Last posts on homicides2024-03-28T14:41:50+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://www.hautetfort.com/https://www.hautetfort.com/explore/posts/tag/homicides/atom.xml.http://pdf31.hautetfort.com/about.htmlAprès Marseille, Toulouse… Homicides partout, justice nulle part ? (par Manuel Gomez)tag:pdf31.hautetfort.com,2014-08-21:54312942014-08-21T06:05:00+02:002014-08-21T06:05:00+02:00 Publié par Guy Jovelin Marseille est citée en exemple par...
<p><br /> </p><div class="meta"><p>Publié par Guy Jovelin</p></div><div class="entry"><div class="ob-section ob-section-html"><p style="text-align: center;"><img style="height: 319px; width: 550px;" src="http://cdn-parismatch.ladmedia.fr/var/news/storage/images/paris-match/actu/societe/marseille-un-reglement-de-compte-meurtrier-154782/1557152-1-fre-FR/Marseille.-Mortel-reglement-de-compte_article_landscape_pm_v8.jpg" alt="" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Marseille est citée en exemple par l’Algérie pour les meurtres qui s’y succèdent depuis plusieurs mois. Avec un peu de patience, la police algérienne pourrait également prendre pour exemple la ville de Toulouse qui, depuis plusieurs semaines, tente de rivaliser avec la cité phocéenne.</span></p><p id="yui_3_5_0_1_1408522071508_40297" style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Le processus est absolument identique, comme l’origine du problème : le trafic de drogue et les rivalités entre gangs appartenant à des quartiers différents dans le but d’augmenter leur territoire de commercialisation.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Cela a débuté en décembre 2013 quand le gang du quartier de La Reynerie, dans Le Mirail, a empiété sur le quartier des Izards, jusque-là plaque tournante du trafic de stupéfiants. Pour information, ce quartier classé ZSP (Zone de sécurité prioritaire) était également celui où résidait Mohamed Merah.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Le 4 décembre, deux hommes en scooter lâchent des rafales de kalachnikov sur les devantures de deux commerces. Le client d’un salon de coiffure est blessé.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Le 5 décembre, c’est une tentative d’homicide contre l’employé d’une pizzeria.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Le 8 décembre, plusieurs rafales de kalachnikov sont tirées sur un groupe de dealers stationnant dans le hall d’un immeuble du quartier. Parmi ce groupe, justement, l’employé de la pizzeria raté trois jours plus tôt. Un jeune homme de 18 ans, Nabil Benani, est tué. Deux hommes sont mis en examen puis remis en liberté faute de preuves. <a href="http://www.bvoltaire.fr/manuelgomez/apres-marseille-toulouse-homicides-partout-justice-nulle-part,99955?utm_source=La+Gazette+de+Boulevard+Voltaire&utm_campaign=ec15548394-RSS_EMAIL_CAMPAIGN&utm_medium=email&utm_term=0_71d6b02183-ec15548394-30458741&mc_cid=ec15548394&mc_eid=c288dd3ece">Lire la suite</a></span></p></div></div>
Cassiopéehttp://unpolar.hautetfort.com/about.htmlHomicides multiples dans un hôtel miteux des bords de Loire, de L. C. Tylertag:unpolar.hautetfort.com,2013-11-08:52162882013-11-08T09:46:00+01:002013-11-08T09:46:00+01:00 Une chronique de Richard À la découverte de L....
