Last posts on jerphagnon2024-03-29T13:15:57+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://www.hautetfort.com/https://www.hautetfort.com/explore/posts/tag/jerphagnon/atom.xmllafautearousseau royalistehttp://lafautearousseau.hautetfort.com/about.htmlD’accord avec… Gérard Leclerc : pour son hommage à Lucien JERPHAGNONtag:lafautearousseau.hautetfort.com,2011-09-26:37934062011-09-26T00:20:00+02:002011-09-26T00:20:00+02:00 (Le vendredi 23 septembre, Gérard Leclerc apublié dans France catholique...
<p style="text-align: center;"><span style="font-size: small;"><em>(Le vendredi 23 septembre, Gérard Leclerc apublié dans France catholique sa chronique de la veille sur Radio Notre-Dame consacrée à "cet éternel jeune homme" qui vient de nous quitter)</em></span></p><p style="text-align: center;"><a href="http://lafautearousseau.hautetfort.com/media/01/00/2052235639.jpg" target="_blank"><img id="media-3213642" style="margin: 0.7em 0px;" title="" src="http://lafautearousseau.hautetfort.com/media/01/00/78981260.jpg" alt="jerphagnon.jpg" width="428" height="267" /></a></p><p> <span style="font-size: small;"> L’actualité est terriblement lourde en ce moment. Permettez-moi de m’en émanciper avec quelqu’un précisément, qui vient de s’envoler vers les cieux. Il s’appelait Lucien Jerphagnon, il était nonagénaire, mais le poids des ans ne semblait nullement alourdir cet éternel jeune homme, à l’esprit toujours aussi délié, à l’humour constant, qu’il appliquait d’abord à lui-même, craignant plus que tout de se prendre trop au sérieux.</span></p><div class="crayon article-texte-7907 texte"><p style="text-align: left;"> <span style="font-size: small;"> Pourtant, c’était un savant considérable, qui connaissait l’histoire de Rome d’un bout à l’autre et mieux que quiconque. C’était aussi un lettré, dans le sens du raffinement extrême de celui qui sait goûter et interpréter un texte et qui ne dédaigne pas lui-même d’écrire, même s’il ne prend jamais la pause du grand écrivain. C’est vrai qu’il pourchassait la bêtise, ainsi qu’il l’a révélé dans un de ses derniers essais, en prévenant tout de suite son lecteur : « Le plus retors dans la bêtise, le plus dangereux, le plus comique aussi, c’est naturellement que chacun s’en croit exempté. »</span></p><p><span style="font-size: small;"> Et pourtant, il n’est pas besoin de se référer au Gustave Flaubert de Bouvard et Pécuchet pour découvrir quelle part elle a dans l’âme universelle. L’écrivain que Lucien Jerphagnon aura le plus accompagné dans sa vie s’en était déjà préoccupé. Il s’appelait Augustin d’Hippône, oui le saint Augustin des Confessions. Mais ce n’est tout de même pas pour cela que notre éminent latiniste l’avait autant lu et interprété, jusqu’à préparer les trois volumes de la Pléiade où le principal de nos Pères de l’Église latine voit consacrer sa primauté, non seulement théologique mais littéraire et culturelle. J’ai relu hier, pour rendre un hommage intime au disparu la Préface qu’il avait composée pour le premier Volume afin de présenter les Confessions. C’est une merveille de concision et de précision tout à la fois qui, en quelques pages, résume l’extraordinaire parcours de celui qui hantera toujours la conscience de l’Occident, parce qu’il l’a lui-même, en quelque sorte, modelée.</span></p><p><span style="font-size: small;"><em>Chronique du 22 septembre sur RND</em></span></p></div>
