Last posts on heritage2024-03-28T23:07:42+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://www.hautetfort.com/https://www.hautetfort.com/explore/posts/tag/heritage/atom.xmlIndianSamouraihttp://www.indiansamourai.com/about.htmlEt si j'achetais une maison à Goa ? – Part 6tag:www.indiansamourai.com,2023-12-04:64747472023-12-04T08:00:00+01:002023-12-04T08:00:00+01:00 Sur l’île de Chorao, une vieille bâtisse entourée de manguiers était en...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 9.0pt; font-family: 'Arial',sans-serif;">Sur l’île de Chorao, une vieille bâtisse entourée de manguiers était en vente à un prix raisonnable. Mais la banque mit trop de temps à nous donner le prêt.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 9.0pt; font-family: 'Arial',sans-serif;">Dans la foulée, nous avons continué à regarder dans ce coin de Goa. Je me suis enthousiasmée pour un grand terrain avec un manguier en plein milieu. A réception des plans, j’ai réalisé que ma notion des distances était catastrophique et que la zone allouée ne représentait qu’un tiers du terrain, et tout en longueur.</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-6495783" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://www.indiansamourai.com/media/00/00/106413527.JPG" alt="goa,maison,maisonportugaise,portohouse,heritage,acheter,immobilier,appartement" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 9.0pt; font-family: 'Arial',sans-serif;">Nous avons alors délaissé cette île, après un nombre incalculable de traversées de ferry. Trop éloigné de tout, trop susceptible d’être bientôt recouvert par les eaux. Et nous avons redirigé notre énergie vers le sud, plus près des belles plages. Je me suis emballée pour un terrain près d’une rizière. Mais une hypothèque vieille de soixante ans nous a refroidis, d’autant que le testament du prêtre préteur ne mentionnait pas qu’elle ait été acquittée.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 9.0pt; font-family: 'Arial',sans-serif;">Un terrain encore plus sympa nous fit alors de l’œil. Un peu grand pour nous mais que diable ! Mais ce projet fut torpillé par la présence du générateur d’un hôtel cinq étoiles dont le ronron était clairement audible.</span><span style="font-size: 9.0pt; font-family: 'Arial',sans-serif;"> <img id="media-6495780" style="margin: 0.7em auto; display: block;" title="" src="http://www.indiansamourai.com/media/02/00/2452920768.jpg" alt="goa,maison,maisonportugaise,portohouse,heritage,acheter,immobilier,appartement" /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 9.0pt; font-family: 'Arial',sans-serif;">Nous partîmes alors à la recherche d’un appartement avec vue. Cela nous éviterait les emmerdements pour faire construire – qui s’annonçaient énormes, vu combien il est déjà difficile de trouver un emplacement. Et puis cela nous assurerait de la compagnie pour notre fils. Enfin, cela nous permettrait de rentabiliser immédiatement, soit en y habitant soit en louant. Deux appartements mitoyens avec vue à 360° et une ventilation incroyable nous séduisirent – pas besoin d’un jardin quand on voit les rizières et la forêt de partout ! Mais nous n’étions pas prêts à payer plus que 25% du prix du marché…</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 9.0pt; font-family: 'Arial',sans-serif;">Un autre appartement aurait pu faire l’affaire, avec une vague vue sur la mer. Refait à neuf, il n’envoyait pas du s rêve mais c’était un bon deal. Sauf que la copropriété n’était pas gérée, la piscine et autres parties communes laissées à l’abandon.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 9.0pt; font-family: 'Arial',sans-serif;">Trouver un appartement qui n’ait pas été construit pour des vacances, avec de petites pièces, de petites salles de bain, une petite cuisine et plus de deux ou trois chambres, se révéla compliqué.