Les notes sur le Tag jean%20daive : blog hautetfort

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revue KOSHKONONG : recension

C’est toujours avec le même plaisir que l’on découvre un nouveau numéro de la revue dirigée par Jean Daive. En page de couverture débute, cette fois, la traduction d’un poème d’Elizabeth Willis par Martin Richet. La seconde strophe commence par « la première phase est le chaos » et le poème semble en effet inorganisé, incohérent par la succession d’éléments...

Publié le 13/12/2017 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Jean Daive, Paul Celan, les jours et les nuits : recension

La poésie de Celan et sa correspondance sont maintenant, pour une grande partie, disponibles en français et, en France, de nombreux travaux ces vingt dernières années ont exploré différents aspects de l’œuvre — on pense notamment aux livres majeurs de Jean Bollack, aux études de Martine Broda, Alain Suied, Jacques Derrida, Yves Bonnefoy et, récemment, de John. J....

Publié le 27/03/2016 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Jean Daive, Paul Celan, les jours et les nuits

Ghérasim Luca Ghérasim Luca avait une place [dans le monde]. Il occupait une place et il le savait. Nous nous étions rencontrés à Oslo en mai 1985, à...

Publié le 26/02/2016 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Jean Daive, Monstrueuse

Une maison basse en angle dans un parc en fleur ne dort pas n’allume rien, la nuit quelques sons, dedans et dehors étouffés, résonnent des bois creux battent contre des palissades un homme seul frappe des cuillères en bois pour suspendre au-dessus des jardins en fleur l’acrobate, l’arlequin, l’écuyère il remonte le mécanisme d’un conte de fée...

Publié le 09/05/2015 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Robert Creeley (1926-2005), Dire cela

Catulle, tu décoiffes 1 Mon amour — mon amour dit qu'elle m'aime. Et qu'elle n'aura jamais un autre homme que moi. Pourtant ce qu'une femme annonce à un homme qui la jette doit être écrit sur le vent et sur l'eau vive. 2 Ma vieille dit c'est moi je suis le mieux, elle dit personne ne le fait mieux que moi. Mais...

Publié le 20/06/2014 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Jean Daive, L'énonciateur des extrêmes

Tard dans sa vie le photographe André Kertész met en scène Elizabeth sa femme qui vient de mourir au moyen d'une figurine de verre qu'il pose sur le rebord de la fenêtre puis d'un buste de verre. Il présente des transparences. Il conjugue des transparences ajoute une seconde figurine. La lumière est mystifiée en présence...

Publié le 21/07/2012 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

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