;"> </span>ne suis-je pas mort dés le sein de ma mère ? A peine sorti du ventre, j’aurais expiré. <strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">Pourquoi </strong>deux genoux m’ont-ils accueilli, <strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">pourquoi</strong><span style="mso-spacerun: yes;"> </span>avais-je deux mamelles à téter ? Pourquoi Dieu donne t il la lumière à celui qui peine, et la vie aux ulcérés ? <strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">Pourquoi </strong>ce don de la vie à l’homme dont la<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>route se</em> <em style="mso-bidi-font-style: normal;">dérobe</em> ?(1ter) </span><span style="font-family: Calibri;">Eliphaz ,Bidad<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>et<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>Cofar, les « amis »<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>de Job vont discourir en vain pour disculper Dieu. Ils s’arrêtent<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>car<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>Job <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>continu avec <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>ses <strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">pourquoi</strong><span style="mso-spacerun: yes;"> ,</span> s’estime <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>puni <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>injustement et n’en démords pas. <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>Elihou , un jeune <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>intégriste (2) se met<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>alors en colère<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>contre Job qui se prend<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>pour plus juste que Dieu. Il prononce 4 discours sur la grandeur de Dieu, la Puissance du Juste, <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>Educateur des hommes et Seigneur des 4 saisons. Quatre <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>discours <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>décalés qui ne semblent pas convaincre Job. Finalement <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>Job <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>met la main sur sa bouche <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>et décide de se taire.</span></span></p><p><span style="color: #000000; font-size: medium;"> <span style="font-family: Calibri;">« <em style="mso-bidi-font-style: normal;">Quand il n’y a pas de réponse aux <strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">pourquoi,</strong> la sagesse se fait silence</em> ».(3)</span></span></p><p><span style="color: #000000; font-size: medium;"> <span style="font-family: Calibri;">Mais pour en<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>revenir aux camps de la mort,"<em> c’est le silence de Dieu lui-même<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>qui devenait insupportable</em> <em style="mso-bidi-font-style: normal;">car les innocents<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>ne reviennent pas à la vie .Ils restent cendres</em> »(4)" <em>Insupportable, le silence de Dieu face à la</em> <em>mort des enfants</em>. <em style="mso-bidi-font-style: normal;">Certaines nuits, Dieu se cacherait- il<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>pour pleurer</em> ?" La Kabale parle de <em style="mso-bidi-font-style: normal;">trou noir, d’éclipse de Dieu</em>. ? Jacques<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>Sommet<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>à Dachau <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>médite<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>en silence sur un charnier <em style="mso-bidi-font-style: normal;">« Quoi faire et quoi dire ? Dieu incompréhensible, qu’est ce qu’il dit à cet amoncellement de cadavres, qu’est ce qu’il me dit à travers eux ? Qu’il est là, c’est tout ! Dieu absent ? Oui et non ! Plutôt Dieu caché !(4 bis)</em></span></span></p><p> </p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="color: #000000; font-size: medium;"><span style="font-family: Calibri;">Quelques réponses à ces <strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">pourquoi ?<span style="mso-spacerun: yes;"> </span></strong>: </span></span></p><p> </p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="color: #000000; font-size: medium;"><span style="font-family: Calibri;">a)-Jésus lui-même <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>donnant raison à Job a dit<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>qu’en aucun cas<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>la souffrance<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>est <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>une punition de Dieu. : Saint Luc nous rapporte une réflexion de Jésus<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>suite<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>à un fait divers : la chute d’une tour à Jérusalem(5). <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>« <em style="mso-bidi-font-style: normal;">Pensez-vous que <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>l es <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>18 victimes de cet accident<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>étaient<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>de plus grands coupables que<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>les autres habitants de Jérusalem l ? Non, je vous le dis. »</em></span></span></p><p><span style="color: #000000; font-size: medium;"> <span style="font-family: Calibri;"><span style="mso-spacerun: yes;"> </span>Si comme Job, on s’interroge : « qu’est ce que j’ai fait au bon Dieu, pour qu’il m’arrive cela ? » Une seule réponse : <strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">Rien ! Vos misères n’ont rien à voir<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>avec <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>quelque punition du ciel.</strong></span></span></p><p> </p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="color: #000000; font-size: medium;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: Calibri;"> b)</span></strong><span style="font-family: Calibri;">« <em style="mso-bidi-font-style: normal;">Nulle beauté ne surpasse celle du mystérieux</em> » disait Einstein.</span></span></p><p><span style="color: #000000; font-size: medium;"><em style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: Calibri;">« J’ai abordé, sans le savoir, des<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>mystères qui me confondent. » </span></em></span>conclue job<span style="color: #000000; font-size: medium;"><em style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: Calibri;"> » « Qui est celui qui dénigre la providence sans rien y connaître ».(6)</span></em></span></p><p><span style="color: #000000; font-size: medium;"><span style="font-family: Calibri;">Je retrouve dans ma bibliothèque mon vieux manuel<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>de cosmographie à l’usage des élèves<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>de la classe de philo de 1948, on y décrit l’univers<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>et ces espaces infinis qui donnaient le vertige à Pascal, mais<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>une simple demie- page<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>pour parler de l’histoire, de l’expansion d’un<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>univers présenté <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>encore à l’époque comme<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>immuable..</span><span style="font-family: Calibri;"><em style="mso-bidi-font-style: normal;">« Où<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>est ce que tu étais quand je fondai la terre ? Dis le moi puisque tu es si savant</em>.</span><em style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: Calibri;">Qui en fixa les mesures, le sauras-tu ? Tandis que les étoiles du matin chantaient en chœur, e</span></em><em style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: Calibri;">s tu parvenu aux sources de la mer ? As-tu circulé au fin fond de l’abîme ?</span></em><em style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: Calibri;">As-tu idée des étendues de la terre ? (7)</span></em><span style="font-family: Calibri;">Les plus grands savants<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>sont<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>humbles devant l’immensité des découvertes qu’ils font ! Comme Einstein<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>soyons capables d’émerveillement<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>avant<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>de<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>dénigrer<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>la création<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>et de nous plaindre de ses <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>imperfections.</span></span></p><p><span style="color: #000000; font-size: medium;"> <span style="font-family: Calibri;">-c)Nous ne sommes pas des anges ni des immortels comme les dieux de la mythologie grecque .Nous sommes des êtres charnels. « <em style="mso-bidi-font-style: normal;">Animal raisonnable</em> » disait Aristote<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>L’origine des hommes est bien lointaine. Il est apparu au quaternaire précédé<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>d’ancêtres<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>encore plus lointains depuis l’origine de la vie (<em style="mso-bidi-font-style: normal;">eobactérium isolatum</em> 3,4 Ga).Je vous fait grâce de la description de son évolution depuis les primates : homo habilis, erectus, sapiens, puis <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>sapiens <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>sapiens......