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Notes sur le tag : jacques réda

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Dernières notes

Jacques Réda, L'Herbe des talus

                             Tombeau de mon livre   Livre après livre on a refermé le même tombeau. Chaque œuvre a l’air ainsi d’une plus ou moins longue allée Où la dalle discrète alterne avec le mausolée. Et l’on dit, c’était moi, peut-être, ou bien : ce fut mon beau Double infidèle...

Publié le 23/09/2011 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Jacques Réda, Celle qui vient à pas légers

       Poète, on ne l’est guère que quelques années dans une vie et, durant ces années, quelques mois ou semaines (je dirai volontiers : minutes) ; qui plus est, sans pouvoir sur le retour de ce saisissement qui nous exclut. Car c’est commodité, si nous ramenons la poésie à des noms de poètes qui en sont si peu les auteurs (comme on a toujours dit — j’entends...

Publié le 05/08/2011 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Jacques Réda, Les Ruines de Paris

Car finalement nous ne sommes, me confie ce livreur, que de passage et pour très peu de temps sur terre, mais trop de gens ont tendance à l’oublier Si bien que tout se déroule à l’envers de ce qui devrait être : partout la haine au lieu de l’amour. Tels sont les propos qu’il me tient dans une langue aussi difficile à reproduire que son accent : le parigot où sous la gouaille pointe...

Publié le 21/05/2011 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

JOSEPH BIALOT

Les rues de Paris (je devrais dire, comme Jacques Réda, les ruines de Paris ) ont leurs observateurs plus ou moins touchants. Il y en a d’éminents, à commencer par Léon-Paul Fargue qui met de la poésie sur tout ce qu’il touche. D’autres, et en quelque sorte à la suite, ont fait parler le trottoir avec la voix de l’enfance. Ceux-là me sont très chers (Henri Calet, André...

Publié le 02/09/2010 dans GUY DAROL... par WG | Lire la suite...

Pour un verger, de Jacques Reda

      Claude Monet (origine non connue)   P oème : le seul lieu comparable à ce trouble  H eureux qui ressaisit, le soir, près d'un verger,  I fs et roses, l'espoir souvent déchiré, double  L umière qui s'éloigne et veut nous héberger.   I nfaillible refuge, et pourtant illusoire :  P entes au loin plus délicates qu'un...

Publié le 09/07/2010 dans vivelescouleurs par DH | Lire la suite...

l'impossible

Dans L'Herbe des talus , le promeneur impénitent qu'est Jacques Réda est dans un train arrêté inopinément. Par une fenêtre éclairée, il voit une femme. Elle parle. Il ne peut comprendre ce qu'elle dit mais devine, écrit-il, une phrase comme on n'a pas voulu de lui . Elle s'adresse à quelqu'un que l'écrivain ne peut pas voir. L'arrêt se prolonge. Le texte touche pourtant à sa fin. En voici...

Publié le 06/02/2010 dans off-shore par nauher | Lire la suite...

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