Café philosophique de Montargishttp://cafephilosophique-montargis.hautetfort.com/about.htmlDÉCÈS DE LUCIEN JERPHAGNON, HISTORIEN DE LA PHILOSOPHIEtag:cafephilosophique-montargis.hautetfort.com,2011-09-22:37891112011-09-22T10:25:00+02:002011-09-22T10:25:00+02:00 L'historien de la philosophie Lucien Jerphagnon, spécialiste de saint...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><a href="http://cafephilosophique-montargis.hautetfort.com/media/01/02/1247315065.jpg" target="_blank"><img id="media-3209522" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0pt;" title="" src="http://cafephilosophique-montargis.hautetfort.com/media/01/02/410163652.jpg" alt="lucien-jerphagnon-jankelevitch-labsolu-entrev-L-_Q1wXs.jpg" /></a>L'historien de la philosophie Lucien Jerphagnon, spécialiste de saint Augustin et qui fut professeur de Michel Onfray, est décédé vendredi à l'âge de 90 ans, a annoncé lundi son éditeur Albin Michel.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Né le 7 septembre 1921 à Nancy, docteur en philosophie et en psychologie, diplômé de l'Ecole pratique des hautes études, Lucien Jerphagnon venait d'achever des entretiens avec Christiane Rancé, parus en septembre chez cet éditeur sous le titre <em>De l'amour, de la mort, de Dieu et autres bagatelles</em>...</span><br /><br /><em><span style="font-size: small;">Source : Le Parisien</span></em><br /><br /><a title="Actualités" href="http://www.leparisien.fr/flash-actualite-culture/deces-de-lucien-jerphagnon-historien-de-la-philosophie-19-09-2011-1615623.php" target="_blank"><span style="color: #ffff00;"><strong><span style="font-size: small;">LA SUITE ICI...</span></strong></span></a></p><p style="text-align: justify;"> </p>
lafautearousseau royalistehttp://lafautearousseau.hautetfort.com/about.htmlDeux nouveaux Ferry...tag:lafautearousseau.hautetfort.com,2009-09-29:23279852009-09-29T00:05:00+02:002009-09-29T00:05:00+02:00 Il y a...
<p> <em>Il y a 2000 ans, le christianisme était une secte. Comment est-il devenu une civilisation ? Et, aujourd’hui quel est son devenir ? C’est à ces deux questions que répondent deux dialogues de Luc Ferry : le premier avec Lucien Jerphagnon, l’un des plus grands esprits français de notre temps, et le second avec Philippe Barbarin, Archevêque de Lyon et Primat des Gaules.</em></p><p><em> </em> Ainsi commence la chronique....</p><p> Voici ce qu'a répondu Luc Ferry à Philippe Vallet, au micro de <em>France Info</em>, le samedi 15 Août, jour de l'Assomption (1):</p><p style="text-align: center;"><img id="media-1927330" style="margin: 0.7em 0px; border-width: 0px;" src="http://lafautearousseau.hautetfort.com/media/01/00/349582376.2.JPG" alt="LUC FERRY 2.JPG" name="media-1927330" /></p><p><strong>Luc Ferry</strong> : <em>C'est une vision du monde considérable, impressionnante, d'une très, très grande beauté, même quand on n'est pas croyant -ce qui est mon cas, hélas... C'est passionnant de comprendre comment le christianisme l'a emporté et sur le paganisme romain et sur la philosophie grecque. Au fond, le christianisme avait quand même des concurrents grandioses... tout cet héritage de la mythologie grecque et romaine, et il a réussi à gagner, on peut dire à partir du quatrième ou du cinquième siècle après Jésus-Christ, il va l'emporter dans toute l'Europe pendant pratiquement quinze siècles.</em></p><p><em> Et ce que raconte très, très bien Lucien Jerphagnon</em> (ci dessous), <em>et ce que j'essaye de faire de mon côté, c'est: comment le christianisme était tentant, il nous a tentés ou il a tenté les gens de l'époque parce que la promesse qu'il fait que nous allons retrouver ceux que nous aimons après leur mort, que nous allons nous retrouver les uns et les autres, c'est évidemment une promesse de salut qui va l'emporter très largement sur toutes les promesses que pouvaient faire le paganisme romain et la philosophie grecque.