</span><span style="font-family: Calibri;"> </span><span style="font-family: Calibri;">Le couvreur sur son toit, qu’il soit une parfaite crapule ou un bon père de famille, se tue s’il tombe<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>et<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>n’a pas mis sa ceinture de sécurité .Peut<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>on reprocher à Dieu de ne pas<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>lui avoir donné des ailes ? Un dinausaure,le microraptor en avait quatre .Personnellement, je ne souhaite pas<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>en avoir. En vélo, contre le vent, ça ralentit la progression. Une aile me suffit, celle de mon char à voile .Dans le train ou le bus, ailes déployées, ce serait<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>peu commode .Dans les « ailes du désir », les anges dorés<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>de Wenders s’ennuient<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>sur<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>leurs colonnes <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>ou en haut des monuments de Berlin. Ils<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>aspirent à se mêler à la vie des mortels. Personnellement, comme le chante Johny, je ne suis pas un ange et ne désire pas le devenir,quoique j'aime les hommes volants de chagall ,ils m' entrainent dans leur rêve d'aptéres et me comblent de leur respiration légére. </span></span></p><p><span style="color: #000000; font-size: medium;"> <span style="font-family: Calibri;"><span style="mso-spacerun: yes;"> </span>(1 ) « Hier » (<strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">ici)</strong>,c’est Auschwitz.</span></span></p><p><span style="color: #000000; font-size: medium;"> <span style="font-family: Calibri;">1bis) Voir une note déjà ancienne<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>de « la face claire de la nuit » publiée le 26/9/2009.Archives Olbec.</span></span></p><p><span style="color: #000000; font-size: medium;"> <span style="font-family: Calibri;">(1ter)Le livre de Job ch. 3.</span></span></p><p><span style="color: #000000; font-size: medium;"> <span style="font-family: Calibri;">(2)Moi qui ne suis pas un perdreau de la dernière couvée, le fait que<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>c’est le plus jeune des<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>amis de Job qui dit le plus de bêtise me rassure sur la sagesse qui progresse avec l’âge. Le jeune<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>intégriste sans humour comme la grenouille au fond du puits a du ciel une vue bien étroite .Voir note « la face claire de la nuit» 3/9/2011.Archives Olbec</span></span></p><p><span style="color: #000000; font-size: medium;"> <span style="font-family: Calibri;">(3) le livre de Job ch. 40/ 4 et 5 : « Je mets la main sur la bouche. J’ai parlé une fois, je ne répondrai plus .Deux fois, je n’ajouterai rien. »</span></span></p><p><span style="color: #000000; font-size: medium;"> <span style="font-family: Calibri;">(4)Vies<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>de Job<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>de Pierre Assouline<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>Gallimard NRF.</span></span></p><p><span style="color: #000000; font-size: medium;"> <span style="font-family: Calibri;">4bis)Jacques Sommet. L’honneur de la liberté. Le centurion.</span></span></p><p><span style="color: #000000; font-size: medium;"> <span style="font-family: Calibri;">(5) La tour de Siloé. Luc ch. .13/4 et 5</span></span></p><p><span style="color: #000000; font-size: medium;"> <span style="font-family: Calibri;">(6) Livre de Job ch. 42 /3.</span></span></p><p><span style="color: #000000; font-size: medium;"> <span style="font-family: Calibri;">7) livre de Job ch. 38</span></span></p><p> </p><p> </p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="color: black;"><span style="font-family: Calibri; font-size: small;"> </span></span></strong></p><p> </p>
Alexandre Cauchois
http://jevisauhavre.hautetfort.com/about.html
Aux Iris recherche son livreur pour Noël
tag:jevisauhavre.hautetfort.com,2011-10-18:3830009
2011-10-18T10:11:57+02:00
2011-10-18T10:11:57+02:00
Une proposition de job pour les fêtes, pour un étudiant ou une...
<p><span class="Apple-style-span" style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;"><img id="media-3249251" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://jevisauhavre.hautetfort.com/media/02/00/233381320.jpg" alt="aux-iris.jpg" /></span></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small; color: #00ccff;">Une proposition de job pour les fêtes, pour un étudiant ou une étudiante.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">La fleuriste Aux Iris, dont nous avons parlé à plusieurs reprises (<a href="http://jevisauhavre.hautetfort.com/archive/2011/05/13/aux-iris-la-creativite-au-naturel.html" target="_blank">voir ici</a>), est à la recherche d'un étudiant Havrais, pour effectuer des livraisons de compositions florales, tableaux de nature et autres réalisations de sa boutique.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">Un emploi rémunéré à la livraison, au départ pour la période des fêtes de Noël, avec possibilité d'autres périodes de l'année par la suite.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">Les livraisons seront à effectuer au Havre et dans sa proche agglomération. Un véhicule est donc indispensable.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">Contactez Aodren, par mail : <a href="mailto:aux.iris@yahoo.fr">aux.iris@yahoo.fr</a>.</span></p>
Pourny
http://michelpourny.hautetfort.com/about.html
Prendre encore plus à ceux qui n'ont rien
tag:michelpourny.hautetfort.com,2011-09-22:3789863
2011-09-22T21:39:00+02:00
2011-09-22T21:39:00+02:00
M oins il y a de solutions pour résoudre la...
<p><span style="font-family: Times New Roman; font-size: small;"> </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: Times New Roman; font-size: small;"> </span><span style="font-family: Times New Roman;"><span style="font-size: small;"> </span><span style="font-size: medium;"><strong><span style="color: #0000ff; font-size: large;">M</span>oins il y a de solutions pour résoudre la montagne des problèmes qui se posent à l’humanité, plus il y a de gros malins pour proposer des solutions. « Il n’y a qu’à… » : voilà le programme politique de toutes les oppositions du monde. Par exemple, il n’y a qu’à prendre l’argent où il se trouve. Une solution plébiscitée par la quasi-unanimité des pauvres, ce qui est normal, mais aussi par les riches… quand ils sont dans l’opposition. Parvenus au pouvoir, ils oublient tout. </strong></span></span><span style="font-size: medium;"><strong><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><strong><span style="font-family: Times New Roman;"> Les pauvres, eux, n’oublieraient pas. Mais ils ne sont jamais au pouvoir. L’accès au pouvoir est conditionné par l’appartenance à un réseau, un parti, une association de bonnes œuvres, il est conseillé d’avoir suivi de longues études dans une grande école. Il faut être capable de tenir de longs discours pour ne rien dire, chose impossible pour un pauvre qui est plongé dans le nécessaire et qui exprime clairement et distinctement des faits réels. Jamais on n’entendra une ouvrière licenciée après vingt ans d’entreprise étaler en long et en large au journaliste, que « <em>la conjoncture internationale et l’équilibre budgétaire rendent inéluctables certains sacrifices y compris malheureusement et je le déplore quelques compressions d’effectif dans l’industrie.</em>» </span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><strong></strong><strong><span style="font-family: Times New Roman;"> Pour le riche, l’idéal du pauvre, c’est Job. Combien ce poème biblique a pu faire de mal dans les chaumières ! Jobard, facile à duper, fichu à la porte, laissant une famille sans autre ressource que la charité publique, prosterné, l’infortuné dirait aujourd’hui: « <em>Le Seigneur avait donné, le Seigneur a repris ; que le nom du Seigneur soit béni !</em> » (Job 1,21) ? Mais non, au vingt-et-unième siècle, l’infortuné ne dit rien de tout cela. Dieu est introuvable, et contrairement au héros biblique, le travailleur sans emploi ne retrouve jamais la prospérité, car à cinquante ans, aucune entreprise ne lui ouvre ses portes.</span></strong><strong><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><strong><span style="font-family: Times New Roman;"> Et moins il y a de solutions, plus on vous en propose de radicales. C’est le danger qui guette les démocraties plongées dans la crise. Les démarcheurs en tout genre vont frapper à nos portes. Autrement plus dangereux que les Témoins de Jéhovah et les Scouts de France, les vendeurs de systèmes, les pros de la doctrine, les installateurs de clôtures, les marchands de canon, les fous de dieux, les messagers de puissances qui n’existent que dans les cauchemars sont là. Ces malfaisants n’existent et ne menacent que parce que la démocratie les tolère. Ils la montrent du doigt. Elle est coupable de tout. Ils lui collent des mots bien à eux, des mots qui font peur : capitalisme au bord de l’implosion, société occidentale dégénérée, impérialisme yankee, lobby juif international, franc-maçonnerie, des mots enrobés de mystère et qui font peur. Et les bons démocrates que nous sommes les laissons dire, car si les déclarations des droits humains interdisent le crime, elles ne donnent pas les moyens de faire taire ceux qui le préparent.</span></strong><strong><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><strong><span style="font-family: Times New Roman;"> Aujourd’hui, sont réduits au silence ceux qui subissent la crise. Plus rien ne compte que les remboursements de dettes, le sauvetage de pays en perdition, la crise boursière. Ne parlez surtout pas de vos problèmes, ils ne sont rien par rapport aux dangers qui menacent la planète. Personne n’ose le dire, mais les grands de ce monde le savent, eux qui s’accordent des emplois fictifs et des indemnités à tire-larigot : il faut prendre encore plus à ceux qui n’ont rien pour que la machine redémarre. On fera appel pour cela aux cordes sensibles, on prendra les chômeurs par les sentiments : sagesse, raison, solidarité nationale, patriotisme. Finalement ces donneurs de leçons qui nous gouvernent accomplissent le vœu des Anciens : ils sont devenus philosophes. N’est-ce pas Epictète qui disait :</span></strong><strong><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><strong><span style="font-family: Times New Roman;"> <em>« N’essaie pas que ce qui arrive arrive comme tu veux, mais veux ce qui arrive comme il arrive, et tu couleras des jours heureux. » </em>?</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><strong><span style="font-family: Times New Roman;"><em> </em>C’est au-dessus de nos forces.</span></strong><strong><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></strong></span></p><p style="text-align: center;" align="center"><span style="font-size: medium;"><strong><span style="font-family: Times New Roman;">§<em></em></span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><strong><em><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></em></strong></span><span style="font-family: Times New Roman; font-size: small;"> </span></p>
Le Blog de Chevreuse
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Juillet - les grands travaux
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2011-07-31T19:41:00+02:00
2011-07-31T19:41:00+02:00
Juillet, début des grandes vacances de l'été, début de l'exode chevrotin...