</span><span style="font-size: 9.0pt; font-family: 'Arial',sans-serif;"> <img id="media-6495782" style="margin: 0.7em auto; display: block;" title="" src="http://www.indiansamourai.com/media/00/01/3966372850.JPG" alt="goa,maison,maisonportugaise,portohouse,heritage,acheter,immobilier,appartement" /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 9.0pt; font-family: 'Arial',sans-serif;">Je découvris ensuite un autre coin de Goa, entre forêt et montagne. Un coin de paradis, « <em>untouched</em> » comme ils disent. Où tu peux avoir un grand terrain pour pas très cher si tu es ouvert à l’idée d’avoir des léopards pour colocataires. Emballée j’étais ! Et puis je me suis demandée d’où venait ce besoin de posséder ? Ne pouvais-je pas juste venir ici de temps en temps ? Louer une chambre d’hôtel, même chère, serait bien plus simple. Je donnai quand même la mission à notre agent immobilier, qui nous trouva six mille mètres carrés tellement beaux qu’on aurait pu passer outre le sanglier énervé qui nous reçut. Le prix au mètre carré était abordable, mais ça revenait cher pour tout le terrain, qui était en plus indivisible. Et puis comment s’occuper de tant de végétation ? Une mousson et c’est Indiana Jones dans cette région tropicale…</span><span style="font-size: 9.0pt; font-family: 'Arial',sans-serif;"> </span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-6495781" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://www.indiansamourai.com/media/00/01/3699129253.JPG" alt="goa,maison,maisonportugaise,portohouse,heritage,acheter,immobilier,appartement" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 9.0pt; font-family: 'Arial',sans-serif;">J’abandonnai alors l’idée d’acheter un bien immobilier à Goa… Sur ce, un des nombreux agents avec lesquels j’étais désormais en contact nous proposa une maison d’architecte avec vue sur rizière et à cinq minutes à pied de la mer. Je la visitai seule pendant que mon fils et son amie s’ébattaient dans la petite piscine. Ce fut la première maison visitée à me faire fondre, un peu petite mais avec de très beaux parquets en bois récupérés de vieilles baraques du sud. Mais comme tous les acheteurs potentiels depuis deux ans qu’elle était en vente, nous ne n’étions pas prêts à payer un prix largement déconnant.</span><span style="font-size: 9.0pt; font-family: 'Arial',sans-serif;"> <a href="https://www.hautetfort.com/admin/posts/350" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-6495776" style="margin: 0.7em auto; display: block;" title="" src="http://www.indiansamourai.com/media/00/01/2165521394.jpg" alt="goa,maison,maisonportugaise,portohouse,heritage,acheter,immobilier,appartement" /></a></span><span style="font-size: 9.0pt; font-family: 'Arial',sans-serif;"><em>Chacun sa définition d'une vue sympa...</em></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 9.0pt; font-family: 'Arial',sans-serif;">Deux semaines plus tard, je tentai le coup avec une nouvelle annonce sur la marketplace de Facebook et nous visitâmes une belle ruine, sur un terrain de taille respectable, proche de la mer. Avant que nous puissions récupérer les papiers et faire une offre, le propriétaire se mit à faire des siennes, arguant qu’un autre acheteur était soudainement sur le coup. Il n’était pas question que nous nous battions.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 9.0pt; font-family: 'Arial',sans-serif;">Il nous sembla alors pertinent de regarder davantage dans le nord, là où nous vivions pour le moment, et vraisemblablement pour quelques temps. Et il reste de beaux villages un peu préservés, même si loin de la mer et des belles plages du sud. Une superbe maison à un prix abordable nous tenta – nous tente encore – mais son accès est sinueux, pas d’enfants vivent dans ce petit complexe de six habitations, et nous ne savons pas quelle est la distance à l’école que notre fils devra rejoindre dans un an.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 9.0pt; font-family: 'Arial',sans-serif;">Bref, nous restons en location !</span></p><p style="text-align: justify;"><em><span style="font-size: 9.0pt; font-family: 'Arial',sans-serif;">À suivre (ou pas)…</span></em></p><p style="text-align: center;"><img id="media-6495777" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://www.indiansamourai.com/media/02/01/2987530408.PNG" alt="goa,maison,maisonportugaise,portohouse,heritage,acheter,immobilier,appartement" /></p><p style="text-align: center;"><em>Une annonce sur la marketplace de Facebook au milieu des annonces immobilières...</em></p>
