Last posts on imposture2024-03-29T09:09:23+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://www.hautetfort.com/https://www.hautetfort.com/explore/posts/tag/imposture/atom.xmlChristian COTTET-EMARDhttp://cottetemard.hautetfort.com/about.htmlCarnet / Pourquoi je ne voterai jamais pour les écologistestag:cottetemard.hautetfort.com,2021-04-09:63085082021-04-09T01:18:19+02:002021-04-09T01:18:19+02:00 À propos des problèmes liés à la pression de l’activité humaine sur...
<p style="text-align: center;"><img id="media-6245857" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://cottetemard.hautetfort.com/media/02/00/4160164990.jpg" alt="politique,polémique,élections,calcul électoral,écologistes,écologie politique,fausse écologie,écologie punitive,ressentiment,imposture,pastèques,opinion,carnet,note,journal,blog littéraire de christian cottet-emard,nouvelles du front,affrontement,idées,idéologie,environnement" /></p><p class="p1" style="text-align: justify;"><span class="s1" style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">À propos des problèmes liés à la pression de l’activité humaine sur l’environnement naturel, j’entends souvent dire qu’<em>il faut changer de logiciel</em>. </span></p><p class="p1" style="text-align: justify;"><span class="s1" style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">On ne changera pas de logiciel avec les écolos qui sont actuellement sous le feu justifié des critiques et qui, à peine arrivés par accident électoral aux manettes dans quelques grandes villes, révèlent (j'allais dire « dévoilent » mais ce n'est pas le bon terme en ce qui les concerne) brutalement leurs visages d'idéologues sortis des poubelles de l'extrême-gauche (là au moins, le recyclage fonctionne). </span></p><p class="p1" style="text-align: justify;"><span class="s1" style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">De cette extrême-gauche qui a toujours poursuivi le même but (prendre le pouvoir par la violence et « rééduquer » les esprits sous prétexte de faire le bonheur des peuples contre leur gré), ces soi-disant écolos ont les mêmes réflexes, notamment celui de s'allier cyniquement avec l'ennemi pour tenter d'exister (cf Strasbourg). De ce côté-là, rien de nouveau sous le soleil. Je me réjouis que ces imposteurs soient démasqués. </span></p><p class="p1" style="text-align: justify;"><span class="s1" style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">La véritable écologie qui ne peut être ni fanatique, ni punitive ni naïve est déjà à l'œuvre dans la science et dans les progrès techniques. Il y a certes des dérives à corriger, d’ailleurs l'écologie politique telle qu'elle se structure depuis quelques temps en est une belle, avec ses ayatollahs et leurs suiveurs de cette nouvelle petite bourgeoisie verte hors-sol, perdue dans sa confusion mentale faite de rêveries plus ou moins New-age, d'ignorance scientifique, d'inculture et de ressentiment. </span></p><p class="p1" style="text-align: justify;"><span class="s1" style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Il suffit de gratter un peu sous l’écolo-bobo-gaucho parfois islamo-facho compatible dont nous avons tous quelques exemplaires dans nos entourages respectifs pour<span class="Apple-converted-space"> </span>trouver quelqu’un qui, en réalité, a des comptes à régler avec sa propre culture, son éducation chrétienne, son milieu bourgeois, son échec conjugal, sa soif de revanche sociale ou que sais-je encore (les origines du ressentiment sont multiples) et ce n’est pas sur ce socle pourri que se bâtira la véritable et nécessaire écologie.</span></p><p class="p1" style="text-align: justify;"> </p><p><a title="WebAnalytics" href="http://www.xiti.com/xiti.asp?s=563914" target="_top"><script type="text/javascript"><!--Xt_param = 's=563914&p=page_ du_ jour';try {Xt_r = top.document.referrer;}catch(e) {Xt_r = document.referrer; }Xt_h = new Date();Xt_i = '<img width="39" height="25" border="0" alt="" ';Xt_i += 'src="http://logv4.xiti.com/hit.xiti?'+Xt_param;Xt_i += '&hl='+Xt_h.getHours()+'x'+Xt_h.getMinutes()+'x'+Xt_h.getSeconds();if(parseFloat(navigator.appVersion)>=4){Xt_s=screen;Xt_i+='&r='+Xt_s.width+'x'+Xt_s.height+'x'+Xt_s.pixelDepth+'x'+Xt_s.colorDepth;}document.write(Xt_i+'&ref='+Xt_r.replace(/[<>"]/g, '').replace(/&/g, '$')+'" title="Internet Audience">');//--></script><noscript>Mesure d'audience ROI statistique webanalytics par <img width="39" height="25" src="http://logv4.xiti.com/hit.xiti?s=563914&p=page_du_jour" alt="WebAnalytics" /></noscript></a></p>
.http://pdf31.hautetfort.com/about.html« L’appel du 18 juin » ou l’histoire d’une imposturetag:pdf31.hautetfort.com,2018-06-18:60602962018-06-18T07:00:00+02:002018-06-18T07:00:00+02:00 Publié par Guy Jovelin le 18 juin 2018 Auteur : admin4 Le texte...
<p style="text-align: left;">Publié par Guy Jovelin le 18 juin 2018</p><p style="text-align: right;">Auteur : admin4<br /><br /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-5830771" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://pdf31.hautetfort.com/media/02/00/277324001.jpg" alt="appel du 18 juin,de gaulle,imposture" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">Le texte ci-dessous, de 2010, n’a rien perdu de sa valeur. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">« Le 18 Juin 2010 va être célébré le 70ème anniversaire du célèbre appel de Londres de Charles de Gaulle. Or la version officielle, qui va être lue à la BBC, est un faux, comme le démontre le général d’aviation Le Groignec, compagnon de Saint-Exupéry, dans son livre paru en 2004 Philippiques contre les Mémoires gaulliens (Nouvelles Editions latines). </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">Le texte prétendu être celui de l’appel du 18 Juin commence par cette phrase : « Des gouvernants de rencontre ont pu capituler, cédant à la panique, oubliant l’honneur, livrant le pays à la servitude. Cependant rien n’est perdu …. » </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">Or, historiquement, Charles De Gaulle n’a pu prononcer cette phrase insultante pour le Maréchal Pétain et le général Weygand pour les deux raisons suivantes : </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">· 1° A cette date du 18 juin 1940, ces « gouvernants de rencontre » n’avaient pu capituler, car non seulement l’armistice n’était pas signé, mais les plénipotentiaires français n’avaient pu encore rejoindre les lignes allemandes étant donné les difficultés des communications. Cet armistice ne sera signé que le 22 juin avec l’Allemagne, et le 24 juin avec l’Italie. Par ailleurs on ne peut confondre armistice et capitulation. L’armistice est un acte politique, une suspension d’armes où le vaincu peut négocier certaines conditions, c’est le contraire d’une capitulation où le vaincu doit se soumettre sans condition au vainqueur, ce à quoi De Gaulle a consenti le 19 mars 1962 en capitulant devant le FLN, ennemi vaincu sur le terrain, pour se débarrasser du « boulet algérien ».</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;"> En demandant un armistice, la France demande et obtient, le 22 juin 1940, que ni la marine, ni l’Afrique française, ne soit livrées à l’ennemi, qu’un tiers du pays reste en zone libre, et que Lyon et Clermont Ferrant soient évacués par l’armée allemande. En cas de capitulation il y aurait eu deux millions de prisonniers de plus, et tout le territoire aurait été occupé : les Allemands, en effet, avaient atteint Valence et se trouvaient à une étape de Marseille lorsque l’armistice a été signé. · </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">2° Devant l’échec total de cet « appel du 18 Juin » auquel n’avait répondu aucun chef militaire de l’armée, de la marine ou de l’aviation, notamment aucun officier de la division que Charles De Gaulle commandait devant Arras en mai 1940 (suprême affront !) aucun homme politique, aucun diplomate français accrédité à Londres ou dans une autre capitale étrangère , aucun gouverneur ou responsable des colonies de l’Afrique française, aucun ministre résidant dans les pays sous protectorat ou sous mandat, Charles De Gaulle va s’affoler, car il se trouve désormais à Londres complètement isolé, en rupture de ban, sans mission officielle. En effet, la guerre continue et le gouvernement français le somme de rentrer en France, sous peine d’être jugé comme déserteur. Alors de Gaulle écrit au général Weygand la lettre suivante à la date du 20 juin 1940 :</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;"> Londres le 20 Juin 1940 Mon Général, J’ai reçu votre ordre de rentrer en France. Je me suis donc tout de suite enquis du moyen de le faire car je n’ai, bien entendu, aucune autre résolution que de servir en combattant ….. ( MEMOIRES DE GUERRE) Charles de Gaulle- Edition PLON 1954 tome I – page 269) </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">Depuis 1958, cette lettre est dans les livres scolaires, car incompatible avec la légende, avec l’Histoire de France revue et corrigée par la falsification gaulliste, en vigueur encore aujourd’hui. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">La suite reste entourée de mystère. Car de Gaulle ne dispose à cette date d’aucun moyen de transport pour rejoindre Bordeaux où siège le gouvernement français. Il est probable que Churchill, qui venait de rompre avec la France, refusa de lui donner un avion pour que de Gaulle rentre en France. La dissidence de la « France Libre » est donc née sous la contrainte de l’Angleterre, vérité que s’efforce de masquer l’imposture de la version officielle actuelle. Si de Gaulle avait pu rejoindre Bordeaux, comme il en avait manifesté l’intention le 20 Juin 1940, il n’y aurait probablement jamais eu ni de saga, ni de fabulation gaulliste. En effet, quand un officier français écrit une telle lettre pleine de déférence et d’esprit de discipline à son supérieur hiérarchique le 20 juin 1940, il ne peut être le même que celui qui aurait déclaré le 18 juin, deux jours avant, au micro de Londres, parlant du même supérieur, que ce dernier appartenait à « un gouvernement de rencontre qui a capitulé, cédant à la panique, oubliant l’honneur, livrant le pays à la servitude ».</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;"> C’est pourtant ce faux, fabriqué après coup, qui est répandu dans tous les livres scolaires depuis 1958, qui est inscrit dans le marbre au 4 Carlton Garden à Londres, et que nous allons entendre dire et répéter des milliers de fois lors de la célébration officielle du mythe de l’Appel du 18 Juin 1940, pour continuer à entretenir le mensonge de la légende gaullienne de l’homme providentiel. »</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;"> Jean-Marie AVELIN Alain ALGUDO et Geneviève de TERNANT Président Vice-présidents Et l’équipe de Veritas</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">Source : <a href="http://www.contre-info.com/lappel-du-18-juin-ou-lhistoire-dune-imposture#more-28123">contre-info</a></span></p>
Le déclinologuehttp://dernieregerbe.hautetfort.com/about.htmlNAPOLÉON ET LES INCENDIAIRES DU VAR : UN FAUX DOCUMENT, HÉLAStag:dernieregerbe.hautetfort.com,2017-07-27:59713362017-07-27T01:57:00+02:002017-07-27T01:57:00+02:00 Les incendies de forêt qui...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt; font-family: georgia, palatino, serif;"><em><span style="background: white;"> </span></em><span style="background: white;"> Les incendies de forêt qui font en ce moment tant de dégâts dans le Var ont entraîné ces derniers jours une recrudescence de la diffusion « virale » d’un document qui réapparaît périodiquement sur la Toile : une lettre de Napoléon au préfet du Var qui, avec l’autorité qu’on lui connaît, ordonne l’exécution immédiate des pyromanes. En voici le texte :</span></span></p><blockquote><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt; background: white;">« Monsieur le Préfet, J’apprends que divers incendies ont éclaté dans les forêts du département dont je vous ai confié l’administration. Je vous ordonne de faire fusiller sur le lieu de leur forfait les individus convaincus de les avoir allumés. Au surplus, s’ils se renouvelaient, je veillerai à vous donner un remplaçant. Fait à Schoenbrunn le 21 août 1809 »</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-5672706" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://dernieregerbe.hautetfort.com/media/01/00/3945799590.jpg" alt="Napoléon,incendies,indendiaires,var,faux document,forgerie,apocryphe,dictateur,lettre,préfet,fusiller" /></p></blockquote><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt; background: white;"> C’est une belle lettre, qui fait aimer la dictature. On se prend à rêver d’un monde où les criminels pris en flagrant délit seraient promptement châtiés, et l’on se désole, par contraste, de l’incroyable lenteur de notre système judiciaire, paralysé par une législation pléthorique, par des avocats retors et cupides, par des dispositifs de recours à tous les étages, tout ce funeste luxe démocratique qui, ajouté à des moyens insuffisants, fait qu’il s’écoule souvent plusieurs années entre le moment où le brigand commet son forfait, et le moment où il doit subir un châtiment trop bénin… Et on goûte particulièrement la dernière phrase, si suggestive, en notre époque où les incompétents s’accrochent à leur poste comme les moules au rocher : quel beau régime que celui où un chef d’État éclairé, vraiment soucieux des intérêts de son peuple, pouvait terroriser son administration en virant lestement tous les responsables qui n’exécutaient pas diligemment leurs missions !</span><br /><span style="font-size: 10pt; font-family: georgia, palatino, serif;"> Beau rêve, mais est-ce autre chose qu’un rêve ? Au fait, ce document est-il authentique ? N’en irait-il pas de lui comme de ces percutantes maximes, justifiant la dictature, qu’on prête à Napoléon depuis bientôt deux siècles, et qui sont en réalité inventées par Balzac ? <span style="background: white;"><a href="#_ftn1" name="_ftnref1">[1]</a> Avant d'en tirer la moindre réflexion sur la « gouvernance » de Napoléon, le premier réflexe devrait être de s'assurer qu'on ait bien affaire à une lettre véritable, dûment reconnue comme telle, dictée par l'Empereur au lieu et à la date indiqués. (Car il est bien évident que Napoléon, qui a envoyé quelque trente-cinq-milles lettres en une vingtaine d'années, a dicté la quasi-totalité d'entre elles, se contentant de signer ce que transcrivaient ses secrétaires. On peut donc tout-de-suite écarter la fausse objection selon laquelle cette lettre n'est pas de lui car il n'écrivait pas ainsi.)<img id="media-5672710" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://dernieregerbe.hautetfort.com/media/00/01/2704807971.jpg" alt="Napoléon,correspondance,wagram,tome 9" /></span></span><br /><span style="font-size: 10pt; font-family: georgia, palatino, serif;"><span style="background: white;"> Ouvrons la</span> <em><span style="background: white;">Correspondance générale</span></em><span style="background: white;"> de Napoléon, dont la publication est en cours depuis 2004, un des <a href="https://fondationnapoleon.org/activites-et-services/histoire/la-correspondance-de-napoleon/">monuments</a> les plus admirables de l’édition contemporaine. Le tome couvrant la période allant de février 1809 à février 1810 a paru en 2013 ; c’est le tome IX, intitulé </span><em><span style="background: white;">Wagram</span></em><span style="background: white;">. Le 21 août 1809, Napoléon se trouve en effet au château de Schönbrunn, où il a séjourné (avec quelques interruptions) de la mi-mai à la mi-octobre. Ce jour-là, il a fait expédier sept lettres, qui portent les n°21862 à 21868 (pages 1049 à 1055) : deux au maréchal Berthier, major général de l’armée, une au ministre des Relations extérieures (Champagny), une au ministre de la Guerre (Clarke), une au ministre de la Marine et des colonies (Decrès), une au ministre de la Justice (Régnier), ainsi qu’un court billet à Joséphine, écrit de sa main et non pas dicté. Aucune trace de notre document dans ces pages ! Ajoutons que le préfet du Var, entre 1806 et 1811, fut Pierre Melchior d’Azémar (1740-1821) : or ce nom </span><a href="#_ftn2" name="_ftnref2"><span style="background: white;"><span style="background: white;">[2]</span></span></a><span style="background: white;"> est totalement absent de l’index des noms qui figure à la fin du volume : c’est donc que Napoléon ne lui a jamais écrit de lettre pendant cette période, et qu’il ne cite jamais son nom dans aucune autre lettre. Il est vain de croire qu’il y aurait une erreur de date et que la lettre se trouverait ailleurs dans le volume.</span><br /><span style="font-size: 10pt; font-family: georgia, palatino, serif;"><span style="background: white;"> Cette absence est à elle seule une preuve péremptoire que le document en question n’est pas authentique. En effet, il serait tout-à-fait extraordinaire qu’il ait échappé aux minutieuses recherches de l’équipe savante qui, afin de reprendre, compléter et améliorer un travail déjà effectué sous le Second Empire, a passé au peigne fin tous les fonds d’archives publics et privés de France, d’Europe et du monde, ainsi que les catalogues de ventes et d’expositions. En outre, il ne s’agit pas d’une lettre privée qui aurait pu passer de main en main pendant deux siècles avant qu’on perde sa trace, mais d’une lettre officielle à un agent de l’État : si elle avait existé, elle se trouverait dans les archives départementales du Var ou dans les Archives Nationales, de telle sorte qu’elle n’aurait pu échapper aux chercheurs de la Fondation Napoléon. Ce document est dailleurs connu depuis les années 70 </span><a href="#_ftn3" name="_ftnref3"><span style="background: white;"><span style="background: white;">[3]</span></span></a><span style="background: white;">, et on peut donc être sûr que les napoléonologues n’ignorent pas son existence : c’est en toute conscience, et non par bévue, qu’ils l’ont écarté. </span><br /><span style="font-size: 10pt; font-family: georgia, palatino, serif;"><span style="background: white;"> À ceux dont la certitude n’est pas encore faite, il faut recommander d’aller interroger Pierre Branda. Il s’agit d’un historien très sérieux, quoique non universitaire : il a publié des ouvrages qui font autorité, fondés sur des recherches de première main </span><a href="#_ftn4" name="_ftnref4"><span style="background: white;"><span style="background: white;">[4]</span></span></a><span style="background: white;">. Il figure dailleurs dans la liste des personnes remerciées par le tome IX de la</span> <em><span style="background: white;">Correspondance générale</span></em> <span style="background: white;">(p. 1826), et a dirigé le tome XIII qui vient de paraître. P. Branda s'est penché sur la question : dans son ouvrage intitulé</span> <em>Les Secrets de Napoléon</em> (Vuibert, 2014), il consacre <a href="https://books.google.fr/books?id=kqBjCwAAQBAJ&pg=PT107">un paragraphe</a> à ce document, qu’il qualifie sans ambages de mystification, et même de « faux grossier ». Avant de nous apprendre qu’il est apparu en 1969 dans un recueil d’œuvres littéraires de Napoléon qui en a malencontreusement reproduit le fac-similé, l'historien produit trois arguments décisifs pour ruiner sa crédibilité. Dabord, la graphie de cette lettre ne correspond pas à celle de l’un des secrétaires de l’Empereur, ces graphies étant bien identifiées par les éditeurs de la correspondance. Ensuite, Napoléon ne s’adressait jamais directement à un préfet, mais, respectant la voie hiérarchique, au ministre de l’Intérieur. Enfin, le Premier Empire n’était pas une tyrannie soumise à l’arbitraire discrétionnaire de son despote omnipotent, eh non !, mais un état de droit. Tout crime devait être reconnu comme tel, dans les formes, par une cour d’assises, avant de donner lieu à une peine conforme à la législation. Celui qui a promulgué le code civil en 1804 et un nouveau code pénal en 1810 avait à cœur d’organiser la vie sociale, c’est-à-dire d’en soumettre le fonctionnement à la raison, et non pas aux caprices et aux passions. Et justement, ironie de l’histoire (ou clin d’œil du faussaire ?), la dernière lettre du 21 août 1809, celle au ministre de la Justice Régnier (n°21868, p. 1054-1055), se fait l’écho de plaintes émises par des possédants d’un canton de Seine-et-Marne, victimes d’expropriation et non indemnisés. L’Empereur entend faire cesser ces exactions commises par ses services : « Nous ne pouvons pas nous faire à l'idée que nos tribunaux aient besoin de nos ordres spéciaux pour faire exécuter les lois et respecter les principes fondamentaux de l'institution sociale. » Il prend le parti des propriétaires contre les fonctionnaires : « L’expropriation est un acte judiciaire : comment arrive-t-il qu’elle se fait par le canal administratif ? La violation d’une propriété particulière, même par l’autorité publique, sans l’expropriation, est un délit. » Le pseudo-tyran se montre ici un <em>défenseur des droits</em>, un médiateur au service des citoyens contre l’État : « Je désire que vous me fassiez connaître quel est le changement à faire dans notre législation pour abolir toute expropriation administrative, et enfin pour donner à tous les Français recours à une autorité locale contre les abus de l’administration ». Napoléon porte-parole du citoyen de base contre les exactions de la puissance publique, on ne l'attendait pas, celle-là ! Et dans la même journée, Napoléon aurait ordonné à un préfet de faire fusiller sans jugement des incendiaires, au risque de toutes les méprises, tous les débordements, toutes les injustices qu’on imagine aussitôt ?! Ce n’est pas vraisemblable.</span><br /><span style="font-size: 10pt; font-family: georgia, palatino, serif;"><span style="background: white;"> On pourrait ajouter un quatrième argument : c'est que la formule d'entête « Napoléon, par la grâce de Dieu et la volonté nationale, empereur des Français » est typique du Second Empire, mais n'était pas utilisée sous le Premier. Le faussaire a dû découper un morceau de lettre ou de décret de Napoléon III pour fabriquer son document. Le coup de grâce est asséné par une autre lettre de Napoléon à Régnier, la n°16901, dictée à Milan le 17 décembre 1807 (<em>Correspondance générale</em>, tome VII, 2010, p. 1362). Voici ce court billet, bien authentique celui-là, puisqu’on en a la minute aux Archives nationales (AF IV 874) : « </span>Écrivez à mon procureur général près la cour criminelle de Rouen que je suis surpris d'apprendre que les incendies se propagent d'une manière alarmante dans le département de la Seine-Inférieure ; qu'il prenne toutes les mesures pour découvrir les auteurs de ces crimes et pour les poursuivre. » Donc, voilà : il est arrivé au moins une fois que Napoléon ait été informé d’une augmentation anormale d’incendies en un lieu donné. Sa réaction n’a pas été d’ordonner directement à un préfet de déclencher des fusillades expéditives, elle a été de stimuler indirectement le zèle d’un procureur, afin qu’il mette en œuvre le processus judiciaire régulier. Un mythe s’effondre….</span><br /></span><br /><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;"> Il serait intéressant d’enquêter sur cette lettre apocryphe, si c’était possible : le manuscrit existe-t-il quelque part, ou a-t-il été détruit depuis qu’il a été photographié ? À défaut d’en identifier l’auteur, serait-il possible d’en découvrir la date de fabrication, et d’en cerner les motivations ? S’agirait-il d’un faux purement vénal, forgé pour soutirer une grosse somme à un acheteur trop crédule, ou bien d’une imposture idéologique, conçue dans le but de droitiser l’image de Napoléon ? Les deux buts ont dailleurs pu se combiner : le faussaire, ayant bien saisi la mentalité de sa victime, aurait pu lui fournir exactement ce que celui-ci désirait avoir, de la même façon que Vrain-Lucas, dans les documents extravagants qu’il a fabriqués et vendus à Michel Chasles, avait soin de flatter le patriotisme de sa dupe en insérant des éloges de la Gaule sous les plumes de Socrate, d’Aristote et de Cléopâtre.</span><br /><span style="font-size: 10pt; font-family: georgia, palatino, serif;"> Pour ma part, je me dis que placer la dictée de cette lettre à Schönbrunn fait probablement partie de la manipulation : imaginer que Napoléon, au cœur d’un séjour victorieux dans une capitale ennemie, entre la bataille de Wagram et le traité de Vienne, ait pu condescendre à s’occuper personnellement des incendies du Var, voilà qui a une certaine allure, bien plus que n’en aurait eu le même texte signé aux Tuileries en 1802 ou en 1811. Et celà rappelle le fameux décret sur l’organisation de la Comédie-Française, qui porte la mention « au quartier général de Moscou, le 15 octobre 1812 ». Or – comme le rappelle Pierre Branda dans les pages qui précèdent celle à laquelle nous renvoyons –, un faisceau d’anomalies a convaincu les historiens que ce décret, publié au <em>Bulletin des lois</em> le 26 janvier 1813, a été signé à Paris quelques jours avant, et frauduleusement antidaté pour réaliser ce qu’on appellerait maintenant « un coup de com' » : faire croire rétrospectivement que même au milieu du territoire ennemi, l’Empereur continuait à administrer son empire jusque dans les plus petits détails et les domaines les moins militaires. Mais celà n’a été découvert qu’en 1975, et le faussaire, avant 1969, ne pouvait le deviner. Et justement, s’il l’avait su, il se serait sans doute gardé d’imiter ce fallacieux supplément de prestige, craignant que le trucage de Napoléon ne nous mette sur la voie de sa propre imposture<span style="background: white;">…</span></span><br /></span><span style="font-size: 10pt; font-family: georgia, palatino, serif;"> </span><br /><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;"> Il reste à réfléchir sur la diffusion massive de cette lettre apocryphe depuis quelques années et plus encore ces derniers jours. La première chose qu’on peut se dire, c’est que nos contemporains sont décidément bien crédules. Des milliers de personnes diffusent un document bidon, l'approuvent, l'admirent, le commentent, le citent en exemple<span style="background: white;">…</span> sans jamais se demander s'ils ne seraient pas victimes d'un mirage et bernés par un imposteur, sans jamais s'interroger sur l'authenticité du document. Ils foncent tête baissée, comme si, depuis vingt ans que l'internet est entré dans nos vies, ils n'avaient pas déjà été deux-cents fois confrontés à un « <em>fake</em> ». On aurait pu penser que l’internet, qui met une prodigieuse masse d’informations à la portée de tout-le-monde, permettant à quiconque d’effectuer des recherches documentaires très poussées sans sortir de chez lui, allait engendrer une <em>culture de la vérification</em> : il suffit de quelques clics pour se renseigner sur n’importe quel fait et se faire une bonne idée de sa crédibilité. Hélas, on est loin d’observer l’essor d’une telle mentalité à ce jour, et c’est la jobardise plutôt que l’esprit critique qui semble renforcée par l’internet. Pour un zététicien qui ne reçoit pas un document sans aussitôt le soumettre à une petite enquête, n’a-t-on pas cinq, dix, trente gogos qui le diffusent mécaniquement à tous leurs contacts, qui manifestent leur vulnérabilité émotionnelle en faisant savoir aussitôt l’admiration ou l’indignation qu’il leur inspire, qui épanchent leur incontinence verbale en le commentant sans délai à tort et à travers ? « <span style="color: black; background: white;">Assurons-nous bien du fait, avant de nous inquiéter de la cause », disait Fontenelle après Montaigne <a href="#_ftn5" name="_ftnref5">[5]</a></span>. On a envie de dire aux usagers des « réseaux sociaux », qui relaient aveuglément n’importe quoi : vérifiez les informations avant de les publier, demandez-vous si elles sont véridiques avant d’émettre une opinion dessus. Exploitez les ressources utiles de la Toile, avant de la polluer par des saletés. Écoutez ceux qui savent et qui pensent, avant de faire du bruit avec votre sottise. </span><br /><span style="color: black; font-size: 10pt; font-family: georgia, palatino, serif; background: white;"> J’ajoute que, dans les quelques discussions qui sont passées sous mes yeux, j’ai pu constater avec amusement que les ignares sont toujours aussi arrogants : à des internautes avertissant que ce document est un faux (en commentaire sous tel ou tel article), il s’en est trouvé d’autres pour répondre avec mépris, dans le style : « Qu’est-ce que vous en savez ? », « Vous êtes donc plus expert que tout le monde, monsieur je-sais-tout ? », « Oui oui, encore un complot de la CIA », et même : « Cette lettre est publiée depuis un siècle dans les livres d’histoire, donc je ne vois pas pourquoi il faudrait maintenant la rejeter ». Ô les certitudes inébranlables de ceux qui ne savent rien !<span style="font-size: 10pt; font-family: georgia, palatino, serif;"><span style="background: white;">…</span></span> Et comme on croit facilement à l’existence de ce qu’on désire !<span style="font-size: 10pt; font-family: georgia, palatino, serif;"><span style="background: white;">…</span></span> Mais ce qui m’a le plus frappé, c’est que, parmi ceux qui, au contraire, plaidaient pour le faux (la plupart sans avoir pris la peine de faire une recherch
laserlaserhttp://bijou-noir.hautetfort.com/about.htmlLa double imposture (B. Guigue)tag:bijou-noir.hautetfort.com,2017-04-29:59382972017-04-29T18:48:00+02:002017-04-29T18:48:00+02:00 Bruno Guigue · samedi 29 avril 2017 ...