<p><strong><em></em></strong> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times;"><strong><em><span style="font-size: small;"><img id="media-4319080" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://unpolar.hautetfort.com/media/00/01/1406141844.png" alt="tyler.png" />Une chronique de <span style="text-decoration: underline;"><a href="http://unpolar.hautetfort.com/chroniques-de-richard.html" target="_self">Richard</a></span></span></em></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><em><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">À la découverte de L. C. Tyler ... </span></em></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">Le ton est donné avant l’incipit, avant même le prologue et la dédicace. L’auteur nous avertit:</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">« <em>Tous les personnages et les faits relatés dans ce livre sont imaginaires. Le passage page 37 où l’éditeur propose de son plein gré à un écrivain d’améliorer les termes de son contrat est purement fictif.</em>»</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">Avouons également que le titre «Homicides multiples dans un hôtel miteux des bords de Loire» est tout un programme ! Annonciateur d’un plaisir de lecture bien particulier.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">Je ne connaissais pas L. C. Tyler; après cette première incursion dans son oeuvre ( ce roman est son deuxième ) j’attends donc avec impatience son prochain roman, dont on connait déjà le titre: «<em>Mort mystérieuse d’un respectable lord anglais dans la bibliothèque d’un manoir Tudor du Sussex</em>.»</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">Alors entrons dans cet hôtel miteux et assistons à ce huis-clos bien étrange ! Avec le sourire !</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">Ethelred Tressider est un auteur de polars. Vivant (ou subissant) sa crise de la quarantaine, il disparaît dans la nature. Sans laisser d’adresse, encore moins de mots. Il abandonne tout ! Il s’évanouit tout simplement.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">Elsie Thirkettle est son agente littéraire. Un soir, à l’appartement de l’auteur, elle reçoit un appel téléphonique; elle reconnait l’auteur bien qu’il ait changé sa voix. Elle part donc à la recherche d’Ethelred et le retrouve dans un hôtel où se déroule une rencontre de philatélistes réunis à la foire d’un village de la Loire.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">Préparant leur retour en Angleterre, leur plan est contré par un événement imprévu: un des participants est assassiné. Tous les occupants de l’hôtel sont réquisitionnés, personne ne peut quitter le lieu du crime. Elsie et Ethelred commencent alors leur enquête en n’utilisant pas toujours des moyens conventionnels. Leur enquête bigarrée n’empêchera pas la curée meurtrière: deux autres personnes passent de vie à trépas.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">L’auteur et son agente voient enfin leur rêve poindre à l’horizon. Auront-ils le plaisir de résoudre une série de meurtres comme le faisait si bien le héros d’Agatha Christie ? Réunir tous les participants de ce huis clos et théâtralement, dévoiler le coupable avec emphase et maestria !</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">Le lecteur suit alors le développement de l’enquête avec intérêt mais aussi avec un sourire constant. Car nos deux héros ne font pas dans la dentelle du sérieux; ils tissent leur toile autour des suspects avec compétence ... et humour. Vous pensez que les deux personnages principaux sont particuliers ? Attendez de rencontrer les suspects ! Vous en aurez pour votre ... argent. Je me retiens de ne pas faire un jeu de mots trop facile et de dire que certains sont carrément timbrés ... je ne le dirai pas. Oubliez ces dernières phrases et régalez-vous des dialogues avec monsieur Davidov; des poursuites avec le «fouinesque» Hebert Proctor; des agissements de la famille diplomatique des Brown. Un véritable et foisonnant enchevêtrement de chassés-croisés !</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">Comme tout bon polar à l’anglaise, même si la grande majorité de l’action se passe en France, nos deux apprentis enquêteurs interrogent chacun des protagonistes et tentent de déjouer les filets et les pièges laissés par un meurtrier intelligent, créatif et presque sympathique. Jusqu’au moment où il sera découvert ! Of course !