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Notes sur le tag : jacques dupin

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Dernières notes

Jacques Dupin, La mèche

             La mèche   Éteinte dans sa tombée une phrase épanouie frissonne dans l'aléa des copeaux qui se dispersent   L'armature du tonneau se tend à crever la panse du gueux assoiffé de mots   l'intérieur du vin ouvert comme un théâtre de consonnes tangue dans les vertèbres   le hoquet...

Publié le 07/07/2012 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Jacques Dupin, Gravir

                     La soif   J'appelle l'éboulement (Dans sa clarté tu es nue) Et la dislocation du livre Parmi l'arrachement des pierres   Je dors pour que le sang qui manque à ton supplice, Lutte avec les aromes, les genêts, le torrent De ma montagne ennemie.   Je marche...

Publié le 21/04/2012 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Lichens 3, de Jacques Dupin

    Ce que je vois et que je tais m'épouvante. Ce dont je parle, et que j'ignore, me délivre. Ne me délivre pas. Toutes mes nuits suffiront-elles à décomposer cet éclair? O visage aperçu, inoxerable et martelé par l'air aveugle et blanc!   A l'aplomb, Lichens 3. L'embrasure Poésie Gallimard p 54 Tableau de Tapiès

Publié le 07/02/2012 dans vivelescouleurs par DH | Lire la suite...

Jacques Dupin, Une apparence de soupirail

   J'étais le seul. L'œil en activité. Elle était le nombre. Dormant. Le nombre, et le monstre. Dormant . Elle est le trait, la soif, l'herbe folle. Elle est la veuve, et l'éclair, d'un orage futur...      Comme s'affile la lame, commence l'écoute, la dictée... Quelques gouttes de sang, et cet étirement du vide entre chien et loup...   ...

Publié le 30/12/2011 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

PEINTURE : ELOGE DE GERARD TITUS-CARMEL

Parlez-moi, si vous voulez, de GERARD TITUS-CARMEL, bien qu’il soit beaucoup moins confidentiel. Sa peinture (parce que, figurez-vous, il fait de la peinture) est celle d’un INDIVIDU. J’ai découvert les dessins de GERARD TITUS-CARMEL dans le volume des Actes d’un colloque qui s’est tenu en 1970 à Cluny (p. 86 et suivantes). Quelques-unes des 25 Variations sur l’Idée de Rupture . Des...

Publié le 24/10/2011 dans ALEXIPHARMAQ... par fredlautre | Lire la suite...

Jacques Dupin, Gravir, Chansons troglodytes

                           Francis Bacon, Portrait of Jacques Dupin , 1990                Ta nuque, plus bas que la pierre, 0 false 21 18 pt 18 pt 0 0 false false false /* Style...

Publié le 04/09/2011 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Contumace, de Jacques Dupin

  le réel en retour, offre toutes ses faces,  ensemble, à ta seule étreinte fixe,  nulle prise tenue, retenue, mais l’excavation blanche,  la lettre volée, le rapt éclairant,          un chavirement de l’étendue dans la lumière,  seule à répercuter ...

Publié le 28/06/2011 dans vivelescouleurs par DH | Lire la suite...

Jacques DUPIN et le ROSSIGNOL

    Lui, le rossignol, une nuit de mai, la perfection de son chant me tient en éveil, et me comble, et finit de me persuader de ne plus écrire, - ou de m'obstiner follement à écrire, l'une et l'autre, pour lui, allant de soi, étant ressaisis par son chant, relancés par sa folie, le jaillissement de sa gorge touchant le silence...   Jacques DUPIN , Echancré, POL,...

Publié le 17/06/2011 dans Sur du vent par SUR du VENT par Henri CHEVIGNARD | Lire la suite...

Poème du Jour...

  Comme il est appelé au soir en un lieu tel que les portes battant sans fin facilitent ou dénouent le tête-à-tête   hors de la crypte forestière il la traîne au grand jour, ou plutôt il lui parle   il la dénude parmi les rafales de vent ou plutôt il commence à se taire avec une telle fureur dans les rayons de la lumière verticale une telle...

Publié le 27/09/2010 dans Les songes... par Kraly | Lire la suite...

Jacques DUPIN et le mur

Le prisonnier ne prononce pas le mot mur même lorsqu'il écrit sur (De Jacques DUPIN dans Coudrier - éd. P.O.L.) ... ni la palombe le mot ciel, même si le feu du chasseur peut l'y fixer pour l'éternité ni le pêcheur le mot mer, même quand elle hante ses yeux

Publié le 04/10/2006 dans Sur du vent par SUR du VENT par Henri CHEVIGNARD | Lire la suite...

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