<div class="_39k2"><div id="js_ey4" class="_4lmk _2vxa autofocus _5s6c" tabindex="-1"> </div><div class="_2yud clearfix"><div class="_ohe lfloat"> </div><div class=""><div class="_42ef _8u"><div class="_3uhg"><strong><a class="_2yug" href="https://www.facebook.com/bruno.guigue.10" target="_blank">Bruno Guigue</a></strong><span class="_4_mg">· </span><a class="uiLinkSubtle" href="https://www.facebook.com/notes/bruno-guigue/la-double-imposture/1106498962828891/">samedi 29 avril 2017</a><a id="u_7k_0" class="uiStreamPrivacy inlineBlock fbStreamPrivacy fbPrivacyAudienceIndicator" href="https://www.facebook.com/notes/bruno-guigue/la-double-imposture/1106498962828891/" data-hover="tooltip" data-tooltip-content="Ouvert à : Public"></a></div><div class="_3uhg"> </div><div class="_3uhg"><span style="font-size: 14pt;"><strong>La double imposture</strong></span></div><div class="_3uhg"> </div></div></div></div></div><div class="_39k5 _5s6c"><div><div class="_2cuy _3dgx _2vxa">C’était couru d’avance. <span style="color: #00ffff;">A l’issue d’un premier tour truqué, nous voilà sommés de faire barrage au “fascisme”</span>. La boucle est bouclée. On vole sa victoire au peuple, on lui fait les poches, et maintenant on le traite d’ordure parce qu’il refuse de voter pour un maquereau. En contrôlant la presse, les milliardaires ont préempté le cerveau des électeurs. Le citoyen est conduit par la main, comme un enfant, vers l’urne où il déposera son bulletin “Macron”. On lui dit qu’il faut le faire pour sauver la République, et il le croit. Aucun risque, l’élection du gigolo est assurée. Mais cela ne suffit pas. Il faut encore s’acharner sur ceux qui résistent au décervelage.</div><div class="_2cuy _3dgx _2vxa"> </div><div class="_2cuy _3dgx _2vxa">C'est d'autant plus urgent que le mouflet est à la peine dès qu’on entre dans le vif du sujet. L'affaire Whirlpool, de ce point de vue, est une véritable leçon de choses. Voilà une entreprise qui va fermer parce que ses actionnaires ont décidé de la délocaliser dans un pays, la Pologne, où la main d’oeuvre est plus docile. C’est la “libre circulation des capitaux”, comme disent les traités européens. Les travailleurs sont mis en concurrence les uns avec les autres, et le capital se déplace là où les perspectives de profit sont les plus alléchantes. Porte-parole officiel de l’oligarchie, Jacques Attali a utilisé une belle formule. Cette affaire, a-t-il dit, est “anecdotique”. Le pire, c’est que ce margoulin a raison. Ce drame qui frappe 700 familles, hélas, c’est l’écume des jours, c’est la rubrique des chiens écrasés du capitalisme.</div><div class="_2cuy _3dgx _2vxa"> </div><div class="_2cuy _3dgx _2vxa">Décidé à faire son numéro, l’oligarque poudré se rend alors à Amiens. Et que dit-il aux ouvriers jetés à la porte comme des malpropres ? Que cette fermeture n’a rien à voir avec la mondialisation, que l’Etat n’y peut rien, et qu’il est venu pour parler du plan social. Dès qu’on passe aux choses sérieuses, l'idole des impubères qui s'époumone en salle de concert s’aplatit comme une crêpe devant les vrais patrons. Celui qui a vendu Alstom aux Américains liquidera notre patrimoine industriel, il le mettra en pièces, méticuleusement, tout en éblouissant les gogos avec ses miroirs aux alouettes façon “start-up”. Macron, c’est un fossoyeur qui a seulement pris la précaution de se faire blanchir les dents.</div><div class="_2cuy _3dgx _2vxa"> </div><div class="_2cuy _3dgx _2vxa">Marine Le Pen ayant saisi l'occasion de cette visite pour lui tailler des croupières, le commis de l’oligarchie se trouve alors en difficulté. Vite, il faut inventer autre chose pour le faire rebondir. Heureusement, son équipe de com’ est à la manoeuvre, et elle a un coup de génie. Elle envoie le Don Juan, aussi sec, faire un “selfie” avec le clocher d’Oradour-sur-Glane, ce village français qui fut martyrisé par les nazis. Le message est d'une subtilité impressionnante. Qu'on se le dise ! Si vous ne votez pas pour le freluquet, c’est que vous êtes un copain des SS. “Non, pas ça, pas ça !” s’égosille en meeting le chouchou du Cac 40. A défaut de résister aux multinationales, Macron aura au moins inventé une parodie d’antifascisme, la gueulante au micro tenant lieu d’acte de résistance, avec sa voix éraillée de post-adolescent qui se prend pour Radio-Londres.</div><div class="_2cuy _3dgx _2vxa"> </div><div class="_2cuy _3dgx _2vxa">Macron, rempart contre le “fascisme” ? On pourrait discuter de ce vocabulaire, mais si Le Pen c’est le fascisme, alors Macron c’est Von Papen. Que l’on sache, le Casanova de la finance est le serviteur attitré d’une oligarchie qui a sorti le FN de la naphtaline, l’a nourri au grain, et l’engraisse tous les jours en dévastant la société française. Même si elle en profite, ce n'est pas l'extrême-droite qui a mis les travailleurs en concurrence, détruit les emplois industriels et plié devant le diktat des marchés financiers. <span style="color: #ff00ff;">C'est cette même bourgeoisie, cramponnée à ses privilèges de classe, qui prétend aujourd'hui nous guérir d’un cancer dont elle est la cause. Qu'elle assume ses turpitudes !</span></div><div class="_2cuy _3dgx _2vxa"> </div><div class="_2cuy _3dgx _2vxa">Lorsqu'on nous conjure de combattre Le Pen en votant Macron, c’est comme si on prescrivait un remède dont on est sûr qu’il achèvera le malade, ou comme si on nommait un pédophile directeur d'école. Une imposture n’en chasse jamais une autre, surtout si elles se renvoient la balle. Il suffit d'ouvrir les yeux pour voir que l’antifascisme de Macron n'est que du vent. Macron a besoin de Le Pen pour se faire élire, car il est minoritaire dans le pays. Le Pen a besoin de Macron pour occuper la fonction protestataire que le PS lui a offerte et que Mélenchon a failli lui ravir. Pour lutter contre l'extrême-droite, il faut aussi lutter contre Macron et ceux qui le soutiennent. Et si l’on veut purger la France du nationalisme identitaire, il faudra d’abord tordre le cou à l’oligarchie qui est son tas de fumier.</div><div class="_2cuy _3dgx _2vxa"> </div><div class="_2cuy _3dgx _2vxa">*************************************************************************************</div><div class="_2cuy _3dgx _2vxa">Dans le même ordre d'idée:</div><div class="_2cuy _3dgx _2vxa"> </div><div class="_2cuy _3dgx _2vxa"><p>Pier Paolo Pasolini </p><p>" <span style="color: #00ffff;">Une bonne partie de l'antifascisme d'aujourd'hui, ou du moins ce qu'on appelle antifascisme, est soit naïf et stupide soit prétextuel et de mauvaise foi.</span> En effet elle combat, ou fait semblant de combattre, un phénomène mort et enterré, archéologique qui ne peut plus faire peur à personne. C'est en sorte un antifascisme de tout confort et de tout repos. Je suis profondément convaincu que le vrai fascisme est ce que les sociologues ont trop gentiment nommé la société de consommation, définition qui paraît inoffensive et purement indicative. Il n’en est rien. Si l’on observe bien la réalité, et surtout si l’on sait lire dans les objets, le paysage, l’urbanisme et surtout les hommes, on voit que les résultats de cette insouciante société de consommation sont eux-mêmes les résultats d’une dictature, d’un fascisme pur et simple. "</p><p>*************************************************************************************</p><p>NE NOUS SOUMETTONS PAS !<br /> <strong>Henri Pena-Ruiz</strong><br /> Philosophe, écrivain. <br /> Dernier ouvrage paru : Dictionnaire amoureux de la laïcité (Editions Plon)</p><p><br /> <span style="color: #ff00ff;">Selon Montesquieu le</span><span class="text_exposed_show"><span style="color: #ff00ff;"> propre du despotisme est de gouverner à la peur.</span> Or qui veut nous faire peur aujourd'hui? Ceux qui prétendent que le FN est aux portes du pouvoir alors qu'il sera loin d’avoir la majorité à l'Assemblée Nationale, et par conséquent ne pourra pas gouverner. Les amis de M.Macron, avec sans doute l'appui d'un président qui a trahi les promesses grâce auxquelles il s’est fait élire, mettent en scène leur rêve, en forme de ruse machiavélique. Orchestrer la peur de voir Mme Le Pen gouverner afin de construire pour leur candidat une "majorité présidentielle" écrasante. Et disposer ainsi d’une majorité nette à l’Assemblée nationale pour continuer la politique d'un quinquennat sinistre. C’est typiquement la logique de la cinquième République, hélas aggravée naguère lorsque Monsieur Jospin crut devoir inverser le calendrier électoral. La monarchie présidentielle prenait ainsi davantage encore le pas sur l’élection des représentants du peuple, ligotant celui-ci dans des alternatives mystifiantes. Quant à la lutte contre le FN, certains feraient bien de balayer devant leur porte. Qui donc a cyniquement joué sur un score élevé du FN pour substituer la peur à tout inventaire critique d’une politique de trahison fondée sur une tromperie initiale ?<br /> Sauver la démocratie ? Allons donc ! Monsieur Macron annonce son intention d'aggraver la Loi El Khomri par ordonnances...pendant les vacances d'été, afin d'éviter toute contestation. Jolie façon de réaliser la « démocratie participative » ! Naguère il proposait aux jeunes d’avoir pour seul idéal de devenir milliardaires. Sans doute en exaltant un système « Qui produit la richesse en créant la misère » (Victor Hugo). Belle profession de foi humaniste ! Ouvrons les yeux. Ras-le bol de ce chantage à l'apocalypse pour désespérer encore une peu plus les laissés pour compte du néo-libéralisme et de la « concurrence libre et non faussée". Avant de pleurnicher sur la montée du lepénisme, il serait bon de s'interroger sur ses causes et de proposer une véritable alternative, comme le fait La France Insoumise. Qui vient de faire reculer le score de Marine Le Pen, sinon Jean Luc Mélenchon? Le score du FN est passé de 28 % à 21,5 % tandis que celui du candidat de la France Insoumise a atteint 19,6%. Sa proposition de soumettre toute décision concernant le second tour à une réflexion collective des militants qui l’ont soutenu est toute à son honneur. Elle est en phase avec notre volonté de changer la politique par l’invention d’une sixième République. Elle répond à la complexité d’une situation qui mérite réflexion et délibération, à rebours de toute image d’Epinal. Ceux qui osent traiter Jean Luc Mélenchon de dictateur le calomnient, une fois de plus. Leur rage est d’ailleurs inconséquente. Tantôt ils lui reprochent son autoritarisme vertical, tantôt ils croient devoir s’indigner de sa refondation horizontale de la politique, soucieuse de faire parler le peuple. Il faudrait savoir !<br /> Nous, fossoyeurs de l’Europe ? C’est la façon de construire l’Europe qui en creuse la tombe. Une Europe qui contredit les idéaux de justice qu'elle était censée incarner. Victor Hugo inventa l’expression « Etats-Unis d’Europe », qu’il pensa union des nations sur un mode confédéral. Des nations libres dans une union libre, tournées vers le progrès social et la culture délivrée des inégalités économiques. Il doit se retourner dans sa tombe au regard de la caricature de son idéal par l’Europe actuelle. Une Europe néolibérale voulue par l’homme d’affaires Jean Monnet, attachée à corseter les peuples dans la négation quasi irréversible des conquêtes sociales qui forcèrent le capitalisme à s’humaniser. Qui refuse la régression de civilisation que représente le credo du moins-disant social imposé par l’Europe actuelle ? Qui demande en Europe une harmonisation des droits sociaux par le haut ? La France Insoumise, avec die Linke, Podemos et Syrisa. Monsieur Hollande avait promis de renégocier un traité européen, le TSCG. Il ne l’a pas fait. Et il ose maintenant, avec un ton apocalyptique, reprocher à Jean Luc Mélenchon de vouloir le faire ! Qu’a donné la litanie d’un changement intérieur de l’Europe ? Telle qu’elle a été menée, rien, car elle a sous-estimé l’emprise d’une finance mondialisée et elle a finalement abdiqué devant elle. Le terrible sort réservé au peuple grec en est la preuve. Relisons la mise en garde prémonitoire de Pierre Mendès-France contre cette orientation mortifère pour l’Europe. C’est notre acte d’insoumission qui réconciliera les peuples avec l’Europe, par une refondation politique, écologique et sociale.<br /> Par ailleurs, qui mène la bataille des idées contre le FN en expliquant le rôle des immigrés dans la reconstruction de la France, et en rappelant que les immigrés paient plus de cotisations qu'ils ne touchent de prestations? Qui rejette le nationalisme d'exclusion inspiré par l'opposition du "eux" et du "nous" chère à Carl Schmitt? Qui combat la thèse de Samuel Huntington selon laquelle les civilisations s'opposeraient et se hiérarchiseraient inéluctablement? Qui ouvre la réaffirmation de la souveraineté populaire au niveau national à l’internationalisme, avec la promotion du progrès social pour tous les peuples? La France Insoumise. Et cette orientation n’a rien à voir avec celle du FN et de « préférence nationale » Pour faire reculer les réflexes racistes ou xénophobes, ne nous contentons pas de condamnations moralisantes. Agissons sur les causes et déconstruisons les préjugés obscurantistes. Nous n’avons pas de leçons à recevoir des principaux responsables de la montée du FN ! Trêve de mots pièges et d’amalgames odieux entre les « deux extrêmes ». Un amalgame qui soit dit en passant banalise le FN puisqu’il lui donne le même statut qu’à la France Insoumise !<br /> « Populisme » ! Allons bon, encore un mot magique pour disqualifier sans argumenter ! Le propre du populisme de droite est de flatter le peuple et non de le servir. C’est d’ailleurs le sens littéral du mot démagogie, en grec ancien. Mais si défendre réellement les classes populaires c’est être populiste, alors soyons populistes. Par une telle défense, nous défendons également l’intérêt général. D’où la lutte contre la dévastation des droits sociaux et des acquis du programme du CNR, comme la Sécurité Sociale et les services publics, et le refus de la déconstruction du code du travail à coup de 49-3 et bientôt d’ordonnances. Quant à ceux qui au nom de la rentabilité prétendent ces droits sociaux insupportables pour notre économie, je voudrais qu’ils m’expliquent comment la France des « trente glorieuses » (1945-1975) a pu les supporter alors qu’elle produisait beaucoup moins de richesses que celle d‘aujourd’hui. <br /> Ensemble, en 2012, nous avions chassé la droite. Et pendant 5 ans nous avons eu la droite déguisée en gauche, avec l’exception honorable du Mariage pour tous courageusement promu par Christiane Taubira, réforme sociétale juste, mais qui n’aurait pas dû dispenser de l’attention à la question sociale. Il faut comprendre la désespérance du monde du travail, sans justifier pour autant n’importe quel vote protestataire. Je comprends qu’en l’état actuel des choses on puisse se sentir écartelé entre un vote blanc, improprement appelé « nul », qui marque le dégoût d’une pratique politique désespérante, et un vote Macron, posé un peu vite comme seule alternative à l’extrême droite. Les deux votes sont respectables, et on ne peut en disqualifier un a priori. C’est désormais un troisième tour, celui des Législatives, qui permettra de dresser un véritable barrage contre l’extrême droite, et non un score-fleuve pour Monsieur Macron, adepte du 49-3 et des ordonnances. <br /> Un dernier mot sur l’incroyable faute déontologique et le manque d’esprit laïque du Président de la République. Comment Monsieur Hollande a-t-il considéré les devoirs de sa fonction lorsqu’il a violé la réserve qu’il avait annoncé vouloir respecter, n’étant ni candidat ni chef de parti mais Président de tous les Français? Ses accusations insensées, aux limites de la calomnie, sur la prétendue complicité de Jean Luc Mélenchon avec Assad et Poutine, ou sa propension supposée dictatoriale, ont rompu l’égalité de traitement des candidats alors que la constitution lui faisait un devoir de la respecter. Décidément l’immunité présidentielle, elle aussi, devra être revue par la Sixième République dans le cadre de la moralisation de la vie politique!<br /> Ne nous soumettons pas !!</span></p></div><div class="_2cuy _3dgx _2vxa"> </div></div></div>
Lizouzouhttp://lespetitslivresdelizouzou.hautetfort.com/about.html”La fin d'une imposture” de Kate O'Riordantag:lespetitslivresdelizouzou.hautetfort.com,2017-04-21:59351402017-04-21T12:31:44+02:002017-04-21T12:31:44+02:00 Depuis que Rosalie et Luke ont perdu leur fils Rob, noyé en Thailande,...
<p style="text-align: center;"><img id="media-5609575" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lespetitslivresdelizouzou.hautetfort.com/media/02/02/2854687965.JPG" alt="fin, imposture, kate, o'riordan, folio, policier" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: tahoma, arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Depuis que Rosalie et Luke ont perdu leur fils Rob, noyé en Thailande, ils ont beaucoup de mal à canaliser leur fille rebelle Maddie. En essayant de surmonter leur deuil, Rosalie et Maddie font la connaissance de Jed au groupe de parole. Celui ci pleure la mort de ses parents et de sa grand-mère. Très vite, Jed s'intègre à cette famille brisée, quitte à se rendre indispensable. Mais qui est réellement ce garçon ?</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: tahoma, arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">J'avais repéré ce livre à sa sortie sans pour autant franchir le pas de l'acheter. Alors quand j'ai eu l'occasion de le découvrir en format poche, j'ai sauté dessus !</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: tahoma, arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">J'ai adoré ce thriller psychologique du début à la fin. Tout d'abord, nous faisons la connaissance de la narratrice Rosalie qui a vécu pas mal d'épreuves : la mort de son fils Rob, la tromperie de son mari et pour finir l'adolescence à problème de sa fille Maddie. Ce lot d'épreuves a fragilisé cette petite famille, malgré tout bien entouré, ne serait-ce que par le Père Tom, la grand-mère Faye ou l'amie Léna. Pour essayer de sortir de tout ça et tenter une reconnexion avec sa fille, Rosalie et Maddie vont dans un groupe de parole. Elles y rencontrent Jed, un jeune garçon qui les attendrie toutes les deux. Petit à petit, Jed se fait rapidement une place au sein de la famille. Mais certaines questions et doutes demeurent sur ce garçon Qui est-il vraiment ? Est-ce une si bonne idée de l'avoir accueilli chez eux ?</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: tahoma, arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">La tension monte crescendo comme notre envie de tourner les pages pour enfin savoir le dénouement. J'ai quasiment lu la dernière moitié du bouquin en une demi-journée ! Dès le départ, on sent que ce Jed n'est pas net et on a très envie de le démasquer et d'aider les membres de cette famille à s'en sortir. Tout est dans la psychologie et la manipulation, l'auteur parvient à nous emmener là où elle le voulait dès le départ.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: tahoma, arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Bref, un roman qui m'a beaucoup plu et qui m'a un peu fait penser au roman de Barbara Abel "Derrière la haine" !</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: tahoma, arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Je remercie <a href="http://www.folio-lesite.fr/" target="_blank">les éditions Folio</a> !</span></p>
HISTOIRE & PATRIMOINE BLEURVILLOIShttp://histoirepatrimoinebleurvillois.hautetfort.com/about.htmlLe mythe du sauveur américain 1917-1918tag:histoirepatrimoinebleurvillois.hautetfort.com,2017-02-23:59120092017-02-23T00:00:00+01:002017-02-23T00:00:00+01:00 À chaque anniversaire de la victoire de 1918, documentaires, articles et...
<p><img src="http://histoirepatrimoinebleurvillois.hautetfort.com/media/02/00/3093269329.jpg" id="media-5568171" alt="" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif; font-size: 12pt;">À chaque anniversaire de la victoire de 1918, documentaires, articles et autres livres mettent en avant le rôle capital joué par l’armée américaine dans la défaite de l’Allemagne. Les films d’époque sont rediffusés : arrivée massive des troupes américaines dans les ports français, entraînements à l’arrière du front, défilés impeccables... Ces images qui avaient été tournées pour démontrer que le nouvel allié américain était très puissant ont parfaitement rempli leur rôle : remonter le moral des civils et des soldats qui combattaient depuis 1914. Mais cette propagande a eu une conséquence inattendue : convaincre les générations suivantes que la victoire de 1918 était d’abord une victoire américaine !</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif; font-size: 12pt;">Or, les faits démontrent le contraire : l’armée américaine est principalement transportée par la marine britannique, elle est équipée par les industriels européens et entraînée par l’armée française ! Et elle n’est évidemment pas la plus représentée sur le front : en mars 1918, alors que 110 divisions françaises, 56 britanniques, 12 belges, 2 portugaises luttent sur le front occidental contre 192 divisions allemandes, seules 2 divisions américaines sont présentes !</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif; font-size: 12pt;">Pour la première fois, cet essai passionnant ose remettre en cause le mythe du « sauveur américain » qui nous fait croire, depuis près d’un siècle, que la victoire de 1918 est américaine alors qu’il s’agit avant tout d’un remarquable succès français, britannique et italien. Pour en finir avec la propagande pro-américaine.</span></p><blockquote><p> </p><p><span style="color: #ff6600;"><strong><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif; font-size: 12pt;">‡ Le mythe du sauveur américain 1917-1918. Essai sur une imposture historique, Dominique Lormier, éditions Pierre de Taillac, 2017, 116 p., ill. (14,90 €).</span></strong></span></p></blockquote>
Littérature de partouthttp://litteraturedepartout.hautetfort.com/about.htmlClaude Dourguin, Points de feutag:litteraturedepartout.hautetfort.com,2016-11-26:58785472016-11-26T05:00:00+01:002016-11-26T05:00:00+01:00 ...
<p style="text-align: center;"> <img id="media-5509724" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://litteraturedepartout.hautetfort.com/media/02/02/3850903222.jpg" alt="Dourguin_Claude.jpg" /></p><p style="padding-left: 180px;"><span style="font-size: 14.0pt; font-family: Baskerville;"> Nos sociétés ont fait des choix idéologiques, plus nombreux que jamais ceux que Nietzsche appelle « les philistins de la culture » — s’entend ceux qui aiment l’art pour son divertissement et/ou l’idée qu’ils se font d’appartenir à une élite.</span></p><p style="padding-left: 180px;"><span style="font-size: 14.0pt; font-family: Baskerville;"> </span><span style="font-size: 14.0pt; font-family: Baskerville;">L’auteur c’est d’abord, l’étymologie nous le rappelle avec bonheur, celui qui accroît. Certainement pas celui qui « crée » — on se demande d’ailleurs comment et par quelle opération du Saint-Esprit, comme il se disait naguère de manière, heureusement irrévérencieuse. Cette imposture (pleine de prétention) qui nous rebat les oreilles avec les « créateurs » de tous poils est devenue insupportable tant elle prévaut partout. </span></p><p style="padding-left: 180px;"><span style="font-size: 14.0pt; font-family: Baskerville;"> </span><span style="font-size: 14.0pt; font-family: Baskerville;">L’exigence d’une tâche.</span></p><p style="padding-left: 180px;"><span style="font-size: 14.0pt; font-family: Baskerville;"> </span><span style="font-size: 14.0pt; font-family: Baskerville;">Virginia Woolf également dénonçait le « I, I, I », la permanence du sujet, du moi dans l’écrit.</span></p><p style="padding-left: 180px;"><span style="font-size: 14.0pt; font-family: Baskerville;"> </span><span style="font-size: 14.0pt; font-family: Baskerville;">L’impression, parfois, que l’on est parmi les derniers à regarder encore les étoiles du ciel, à se satisfaire de cette contemplation, de ces moments, de leur silence.</span></p><p style="padding-left: 180px;"><span style="font-size: 14.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></p><p style="padding-left: 180px;"><span style="font-size: 14.0pt; font-family: Baskerville; color: blue;">Claude Dourguin, <em>Points de feu</em>, Corti, 2016, p. 131, 141-142, 153, 155, 157.</span></p>
MILIQUEhttp://aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com/about.htmlLA HONTE 2tag:aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com,2016-10-15:58476062016-10-15T09:51:00+02:002016-10-15T09:51:00+02:00 A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va...
<p style="text-align: center;"><img id="media-5454832" style="margin: 0.7em 0px;" title="" src="http://aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com/media/01/01/1772880053.jpg" alt="au magma présent de l'écriture," /></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 12pt;"><strong>A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.</strong></span><br /><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 12pt;"><strong>Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...</strong> </span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 18pt; color: #008000;"><strong>LA HONTE</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 18pt; color: #008000;"><strong> 2</strong></span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 14pt; color: #000000;"><strong>Mes mots éructent fréquemment à chocs répétés.<br clear="none" />Ils ne sont pourtant que projections fantasmées,<br clear="none" />Tant il m'est impossible de rester encore locataires<br clear="none" />D'insurrections en marche, grondantes. Et ça épuise.<br clear="none" />Je suis tant à la recherche d'une réalité matérielle,<br clear="none" />De paysages habités par l'illusion d'une présence.<br clear="none" /><br clear="none" />Quant à la honte au souffle puissant qui me décérèbre,<br clear="none" />Elle ne peut-être que le fruit d'une sanction immanente<br clear="none" />Perpétrés sans retenue contre mon obscène médiocrité.<br clear="none" /><br clear="none" /></strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 14pt; color: #000000;"><strong>(FIN)</strong></span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 14pt; color: #000000;"><strong>P. MILIQUE</strong></span></p>
Pedroshttp://xyzabcd.hautetfort.com/about.htmlMieux qu’un psy pour saisir la vraie personnalité de M. Hollande ! Les commentaires de SA COUSINE !tag:xyzabcd.hautetfort.com,2016-08-18:58375112016-08-18T11:39:06+02:002016-08-18T11:39:06+02:00 Quand la cousine de M. Hollande précise QUI EST M. HOLLANDE ! CE QU’IL...
