Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Créez votre blog gratuit ou pro

Je crée mon blog Explorez la blogosphère Explorez la blogosphère Explorez la blogosphère Explorez la blogosphère Explorez la blogosphère

Notes sur le tag : hugo ball

Tags relatifs

Dernières notes

La carte postale du jour ...

" Mesdames et messieurs, le Cabaret Voltaire n'est pas une boîte à attractions comme il y en a tant. Nous ne sommes pas rassemblés ici pour voir des numéros de frou-frou et des exhibitions de jambes, ni pour entendre des rengaines. Le Cabaret Voltaire est un lieu de culture." - Hugo Ball (annonce lors de la soirée inaugurale du 5 février 1916 pour faire taire l'énorme chahut)...

Publié le 13/05/2016 dans Manoeuvres... par la bouche plein de terre | Lire la suite...

(reviendre à) Hugo Ball

Normal 0 21 false false false FR X-NONE X-NONE...

Publié le 04/03/2015 dans Branloire... par Houdaer | Lire la suite...

UN « CRÉTIN » PARLE AUX « CRÉTINS » (fin)

Finalement, qu’est-ce qui m’oblige à réagir à l’insulte lancée par un éditorial du journal Le Monde à tous ceux qui n’aiment pas qu’on leur fasse prendre la lanterne rouge d’un minable peloton exsangue pour la vessie natatoire d’un superbe esturgeon de quatre-vingts ans bien tassés, bourré de caviar ? Rien. Mais rien du tout. La gratuité de l’effort ainsi produit, si elle...

Publié le 30/10/2014 dans ALEXIPHARMAQ... par fredlautre | Lire la suite...

Langage, qui le possède

Es-tu bien sûr que ta gorge s’emplit de tes propres mots Quand vous dévalâtes le chemin vers l’eau sans taches Et que tu lui déclaras ta flamme ? « Je ne veux pas de mots inventés par quelqu’un d’autre », disait Hugo Ball Orgueil, déraison, sagesse ? Peut-être eut il mieux valu, tel l’évêque magique de Zurich, Lui dire ; jolifanto bambla o falli...

Publié le 16/10/2013 dans SOLKO par Solko | Lire la suite...

EVERYTHING IS POLITICAL ❘ 7. L'ACTION SONORE

  Les bouleversements qui pouvaient résulter du bruit dépendaient alors de ce que nos clameurs attiraient les képis. On ne se donnait pas rendez-vous au Quartier Latin, chaque samedi, pour échanger des vues, des caresses, des vinyles mais pour aller au front, à l’incendie que nos voix faisaient. Nous ne vendions pas sous le manteau mais à fond les ballons, toutes dents dehors...

Publié le 09/08/2009 dans GUY DAROL... par WG | Lire la suite...

Page : 1