<p>Juillet, début des grandes vacances de l'été, début de l'exode chevrotin vers les rivages de l'hexagone.</p><p>Alors Atlantique ou Méditerrannée? Nice ou Biarritz?</p><p>A Chevreuse, la ville se saigne de ses habitants un peu plus chaque jour. En restera-t-il encore à la fin du mois?</p><p>Les commerces commencent à éteindre leur chandelle, mais vous pouvez toujours faire vos courses en<a title="Quelques rares touriste en transit..." href="http://leblogdechevreuse.hautetfort.com/media/01/00/100389255.jpg" target="_blank"><img id="media-3141893" style="float: right; margin: 0.2em 0pt 1.4em 0.7em;" title="" src="http://leblogdechevreuse.hautetfort.com/media/01/00/3927854729.jpg" alt="travaux,job,été,moulin,touriste,farniente,stress,dessault,martin" /></a> ville et vous avez même encore le choix entre la flûte "Dessaux" ou la tradition "Martin".</p><p>Juillet, c'est aussi le temps des toilettages, des petits jeunes qui font leur premier job à la mairie pour repeindre les biroutes ou nettoyer les caniveaux.</p><p>Juillet c'est les grandes migrations européennes et les éphémères haltes des touristes des pays du Nord pour visiter le Versailles palace. Quelques rares touristes sillonnent la vallée à l'image de ce groupe de promeneurs dont les matelas nous indiquent qu'ils ne séjourneront pas dans les structures d'hébergement de tourisme, <a title="Taxe de séjour, instauration en 2011" href="http://leblogdechevreuse.hautetfort.com/archive/2011/06/20/chevreuse-mise-sur-le-touriste.html" target="_self">dernières victimes de la recherche de budgets communaux</a>.</p><p>Juillet, c'est aussi l'occasion de lancer les grands chantiers. Pour ne pas gêner les habitants disent les uns, pour passer les projets en force disent les autres. Et on se rappelle bien évidemment la triste expérience de <a title="Pièce d'eau du parc Jean Moulin" href="http://leblogdechevreuse.hautetfort.com/archive/2010/06/29/trilogie-jean-moulin-1-cote-jardin.html" target="_self">la fermeture de la pièce d'eau du parc Jean Moulin</a> démarrée en catimini dès les juillettistes partis.</p><p>Juillet, c'est pour ceux qui restent chevrotins le plaisir de la sérénité, agréables odeurs des travaux des champs qui parviennent jusqu'à la ville. Moins de circulation sur les routes. Des places disponibles en ville.</p><p>Enfin, les juilletistes ayant emporté avec eux le stress et l'énervement liés aux activités de la métropole, il ne reste à Chevreuse que sérénité et convivialité. Une invitation au farniente, à la balade, au plaisir de la vie locale.</p><p><em><strong>. Le Blog de Chevreuse - 31 juillet 2011</strong></em></p><p><em><strong>. Saint <a title="Ignace, Ignace, c'est un petit nom charmant ! " href="http://www.jesuites.com/ignace/index.htm" target="_blank">Ignace de Loyola</a>, pas sûr qu'il soit chevrotin celui là!</strong></em></p>
Jean-Pierre WILLEMS
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Fermeture démotivée
tag:willemsconsultants.hautetfort.com,2011-01-27:3081696
2011-01-27T00:41:00+01:00
2011-01-27T00:41:00+01:00
Pour procéder à un licenciement, il faut un motif. Et pour procéder à un...
<p style="text-align: justify;">Pour procéder à un licenciement, il faut un motif. Et pour procéder à un licenciement économique, il faut un motif économique. Le Code du travail en prévoit deux : les difficultés économiques et les mutations technologiques. La jurisprudence en a rajouté deux : la sauvegarde de la compétitivité, qui doit être justifiée par des causes externes et la cessation d'activité. Ce dernier motif, entièrement construit par la Cour de cassation, repose sur le fondement de la liberté de gestion : aucun employeur ne peut être obligé de poursuivre indéfiniment son activité, ne serait-ce que lorsqu'il part à la retraite. La Cour de cassation ne sanctionnait que les abus de droit : l'employeur qui organise sa propre insolvabilité ou la fermeture pour recréer la même activité sans reprendre les mêmes salariés. Dans une décision du 18 janvier 2011, les juges durcissent leur position et décident que lorsque l'entreprise qui cesse son activité appartient à un groupe, elle doit justifier d'une cause économique, la fermeture ne pouvant constituer à ellel seule un tel motif.</p><p style="text-align: center;"><img id="media-2863250" style="margin: 0.7em 0;" src="http://willemsconsultants.hautetfort.com/media/02/02/2304468163.jpg" alt="fermeture_1200x1600-Gilles Tran.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><a href="http://www.oyonale.com/accueil.php?lang=fr">Gilles Tran</a> - Fermeture - 2003</p><p style="text-align: justify;">Dans les groupes, le contournement des règles du licenciement économique peut prendre plusieurs formes : filialisation d'une activité dont on veut se séparer avant fermeture, ou avant vente, émiettement des activités dans des structures de petites tailles pour échapper aux obligations du PSE, etc. Les juges ont toujours eu le souci de permettre l'application du droit du travail quelle que soit la structuration juridique du groupe. L'arrêt du 18 janvier 2011 s'inscrit dans cette préoccupation. Il n'empêchera pas, toutefois, à des groupes de rechercher des chevaliers blancs situés à l'étranger pour reprendre une activité qu'ils fermeront ensuite. Paranoïa ? demandez aux ex-salariés toulousains du papetier Job, ils auront peut être une idée sur la question.</p>
O.B
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Le don d'une présence
tag:vivrecestlechrist.hautetfort.com,2010-10-20:2949962
2010-10-20T07:00:00+02:00
2010-10-20T07:00:00+02:00
[28] La seule réponse de Dieu à Job , ce n'est pas une...