</em></p><div style="text-align: center;"><a href="http://lafautearousseau.hautetfort.com/media/00/02/2052235639.jpg" target="_blank"><img id="media-1927677" style="margin: 0.7em 0px; border-width: 0px;" src="http://lafautearousseau.hautetfort.com/media/00/02/78981260.jpg" alt="jerphagnon.jpg" name="media-1927677" width="368" height="247" /></a></div><p><strong>Philippe Vallet</strong> : <em>Alors, parallèlement au livre que vous publiez avec Lucien Jerphagnon, vous publiez un autre livre, toujours sur le christianisme, avec le cardinal Philippe Barbarin (ci dessous), Quel devenir pour le christianisme ?. 2000 ans après, il y a toujours un avenir pour el christianisme, Luc Ferry ?</em></p><p style="text-align: center;"><em><img id="media-1927680" style="margin: 0.7em 0px; border-width: 0px;" src="http://lafautearousseau.hautetfort.com/media/02/00/1704736692.jpg" alt="BARBARIN.jpg" name="media-1927680" /></em></p><p><strong>L.F.</strong> : <em>Ce qui est très intéressant c'est de voir comment, à la fois, le monde moderne, européen, a déconstruit -je dirais...- un certain nombre de valeurs chrétiennes, et notamment l'autorité de l'Eglise, très, très largement, mais comment, en même temps -et c'est un paradoxe que je trouve passionnant...- nous voyons dans notre continent européen monter une valeur celle de l'amour, qui est quand même la valeur cardinale du christianisme.</em></p><p><em> Il y a donc un mouvement paradoxal, à la fois un déclin de certaines valeurs chrétiennes, notamment l'autorité de la Révélation, mais en même temps, une montée d'autres aspects du message chrétien comme le message d'amour, et c'est ce paradoxe que -en tout cas pour ma part- j'ai voulu explorer dans ce livre, et puis essayer de le discuter avec le cardinal Barbarin</em> <em>qui est, évidemment, un homme passionnant à lire et à écouter sur ces sujets, comme on peut l'imaginer.... (fin de la chronique).</em></p><div style="text-align: center;"> </div><p> <strong>"Pourquoi le christianisme ?"</strong> de Luc Ferry et Lucien Jerphagnon, Grasset, 12 pages., 11 euros. </p><div style="text-align: center;"><a href="http://lafautearousseau.hautetfort.com/media/02/00/1733656776.png" target="_blank"><img id="media-1927307" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" src="http://lafautearousseau.hautetfort.com/media/02/00/2061583973.png" alt="LUC FERRY 3.png" name="media-1927307" /></a></div><p class="spip"><br /> <strong class="spip">"Quel devenir pour le christianisme ?"</strong> par Luc Ferry et le Cardinal Philippe Barbarin, Salvator, 128 pages, 12 euros.</p><div style="text-align: center;"><a href="http://lafautearousseau.hautetfort.com/media/02/00/1952543694.jpg" target="_blank"><img id="media-1927310" style="margin: 0.7em 0px; border-width: 0px;" src="http://lafautearousseau.hautetfort.com/media/02/00/221348622.jpg" alt="LUC FERRY 4.jpg" name="media-1927310" width="336" height="338" /></a></div><div style="text-align: left;">(1) : Sur cette radio que nous égratignons régulièrement pour les parti-pris scandaleux de certains de ses journalistes, qui confondent micro et militantisme de gauche et d'extrême-gauche, Philippe Vallet anime la chronique <em>Le livre du jour</em>, toujours très intéressante, et parfois remarquable. Dire cela nous permet, à propos de <em>France info</em>, de rétablir l'équilibre entre critique(s) et éloge(s)....</div>
Xavier JASSUhttp://lapinos.hautetfort.com/about.htmlUn pionniertag:lapinos.hautetfort.com,2007-04-12:9828962007-04-12T17:20:00+02:002007-04-12T17:20:00+02:00Il serait un peu naïf, sous prétexte que Christine Angot ou Amélie Nothomb...