<p>Quand la cousine de M. Hollande précise QUI EST M. HOLLANDE ! CE QU’IL A TOUJOURS ÉTÉ ! ! !</p><p>Tout de même ! Savoir que "LE CHANGEMENT", chez lui, C'EST JAMAIS ! Donc que sa promesse de rester "NORMAL" impliquait exactement le contraire de ce que les Sans-dents comprenaient, cela ne devrait-il pas les faire réfléchir un peu, pour une fois ? !</p><ul><li><strong>Il est resté effectivement « NORMAL » ! Et n’était pas fait pour être président !</strong></li></ul><p><strong>Seulement pour manger du chocolat, s’amuser et faire des blagues ! ! !</strong></p><p><strong>TOUT N’EST-IL PAS CLAIR ? ! NE FAUT-IL PAS LE RENVOYER À SES PASSE-TEMPS ENFANTINS ? ! </strong></p><p><strong>François Hollande : sa cousine dévoile le surnom que lui donne sa famille ! </strong></p><p><a href="http://www.planet.fr/">http://www.planet.fr/</a></p><p>Vacances en famille, surnom, relation avec sa mère…. Journaliste et cousine du président de François Hollande, Hélène Pilichowski a récemment raconté des anecdotes sur l’enfance et les débuts en politique de l’actuel président de la République. Découvrez ce qu’elle a dit. </p><p>La cousine de François Hollande s’est récemment livrée à <a href="http://www.lopinion.fr/edition/politique/francois-hollande-helene-pilichowski-merci-quinquennat-107034"><em>L’Opinion</em></a>. Journaliste d’origine polonaise, Hélène Pilichowski a en effet fait quelques confidences au journal à propos du président de la République. Témoin privilégié de ses jeunes années, elle a ainsi raconté qu’ils se retrouvaient chaque été à Saint-Genix-sur-Guiers, en Savoie. "Nos grands-parents, qui étaient frère et sœur, nous emmenaient toujours en vacances ensemble", a raconté celle dont la mère, Gisèle Jacquignon, était la cousine germaine de celle du chef de François Hollande. <strong>"On l’appelait - et on l’appelle toujours – ‘le petit François’. Il était dodu, rigolo, toujours de bonne humeur, jamais un pet de travers, jouisseur, gourmand : avec lui, on ne pensait qu’à manger du chocolat en cachette ! Il aimait s’amuser faire de blagues", s’est souvenu la cousine du chef de l’Etat. Et celle-ci de souligner : "Pour lui, la vie était facile et tout le monde l’aimait".</strong></p><p><strong>Sa mère "était très fière de lui" mais…</strong></p><p><strong><em>A lire aussi –</em></strong><a href="http://www.planet.fr/politique-francois-hollande-toutes-les-femmes-de-sa-vie.1035350.29334.html">François Hollande : les femmes de sa vie</a></p><p><strong>*** Autre confidence</strong> de la cousine de François Hollande : le regard que portait <strong>sa mère</strong> sur son parcours et son ascension politique. Nicole Tribert "était très fière" de son fils, "mais elle <strong>ne pensait pas qu’il aurait la stature pour être président"</strong>, a assuré Hélène Pilichowski à L’Opinion. "D’ailleurs, après sa victoire, François Hollande n’avait pas convié sa famille à la cérémonie d’investiture, le 15 mai 2012. Ce qui avait beaucoup fait jaser", rappelle de son côté <a href="http://www.closermag.fr/article/selon-sa-mere-francois-hollande-n-avait-pas-la-stature-pour-etre-president-654630"><em>Closer.</em></a></p><p>En vidéo - Chez François Hollande, une Julie peut en cacher une autre</p><p><strong>Pour lui, la vie est facile ! ! ! Il suffit d'attendre le soleil ! N'est-ce pas en résumé la structure de sa politique ? ! De son cerveau ? !</strong></p><p> ! ! ! ! ! ! ET IL VEUT CONTINUER ! IL SE SENT BIEN À L'ÉLYSÉE ! ! ! ! ! ! ! !</p><p><em>Pierre Payen (Dunkerque)</em></p><p><em>N. B. Les confidences des proches de ses comparses ne seraient-elles aussi révélatrices ? ! </em></p><p>****** Alertes Google Humour : <a href="https://www.google.com/url?rct=j&sa=t&url=https://blogs.mediapart.fr/monkeyman/blog/180816/humour-la-preuve-patapouf-n-pas-change-depuis-son-enfance&ct=ga&cd=CAEYBCoUMTE1Mzk1NTc3NTIxMTE4NjI0NjIyGTM5ZjhmZjhkMzc0MzIyMGU6ZnI6ZnI6RlI&usg=AFQjCNHFbDSRbGU0RKyvpH7fyV0HIIEGOg"><strong>Humour</strong>. LA PREUVE ! Patapouf n'a pas changé depuis son enfance ! </a></p><p>Le Club de Mediapart (Blog)</p><p>Tout de même ! Savoir que "LE CHANGEMENT", chez lui, C'EST JAMAIS ! Donc que sa promesse de rester "NORMAL" impliquait exactement le .</p><p><strong>J’EN PROFITE POUR AJOUTER D’AUTRES INFOS, ADRESSES, etc.</strong></p><p><a href="http://www.lejdd.fr/Election-presidentielle-2012/Actualite/Francois-Hollande-l-inattendu-elu-president-de-la-Republique-508755">Election-presidentielle-2012 - Actualite - Francois-Hollande-l ...</a></p><p><em>www.lejdd.fr/...<strong>president</strong>ielle.../Francois-<strong>Hollande</strong>-l-inattendu-elu-<strong>president</strong>-de-la-Rep...</em> </p><p>6 mai 2012 - En 2003, <strong>sa mère</strong>, Nicole <strong>Hollande</strong>, riait quand elle racontait à Michel Drucker que, petit, il disait "quand <strong>je serai</strong> grand, <strong>je serai président</strong>". .... Paris tout en étant comme un poisson dans l'eau en Corrèze, cette terre où, <strong>dit</strong>-il,</p><p><a href="http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=6&cad=rja&uact=8&ved=0ahUKEwikst_ntsnKAhXBtBQKHfAZBDYQFgg1MAU&url=http%3A%2F%2Fodh-mauritanie.com%2Factualite-11359-dinky-toys-petits-soldats-et-tombouctou-hollande-au-mali.html&usg=AFQjCNHns-N9IYDt3U1HAdu3SgETMfajXw">dinky toys, petits soldats et tombouctou hollande àu mali</a></p><p><em>odh-mauritanie.com/actualite-11359-dinky-toys-<strong>petits</strong>-<strong>soldats</strong>-et-tombouct...</em></p><p>poubelle des voitures et de <strong>petits soldats</strong>, François <strong>Hollande</strong> décide d'agir comme un Homme pour échapper aux rigueurs d' « un homme ombrageux, brutal .</p><p>POLITIQUE INFLUENCE PARENTS PSY NICE MATIN</p><p><a href="http://www.nicematin.com/derniere-minute/la-personnalite-des-politiques-eclairee-par-celle-de-leur-pere.2059857.html">La personnalité des politiques éclairée par celle de leur père</a></p><p><strong><em>www.</em></strong><em>nicematin<strong>.com/.../la-personnalite-des-</strong>politiques<strong>-eclairee-par-celle-d...</strong></em></p><p><strong>11 janv. 2015 - Même les <em>politiques</em> ont un père (1) place la <em>politique</em> au cœur .... La <em>politique</em> était le moyen pour Marine Le Pen d'être avec le seul <em>parent</em> qu'il lui restait. ... Propos recueillis par Thierry Prudhon (tprudhon@<em>nicematin</em>.fr).</strong></p><p><a href="https://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=4&cad=rja&uact=8&ved=0ahUKEwjO6rGHorrJAhXCOxoKHQBzAWQQFgg2MAM&url=http%3A%2F%2Fwww.lejdd.fr%2FElection-presidentielle-2012%2FActualite%2FLes-ambitions-de-Hollande-agacent-au-sein-du-PS-306469&usg=AFQjCNHkzhXMS_DvqxZeDFm2JbLC82hY6Q">Pourquoi ils détestent Hollande - leJDD.fr</a></p><p><strong><em>www.le</em></strong><em>jdd<strong>.fr/.../Les-ambitions-de-</strong>Hollande<strong>-agacent-au-sein-du-PS-3064...</strong></em></p><p><strong>30 avr. 2011 - <em>Hollande</em> n'a jamais été ministre, <em>il</em> a dirigé le PS pendant dix ans, mais Dominique Strauss-Kahn, ... <em>Cécile Amar</em> - Le <em>Journal</em> du <em>Dimanche</em>.</strong></p><p><strong>Hollande l’intellectuel ! ! ! </strong></p><p>La seule chose qu’il ait bien choisi ne serait-il pas, (V. après) « L’histoire de France pour les NULS »</p><p><strong>Les “hollandais” en quête de théorie</strong></p><p>02 novembre 2013 | Par <a href="http://www.mediapart.fr/biographie/56331">Lénaïg Bredoux</a> et <a href="http://www.mediapart.fr/biographie/29259">Joseph Confavreux</a></p><p><strong>François Hollande, qui rechigne à théoriser sa ligne politique, est longtemps resté très éloigné des chercheurs et des intellectuels qui gravitent autour du parti socialiste</strong>. Un manque que certains de ses proches essaient aujourd'hui de pallier, au vu de la dégradation de la situation.</p><p>La scène a lieu fin juin, au palais de l’Élysée. Dans quelques jours, François <a href="http://www.mediapart.fr/journal/international/050713/hollande-rend-un-hommage-tardif-aux-revolutions-arabes">Hollande s’envole pour Tunis</a> où il a prévu de prononcer son premier discours dans le pays précurseur des printemps arabes. Il sait que chacun de ses mots sera scruté. <a href="http://www.huffpostmaghreb.com/2013/07/02/francois-hollande-tunisie_n_3532544.html">En amont, il réunit</a> une poignée de chercheurs et d’intellectuels spécialistes de la Tunisie pour une conversation à bâtons rompus d’une heure et demie. Autour de la table, <a href="http://www.sciencespo.fr/ceri/fr/users/beatricehibou">Béatrice Hibou, chercheuse au CNRS et auteure d’un ouvrage de référence sur la Tunisie</a>, le Franco-Tunisien <a href="https://www.ceremade.dauphine.fr/%7Ejouini/">Elyès Jouini, vice-président de l’université Paris-Dauphine</a>, <a href="http://www.sciencespo.fr/ceri/fr/users/jeanpierrefiliu">Jean-Pierre Filiu, professeur à Sciences-Po</a> qui a passé plusieurs années à Tunis, Jocelyne Dakhlia, <a href="http://crh.ehess.fr/index.php?143">historienne et anthropologue à l’EHESS</a>, l’historien Benjamin Stora, proche de François Hollande.</p><p><em> « C’est la méthode François Hollande »</em>, raconte a posteriori Elyès Jouini qui, comme ses collègues, a trouvé le président <em>« très à l’écoute ». « On a tous dit qu’il ne fallait pas dramatiser la situation. Que les débats sur la démocratie, c’est justement la démocratie. On a aussi dit qu’il ne fallait pas trop s’engager sur la question des Femen, on a parlé des féministes islamistes et que la déclaration de Valls sur le fascisme islamiste était une catastrophe. Sur tout cela, Hollande était compréhensif »</em>, témoigne un autre interlocuteur, qui a souhaité rester anonyme.</p><p><strong><em>« Je suis frappé : quand il voit les chercheurs, cela se passe incroyablement bien</em></strong><em> et c’est une différence fondamentale par rapport au mandat précédent. Sarkozy ne faisait que parler à chaque déjeuner avec les intellectuels – quand il ne les tançait pas. <strong>Hollande écoute et rentre vraiment dans la discussion</strong> – même si je pense qu'il est plus naturellement en phase, à l'aise et demandeur avec des experts spécifiques qu'avec des intellectuels généralistes »</em>, explique Gilles Finchelstein, le directeur général de la <a href="http://www.jean-jaures.org/">Fondation Jean-Jaurès</a>. Ce que Jacques Julliard, éditorialiste à <em>Marianne</em> et historien des gauches françaises, confirme <strong>: <em>« Il préfère, chez les intellectuels, un discours d’expertise plutôt qu’un discours de grandes idées.</em></strong><em> »</em> </p><p><strong>François Hollande aurait-il changé depuis qu’il est à l’Élysée ?</strong> L’exemple de sa préparation au voyage en Tunisie fait, en réalité, plutôt figure d’exception. Le président traîne en effet, depuis de longues années, une réputation qu’il a lui-même alimentée d’un responsable politique peu friand de théorisation politique <a href="http://www.mediapart.fr/journal/france/251013/limpossible-definition-du-hollandisme">(lire notre enquête sur le “hollandisme”)</a>, se tenant volontairement à distance des intellectuels et des chercheurs. <strong>Premier secrétaire du PS entre 1997 et 2008, il se coupe totalement du monde universitaire. Ce n’est ni son univers politique, ni son univers personnel – ses amis appartiennent pour beaucoup à la fameuse promotion Voltaire de l’Ena.</strong></p><p>Pour le député de la Nièvre Christian Paul, ex-président du <a href="http://www.parti-socialiste.fr/laboratoire-des-idees">Laboratoire des idées au PS</a>, <em>« dès 2012, on a vu le retour en force de la pensée technocratique, sans l’hybridation qu’on avait connue dans des cabinets de gauche précédents. »</em> Mais, pour Alain Bergounioux, président du <a href="http://www.lours.org/">centre de recherches OURS </a>et de la <em>Revue socialiste</em>, il faut nuancer <strong>: <em>« Quand j’étais secrétaire à la communication dans les années 2003-2004, j’avais organisé les rencontres de Solférino et des petits-déjeuners de travail. Peu de secrétaires nationaux étaient présents, alors que Hollande venait toujours. Mais il est exact qu’il n’a pas le goût du débat théorique. »</em> </strong></p><p><strong>Martine Aubry, quand elle lui a succédé à la tête du parti, n’a pas manqué de le déplorer, tentant de renouer avec les chercheurs et les intellectuels proches des socialistes</strong>, au travers du <a href="http://www.parti-socialiste.fr/laboratoire-des-idees">Laboratoire des idées</a>, animé par le député Christian Paul. <a href="http://abonnes.lemonde.fr/culture/article/2013/10/17/martine-au-musee-le-tri-postal-celebre-la-galerie-perrotin_3496942_3246.html">Maire de Lille, elle se fait volontiers guide d’expositions d’art contemporain</a>, et candidate à la primaire, elle avait intégré plusieurs chercheurs dans <a href="http://www.martineaubry.fr/article/lequipe-de-campagne-de-martine-aubry">son équipe de campagne</a>, tels que les économistes <a href="http://www.parisschoolofeconomics.eu/fr/cohen-daniel/">Daniel Cohen</a>, <a href="http://el.mouhoub.mouhoud.free.fr/">El Mouhoub Mouhoud</a>, ou <a href="http://www.laviedesidees.fr/_Bacache-Beauvallet-Maya_.html">Maya Beauvallet</a>, le sociologue <a href="http://cadis.ehess.fr/document.php?id=1153">Michel Wieviorka</a>, l’anthropologue <a href="http://las.ehess.fr/document.php?id=145">Françoise Héritier</a>, le généticien Axel Kahn ou le médecin et chercheur <a href="http://www.lemonde.fr/sante/article/2012/11/09/jean-claude-ameisen-l-alchimiste_1788380_1651302.html">Jean-Claude Ameisen</a>.</p><p>Dans l’organigramme de la primaire de François Hollande, pas un seul n’y figure. En 2006, celui qui est encore premier secrétaire se met en scène avec sa compagne d’alors, Ségolène Royal, dans <em>Paris Match</em>. Il choisit de poser pour les photographes avec <em>L’Histoire de France pour les nuls</em> – un choix de communication révélateur du peu de cas que fait l’énarque pour les travaux des historiens<strong>. Un responsable socialiste se souvient aussi d’une anecdote qui a fait le tour de Solférino, celle d’un dîner dans des temps anciens chez le couple Royal-Hollande où le second avait lancé : <em>« Tout a déjà été pensé. »</em></strong></p><p><strong><em>(Plus con que ce dit socialiste, ne meurt-on pas ? !</em></strong></p><p>Six ans plus tard, Hollande est favori de la présidentielle – <a href="http://www.liberation.fr/politiques/2012/04/12/le-role-de-la-gauche-ce-nest-pas-seulement-la-colere_811427">il est l’invité de la rédaction de <em>Libération</em></a> et questionné par les journalistes de différents services. <strong><em>« Il ne répond pas à Robert Maggiori qui lui demande quels penseurs inspirent ses lectures »</em>,</strong> <a href="http://www.liberation.fr/politiques/2012/04/12/le-jour-ou-hollande-etait-en-avance_811426">raconte le quotidien</a>. Et quand <em>Libé</em> lui demande <strong>: <em>« Quelles sont vos références théoriques vous permettant d'avoir des avis sur les inégalités, la misère, etc. ? »</em>, <a href="http://www.liberation.fr/politiques/2012/04/12/le-role-de-la-gauche-ce-nest-pas-seulement-la-colere_811427">le candidat du PS ne cite</a> aucun chercheur ni aucun ouvrage.</strong></p><p><strong>Durant sa campagne, plusieurs de ses proches ont pourtant tenté de raccrocher leur champion aux universitaires pour enrichir la réflexion de ce qu’on appelle encore ironiquement le « club 3 % »,</strong> c’est-à-dire le niveau de popularité d’alors de Hollande dans les sondages.<em> « C’est à partir de Lorient </em>(une rencontre de ses proches, en 2009, ndlr)<em> qu’on se met à voir des chercheurs »</em>, raconte Rémi Branco, jeune pousse de la “hollandie”, devenu chef de cabinet adjoint du ministre de l’agriculture Stéphane Le Foll. Avec quelques autres, il fait le “go-between” pour alimenter le programme du futur candidat à la présidentielle.</p><p>C’est, entre autres, de ces échanges entre Hollande et les chercheurs que naît l’idée de faire de la jeunesse une priorité. <em>« Il voyait et connaissait des économistes… Moins les sociologues »</em>, raconte Branco qui souligne notamment le rôle de <a href="http://cvandevelde.com/">Cécile Van de Velde</a>, sociologue à l’EHESS. <em>« C’est avec elle que Hollande commence à bien réfléchir aux politiques de jeunesse »</em>, dit le conseiller. À la même époque, Martine Aubry travaille avec <a href="http://www2.univ-paris8.fr/sociologie/?page_id=1786">un autre jeune sociologue, Camille Peugny</a>. Tous les deux n’ont pas la même approche et leurs nuances résument assez bien celles qui différenciaient les deux rivaux. <em>« Hollande a rencontré Peugny une fois mais il défendait une approche très misérabiliste quand Van de Velde dit que les jeunes doivent travailler, s’ouvrir »</em>, se souvient Rémi Branco.</p><p>C’est aussi des rencontres du futur président de la République avec le monde universitaire que germe son projet (<a href="http://www.mediapart.fr/journal/france/221013/un-bilan-detape-modeste-pour-les-contrats-de-generation">à la peine aujourd’hui</a>) des contrats de génération. En l’espèce, c’est Anne-Marie Guillemard, spécialiste de l'emploi des seniors à Paris-Descartes, <a href="http://www.mediapart.fr/journal/economie/051011/le-contrat-de-generation-dhollande-divise-le-ps?page_article=3">qui y a contribué</a>. Et c’est avec Nicolas Duvoux, <a href="http://recherche.parisdescartes.fr/CERLIS/Equipe/Membres-statutaires/Duvoux-Nicolas">également maître de conférences à Paris-Descartes</a>, que naît l’idée de la <em>« garantie jeunes »</em>, évoquée par François Hollande dès juin 2011 et <a href="http://www.service-public.fr/actualites/002807.html">qui vient d’être instituée à titre expérimental</a>.</p><p>À l’Élysée, le président de la République, comme avant son voyage à Tunis, a aussi régulièrement l’occasion de s’entretenir avec des chercheurs ou des intellectuels – Jacques Julliard l’a vu cet été, Marcel Gauchet également. <em>« Il fait un déjeuner par mois en moyenne. Et pas seulement avec des économistes »</em>, explique un de ses collaborateurs, soumis à l’anonymat. Mais, sourit Jacques Julliard, <strong><em>« quel président ne reçoit pas les Marcel Gauchet ou Pierre Nora ? Je pense, très franchement, que c’est surtout cosmétique. »</em></strong></p><p><strong>Mais François Hollande reste rétif à théoriser plus avant son action politique et semble souvent prisonnier d’une approche au mieux <em>« pragmatique »</em>,</strong> au pire technocratique depuis qu’il est à l’Élysée. <strong><em>« Hollande président récolte ce qu’il n’a pas semé quand il était premier secrétaire du PS. La stratégie de Hollande est restée de s’entourer de quelques conseillers avec des profils homogènes et de leur demander des recettes ponctuelles,</em></strong>dénonce Frédéric Sawicki
Pedroshttp://xyzabcd.hautetfort.com/about.htmlHumour. Une affaire concernant M. HOLLANDE ne pourrait-elle pas commencer ? ! Pourra-t-il éviter la prison ? !tag:xyzabcd.hautetfort.com,2016-01-29:57519702016-01-29T15:06:52+01:002016-01-29T15:06:52+01:00 Cela expliquerait pourquoi notre pseudo ou faux PRÉSIDENT tenait à...
<p><strong><span style="font-size: 14.0pt;">Cela expliquerait pourquoi notre pseudo ou faux PRÉSIDENT tenait à conserver Me Taubira ! Pourra-t-il éviter LA PRISON ? ! </span></strong></p><p><strong>Tout le monde a pu lire en 2011 : « Pourquoi ils détestent Hollande »</strong>. <strong>JDD</strong> Mise à jour le 1 mai 2011 ***</p><p>Ci-joint des extraits (Je n’ai pas retrouvé sur Internet cet article !)</p><p><strong><em>[[[</em></strong><em>« ... Laurent Fabius l’a dit ouvertement aux étudiants de Sciences-Po Bordeaux qu’il rencontrait la semaine dernière: "Franchement, vous imaginez Hollande président de la République? On rêve."</em></p><p><em>. Pour eux, Hollande est resté "ce type qui ne travaille pas, qui tape dans le dos des journalistes et qui n’a jamais été ministre", comme le résume un ancien des cabinets ministériels. Arnaud Montebourg avait surnommé François Hollande "Flanby" et même avec des kilos en moins, l’image lui colle à la peau chez de nombreux dirigeants socialistes.</em></p><p><em>"François a toujours été un peu ironique avec Dominique, et Dominique a toujours estimé qu’ils ne boxaient pas dans la même catégorie". "Pas de lézard entre eux», se souvient Jean Glavany.</em></p><p><em>Pendant dix ans, Hollande dirige le PS avec DSK et ses amis. <strong>"Sa méthode, c’était à la va-comme-je-t’embrouille»,</strong> résume l’un deux</em></p><p><em>Aubry le juge "fainéant"</em></p><p><em>"Arrêtez de dire qu’il travaille, François n’a jamais travaillé, il ne fout rien», répète en écho Martine Aubry</em></p><p><em>Il adore les journalistes, elle ne les aime pas, elle se passionne pour la culture, lui s’en désintéresse.</em></p><p><em>Martine Aubry succède à François Hollande à la tête du PS. Elle est sidérée par l’état du Parti. Y compris les toilettes bouchées. "Je dois les réparer moi-même»,</em></p><p><em>Fabius le "prend pour un imbécile" V. "Monsieur petites blagues", "fraise des bois", "opposition caoutchouc"…</em></p><p><em>"Ce que n’aime pas Fabius chez Hollande, c’est le côté ficelle du mec, un homme de coups, la SFIO quoi." Ce "monsieur ni ni", ce "Guimauve le conquérant" ... »<strong>]]]</strong></em></p><p><strong>*** QUE PENSER DE GENS QUI, en 2011, DÉCLARAIENT en toute connaissance de cause qu’une personne était INAPTE, INCAPABLE D'ASSUMER UN JOB ; QUI 5 ANS PLUS TARD, en 2016 <em>(</em></strong><em>Alors que sa prestation est exactement celles prédite et pire encore : hédonisme, marivaudage, racolage en veste amaigrissante Dukan, goinfrerie en trinquant à la bonne santé des « cons » ou « SANS-DENTS », etc.) </em><strong>LE COUVRENT, L’ENCENSENT ? ! EN TOUT CAS SE TAISENT !</strong></p><p><em>La dite « FRONDEUSE » Me Marie-Noëlle Lienemann ne réclame pas cette grâce !</em></p><p><em>(À noter que Me Hidalgo, elle, s’est mouillée ! Bravo !)</em></p><p><em>Ce midi, M. BILGER, avocat général honoraire, blablatant sur Europe1, représentant UNE CASTE toujours plus (t. p.) en perdition, déconsidérée, CRIE « SOS NOUS COULONS, sommes t. p. DÉMASQUÉS ! ! ! »</em></p><p><em>Inutile de placer en exergue notre gentille TOUTOU à son MAÎTRE devenue « LA MUETTE » depuis ce dimanche midi 24/01/16</em></p><p><strong>****** COMMENT EST-IL POSSIBLE QUE CES POLITICIEN(NE)S </strong><em>revendiquant le droit de se déjuger totalement (en 5 ans !), représentant et gouvernant la France,</em> <strong>JUGENT RESPONSABLE ET DONC CONDAMNABLE (À 10 ans de prison) MADAME JACQUELINE SAUVAGE</strong> (Alors que, toutes les études psychologiques, depuis plus que des décennies, ont explicité le processus mental qui conduit à l’acceptation de son sort dans certains contextes) <strong>EN NE RÉCLAMANT PAS TOUS AZIMUTS SA LIBÉRATION ? !</strong></p><p><strong><em>SI JAMAIS M. Sarkozy ou autre ... portait plainte contre M. HOLLANDE POUR « TRAHISON DE LA France », que se passerait-il ? !</em></strong></p><p><strong><em>UN VRAI JUGE ne se pencherait-il pas sur l’AFFAIRE « HOLLANDE PRÉSIDENT »</em></strong></p><p><em>Ne serait-il pas obligé de relever que, dès 2011, tout son entourage le considérait comme INAPTE, NE FICHANT RIEN, INCAPABLE ? ! </em></p><p><em>Et de noter aussi que ses accusateurs/trices, dans le seul objectif d’obtenir une « bonne place » ont décidé de COLLABORER, de SE RENDRE COMPLICES ? !</em></p><p><strong><em>Etant donné le TRAHISON DE LA France,</em></strong><em> <strong>L’IMPOSTURE toujours plus PATENTE,</strong> <strong>comment pourrait-il</strong> <strong>ÉVITER LA « PRISON » ? !</strong></em></p><p><strong><em>De même que son Gouvernement ? !</em></strong></p><p><strong><em>S’ajouteraient : </em></strong><em>Non assistance à personnes en danger ou/et chômeurs/euses ; Exhibition et racolage éhonté pendant 6 mois en veste amincissante « DUKAN », Mise en péril du commerce de M. Dukan suite à la reprise de poids instantanée ! Déclaration volontairement provocatrice et méprisante aux SANS-DENTS : « Le Changement, c’est maintenant » ? ! </em></p><p><em>Pierre Payen (Dunkerque)</em></p><p> </p><h2> </h2><ul><li><a href="https://www.mediapart.fr/journal/mot-cle/complicite">complicité</a></li><li><a href="https://www.mediapart.fr/journal/mot-cle/douvernement">Douvernement</a></li><li><a href="https://www.mediapart.fr/journal/mot-cle/hollande">Hollande</a></li><li><a href="https://www.mediapart.fr/journal/mot-cle/imposture">Imposture</a></li><li><a href="https://www.mediapart.fr/journal/mot-cle/jacqueline-sauvage">Jacqueline Sauvage</a></li><li><a href="https://www.mediapart.fr/journal/mot-cle/prison">prison</a></li><li><a href="https://www.mediapart.fr/journal/mot-cle/taubira">Taubira</a></li><li><a href="https://www.mediapart.fr/journal/mot-cle/trahison">trahison</a></li></ul><p> </p><p> </p>
MILIQUEhttp://aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com/about.htmlMÉMOIRE CADENASSÉEtag:aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com,2015-10-05:56602932015-10-05T15:06:00+02:002015-10-05T15:06:00+02:00 MÉMOIRE CADENASSÉE Où se situe le point limite,...
<p style="text-align: center;"><img id="media-5106101" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com/media/01/00/3797294422.jpg" alt="au magma présent de l'écriture," /></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large; color: #008000;"><strong>MÉMOIRE CADENASSÉE</strong></span></p><p style="text-align: center;"><br clear="none" /><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Où se situe le point limite, </strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>L'impossible démarcation</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Entre le damnable proscrit</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Et le convenable admissible?</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Entre la simplicité des mots</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Et leur sinécure explosive?</strong></span><br clear="none" /><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Mais l'évidence mystérieuse,</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Exaltée par l'absence de feu</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Ne secrète plus en son sein</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Qu'une ombre fallacieuse.</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Il faut accepter, dommage,</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>De cadenasser sa mémoire.</strong></span><br clear="none" /><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Les brûlures en resteront </strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Encore longtemps chargées</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>De délicates exultations </strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Et de presque sourires.</strong></span><br clear="none" /><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>P. MILIQUE</strong></span></p>
.http://pdf31.hautetfort.com/about.htmlQui dénoncera cette année l’imposture criminelle du Téléthon ?tag:pdf31.hautetfort.com,2014-12-07:55053022014-12-07T09:15:00+01:002014-12-07T09:15:00+01:00 Publié par Guy Jovelin 6 décembre 2014 par admin4 Les choses n’ayant...
<h3 class="entry-header" style="margin: 0px; padding: 3px 0px; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 1.6em; color: #333333; font-weight: 400; line-height: 19.2000007629395px; text-align: justify; background-color: #fcf7eb;"><span style="color: #000000; font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 11px; background-color: #ffffff;">Publié par Guy Jovelin</span></h3><div class="entry-date" style="margin: 0px; padding: 0px; text-align: right; font-size: 0.9em; color: #777777; font-family: 'Lucida Grande', 'Segoe UI', Verdana, Arial, sans-serif; line-height: 19.2000007629395px; background: url('http://www.contre-info.com/wp-content/themes/unnamed-lite/images/bg_meta.png') 50% 0% no-repeat #fcf7eb;">6 décembre 2014 par admin4</div><p style="margin: 0px 0px 10px; padding: 0px; color: #333333; font-family: 'Lucida Grande', 'Segoe UI', Verdana, Arial, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 19.2000007629395px; text-align: justify; background-color: #fcf7eb;"><a style="margin: 0px; padding: 0px; text-decoration: none; color: #5d8bb3;" href="http://lesalonbeige.blogs.com/.a/6a00d83451619c69e20162fcd0f289970d-pi"><img class="alignleft" style="margin: 0px; padding: 2px; max-width: 100%; float: left;" title="G" src="http://lesalonbeige.blogs.com/.a/6a00d83451619c69e20162fcd0f289970d-800wi" alt="" width="150" border="0" /></a>Les choses n’ayant pas ou peu changé, nous resservons ce billet d’Yves Daoudal d’il y a deux ans :</p><p style="margin: 0px 0px 10px; padding: 0px; color: #333333; font-family: 'Lucida Grande', 'Segoe UI', Verdana, Arial, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 19.2000007629395px; text-align: justify; background-color: #fcf7eb;">« J’ai beau chercher, je ne vois toujours personne, cette année, en dehors de Jacques Testart, pour dénoncer le Téléthon.<strong style="margin: 0px; padding: 0px;"><br style="margin: 0px; padding: 0px;" /></strong>Pour son 25e anniversaire, l’imposture du Téléthon est donc universellement admise, et il est universellement admis que le Téléthon va encore donner de l’argent à notre docteur Frankenstein de Lutte ouvrière, Marc Pechanski, pour ses charcutages d’embryons.<br style="margin: 0px; padding: 0px;" />Et cela au moment même où la société Geron, pionnière de la recherche sur les cellules souches embryonnaires, <a style="margin: 0px; padding: 0px; color: #3465a4;" href="http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/11/coup-darr%C3%AAt-%C3%A0-la-recherche-sur-lembryon-aux-etats-unis.html" target="_blank">jette l’éponge</a>.<br style="margin: 0px; padding: 0px;" />Il y a pourtant là un argument spectaculaire contre le Téléthon, plus précisément contre le Généthon. Non, la recherche sur les cellules souches embryonnaire ne guérit rien. Non, elle ne sert à rien. Depuis 25 ans on vous raconte des bobards, on jette votre argent par les fenêtres, on se sert en pure perte des plus petits des hommes comme d’un matériau de laboratoire.</p><p style="margin: 0px 0px 10px; padding: 0px; color: #333333; font-family: 'Lucida Grande', 'Segoe UI', Verdana, Arial, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 19.2000007629395px; text-align: justify; background-color: #fcf7eb;"><a class="more-link" style="margin: 0px; padding: 0px; text-decoration: none; color: #5d8bb3;" href="http://www.contre-info.com/qui-denoncera-cette-annee-limposture-criminelle-du-telethon#more-16427">Lire la suite</a></p>
Xavier JASSUhttp://lapinos.hautetfort.com/about.htmlL'imposture laïquetag:lapinos.hautetfort.com,2014-09-29:54573562014-09-29T11:28:05+02:002014-09-29T11:28:05+02:00 La télévision diffuse un documentaire sur l'école laïque obligatoire. Il ne...
<p style="text-align: justify;"><strong>La télévision diffuse un documentaire sur l'école laïque obligatoire. Il ne dissimule guère que l'école laïque constitue le socle de la religion moderne, ni même que les méthodes de l'école présentent une certaine analogie avec celles de l'armée.</strong></p><p style="text-align: justify;"><strong>On peut citer ici le cas de Louis-Ferdinand Céline, censuré avec plus de fermeté encore dans l'Education nationale que dans l'armée. On peut encore citer le cas des mathématiques, dont un cas excessif est fait dans les organisations tentaculaires, en raison de l'utilité pratique qu'elles revêtent. Abstraction mathématique et totalitarisme sont indéniablement liés. Le culte d'Einstein et celui de l'Etat moderne totalitaire sont deux aspect d'une même religion statistique.</strong></p><p style="text-align: justify;"><strong>Les prétendus "pères de la science moderne laïque" (expression qui relève de l'ignorance ou de la négation de l'histoire) furent d'ailleurs souvent des ingénieurs au service de l'industrie de l'armement, tel Galilée ou Descartes.</strong></p><p style="text-align: justify;"><strong>Le documentaire prétend que la guerre de 14-18 a entraîné un courant pacifiste au sein des bataillons d'instituteurs. Si cela est vrai, les convictions staliniennes de très nombreux professeurs-militants ont vite mis un terme à ce courant pacifiste. L'école laïque républicaine joue avant tout un rôle social, et pour cette raison elle ne peut pas être pacifiste, de même qu'un texte constitutionnel qui fait de la défense de la propriété une priorité ne peut simultanément inscrire l'égalité et la liberté dans ses priorités sans se moquer ouvertement du peuple et de la science.</strong></p><p style="text-align: justify;"><strong>Les philosophies ou les religions les plus pacifistes sont aussi celles dont l'enseignement est le plus restreint au sein de l'école laïque. Je mentionne plus haut Céline et sa mise en cause des organisations internationales de paix en tant que chevilles ouvrières des guerres civiles européennes et de leurs génocides. A l'étude historique des mécanismes ayant conduit à ces guerres fratricides, l'école laïque a substitué un discours au niveau de la propagande cinématographique.</strong></p><p style="text-align: justify;"><strong>Le christianisme est bien sûr exclu de l'enseignement de l'école laïque - sans doute Nietzsche n'est-il pas seul à concevoir que "le chrétien et l'anarchiste ont une seule et même origine".</strong></p><p style="text-align: justify;"><strong>Le documentaire mentionne la volonté d'éradication de la religion chrétienne au coeur du projet laïc républicain de Jules Ferry, c'est-à-dire un motif de manipulation politique des esprits. C'est ici qu'il faut apporter quelques précisions. Faire porter le poids de la ploutocratie moderne et de ses conséquences barbares pour l'humanité aux seules institutions républicaines serait exagéré et historiquement trompeur. La volonté de Jules Ferry et des représentants de la bourgeoisie industrielle est d'en finir avec l'influence de l'Eglise romaine sur la société.</strong></p><p style="text-align: justify;"><strong>Mais, quant au pacifisme radical de la religion chrétienne, son anarchisme réel et probable par chacune des paraboles de Jésus jusqu'à la révélation eschatologique qui proscrit même la complicité d'emprisonnement comme crime contre l'Esprit, et non seulement l'assassinat légal perpétré par un soldat avec la caution de l'Etat, dans une sorte d'ivresse culturelle ou identitaire soigneusement entretenue, pacifisme et anarchisme qui expliquent que la religion chrétienne est une "religion de peu d'élus", ce pacifisme radical a été occulté auparavant par le clergé catholique lui-même, par la méthode de la substitution d'une "tradition anthropologique", petit à petit, au message évangélique. C'est d'ailleurs ce qui explique que certains prélats et ecclésiastiques romains disent souscrire à la laïcité, contribuent à l'opacité de ce principe dans l'opinion publique, alors même que ce culte absurde est parfaitement contraire à l'esprit et à la lettre du christianisme.</strong></p><p style="text-align: justify;"><strong>De l'étude approfondie de l'histoire de l'Occident ressort bel et bien le phénomène d'une contradiction idéologique radicale du christianisme au nom même de valeurs prétendument chrétiennes. Un chrétien verra donc dans la démocratie-chrétienne la ruse satanique la plus antichrétienne qui soit, et ce d'autant plus que les évangiles, de l'apocalypse et des épîtres de Paul l'ont averti de l'effet essentiel de cette ruse dans l'histoire moderne. Mais, ainsi que le dit la sagesse juive : <em>"Satan a conçu un piège et il est tombé dedans.", </em>et les chrétiens peuvent avoir confiance dans la parole de Dieu tant qu'elle n'est pas mise au service de desseins politiques ou éthiques humains.</strong></p>
Solkohttp://solko.hautetfort.com/about.htmlNarcisse et les pauvrestag:solko.hautetfort.com,2014-09-10:54445492014-09-10T14:48:00+02:002014-09-10T14:48:00+02:00 Normal 0 21 false false false FR...