<p style="text-align: justify;"><strong><span style="color: #ff0000;">[28]</span></strong> <span style="font-size: small;">La seule réponse de Dieu à <strong><span style="color: #800080;">Job</span></strong>, ce n'est pas une argumentation, mais le don d'une présence au coeur même du silence. Dieu n'a pas quitté Job et il ne saurait l'abandonner. Finalement, ce personnage mystérieux de Job fait l'expérience de la foi à l'état pur. La conclusion du livre de Job nous invite à penser que Dieu demande à Job de renoncer même à sa plainte... Car de quoi Job pourrait-il se repentir, lui qui est sans péché, sinon de se plaindre ? Son dernier mot, en effet est celui-ci : " <span style="color: #0000ff;">Aussi, je retire mes paroles, je me repens sur la poussière et sur la cendre</span>." Mais en renonçant à se plaindre, alors Job fait l'expérience de ce que c'est d'aimer Dieu pour rien. Au-delà de toute rétribution et de tout intérêt. Selon le mot de <strong><span style="color: #800080;">saint Paul </span></strong>devant les énigmes de l'existence : "<span style="color: #0000ff;"> Le Grec cherche des raisons, le Juif adresse sa question à Dieu sans attendre de réponse</span>." Le chrétien se tourne, lui, vers la figure du crucifié où il déchiffre à <span style="color: #ff0000; font-size: x-small;"><strong>[29]</strong></span> la fois l'infinie proximité de Dieu et son mystérieux retrait. La sagesse de Dieu, nous dit encore Paul, est folie pour la sagesse humaine. On peut estimer que toute la révélation culmine dans le cri de Jésus : " <span style="color: #0000ff;">Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ?"</span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Le terme ultime de la révélation, c'est le langage et la parole de la croix. Et ce cri de Jésus sur la croix est une manière extraordinaire de la part de Dieu d'entendre la question de Job en la faisant redire par son propre fils, qui est venu partager notre condition d'homme. La réponse de Jésus, donc la réponse chrétienne, ce n'est pas une explication, mais un témoignage. Témoignage de l'abandon de l'homme à la volonté de Dieu , témoignage de la solidarité de Dieu avec la souffrance humaine. Je le disais : l'ultime parole de Dieu, c'est le langage de la croix. Et on pourrait dire que le pouvoir de la mort est vaincu par l'événement de la résurrection, mais le silence de Dieu n'est pas interrompu en dépit de la résurrection. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"> <span style="font-size: small;">A suivre... </span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"> </span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: x-small;"><span style="font-size: x-small;"><span style="font-size: x-small;"><strong><em>Claude Greffé </em></strong><em>dans "La religion, les maux, les vices" - Conférences de l'Etoile présentées par Alain Houziaux - Presses de la Renaissance, Paris 1998 - ISBN 2-85616-708-X</em></span></span></span></p>
O.B
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témoin de l'excès du mal
tag:vivrecestlechrist.hautetfort.com,2010-10-17:2947054
2010-10-17T07:32:00+02:00
2010-10-17T07:32:00+02:00
[26] Deuxièmement, et je crois qu'en cette fin de siècle nous...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: x-small;"><span style="font-size: x-small;"><strong><em> </em><span style="color: #ff0000;">[26] </span></strong><span style="color: #000000; font-size: small;">Deuxièmement, et je crois qu'en cette fin de siècle nous avons malheureusement l'urgence de l'évoquer : la trahison de Dieu par les religions qui se réclament de lui. Dieu, c'est sûr, nous le trahissons tous, mais il y a ce sentiment que le Dieu auquel nous avons cru est défiguré par ceux qui en parlent, ceux qui agissent en son nom, ceux mêmes qui devraient en être les témoins autorisés. Il y a la trop longue histoire de ces religions qui partent en croisade contre les ennemis de Dieu, au nom même de Dieu. C'est l'histoire des trois religions monothéistes. C'est l'histoire de leur luttes fraticides au nom même de la parole de Dieu. Le fanatisme religieux qui va jusqu'à justifier <strong>la guerre sainte est la pire perversion de la religion</strong>, et la pire défiguration du visage de Dieu. </span></span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: x-small;"><span style="font-size: x-small;"><span style="font-size: small;">Et qu'à la fin du XX ème siècle on puisse encore torturer, violer, piller, massacrer au nom de Dieu a quelque chose d'insupportable pour la conscience humaine universelle. Nous qui avons cru en un Dieu d'amour et de paix, nous avons le sentiment d'avoir été floués et trahis. Et la seule idée qui puisse nous apaiser, c'est qu'un tel Dieu n'existe pas. On ne dira jamais assez combien <span style="color: #ff0000; font-size: x-small;"><strong>[27]</strong></span> d'incroyants le fanatisme religieux a engendrés, tant chez les chrétiens, que chez les juifs et les musulmans.</span></span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: x-small;"><span style="font-size: x-small;"><span style="font-size: small;">Enfin, la troisième trahison, c'est le cri de la foi déconcertée par le silence de Dieu. Et là nous rencontrons l'antique question du mal. Le grand scandale pour les croyants, c'est le silence de Dieu, alors que l'Histoire semble abandonnée à elle-même avec son cortège monotone de violences, d'injustices, de fatalités absurdes. Dieu ne nous a-t-il pas trahis ? Ce silence de Dieu fait violence aux questions des hommes et des femmes. Alors que - et je ne prétends pas répondre à ce qui demeure l'injustifiable par excellence -, si Dieu existe, il ne peut être qu'un Dieu bon. Vous connaissez les mots d'un personnage de <strong><span style="color: #993366;">Dostoïevski</span></strong> : " je refuserai jusqu'à la mort d'aimer cette création où les enfants sont torturés." Un théologien de notre temps, <strong><span style="color: #800080;">Moltmann</span></strong>, écrivait : " la question de l'existence est une babiole face à la question de sa justice dans le monde." </span></span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: x-small;"><span style="font-size: x-small;"><span style="font-size: small;">Je voudrais dissiper une illusion bien fréquente : il ne faut pas lire la Bible, la révélation comme le catalogue des réponses de Dieu aux questions des hommes</span></span></span>. <span style="font-size: small;">Pour reprendre<strong><em> </em></strong>le titre d'un livre du poète juif <strong><span style="color: #993366;">Edmond Jabès</span></strong>, la Bible est plutôt le "Livre des Questions ", et non le livre des réponses. C'est le sens de ce long cri dont parlent les Psaumes : "Pourquoi dors-tu Seigneur ?" Et, allant plus loin, la Bible ne témoigne pas seulement des questions que l'homme pose à Dieu, mais elle témoigne du procès que l'homme intenté à <span style="color: #ff0000; font-size: x-small;"><strong>[28]</strong></span> Dieu. Ce procès est en quelque sorte assumé par Dieu, par la Révélation.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">C'est l'enjeu même du <strong><span style="color: #0000ff;">livre de Job</span></strong>, comme témoin de l'excès du mal auquel ne répond que le silence de Dieu. "<span style="color: #0000ff;">Je crie vers toi et tu ne réponds pas</span>." Alors que ses amis, dont je ne suis pas sûr qu'ils aient été théologiens, bavardent et trouvent une réponse trop facile sur sa prétendue culpabilité, toujours l'immédiate excuse de la rétribution face au mal qu'on n'explique pas, Job a le courage de défier le silence de Dieu, de défier la trahison de Dieu. Il affronte la question du mal à l'état pur, et cette question du mal devient la question même de Dieu et de sa justice : il devient devant Dieu le porte-parole, à l'avance, de tous les hommes et de toutes les femmes, connus ou inconnus, qui tout au long de l'histoire protestent contre le caractère injustifiable du mal surtout quand il s'agit de la souffrance des innocents. (...) </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"> A suivre... </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"> </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: x-small;"><span style="font-size: x-small;"><strong><em>Claude Greffé </em></strong><em>dans "La religion, les maux, les vices" - Conférences de l'Etoile présentées par Alain Houziaux - Presses de la Renaissance, Paris 1998 - ISBN 2-85616-708-X</em></span></span></p>
gonfalonniere
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Qui sème le vent récolte la tempête
tag:dominique-le-tourneau.hautetfort.com,2010-03-26:2636651
2010-03-26T05:37:00+01:00
2010-03-26T05:37:00+01:00
Qui sème le vent récolte la tempête Je parle...
<p> </p> <p><span style="font-size: small;">Qui sème le vent récolte la tempête</span></p> <p><span style="font-size: small;"><br /></span></p> <p><span style="font-size: small;">Je parle d'expérience : ceux qui labourent l'iniquité et sèment le malheur, les moissonnent.</span></p> <p> </p> <p>Job 4, 8.</p> <p> </p>
L'Hérétique
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Sur le tas de fumier de Job, ils sont deux maintenant...
tag:heresie.hautetfort.com,2010-03-22:2665004
2010-03-22T23:50:00+01:00
2010-03-22T23:50:00+01:00
Tiens tiens, l'éviction de Xavier Darcos m'a ramené deux années et demie en...