Il serait un peu naïf, sous prétexte que Christine Angot ou Amélie Nothomb sont des écrivaines rabougries et ennuyeuses, de dénigrer l'"autofiction" en général. Car c'est presque toute la littérature moderne qui ressortit en fait au genre "autofictionnesque" ; sous le manteau du "roman", il n'y a guère que des autofictions cryptées ou parcellaires - même les romans sans chair de Robbe-Grillet en disent long sur ce cas de monomanie étrange -, autant s'abstenir complètement d'en lire, dans ce cas. Après, la question de savoir si telle ou telle autofiction dépasse les bornes et verse dans l'obscénité gratuite ou pas, cette question-là est plus délicate. Chacun sera tenté de juger Rousseau, Balzac, Céline, Proust, Waugh, Mauriac, Bernanos, etc., en fonction de ses propres mœurs ou de son propre tempérament. On peut très bien imaginer que tel ou tel chrétien, surtout si c'est une chrétienne, se sente offusquée à la lecture de tel ou tel épisode des <I>Confessions</I> d'Augustin, un pionnier du genre, notamment un épisode d'avant qu'il ne se soit assagi. Personnellement, j'aime que l'autofiction soit aussi dépourvue de grandes déclarations idéalistes que possible. Comme la tendance de chacun à "généraliser" est inscrite dans le génome humain, disons qu'il est préférable que la "philosophie" de l'auteur ne soit pas trop apparente, qu'elle soit "retenue". Ainsi, L.-F. Céline a deux ou trois idées bien arrêtées sur la vie et le monde qui l'entoure, mais il évite de nous assommer à chaque page du <I>Voyage</I> ou de <I>Mort à crédit</I> avec des sermons. C'est aussi ce qui fait qu'on lit plus volontiers les <I>Confessions</I> de saint Augustin qu'une encyclique de Benoît XVI ; même si saint Augustin ne peut s'empêcher de prononcer des sermons de temps en temps, on sent le chrétien palpiter encore à près de seize siècles de distance, tandis que Benoît XVI, ce n'est qu'un rappel à un ordre plus juste, une tentative de restaurer de vieilles règles. Du coup la portée n'est pas la même. La pilule passe moins bien lorsqu'elle n'est pas dissoute dans la potion. <CENTER>*</CENTER> Ce qui est amusant, c'est que l'autofiction n'implique pas plus d'exactitude que le roman. L'exemple de Rousseau est significatif, lui qui s'aventure souvent dans des domaines, l'éducation, la politique, la musique, dont il n'a à peu près aucune expérience, et puis qui travestit allègrement la réalité de son existence, de son éducation, de ses amitiés ; il y a l'exemple de Chateaubriand aussi, qui peut passer pour un fieffé menteur, si on le confronte à une bonne biographie. C'est le jeu de compléter Bloy, Céline, Rousseau, par une bonne biographie, et de voir ce qu'il y a dans l'interstice (ou le grand écart). Ce qui m'a poussé à lire le petit essai que L. Jerphagnon consacre à saint Augustin, c'est une interviou où il déclarait son antipathie pour sainte Monique, la mère d'Augustin. Je me montrai curieux de savoir pourquoi ? Alors même que saint Augustin fait l'éloge de sa mère, de sa soumission à son mari païen… Mais l'argument de Jerphagnon contre Monique n'est guère étoffé, c'est quasi un préjugé. Principalement il lui fait grief d'avoir chassé la maîtresse d'Augustin et son fils, afin de permettre à Augustin, dont la carrière venait de décoller, de faire un mariage plus brillant. Et puis il reproche à Monique d'être un peu trop "dévote". Qui plus est Jerpahgnon est de confession protestante, c'est étonnant lorsqu'on sait l'importance de la "carrière