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5.4pt;mso-para-margin-top:0cm;mso-para-margin-right:0cm;mso-para-margin-bottom:10.0pt;mso-para-margin-left:0cm;line-height:115%;mso-pagination:widow-orphan;font-size:11.0pt;font-family:"Calibri","sans-serif";mso-ascii-font-family:Calibri;mso-ascii-theme-font:minor-latin;mso-fareast-font-family:"Times New Roman";mso-fareast-theme-font:minor-fareast;mso-hansi-font-family:Calibri;mso-hansi-theme-font:minor-latin;}</style><![endif]--></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: helvetica; font-size: medium;">« Je ne veux pas qu'on puisse dire ou écrire que je me moque de la douleur sociale, car c'est<span style="color: #ff0000; background-color: #ffffff;"><em> un mensonge qui me blesse</em></span>», vient de déclarer au milieu de la cacophonie politique – pauvre chou – le <em>pingouin disgracieux</em>. Autrement dit, je me fous comme de ma première chaussette de la misère sociale, mais pas d’un <em>mensonge qui me blesse</em>, à ca non !. Blesser <em>Moi Président</em> dans son amour propre, un crime de lèse majesté ! Valérie dépasse les bornes ! Eh oui, l'anaphore tristement fameuse aurait dû inquiéter davantage les électeurs : Quel aveu narcissique, quel souci de soi aussi, dérisoire au centre du chaos du monde ! Conclusion : N’est pas le pape <em>François</em> qui veut ...</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4685338" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://solko.hautetfort.com/media/00/02/3984631396.jpg" alt="narcisse-geranium2.jpg" /></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: helvetica; font-size: medium;"> </span></p>
.http://pdf31.hautetfort.com/about.htmlL’appel du 18 juin ou l’histoire d’une imposturetag:pdf31.hautetfort.com,2014-06-18:53936762014-06-18T14:11:55+02:002014-06-18T14:11:55+02:00 Publié par Guy Jovelin Le texte ci-dessous, de 2010, n’a rien...
<div class="meta"><p>Publié par Guy Jovelin</p></div><p style="text-align: center;"> <img style="height: 406px; width: 550px;" src="http://lappeldugeneraldegaulle.e-monsite.com/medias/images/Charles-de-Gaulle-18juin1940-1.jpg" alt="" /></p><div class="entry"><div class="ob-section ob-section-html"><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Le texte ci-dessous, de 2010, n’a rien perdu de sa valeur.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">« Le 18 Juin 2010 va être célébré le 70ème anniversaire du célèbre appel de Londres de Charles de Gaulle. Or la version officielle, qui va être lue à la BBC, est un faux, comme le démontre le général d’aviation Le Groignec, compagnon de Saint-Exupéry, dans son livre paru en 2004 <em>Philippiques contre les Mémoires gaulliens</em> (Nouvelles Editions latines).</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Le texte prétendu être celui de l’appel du 18 Juin commence par cette phrase : <em>« Des gouvernants de rencontre ont pu capituler, cédant à la panique, oubliant l’honneur, livrant le pays à la servitude. Cependant rien n’est perdu …. »</em></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Or, historiquement, Charles De Gaulle n’a pu prononcer cette phrase insultante pour le Maréchal Pétain et le général Weygand pour les deux raisons suivantes :</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">1° A cette date du 18 juin 1940, ces <em>« gouvernants de rencontre »</em> n’avaient pu capituler, car non seulement l’armistice n’était pas signé, mais les plénipotentiaires français n’avaient pu encore rejoindre les lignes allemandes étant donné les difficultés des communications. Cet armistice ne sera signé que le 22 juin avec l’Allemagne, et le 24 juin avec l’Italie. Par ailleurs on ne peut confondre armistice et capitulation. L’armistice est un acte politique, une suspension d’armes où le vaincu peut négocier certaines conditions, c’est le contraire d’une capitulation où le vaincu doit se soumettre sans condition au vainqueur, ce à quoi De Gaulle a consenti le 19 mars 1962 en capitulant devant le FLN, ennemi vaincu sur le terrain, pour se débarrasser du <em>« boulet algérien »</em>. En demandant un armistice, la France demande et obtient, le 22 juin 1940, que ni la marine, ni l’Afrique française, ne soit livrées à l’ennemi, qu’un tiers du pays reste en zone libre, et que Lyon et Clermont Ferrant soient évacués par l’armée allemande. En cas de capitulation il y aurait eu deux millions de prisonniers de plus, et tout le territoire aurait été occupé : les Allemands, en effet, avaient atteint Valence et se trouvaient à une étape de Marseille lorsque l’armistice a été signé.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">2° Devant l’échec total de cet <em>« appel du 18 Juin »</em> auquel n’avait répondu aucun chef militaire de l’armée, de la marine ou de l’aviation, notamment aucun officier de la division que Charles De Gaulle commandait devant Arras en mai 1940 (suprême affront !) aucun homme politique, aucun diplomate français accrédité à Londres ou dans une autre capitale étrangère , aucun gouverneur ou responsable des colonies de l’Afrique française, aucun ministre résidant dans les pays sous protectorat ou sous mandat, Charles De Gaulle va s’affoler, car il se trouve désormais à Londres complètement isolé, en rupture de ban, sans mission officielle. En effet, la guerre continue et le gouvernement français le somme de rentrer en France, sous peine d’être jugé comme déserteur. Alors de Gaulle écrit au général Weygand la lettre suivante à la date du 20 juin 1940 :</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><em>«<strong> Londres le 20 Juin 1940</strong> Mon Général, J’ai reçu votre ordre de rentrer en France. Je me suis donc tout de suite enquis du moyen de le faire car je n’ai, bien entendu, aucune autre résolution que de servir en combattant... »</em> <em>MEMOIRES DE GUERRE</em> Charles de Gaulle- Edition PLON 1954 tome I – page 269)</span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: small;"><img style="height: 240px; width: 550px;" src="http://s.tf1.fr/mmdia/i/04/3/charles-de-gaulle-porte-par-churchill-10770043bqjyy.jpg" alt="" /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Depuis 1958, cette lettre est dans les livres scolaires, car incompatible avec la légende, avec l’Histoire de France revue et corrigée par la falsification gaulliste, en vigueur encore aujourd’hui.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">La suite reste entourée de mystère. Car de Gaulle ne dispose à cette date d’aucun moyen de transport pour rejoindre Bordeaux où siège le gouvernement français. Il est probable que Churchill, qui venait de rompre avec la France, refusa de lui donner un avion pour que de Gaulle rentre en France. La dissidence de la <em>« France Libre »</em> est donc née sous la contrainte de l’Angleterre, vérité que s’efforce de masquer l’imposture de la version officielle actuelle. Si de Gaulle avait pu rejoindre Bordeaux, comme il en avait manifesté l’intention le 20 Juin 1940, il n’y aurait probablement jamais eu ni de saga, ni de fabulation gaulliste. En effet, quand un officier français écrit une telle lettre pleine de déférence et d’esprit de discipline à son supérieur hiérarchique le 20 juin 1940, il ne peut être le même que celui qui aurait déclaré le 18 juin, deux jours avant, au micro de Londres, parlant du même supérieur, que ce dernier appartenait à <em>« un gouvernement de rencontre qui a capitulé, cédant à la panique, oubliant l’honneur, livrant le pays à la servitude »</em>.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">C’est pourtant ce faux, fabriqué après coup, qui est répandu dans tous les livres scolaires depuis 1958, qui est inscrit dans le marbre au 4 Carlton Garden à Londres, et que nous allons entendre dire et répéter des milliers de fois lors de la célébration officielle du mythe de l’Appel du 18 Juin 1940, pour continuer à entretenir le mensonge de la légende gaullienne de l’homme providentiel. »</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><strong>Jean-Marie AVELIN, Alain ALGUDO et Geneviève de TERNANT<br /> Président, Vice-présidents et l’équipe de Veritas</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><a href="http://www.contre-info.com">Source</a></span></p></div></div>
MILIQUEhttp://aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com/about.htmlIMPOSTUREtag:aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com,2014-03-24:37269622014-03-24T05:47:00+01:002014-03-24T05:47:00+01:00 IMPOSTURE Complicité étroite et...
<p style="text-align: center;"><img id="media-3139047" style="margin: 0.7em 0pt;" title="" src="http://aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com/media/01/01/3157686576.jpg" alt="LE MOURANT.jpg" /></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: x-large; color: #008000;"><strong>IMPOSTURE</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong> </strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Complicité étroite et magnifique</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>A l'esthétique froide très calculée.</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong> </strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Dans l'amplitude vacillante des certitudes</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Et le mépris ostensible des impondérables,</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Il a fait ce choix délibéré</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>De l'impossible a venir, et de l'émoi,</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Exposant ainsi l'irrémédiable obscénité</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>D'un corps incertain que rien ne réchauffe.</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong> </strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Vous qui lisez, faites semblant de pleurer,</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Il ne fait que semblant de mourir!</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong> </strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong><span style="text-decoration: underline;">P. MILIQUE</span></strong></span></p>
Atelier des Idéeshttp://www.notreputeaux.com/about.htmlVINCENT BRACK PLAIDE COUPABLE : INCONSCIEMMENT!tag:www.notreputeaux.com,2014-02-08:52942132014-02-08T14:28:00+01:002014-02-08T14:28:00+01:00 Enfin! Par un texte gentillet, sur le blog de...
<p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><strong><span style="font-size: large; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: Times New Roman;">Enfin!</span></span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><strong><span style="font-size: large; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: Times New Roman;">Par un texte<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>gentillet, sur le blog de Christophe Grébert, Vincent Brack fait savoir qu’il est directeur de <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>campagne de ce journaliste-blogueur, candidat du MoDem à l’élection municipale de 2014, à Puteaux. Sa grande photo de « quadra » porte les prémices du destin hivernal commun, tempes grises et petites rides sous les yeux, sagesse contrainte peut-être envisageable!</span></span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><strong><span style="font-size: large; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-size: medium; font-family: Times New Roman;"> </span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><strong><span style="font-size: large; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: Times New Roman;">Il écrit en particulier : « j’y ai vécu (à Puteaux) jusqu’en 2007 avant de déménager dans une ville limitrophe… »</span></span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><strong><span style="font-size: large; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-size: medium; font-family: Times New Roman;"> </span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><strong><span style="font-size: large; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: Times New Roman;">Six ans plus tard, il avoue donc <span style="text-decoration: underline;">avoir fraudé </span>lors de l’élection de la direction<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>de la section locale du MoDem de Puteaux, en 2008. Il s’est présenté en tête d’une liste soutenue par Sylvie Cancelloni, Christophe Grébert, Jean-Bernard Paulet…avec l’appui d’apparatchiks douteux du parti. Selon les textes de fonctionnement approuvés du Mouvement Démocrate, il n’avait absolument pas le droit de se présenter à ces élections puisqu’il résidait à Nanterre. Les responsables du MoDem 92, avaient été <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>antérieurement prévenus, par plusieurs émetteurs, de réserves sérieuses quant à la recevabilité de cette candidature : ces doutes étaient bien sûr appuyés sur trois preuves différentes. Vincent Brack s’était déclaré « offusqué »<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>et engagé à fournir un acte de propriété ! </span></span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><strong><span style="font-size: large; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: Times New Roman;">Sylvie Cancelloni avait fourni une fausse adresse à Vincent Brack, dans sa résidence de Puteaux.</span></span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><strong><span style="font-size: large; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: Times New Roman;">La liste, illégale, de Vincent Brack, a été battue par l’autre liste d’Evelyne Sanka, de Pierre-Jacques Castanet et d’Eric Deflandre… qui <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>ont formé, tous trois, la direction collégiale de la section…Les autorités compétentes et responsables ont validé ce résultat.</span></span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><strong><span style="font-size: large; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: Times New Roman;">Christophe Grébert, avec la complicité de ses acolytes, dans un déni partagé de démocratie, n’a jamais admis le résultat de ces élections, truquées par son clan et a oppressé honteusement les citoyens de la section légitime.</span></span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><strong><span style="font-size: large; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-size: medium; font-family: Times New Roman;"> </span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><strong><span style="font-size: large; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: Times New Roman;">Vincent Brack, « descendant direct de la Maison de Hauteville » (écrit-il), par son imposture, a bien sa place sur ce blog de Christophe Grébert, virtuellement « éthique » et réellement « traître aux valeurs morales élémentaires de la République. » Son texte, gris, rejoint la collection des nombreux textes porteurs de mensonges, censures, désinformations, victimisations, diffamation, atteinte à la vie privée publiés depuis 2008… </span></span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><strong><span style="font-size: large; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: Times New Roman;">Annie Keszey. </span></span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="mso-ansi-language: FR;"><strong><span style="font-size: large; mso-spacerun: yes;"><span style="font-size: medium; font-family: Times New Roman;"> </span></span></strong></span></p>
Solkohttp://solko.hautetfort.com/about.htmlUn fameux numéro de clowntag:solko.hautetfort.com,2014-02-01:53056322014-02-01T20:56:00+01:002014-02-01T20:56:00+01:00 N'est-ce pas comique de réécouter aujourd'hui cet extrait du 1er discours...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium; font-family: helvetica; color: #000000;">N'est-ce pas comique de réécouter aujourd'hui cet extrait du 1er discours de Mitterrand en campagne à Beauvais, en 1981. C'est là qu'on voit que le pingouin contemporain est très très loin du talent d'orateur de celui qu'il prétend imiter. Il reste qu'en écoutant les propos du maître, on voit quand même que c'était déjà un fameux numéro de clown ! </span></p><p><iframe width="560" height="315" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" frameborder="0" marginheight="0" marginwidth="0" scrolling="no" src="http://player.ina.fr/player/embed/CAA8100582101/1/1b0bd203fbcd702f9bc9b10ac3d0fc21/560/315/1/148db8"></iframe></p>
Atelier des Idéeshttp://www.notreputeaux.com/about.htmlPUTEAUX. TRAHISON D'UNE CHARTE ETHIQUE.tag:www.notreputeaux.com,2013-12-15:52451462013-12-15T16:41:00+01:002013-12-15T16:41:00+01:00 DU 20/03/2008 AU 20/04/2008. LA TRAHISON DE LA CHARTE ETHIQUE...
<p><span style="font-size: medium;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: Times New Roman;">DU 20/03/2008 AU 20/04/2008. </span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: medium; font-family: times new roman,times;"><strong>LA TRAHISON DE LA CHARTE ETHIQUE DE « PUTEAUX ENSEMBLE, POUR UNE VILLE QUI NOUS RESSEMBLE- ELECTIONS<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>MUNICIPALES 2008 », PAR CHRISTOPHE GREBERT<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>ET SYLVIE CANCELLONI. </strong></span> </p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: medium; font-family: times new roman,times;"><strong>La synthèse la plus brève de cette imposture fut la publication d’une image sur le blog de Laurent Meliz : un vacher, image symbolique de Christophe Grébert, tirait le troupeau des bœufs-colistiers. </strong></span><span style="font-size: medium; font-family: times new roman,times;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: medium; font-family: times new roman,times;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">« </strong><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">Nous n’avons rien à cacher ». Christophe Grébert, le 25 Mars 2008. </strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: medium; font-family: times new roman,times;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"> </strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: medium; font-family: times new roman,times;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">Rappelons <span style="mso-spacerun: yes;"> </span></strong><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">les engagements, d’écoute, de transparence, de respect de la personne et de défense de la dignité de chacun, de la charte éthique de Christophe Grébert.</strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: medium; font-family: times new roman,times;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">« </strong><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">Vous en avez assez de ce système qui exclut plus qu’il n’intègre?...Vous en avez assez de ces élus qui vous méprisent » ?...</strong><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">Christophe Grébert.</strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: medium; font-family: times new roman,times;"><strong> </strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 35.4pt;"><strong><span style="font-size: medium; font-family: times new roman,times; mso-bidi-font-family: Arial;">Le premier mois de « Puteaux Ensemble », après les Elections, pour les colistiers « Sans Etiquette », est une interrogation permanente sur l’inversion progressive et imprévue des valeurs de la Charte Ethique induite par une altération des comportements des 2 premiers Conseillers Municipaux de la liste : Christophe Grébert et Sylvie Cancelloni : le silence, l’opacité, l’irrespect d’autrui,<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>les exclusions<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>des « cols, à la fois, blancs et bleus » de la campagne annulent les engagements de la charte éthique </span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 35.4pt;"><strong></strong><strong><span style="font-size: medium; font-family: times new roman,times; mso-bidi-font-family: Arial;">Cette interrogation se fonde exclusivement sur des messages écrits, échangés pendant un mois, après les élections, et communs à tous les colistiers. Ces messages sont conservés dans un document de 42 pages remis à 42 colistiers. Ce document reste accessible.</span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 35.4pt;"><strong><span style="font-size: medium; font-family: times new roman,times; mso-bidi-font-family: Arial;">Les pratiques sont contraires aux exigences morales des engagements et semblables aux comportements, pourtant critiqués, des adversaires. Or, la seule manière, en politique, de légitimer la volonté d’arriver au pouvoir étant de prouver que la politique suivie par le pouvoir en place est mauvaise, les 2 premiers élus de Puteaux Ensemble compromettent leur avenir.</span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><strong><span style="font-size: medium; font-family: times new roman,times; mso-bidi-font-family: Arial;"> </span></strong></p><div style="padding-right: 4pt; padding-left: 4pt; padding-bottom: 1pt; padding-top: 1pt; mso-element: para-border-div; mso-border-alt: solid windowtext .5pt; border: windowtext 1pt solid;"><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 35.4pt; text-align: justify; mso-border-alt: solid windowtext .5pt; mso-padding-alt: 1.0pt 4.0pt 1.0pt 4.0pt; padding: 0cm;"><strong><span style="font-size: medium; font-family: times new roman,times;"><span style="mso-bidi-font-family: Arial;">Seuls trois Conseillers <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>restent totalement crédibles : Frédéric Chevalier, Evelyne Hardy et Bruno Lelièvre. (</span>Plus tard, Frédéric Chevalier rejoindra l’UMP et Bruno Lelièvre, des Verts, disparaîtra du jeu politique et démissionnera, sans acquis).</span></strong></p></div><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><strong><span style="font-size: medium; font-family: times new roman,times; mso-bidi-font-family: Arial;"> </span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 35.4pt;"><strong><span style="font-size: medium; font-family: times new roman,times; mso-bidi-font-family: Arial;">A partir des indicateurs des messages, et seulement de ceux-là, les mécanismes de la DERIVE TOTALITAIRE de Christophe Grébert au sein de « Puteaux Ensemble » sont paradoxaux : Conseiller Municipal nouvellement élu, il donne, en effet, de constantes leçons publiques de Démocratie au Maire en place.</span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 35.4pt;"><strong><span style="font-size: medium; font-family: times new roman,times; mso-bidi-font-family: Arial;">Un mensonge de politique traditionnelle, manipulateur dans la présentation des résultats électoraux, fait par Sylvie Cancelloni, sur son blog, a suscité l’incompréhension des colistiers, en dehors des adhérents du <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>MoDem, témoins silencieux, <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>Frédéric Chevalier, malgré lui, a été présenté comme un adhérent du MoDem, alors que c’est faux. Les demandes d’explication n’ont reçu qu’un mutisme méprisant, irrespectueux d’autrui, sur une durée trop longue, destructrice de la confiance et de la cohésion du groupe.<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>Christophe Grébert a estimé ces interrogations « futiles », mais il a pris des mesures diverses : il s’est désabonné de sa liste, abandonnant ainsi ses colistiers, il a désabonné autoritairement tout le groupe du newsgroup censurant ainsi le libre-échange, il a demandé à chacun un nouvel abonnement pour un nouveau newsgroup, sous sa seule responsabilité, et conseillé d’y limiter l’expression au seul parler « utile », a exclu progressivement ceux dont les propos n’ étaient pas en résonance avec les siens et menacé d’exclure ceux qui se réuniraient sans le prévenir , Puis, souhaitant créer une association pour pérenniser « Puteaux Ensemble », il a voulu en avoir la présidence et n’a toléré ni la concurrence, ni l’élection par l’ensemble du groupe.</span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 35.4pt;"><strong><span style="font-size: medium; font-family: times new roman,times;">Au cours de ce mois, il utilise des justificatifs historiquement connus, tous utilisés par des POUVOIRS TOTALITAIRES, pour déplacer puis inverser la réalité à son avantage : présence de traîtres et « psychose » des comploteurs dont il faut se protéger, évictions présentées, à l’envers, comme des départs volontaires, dans le respect de la liberté individuelle.</span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; tab-stops: 306.0pt;"><strong><span style="font-size: medium; font-family: times new roman,times;"><span style="mso-spacerun: yes;"> </span>Christophe Grébert, au sein de PE est un chef de file « monopolistique » conscient ou inconscient ; l’avenir le précisera, pour ceux, du moins, qui en seraient encore curieux. Certes, et heureusement, il n’a pas le pouvoir, mais il a un laboratoire pour agir, qui permet de lire le futur dans les cartes :</span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 35.4pt; tab-stops: 306.0pt;"><strong><span style="font-size: medium; font-family: times new roman,times;"><span style="text-decoration: underline;">- Ses excès d’autorité <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>sont intervenus <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>sans légalité</span><span style="mso-spacerun: yes;"> </span>puisque la liste PE, avait une charte éthique, mais <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>ne fonctionnait sur aucune écriture de statuts, <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>même <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>provisoire. <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>PE n’étant pas un parti ne pouvait pas davantage <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>fonctionner sur ce mode.</span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; tab-stops: 306.0pt;"><strong><span style="font-size: medium; font-family: times new roman,times;">Ses décisions, strictement personnelles, font la «loi interne ».</span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 35.4pt; tab-stops: 306.0pt;"><strong><span style="font-size: medium; font-family: times new roman,times;"><span style="text-decoration: underline;">- Son autorité n’a pas été modérée</span> : l’exclusion de son<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>très travailleur directeur de campagne, par la formule aérienne de « bon vent » resterait un égarement, dangereux, s’il n’était stupide. Ce collaborateur, c’est la Droiture. <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>Cette loyauté morale est exclue de « Puteaux Ensemble », par Christophe Grébert ! C’est surtout le recours autocratique au « bouc émissaire ».</span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 35.4pt;"><strong><span style="font-size: medium; font-family: times new roman,times;"><span style="text-decoration: underline;">- La légitimité du dissensus, oxygène de la démocratie, est niée</span> et les exclusions se prononcent, dans une ambiguïté connue des historiens, sans accorder aux exclus le droit à<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>leur défense : c’est expéditif. Il n’y a pas davantage de nécessaire souplesse relationnelle, comme dans les démocraties avancées, entre la diversité inévitable et l’unité, d’autant<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>que le contexte était à risque nul.</span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 35.4pt;"><strong><span style="font-size: medium; font-family: times new roman,times;">« Puteaux Ensemble » enregistre, avant le 20 Mai, trois exclusions et huit départs. Tous sont les colistiers de la première heure, rédacteurs des trois quarts du programme électoral.</span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><strong><span style="font-size: medium; font-family: times new roman,times;"> </span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 35.4pt;"><strong><span style="font-size: medium; color: #993300; font-family: times new roman,times;">EXCLURE, c’est mal, c’est même LE MAL. Alain Finkielkraut « réveillé » par la lecture de Tocqueville.</span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 35.4pt; tab-stops: 306.0pt;"><strong><span style="font-size: medium; font-family: times new roman,times; text-decoration: underline;"><span style="text-decoration: none;"> </span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 35.4pt; tab-stops: 306.0pt;"><strong><span style="font-size: medium; font-family: times new roman,times;"><span style="text-decoration: underline;">- Les moyens de communication sont tous sous son contrôle</span> : son blog, le site « Puteaux Ensemble », les circuits de communication sur la toile et quand un « électron non- contrôlé » est suspecté, le site est fermé. C’est paradoxal de la part d’un Putéolien, qui, lui, a décidé de l’ouvrir, journaliste de surcroît. C’est paradoxal<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>aussi sur des sites tous porteurs du mot « Ensemble ».</span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 35.4pt; tab-stops: 306.0pt;"><strong><span style="font-size: medium; font-family: times new roman,times;"><span style="text-decoration: underline;">- L’acte futur</span>, tel qu’une réunion privée entre certains, dans un café, <span style="text-decoration: underline;">par anticipation</span>, <span style="text-decoration: underline;">est répréhensible, alors qu’il n’y a pas eu de début d’exécution</span> : il n’y a pas de différence entre se conduire comme un traître et être un traître. Ce chef- là <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>n’est pas « politiquement libre » puisqu’il n’accepte ni divisions, ni dissidences : les dissidents sont tous des infidèles.</span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 35.4pt; tab-stops: 306.0pt;"><strong><span style="font-size: medium; font-family: times new roman,times;"><span style="text-decoration: underline;">- L’auto- proclamation de représentativité, pour présider une association,<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>est préférée à l’élection à</span> <span style="text-decoration: underline;">bulletin secret.</span> Or, la Démocratie c’est l’acceptation de l’éventail concret des candidats crédibles à l’élection, c’est l’acceptation de la concurrence pacifique pour le pouvoir, à égalité de conditions, C’est le droit à une 1<sup>ère</sup> chance et à toutes les chances, afin que gagne, non pas le plus AMBITIEUX, ou le plus HAINEUX mais le plus <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>ALTRUISTE, ALTRUISTE SANS FROIDEUR.</span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 35.4pt; tab-stops: 306.0pt;"><strong><span style="font-size: medium; font-family: times new roman,times;"><span style="text-decoration: underline;">-La critique perpétuelle et exhaustive du gagnant, par l’opposant, n’est pas démocratique</span> même si elle est aujourd’hui, la faiblesse des partis politiques. Il s’agit d’accepter que « la majorité issue des élections fasse loi » afin que naisse une nécessaire conciliation quotidienne entre l’entente commune et la contestation permanente. L’opposition doit être une force de progrès<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>pour tous, au lieu de croire, à tort, qu’elle doit œuvrer dans le seul but de ne pas trahir ses électeurs, électeurs d’ailleurs volatils. La critique, de plus, doit être experte, argumentée, ciblée sur des enjeux majeurs et s’inscrire dans la complexité du réel, afin de s’adresser aux Intelligences.<span style="mso-spacerun: yes;"> </span><span style="mso-spacerun: yes;"> </span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; tab-stops: 306.0pt;"><strong><span style="font-size: medium; font-family: times new roman,times;"> </span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; tab-stops: 306.0pt;"><strong><span style="font-size: medium; color: #993300; font-family: times new roman,times;">« ATTENTION AU REVERS DE LA MEDAILLE. UN PATRON QUI PORTE UNE CHARTE ETHIQUE DOIT SE MONTRER IRREPROCHABLE, IL DOIT MEME L’INCARNER. EN REALITE, JE PENSE QU’UN DIRIGEANT CHARISMATIQUE DONT LA CONDUITE EST EXEMPLAIRE N’A PAS BESOIN D’UNE CHARTE. LES VALEURS QU’IL VEHICULE A TRAVERS SON COMPORTEMENT SUFFISENT. </span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; tab-stops: 306.0pt;"><strong><span style="font-size: medium; color: #993300; font-family: times new roman,times;">QUAND UNE CHARTE EST COMMUNIQUEE, ELLE PEUT, SANS DIFFICULTE, ETRE CONSIDEREE, EN CAS DE NON RESPECT, COMME UNE PUBLICITE MENSONGERE ET ETRE UTILISEE DEVANT LES TRIBUNAUX ». Jean François Carrara.</span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; tab-stops: 0cm;"><strong><span style="font-size: medium; color: #993300; font-family: times new roman,times;"> </span><span style="font-size: medium; font-family: times new roman,times; mso-bidi-font-family: Arial;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; tab-stops: 0cm;"><strong><span style="font-size: medium; font-family: times new roman,times;"><span style="color: #993300;">Consolider la Contre-Démocratie* pour parfaire la Démocratie, ce n’est pas se taire, c’est tenter, avec ses moyens, une démarche de vigilance, pour échapper à l’oscillation entre un enthousiasme naïf et une lucidité désabusée</span>.</span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><strong><span style="font-size: medium; font-family: times new roman,times;">Annie Keszey.</span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><strong><span style="font-size: medium; font-family: times new roman,times;"><a href="http://www.notreputeaux.com/">www.notreputeaux.com</a></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><strong><span style="font-size: medium; font-family: times new roman,times;"> </span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><strong><span style="font-size: medium; font-family: times new roman,times;"> </span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><strong><span style="font-size: medium; font-family: times new roman,times;"> </span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; tab-stops: 306.0pt;"><strong><span style="font-size: medium; font-family: times new roman,times;"> </span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; tab-stops: 306.0pt;"><strong><span style="font-size: medium; font-family: times new roman,times;"><span style="mso-spacerun: yes;"> </span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; tab-stops: 306.0pt;"><strong><span style="font-size: medium; font-family: times new roman,times;"> </span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 35.4pt; tab-stops: 306.0pt;"><strong><span style="font-size: medium; font-family: times new roman,times;"> </sp
Xavier JASSUhttp://lapinos.hautetfort.com/about.htmlPonce Pilate et la laïcitétag:lapinos.hautetfort.com,2013-11-05:52044012013-11-05T11:12:15+01:002013-11-05T11:12:15+01:00 Comme je vais le démontrer ci-dessous, le discours laïc est assimilable à la...