<p>Tiens tiens, l'éviction de Xavier Darcos m'a ramené deux années et demie en arrière, presque trois : le nouvel évincé, futur déçu du Sarkozysme, écrivait alors un billet apitoyé sur le sort de François Bayrou, <a href="http://heresie.hautetfort.com/archive/2007/05/19/la-solitude-de-job.html">seul sur son tas de fumier</a>, comme Job. Pas de chance, le billet a disparu, depuis (sale manie) ; soyons honnête, depuis cette époque, c'est sûr qu'il y a moins de monde sur le tas de fumier de Bayrou.</p> <p>Mais, considérons celui de Xavier Darcos qui a perdu tous ses mandats, il ne va va y avoir, à mon avis, plus grand monde dessus, d'ici peu. On a bien essayé, du côté de l'Élysée, essayé de lui refiler le bâton merdeux du Ministère de l'Immigration, mais, ça personne n'en veut plus, même pas le Diable venu tenter notre bon périgourdin.</p> <p>Je ne suis pas certain que ce soit très malin de virer Darcos. Certes, l'homme tend à faire passer sa carrière politique avant ses convictions, ce que je juge désagréable et peu estimable, mais quand il exprime des idées, primo, elles sont authentiquement de droite, et secondo, elles sont intéressantes. Mauvaise pioche : si Darcos a fait un score faible, c'est surtout qu'il a trouvé en travers de sa route une centre véritablement indépendant, pas compromis dans des parties de risette avec la gauche, et un bilan gouvernemental et présidentiel désastreux. Il a donc bon dos, la victoire de Rousset, en Aquitaine, n'est pas si large que cela.</p> <p>Tiens, une méditation pour Darcos : le livre de Job, finalement, pose la question de savoir si l'infortune est toujours les fruit d'une punition divine. La Bible n'est pas la seule à aborder le problème, je crois qu'il a plus que largement inspiré un Euripide dans ses tragédies. De quoi donner matière à réflexions à l'agrégé de lettres classiques qu'est Xavier Darcos...</p> <p>Une petite et dernière remarque, tout de même : dans la tradition biblique juive, c'est un des trois conseillers que Pharaon consulte à propos de la multiplication des enfants hébreux. Or, quand Pharaon envisage de les passer par les armes, Job, bien que d'avis contraire, demeure silencieux. Les Juifs en ont conclu que c'était ce silence qui était à l'origine de son châtiment...</p> <p>Sans doute une autre petite leçon à méditer pour Darcos, qui pourra ainsi reconsidérer les deux années passées sous l'égide de Nicolas Sarkozy...</p>
gonfalonniere
http://dominique-le-tourneau.hautetfort.com/about.html
Qui sème le vent...
tag:dominique-le-tourneau.hautetfort.com,2009-06-01:2189961
2009-06-01T06:31:00+02:00
2009-06-01T06:31:00+02:00
Qui sème le vent récolte la tempête "Je parle...
<p></p> <p style="margin-bottom: 0cm;" lang="fr-FR" xml:lang="fr-FR"><span style="color: #000000;"><span style="font-size: medium;"><img src="http://dominique-le-tourneau.hautetfort.com/media/01/02/1491814700.jpg" id="media-1752425" alt="StLaurentduPont.Route.38.jpg" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" />Qui sème le vent récolte la tempête</span></span></p> <p style="margin-bottom: 0cm;" lang="fr-FR" xml:lang="fr-FR"> </p> <p style="margin-bottom: 0cm;" lang="fr-FR" xml:lang="fr-FR"><span style="color: #000000;"><span style="font-size: medium;">"Je parle d'expérience : ceux qui labourent l'iniquité et sèment le malheur, les moissonnent."</span></span></p> <p style="margin-bottom: 0cm;" lang="fr-FR" xml:lang="fr-FR"> </p> <p style="margin-bottom: 0cm;" lang="fr-FR" xml:lang="fr-FR"><span style="color: #000000;"><span style="font-size: medium;">Job 4, 8.</span></span></p>
voltaire I see
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C’est de mon fumier que j’ai l’honneur de vous écrire
tag:voltaireathome.hautetfort.com,2009-03-14:2095768
2009-03-14T12:28:00+01:00
2009-03-14T12:28:00+01:00
Le titre exagère un peu sur ma situation réelle ; je suis en réalité sur...
<p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt; font-family: Garamond;">Le titre exagère un peu sur ma situation réelle ; je suis en réalité sur un fauteuil gris-bleu décoré de poils de chien blanc qui ne demandent qu'à se coller sur le velours noir de mon pantalon ; la brosse va chauffer ! Que dire ce jour qui ne soit pas du réchauffé ? Si ce n'est de souhaiter une bonne route au Grand Jacques et à Luna .Et pour rester éveillé, un extrait de Black cat,White cat qui parle d'un chien plus mordant que la gentille Luna : <a href="http://www.youtube.com/watch?v=Wkzg4EIvdIA&feature=related">http://www.youtube.com/watch?v=Wkzg4EIvdIA&feature=related</a> . Decoiffant , non ?!</span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt; font-family: Garamond;">Et maintenant sans transition ...dans la veine du roi du coq à l'âne ...</span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"> </p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"> </p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"> </p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"> </p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"> </p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"> </p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"> </p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"> </p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"> </p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"> </p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"> </p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt; font-family: Garamond;"><img src="http://voltaireathome.hautetfort.com/media/02/02/1855066923.jpg" alt="choiseul duchesse.jpg" style="border-width: 0; float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" id="media-1636063" />« A Louise-Honorine Crozat du Châtel, duchesse de Choiseul</span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt; font-family: Garamond;"> </span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt; font-family: Garamond;"> </span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt; font-family: Garamond;"><span style="mso-tab-count: 3;"> </span> Job à Madame de Barmécide, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">[les Barmécides, persans très influents et très généreux tombèrent en disgrâce en 803, et V* a écrit en janvier à la duchesse « Épitre : Benaldaki à Caramouflée femme de Giafar le Barmécide », après la disgrâce de Choiseul]</i></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt; font-family: Garamond;"> </span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt; font-family: Garamond;"> </span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt; font-family: Garamond;"><span style="mso-tab-count: 3;"> </span> Le diable avait oublié de crever les yeux à l’autre Job, il s’est perfectionné depuis. Ainsi, Madame, vous avez actuellement une petite-fille <i style="mso-bidi-font-style: normal;">[Mme du Deffand]</i> et un vieux serviteur aux Quinze-Vingts.</span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt; font-family: Garamond;"> </span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt; font-family: Garamond;"><span style="mso-tab-count: 3;"> </span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"> </p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"> </p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt; font-family: Garamond;"><span style="mso-tab-count: 3;"><img src="http://voltaireathome.hautetfort.com/media/01/01/1862563361.jpg" alt="job et sa femme.jpg" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" id="media-1636065" /></span> C’est de mon fumier que j’ai l’honneur de vous écrire avec un têt de pot cassé. Madame votre petite-fille est la plus heureuse aveugle qui soit au monde ; elle court, elle soupe, elle veille dans Babylone, elle compte même aller à Chanteloup <i style="mso-bidi-font-style: normal;">[propriété des Choiseul, exilés ]</i>, ce qui est, dit-on, la suprême félicité. Job n’y prétend point, il compte mourir incessamment dans ses neiges, et voici ce qu’il dit de la part du Seigneur à l’illustre Barmécide :</span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt; font-family: Garamond;"><span style="mso-tab-count: 3;"> </span> Votre nom répandra toujours une odeur de suavité dans les nations ; car vous faisiez le bien au point du jour, et au coucher du soleil ; vous n’avez point fait de pacte avec le diable, mais vous avez fait un pacte de famille <i style="mso-bidi-font-style: normal;">[alliance entre les Bourbons de France et d’Espagne en 1761]</i> qui est de Dieu .Vous avez une fois donné la paix à Babylone <i style="mso-bidi-font-style: normal;">[terminé la Guerre de Sept ans en 1763]</i>, et vous avez une autre fois empêché la guerre, et une autre fois pour vous amuser vous avez donné une île au commandeur des croyants <i style="mso-bidi-font-style: normal;">[la Corse pour le roi de France en 1768]</i>; aussi je vous ai écrit dans le Livre de vie, très petit livre où n’a pas de place qui veut .