professionnelle" dans les milieux protestants, leur empressement à rejoindre les rangs de la laïcité et de la démocratie la plus bigote ! En outre, Jerphagnon essaie d'imiter le franc-parler d'Augustin, mais il consacre trop de temps à faire le catalogue de vieilles idées philosophiques gréco-latines qui, extraites de leur fondements historiques, n'ont pas beaucoup d'intérêt. <CENTER>*</CENTER> Des exemples contemporains comme ceux de Modiano, Angot ou Beigbeder, montrent bien que le roman est un peu pris au piège dans "une grande démocratie comme la nôtre". Ce piège, on peut d'ailleurs dire qu'il n'entrave pas seulement le roman, mais toutes les formes de création, ce piège se présente comme un paradoxe : chacun d'entre nous ou presque est encouragé à devenir un artiste - transformé en génie par la grâce de quelque slogan le moindre patouilleur capable de justifier ses patouilles ou son bout de pellicule avec deux ou trois phrases habiles -, dans le même temps que la société de consommation prive les individus de toutes les conditions favorables à l'épanouissement de l'art, voire de l'artisanat.
Xavier JASSUhttp://lapinos.hautetfort.com/about.htmlExplorationstag:lapinos.hautetfort.com,2007-04-03:9680312007-04-03T14:40:00+02:002007-04-03T14:40:00+02:00 Depuis Mort à Crédit , il y a quelques mois, je n’ai pas lu un seul...
<div style="text-align: center"><a href="http://lapinos.hautetfort.com/images/medium_dianewatteau.2.gif" target="_blank"><img src="http://lapinos.hautetfort.com/images/medium_dianewatteau.2.gif" alt="medium_dianewatteau.2.gif" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" /></a></div> Depuis <I>Mort à Crédit</I>, il y a quelques mois, je n’ai pas lu un seul roman : la peur d’être déçu, de trouver tous les plats un peu fade en comparaison. Dans la réédition en "poche" du <I>Gilles</I> de Drieu La Rochelle, je n’ai pas dépassé la préface. Contre le reproche qui lui est fait de trop se préoccuper de politique, Drieu se défend en mettant au défi de trouver un grand auteur qui se désintéresse de la chose politique. Cet avis aussi - je le partage -, que la France est un pays de peintres, d’observateurs attentifs ; pas étonnant qu’elle attire autant les iconoclastes (Mais d’être d’accord avec Drieu ne me donne pas envie de lire un des ses romans pour autant.) Je vois qu’on publie un volume du journal intime de Matzneff. J’ignore tout ou presque de la production de Matzneff, comme de celle de Drieu. Je lis quelques pages. La pédophilie ne m’intéresse pas, c’est une fiction juridique, comment peut-on fonder une littérature là-dessus ? Il faut être bien persuadé de la permanence des conventions humaines… C’est le désir sexuel pour les personnes âgées qui est plus rare et susciterait plutôt ma curiosité. À plusieurs reprises Matzneff décrit ses rapports sexuels avec ses lycénnes chéries de cette façon à peu près : “Nous avons fait l’amour, c’était fantastique !” Une telle idéalisation du coït, ça fait un peu sourire, quand même. On dirait que Matzneff a quinze ans lorsqu’il écrit des choses pareilles. Est-ce qu’il le fait exprès ? Est-ce qu’il n’a pas peur tout d’un coup de se transformer en adulte ? Ce n’est pas là-dedans non plus que je ferai mon miel ; probablement faut-il être soi-même lycéenne pour goûter cette littérature pleinement et je ne me sens pas l’âme d’une lycéenne aujourd’hui… Je prends donc finalement la résolution d’achever la petite biographie de saint Augustin par Lucien Jerphagnon.