IndianSamouraihttp://www.indiansamourai.com/about.htmlEt si j'achetais une maison à Goa ? – Part 4tag:www.indiansamourai.com,2023-09-11:64570322023-09-11T08:00:00+02:002023-09-11T08:00:00+02:00 Après avoir décidé d’acheter un terrain plutôt qu’une maison, nous nous...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 9.0pt; font-family: 'Arial',sans-serif;">Après avoir décidé d’acheter un terrain plutôt qu’une maison, nous nous tournâmes vers le sud, plus joli et plus abordable que le nord. Dans le sud, on peut trouver des terrains à 16,000 Rs le mètre carré (diviser par 100 pour l’équivalent €), voire moins, tandis que dans le nord, on est plutôt à minimum de 26,000 Rs, et à une moyenne de 100,000 Rs dans certains endroits comme Assagao où les prix sont particulièrement vertigineux depuis que le village a été pris d’assaut par les Delhiites, lui valant le surnom de « Little Delhi »). </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 9.0pt; font-family: 'Arial',sans-serif;">Un agent immobilier très sympathique nous trouva deux terrains correspondant en partie à nos envies : environ 1000 mètres carrés (pour être sûrs de ne pas être envahis dans un futur plus ou moins proches), un puits et quelques arbres (les locaux n’aiment pas trop les arbres et la pelouse, qui abritent toute sorte de faune malvenue). Nous fîmes valider les papiers du premier par un avocat – une étape nécessaire à Goa car beaucoup de Goanais sont partis vivre à l’étranger et n’ont pas légué leurs propriétés correctement, ce qui donne lieu à de nombreux litiges, et de nombreuses propriétés à l’abandon. Selon un recensement de 2014, une maison sur cinq à Goa serait inoccupée ; selon un autre de 2011, il y aurait 125 000 maisons abandonnées. Il y a peu d’offre car de nombreux terrains / bâtiments n’ont pas de « <em>clear papers</em> » ou même « <em>crystal clear papers</em> », beaucoup de triche (certains n’hésitant pas à vendre des terrains qui ne leur appartiennent pas), et peu de conversion des terres agricoles en terres résidentielles, ce qui n’est peut-être pas plus mal quand on voit ce que la construction consomme d’eau pour des lieux où les gens ne comptent même pas vraiment habiter… </span></p><p style="text-align: center;"><a href="http://www.indiansamourai.com/media/01/02/4272382938.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-6470447" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://www.indiansamourai.com/media/01/02/2659830545.jpg" alt="goa,maison,maisonportugaise,portohouse,heritage,acheter,immobilier,appartement,diaspora" /></a></p><p style="text-align: center;"><a href="http://www.indiansamourai.com/media/01/00/4087704895.JPG" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-6472754" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://www.indiansamourai.com/media/01/00/3279051326.JPG" alt="goa,maison,maisonportugaise,portohouse,heritage,acheter,immobilier,appartement,diaspora" /></a></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 9.0pt; font-family: 'Arial',sans-serif;">S’ils émigrent depuis le 16<sup>ème</sup> siècle, les Goanais ont commencé à partir travailler dans les pays du Golfe dans les années 1970, en quête de pétro-dollars. Et puis vers l’Occident – dans ce cas-là, la migration est souvent permanente ; et même encore aujourd’hui, le « retour au pays » reste un mythe (Brenda Coutinho, 2018). Il y avait au début du millénaire environ 80 000 Portugais d’origine indienne (ou en tout cas possédant la carte OCI, anciennement PIO, qui a été délivrée à 6 millions de personnes en tout) ; 90% d’entre eux auraient atterri au Portugal depuis les anciennes colonies lusitaniennes d’Afrique et ils sont surtout d’origine goanaise et gujarati. Tout Indien né dans un territoire anciennement colonie du Portugal (Goa, Daman, Diu, Dadra, Nagar Haveli) peut demander la nationalité portugaise s’il est né avant le 19/12/1961, ou si ses parents, grands-parents y sont nés avant cette année-là. En 2021, 2 835 Goanais auraient changé de nationalité, et 1 265 en 2022 – sachant que la population locale est estimée à 1,5 millions d’habitants, plus de la moitié n’étant pas d’origine goanaise. 