</span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt; font-family: Garamond;"> </span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt; font-family: Garamond;"><span style="mso-tab-count: 3;"> </span> J’encadrerai avec vous la sultane Barmécide, ma philosophe, dont l’éternel s’est complu à former la belle âme, et je mettrai dans le même cadre votre sœur de la grande montagne <i style="mso-bidi-font-style: normal;">[la duchesse de Gramont (jeu de mot Grand mont)]</i> en qui mérite abonde. Et j’ai dit : Ils seront bien partout où ils seront, parce qu’ils seront bien avec eux-mêmes, et que les cœurs généreux sont toujours en paix.</span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt; font-family: Garamond;"> </span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt; font-family: Garamond;"><span style="mso-tab-count: 3;"> </span> Et si vous voulez vous amuser de rogatons par A,B,C,D,E <i style="mso-bidi-font-style: normal;">[premiers articles des Questions sur l’Encyclopédie ]</i>, comme Abbaye, Abraham, Adam, Alcoran, Alexandre, Anciens et modernes, Âne, Ange, Anguilles, Apocalypse, Apôtre, Apostat, on vous fera parvenir ces facéties honnêtes par la voie que vous aurez la bonté d’indiquer .<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="color: red;">Facéties</span></b> <span style="color: red;">d’ailleurs pédantesques et <b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="text-decoration: underline;">très instructives pour ceux qui veulent savoir des choses inutiles .</span></b></span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt; font-family: Garamond;"> </span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt; font-family: Garamond;"><span style="mso-tab-count: 3;"> </span> Si Job pouvait occuper un moment le loisir de la maison Barmécide, il serait trop heureux, mais que peut-il venir de bon des précipices et des neiges du mont Jura ? C’est dans les belles campagnes de Chanteloup que se trouvent l’esprit, la raison et le génie ; ainsi je me tais et je m’endors sur mon fumier en me recommandant au néant.</span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt; font-family: Garamond;"> </span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt; font-family: Garamond;"><span style="mso-tab-count: 3;"> </span> En attendant, je supplie madame Barmécide de me conserver se bontés qui font ma consolation pour le moment qui me reste à vivre, et d’agréer mon profond respect.</span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt; font-family: Garamond;"> </span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt; font-family: Garamond;"> </span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt; font-family: Garamond;"><span style="mso-tab-count: 3;"> </span> Le vieil ermite</span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt; font-family: Garamond;"><span style="mso-tab-count: 3;"> </span> 13 mars 1771. »</span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"> </p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"> </p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"> </p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"> </p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"> </p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt; font-family: Garamond;">Et pour revenir sur des choses plus actuelles qui me tiennent à coeur : <a href="http://www.rhonealpes.dondusang.net/donami/sang.php">http://www.rhonealpes.dondusang.net/donami/sang.php</a></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt; font-family: Garamond;">Qui n'a pas donné va donner, qui a donné ..."les cœurs généreux sont toujours en paix." Toujours valable !!!</span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"> </p>
joguess
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Unbelievable Monaco!
tag:lefetard.hautetfort.com,2008-05-06:1606063
2008-05-06T19:07:00+02:00
2008-05-06T19:07:00+02:00
Suite à mon départ de chez ESR, la société qui m'employait sur Strasbourg,...
<p>Suite à mon départ de chez ESR, la société qui m'employait sur Strasbourg, j'étais à la recherche d'emploi depuis bientôt trois semaines.</p> <p>Toujours pas inscrit à l'ANPE, c'est alors que je mets mon cv en ligne. Après avoir reçu des appels et des entretiens téléphoniques plus tard, me voilà parti pour Antibes dans le but de faire des entretiens d'embauche.Huit heures de train dans les pattes je me dirige vers l'hôtel pour me préparer du lendemain qui allait suivre.</p> <p> Rendez-vous devant l'hôtel où une personne m'accompagne au siège social de son entreprise pour un petit briefing.</p> <p> Le rendez-vous est pris pour 11 heures, chez le client. La présentation faite, nous nous dirigâmes vers l'autoraute direction Monaco.</p> <p>En effet, le client en question est situé à Monaco. Non sans anxiété nous parcourons le parking souterrain puis l'ascenseur de l'immeuble. Nous nous présentons à l'accueil, et l'hotesse nous annonces. La vision des équipes me rassure, ils sont jeunes et dynamques. Nous entrons dans un bureau où deux personnes nous attendent. Je fais ma présentation et la personne à ma gauche me pose quelques questions techniques.</p> <p> </p>
jeanplume
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A feu et à sang
tag:misterplume.hautetfort.com,2008-03-03:1496132
2008-03-03T22:48:18+01:00
2008-03-03T22:48:18+01:00
J’aurai pu maudire cent fois mon sort, tant les échecs de ces...
<p> </p> <p>J’aurai pu maudire cent fois mon sort, tant les échecs de ces dernières années furent cuisants, sur tous les plans.</p> <p>Mais voilà, tel Job, je tiens bon et demeure le témoin vivant de la déchéance de ce corps :</p> <p>Tout n’est que plaie et blessures non cautérisées. Je suis à l’image des maudits de Dieu.</p> <p>Telle une bête, je suis traquée du levant au couchant, n’ayant nulle part où fuir</p> <p>Les flèches et brandons de l’Eternel sont contre moi et mes reins fondent comme cire au soleil.</p> <p>Pourtant je n’envie le sort bienheureux de personne et ne me moque de la vie insignifiante d’aucuns</p> <p>Il ne reste que moi, juste moi, sans soutènement ni porte d’entrée dans un environnement plus sain.</p> <p>Ce n’est pas l’enfer où je survis au quotidien, car je ne crains ni ma mort ni personne</p> <p>Disons que je vis consciemment au Purgatoire depuis ce fameux jour de ma métanoïa, il y a quelques années</p> <p>Ce fameux lieu où Dieu, en personne, vient réconforter de Sa présence les vicissitudes de la douleur permanente.<br /> <br /> Je n’aspire plus à rien. Un bien, un merci, une fleur me ravissent lorsqu’ils sont offerts de bon cœur</p> <p>L’attachement me pèse aussi car tourner mon cœur vers l’homme est une source de déchirement face à son humeur changeante.</p> <p>Je m’adapte et je m’efface quand mon sang s’est transmis à un cœur contrit : ma mission secrète sur cette terre sèche</p> <p>Je suis seul mais bien accompagné. Qui peut comprendre que je reste vivant dans ma tristesse insondable ?</p> <p>Si la douleur n’était plus, je serais je crois mort, privé de cette connivence qui me ravit en joie instantanément.</p> <p>Quand je pense que mon chemin n’a été que parsemé de jaloux et d’envieux, de possession et de haine…</p> <p>Prenez donc mon corps, soyez dans le creuset de mon âme…vous me supplieriez d’en sortir à l’instant !</p> <p>L’esprit qui m’anime quant à lui n’est pas à vendre. Et il n’est pas un substrat que l’on peut s’approprier</p> <p>Car je ne le possède pas, en vérité. Il est, de toute éternité, et plane sur moi, telle une épée de Damoclés</p> <p>Vouloir me tuer revient à LE nier et je ne suis aucunement responsable du devenir des cœurs…</p> <p>Ô Dieu, pourquoi est-ce si difficile d’aimer en esprit et en vérité ?<br /> <br /></p> <p> </p>
DUFOUR
http://murielduf.hautetfort.com/about.html
Pas celle qu'on croit
tag:murielduf.hautetfort.com,2008-03-03:1495538
2008-03-03T17:45:00+01:00
2008-03-03T17:45:00+01:00
Me sent faible en ce moment. Enfin faible physiquement pendant que mon...
