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Notes sur le tag : imre kertész

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Hommage à Imre Kertész

   Le mois dernier a disparu le grand écrivain hongrois Imre Kertész. Né en 1929, il avait tout connu des calamités du siècle : la déportation à Auschwitz par les nazis, puis la dictature communiste pendant quarante ans. Il n'avait pas voulu quitter la Hongrie, uniquement par fidélité à sa langue natale, la langue de ses livres. Mais il n'aimait pas vraiment son pays d'origine....

Publié le 12/04/2016 dans Le blog de... par Jacques-Emile Miriel | Lire la suite...

Imre Kertész dans la Zone

Photographie (détail) de Juan Asensio, exposition Anselm Kiefer à la BNF. Aux portes de la Camarde. Sur Être sans destin , Kaddish pour l'enfant qui ne naîtra pas et Un Autre . Primo Levi et Imre Kertész ou le drame de la formulation. Sur Le drapeau anglais . Au-delà de l'effondrement, 7 : L'Holocauste comme culture d'Imre Kertész. Sur...

Publié le 31/03/2016 dans STALKER -... par Juan Asensio | Lire la suite...

Sauvegarde d'Imre Kertész

Crédits photographiques : Gary Hershorn (Reuters). Imre Kertész dans la Zone . À propos de Imre Kertész, Sauvegarde , traduction du hongrois par Natalia Zaremba-Huzsvai et Charles Zaremba, Actes Sud , 2012. LRSP (livre reçu en service de presse). « Pas de poésie après Auschwitz , avait recommandé Theodor Adorno. Bien sûr. Mais pourquoi tant de romans depuis Hiroshima...

Publié le 21/10/2012 dans STALKER -... par Juan Asensio | Lire la suite...

Journal de galère d'Imre Kertész

Crédits photographiques : Stringer (Reuters). À propos de Imre Kertész, Journal de galère [ Gályanapló , 1992], traduction de Natalia Zaremba-Husvai et Charles Zaremba, Actes Sud , 2010). LRSP (livre reçu en service de presse). «Pour qui joue-t-il ? Pourquoi joue-t-il ? Lui-même ne le sait pas. De surcroît – et c’est là le plus étrange –, il n’entend même pas ce qu’il joue....

Publié le 21/03/2011 dans STALKER -... par Juan Asensio | Lire la suite...

Au-delà de l'effondrement, 7 : L'Holocauste comme culture d'Imre Kertész

Crédits photographiques : Kim Kyung-Hoon (Reuters). À propos de Imre Kertész, L'Holocauste comme culture (Actes Sud, 2009). LRSP (livre reçu en service de presse). «Quand on écrit sur Auschwitz, il faut savoir que, du moins dans un certain sens, Auschwitz a mis la littérature en suspens. À propos d’Auschwitz, on ne peut écrire qu’un roman noir ou, sauf votre respect, un...

Publié le 21/07/2009 dans STALKER -... par Juan Asensio | Lire la suite...

Primo Levi et Imre Kertész ou le drame de la formulation

Crédits photographiques : NASA/GSFC/Arizona State University. «Je ne savais pas que l’existence se manifestait toujours sous la forme d’une conscience secrète et coupable, et que le monde de la catastrophe était en fait le monde de cette conscience secrète et coupable exacerbée jusqu’au reniement de soi, qui ne récompensait que la vertu du reniement de soi, n’offrant le salut que dans...

Publié le 18/07/2005 dans STALKER -... par Juan Asensio | Lire la suite...

Berlin-Tel-Aviv, Tel-Aviv-Berlin par Sarah Vajda

Crédits photographiques : Paolo Pellegrin (Magnum, National Geographic ). Nous, nos fils et petits-fils, arrière-petits-fils, nous devrons faire le voyage Première station, Tu marcheras sur l’eau (sorti en salles le 5 janvier et toujours à l’affiche). Ce pèlerinage accompli ensemble ne sera plus l’expression d’une révolte, nous ne serons plus ce communiste israélite français...

Publié le 08/02/2005 dans STALKER -... par Juan Asensio | Lire la suite...

Aux portes de la Camarde : Imre Kertész et Jean-Michel Palmier

Crédits photographiques : Alexander Khudotioply (Reuters). Lecture du curieux Être sans destin d’Imre Kertész. Étonnant de constater qu’il peut y avoir, aussi monstrueux soit-il et propre à choquer les imbéciles de toute obédience, un plaisir, non, un bonheur à Auschwitz, une phénoménale capacité d’adaptation de l’homme à l’horreur. Il n’y a dans ce livre que des descriptions,...

Publié le 27/12/2004 dans STALKER -... par Juan Asensio | Lire la suite...

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