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Notes sur le tag : james sacré

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Dernières notes

Quelque chose de mal raconté (extrait), de James Sacré

Marc Léonard , L'âme du chien errant autour de la maison abandonnée -  73 x 100 cm     Le printemps fait venir des couleurs aux maisons d’un quartier avec des arbres des pelouses et beaucoup de bleu paraît l’impression qu’on a c’est un peu comme de passer dans l'air et du terreau mêlés à travers des serres bien entretenues très suffisamment...

Publié le 20/02/2016 dans vivelescouleurs par DH | Lire la suite...

James Sacré, Dans l'œil de l'oubli, suivi de Rougigogne

                                                          J’ai bien conscience souvent que j’écris en mêlant les...

Publié le 29/11/2015 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

James Sacré, Dans l'œil de l'oubli, suivi de Rougigogne

                                                    Cahiers guenille      Il y a ces premiers cahiers, quatre ou cinq,...

Publié le 07/06/2015 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

James Sacré, Cherchet-on le père qu'on a eu ?, dans Rehauts

                   Juste après qu’on a dépassé Carcassonne Venant de Montpellier On entre comme dans les couleurs que sont Les toiles de Bentajou, visage rouges En bord de labours ocre rose ou marron Ou leurs feuillages morts Avec des traces de verdure. Bentajou A tiré de cela...

Publié le 06/03/2015 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

James Sacré, Le désir échappe à mon poème

                                        Petite note sur le désir d'écrire   [...]    Lecteur qui m'avait pas prévu.    Écrire comme on drague. L'écriture comme une rencontre. Les mots que me tend l'autre toujours :...

Publié le 23/11/2014 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

James Sacré, On cherche. On se demande

Entre les vergers de Capitol Reef (Bientôt la couleur des abricots va mûrir) Et les dessins d'il y a si longs siècles Sur les parois de roche ocre et rouge, pas loin Va le bruit courant de la rivière Frémont.   C'est beaucoup d'histoire, mêlée au moment présent, Qui font de ce lieu vert et frémissant d'eau Un jardin paradis dans un désert de pierre Lequel...

Publié le 25/08/2014 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Toit dans l’ombre (ou lampe) et le temps, de James Sacré

Tableau de Caroline Bailey    Le jardin (ou verger) nourrit l’air du printemps.  J’y travaille un poème où disparaît le temps  (Je le veux), je regarde un village patient.  Mais les pivoines sang, les pommes que j’attends ?  Cœur, l’espace est léger : jardin qui se détend ;   Il faut pour un automne oublier le...

Publié le 09/05/2014 dans vivelescouleurs par DH | Lire la suite...

James Sacré, Donne-moi ton enfance

                                La campagne de ton enfance. On la voit qui s'en va loin : au-delà de grands oliviers qui sont comme un geste du tems. Cette campagne est une belle étendue de lumière et de champs cultivés tenue dans la hauteur et relevée sur ses bords en collines qui sont déjà de la...

Publié le 08/05/2014 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

James Sacré, Ne sont-elles qu'images muettes et regards qu'on ne comprend pas ? : recension

     Le titre, énigmatique, renvoie à des photographies plus ou moins anciennes d'Indiennes, devenues des cartes postales ; c'est à partir d'elles que James Sacré a, en partie, écrit un ensemble de poèmes. En partie : la lecture des images s'appuie aussi beaucoup sur sa fréquentation régulière des lieux où les populations indiennes — ce qu'il en reste — ont été...

Publié le 02/05/2014 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

James Sacré, Ne sont-elles qu'images muettes et regards qu'on ne comprend pas ?

     Mais parfois le sourire le pus vivant   Les deux jeunes mères navajos Qui déjeunaient ce midi à la même table que nous Sorte de hangar ouvert aux deux extrémités Pour un peu de fraîcheur Après la poussière et 38 degrés de chaleur... Aux puces de Gallup, c'est tous les samedis Les toujours mêmes stands je suppose, pacotille Et...

Publié le 20/04/2014 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

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