</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">Le roman est truffé de moments plaisants qui alimentent le plaisir de lecture: passages parodiant certains classiques, mises en abyme très réussies, clins d’oeil au monde littéraire et à l’édition. On ne s’ennuie pas une seconde entre l’enquête, plus ou moins sérieuse et l’humour tout à fait britannique de cette comédie policière. L’auteur possède un sens de l’humour efficace. L’alternance des chapitres où Ethelred et Elsie s’échangent la narration, favorise grandement la drôlerie des points de vue différents et l’interprétation de chacun sur ce qui se passe dans cet hôtel miteux.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">J’ai très hâte de voir l’évolution de ces deux personnages, le développement de la complicité entre l’auteur et son agente. La capacité de L. C. Tyler à manier le suspense et la comédie et ce, en crescendo vers une finale rocambolesque mais quand même crédible et surprenante, nous donne un roman intéressant, agréable à lire, avec plein de rebondissements. Un plaisir de lecture !</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">Je vous le recommande donc ... avec le sourire !</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">Et voici quelques extraits:</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">«<em>Pour se faire assassiner, les hommes et les femmes choisissent des méthodes très différentes</em>.»</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">«<em>Les écrivains se leurrent souvent sur tout ce qui est sensé englober leur «travail»: effectuer des recherches sur Internet en quête de références à leur personne, vérifier leur classement sur Amazon, s’occuper de leur blog, faire du café. J’avais effectué quelques-unes de ces tâches. Je travaillais</em>.»</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">Avec toute la grâce d’Elsie ...: « <em>Je me mis en pyjama. C’était plus le genre douillet que celui qu’on enfile pour séduire Brad Pitt, mais comme il ne semblait guère probable que l’acteur se pointe, je pouvais risquer la ceinture élastique et l’imprimé de lapins roses</em>.»</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">Et faisant partie des commandements d’Elsie sur l’édition et la littérature: « ... les romans écrits par des auteurs de deuxième, voire de troisième zone, coûtent aussi cher que ceux écrits par <em>des écrivains de premier choix. Bizarre quand on y pense</em>.»</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">Bonne lecture !</span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: times new roman,times;"><strong><em><span style="text-decoration: underline;"><span style="font-size: small;">Richard, </span></span></em></strong><strong><em><span style="text-decoration: underline;"><a href="http://lecturederichard.over-blog.com/" target="_self">Polar Noir et blanc </a></span></em></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><em><strong><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">Homicides multiples dans un hôtel miteux des bords de Loire<br /></span><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">L. C. Tyler<br /></span><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">Sonatine,2013<br /></span><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">278 pages; 18 €</span></strong></em></p>
Zedhttp://metapoinfos.hautetfort.com/about.htmlVote ouvrier et crise criminelle...tag:metapoinfos.hautetfort.com,2011-05-16:34079082011-05-16T10:20:00+02:002011-05-16T10:20:00+02:00 Nous reproduisons ci-dessous ce point de vue de Xavier Raufer paru dans...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Nous reproduisons ci-dessous ce point de vue de <strong>Xavier Raufer</strong> paru dans l'hebdomadaire <em><a href="http://www.valeursactuelles.com/">Valeurs actuelles</a></em>. Un point de vue intéressant car l'auteur, criminologue de son état, s'adresse à ses "bons amis" les dirigeants de la droite et leur livre une analyse qui souligne cruellement leur échec patent dans la lutte contre la criminalité...</span></p><p> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-3032462" style="margin: 0.7em 0pt;" title="" src="http://metapoinfos.hautetfort.com/media/00/01/1436903114.jpg" alt="violences 93.jpg" /></p><p> </p><p> </p><blockquote><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><strong>Vote ouvrier et crise criminelle</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Dans la culture chinoise, la notion de “bon ami” est cruciale car elle permet la vie sociale : entre “bons amis”, on se dit tout, la franchise est de rigueur. Adoptons donc cette culture millénaire et parlons franc, entre bons amis, aux dirigeants de la droite. Qu’à la future élection présidentielle, 36 % des ouvriers disent vouloir voter pour Marine Le Pen – la presse parle même de “plébiscite ouvrier” – n’est pas étonnant. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Que ces ouvriers voulant voter Le Pen aient plus que doublé depuis la présidentielle de 2007, ne surprend pas davantage.