<p align="justify">Me sent faible en ce moment.</p> <p align="justify">Enfin faible physiquement pendant que mon esprit se révolte en permanence.</p> <p align="justify">Des exemples :</p> <p align="justify">Ces derniers jours, à deux reprises mon boss m'a présentée comme télépro alors que je suis aussi Assistante marketing et que vu l'impopularité du 1er poste (du genre un télépro n'est pas vraiment un humain, c'est surtout un robot téléphonique avec des bras, des jambes, mais à quoi ça lui sert, tout ce qu'on lui demande c'est de relancer, harceler, obtenir des infos), j'aimerais autant, sinon qu'on me mette en valeur (pour ça il aurait fallu que je chope l'affaire du siècle avec 1 million d'hono, je me doute bien), du moins qu'on mette l'accent sur my professional deuble-casquette, mais non, télépro. Déjà sur notre intranet je ne suis que Teleprospector (petite cousine de Terminator), et déjà ça m'indispose...</p> <p align="justify">Vous allez me dire, il faut briller, sortir du lot, déchirer une affaire. Béh je veux bien moi mais j'en ai marre d'imaginer des process, de rêver qu'un jour on aura des vrais chiffres de télépro afin de constater, complice, l'utilité du taf, d'avoir envie d'être encouragée par mon boss (en plus de quelques uns, heureusement, de mes collègues), de rien foutre en espérant que ce dernier viendra me voir pour savoir pourquoi je ne fous rien. Mais non. La, lalalalala, tout va bien, tout se passe bien !</p> <p align="justify">Je sens qu'il faut que tout vienne de moi sauf que je suis fatiguée. Fêter mon record de boite dans 1 semaine me rend presque triste parce que j'ai l'impression d'être une imposteuze, je pense que je pourrais apporter plus de qualité à mon taf mais ça non plus ne sera pas reconnu. Un peu comme si je ne faisais que passer, alors que les officiels télépros de la boite, des stagiaires, comme il se doit, ont déjà du mal à rester 1 an et cessent d'appeler régulièrement dès que leur maintien dans la boite est confirmé. En fait, il faut souvent harceler le stagiaire pour qu'il consente à bosser sur ses listings et surtout qu'il arrête de dire au boss qu'il n'a rien à faire ! Chicounet, t'as rien à faire ? Attends, on s'est partagé 32.000 contacts, tu les as déjà tous appelés ????</p> <p align="justify">Au début, reconnaissante d'avoir été sauvée des meetiques griffes nazies et mussoliniennes, j'étais ultra-top motivée !</p> <p align="justify">Maintenant je suis rien qu'une putain de grosse feignasse vissée à mon siège et à moins de réaliser, ce dont je doute profondément (et oui, lecteur, je doute, qui <strike>ne</strike> l'eut <strike>pas</strike> cru ?), THE explosive affaire, ça n'ira pas en s'arrangeant. Soit je déchire, soit je continue de vivoter ma profession, ne comptant plus sur la belle carotte de ma-boite-va-s'implanter-au-maroc parce que les big boss se sont dégonflés mais sur celle, tout aussi sécurisante mais moins séduisante, quand même, à mes yeux, de la-mutuelle-est-top-avec-tout-ce-que-j'ai-à-réparer-je-reste-au-moins-jusqu'à-la-retraite.</p> <p align="justify">A ce propos, j'ai tout d'même avancé 800 euros pour me faire un "beau cadeau" indispensable-même-pas-la-peine-de-songer-à-y-couper : mon 1er appareil, et pas d'orthodontie genre j'ai-les-dents-qui-courent-après-la-tartine, ça c'était y'a 20 ans, aussi je vous laisse imaginer l'objet, vous réjouir pour moi parce que maintenant, grâce à ça, j'ai des molaires, enfin en bas, et que quand je me serais habituée je pourrais remanger plein de trucs que j'e m'interdisais jusqu'alors, et vous dispense de moquerie, je m'en charge bien toute seule, entre ça et le "fait-chier-ce-corps-étranger !!!".</p> <p align="justify">Et pour ne rien gâcher, ça n'a certes pas grand-chose à voir mais ça fait assurément partie des déceptions de la journée, mes parents qui avaient proposé (j'insiste, parce que nous, pour une fois, on a rien demandé, mais j'avoue qu'on avait des projets, avec Cher-et-Tendre, du projet social, culturel et sexual, non que le p'tit d'homme nous en empêche, dans ce dernier cas de figure, mais je me sens nettement moins chaude de faire ça déguisée en soubrette dans la cuisine, une appréhension comme ça, un peu timide) de prendre Thomas de ce soir à dimanche matin pour l'emmener au manège / spectacle / ciné / balade, m'ont signifié ce matin qu'avec les peintres qui enfin se décidaient à venir (enfin ils ont eu l'info mercredi dernier et je leur avais même dit de laisser tomber, qu'ils le prendraient à un autre moment) et mon frère qui passait son capes (m'enfin ils ont quand même l'info depuis un bout de temps aussi), la fatigue, l'odeur, l'idée qu'ils ont eu du coup de mettre du parquet dans la chambre de mon frère et tout ça, ils ne pouvaient pas se permettre de prendre mon p'tit d'homme à la maison, insistant à mort sur les nuisances hyper bruyantes, un "<em>truc que tu ne connais pas et heureusement, ma chérie</em>" (ben tiens, c'est pas nous qui avons, à 5 mètres de notre appart, un lotissement énorme en construction, le genre qui fait regretter d'avoir pris sa journée parce que de toutes manières c'est impossible de récupérer chez soi en semaine ! Et c'est pas moi effectivement, ni mon équipe, qui a subi les hurlements, le plafond qui saute sous la charge et l'anéantissement de 500 m² de bureaux /cloisons / armoires au-dessus de ma tête la semaine dernière, nooooon ! Où étais-je donc ? Pas au maroc, c'était ma soeur.... Non j'étais au bureau, saaaaagement, rêvant de boules Quiès compatibles avec ma "haute" fonction !), se justifiant à mort sur ces travaux et ne comprenant pas que sans la bienveillance de la crèche dont on avait prévenu l'absence de Thomas, j'aurais été bonne pour poser 5 jours alors que je n'en ai que 3 jusqu'à juin. Mais bon je sais, je suis mauvaise. Je ne me rends pas compte du tout que les profs ils ont une vie pas facile, non, ça c'est un problème qui ne me touche pas plus que je n'en connais l'existence.... Bon ok j'avoue, aujourd'hui je me sens ultra-vénère, à la limite du guettage de casse-couille pour le fumer dans mon droit... Et c'est mal. Finalement, le tout réuni, <em>Terminator</em> m'irait plutôt bien, comme sobriquet......</p> <p align="justify"> </p> <p align="justify"> </p>
Pascal Adam
http://theatrummundi.hautetfort.com/about.html
Mon bieau poïème
tag:theatrummundi.hautetfort.com,2007-11-22:1325449
2007-11-22T01:00:00+01:00
2007-11-22T01:00:00+01:00
Voici donc, en exclusivité, le bieau poïème au titre évidemment...