<p style="text-align: justify;">Comme je vais le démontrer ci-dessous, le discours laïc est assimilable à la tartufferie.</p><p style="text-align: justify;">Premier constat : la théorie laïque fait consensus, au-delà des tenants de valeurs républicaines prétendument accordées à un ou des mobiles scientifiques, dans des milieux chrétiens ou juifs renégats. "Renégats" s'entend ici au sens où Moïse comme Jésus-Christ, ont clairement exprimé que ceux qui ne sont pas avec eux, sont contre eux.</p><p style="text-align: justify;">"Renégats" s'entend au sens de la "démocratie-chrétienne", c'est-à-dire d'une doctrine dont on ne trouve pas les premiers linéaments dans les évangiles.</p><p style="text-align: justify;">"Renégats" s'entend encore au sens où ces soi-disant "juifs" et "chrétiens" mènent un combat positif de subversion du judaïsme et du christianisme, à travers diverses publications largement subventionnées.</p><p style="text-align: justify;">Ce constat signifie qu'aucun chrétien ne cautionne le principe de laïcité républicaine, en réalité, mais seulement les tenants d'une vague "culture chrétienne" de leur propre invention. Le chrétien ignore les limites légales, éventuellement totalitaires, au témoignage que le Messie exige de lui.</p><p style="text-align: justify;">Plus étonnant encore, ce type de renégat admet le principe d'un divorce de la théologie et de la science, ce qui traduit de sa part l'ignorance que ce divorce répond au besoin de la science technique, mais non à ceux de la science ou de la théologie.</p><p style="text-align: justify;">La laïcité n'a rien de "neutre" sur le plan historique, puisqu'elle résulte de l'impossibilité de fonder une théocratie sur le christianisme, contrairement à toutes les religions païennes. </p><p style="text-align: justify;">Ajoutons que l'idéal ou l'utopie démocratique, au point où nous sommes rendus de déni concret et apparent, ne peut plus passer, comme dans le marxisme, pour une émancipation de l'individu de la matrice institutionnelle. La démocratie paraît aujourd'hui ce qu'elle est, à savoir un régime démocratique libéral de compétition, qui pourrait bien avoir à rougir de la comparaison avec le nazisme.</p><p style="text-align: justify;">Si la conscience des Français avait été imperméabilisée contre l'histoire, comme celle de leurs cousins germains, plus "philosophique", les Français seraient au même point d'ignorance que l'éthique n'a jamais permis à l'humanité d'accomplir aucun progrès contre la barbarie.</p><p style="text-align: justify;">La prétendue "neutralité laïque" ne se conçoit en réalité que d'un point de vue moral, et ce point du vue moral impartial recoupe celui du curé-tartuffe. La loi républicaine est parfaite parce qu'elle justifie le curé, et celui-ci est parfait parce qu'il fait oeuvre de justification de la loi à l'aide de syllogismes.</p><p style="text-align: justify;">Le point de vue laïc est officiellement neutre... à ce détail près que la loi républicaine évolue d'une façon qui dément l'argument de la neutralité. La loi républicaine évolue en effet en fonction d'un rapport de forces ; cette évolution n'a rien du triomphe d'un point de vue scientifique ou critique supérieur.</p><p style="text-align: justify;">Pratiquement, c'est le régime de consommation, c'est-à-dire le principe religieux le plus actif, dont la position dominante est consolidé par ce sacro-saint principe laïc.</p><p style="text-align: justify;">En résumé :</p><p style="text-align: justify;">- la laïcité ne répond nullement à une exigence scientifique, mais religieuse ;</p><p style="text-align: justify;">- elle est liée au monopole renforcé de l'Education nationale, injustifiable en termes de liberté ;</p><p style="text-align: justify;">- elle est le terme d'une sécularisation des valeurs "judéo-chrétiennes" occidentales, c'est-à-dire une forme de théocratie larvée ;</p><p style="text-align: justify;">- elle repose sur une philosophie naturelle hasardeuse, voire ubuesque ;</p><p style="text-align: justify;">- elle est inefficace à enrayer des phénomènes religieux vivaces tels que l'alcoolisme, l'occultisme, le culte fanatique de la personnalité de vedettes de la télévision, etc.</p>
Xavier JASSUhttp://lapinos.hautetfort.com/about.htmlL'imposture Boutintag:lapinos.hautetfort.com,2013-10-17:51984472013-10-17T10:46:48+02:002013-10-17T10:46:48+02:00 La pasionaria démocrate-chrétienne Christine Boutin a été victime d'une...
<p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000;">La pasionaria démocrate-chrétienne Christine Boutin a été victime d'une opération de communication des "Femen" en Belgique (rebaptisées "Lilith"). Celles-ci l'ont enlacée et se sont livré à divers attouchements et insultes. Le prélat latin Mgr Léonard a été dans le même mouvement entarté par Noël Godin.</span></p><p style="text-align: justify;">Cela fut l'occasion pour C. Boutin, qui mêle sans vergogne ambition politique et références à une culture chrétienne qui n'existe que dans ses fantasmes, de nouvelles déclarations publiques délirantes :</p><p style="text-align: justify;"><em>"(..) Nous sommes aujourd'hui entrés dans un combat qui n'est pas d'ordre politique mais d'ordre spirituel. Désormais, la vraie question qui est posée aux Français, c'est celle de la construction, ou non, d'une société sans Dieu. Madame Taubira nous a bien dit qu'elle souhaitait un changement de civilisation. Ce changement de civilisation est en réalité la proposition qui est faite aux Français par le gouvernement actuel, qui est la construction d'une telle société. (...)"</em></p><p style="text-align: justify;">- L'imposture de Christine Boutin et des démocrates-chrétiens dans son sillage est bien plus démoniaque que celle des Femen-Lilith : elle consiste à faire croire que le combat spirituel peut ou a pu s'accorder avec le combat politique, contre la lettre et l'esprit évangélique.</p><p style="text-align: justify;">La démocratie-chrétienne consiste à mettre en lieu et place de l'apostolat véritable, les fantasmes et les ambitions de bonnes femmes et de clercs calculateurs. Car la civilisation est une notion satanique, et nécessairement le fruit de la géométrie et du calcul.</p><p style="text-align: justify;">- Une civilisation plus ou moins équilibrée se conçoit comme un rapport fructueux ou providentiel de l'homme avec Satan (cf. doctrine de l'antéchrist Nitche), immuable selon la notion de l'éternel retour. C'est la nature et elle seule qui assure l'inaltérabilité de la civilisation, que seul un païen peut appeler de ses voeux. La décadence, dont l'effet le plus visible ne sont pas les singeries des Femen-Lilith, mais bien plutôt l'oppression extraordinaire de l'Occident sur le reste du monde, cette décadence traduit par conséquent une perturbation dans le rapport de l'homme avec Satan, son créateur.</p><p style="text-align: justify;">Le christianisme n'a donc rien d'un mouvement civilisateur, ainsi que les perfides démocrates-chrétiens tentent de le faire croire. C'est au contraire la révolution ou l'instabilité permanente de l'Occident qui porte la marque de l'idéologie catholique romaine. Le libéralisme, c'est-à-dire l'impuissance artistique traduite dans l'économie, l'athéisme, le fantasme démocratique, l'égalité des sexes, le culte identitaire personnel, tout cela n'est que l'effet de l'insanité extraordinaire de l'idéologie occidentale judéo-chrétienne. Le discours grandiloquent de Mme Boutin dissimule mal qu'elle est elle-même une sorte de femme-prêtre à la tête de pédérastes catholiques nostalgiques de la famille. La lâcheté de ces "veilleurs" est manifeste dans la mesure où ils ne se révoltent contre la pourriture libérale que dans la mesure où ils redoutent qu'elle porte atteinte à leurs intérêts patrimoniaux.</p><p style="text-align: justify;">Une grande part de l'apostolat aujourd'hui consiste à arracher le masque de ces imposteurs. La démocratie-chrétienne correspond au phénomène que les apôtres de Jésus-Christ décrivent comme "l'antéchrist" ou la "synagogue de Satan", c'est-à-dire une subversion du christianisme, comparable à celle que la religion de Moïse a subi de la part de ses prêtres.</p><p style="text-align: justify;">L'antichrist Nitche est fondé à dire que le "droit chrétien" ou la "justice chrétienne" représente une menace de mort pour la civilisation. En revanche c'est une stratégie de reconquête satanique qui le pousse à prétendre le "droit chrétien" fondé sur les saintes écritures.</p>
Xavier JASSUhttp://lapinos.hautetfort.com/about.htmlL'Imposture laïquetag:lapinos.hautetfort.com,2013-09-13:51646512013-09-13T18:41:33+02:002013-09-13T18:41:33+02:00 Les valeurs de la République française se situent au niveau des valeurs du...
<p style="text-align: justify;"><strong>Les valeurs de la République française se situent au niveau des valeurs du football. En période de guerre, la République engendre des soldats brutaux ; en période de paix des militants hystériques.</strong></p><p style="text-align: justify;"><strong>Si l'on compare la littérature porteuse des valeurs républicaines, c'est-à-dire principalement celle du XXe siècle, avec des littératures contestataires, c'est l'excès de religiosité qui caractérise la littérature républicaine. Pour ne prendre qu'un exemple, Baudelaire : celui-ci estime la démocratie, la regardant en face telle qu'elle est, comme une démagogie grossière.</strong></p><p style="text-align: justify;"><strong>Si la civilisation et la "culture moderne", expression qui rend l'idée de civilisation automobile, sont des notions abstraites étrangères à la conscience chrétienne, la cause en est qu'elles impliquent un pacte avec la nature, impossible pour un chrétien puisque le mythe de la chute d'Adam et Eve est la traduction de ce pacte. Sans doute lorsque l'antichrist Nitche écrit : <em>"Le philosophe est un arbre."</em>, il pense à l'arbre par lequel le serpent, symbole de la culture de vie, piège Eve, qui piège ensuite Adam.</strong></p><p style="text-align: justify;"><strong>- Shakespeare montre comment les élites chrétiennes ont restauré ce pacte, pour le besoin de l'élitisme, qui lui est d'ordre naturel : cette trahison d'ordre civil constitue un des axes de la montée en puissance de l'antéchrist au cours de l'histoire occidentale. Assez clairement les épîtres de Paul désignent une puissance, non pas antichrétienne apparemment, mais qui feint d'être du côté de Dieu.</strong></p><p style="text-align: justify;"><strong>- La civilisation est une notion essentiellement païenne. L'évangile de Judas découvert récemment révèle d'ailleurs un Judas "platonicien", ce qui est la marque de toutes les fausses doctrines judéo-chrétiennes. Or le Sphinx, emblème démoniaque de la civilisation, invite à estimer la civilisation comme l'homme épris de civilisation lui-même, en fonction de son âge.</strong></p><p style="text-align: justify;"><strong>Autrement dit, les millénarismes nazi ou démocratique politiques sont des abstractions irrecevables du point de vue satanique, et Nitche les rejette pour cette raison. Ils sont dépourvus de lien avec la nature et se fondent sur les hypothèses les plus religieuses et les moins probables. La conscience chrétienne leur accorde encore moins de crédit, puisqu'il s'agit là d'un détournement odieux de la charité chrétienne, transformée en compassion démagogique et utilisée afin de procurer une légitimité à des élites occidentales captieuses.</strong></p><p style="text-align: justify;"><strong>En réalité la civilisation occidentale est morte depuis longtemps. Elle domine d'ailleurs sur les vivants à la manière dont les morts dominent sur les vivants. Vous ne sentez pas l'odeur du Danemark ? Shakespeare a porté le coup de grâce à l'art occidental. Croyez-moi, il ne s'en relèvera pas. La polytechnique, c'est-à-dire l'art au niveau de la brute républicaine galonnée, se fera elle-même sauter le caisson. Si ça se trouve la terre elle-même, mère chérie des Allemands, providence des imbéciles, est elle-même déjà crevée et nous vivons comme des parasites des liqueurs de son cadavre.</strong></p>
Zedhttp://metapoinfos.hautetfort.com/about.htmlUn mensonge d'état...tag:metapoinfos.hautetfort.com,2013-04-30:50573572013-04-30T16:05:00+02:002013-04-30T16:05:00+02:00 Les éditions Michalon publient cette semaine un essai de Jean-François...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Les éditions Michalon publient cette semaine un essai de <strong>Jean-François Impini</strong> intitulé <strong><em>Un mensonge d'état - L'imposture sécuritaire</em></strong>. Colonel de gendarmerie en retraite, Jean-François Impini a commandé le service de la gendarmerie chargé notamment de l'enregistrement statistique des crimes et des délits..</span>.</p><p style="text-align: center;"><img id="media-4079388" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://metapoinfos.hautetfort.com/media/01/02/1531043147.jpg" alt="Un mensonge d'état.jpg" /></p><blockquote><p style="text-align: justify;"> </p><div class="texte"><p class="spip" style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">" Pourquoi les Français éprouvent-ils un irrationnel sentiment d’insécurité, alors qu’on compte 670 000 délits de moins depuis 2002 et un taux d’élucidation des infractions en hausse de 12 points ? Irrationnel ? Et si les chiffres affichés étaient faux ? Et si l’appareil statistique avait été dévoyé au service d’un message politique illusoire ?</span></p><p class="spip" style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Depuis dix ans, la lutte contre la délinquance est marquée par l’empreinte de celui qui en a fait, sinon son combat, au moins sa marque de fabrique. Avec une précision chirurgicale, Jean-François Impini révèle comment les statistiques ont été impunément dévoyées. Il dévoile la dictature des chiffres et les tricheries utilisées pour produire de « bons » résultats, et détaille les pratiques qui ont permis d’éluder des délits par centaines de milliers tout en élucidant des infractions imaginaires.</span></p><p class="spip" style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">À l’heure où « nul n’est censé ignorer la réalité », Jean-François Impini, chiffres à l’appui, jette une lumière crue sur la réalité d’une police détournée de sa mission, et d’une politique de sécurité devenue simple entreprise de communication au profit d’un discours politique vide d’action. "</span></p></div></blockquote>
Zedhttp://metapoinfos.hautetfort.com/about.htmlLa fabrique des imposteurs...tag:metapoinfos.hautetfort.com,2013-01-11:49523182013-01-11T16:15:00+01:002013-01-11T16:15:00+01:00 Les éditions Les Liens qui Libèrent viennent de publier La fabrique des...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Les éditions Les Liens qui Libèrent viennent de publier <strong><em>La fabrique des imposteurs</em></strong>, un essai de <strong>Roland Gori</strong>. Psychanaliste, Roland Gori est notamment l'auteur de <em><strong>La santé totalitaire - Essai sur la médicalisation de l'existence</strong></em> (Denoël, 2005).</span></p><p> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-3917026" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://metapoinfos.hautetfort.com/media/02/01/1085962181.gif" alt="Fabrique des imposteurs.gif" width="256" height="389" /></p><blockquote><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><br /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">"L’imposture a toujours existé mais certaines sociétés la favorisent plus que d’autres. L’imposteur est aujourd’hui dans nos dispositifs d’évaluation et de normalisation comme "un poisson dans l’eau" : faire prévaloir la forme sur le fond, valoriser les moyens plutôt que les fins, se fier à l’apparence et à la réputation plutôt qu’au travail et au courage, préférer la popularité au mérite, opter pour le pragmatisme avantageux plutôt que le courage de l’idéal, choisir l’opportunisme de l’opinion plutôt que tenir bon sur les vertus, chérir le semblant et ses volutes plutôt que la pensée critique, les "mouvements de manche" plutôt que la force de l’oeuvre, voilà le "milieu" idéal pour que prospère l’imposture ! Notre société du conformisme et de la norme, même travestie sous un hédonisme de masse et grimée de publicité tapageuse, d’éloges factices du vrai, de reproduction en masse de l’unique, fabrique de l’imposteur. </span><br /><span style="font-size: small;"> L’imposteur est un authentique martyr du lien social, virtuose de l’apparence, "maître" de l’opinion, "éponge vivante" des valeurs de son temps, "cannibale" des modes et des formes dont il s’affuble comme des "fétiches" pour parer à l’inconsistance de son existence, pour vivre à crédit, au crédit de l’Autre. L’imposture est parmi nous, elle est la soeur siamoise du conformisme galopant, de l’homogénéisation croissante des cultures et des styles. </span><br /><span style="font-size: small;">Ce conformisme a un prix, lourd, très lourd : la stérilité des reproductions contrôlées, la violence symbolique des automatismes sociaux, la prolétarisation généralisée de l’existence. Au nom des normes les pouvoirs "sécuritaires" inhibent les sujets comme les peuples, les empêchent de créer et de s’émanciper en confisquant le débat démocratique, en discréditant l’art de transmettre l’expérience. </span><br /><span style="font-size: small;">Au risque de fabriquer demain une société de "termites" ou de robots parfaitement adaptés aux exigences de compétitivité et de précision de la nouvelle économie "globalisée". Par une intimidation sociale très précoce et insidieuse, contraignante mais compassionnelle, cette civilisation des mœurs emmène vers une soumission forcée aux normes, fabrique parfois ses propres risques qu’elle feint ensuite d’éradiquer."</span></p></blockquote>
Zedhttp://metapoinfos.hautetfort.com/about.htmlLes snipers de la semaine... (54)tag:metapoinfos.hautetfort.com,2012-12-30:49360262012-12-30T10:14:00+01:002012-12-30T10:14:00+01:00 Au sommaire cette semaine : - sur Acrimed , Frédéric...
<p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-3900986" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://metapoinfos.hautetfort.com/media/00/02/3666648604.2.jpg" alt="Chloe Moretz.jpg" width="407" height="302" /></p><blockquote><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Au sommaire cette semaine :</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">- sur <em>Acrimed</em>,<strong> Frédéric Lemaire</strong> allume les médiacrates qui vénérent Mario Monti, le zélé serviteur de la finance internationale... </span></p><p class="crayon article-titre-3959 entry-title" style="text-align: justify;"><strong><span style="font-size: small;"><a href="http://www.acrimed.org/article3959.html">Mario Monti, sauveur de l’Europe et idole des médias</a></span></strong> </p></blockquote><p style="text-align: center;"><img id="media-3900927" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://metapoinfos.hautetfort.com/media/00/00/329038419.jpg" alt="Mario Monti.jpg" /></p><p class="crayon article-titre-3959 entry-title" style="text-align: justify;"> </p><blockquote><p class="crayon article-titre-3959 entry-title" style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">- sur <em>Enquête&Débat</em></span><strong><span style="font-size: small;">, Jean Robin </span></strong><span style="font-size: small;">dézingue Elie Wiesel en prouvant que celui-ci a menti sur son passé...</span></p><p class="crayon article-titre-3959 entry-title" style="text-align: justify;"><strong><span style="font-size: small;"><a href="http://www.enquete-debat.fr/archives/elie-wiesel-na-pas-le-tatouage-dauschwitz-quil-pretend-avoir-94416">Elie Wiesel, un imposteur ?</a></span></strong></p></blockquote><p style="text-align: center;"><img id="media-3900930" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://metapoinfos.hautetfort.com/media/00/02/324651483.jpg" alt="Obama-Wiesel.jpg" /></p><p class="crayon article-titre-3959 entry-title" style="text-align: justify;"><strong><span style="font-size: small;"><br /></span></strong></p>
cléoménèshttp://carnetsdunpaien.hautetfort.com/about.htmlUne imposture contemporaine: la wiccatag:carnetsdunpaien.hautetfort.com,2012-10-20:48714002012-10-20T13:19:00+02:002012-10-20T13:19:00+02:00 Depuis quelques années, un...
<p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 10pt; text-align: justify; line-height: 150%;"> <img id="media-3800199" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://carnetsdunpaien.hautetfort.com/media/01/02/3652304444.png" alt="sorcière,wicca,witchcraft,chaudron" /></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 10pt; text-align: justify; line-height: 150%;"> </p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 10pt; text-align: justify; line-height: 150%;"> </p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 10pt; text-align: justify; line-height: 150%;"> </p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 10pt; text-align: justify; line-height: 150%;"> </p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 10pt; text-align: justify; line-height: 150%;"> </p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 10pt; text-align: justify; line-height: 150%;"><span style="line-height: 150%; font-family: times new roman,times; font-size: medium;">Depuis quelques années, un mouvement religieux soit disant païen, d’origine anglo-saxonne prend de l’importance. Il revendique plusieurs centaines de milliers de fidèles aux USA, et quelques millions à travers le monde. Il s’agit de la Wicca.</span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 10pt; text-align: justify; line-height: 150%;"><span style="line-height: 150%; font-family: times new roman,times; font-size: medium;">Les wiccans sont d’un politiquement correct formidable : ils ont un dieu et une déesse, parité oblige. Ils sont inquiets pour la nature, comme tout éco-citoyen actuel. Ils sont plutôt socialistes. Mais cette ratatouille bien pensante serait encore loin d’être un sujet d’inquiétude valable, si ne s’y ajoutaient d’autres problèmes, que je vais exposer dans les lignes qui viennent :</span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 10pt; text-align: justify; line-height: 150%;"><span style="line-height: 150%; font-family: times new roman,times; font-size: medium;">Tout d’abord, la wicca se revendique plus ancienne religion de la terre. Imposture totale : ses textes fondateurs (le livre des ombres, Witchcraft Today…)datent du 20<sup>ème</sup> siècle ! Le mot wicca lui-même, quoique basé sur le vieil anglais, n’a le sens qu’il a actuellement (c'est-à-dire celui de religion wiccane) que grâce au fameux Gérald Gardner, lui aussi homme du 20<sup>ème</sup>siècle… </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 10pt; text-align: justify; line-height: 150%;"><span style="line-height: 150%; font-family: times new roman,times; font-size: medium;">Cependant, et en dépit de l’évidence selon laquelle il n’y avait pas de wiccans il y a 2 siècles, et encore moins il y a plusieurs millénaires, la wicca se prétend résurgence d’un très ancien culte de la déesse mère, d’un monothéisme originel. Cela fait des décennies que l’idée d’un monothéisme originel, véhiculée par les religions abrahamiques, s’est révélé être une imposture complète. Nous savons très bien qu’en réalité, c’est le monothéisme qui descend du polythéisme, et certainement pas l’inverse. Libre à chacun de juger s’il y a là évolution ou décadence. </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 10pt; text-align: justify; line-height: 150%;"><span style="line-height: 150%; font-family: times new roman,times; font-size: medium;">Tout aussi grave, les wiccans, à la suite de leurs maîtres à penser, Gérald Gardner et Margaret Murray (dont nous aurons l’occasion de disserter à l’occasion), confondent paganisme(s) et sorcellerie/magie. Si, bien entendu, il a existé des pratiques magiques, au sein des religions païennes comme ailleurs, les religions polythéistes de l’antiquité ne se réduisent pas à la magie ! </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 10pt; text-align: justify; line-height: 150%;"><span style="line-height: 150%; font-family: times new roman,times; font-size: medium;">De plus, la sorcellerie médiévale, même si elle véhicule effectivement des restes de paganisme, est également pétrie de judéo-christianisme. L’évocation de Satan, personnage majeur de l’imaginaire chrétien, les sabbats, terme hébraique, en sont la preuve. Un païen authentique de l’époque d’Homère, de Périclès ou de Marc-Aurèle, qu’il soit grec, gaulois ou égyptien ne connaissait ni Satan, ni les sabbats… </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 10pt; text-align: justify; line-height: 150%;"><span style="line-height: 150%; font-family: times new roman,times; font-size: medium;">De même pour l’ésotérisme, qui est, dans son état actuel, bien davantage le descendant de 15 siècles de chrétienté que celui de l’antiquité païenne. </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 10pt; text-align: justify; line-height: 150%;"><span style="line-height: 150%; font-family: times new roman,times; font-size: medium;">Les lectures des wiccans sont également très surprenantes pour de prétendus païens. Il suffit de parcourir une librairie wiccane en ligne, ou encore de discuter lectures avec des wiccans pour s’en rendre compte. « La magie verte, manuel pratique » ; « les 60 rituels secrets de la magie de sel »,spiritisme, alchimie, hermétisme, kabbale… Le tout généralement rédigé par des auteurs modernes, de préférence anglo-saxons. Pas un seul auteur grec ou romain antique ! Comment pourrait-on redécouvrir le paganisme en ignorant aussi superbement les matériaux brut dont nous disposons encore ? On connaitrait mieux le paganisme en allant à l’école des jésuites, comme Renan et Voltaire, qu’en se baignant dans cette mare hideuse d’ésotérisme anglo-saxon moderne.</span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 10pt; text-align: justify; line-height: 150%;"><span style="line-height: 150%; font-family: times new roman,times; font-size: medium;">Qu'on se rassure, les grands noms du néopaganisme leur sont également inconnus: Louis Ménard, Walter Otto, Nietzsche, les poètes du romantisme allemand et du parnasse français, inconnus au bataillon ! On leur préfère d'obscurs scribouillards anglais ou américains, comme Gardner, Murray, Valiente, comme cette page édifiante, issue d'un site wiccan, le démontre:</span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 10pt; text-align: justify; line-height: 150%;"><span style="line-height: 150%; font-family: times new roman,times; font-size: medium;"><span style="line-height: 150%; font-family: times new roman,times; font-size: medium;"><a href="http://www.twpt.com/authors.htm">http://www.twpt.com/authors.htm</a></span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 10pt; text-align: justify; line-height: 150%;"><span style="line-height: 150%; font-family: times new roman,times; font-size: medium;">La wicca est moderne, très moderne. Trop sans doute pour se revendiquer des religions antiques, dont elle ne partage aucunement les valeurs. Mélange extravagant d’éco-socialo-féminisme, d’ésotérisme anglo-saxon et de contre-vérités historiques, elle est tout, sauf un paganisme authentique. </span></p>
fakakirhttp://snpsp1.hautetfort.com/about.htmll'algerien n'a pas besoin d'une mosquée mais d'un président élu démocratiquement et sans DRStag:snpsp1.hautetfort.com,2012-08-17:48073752012-08-17T18:54:30+02:002012-08-17T18:54:30+02:00 La Grande Mosquée d’Alger conçue pour résister à un séisme de 9 sur...
<h3>La Grande Mosquée d’Alger conçue pour résister à un séisme de 9 sur l’échelle de Richter</h3><p><span class="article_infos">Riyad Hamadi</span> <br /><br /></p><div style="width: 100%; margin: auto; text-align: center;"><img style="float: none;" src="http://www.tsa-algerie.com/images/articles/Grande%20mosqu%C3%A9e%20Alger.jpg" alt="Grande mosquée Alger.jpg" /></div><p> </p><p>La Grande Mosquée d’Alger peut résister à un tremblement de terre d’une magnitude de 9 sur l’échelle de Richter, a assuré ce jeudi 16 août le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs Bouabdallah Ghlamallah. « Des personnes qui ne sont pas habilitées s’expriment sur le choix du terrain alors que nous avons fait appel à des spécialistes issus de pays à forte activité sismique, notamment du Japon et des États‑Unis (Los Angeles), qui ont tous conclu que la qualité du sol est tout à fait appropriée et sa résistance formidable », a indiqué le ministre en réponse à une question sur le choix du terrain d’assiette situé dans la commune de Mohammadia, en face de la baie d’Alger, rapporte l’<em>APS</em>.</p><p> </p><div>« Même si un séisme de 9 sur l’échelle de Richter survenait, la construction ne subirait le choc que d’un niveau 3 sur la même échelle, grâce à un système parasismique. Ce système réduit la puissance du séisme de 70 % », a assuré le ministre.</div><p> </p><div> </div><p> </p><div> </div><p> </p><div><strong>Livraison de la mosquée dans les délais </strong></div><p> </p><div> </div><p> </p><div>Les travaux de réalisation de la Grande Mosquée d’Alger ont été lancés ce jeudi 16 août avec le coulage de béton des fondations, en présence du ministre des Affaires religieuses, de l’ambassadeur de Chine à Alger, Liu Yuhe, et du PDG adjoint du groupe chinois CSCEC, Zhou Sheng, en charge de la réalisation du projet pour un milliard d’euros. « Les travaux de la Grande Mosquée d’Alger avancent selon la feuille de route tracée à cet effet. Tout se déroule dans de bonnes conditions. Les délais de réalisation ainsi que les normes techniques seront respectés », a déclaré à la presse M. Ghlamallah, en marge de l’opération de coulage de béton.</div><p> </p><div> </div><p> </p><div>Interrogé sur l’éventualité d’un non‑respect des délais de réalisation résultant notamment de défaillances techniques, M. Ghlamallah a précisé que cela aurait des « répercussions financières » pour l’entreprise chargée du projet. La livraison de la Grande Mosquée d’Alger est prévue durant le 1<sup>er</sup> semestre 2015.</div><p> </p><div> </div><p> </p><div> </div><p> </p><div><strong>Pas de révision à la hausse du coût du projet</strong></div><p> </p><div> </div><p> </p><div>Le ministre a écarté toute révision à la hausse du coût du projet en affirmant que le coût et les délais demeuraient inchangés. « Le coût du projet est définitif, nous n’ajouterons aucun centime. Pour les délais de réalisation, l’opération de coulage d’aujourd’hui (jeudi) démontre que les délais sont respectés », a‑t‑il dit. L’ambassadeur de Chine à Alger, Liu Yuhe, a indiqué, pour sa part, qu’il n’avait aucun doute sur « la qualité du travail accompli » par l’entreprise chinoise. « Tout le monde connaît l’importance de ce projet pour l’Algérie. Avec les efforts de tout le monde, les travaux avancent avec une bonne cadence », s’est félicité M. Yuhe. Le ministre des Affaires religieuses a souligné que « la Grande Mosquée d’Alger est le symbole, voulu par le président de la République, du recouvrement de la souveraineté et de l’indépendance nationales ». </div><p> </p><div> </div><p> </p><div>Le coût du projet implanté dans la commune de Mohammadia s’élève à environ un milliard d’euros. Il devrait créer 17 000 emplois, dont 10 000 postes pour les Algériens. Dotée d’une salle de prière d’une capacité de 120 000 fidèles, la Grande Mosquée d’Alger comprend notamment une Maison du Coran d’une capacité d’accueil de 300 places pédagogiques pour les étudiants en post‑graduation, un centre culturel islamique, un centre d’exposition, une bibliothèque d’une capacité de 2 00 places dotée d’un million d’ouvrages, une salle de conférence, un musée d’art et d’histoire islamiques et un centre de recherche sur l’histoire de l’Algérie.</div><p> </p><div> </div><p> </p><div>Des salles équipées de moyens multimédias, des bâtiments administratifs, un parking de 6 000 places, des espaces verts ainsi que des locaux commerciaux sont prévus dans le cadre de ce gigantesque projet. Le projet de la Grande mosquée d’Alger se compose de 12 bâtiments indépendants, disposés sur un terrain d’environ 20 hectares avec une surface brute de 400 000 m<sup>2</sup>.</div>
Xavier JASSUhttp://lapinos.hautetfort.com/about.htmlL'imposteur Plunketttag:lapinos.hautetfort.com,2012-08-05:47981962012-08-05T20:02:00+02:002012-08-05T20:02:00+02:00 Ma constance à dénoncer l'imposture du journaliste Patrice de Plunkett et...
