Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Créez votre blog gratuit ou pro

Je crée mon blog Explorez la blogosphère Explorez la blogosphère Explorez la blogosphère Explorez la blogosphère Explorez la blogosphère

Notes sur le tag : jean-luc aribaud

Tags relatifs

Dernières notes

Les derniers mots de Fernando Pessoa

"Donnez-moi mes lunettes" ; Il était très myope et voulait entrer dans l'autre monde avec ses lunettes. Antonio Tabucchi, Nocturne indien Photo de Jean-Luc Aribaud

Publié le 24/10/2008 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

L'extraordinaire du roman

"L'extraordinaire du roman, c'est que pour comprendre le réel objectif, il invente d'inventer. Ce qui est menti dans le roman libère l'écrivain, lui permet de montrer le réel dans sa nudité. Ce qui est menti dans le roman est l'ombre sans quoi vous ne verriez pas la lumière. Ce qui est menti dans le roman sert de substratum à la vérité. On ne se passera jamais du roman, pour cette raison que...

Publié le 13/03/2008 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Nocturnes 5.0

72 pages 30 photographies 80 poèmes de Jean-Luc Aribaud Zorba Editions, 16 rue de l'Egalité, 31 140 Saint-Alban Prix : 15 euros

Publié le 22/12/2007 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Plaisir âcre, puissant, paisible

Une semaine plus tard, la chair de Léonore bien présente, chez lui. Le feu crépite dans la cheminée. Gaétan contemple son corps endormi pigmenté de rouge par les reflets incandescents. Son regard est si intense, scrutateur, gourmand, qu’il craint de la réveiller. Elle est sublime, dos nu jusqu’aux reins, on devine l’arrondi des hanches. La dénuder complètement, il en a furieusement envie....

Publié le 25/11/2007 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Une sorte de point aveugle de notre existence

Voilà Raphaëlle, tu es à Florence, avec des gens, à un concert où je vais interpréter les plus belles mélodies pour toi. Où es-tu exactement ? Ici ? Ailleurs ? Nulle part. En toi ? Même pas. De toute façon, je vais t’emmener encore plus loin. Sais-tu qu’il y a   un lieu tout proche auquel nous n’accédons jamais ? Une sorte de point aveugle de notre existence,...

Publié le 17/04/2007 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

A Florence...

A Florence, on étouffe toujours un peu, c’est écrasant à force, on baigne dans le liquide épais de l’imagination (…) Elle se sent protégée par l’histoire qui émane des palais, des fenêtres à lamelles, du ciel bleu lui-même qui glisse sur l’Arno en un reflet couleur terre . Jean-Jacques Marimbert, Raphaëlle, éd du Ricochet, 2000 Photo : Jean-Luc Aribaud

Publié le 16/04/2007 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Ou des soupes à Warhol ?

Les grands soirs falsifiés de fond en comble : foules, cocardes, guillotines et neiges en boîte, greffes de révolution sur des mains fouillant le visible, les stocks dans les vitrines obscènes. Comment... Comment jugerez-vous octobre juillet et tout le recyclé de l'histoire, l'événement vendu comme de l'antiride ou des soupes à Warhol ? Jean-Luc...

Publié le 16/03/2007 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Nous savons de quel côté regarder

Un oiseau bleu s'envole vers l'est, entre les mains tendues de cette terre gelée dont la poussière des routes s'effrite sous les yeux de ceux que les sommeils quittèrent. Les femmes brusquement raccrochent leurs tabliers, lancent leurs coeurs à sucer à des enfants plus pâles que des pierres de lune. Les herbes libres des champs et les statues de marbre, content à l'abîme le plaisir...

Publié le 11/03/2007 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Le passage des enfances

Nous ressemblons à présent à ces hautes demeures, dont les murs ficelés de lierre se dépêchent de vieillir, comme pour mieux cerner le passage des enfances. Jean-Luc Aribaud. Les mondes illimités. L'arrière-Pays, 1998 Tableau de Frédérique Azaïs

Publié le 10/03/2007 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Comme les autres tu croiras à ce corps recomposé

Comme les autres tu croiras à ce corps recomposé : nouvelle perspective, avenue de l'Europe ouverte sur le chant infini des astres... Et ta langue toujours qui ne saura profaner ses propres tombes... Bayreuth, Sarajevo, vitrines illuminées d'amandiers en fleur, et dans les égouts intraitables des vérités noires pleines de récidives... Mais tu...

Publié le 20/01/2007 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Page : 1 2 Suivant