25% sont catholiques, 66% hindous, 8% musulmans. Hors agriculture et surtout tourisme, les jobs ne courent pas encore les rues de Goa et beaucoup sont allés tenter leur chance ailleurs, et ne sont pas revenus. Laissant de nombreux terrains à l’abandon.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 9.0pt; font-family: 'Arial',sans-serif;">Pour revenir à mon histoire, l’avocate trouva une hypothèque vieille de soixante ans, les propriétaires d’alors ayant emprunté de l’argent à un prêtre. Il nous fallut alors chercher ce qui était arrivé à cette hypothèque – selon la loi, elle s’annule automatiquement au bout de trente ans SAUF si quelqu’un trouve des papiers et peut prouver qu’il n’avait pas connaissance de l’hypothèque, les trente ans se mettant à courir à partir du moment de la découverte. Nous trouvâmes alors le testament du prêtre, le fîmes traduire du portugais à l’anglais. Il mentionnait la liste de tous ses biens, ce qu’il donnait à chacun et précisait que si les membres de sa famille avaient besoin de fonds pour s’occuper de lui dans ses vieux jours, ils pouvaient s’adresser aux gens qui avaient des dettes auprès de lui, dont le propriétaire de notre terrain. Mais rien n’indiquait clairement le sort de ce sol.</span></p><p style="text-align: center;"><a href="http://www.indiansamourai.com/media/00/00/4287479050.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-6470453" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://www.indiansamourai.com/media/00/00/2407190795.jpg" alt="goa,maison,maisonportugaise,portohouse,heritage,acheter,immobilier,appartement,diaspora" /></a></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 9.0pt; font-family: 'Arial',sans-serif;">Le deuxième terrain était encore mieux, à dix minutes à pied de la plage et l’annonce précisait qu’on y entendait le « son des vagues ». Je trouvais ça un peu bizarre mais il est vrai qu’un son ressemblant à un bercement se faisait entendre. Le temps que l’avocate regarde les papiers, je montrai l’endroit à une ou deux personnes, histoire d’avoir une autre opinion. Cette histoire de « son des vagues » me travaillait, la mer étant quand même un peu éloignée et puis ça n’avait pas le mouvement des rouleaux. En marchant jusqu’à la mer, j’identifiai alors la source du bruit, beaucoup moins romantique que le ressac : le générateur d’un hôtel cinq étoiles. J’en aurais pleuré…</span></p><p style="text-align: center;"><a href="http://www.indiansamourai.com/media/02/02/2319419989.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-6470451" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://www.indiansamourai.com/media/02/02/2207054761.jpg" alt="goa,maison,maisonportugaise,portohouse,heritage,acheter,immobilier,appartement,diaspora" /></a></p><p><em><span style="font-size: 9.0pt; font-family: 'Arial',sans-serif;">À suivre…</span></em></p><p><em><span style="font-size: 9.0pt; font-family: 'Arial',sans-serif;">Acheter un bien immobilier à Goa</span></em></p>
IndianSamouraihttp://www.indiansamourai.com/about.htmlEt si j'achetais une maison à Goa ? – Part 3tag:www.indiansamourai.com,2023-09-04:64570312023-09-04T08:00:00+02:002023-09-04T08:00:00+02:00 Une option immobilière en vogue à Goa est la résidence de villas. Les biens...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 9.0pt; font-family: 'Arial',sans-serif;">Une option immobilière en vogue à Goa est la résidence de villas. Les biens en vente dans les résidences existantes sont très rares. Reste celles en construction, souvent dans le haut, voire très haut de gamme. C’était fort séduisant pour nous, encore attachés à notre logement de Gurgaon. Il existe une floppée de constructeurs qui font des brochures tellement belles qu’on achèterait sur plan – ce que font d’ailleurs beaucoup de NRI (Indiens résidant à l’étranger) qui investissent sans même visiter. Mais les prix d’achat sont totalement prohibitifs, et je ne parle même pas des frais d’entretien qui s’élèvent parfois au montant du loyer que je paye actuellement. Bref, c’est fait pour ceux qui ont « trop » d’argent. Et puis surtout, en visitant les sites, nous avons réalisé que la plupart optimisaient tellement l’espace que la vue était surtout la salle de bain du voisin. Les architectes arrivent quand même à glisser des <em>plunge pools</em> (petites piscines individuelles), une aberration à l’heure des problèmes d’accès à l’eau, qui n’épargnent pas Goa. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 9.0pt; font-family: 'Arial',sans-serif;">En y regardant de plus près, nous réalisâmes que ces maisons étaient construites pour louer aux touristes ou pour la retraite – or si elles nous intéressaient aujourd’hui, c’était parce que nous recherchons une « communauté », pour nous et notre fils unique de 8 ans. Le rapport qualité prix étant déconnant (en moyenne entre 40 et 80 millions de roupies (440 à 880k€), même s’il n’y a pas vraiment de limites), il nous sembla plus pertinent d’acheter un terrain et de faire construire, même si nous étions bien sûrs que ça ne serait pas une sinécure. (Pour commencer, il nous faudrait obtenir le <em>sanad</em>, ou autorisation de construire, ce qui prend au moins trois mois ; c’est en plus obligatoire pour qu’un étranger OCI puisse obtenir un prêt. Sachant que les OCI ne peuvent pas acheter de terrain agricole ou de verger, mais peut en hériter.) Et puis ce serait un investissement « pur », sans retour pendant au moins 2 ans, le temps de faire construire etc.</span></p><p style="text-align: center;"><a href="http://www.indiansamourai.com/media/00/01/2246177658.PNG" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-6468890" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://www.indiansamourai.com/media/00/01/1846367976.PNG" alt="Goa,maison,maisonportugaise,portohouse,heritage,acheter,immobilier,appartement" /></a></p><p><em><span style="font-size: 9.0pt; font-family: 'Arial',sans-serif;">À suivre…</span></em></p><p><em><span style="font-size: 9.0pt; font-family: 'Arial',sans-serif;">Acheter un bien immobilier à Goa</span></em></p>
IndianSamouraihttp://www.indiansamourai.com/about.htmlEt si j'achetais une maison à Goa ? – Part 2tag:www.indiansamourai.com,2023-08-28:64570302023-08-28T08:00:00+02:002023-08-28T08:00:00+02:00 Rapidement, mon Indien préféré a trouvé la vieille maison de ses...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 9.0pt; font-family: 'Arial',sans-serif;">Rapidement, mon Indien préféré a trouvé la vieille maison de ses rêves : pas trop croulante mais coloniale (les Portugais sont partis en 1961), en relativement bon état, avec un bon bout de terrain et des dizaines de manguiers. Pour la modique somme de 30 millions de roupies (330k€). Je la visitai lors d’une mission de reconnaissance. J’arrivai alors avec un vrillant mal de crâne et les cris des enfants jouant le terrain de football attenant n’arrangèrent rien – là où je voyais une source de bruit malvenue, mon Indien de compagnon voyait un terrain où rien ne serait jamais construit. (De la même manière, les propriétés en bord de route sont vendues plus chères alors que je ne supporterais pas d’être à côté d’une voie passante.) La maison était déjà presque vendue mais mon mari réussit à charmer le propriétaire qui avait vécu quarante ans en France et qui adora qu’on lui parle en français – j’assistai à une conversation lunaire en français avec les deux protagonistes à laquelle je ne compris presque rien ! Malheureusement, notre prêt ne fut pas approuvé à temps.</span></p><p style="text-align: center;"><a href="http://www.indiansamourai.com/media/02/00/389576521.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-6468889" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://www.indiansamourai.com/media/02/00/3810475.jpg" alt="Goa,maison,maisonportugaise,portohouse,heritage,acheter,immobilier,appartement" /></a></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 9.0pt; font-family: 'Arial',sans-serif;">L’agent immobilier nous fit alors voir des terrains en veux-tu en-voilà dans le même coin. Nous réalisâmes alors que nous étions sur une presqu’île. Si Chorao Island a conservé le charme de Goa « comme c’était avant » et la promesse d’un prix au mètre carré encore raisonnable, l’esprit y est également insulaire, adverse au changement et à l’étranger. Surtout, il faut prendre une barque pour rejoindre l’île, ou bien une longue route. Après quelques mois à Goa, je déclarai l’État suffisamment rural pour ne pas avoir envie de m’enterrer là-bas. D’autant qu’avec la montée des eaux, je vois bien l’endroit finir englouti dans pas si longtemps. Enfin, il me paraissait un peu fou de vivre à Goa à plus de quarante minutes de la moindre plage un peu sympa.</span></p><p><em><span style="font-size: 9.0pt; font-family: 'Arial',sans-serif;">À suivre…</span></em></p><p><em><span style="font-size: 9.0pt; font-family: 'Arial',sans-serif;">Acheter un bien immobilier à Goa</span></em></p><p><em><span style="font-size: 9.0pt; font-family: 'Arial',sans-serif;"> </span></em></p>