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Le diagnostic est même enfantin à poser : les ouvriers vivent, et sont condamnés à vivre, dans des quartiers toujours plus ravagés par une criminalité sans cesse plus grave – et ils ne le supportent plus. Pour l’essentiel, leur vote est ainsi un pur appel de détresse. Que des socialistes de salon et autres bobos gauche caviar osent ici parler de “repli” est carrément infâme – car il ne s’agit pas d’états d’âme ou de tourments fictifs – mais de peur, pour sa vie et celle des siens.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><strong>Que se passe-t-il en effet dans les fameux “quartiers populaires” ? </strong>Ceci : début avril, <em>« quatre hommes cagoulés, habillés de noir et portant des gilets pare-balles investissent un pavillon de Villepinte (Seine-Saint-Denis). Ils forcent Bilal, 20 ans, à s’agenouiller dans le salon familial, et – devant ses parents – lui tirent deux balles de 9 mm dans la tête »</em>. Dans le même département, les braquages s’enchaînent au quotidien – trois bijouteries en trois jours à la fin avril.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Le 9-3 n’a pas le monopole des homicides. À la fin avril encore, Nordine (23 ans) est abattu à Chelles (Seine-et-Marne) par un “proche”, pour un motif “toujours inconnu”. Paris n’est pas épargné. Encore à la fin avril, des “gens du voyage”, certes “sédentarisés” mais pas apaisés pour autant, s’entretuent à la Kalachnikov, en plein jour, en pleine rue, dans le populaire XIVe arrondissement : 2 morts, un blessé grave. Dans le même temps, un incendie criminel et prémédité fait 5 morts et 6 blessés graves dans le non moins populaire XIXe arrondissement.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Cela tous les jours, à longueur d’année, et sans répit, dans ces mêmes “quartiers populaires”. Pourquoi ce déchaînement criminel, qui terrorise les populations ouvrières de toutes origines ? Parce que – quelles qu’en soient les causes et les responsabilités réelles – la justice ne fait plus son travail : de l’aveu même du ministère de la Justice, <em>« 100 000 peines de prison ne sont pas exécutées »</em>, les peines prononcées étant <em>« en attente d’exécution »</em>. Traduisons : par dizaines de milliers, des bandits sont dans les rues, libres de voler, voire de tuer. Où cette situation est-elle le pire ? Dans les ressorts de justice de Bobigny, Évry, Pontoise, Marseille, Lille, etc.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Parce qu’aussi, une partie de la police peine à s’adapter. D’abord, ces propos médiatiques un peu troublants, car montrant un net déficit d’expertise entre enquêteurs <em>« ne négligeant aucune hypothèse »</em> et porte-parole ne tenant pas pour <em>« spécialement privilégiée »</em> la piste d’un règlement de comptes. Certes, la police réagit du mieux qu’elle peut – mais cela suffit-il ? Elle attrape les malfaiteurs qu’elle voit – , mais alors c’est trop tard, le crime est commis. Pour preuve, observons la Seine-Saint-Denis, l’oeil du cyclone criminel. Le préfet court d’une scène de crime à l’autre – il remporte même “le tableau d’honneur en termes de réactivité”. Réagir – réactivité : c’est bien sûr là où le bât blesse. Qui a jamais gagné une bataille en laissant l’initiative à l’ennemi ? En se bornant à réagir ?</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><strong>Faute de renseignement criminel pointu et précoce, la situation ne peut qu’empirer. </strong>Il faut ici un effort massif – l’État doit en savoir le plus possible et le plus tôt possible sur l’action, les effectifs et les préparatifs des gangs commettant l’essentiel des crimes inquiétant la population. Et ce, pour les surprendre en flagrant délit, les démanteler, les mettre pour de bon hors d’état de nuire. Telle devrait être la mission reine de la Direction centrale du renseignement intérieur. Or on sent cette belle machine policière plutôt absente du combat, pourtant décisif, du renseignement criminel.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Tel est l’engrenage crucial : pas de renseignement intérieur efficace en matière criminelle, pas de progrès possible dans la lutte contre les gangs – donc reflux toujours plus massif des votes populaires vers ce qui est, à l’instant, la seule posture politique anticriminelle déterminée. Ce problème est d’évidence politique. C’est au sommet de l’État que doit se décider et se conduire la grande bataille préventive anticrime, vouée à pacifier les quartiers populaires. Avec des généraux qui veulent se battre. <strong></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><strong>Xavier Raufer </strong>(<em>Valeurs actuelles</em>, 12 mai 2011)<strong><br /></strong></span></p></blockquote>