<p style="text-align: justify;">Ma constance à dénoncer l'imposture du journaliste Patrice de Plunkett et son antichristianisme, est aussi forte que celui-là est déterminé à fermer la porte de son blogue à quiconque n'est pas un client potentiel de sa littérature.</p><p style="text-align: justify;">Léon Bloy, "catholique romain" comme Plunkett, souligna néanmoins l'infâmie qu'il y a à exercer le métier de journaliste : hélas, le pauvre Bloy ne se doutait pas que la publicité commerciale, moins présente de son vivant, ferait qu'on vendrait un jour des polices d'assurance, des voitures ou des avions de chasse au nom de Jésus-Christ, tout en mettant un terme à la liberté d'expression de cette façon.</p><p style="text-align: justify;">On n'est pas obligé d'acheter "Le Figaro" quand on tient la valeur éditoriale de ce journal pour nulle, ou la pornographie élégante de son supplément pour secrétaires de direction pour une injure à l'esprit français humaniste. Mais, s'agissant d'internet, il en va pour moi autrement : je considère ce terrain, non pas comme le prolongement naturel du discours publicitaire en provenance des hautes sphères de la société civile, mais comme le lieu de la reconquête par les milieux populaires français de l'intelligence, d'excavation des lupanars séduisants où l'élite française a maintenu ces milieux, afin de mettre au service de la mastication sociale de l'homme par l'homme ceux qui précédemment servirent aux machines et aux canons des mêmes maîtres.</p><p style="text-align: justify;">C'est encore un "catholique romain", Georges Bernanos, qui prétend que la "Libération" fut un mensonge plus grand encore que la collaboration. Or la propagande de Patrice de Plunkett peut se résumer au double effet qu'elle a de censurer le propos de Bloy : La presse subventionnée par la société civile française est une puissance occulte ; et celui de Bernanos : Les partis politiques qui se sont emparé du pouvoir à la Libération en France n'ont rien fait pour réduire l'iniquité des régimes précédents, abaissant l'esprit critique des Français à un niveau inédit de bêtise.</p><p style="text-align: justify;">Ici j'en profite pour compléter l'avis de Bernanos : il est hautement probable que la plus grande peur des "bien-pensants", dont P. de Plunkett ne fait que grossir la meute, est que la société dont ils passent leur temps à justifier le point de départ, l'évolution ou la solution finale, cette société n'a aucun sens en dehors de celui qui pousse les particules élémentaires à s'agglomérer entre elles ; et, par conséquent, que l'absurdité grandissante des moeurs occidentales n'entraîne de la part des "bien-pensants" un délire de justification consécutif, pléthore de théories de réforme qui, comme les mondes multiples ou le purgatoire, ont pour but de rassurer les "bien-pensants", de les disculper bien plus qu'autre chose.</p><p style="text-align: justify;">Ophélie, sainte patronne des bien-pensants catholiques, ayant vu qu'aucun de ses mobiles ne pouvait convaincre Hamlet, met aussitôt fin à ses jours, vu que l'absence de mobile équivaut pour le bien-pensant à une condamnation à mort.</p><p style="text-align: justify;">- L'accusation à l'encontre de P. de Plunkett, exactement comme le pape, est de graisser les rouages d'une mécanique sociale qui tourne à vide. Si Plunkett était mécanicien ou publicitaire, il ferait son métier sans que j'y trouve à redire, mais c'est l'usage de l'argument chrétien qui est scandaleux de sa part, au service d'une cause qui n'a pas plus de fondement chrétien réel que le stalinisme, le régime de Louis XIV ou la constitution des Etats-Unis.</p><p style="text-align: justify;">Plunkett veut qu'on prenne les argousins de la pensée démocrate-chrétienne retranchés à Bruxelles dans leurs exercices comptables scabreux - leur défi au Ciel -, pour d'authentiques défenseurs de la vérité. Et ça ne devrait plus être possible. La tactique est d'ailleurs grossière et doit être concertée dans quelque "Rotary-club chrétien", puisqu'elle est imitée par d'autres représentants de commerce chrétiens, sur le mode : "Tant que l'économie libérale, à laquelle nous n'avions rien trouvé à redire quand elle garantissait un rapport suffisant, tant que ce système d'enrichissement sans cause et de vassalité à l'échelle mondiale connaît des ratés, feignons de partager la déception de l'opinion publique, déçue par le modèle économique libéral, tout en continuant de faire croire qu'il est une économie libérale qui, dans l'absolu, peut se passer du rapport de force et de l'exploitation, contrairement à la démonstration de Marx que ça n'est pas possible ; deuxièmement, faisons croire que le mobile économique est compatible avec le christianisme, alors même que les apôtres, mettant leurs biens en commun, ont privé la monnaie de son infernale nécessité."</p><p style="text-align: justify;">Cette tactique est cousue de fil blanc, et le fait de tous les partis libéraux en ce moment. De François Hollande déclarant qu'il n'aime pas l'argent, de Barack Obama lâchant des services sociaux pour acheter la paix sociale dans son pays, de BHL propageant la démocratie et les droits de l'homme dans tous les pays qui ne sont pas des clients privilégiés des industriels de l'armement français, de N. Sarkozy pointant du doigt la responsabilité des "traders" et des excès du "néo-libéralisme".</p><p style="text-align: justify;">Elle signifie, sur le plan politique étranger au message évangélique, selon tous les théologiens appuyés sur un minimum de logique, que la démagogie et le populisme viennent bien de l'élite et non du peuple, qui à force d'iniquité ne peut plus réagir que comme une bête coincée dans une impasse, parce que les élites se sont efforcées d'empêcher dans le peuple tout effort individuel de libération, et d'abord en censurant dans le christianisme tout ce qui permet de comprendre qu'il échappe à toute forme de récupération éthique ou politique.</p>
fakakirhttp://snpsp1.hautetfort.com/about.htmlQue reste-t-il de l’âme du 5 Juillet ?tag:snpsp1.hautetfort.com,2012-07-26:47915352012-07-26T22:31:00+02:002012-07-26T22:31:00+02:00 Par Le Matin DZ | C’était avec une pointe de curiosité que les...
<div class="infos"><div class="sign"><strong> <span class="auteur"> Par <span class="journaliste">Le Matin DZ</span> </span> |</strong></div></div><p class="article_abstract"><strong>C’était avec une pointe de curiosité que les Algériens attendaient la célébration officielle du cinquantenaire de leur libération.</strong></p><p> </p><div class="image"><strong> <img title=""Un Président absent mais dont l’ombre est devenue trop pesante"." src="http://www.lematindz.net/thumbnail.php?file=2012/07/Abdel_606524807.jpg&size=article_medium" alt="" /> <span class="image_caption" style="max-width: 360px;">"Un Président absent mais dont l’ombre est devenue trop pesante".</span> </strong></div><p> </p><p style="text-align: justify;"><strong>Il faut dire que depuis quelques années, la tradition festive s’était effilochée et que le cœur n’y était plus vraiment. Mais là, d’aucuns pensaient que l’occasion était trop belle pour le régime pour entonner encore une fois la musique de la "<em>famille révolutionnaire</em>" dans un décor grandiose.</strong></p><p> </p><p style="text-align: justify;"><strong>Mais voilà, à part les tonnes de pétards et l’importation des artistes à coup de milliards, rien, mais alors rien de notable ne fut proposé aux Algériennes et Algériens pour vivifier en eux ne serait-ce qu’une mémoire saine des heures de gloire de la libération. Tout s’est passé comme si que ce régime voulait juste faire semblant de fêter une date mais en en évitant absolument que les jeunes générations apprennent un peu de leur histoire. Car le moment n’est pas propice à l’encensement des "<em>révolutions</em>". Cela devient trop risqué.</strong></p><p> </p><p style="text-align: justify;"><strong>Alors, en dehors d’un faux-semblant, nul acte concret pour commémorer l’indépendance du pays. Pour le pouvoir, il faut laisser tout cela <em>refroidir</em>". Les sentiments nationalistes et révolutionnaires doivent mourir de leur belle mort. Ceux qui dirigent ce pays veulent la tranquillité pour eux. Alors ils enseignent au pays l’indifférence, premier stade de l’oubli. Que chacun vaque à son vide, pense à sa survie et laisse tomber tout le reste, c'est-à-dire, tout sentiment qui transcende l’individu et le fait adhérer à sa communauté. Ainsi, le pays pourra être distribué morceau par morceau, aux prédateurs et aux prévaricateurs sans que personne ne pose de questions.</strong></p><p> </p><p style="text-align: justify;"><strong>Le comportement du pouvoir est tout simplement irresponsable. Son égoïsme est tel qu’il organise lui-même la défaite morale du pays.</strong></p><p> </p><p style="text-align: justify;"><strong>En réalité, il n’y a plus de morale publique, ni de morale tout court. A force de mensonges, de fausses promesses, de scandales, de trafic des voix, de répressions de la vertu et d’encouragement du vice, l’Algérie est arrivée cahin caha à cette date fatidique du 50ème anniversaire dans un piteux état.</strong></p><p> </p><p style="text-align: justify;"><strong>Ah ? Cinquante années d’indépendance !? Un demi-siècle déjà !?</strong></p><p> </p><p style="text-align: justify;"><strong>Mais qu’avons-nous fait de ces cinquante ans ? Et que reste-t-il de Novembre ?</strong></p><p> </p><p style="text-align: justify;"><strong>Comme chacun le sait, la nation algérienne s’est construite sur les fonds baptismaux de la révolution. Désormais, mythe fondateur, le 1er Novembre constitue pour l’essentiel le capital symbolique national. Ce capital symbolique est le véritable patrimoine historique, la couronne royale qui doit être transmise de génération en génération pour protéger la mémoire de la souveraineté nationale, de l’identité du peuple, de son indépendance, de son territoire.</strong></p><p> </p><p style="text-align: justify;"><strong>Nul doute que le précieux capital aurait dû faire l’objet des attentions ultimes de ceux qui se proclament de cette même génération de Novembre. Cela devait être leur raison existentielle.</strong></p><p> </p><p style="text-align: justify;"><strong>Depuis 1962, les pouvoirs successifs et néanmoins semblables ont toujours justifié leur choix, leurs politiques, leurs légitimité en s’ornant des oripeaux de la révolution. Mais voilà, 50 ans après, ceux qui dirigent le pays ont tout dépensé. Ils ont consumé le capital symbolique de la nation. Ils s’en sont servis comme d’une somme d’argent qui leur a été léguée, ou pire, qu’ils avaient gagné au loto. Ils ont dépensé ce trésor national, ce patrimoine indivisible appartenant à tous les Algériens d’hier, d’aujourd’hui et de demain, comme ils l’ont voulu.</strong></p><p> </p><p style="text-align: justify;"><strong>Depuis longtemps déjà, les Algériens étaient fatigués d’entendre leurs dirigeants leur parler hypocritement de la révolution, des chouhadas, des moudjahidines et des ayants-droit. Mais apparemment ils étaient encore loin du compte. Depuis plusieurs années, le comportement de l’Etat en général vis-à-vis des citoyens transmet le message suivant : le 1er Novembre n’est qu’un alibi pour que nous restions au pouvoir ! Et si pour cela il faut consommer tout le capital symbolique de la nation, nous le ferons.</strong></p><p> </p><p style="text-align: justify;"><strong>Ces gens ont pris sciemment le risque que demain, les jeunes générations confondent entre valeurs du 1er Novembre et non valeurs du FLN actuel, entre l’imposture d’aujourd’hui et le combat d’hier, entre les fausses convictions actuelles et le patriotisme d’hier. Voilà où se niche le plus grand danger ! Lorsqu’on fait l’amalgame du scandaleux 10 mai avec le sacré 1er Novembre ne sommes-nous pas sur cette pente ?</strong></p><p> </p><p style="text-align: justify;"><strong>En fait, l’Algérie ne cesse de surprendre, d’étonner, d’inquiéter et de se morfondre… Pour les observateurs, les plus avertis, elle entre trop difficilement dans les grilles de lecture habituellement si commode pour identifier, cerner et classer un pays. Le pouvoir a tellement brouillé les éléments de base qui fondent une lecture politique classique qu’elle est devenue incompréhensible. Toutes les sciences prédictives réunies semblent incapables de déceler la moindre logique de conduite</strong></p><p> </p><p style="text-align: justify;"><strong>Comme une entité erratique, le pays donne cette impression de déconnexion totale du monde environnant, d’être détaché des règles et des normes universelles, flottant dans un espace sans références. Plus personne ne semble conduire ce vaisseau spatial perdu dans l’immensité du vide et de l’apesanteur.</strong></p><p> </p><p style="text-align: justify;"><strong>Personne ne sait si l’Algérie est un pays dictatorial, démocratique, populiste ou tout à la fois ou alors rien à la fois ! Personne n’arrive à se faire une idée précise si notre gouvernance est le résultat d’une volonté ou au contraire de son absence ; à savoir si nos dirigeants sont de ce monde-ci ou alors s’ils appartiennent à un univers d’ailleurs…</strong></p><p> </p><p style="text-align: justify;"><strong>Un Président absent mais dont l’ombre est devenue trop pesante, un parti historique abîmé, déchiqueté et perverti, une assemblée mal-élue et inutile, un gouvernement sans gouvernail, une opposition historique qui, à force d’appeler au nihilisme est devenue subitement victime d’elle-même… toutes les règles s’anéantissent, tout semble partir en fumée… la débandade se généralise.</strong></p><p> </p><p><strong>L’Etat est devenu un puissant et inusable générateur de désordre…</strong></p><p> </p><p><strong>Soufiane Djilali<br />Président de Jil Jadid<br />jiljadid@ymail.com</strong></p>
fakakirhttp://snpsp1.hautetfort.com/about.htmlLa dernière fois que Bouteflika a rencontré Boudiaf...tag:snpsp1.hautetfort.com,2012-07-03:47699082012-07-03T01:36:51+02:002012-07-03T01:36:51+02:00 Par Le Matin DZ | Historiquement, Abdelaziz Bouteflika a...
<h1 class="page_title"> </h1><div class="infos"><div class="sign"><span class="auteur"> Par <span class="journaliste">Le Matin DZ</span> </span> |</div></div><div class="image"><img title="La dernière fois que Bouteflika a rencontré Boudiaf..." src="http://www.lematindz.net/thumbnail.php?file=BOUDIAF_BOUTEFLIKA_502659515.jpg&size=article_medium" alt="" /></div><p style="text-align: justify;">Historiquement, Abdelaziz Bouteflika a toujours été présent dans les épisodes où le pouvoir civil a dû céder du terrain au pouvoir militaire. Il est l’homme lige auquel les chefs militaires ont fréquemment dû avoir recours pour concevoir, puis mener et, enfin, expliquer et légitimer des pronunciamientos qu’ils soient directs ou maquillés. Il eut souvent une conception plus militaire des événements que les militaires eux-mêmes.</p><p style="text-align: justify;">Sa première grande mission réussie au bénéfice des militaires date de décembre 1961. L’indépendance de l’Algérie devenait imminente et le débat sur le futur Etat algérien s’installait alors avec la passion et les calculs qu’on devine. Pouvoir civil ou militaire ? L’interrogation divisait l’état-major général de l’ALN, dirigé par le colonel Houari Boumediène et le Gouvernement provisoire de Benyoucef Benkhedda. Pouvoir civil ou militaire ? <br />Le mieux, estiment les chefs de l’Armée, serait encore d’ériger un chef d’Etat civil inféodé aux militaires.<br />La formule sera adoptée pour toujours. <br />Qui pourrait être ce chef d’Etat suffisamment complice pour n’apparaître qu’en vitrine, mais assez crédible pour s’imposer devant l’opinion ? Les regards se tournent vers les cinq dirigeants du FLN détenus au château d’Aulnoy, en région parisienne, après l’avoir été à la Santé, au fort de l’île d’Aix, puis à Turquant, en Touraine.<br />Ahmed Ben Bella, Rabah Bitat, Mohamed Khider, Hocine Aït Ahmed et Mohamed Boudiaf avaient accumulé, en cinq ans de détention, un capital moral qui faisait d’eux les recours privilégiés du conflit. <sup>(<strong>1</strong>)</sup> Qui parmi eux accepterait de devenir le premier président civil de l’Algérie indépendante allié aux militaires ? Pour le savoir, le colonel Boumediène dépêcha, début décembre 1961, auprès d’eux le capitaine Abdelaziz Bouteflika avec pour recommandation spéciale de privilégier la candidature de Mohamed Boudiaf à qui, selon Rédha Malek, un des négociateurs à Evian et ancien Premier ministre, «il vouait une secrète estime pour avoir travaillé avec lui». <br />La mission de Bouteflika, confirme le premier président du GPRA, Ferhat Abbas, «consistait à trouver parmi les cinq prisonniers un éventuel allié (aux chefs militaires)». <sup>(<strong>2</strong>)</sup> Le commandant Rabah Zerari, dit Azzedine, qui était, avec Kaïd Ahmed et Ali Mendjeli, l’un des trois adjoints de Boumediène à l’état-major général avant qu’il n’en démissionne en août 1961, est plus direct : «Bouteflika était, en vérité, chargé de vendre un coup d’Etat aux cinq dirigeants.» <sup>(<strong>1</strong>)</sup></p><p style="text-align: justify;">Proposer la présidence à Boudiaf ? La mission était d’autant plus risquée que Bouteflika n’ignorait rien des opinions politiques de Boudiaf, notoirement connu pour être un esprit hostile aux accommodements en politique, acquis au multipartisme et à l’indépendance du pouvoir politique et dont, en conséquence, il fallait s’attendre au refus de se laisser choisir comme paravent par les chefs militaires. Hervé Bourges, homme de médias français, qui rendait souvent visite aux cinq détenus en qualité de représentant d’Edmond Michelet, le ministre de la Justice de De Gaulle, apporte un témoignage saisissant sur le détenu Boudiaf : «Je l’ai bien connu à Turquant, où il m’apparaissait comme le plus dur des cinq, le plus ancré dans ses convictions, décidé à ne pas en dévier, méfiant à l’égard de ses compagnons et de leurs conceptions idéologiques, notamment pour ce qui concerne Ben Bella dont il se séparera très vite, le soupçonnant, déjà, de vouloir s’arroger un pouvoir personnel. <br />Boudiaf sera d’emblée hostile à l’idée du parti unique, où il voit les germes d’une dictature, même s’il s’agit de ce prestigieux FLN qui sort vainqueur auréolé de la guerre de libération et auquel il appartient depuis le début.» <br />Aussi, le très avisé émissaire Abdelaziz Bouteflika, soucieux de garantir l’hégémonie militaire après l’indépendance, fit son affaire d’écarter l’obstiné démocrate Boudiaf au profit du «compréhensif » Ben Bella. Ce dernier présentait l’immense avantage de ne voir aucune objection à s’allier à l’état-major, fut-ce au risque d’un grave conflit fratricide.</p><p style="text-align: justify;">«L’entrevue qu’il eut avec Boudiaf se déroula très mal, rapporte le commandant Azzedine. Boudiaf a non seulement refusé énergiquement d’être coopté par l’état-major, mais s’offusqua que l’émissaire de Boumediène, qu’il houspilla publiquement, lui fît pareille proposition fractionnelle au moment où les Algériens étaient appelés à aller unis aux négociations avec les Français. Il le renvoya sèchement. Bouteflika comprit alors tout l’avantage qu’il y avait pour l’état-major à opter pour Ben Bella, très conciliant et qui, d’ailleurs, prit en aparté l’envoyé spécial de Boumediène pour lui faire part de sa disponibilité.» <br />«Ben Bella et Bouteflika se sont fait des mamours verbaux, ils se sont séduits mutuellement avec leurs savoir-faire respectifs», a appris Ahmed Taleb Ibrahimi, incarcéré à l’époque dans un autre lieu de détention. «Bouteflika s’adressa alors à Ben Bella qui accepta d’être l’homme de l’état-major, raconte Ferhat Abbas. <br />Cette alliance, demeurée secrète, allait peser lourdement sur l’avenir du pays.» <sup>(<strong>1</strong>)</sup> On le comprit quelques mois plus tard : <br />«Ce qui a poussé Boumediène à affronter le GPRA, c’était l’alliance qu’il avait scellée avec Ben Bella à Aulnoy, récapitule Rédha Malek. Alliance réciproquement avantageuse. Boumediène avait besoin d’un politique et Ben Bella d’un fusil. » <sup>(<strong>2</strong>)</sup></p><p style="text-align: justify;">L’émissaire Bouteflika avait réussi sa mission. Il quitte hâtivement Paris pour Londres d’où il appelle le colonel Boumediène pour lui annoncer le succès de l’opération. «Quelques jours plus tard, raconte Rédha Malek, Boumediène et Ben Bella ont un entretien téléphonique. Ils se disent très satisfaits de la mission de Bouteflika. L’alliance est scellée.» <sup>(<strong>1</strong>)</sup></p><p>Bouteflika venait d’assurer l’intérêt du pouvoir militaire en écartant Mohamed Boudiaf et en propulsant Ahmed Ben Bella. <br />Ben Bella entrera à Alger en 1962 comme il en sortira en 1965, par les chars de Boumediène. A chaque fois, le sang algérien a coulé. Dans les deux cas Abdelaziz Bouteflika a joué le rôle d’agent détonateur au service des chefs militaires.</p><p style="text-align: justify;">Pour imposer Ben Bella en 1962 contre l’avis du Gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA), de certaines personnalités marquantes et d’une partie de l’ALN, il a fallu utiliser la force. La composition du premier Bureau politique du FLN, donc de la première direction de l’Algérie indépendante, était le principal enjeu entre les différentes tendances. Boumediène et Ben Bella voulaient une direction acquise à l’étatmajor, où ne figureraient pas les ministres du GPRA, notamment les trois B qu’étaient Krim Belkacem, Abdelhafid Boussouf et Lakhdar Bentobbal, trois des véritables meneurs de la Révolution. <br />Ecarter le GPRA de la direction politique du pays ouvrait la porte à toutes les dérives, voire à une guerre entre Algériens.</p><p style="text-align: justify;">Ben Bella, conforté par le soutien des militaires, osa néanmoins le coup de force : le 22 juillet 1962, il annonce unilatéralement à partir de Tlemcen la constitution complète du Bureau politique, composé des cinq détenus d’Aulnoy auxquels s’ajoutaient Hadj Ben Alla et Mohammedi Saïd, qui deviendra plus tard dirigeant du Front islamique du salut. Aït Ahmed refuse de faire partie de ce bureau et part pour Paris, Boudiaf en démissionnera rapidement. De fait, le GPRA est mort, son président Benyoucef Benkhedda est complètement débordé par les évènements.</p><p style="text-align: justify;">Ce coup de force de Ben Bella, c’est la suite logique de l’alliance scellée à Aulnoy entre lui et l’Armée par le biais de Bouteflika. L’avocat Ali Haroun, ancien responsable de la Fédération de France du FLN et ancien membre du Haut-Comité d’Etat (HCE) entre 1992 et 1994, qui étudia de près la période dont il fut un témoin privilégié et à laquelle il consacrera un livre, confirme par ce récit d’une rencontre qu’il eut avec Ben Bella en juillet 1962 : <br />«L’on savait déjà que Boumediène, chef d’état-major, avait, par l’intermédiaire du capitaine Si Abdelkader, alias Abdelaziz Bouteflika, sollicité l’appui de Boudiaf dans le conflit qui, depuis plusieurs mois, l’opposait au GPRA. Face aux réticences de Boudiaf, il se résolut à convaincre Ben Bella dont le soutien lui fut aussitôt acquis. Dès lors, le Bureau politique proposé par Ben Bella apparaissait en fait celui de l’alliance Ben Bella-Boumediène. <br />Conscient des dangers imminents guettant le pays et pouvant déboucher sur une confrontation, dont le dernier mot risquait d’échoir aux militants en armes, je rappelai à mon interlocuteur cette vieille maxime : “On peut tout faire avec les baïonnettes, sauf s’asseoir dessus.” Il répliqua par une moue dédaigneuse. Je n’avais plus rien à ajouter. Si l’on allait privilégier la force et dédaigner le consensus pour résoudre nos différends, le pays s’acheminerait alors vers de sombres lendemains. » <sup>(<strong>1</strong>)</sup></p><p style="text-align: justify;">La sombre prédiction se réalisera : le Bureau politique de Ben Bella, dont l’autorité fut contestée par les Wilayas III (Kabylie) et IV (Algérois), sollicita alors l’appui de l’Armée des frontières et de l’état-major général dirigé par Boumediène ainsi que celui des Wilayas I, II, V et VI. Une seconde guerre succéda à celle qui venait à peine de se terminer. L’été 1962 fut marqué par de sanglants combats fratricides entre Algériens qui sortaient de sept années de lutte anticoloniale. <sup>(<strong>1</strong>)</sup> «L’intensité des combats qui s’en étaient suivis, jamais je n’en ai vu d’égale, pas même durant la guerre de libération », se rappelle Khaled Nezzar qui dirigeait, en tant que jeune officier de l’Armée des frontières, un bataillon qui a combattu les djounoud des Wilayas III et IV dans le djebel Dira, près de Sour El Ghozlane. <sup>(<strong>2</strong>)</sup> <br />La guerre fratricide ne prendra fin qu’avec les manifestations populaires qui déferlèrent sur le pays aux cris de «Sebâa s’nine barakat» <sup>(<strong>3</strong>)</sup>, slogan du désespoir que les Algériens ont fini par adopter. <br />«Longtemps sera délibérément occulté le lourd bilan de ces affrontements fratricides. Ce n’est que par communiqué de l’APS du 2 janvier 1963 que l’on en saura le prix : un millier de morts», précisera Ali Haroun. <sup>(<strong>4</strong>)</sup><br />C’est à ce prix que Ben Bella et son Bureau politique s’imposèrent à Alger. <br />Bouteflika va contribuer à destituer Ben Bella en 1965 pour les mêmes impératifs supérieurs : asseoir la suprématie du pouvoir militaire. Le coup d’Etat du 19 juin 1965 est consécutif à la décision de Ben Bella de retirer à Abdelaziz Bouteflika laresponsabilité de la diplomatie algérienne à quelques jours de la Conférence afro-asiatique qui devait se tenir à Alger.</p><p><strong>Source : "Bouteflika une imposture algérienne", Mohamed Benchicou, Editions Le Matin, 2004</strong></p><p><strong>Notes :</strong></p><p>1. Le 22 octobre 1956, le DC-3 marocain, décollant de Rabat et transportant vers Tunis Ahmed Ben Bella, Mohamed Khider, Hocine Aït Ahmed et Mohamed Boudiaf, accompagnés de Mostefa Lacheraf, a été intercepté au-dessus d’Alger par les autorités coloniales. Les dirigeants algériens devaient représenter le FLN au sommet tripartite maghrébin qui devait se tenir à Tunis les 22 et 23 octobre. Ils seront incarcérés en France jusqu’en mars 1962, en compagnie de Rabah Bitat qui avait été arrêté le 23 novembre 1955.</p><p>2. et 3. Ferhat Abbas, L’indépendance confisquée, Flammarion, 1984.</p><p>4. Hervé Bourges, De mémoire d’éléphant,Grasset, 2000.</p><p>5.Rédha Malek, L’Algérie à Evian,Le Seuil, 1995.</p><p>5 bis. Les combats ont opposé les Wilayas I, II, V et VI (pro-état-major) aux Wilayas III et IV.</p><p>6. Ali Haroun, L’été de la discorde,Casbah Editions, 2000.</p><p>7. Reda Malek, op cité</p><p>8. Khaled Nezzar, cité par Ali Haroun, L’été de la discorde,Casbah Editions, 2000.</p><p>8 bis. Sebâa s’nine barakat (sept années, ça suffit !). La guerre de libération avait duré sept années.</p><p>9. Ali Haroun, L’été de la discorde,Casbah Editions, 2000</p><div class="comment_header"><strong>elvez Elbaz</strong> <span class="comment_stamp"> 01/07/2012 12:07:34 </span></div><div class="message">Dites aussi à l'histoire ,la vraie,que bousssouf était manipulé par les services secrets français.Et que c'est ainsi que boukharouba,le vizir boussoufien n'a chargé "petit mario yeux bleus" de cette manoeuvre oujdaienne,un coup d'état en somme,que sur ordre de boussouf.<br /> Boussouf s'est retiré à paris,aprés l'indépendance confisquée par ses larbins,en s'installant comme commerçant.Est ce sa fin de mission que les services secrets français lui auraient ,ainsi,signifiée en s'établissant en france?!!!<br /> Toutes les vérités historiques sur la guerre d'algérie sont à venir.Des révélations qui remettront plus d'un à leur véritable place dans la vraie histoire et non celle falsifiée que le FLN a imposée et impose toujours aux pauvres peuples d'algérie</div><div class="message"><span class="picto picto-reagir"><a href="http://www.lematindz.net/news/8477-la-derniere-fois-que-bouteflika-a-rencontre-boudiaf.html#box_comments" rel="nofollow">Réactions</a></span> (<span class="comments-score">6</span>)</div>
MILIQUEhttp://aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com/about.htmlAUX HARMONIES D’UN REQUIEMtag:aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com,2012-06-20:46432212012-06-20T05:36:00+02:002012-06-20T05:36:00+02:00 AUX HARMONIES D’UN REQUIEM ...
<p style="text-align: center;"><img id="media-3494827" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com/media/02/02/2979555982.jpg" alt="FEUILLE.jpg" /></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong><span style="font-family: Arial,sans-serif;">AUX HARMONIES D’UN REQUIEM</span></strong></span></p><p> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"> </p><p> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong><span style="font-family: Arial,sans-serif;">Cela remonte du fond ancestral de l’existence,</span></strong></span></p><p> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong><span style="font-family: Arial,sans-serif;">De la grande nuit de l’enfance!</span></strong></span></p><p> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"> </p><p> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong><span style="font-family: Arial,sans-serif;">Cela relève de la haine de soi et de l’imposture,</span></strong></span></p><p> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong><span style="font-family: Arial,sans-serif;">Noire éclosion entre un père inconnu et une mère absente.</span></strong></span></p><p> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"> </p><p> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong><span style="font-family: Arial,sans-serif;">Avancer pied à pied, jour à jour,</span></strong></span></p><p> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong><span style="font-family: Arial,sans-serif;">Nager dans une identité floue</span></strong></span></p><p> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong><span style="font-family: Arial,sans-serif;">Et, dans cette relation qui ouvre des chemins au chaos,</span></strong></span></p><p> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong><span style="font-family: Arial,sans-serif;">Rassembler les figures et les ombres grandies de fantômes.</span></strong></span></p><p> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"> </p><p> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong><span style="font-family: Arial,sans-serif;">Comment ne pas être marqué a vie</span></strong></span></p><p> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong><span style="font-family: Arial,sans-serif;">Alors que tout ne se comprend qu’en fonction de son contraire</span></strong></span></p><p> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong><span style="font-family: Arial,sans-serif;">Dans l’hémorragie programmée d’un cœur aride</span></strong></span></p><p> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong><span style="font-family: Arial,sans-serif;">Comme une feuille sèche…et morte!</span></strong></span></p><p> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"> </p><p> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong><span style="font-family: Arial,sans-serif;">Cela quête la connaissance instinctive et, convulsé,</span></strong></span></p><p> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong><span style="font-family: Arial,sans-serif;">Le goût du temps emprunte ses harmonies à un requiem</span></strong></span></p><p> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong><span style="font-family: Arial,sans-serif;">Qui bat la mesure à l’envergure d’un initial</span></strong></span></p><p> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong><span style="font-family: Arial,sans-serif;">Aux tresses ultimes vouées à l’inaugural.</span></strong></span></p><p> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"> </p><p> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"> </p><p> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong> <span style="font-family: Arial,sans-serif;">P. MILIQUE</span></strong></span></p><p> </p>
Atelier des Idéeshttp://www.rupture-et-metamorphose.org/about.htmlLA DECLARATION IMPLICITE DE CANDIDATURE DE CHRISTOPHE GREBERT AUX ELECTIONS MUNICIPALES DE PUTEAUX, EN 2014.tag:www.rupture-et-metamorphose.org,2011-01-01:30479062011-01-01T12:02:00+01:002011-01-01T12:02:00+01:00 1/01/2011. Christophe Grébert adule son reflet chimérique. Pour...