<p align="justify"><font size="3"><font face="Times New Roman"><strong><i>Voici donc, en exclusivité, le bieau poïème au titre évidemment très « culutrel » que j’ai pour finir moi-même ôté du spectacle (mais non du texte)</i> Ce que j’ai fait quand j’ai compris que j’étais un morceau de machine ne sauvera pas le monde <i>(dixième pièce de l’ensemble romanesque</i> Tout faut<i>) interprété par Fabien Joubert.</i> <i>Les photographies sont de Thierry Robert.</i></strong></font></font></p> <p align="justify"><i><font size="3"><font face="Times New Roman"><strong>On voudra bien noter, j’espère, par nos temps de marketing intégral, que le titre du poïème est infiniment poétique…</strong></font></font></i></p> <div style="text-align: center"><a target="_blank" href="http://theatrummundi.hautetfort.com/media/00/02/131d3bbfeec79c88042a127703c990e9.jpg"><font size="3" face="Times New Roman"><img name="media-674683" src="http://theatrummundi.hautetfort.com/media/00/02/73131fe4d42b8ad733da77cc12d2dced.jpg" alt="131d3bbfeec79c88042a127703c990e9.jpg" style="margin: 0.7em 0px; border-width: 0px" id="media-674683" /></font></a></div> <p> </p> <p> </p> <p><a target="_blank" href="http://theatrummundi.hautetfort.com/media/00/00/7274e9a60a77c777efd980bcd13ed650.jpg"></a></p> <div style="text-align: center"><img name="media-674664" src="http://theatrummundi.hautetfort.com/media/00/00/85f34a810d6610c887bc563ccd36b0c1.jpg" alt="7274e9a60a77c777efd980bcd13ed650.jpg" style="margin: 0.7em 0px; border-width: 0px" id="media-674664" /></div> <p align="center" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt; text-align: center" class="MsoNormal"> </p> <p align="center" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt; text-align: center" class="MsoNormal"> </p> <p> </p> <div style="text-align: center"> <div style="text-align: center"><a target="_blank" href="http://theatrummundi.hautetfort.com/media/00/02/17e73782320abcdd1b596989ed2d68ea.jpg"><img name="media-674671" src="http://theatrummundi.hautetfort.com/media/00/02/9bcabfa1d597a5981aa6bd9f3712e228.jpg" alt="17e73782320abcdd1b596989ed2d68ea.jpg" style="margin: 0.7em 0px; border-width: 0px" id="media-674671" /></a></div> </div> <p> </p> <p align="center"><b><font size="3"><font face="Times New Roman">DEMANDEZ LE PROGRAMME !</font></font></b></p> <p align="justify"><font size="3"><font face="Times New Roman">Industrie pornographique de masse pour vous, messieurs.</font></font> <font size="3"><font face="Times New Roman">Réglage biotechnologique individuel des grossesses pour vous, mesdames.</font></font></p> <p align="justify"><font size="3"><font face="Times New Roman">Publicité idéologique égalitaire et démocratique à tendance libertaire hédoniste.</font></font></p> <p align="justify"><font size="3"><font face="Times New Roman">Horizon : Disparition de la différence anthropologique des deux sexes dans la création d’un troisième nécessitant pour sa reproduction toutes sortes de machines administratives, juridiques et technologiques.</font></font></p> <p align="justify"> </p> <p align="justify"><font size="3"><font face="Times New Roman">Développement capitalistique du vidéodrome mondial et du technicisme scientifique.</font></font></p> <p align="justify"><font size="3"><font face="Times New Roman">Batterie de législations prohibitives et comportementalistes imposées au nom de la liberté.</font></font></p> <p align="justify"><font size="3"><font face="Times New Roman">Transformation progressive et progressiste du monde en village, puis du village en camp.</font></font></p> <p align="justify"><font size="3"><font face="Times New Roman">Mise en place compensatoire et hyperextensive du catéchisme citoyen, laïque et tolérant à forte teneur touristique et culturelle.</font></font></p> <p align="justify"><font size="3"><font face="Times New Roman">Nos camps sont les camps du bonheur.</font></font></p> <p align="justify"> </p> <p align="justify"><font size="3"><font face="Times New Roman">Evacuation citoyenne éducative de la connaissance historique et extermination post-hitlérienne soft des sectes juive et chrétiennes.</font></font></p> <p align="justify"><font size="3"><font face="Times New Roman">Utilisation attractive de l’islam à ces fins.</font></font></p> <p align="justify"><font size="3"><font face="Times New Roman">Utilisation répulsive de l’islam en tant que prétendu vestige ultime de la barbarie humaine universelle.</font></font></p> <p align="justify"><font size="3"><font face="Times New Roman">Démocratisme apparent de la machine préférant être jugée sur ses ennemis plutôt que sur ses résultats.</font></font></p> <p align="justify"><font size="3"><font face="Times New Roman">Transformation du langage en simple communication d’ordres à exécuter.</font></font></p> <p align="justify"> </p> <p align="justify"><font size="3"><font face="Times New Roman">Changement de fond : Recyclage normatif des vices humains par la machine sous le nom de progrès.</font></font></p> <p align="justify"><font size="3"><font face="Times New Roman">Constante : Nous baisons religieusement sur des charniers, et c’est ainsi depuis la nuit des temps.</font></font></p> <p align="justify"><font size="3"><font face="Times New Roman">Inversion de la perspective : Nous ne baisons plus sur les cadavres de nos pères, mais sur ceux de nos fils de l’un et l’autre sexe.</font></font></p> <p align="justify"><font size="3"><font face="Times New Roman">Compensation religieuse idéologique : fascination de l’avenir, idolâtrie de l’enfant, pédophilie platonique considérée comme un des beaux-arts citoyens.</font></font></p> <p align="justify"><font size="3"><font face="Times New Roman">Conséquence : Extrême infantilisation de l’espèce, destruction totale de la capacité critique.</font></font></p> <p align="justify"><font size="3"><font face="Times New Roman">Conclusion : Suicide anthropologique, victoire de la machine.</font></font></p> <p align="justify"><font size="3"><font face="Times New Roman">Fin de la première phase. Nom de code : Opération bonheur.</font></font></p> <p align="justify"> </p> <p align="justify"><font size="3"><font face="Times New Roman">– Vivement l’Asie !</font></font></p> <p align="justify"> </p> <p align="justify"><font size="3"><font face="Times New Roman">Périsse le jour où je suis né.</font></font></p> <p align="justify"><font size="3"><font face="Times New Roman">Comme eût dit Job.</font></font></p>
L'Hérétique
http://heresie.hautetfort.com/about.html
La solitude de Job ?
tag:heresie.hautetfort.com,2007-05-19:1048654
2007-05-19T15:20:00+02:00
2007-05-19T15:20:00+02:00
Xavier Darcos comparait récemment Bayrou à Job sur son tas de fumier . Je...
<p>Xavier Darcos comparait récemment Bayrou à <a href="http://xavierdarcos.blogspirit.com/archive/2007/05/13/la-solitude-de-job-sans-job.html#comments">Job sur son tas de fumier</a> . Je n'aurai que deux remarques à faire à Xavier Darcos.</p> <p>1. Job n'était pas entouré de 100 000 militants (70 000 Modem + 35 000 UDF)</p> <p>2. Puisqu'il évoque cette légende biblique, je lui ferai remarquer que c'est Satan qui vient tenter Job dans l'Ancien Testament. Alors, est-il si sûr de la pertinence de sa parabole ?</p> <p>3. Enfin, puisqu'il en appelle à la Pythie de Delphes, il devrait se souvenir que l'on appelle Apollon, Loxias, c'est à dire l'Oblique, et que les prophéties de la Pythie sont souvent à double-sens. Il me semble qu'un certain Crésus y a laissé son empire...</p> <h3><span><br /></span></h3>
Mathilde
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A vendre, compétences & expérience
tag:www.parisienne-avertie.com,2006-10-31:715306
2006-10-31T12:09:01+01:00
2006-10-31T12:09:01+01:00
Aujourd'hui, j'ai rencontré (allez dis moi ce que ta tête chante, tu...
<p align="justify">Aujourd'hui, j'ai rencontré (allez dis moi ce que ta tête chante, tu commences à connaître la mienne, là!) la directrice d'une agence de com' et l'équipe susceptible d'être ma prochaine aventure de bural.</p> <p align="justify">Et alors, me direz-vous.<br /> Alors, déjà mon dernier entretien d'embauche datait quand même de genre, octobre dernier. Et, première impression, le fait d'avoir bossé un an de plus, donne une assurance certaine. Pas de fébrilité, objectifs professionnels et salarials énoncés clairement, rencontre intéressante avec cette femme qui est l'une des têtes dirigeantes de cette agence qui monte qui monte, un vrai feeling. Ensuite, l'équipe, deux garçons et deux filles. Déjà l'équilibre me surprend, on s'habitue à bosser entourée juste de garçons, les rapports sont différents.</p> <p align="justify">Bref. L'équipe jeune, décontractée, faussement, qui s'intéresse depuis deux mois à une niche de la com' qui me nourrit depuis un an. Y'a comme un fossé au niveau du discours. mais on s'en sort, on arrive à se comprendre, à se rejoindre. On échange des idées. Je préfère la boss, plus claire, moins hautaine.</p> <p align="justify">Verdict : peut-être un poste début janvier, la boss me recontacte.</p>