IndianSamouraihttp://www.indiansamourai.com/about.htmlEt si j'achetais une maison à Goa ? – Part 1tag:www.indiansamourai.com,2023-08-21:64570292023-08-21T08:00:00+02:002023-08-21T08:00:00+02:00 Je vais maintenant à Goa depuis 2007, mon premier voyage hors de ma base...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 9.0pt; font-family: 'Arial',sans-serif;">Je vais maintenant à Goa depuis 2007, mon premier voyage hors de ma base d’alors, Pune. Petit État côtier, ancienne colonie portugaise, c’est un petit havre de paix quand le reste de l’Inde stimule trop les sens. Un endroit où la peau blanche n’est pas exotique, où les gens parlent anglais et où on trouve de la viande (du bœuf et du porc) un peu partout. Il y a en plus certaines plages du nord, connues des fêtards, d’autres régions du coin où la vie est plus paisible et en fin le sud, très très tranquille. (Un ami punéite installé à Benaulim, un peu régioniste, me mit en garde contre le « <em>crazy busy North</em> » – réputé pour les plages touristiques comme Baga et Calangute et les boîtes de nuit. Mais là où je vis, dans les terres, la vie est déjà très calme, je n’ose imaginer ce que ça donne dans le sud ! Et pour l’instant, nous avons besoin d’activités, de compagnie, alors le coin nous va bien, même si les plages sont moins jolies.) </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 9.0pt; font-family: 'Arial',sans-serif;">En 2007, je n’imaginais sans doute pas rester autant de temps et encore moins acheter un bien immobilier en Inde. Mais je rêvais déjà en regardant les vieilles maisons portugaises dont la seule vue me renvoyait romantiquement à l’époque des Lusitaniens. Et puis je suis retournée à Goa, encore et encore. Et finalement, au bout de seize ans, j’ai fini par y déménager. Mon Indien préféré, qui est, fait rare pour l’Inde, un déraciné, se plaît ici – sa famille vient du Kerala mais il n’a pas envie d’y vivre, peut-être parce que son père étant dans l’armée, il a grandi dans le nord. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 9.0pt; font-family: 'Arial',sans-serif;">Lorsque nous avons décidé de bouger, nous pensions louer un appartement, le temps d’acheter une petite maison pour couler de vieux jours. Et l’aventure commence…</span></p><p style="text-align: center;"><a href="http://www.indiansamourai.com/media/00/02/2396655944.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-6468888" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://www.indiansamourai.com/media/00/02/1201299067.jpg" alt="Goa,maison,maisonportugaise,portohouse,heritage,acheter,immobilier,appartement" /></a></p><p><em><span style="font-size: 9.0pt; font-family: 'Arial',sans-serif;">À suivre…</span></em></p><p><em><span style="font-size: 9.0pt; font-family: 'Arial',sans-serif;">Acheter un bien immobilier à Goa</span></em></p>
ylepapehttp://lactualitedessocialistes.hautetfort.com/about.htmlLa revue de presse du 11 au 17 févriertag:lactualitedessocialistes.hautetfort.com,2022-02-25:63650462022-02-25T00:00:00+01:002022-02-25T00:00:00+01:00 Les Gauches en campagne (semaine du 11 au 17 février) Les sondages...