<p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: 14pt; color: blue; font-family: Arial;">1/01/2011.</span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large; color: maroon; font-family: Arial;"><a href="http://www.grebert.net/" target="_blank">Christophe Grébert</a> adule son reflet chimérique.</span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large; color: maroon; font-family: Arial;">Pour assouvir sa quête de pouvoir il lui faudrait accéder à la sincérité, à la sociabilité et au réalisme.</span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: left;"><span style="font-size: large; font-family: Times New Roman;">Par un message de fin décembre 2010, <span style="color: blue;"><a href="http://www.grebert.net/" target="_blank">Christophe Grébert</a> </span>entre, semble-t-il, en campagne électorale pour les élections municipales de 2014, à <a href="http://www.mairie-puteaux.fr/" target="_blank">Puteaux</a>.</span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large; font-family: Times New Roman;">Il <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>estime une alternance possible. Certes, mais l’alternance n’est rien sans une Alternative<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>programmée.</span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large;"><span style="font-family: Times New Roman;"><span style="font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-font-family: 'Times New Roman'; mso-ansi-language: FR; mso-fareast-language: FR; mso-bidi-language: AR-SA;">Lorsqu’il écrit « charte éthique », ses anciens colistiers, « mémoire » de son imposture, restent atterrés une seconde, malgré le temps écoulé, par la ruse naïve du discours, puis sourient tant il est devenu « transparent », malgré<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>lui</span>. </span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: x-large; font-family: Times New Roman;"><img id="media-2823650" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" src="http://www.rupture-et-metamorphose.org/media/02/02/1909633007.jpg" alt="adulation 01.jpg" /></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: large; font-family: Times New Roman;">Et par quel dolorisme citoyen faudrait-il remplacer un Maire actuel qui, selon lui, abuserait du « je », par un autre Maire qui abuse du « je » ? Dans sa publication d' une seule page, <a href="http://www.grebert.net/" target="_blank"><span style="color: blue;">Christophe Grébert</span></a> utilise 13 fois encore ce pronom personnel, auquel il ajoute 11 fois l’usage de moi, ma, mon, mes…Mal chronique.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: large; font-family: Times New Roman;">Les théoriciens de l’art du discours politique dénoncent unanimement cet usage déraisonnable d’un « ego » surdimensionné qui coupe le<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>«candidat » de ses électeurs potentiels. "</span><span style="font-size: large; font-family: Times New Roman;">Je" est un mur politique.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: large; font-family: Times New Roman;"> </span><span style="font-size: large;"><span style="font-family: Times New Roman;"><a href="http://www.grebert.net/" target="_blank"><span style="color: blue;">Christophe Grébert</span></a> se souvient, après 2 ans d’amnésie, de sa liste, sans étiquette, « Puteaux Ensemble » aux élections locales de 2008, mais oublie sa stupidité: dès son échec aux fonctions de Maire, il a jeté aux oubliettes, avec immoralité, les artisans de son élection au <a href="http://www.mairie-puteaux.fr/" target="_blank">Conseil Municipal</a>. </span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large; font-family: Times New Roman;">Le mensonge, selon les très rares colistiers restés proches de lui, serait une pratique indispensable aux carrières politiques : <a href="http://www.grebert.net/" target="_blank"><span style="color: blue;">Christophe Grébert</span></a> brille et pêche par excès : l’inclusion continue de mensonges dans 4 paragraphes contraint ses lecteurs à la surconsommation de verbiage.</span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large; font-family: Times New Roman;">Sa stratégie d’opposition au Maire (son ennemi), contrairement aux stratégies des autres conseillers de l’opposition (ses amis ennemis), s’avère, selon lui, positive et efficace.</span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large; font-family: Times New Roman;">L’évaluation scientifique lui échappe.</span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large; font-family: Times New Roman;">Un brin de raison l’engagerait à confronter aux faits son adoration de lui-même : il n’intéresse pas le <a href="http://www.mairie-puteaux.fr/" target="_blank">Conseil Municipal</a>. Ses propos rigides et répétitifs, ses « bruits » de potache s’évaporent désormais dans l’indifférence d’un public qu’il ennuie. Il n’est pas suivi.</span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large; font-family: Times New Roman;">Et les engagements virtuels héroïques, sur son blog, se diluent dans une réalité fugitive.</span></p><p> </p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: large; font-family: Times New Roman;">Le 2d tour d’une élection municipale exige souvent des alliances pour gagner : son enfermement dans sa cellule locale haineuse, avec 2 acolytes, peu assidus, au sein d’un petit Parti national, ne semble pas un choix pertinent, à partir du souvenir d’un échec récent. En effet, lors des élections municipales de 2008, il n'a pu réaliser aucun accord d'opposition pour le 2d tour, tant ses relations étaient inadaptées.</span></p><p><span style="font-size: large;"><span style="color: maroon; font-family: Arial;"><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: x-large;"><span style="font-size: small;"><span style="font-family: Times New Roman;"><span style="color: #000000;">En 2007, </span><span style="color: blue;"><strong>Christophe Grébert</strong></span><span style="color: #000000;"> fut un précurseur apparemment original et courageux. Pour vaincre Le Maire en place, </span><span style="color: blue;"><strong>Madame Ceccaldi-Raynaud</strong></span><span style="color: #000000;">, aux élections municipales de 2008, il s’adressa à la « démocratie d’en-bas » (</span><strong><span style="color: blue;">de l’indien Amartya Sen ou d’Alain Fontaine</span><span style="color: #000000;">)</span></strong><span style="color: #000000;">. Sans Parti (du moins, le croyait-on), sans soutien, sans cercle large d’amis, avec peu d’argent, il put constituer une liste d’opposition avec des citoyens ordinaires très divers. La campagne, utopique, puisqu’il s’agissait de détrôner une monarchie élective, inscrite dans le puissant réseau des Hauts- de- Seine, impliquée dans des pratiques électorales anciennes, revendiquées, « payantes », telle que le clientélisme, fut passionnante et très sérieuse. Dès les résultats du premier tour, honorables, </span><span style="color: maroon;"><strong>l’aventure devint forfaiture</strong></span><span style="color: #000000;">. Christophe Grébert et sa seconde, Sylvie Cancelloni, du Modem, piétinèrent leur charte éthique de manières diverses et variées (Sylvie Cancelloni commença en falsifiant les résultats sur son blog, pour avantager le MoDem…) L’initiative de «démocratie d’en-bas » fut un échec parce qu’elle manqua d’une condition essentielle : celle d’avoir des responsables exemplaires, respectueux d’autrui et engagés au service de tous. Deux mois après les élections, les trois quarts des colistiers avaient quitté Christophe Grébert et Sylvie Cancelloni, ces deux égocentriques obtus et froids en politique. </span></span></span></span></p></span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="color: maroon; font-family: Arial;"><a href="http://www.grebert.net/" target="_blank">Christophe Grébert</a> soutiendrait judicieusement son ambition s’il dirigeait enfin son regard vers autrui, par exemple, et d’abord, pour « piquer » quelques conseils : la veste forestière Arnys, symbolique, de François Fillon* (!) ou les « Converse » de Daniel Cohn-Bendit*, la dialectique (celle d’Hegel) souvent implacable, mais souriante, de Nathalie Kosciusko-Morizet, l’intelligence experte de Jean-Pierre Jouyet, honnête homme, grand serviteur de l’Etat, capable de transcender les frontières partisanes, l’érudition sur l’Europe de Jean-Claude Juncker, l’éthique de Robert Badinter, le pragmatisme et le charisme du métallo Luiz Inacio Lula da Silva …</span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="color: maroon; font-family: Arial;"> </span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="color: maroon; font-family: Arial;">Monsieur <a href="http://www.grebert.net/" target="_blank">Grébert</a>, pour aborder l’excellence, dévalez de votre cime désertée et entrez en loyauté. Leurrer les électeurs serait votre impasse !</span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"> </p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large; color: #800000; font-family: Times New Roman;">Un renouvellement d'élus du 92 est nécessaire à la condition de promouvoir une "élite républicaine" exemplaire, transformatrice et capable d'anticipation. </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large; color: #000000; font-family: Times New Roman;">Annie Keszey</span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large; color: #000000; font-family: Times New Roman;"> </span><span style="font-size: large; color: #000000;"><a href="http://www.rupture-et-metamorphose.org/"><span style="font-family: Times New Roman;">www.rupture-et-metamorphose.org</span></a></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large; color: #000000; font-family: Times New Roman;">*Nouvel Observateur:Politique attitude. </span></p><p> </p>
Zedhttp://metapoinfos.hautetfort.com/about.htmlContre l'art des traders !...tag:metapoinfos.hautetfort.com,2010-10-04:29278742010-10-04T18:05:00+02:002010-10-04T18:05:00+02:00 Nous reproduisons ici un point de vue de Jean Clair sur un certain art...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Nous reproduisons ici un point de vue de <strong>Jean Clair </strong>sur un certain art contemporain qui a été publié dans <em><a href="http://www.lemonde.fr/idees/article/2010/10/02/contre-l-art-des-traders_1419308_3232.html">le Monde</a> </em>daté du 3 octobre 2010. Historien de l'art, plusieurs fois directeur de musée et d'exposition, il est aussi écrivain et est , notamment, l'auteur d'un <em><strong>Journal atrabilaire</strong></em>.</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-2677363" style="margin: 0.7em 0;" src="http://metapoinfos.hautetfort.com/media/01/01/1217458432.jpg" alt="takashi-murakami-1.jpg" /></p><p> </p><blockquote><p style="text-align: justify; margin-bottom: 0cm;"><span style="font-size: medium;"><strong>Contre l'art des traders</strong></span></p><p style="text-align: justify; margin-bottom: 0cm;"><span style="font-size: small;">Jeff Koons est devenu l'artiste le plus cher du monde. La mutation s'est faite à l'occasion des transformations d'un marché de l'art qui, autrefois réglé par un jeu subtil de connaisseurs, directeurs de galeries d'une part et connaisseurs de l'autre, est aujourd'hui un mécanisme de haute spéculation financière entre deux ou trois galeries, une maison de ventes et un petit public de nouveaux riches. Koons ne se présente plus échevelé comme les romantiques, moins encore nu et ensanglanté comme les avant-gardistes des années 1970, mais comme un trader, attaché-case à la main et rasé de frais, fondu dans son nouveau public comme si, à défaut de faire œuvre, l'involution en avait fait un <em>Homo mimeticus</em>.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Le grand défaut de la peinture, de la sculpture, c'est qu'elles ne sont pas drôles. <em>"Belle... comme un rêve de pierre"</em> : d'une beauté impossible à dérider. L'art plastique avait, pour cette raison même, échappé jusque-là à la culture "festive" où notre civilisation croit connaître son accomplissement.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Heureusement sont apparus Versailles et Takashi Murakami, le Louvre et ses bouffons, le Palazzo Grassi et Jeff Koons : les musées se sont fait une spécialité des échanges entre <em>"low culture"</em> et <em>"high culture"</em>. Plaisir de l'avilissement, reflet de ce que Proust eût appelé le snobisme de la canaille, propre aux élites en déclin et aux époques en décadence. L'objet d'art, quand il est l'objet d'une telle manipulation financière et brille d'un or plaqué dans les salons du Roi-Soleil, a plus que jamais partie liée avec les fonctions inférieures, exhibant les significations symboliques que Freud leur prêtait.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Il y a une dizaine d'années, à New York, une exposition s'était intitulée "Abject art : Repulsion and Desire". Ce fut le premier pas dans l'immonde. On n'était plus dans le <em>subjectus</em> du sujet classique, on entrait dans l'<em>abjectus</em> de l'individu post-humain. C'était beaucoup plus que la "table rase" de l'avant-garde, qui prétendait desservir la table dressée pour le festin des siècles. L'art de l'abjection nous entraînait dans le postprandial : ce que le corps laisse échapper de soi quand on a digéré. C'est tout ce qui se réfère à l'abaissement, à l'excrétion, au scatologique.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Du culte à la culture, de la culture au culturel, du culturel au culte de l'argent, c'est tout naturellement qu'on est tombé au niveau des latrines : Marc Quinn et son buste fait de son propre sang congelé, Orlan et sa chirurgie faciale, Gober et ses sculptures en cire et en poil humain, Damien Hirst et ses animaux disséqués dans du formol, Gasiorowski usant de ses propres fèces pour confectionner son jus d'atelier, Serrano et son <em>Piss Christ</em> et, avec eux, envahissant, ce compagnon accoutumé de l'excrément, son double sans odeur : l'or, la spéculation, les foires de l'art, les entrepôts discrets façon Schaulager à Bâle, ou les musées anciens changés en des showrooms clinquants, les ventes aux enchères, enfin, pour achever le circuit, faramineuses, obscènes...</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Quel sens cela a-t-il ? Pourquoi le <em>socius</em> a-t-il besoin de faire appel à ce ressort "artistique" quand son ordre n'est plus assumé ni dans l'ordre du religieux ni dans l'ordre du politique ? Est-ce le désordre scatologique, qui s'étale et qui colle, qui peut nous assurer de cette cohésion qui lui fait défaut ?</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Je serais tenté de citer le philosophe Agamben, son <em>Homo sacer</em> (Seuil, 1997-2003), fascination et répulsion, tabou et impunité. Ce <em>sacer</em>, dans les années 1930, des gens comme Leiris, Caillois et Bataille en avaient fait l'assise de leur esthétique, une littérature, mais aussi un art fondé sur le dégoût et la volupté de l'immonde. Chez Sartre, à la même époque, <em>La Nausée</em> instaurait une littérature du visqueux, du gluant, de ce qui coule, de ce qui n'a pas de forme... Au moins y avait-il encore un sacré pour permettre un sacrilège.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Mais ces manifestations infantiles marquent un retour à quelque chose de beaucoup plus archaïque en nous. Et leurs auteurs sont une possible illustration de ce que Marcel Gauchet appelle <em>"l'individu total"</em>, c'est-à-dire celui qui considère n'avoir aucun devoir vis-à-vis de la société, mais tous les droits d'un <em>"artiste"</em>, aussi <em>"total"</em>, totalitaire que l'Etat jadis, à travers qui transparaît le fantasme de l'enfant qui se croit tout-puissant, et impose aux autres les excréments dont il jouit.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Est arrivée entre-temps la crise de 2008. Subprimes, titrisations, pyramide de Ponzi : on prit conscience que des objets sans valeur étaient susceptibles non seulement d'être proposés à la vente, mais encore comme objets de négoce, propres à la circulation et à la spéculation financière la plus extravagante. Les procédés qui permettent de promouvoir et de vendre une œuvre dite d'"art contemporain", sont comparables à ceux qui, dans l'immobilier comme ailleurs, permettent de vendre n'importe quoi et parfois même rien.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Soit un veau coupé en deux dans sa longueur et plongé dans un bac de formol. Supposons à cet objet de curiosité un auteur et supposons du coup que ce soit là une œuvre d'art qu'il faudra lancer. Quel processus permettra de la faire entrer sur le marché ? Comment, à partir d'une valeur nulle, lui assigner un prix et le vendre à quelques millions d'euros l'exemplaire, et si possible en plusieurs exemplaires ? Question de créance : qui fera crédit à cela, qui croira au point d'investir ?</span></p><span style="font-size: small;"><p style="text-align: center;"><img id="media-2677398" style="margin: 0.7em 0;" src="http://metapoinfos.hautetfort.com/media/01/00/197598218.jpg" alt="Damien Hirst.jpg" /></p></span><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Hedge funds et titrisations ont offert un exemple de ce que la manipulation financière pouvait accomplir à partir de rien. On noiera d'abord la créance douteuse dans un lot de créances un peu plus sûres. Exposons le veau de Damien Hirst près d'une œuvre de Joseph Beuys, ou mieux de Robert Morris - œuvres déjà accréditées, ayant la notation AAA ou BBB - sur le marché des valeurs, un peu plus sûres que des créances pourries. Faisons-la entrer par conséquent dans un circuit de galeries privées, limitées en nombre et parfaitement averties, ayant pignon sur rue, qui sauront répartir les risques encourus. Ce noyau d'initiés, ce sont les actionnaires, finançant le projet, ceux qui sont là pour "éclairer", disent-ils, spéculateurs de salles de ventes ou simples amateurs, ceux qui prennent les risques. Ils sont au marché de l'art ce que sont les agences de notation financière mondiale, supposées guider les investisseurs, mais en fait manipulant les taux d'intérêt et favorisant la spéculation. Promettons par exemple un rendement d'un taux très élevé, 20 % à 40 % la revente, pourvu que celle-ci se fasse, contrairement à tous les usages qui prévalaient dans le domaine du marché de l'art fondé sur la longue durée, à un très court terme, six mois par exemple. La galerie pourra même s'engager, si elle ne trouvait pas preneur sur le marché des ventes, à racheter l'œuvre à son prix d'achat, augmenté d'un léger intérêt.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">On obtiendra enfin d'une institution publique, un grand musée de préférence, une exposition de cet artiste : les coûts de la manifestation, transport, assurances, catalogue, mais aussi les frais relevant de la communication et des relations publiques (cocktails, dîners de vernissage, etc.) seront discrètement couverts par la galerie ou le consortium qui le promeuvent.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Mais surtout, clé de voûte de l'opération, tout comme les réserves de la Banque centrale garantissent l'émission des monnaies, le patrimoine du musée - les collections nationales exposées sur les murs ou gardées dans les réserves, tout comme l'or de la Banque de France dans ses caves - semblera, selon un ingénieux stratagème, garantir la valeur des propositions émises par le marché privé, soit deux ou trois galeries, une salle de ventes et quelques spéculateurs.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Bien sûr, ce n'est en rien la "valeur" de l'oeuvre, c'est seulement le "prix" de l'œuvre qui est pris en compte, tel qu'on le fait monter dans les ventes. Bien sûr aussi, comme dans la chaîne de Ponzi, le perdant sera celui qui, dans ces procédés de cavalerie, ne réussira pas à se séparer de l'œuvre assez vite pour la revendre : le dernier perd tout.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Mais, à propos du sens de l'art et de la puissance des images, c'est le vieux débat sur l'idolâtrie et l'iconoclasme qui semble revenir : violence de Byzance au VIII<sup>e</sup> siècle, de la Réforme en Allemagne et en Angleterre, du vandalisme des révolutionnaires, et près de nous, des régimes totalitaires et de leur politique de censure. Dans ce débat, ce sont les musées et les institutions culturelles qui jouent désormais le rôle décisif.</span></p><span style="font-size: small;"><p style="text-align: center;"><img id="media-2677417" style="margin: 0.7em 0;" src="http://metapoinfos.hautetfort.com/media/01/02/2048629541.jpg" alt="maurizio-cattelan-1.jpg" /></p></span><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Les émeutes des communautés musulmanes à propos des caricatures de Mahomet sont encore dans toutes les mémoires. A Milan tout récemment, c'est la communauté juive qui a interdit l'exposition publique de la dernière oeuvre de Maurizio Cattelan, représentant Hitler. Les juifs et les musulmans réagissent violemment à l'usage si libre que nous faisons des images en Occident, comme si l'image était à notre entière disposition et qu'on pût lui laisser dire n'importe quoi, jusque dans l'immonde. La communauté chrétienne, ou ce qu'il en reste, demeure en revanche étrangement silencieuse : l'effigie du pape Jean Paul II frappé par une météorite, <em>La Nona hora</em>, oeuvre du même Cattelan, vendue pour 3 millions de dollars (soit 2,182 millions d'euros) par Christie's en 2004, n'a suscité aucun scandale et elle est toujours benoîtement exposée. Indifférence, ignorance, cynisme ou aveuglement ? Ou bien l'autorité de nos musées est-elle devenue si forte qu'elle étouffe les indignations ?</span></p><p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-size: small;">Jean Clair</span></strong></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><em>Le Monde </em>, 3 octobre 2010</span></p><span style="font-size: small;"><p style="text-align: center;"> </p></span></blockquote>
Nature25http://baladesnaturalistes.hautetfort.com/about.htmlLes provocations de Claude Allègretag:baladesnaturalistes.hautetfort.com,2010-04-01:26799842010-04-01T16:45:00+02:002010-04-01T16:45:00+02:00 Outrés par les propos de Claude Allègre dans son dernier livre,...
<p style="text-align: justify;"><em>Outrés par les propos de Claude Allègre dans son dernier livre, <strong>L'imposture climatique,</strong> mettant en cause leurs travaux, 400 chercheurs se sont adressés au Ministre de tutelle, Valérie Pécresse pour dénoncer la position de l'ancien directeur de l'I.P.G. On doit rappeler que Claude Allègre n'en est pas à son coup d'essai de ses prévisions erronées : lors de l'éruption phréatique de la Soufrière de la Guadeloupe et contrairement aux avis de l'équipe Haroun Tazieff, c'est lui-même qui avait préconisé le déplacement en vain de 76 000 personnes pendant plus de six mois ?</em></p><p style="text-align: justify;">L'analyse du livre par des journalistes de <em>Sciences et Avenir</em>, fustige l'ancien ministre.</p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="color: #ff0000;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: arial black,avant garde;"><img id="media-2369302" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" src="http://baladesnaturalistes.hautetfort.com/media/02/00/461234828.jpg" alt="allegre001.jpg" />Les provocations de Claude Allègre</span></span></span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;">par David Larousserie et Rachel Mulot</p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;">Accusations non étayées, attaques <em>ad hominem</em> : loin de toute démarche scientifique, l'ancien ministre, climato-sceptique déclaré, dérape dans sa démonstration.</p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;">Le succès médiatique du dernier livre de Claude Allègre, <strong>L'imposture climatique</strong>, porté par une vague de « climato-scepticisme » (lire <em>Sciences et Avenir</em>, n° 757, mars 2010), oblige à revenir ici sur les erreurs et les manipulations qui l'entachent. Si la critique a des vertus, l'auteur osant revêtir les habits de Galilée -, hoqueter les mêmes arguments (vapeur d'eau, températures passées, etc.) en ignorant les réponses qui leur ont été apportées ne relève en rien d'une démarche scientifique. Le géochimiste feint toujours de confondre météorologie et climat, trouve dans les hivers froids un argument éclatant contre le réchauffement, alors qu'un réchauffement terrestre ne signifie pas une hausse linéaire des températures en toutes saisons et en tous lieux, comme l'expliquent les spécialistes.</p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;">Réfutant un lien dominant entre les dégagements d'origine humaine du CO<sub>2</sub>, et le climat, il écrit : "<em>Tous les graphiques utilisés pour défendre cette idée se sont révélés faux et truqués.</em>" Or, leur fausseté n'est pas démontrée à ce jour, pas plus que le trucage, qui est une accusation grave. Et les preuves sont justement absentes de ce livre. Claude Allègre vitupère ainsi une courbe des températures passées dessinée en 1998 par l'Américain Michael Mann, mais passe sous silence le fait qu'une commission d'examen, certes critique, en a validé les principales conclusions et que d'autres équipes ont corroboré ces résultats depuis. Le Giec lui-même loin d'être l'institution "mafieuse", opaque et fermée aux débats qu'il décrit ne cache d'ailleurs pas dans son rapport de 2007 les discussions suscitées par ces reconstructions de températures. Enfin, en janvier dernier, une autre commission a blanchi ce chercheur de toute accusation de manipulation de données.</p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;">Claude Allègre n'échappe pas non plus aux contradictions. Tout en prétendant que les modélisations numériques sont incapables de prédire le climat, il développe ses propres prévisions en affirmant que le réchauffement sera bénéfique. "<em>Les récoltes de blé en Ukraine [...] seront meilleures, qui s'en plaindra ? Les sols gelés de Sibérie vont se transformer en forêts : est-ce une menace pour la planète ?</em>" À ce sujet, signalons que le dégel émettra du méthane, puissant gaz à effet de serre. Autre point navrant : les attaques <em>ad hominem</em>. Selon lui, le climatologue français Jean Jouzel, membre du Giec, n'aurait pas mérité sa médaille d'or du CNRS ; le climatologue américain Michael Mann serait ignorant des méthodes statistiques ; l'économiste britannique Nicholas Stem aurait été anobli par complaisance, etc. À marcher en mocassin sur la banquise, comme le montre le photomontage de couverture, on finit par déraper.</p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><strong>L'imposture climatique ou la fausse écologie</strong>, Claude Allègre avec Dominique de Montvalon, Plon, 293 p., 19,90 €.</p><p style="text-align: center;"> </p><div style="text-align: center;"><img id="media-2377887" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" src="http://baladesnaturalistes.hautetfort.com/media/01/01/428417839.jpg" alt="Allègre.jpg" /></div><p style="text-align: center;"><span style="color: #0000ff;"><em><strong>Allègre fait la une de Charlie Hebdo</strong></em></span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: x-small;"><span style="font-family: arial black,avant garde;"><span style="color: #ff0000;">Commentaires :</span></span></span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #0000ff;"><span style="color: #000000;">Certains points de la "démonstration" de Claude Allègre méritent certaine attention.</span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #0000ff;"><span style="color: #000000;"><br /></span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #0000ff;"><span style="color: #000000;">Les mesures de température relevées au</span></span> XIX<sup>e</sup> siècle <span style="color: #0000ff;"><span style="color: #000000;">n'avaient pas la précision des mesures actuelles. La lecture de thermomètres se faisait au degré près. Alors, comment justifier un réchauffement de 0,6°C quand la précision est de l'ordre de ± 1 °C ! De sorte que la courbe alarmante révélant un réchauffement brutal né lors de la révolution industrielle du XVIII<sup>e</sup> siècle, repose sur des erreurs et des forçages…</span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #0000ff;"><span style="color: #000000;"><br /></span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #0000ff;"><span style="color: #000000;">D'autre part, l'examen des courbes de l'évolution des températures et de celles des variations du taux de carbone dans l'atmosphère révélées par l'analyse des carottes glaciaires montre un décalage dans le temps de ces courbes : celle des températures précédant celle du carbone !</span></span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #0000ff;"><span style="color: #000000;">Ces arguments sont repris par Benoît Rittaud dans son ouvrage : <strong>Le mythe climatique</strong> (Seuil 2010, 210 p., 17 €) dans le quel l'auteur conteste la thèse d'un réchauffement climatique dû aux émissions de dioxyde de carbone en n'omettant pas de citer ses sources.</span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #0000ff;"><span style="color: #000000;"><br /></span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #0000ff;"><span style="color: #000000;">L'analyse de ce livre a été faite par Didier Gordon (<em>Pour la Science</em>, mai 2010). qui souligne que "</span></span><em>l'essentiel du livre est consacré à critiquer ce qu'il nomme le « carbocentrisme ». Selon l'auteur, les climatologues ne pensent pas tous que les émissions carbonées jouent un rôle majeur dans révolution du climat. Les cycles d'éruption solaire, les interactions de l'océan avec l'atmosphère, le fait que la vapeur d'eau contribue plus à l'effet de serre que le dioxyde de carbone, sont des éléments allant contre le carbocentrisme.</em></p><p style="text-align: justify;"><em><br /></em></p><p style="text-align: justify;"><em>Si le carbocentrisme s'est imposé, c'est que la science est dans une période où on lui demande de résoudre des problèmes... À ce compte, elle a intérêt à annoncer des catastrophes et à se faire donner des crédits pour les déjouer. Dès lors, B. Rittaud dénonce l'existence d'une pseudoscience à l'œuvre dans notre société, la «climatomancie». Il en donne la définition que voici : art divinatoire visant à déduire du comportement humain l'avenir climatique de la Terre, dans l'idée de prescrire à chacun des actions de pénitence.</em>"</p><p> </p><p><strong> </strong><strong><span style="text-decoration: underline;">Douche froide pour Claude Allègre</span></strong></p><p><strong><span style="text-decoration: underline;"><br /></span></strong></p><p style="text-align: justify;">En octobre 2010, en affirmant que l’augmentation du CO2 dans l’atmosphère est liée aux activités humaines, l’Académie des Sciences a infligé à Claude Allègre et aux climato-sceptiques un cinglant désaveu. Depuis l’échec du sommet de Copenhague, les thèses des climato-sceptiques, faisaient la une de l’actualité. Claude Allègre dans son dernier ouvrage, <strong><em>L’imposture climatique</em></strong> mettait notamment en cause « <em>l’objectivité et la qualité </em>» des rapports du GIEC (Groupe intergouvernemental sur l’évolution du climat).</p>
hoplitehttp://hoplite.hautetfort.com/about.htmll'insurrection qui vienttag:hoplite.hautetfort.com,2009-12-29:25346032009-12-29T21:47:00+01:002009-12-29T21:47:00+01:00 Normal 0 21 MicrosoftInternetExplorer4...