<p><span style="color: #0000ff;"><a style="color: #0000ff;" href="http://lactualitedessocialistes.hautetfort.com/archive/2022/02/11/les-gauches-en-campagne-mise-a-jour-du-11-fevrier-6365493.html"><strong>Les Gauches en campagne (semaine du 11 au 17 février)</strong></a></span></p><p><a href="http://lactualitedessocialistes.hautetfort.com/archive/2022/02/11/les-sondages-de-la-semaine-mise-a-jour-du-11-fevrier-6365492.html"><strong>Les sondages de la semaine du 11 au 17 février</strong></a></p><p><span style="color: #ff0000;"><strong>HERITAGE</strong></span></p><p><a href="https://www.inegalites.fr/L-impot-sur-l-heritage-est-il-vraiment-aussi-impopulaire-qu-on-le-dit"><strong>Observatoire des inégalités - L’impôt sur l’héritage est-il vraiment aussi impopulaire qu’on le dit ?</strong></a></p><p><strong><span class="etiquette et12">Analyses</span> <span class="date">11 février 2022</span> <br /></strong></p><div class="chapo"><p>Les droits de succession ne jouent pas leur rôle de réduction des inégalités. Mais leur réforme serait politiquement inenvisageable, si l’on en croit les sondages. Faut-il s’en tenir à ce lieu commun ? Le point de vue de Louis Maurin, directeur de l’Observatoire des inégalités.</p><p>L’affaire semble entendue. Selon les sondages, près de 90 % des Français rejettent une hausse des taxes sur l’héritage. Tous les experts et journalistes, même ceux qui y sont le plus favorables, sont convaincus d’un rejet massif de cette mesure par « l’opinion ». Est-ce si simple que ça ? Le débat sur la taxation des successions en dit long sur l’emprise des sondages sur le débat public, et en particulier sur les partis politiques.</p><p><a href="https://www.ofce.sciences-po.fr/blog/droits-de-succession-pourquoi-les-economistes-ne-sont-ils-pas-ecoutes/"><strong>OFCE - Droits de succession : pourquoi les économistes ne sont-ils pas écoutés ? par </strong><strong>Guillaume Allègre</strong></a></p><div class="entry-content"><p>Le 12 décembre 2021 le Centre d’Analyse Economique, instance pluraliste de conseil du Premier ministre sous l’autorité de celui-ci, publiait une note, <a href="https://www.cae-eco.fr/repenser-lheritage">Repenser l’héritage</a>, plaidant notamment pour l’augmentation des droits de succession. Le diagnostic est relativement consensuel. La valeur du patrimoine relative au revenu a fortement augmenté (300% du revenu national en 1970, 600% en 2020) ; le patrimoine est très concentré, beaucoup plus que le revenu, et il n’est pas consommé en fin de vie mais transmis. Par conséquent la part de l’héritage dans le patrimoine total est passée de 35% au début des années 1970 à 60% aujourd’hui. Ceci pose un problème d’équité dans la constitution du patrimoine, d’autant plus grand que sa valeur est élevée et que certains actifs ne sont plus accessibles sans apport. À l’image du discours de Vautrin repris par Piketty dans son livre <em>Le Capital au XXI<sup>e</sup> siècle</em>, pour avoir une bonne position économique dans la société, il vaut mieux épouser une héritière que de trouver un travail bien rémunéré.</p></div><p><span style="color: #ff0000;"><strong>CONVOI DE LA LIBERTE</strong></span></p><p class="ch_chapo"><a href="https://charliehebdo.fr/2022/02/politique/convoi-de-la-liberte-confusion-des-coleres/"><strong>Charlie - « Convoi de la liberté » : confusion des colères, </strong><strong>Jean-Yves Camus</strong></a></p><p class="ch_chapo">Inédit de par son mode opératoire, le « convoi de la liberté » incarne aussi une certaine confusion des luttes.</p><p class="ch_chapo">En termes de participation, le « convoi de la liberté » est une relative réussite, et marque le retour de manifestations dans l’esprit des premiers « gilets jaunes ». Son mode opératoire est toutefois inédit, et pose un autre défi aux forces de l’ordre. Pour reprendre un mot connu depuis les manifestations algériennes du Hirak contre le pouvoir, il s’agit en partie d’une mobilisation contre ce qui est ressenti comme la <em>hogra</em> (le « mépris », le « dédain ») du gouvernement en place. Avec cette nuance importante que la colère des manifestants vise un homme précisément : le président de la République. </p><p class="ch_chapo"><span style="background-color: #ffffff; color: #ff0000;"><strong>CULTURE</strong></span></p><p class="ch_chapo"><a href="https://www.lagazettedescommunes.com/790744/culture-affrontement-entre-deux-conceptions-de-laide-publique-dans-les-yvelines/"><strong>La Gazette des communes - Culture : affrontement entre deux conceptions de l’aide publique dans les Yvelines</strong></a></p><p class="ch_chapo"><span class="articleChapo">La suppression de la classique subvention de fonctionnement au profit d’une autre forme de soutien a déclenché une levée de boucliers chez les acteurs culturels du département, soutenus par cinq organisations professionnelles nationales.