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"Merci infiniment", ont répété les deux jeunes filles au président Nicolas Sarkozy avec qui elles ont eu un entretien téléphonique depuis Saint-Domingue, selon de bribes de conversation que l'AFP a pu entendre.</p> <p class="MsoNormal" style="border: medium none; padding: 0cm;">Le président de la République dominicaine Leonel Fernandez avait gracié la semaine dernière, à l'occasion des fêtes de Noël, les deux Françaises condamnées fin 2008 à huit ans de prison pour trafic de drogue après avoir été interpellées avec six kilos de cocaïne dans leurs bagages. Elles ont toujours clamé leur innocence, affirmant que la drogue avait été placée à leur insu dans leurs bagages après leurs vacances.</p> <p class="MsoNormal" style="border: medium none; padding: 0cm;">(…) Au cours d'une visite à Paris début décembre, le président dominicain avait déclaré qu'elles pourraient être de retour avant Noël en France pour y purger leur peine. Il avait également signé plusieurs accords de coopération, dont l'un dans le domaine des transports.</p> «<i>Elles vont être ambassadeurs de la lutte contre la drogue et de la prévention envers les jeunes, dès qu'elle le pourron</i>t», a ajouté Alain Joyandet, secrétaire d'Etat à la coopération, sans donner plus de précisions.</div> <p class="MsoNormal">Et nul doute que ces deux désormais <i>héroïnes du Spectacle médiatique contemporain</i> sauront exploiter leur histoire misérable mais emblématique (tourisme de masse et stupéfiants) en allant couiner leurs 150 mots de vocabulaire sur moult plateaux télés en attendant un livre témoignage (que l’ineffable gorgonne <a href="http://bibliobs.nouvelobs.com/20081009/7655/josyane-savigneau-on-ma-rappelee-a-lordre"><i>Josyane Savigneau</i></a> ne manquera pas de qualifier de « courageux » et d’« authentique ») et l’inévitable film qu’<a href="http://latelelibre.fr/index.php/2007/07/arnaud-viviant-et-la-liberte-des-journalistes/">arnaud Vivian</a>t saura encenser comme il se doit dans ses <i>chroniques résistantes et festives</i>.</p> <p class="MsoNormal">J’ai beau être blasé, la capacité de nos sociétés du Spectacle à recycler n’importe quel fait divers, même sordide (la libération de deux <i>mules</i> condamnées pour trafic de stupéfiant puis graciées –et non innocentées- contre quelque transfert de technologie avec un pays improbable mais insuffisamment moderne ou festif pour encore réprimer l’usage de stupéfiants) en <i>ode à la transgression de toute barrière morale ou philosophique</i> m’amuse toujours.</p> <p class="MsoNormal">Allez, je vous donne le titre : « <i>Santiago ne répond plus</i> » ou « <i>Et pour quelques kilos de plus</i> »…</p> <p class="MsoNormal">Et notre Conducator qui veut en faire des "<i>ambassadeurs de la lutte contre la drogue et de la prévention envers les jeunes</i>"!!! Normal: principe de base de tout système concentrationnaire: recycler les criminels en <i>Kapos</i> chargés de surveiller <i>les zeks que nous sommes</i>.</p> <div style="border: 1pt solid windowtext; padding: 1pt 4pt;"> <p class="MsoNormal" style="border: medium none; padding: 0cm;"><a href="http://tempsreel.nouvelobs.com/speciales/politique/contre_debat_sur_lidentite_nationale/20091229.OBS1996/pour_une_alternative_au_faux_debat_actuel_sur_lidentite.html"></a></p> <p class="MsoNormal" style="border: medium none; padding: 0cm;"><span class="MsoHyperlink"><a href="http://tempsreel.nouvelobs.com/speciales/politique/contre_debat_sur_lidentite_nationale/20091229.OBS1996/pour_une_alternative_au_faux_debat_actuel_sur_lidentite.html">Pour une "alternative au faux débat actuel" sur l'identité nationale</a></span></p> <p class="MsoNormal" style="border: medium none; padding: 0cm;"><a href="http://tempsreel.nouvelobs.com/speciales/contre_debat_sur_lidentite_nationale/20091229.OBS1996/pour_une_alternative_au_faux_debat_actuel_sur_lidentite.html">Un Collectif composé de personnalités du "monde scientifique et culturel" demande de réfléchir à "un autre débat" sur l'identité nationale, afin de "recadrer le débat sur les véritables enjeux". (AFP) Un Collectif comprenant des personnalités du "monde scientifique et culturel" s'est constitué mardi 29 décembre afin de réfléchir à un "autre débat" sur l'identité nationale.<br /> Estimant que le refus du débat laisse les Français face "à la seule machine gouvernementale" et au "tsunami identitaire lancé par le ministre [Eric Besson] appuyé par le président de la République", ces personnalités affirment avoir choisi de "recadrer le débat sur les véritables enjeux", explique un communiqué.<br /> "Des intellectuels, des chercheurs, des écrivains, des journalistes qui travaillent sur le colonial, l'immigration et le post-colonial proposent ici une alternative au faux débat actuel", ajoute le Collectif. "Il faut choisir 'son' débat et ce n'est pas celui de 'l'identité nationale' mais bien celui de la manière dont se construisent nos identités collectives et nos valeurs communes, républicaines, dans la France post-coloniale, 50 ans après les indépendances africaines", écrivent ces personnalités.<br /> "Après avoir commémoré la destruction d'un mur à l'Est (1989-2009), il convient d'en abattre un autre : celui de nos imaginaires collectifs qui, à l'égard des populations des Suds ou ultramarines, n'a pas encore été déconstruit", ajoutent les signataires.<br /> Nicolas Bancel (historien, Lausanne), Esther Benbassa (directrice d'études à l'Ecole pratique des hautes études de Paris), Pascal Blanchard (historien, CNRS), Didier Lapeyronie (sociologue, université de Bordeaux), Gilles Manceron (historien) Elikia M'Bokolo (historien, Ecole des hautes études de sciences sociales) font notamment partie du Collectif. (Nouvelobs.com)</a></p> </div> <p class="MsoNormal">Le plus drôle avec nos modernes (libéraux de gauche), c’est leur <i>double pensée permanente</i> : les mêmes qui se gargarisent tous les jours avec je ne sais quelle « démocratie participative » de Laogaï sont les premiers à pousser des cris d’orfraie lorsque le peuple prend la parole (la <a href="http://hoplite.hautetfort.com/media/01/02/778747115.jpg" target="_blank"><img src="http://hoplite.hautetfort.com/media/01/02/16662239.jpg" id="media-2187834" alt="collabo21.jpg" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" name="media-2187834" /></a>« démocratie participative », OUI si c’est pour adouber la candidate PS déjà sélectionnée par le système mais NON –ou alors en la recadrant- si c’est pour voter contre l’érection de minarets, pour refuser un TCE ou pour clamer une vision identitaire clairement antagoniste avec ce monde nomade promu par Attali et Bouygues).</p> <p class="MsoNormal">Comme le résume admirablement l'<i>omniprésent cuistre Cohn Bendit</i> : « <i>La majorité n’a pas raison, et il faut arrêter un peu cette histoire de majorité !</i> » Je suis démocrate mais, dans le même mouvement, je puis révoquer celle-ci selon la conjoncture. Ah, Ah!</p> <p class="MsoNormal">Etant acquis que seul ce « Collectif comprenant des personnalités du "monde scientifique et culturel" » c’est-à-dire trois crétins endogames doctorants à l’EHESS ou sociologues d’Etat, est à même de <i>recadrer</i> le débat sur de « véritables enjeux ».... Enjeux sempiternels (faire le procès d’une France raciste, coloniale et anti-sémite au travers de son histoire coloniale et de Vichy pour préparer le terrain au radieux projet multiculturel métissé et pluriel <i>Babel</i> dont la faillite anthropologique constante (Balkans, Liban ,Turquie, Inde, Chypre, Maghreb, Rwanda, etc.) n’entrave en rien le <i>grand bond en avant</i> de nos modernes) dont l’omniprésence dans le Spectacle médiatique contemporain et l’hypermnésie morbide quotidiennes ne semble pas évidente à tous, semble-t-il…</p> <p class="MsoNormal">(<span style="text-decoration: underline;">illustration</span>: affiche officielle pour un débat national sur l'identité nationale Française. A déconstruire, donc)</p> <p class="MsoNormal">Le verbe « déconstruire » est symptomatique de cette caste de censeurs post modernes fanatiques, adeptes de la déconstruction Derridienne (et non Heideggérienne), convaincus d’être missionnés pour recadrer des peuples <i>archaïques</i> car enracinés dans leur culture et leur histoire, conservateurs par bon sens et rétifs au monde nomade merveilleux de nos modernes zélotes (Attali, Sarkosy, Obama et Meirieu même combat) aux postures abjectes de « résistants » et de « vigies citoyennes » en butte à l’hostilité de masses rejouant Nuremberg ou la marche sur Fiume…<i>L’imposture est totale</i>.</p> <p class="MsoNormal">Le plus urgent me semble donc être de <i>déconstruire</i> tous ces collectifs ineptes peuplés de crétins haineux du genre Bancel, Benbassa ou M’Bokolo, suplétifs idéals, car <i>métissés et généreux</i>, du nouvel ordre festif sponsorisé par Bouygues et AT&T et, dans le même superbe mouvement, de reconstruire une démocratie radicale car directe (éventuellement une petite tyrannie si nécessaire, le temps de pourfendre ces hordes de cuistres qui m’accablent).</p> <p class="MsoNormal">A coups de barre de fer dans la gueule si nécessaire. (manches de pioche éventuellement)</p>
hoplitehttp://hoplite.hautetfort.com/about.htmlbourreau, fais ton office! (II)tag:hoplite.hautetfort.com,2009-11-18:24741462009-11-18T22:16:00+01:002009-11-18T22:16:00+01:00 Normal 0 21 MicrosoftInternetExplorer4...
<p><!--[if gte mso 9]><xml> <w:WordDocument> <w:View>Normal</w:View> <w:Zoom>0</w:Zoom> <w:HyphenationZone>21</w:HyphenationZone> <w:Compatibility> <w:BreakWrappedTables /> <w:SnapToGridInCell /> <w:WrapTextWithPunct /> <w:UseAsianBreakRules /> </w:Compatibility> <w:BrowserLevel>MicrosoftInternetExplorer4</w:BrowserLevel> </w:WordDocument> </xml><![endif]--> <!--[if gte mso 10]> <mce:style><! /* Style Definitions */ table.MsoNormalTable {mso-style-name:"Tableau Normal"; mso-tstyle-rowband-size:0; mso-tstyle-colband-size:0; mso-style-noshow:yes; mso-style-parent:""; mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt; mso-para-margin:0cm; mso-para-margin-bottom:.0001pt; mso-pagination:widow-orphan; font-size:10.0pt; font-family:"Times New Roman";} --> <!--[endif]--></p> <div style="border: 1pt solid windowtext; padding: 1pt 4pt;"> <p class="MsoNormal" style="border: medium none; padding: 0cm;"><a href="http://hoplite.hautetfort.com/media/01/02/1992698758.jpg" target="_blank"><img src="http://hoplite.hautetfort.com/media/01/02/1283377340.jpg" id="media-2109810" alt="navet.jpg" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" name="media-2109810" /></a>« (…) Une écrivaine de cette envergure doit être au moins l’égale de Mme de Sévigné ou de Mme de Lafayette ou même la meuf à Dieu soi-même pour s’autoriser des jugements aussi péremptoires. Lisons ceci : «Et celui qui l'accueillit ou qui parut comme fortuitement sur le seuil de sa grande maison de béton, dans une intensité de lumière soudain si forte que son corps vêtu de clair paraissait la produire et la répandre lui-même, cet homme qui se tenait là, petit, alourdi, diffusant un éclat blanc comme une ampoule au néon, cet homme surgi au seuil de sa maison démesurée n'avait plus rien, se dit aussitôt Norah, de sa superbe, de sa stature, de sa jeunesse auparavant si mystérieusement constante qu'elle semblait impérissable». C’est la première phrase des trois nouvelles réunies en un «roman». La conjonction de coordination «et», placée au début du roman, est censée coordonner, elle ne coordonne rien. Elle est retournée ou subvertie, mise cul par-dessus tête. Cela a dû paraître aux grands vieillards et vieillardes de chez Drouant du dernier chic ou comme le comble de l’audace grammaticale. C’était moderne ou audacieux chez Flaubert ou chez Joyce ou chez Faulkner, il y a un siècle ou un siècle et demi. Aujourd’hui, répété par des centaines d’écrivains et d’écrivaines, d’auteurs et d’auteures, de scripteurs et de scripteuses, de goncoureurs et de goncoureuses, c’est du psittacisme. Le premier qui a comparé la femme à une rose ou l’amour à une flamme était un poète; le millième ou le dix-millième est un imbécile. La modernité de ces <i>Trois Femmes puissantes</i>, bien terne, pâle, palichonne, faiblarde, sent le moisi, le renfermé, le rance. Ce n’est pas, comme chez Balzac, de l’odeur de pension, mais du remugle de pensionnat de jeunes filles. Le vocabulaire est de la même eau stagnante. Lisons ceci (début du troisième paragraphe) : «Il était là, nimbé de brillance froide, tombé sans doute sur le seuil de sa maison arrogante depuis la branche de quelque flamboyant dont le jardin était planté». «Il», c’est le père polygame et assassin. Laissons de côté l’inévitable <i>nimbé</i> qui fait joli, l’hypallage convenue (<i>maison arrogante</i>), la métaphore par synesthésie (<i>brillance froide</i>) recensée comme procédé de style depuis deux siècles, l’impossibilité physique de tomber de la branche d’un arbre sur le seuil de la maison (à quelques mètres devant la maison sans doute) et attardons-nous sur <i>brillance</i>. Voilà un mot qui en jette, surtout dans les salons de coiffure pour dames et dans les usines de fabrication de ces saloperies chimiques que sont les laques. (…) » <a href="http://stalker.hautetfort.com/archive/2009/11/16/la-teratologue-grimee-en-ecrivaine-par-jean-gerard-lapacheri.html#more">suite</a></p> </div>
capableuhttp://bleucapa.hautetfort.com/about.html”Ensemble” ou l'imposturetag:bleucapa.hautetfort.com,2008-02-04:14464242008-02-04T11:14:00+01:002008-02-04T11:14:00+01:00 L’ensemble ( !) des partis politiques, les « collectivistes » en tête, le...
<p><span style="font-size: medium;">L’ensemble ( !) des partis politiques, les « collectivistes » en tête, le PC notamment mais aussi les syndicats, les églises et Anne Gavalda, font l’apologie de « Ensemble ».</span><br /><span style="font-size: medium;">Sarko va même jusqu’à en faire un slogan « Ensemble, tout est possible » : mensonge évidemment. Manipulation basée sur la crédibilité populaire, très bien mise en scène par les tenants de la COM. Séguéla en tête qui du coup apparaît comme un tricheur magistral.</span><br /><span style="font-size: medium;">Ils ont en fait le cynisme de proposer un NOUS grégaire qui méprise le JE. Or le JE c’est l’indépendance, jusqu’à l’égoïsme il faut en convenir, le NOUS mettant, au mieux, le JE au service de..., au pire à la botte de...</span><br /><span style="font-size: medium;">En conséquence, du haut de ma mezzanine, je vois dans la revendication de « l’ensemble » une atteinte à la liberté. Ils – ceux qui prônent le NOUS - ordonnent à ma place et aliènent ma liberté de penser par moi-même. Ils prétendent avoir besoin de ma voix pour en retour me venir en aide... Or, une fois ma voix acquise, ils vont par addition de "leur ensemble " se l'approprier sans retour pour avoir la légitimité de m'ordonner de les suivre sans broncher. Une escroquerie dont nos politiques sont coutumiers avec ou sans conscience. Insupportable. </span><br /><span style="font-size: medium;">Je suis un homme libre et indépendant, je me vis en JE. ENSEMBLE TOUT EST POSSIBLE et ta soeur ! </span><br /><span style="font-size: medium;">"ENSEMBLE" ou l'art du TOUS POUR UN, TOUS POUR MOI avec en miroir l'imposture du UN POUR TOUS.</span></p>
hoplitehttp://hoplite.hautetfort.com/about.htmlL'imposture ”anti fasciste”.tag:hoplite.hautetfort.com,2007-04-23:10030562007-04-23T22:15:00+02:002007-04-23T22:15:00+02:00 « Il faudra faire un front contre Nicolas Sarkozy" entre les deux...
<div style="padding-right: 4pt; padding-left: 4pt; padding-bottom: 1pt; padding-top: 1pt; border: windowtext 1pt solid"><font size="3"><font face="Times New Roman">« <em>Il faudra faire un front contre Nicolas Sarkozy" entre les deux tours de la présidentielle, a déclaré vendredi à Toulouse Dominique Strauss-Kahn, appelant les électeurs de François Bayrou à voter pour Ségolène Royal si elle en lice contre le candidat UMP au second tour. » (1)</em></font></font> <font size="3"><font face="Times New Roman"><em>« Sarkozy est extrêmement compétent. Il porte en lui les meilleures, c'est-à-dire les pires traditions de la bourgeoisie. Ceux qui en doutaient encore peuvent étudier ses dernières déclarations. Elles font très clairement référence à la tradition fasciste française.» (2)</em></font></font></div> <p><font size="3"><font face="Times New Roman">Ces deux courts extraits, l’un du quotidien « de référence », l’autre de la presse communiste orthodoxe illustrent assez bien la persistance du <strong>mythe de la lutte anti fasciste</strong> par une grande partie de la gauche Française.</font></font></p> <p><font size="3"><font face="Times New Roman">Il fut un temps, avant guerre, dans une Europe qui inventa le fascisme (Italien) et la national socialisme (Allemand), ou la lutte anti fasciste fut l<strong>égitime</strong> et représentait un mouvement ,<strong>authentique car anti totalitaire</strong>, de démocrates versus des régimes révolutionnaires autoritaires.</font></font> <font size="3"><font face="Times New Roman">Le malheur est que ce mouvement fut rapidement et habilement récupéré puis <strong>instrumentalisé</strong> avec succès par la mouvance communiste, au premier plan de laquelle, le parti communiste Soviétique (PCUS), qui part le biais du Komintern organisa efficacement un combat idéologique contre tout ennemi de la révolution Bolchevique. L’imposture de ce positionnement anti fasciste éclata au grand jour quelques mois avant le déclenchement de la seconde guerre mondiale avec la signature des pactes nazi- soviétique (Molotov- Ribbentrop) qui scellaient <strong>l’alliance tactique des deux totalitarismes</strong>. Cet événement dramatique et totalement stupéfiant au regard de la prétendue « lutte anti fasciste » de l’internationale communiste, permit à quelques « idiots utiles » d’ouvrir les yeux (tardivement) sur le caractère totalitaire de cette idéologie qui comptait déjà plusieurs millions de morts criminelles à son actif.</font></font> <font size="3"><font face="Times New Roman">Secondairement, après 1945, alors même qu’elle aurait du s‘éteindre avec la mort des fascismes Européens (fascisme « normal » et fascisme « radical » selon la distinction d’Ernst Nolte), cette « lutte anti fasciste » fut constamment réactivée et instrumentalisée par l’Union Soviétique, seule puissance totalitaire parmi les vainqueurs de la seconde guerre mondiale.</font></font></p> <p><font size="3"><font face="Times New Roman">L’imposture réside précisément dans le fait que ce prétendu « front anti fasciste » ne fut qu’ « anti fasciste » mais <strong>jamais antitotalitaire.</strong></font></font> <font size="3"><font face="Times New Roman">« <em>Ce progressisme de combat, instrumentalisé par les maîtres de la propagande communiste va se transformer, après la disparition du régime nazi et de ses alliés, en idéologie politique de substitution.</em> » (3)</font></font></p> <p><font size="3"><font face="Times New Roman"><strong>Commence alors l’histoire de l’anti fascisme sans fascisme</strong>…, ou l’objet de ce combat va être remplacé par une chasse au <strong>Mal</strong> politique, incarné par les « puissants », les « dominants », les « bourgeois », « capitalistes », « contre révolutionnaires », « conservateurs », etc., tous réactionnaires. Ces visages supposés de « la réaction » sont dénoncés par les milieux « progressistes » comme « fascistes » ou « d’extrême droite », alors même qu’ils ne le sont la plupart du temps nullement.</font></font> <font size="3"><font face="Times New Roman">Cette diabolisation extrême de tout ce qui n’appartient pas au camp « progressiste », c’est à dire le camp du Bien, de la Raison, du Progrès et de la Révolution, figurant une « menace fasciste » largement imaginaire va devenir le moteur du « progressisme » dans la période post nazie, fonctionnant comme un moyen de chantage permanent.</font></font> <font size="3"><font face="Times New Roman">L’instrumentalisation réussie de cette imposture idéologique par le totalitarisme communiste<span> </span> constitue ainsi une <strong>doctrine de haine</strong> doublée d’un <strong>permis de haïr</strong> avec bonne conscience, bref, une machine à fabriquer des ennemis absolus.</font></font></p> <font size="3"><font face="Times New Roman">Or si en démocratie et en temps de paix cette ostracisation de l’ennemi pouvait ne conduire qu’à l’élimination politique ou la mort sociale des mal-pensants, l’histoire du totalitarisme communiste est là pour nous rappeler ce qu’il advint de millions d’ennemis de la révolution durant le XX éme siècle. Cette conviction dogmatique de posséder la vérité et d’appartenir au « camp du Bien », versus le « camp du Mal » incarné en 2007, par l’extrême droite nationaliste de Jean marie Le Pen, et par son « avatar » Nicolas Sarkosy, leader de la droite républicaine, légitime la haine des premiers à l’égard des seconds.</font></font> <p><font size="3"><font face="Times New Roman">Hormis Sternhell et BH Levy qui considèrent ,de façon rapide, qu’il existe bien une tradition fasciste en France, remontant même avant l’émergence des fascismes Européens (une sorte de préfascisme, de protofascsime) , incarnée par les mouvances d’extrême droite avant guerre (ligues diverses, Action Française, Croix de feu, etc), puis la révolution nationale Pétainiste, l’OAS et le Front National, une majorité d’ historiens de premier plan (Rémond, Furet, Besançon, Renzo de Felice, etc.) s’accordent à penser que la France n’a jamais connu de mouvance fasciste organisée et durable. Emilio Gentile, universitaire italien considéré comme un des meilleurs spécialiste du fascisme italien le définissait ainsi : « <em>Le fascisme est un phénomène politique moderne, nationaliste et révolutionnaire,antilibéral et antimarxiste,organisé en un parti milice, avec une conception totalitaire de la politique et de l’Etat, avec une idéologie à fondement mythique, viril et anti-hédoniste, sacralisée comme religion laïque, qui affirme la primauté absolue de la nation, entendue comme communauté organique, ethniquement homogène, hiérarchiquement organisée dans un état corporatif, avec une vocation belliqueuse, une politique de grandeur, de puissance et de conquête, visant à la création d’un ordre nouveau et d’une nouvelle civilisation. »</em> (5)</font></font></p> <p><font size="3"><font face="Times New Roman"><strong>Amalgamer</strong> aujourd’hui au fascisme la droite républicaine libérale du leader de l’UMP (ou pluraliste et libérale, dite "orléaniste" selon René Rémond) ou la droite nationale populiste du FN (ou Bonapartiste, selon le même historien) est donc évidemment une <strong>imposture</strong> communément admise à gauche, par ignorance mais surtout par calcul politique.</font></font> <font size="3"><font face="Times New Roman">Quand l’ennemi ne peu décemment plus prendre la figure du nazisme, il est alors facile de le réinventer sur la base de quelques caractérisations négatives en puisant dans un stock d’épithètes (« archaïque », «rétrograde », « passéiste », «réactionnaire », « de droite », « d’extrême droite », « populiste », « xénophobe », « raciste », « fasciste », « libéral », « ultra libéral », « impérialiste », « atlantiste », « pro américain », « sioniste », etc.). Si les réactionnaires n’avaient pas existé, les progressistes les auraient inventés…</font></font> <font size="3"><font face="Times New Roman">Sans illusion, il faut donc dire et redire à ces esprits bétonnés et Robespierristes en perte de magistère moral et répétant « Le fascisme ne passera pas ! », que le fascisme est bel et bien passé, et qu’il est depuis longtemps un phénomène du passé. Cette vulgate antifasciste fait partie du vaste système d'idées reçues et de mots-slogans tenant lieu de pensée politique à la gauche et à l'extrême gauche, aprés l'échec reconnu du communisme et l'épuisement du modèle social-démocrate.</font></font></p> <p><font size="3"><font face="Times New Roman">« <em>L’opium « néo-antifasciste » permet aux « intellectuels de gauche »<span> </span> les plus invertébrés, désertés par la pensée et le courage, de se supporter eux-mêmes. Leur ressentiment se fixe sur ceux qui sauvent l’honneur de la réflexion libre, dont l’existence même leur porte ombrage. (…) Un utopisme de carte postale tient lieu de pensée prospective. Le culte des bons sentiments et l’épuration magique remplacent les projets ; l’intellectuel délateur reprend du service.</em> » (4)</font></font></p> <p><font size="3"><font face="Times New Roman">Si l'antifascsime démocratique fut admirable et le pseudo antifascisme stalinien effroyable, ce néo-antifascisme est pitoyable et peut être considérée à la fois comme un indice de survie d’une culture de combat désuète et comme un révélateur de la situation dans laquelle se trouve la gauche, divisée en profondeur, privée de perspectives d’avenir (car toujours ambiguë quant à sa relation au capitalisme en particulier) et concurrencée par une extrême gauche non moins démagogique s’efforçant de relancer la mobilisation communiste sur la base de l’anti mondialisation.</font></font></p> <p><font size="3" face="Times New Roman">"<em>La postérité s'étonnera sans doute que les démocraties aient inventé tant de fascismes et de menaces fascistes aprés que les fascismes ont été vaincus. C'est que, si la démocratie tient dans l'antifascisme, il lui faut vaincre un ennemi sans cesse renaissant</em>." </font> <font size="3" face="Times New Roman">(François Furet, Le Débat n°89, p176)</font></p> <p><font size="3" face="Times New Roman">"<em>On ne saura jamais ce que la peur de ne pas paraitre suffisamment à gauche aura fait commettre de lâchetés à nos Français.</em>" (Charles Peguy, cité par E Brunet, Etre de droite, un tabou Français, p9)</font></p> <p><font size="3" face="Times New Roman">(1)</font> <a href="http://www.lemonde.fr/web/depeches/0,14-0,39-30507544@7-354,0.html"><font size="3" color="#800080" face="Times New Roman">http://www.lemonde.fr/web/depeches/0,14-0,39-30507544@7-354,0.html</font></a></p> <p><font size="3" face="Times New Roman">(2)</font> <a href="http://www.lescommunistes.net/~infos/docus1/paysreel2005.html"><font size="3" color="#800080" face="Times New Roman">http://www.lescommunistes.net/~infos/docus1/paysreel2005.html</font></a></p> <p><font size="3"><font face="Times New Roman">(3) PA Taguieff, Les contre réactionnaires, Denoel 2007, p17.</font></font></p> <p><font size="3"><font face="Times New Roman">(4) PA Taguieff, op cit, p.71.</font></font></p> <p><font size="3"><font face="Times New Roman">(5) E Gentile, Fascisme, histoire et interprétation. Gallimard 2002.</font></font></p> <p> </p> <p> </p>
dragibushttp://lesinsectesontnosamis.hautetfort.com/about.htmlLa leçon de pianotag:lesinsectesontnosamis.hautetfort.com,2007-03-05:9106022007-03-05T08:35:00+01:002007-03-05T08:35:00+01:00 Joyce Hatto est pianiste. Dans les années 50 et...
<p> </p> <div style="text-align: center"><img src="http://lesinsectesontnosamis.hautetfort.com/images/thumb_piano3.jpg" alt="medium_piano3.jpg" style="border-width: 0pt; margin: 0.7em 0pt" /></div> <p> </p> <p><span style="font-size: 8pt; font-family: Tahoma">Joyce Hatto est pianiste.</span></p> <p><span style="font-size: 8pt; font-family: Tahoma">Dans les années 50 et 60 elle a connu son quart d’heure de gloire en tant que concertiste.</span> <span style="font-size: 8pt; font-family: Tahoma">Rien d’exceptionnel mais elle acquiert une certaine renommée notamment grâce à l’interprétation d’œuvres difficiles comme celles <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Arnold_Bax">d’Arnold Bax</a>.</span></p> <p><span style="font-size: 8pt; font-family: Tahoma">Puis le cancer lui tombe dessus en 1976.</span> <span style="font-size: 8pt; font-family: Tahoma">Elle doit arrêter les concerts, elle disparaît alors de la scène internationale tant son état se dégrade et la douleur générée par la maldie vive.</span></p> <p><span style="font-size: 8pt; font-family: Tahoma">20 ans plus tard, quelques enregistrements de Joyce apparaissent sur le marché.</span> <span style="font-size: 8pt; font-family: Tahoma">Avec l’aide de son mari, elle a enregistré à tour de bras, durant les années 90, des œuvres de compositeurs aussi diverses que Messiaen, Prokofiev ou encore Mozart.</span></p> <p><span style="font-size: 8pt; font-family: Tahoma">Les critiques commencent à s’intéresser (enfin) à ses interprétations et dans le petit milieu de la musique classique elle acquiert une aura importante forgée par sa maladie et sa miraculeuse réapparition, mais aussi par le mystère qui l’entoure car personne ne peut la rencontrer, ni la voir jouer.</span></p> <p><span style="font-size: 8pt; font-family: Tahoma">Finalement Joyce perd sa bataille contre son cancer et meurt en juin 2006 au fait de sa micro gloire.</span></p> <p><span style="font-size: 8pt; font-family: Tahoma">Un mythe semble né.</span></p> <p><span style="font-size: 8pt; font-family: Tahoma">Pourtant certains s’interrogent sur son cas, cette fulgurante perçée malgré une maladie dévastatrice, on évoque une supercherie, mais sans preuve.</span></p> <p><span style="font-size: 8pt; font-family: Tahoma">Fin du 1er acte.</span></p> <p><span style="font-size: 8pt; font-family: Tahoma">En février 2007 un mélomane américain veut transférer des titres de Joyce Hatto sur son I Pod avec l'aide d' I Tunes. La base de donnée du logiciel ne reconnaît pas les titres, mais à la place donne le nom de Laszlo Simon, pianiste hongrois.</span> <span style="font-size: 8pt; font-family: Tahoma">Surpris l’homme farfouille un peu partout et fini par se rendre compte qu’ effectivement<span> </span> les titres de Hatto sont identiques à ceux joués par Simon quelques années auparavant.</span></p> <p><span style="font-size: 8pt; font-family: Tahoma">La machine est en marche, le deuxième acte commence et sera bref.</span></p> <p><span style="font-size: 8pt; font-family: Tahoma"><a href="http://www.classicstoday.com/">Classics Today</a> est prévenu de cette troublante découverte, des tests sont effectués en laboratoire et peu à peu la supercherie est mise à jour.</span> <span style="font-size: 8pt; font-family: Tahoma">Les titres commercialisés ne sont effectivement pas joués par Joyce Hatto, mais proviennent de quantités d’enregistrements extérieurs, souvent confidentiels pour éviter les recoupements et traités informatiquement pour, par exemple, garder la tonalité mais modifier le tempo et commercialisés sous le nom de Joyce Hatto.</span></p> <p><span style="font-size: 8pt; font-family: Tahoma">Son</span><span style="font-size: 8pt; font-family: Tahoma"> mari a fini, fin février, par reconnaître la manipulation, en assurant que cela avait été fait, sans que sa femme le sache, non à des fins commerciales mais pour permettre à celle ci de finir sa vie, bercée par l’illusion d’une reconnaissance critique enfin acquise.</span></p>
Raymond ALCOVEREhttp://raymondalcovere.hautetfort.com/about.htmlL’imposture elle-même est l’âme de la vie socialetag:raymondalcovere.hautetfort.com,2006-09-04:6277282006-09-04T15:55:25+02:002006-09-04T15:55:25+02:00 l’imposture elle-même est l’âme de la vie sociale. Sans elle,...
<p><em>l’imposture elle-même est l’âme de la vie sociale. Sans elle, l’authenticité ne peut rien. Sans une dose d’imposture, même le plus authentique des parangons de vertu n’est pas complet, car l’authenticité elle-même est obligée de composer avec l’imposture. Examinez attentivement ceux que vous considérez comme des êtres absolument véridiques et vous découvrirez toujours la petite dose d’imposture qui leur a permis d’être reconnus comme tels. En fait, l’authenticité nous ennuie, elle est trop simple et trop pauvre pour nous divertir vraiment. Nous désirons toujours plus qu’on ne peut nous donner. Nous réclamons notre dose d’illusion et d’erreur. Sans elle – et observez dans la nature elle-même, les multiples trompe-l’œil du mimétisme et des parures qui ne cessent de nous abuser -, sans l’illusion et l’imposture, oui, la vie n’est plus désirable ni supportable.</em></p> <p><a target="_blank" href="http://perso.orange.fr/calounet/index.html">Très intéressante interview de Denis Grozdanovitch sur le site de Calou</a></p>