</span></p><p class="ch_chapo"><span class="articleChapo">Le conseil départemental des Yvelines vient de donner une nouvelle orientation à sa politique culturelle, en supprimant les subventions de fonctionnement. Cette décision provoque le mécontentement des structures qui dénoncent une anticipation trop courte, bien qu’elles en aient été informées il y a trois ans.</span></p><p><span style="color: #ff0000;"><strong>LOGEMENT</strong></span></p><p><a href="https://institut-rousseau.fr/un-quinquennat-qui-aura-amplifie-la-crise-du-logement/"><strong>Institut Rousseau - Un quinquennat qui aura amplifié la crise du logement</strong></a></p><div class="elementor-element elementor-element-1ca750f elementor-widget elementor-widget-shortcode" data-id="1ca750f" data-element_type="widget" data-widget_type="shortcode.default"><div class="elementor-widget-container"><div class="elementor-shortcode"><div class="elementor-widget-container"><p><span style="font-weight: 400;">À moins de trois mois de l’élection présidentielle, la Fondation Abbé Pierre a publié son 27e rapport annuel sur « L’état du mal-logement en France ». Alors que le pays est encore marqué par la crise sanitaire, ce rapport dessine un portrait marqué par la précarisation de couches les plus précaires de la population, avec des conséquences visibles sur le mal-logement. Quand la crise sanitaire et la crise du logement se superposent, les ménages à bout de souffle sont déstabilisés de manière durable. Pourtant malgré les alertes répétées, la crise du logement est loin d’être suffisamment prise en compte par les responsables politiques et continue de fracturer en profondeur notre société.</span></p><div class="entry-content"><p><a href="https://reporterre.net/Le-reve-francais-de-la-maison-avec-jardin-detruit-les-terres-agricoles"><strong> Reporterre - Enquête — Étalement urbain Le rêve français de la «<small class="fine d-inline"> </small>maison avec jardin<small class="fine d-inline"> </small>» détruit les terres agricoles</strong></a></p><p>En France, plus de la moitié des logements sont des habitations individuelles. Et les constructions de maisons neuves continuent, malgré le coût écologique de l’étalement urbain.</p><p><strong>[1/4 — Pour l’écologie, en finir avec la «<small class="fine d-inline"> </small>maison avec jardin<small class="fine d-inline"> </small>»]</strong> <em>De nouveaux pavillons individuels sont construits chaque année et grignotent les espaces naturels. Pour préserver le climat et la biodiversité, des alternatives aux maisons neuves existent : utiliser les logements vacants, promouvoir les habitats collectifs...</em></p></div></div></div></div></div></div><p><a href="https://www.inegalites.fr/Plus-de-quatre-millions-de-mal-loges-de-quoi-parle-t-on"><strong>Observatoire des inégalites - Plus de quatre millions de mal-logés : de quoi parle-t-on ?</strong></a></p><p><span class="etiquette">Données</span> <span class="date">4 février 2022</span></p><div class="chapo"><p>Plus de quatre millions de personnes sont considérées comme mal logées par la Fondation Abbé Pierre. Près d’un million n’ont pas de domicile personnel, 100 000 vivent dans une habitation de fortune toute l’année. Article extrait du Centre d’observation de la société.</p><p>Plus de quatre millions de personnes sont mal logées en France, selon le rapport 2022 de la Fondation Abbé Pierre<span class="spip_note_ref"> [<a id="nh1" class="spip_note" title="Voir « L’état du mal-logement en France 2022, rapport annuel n° 27 », (...)" href="https://www.inegalites.fr/Plus-de-quatre-millions-de-mal-loges-de-quoi-parle-t-on#nb1" rel="appendix">1</a>]</span>. Du sans domicile fixe au jeune contraint de revenir chez ses parents, en passant par le couple qui vit avec son enfant dans un studio, ce chiffre rassemble des populations logées de manières très différentes. Pour essayer de mieux comprendre cette réalité, nous avons détaillé trois grandes formes de mal-logement : l’habitat inconfortable, le manque d’espace et l’absence de logement à soi.</p><p><span style="color: #ff0000;"><strong>ENERGIES</strong></span></p><p class="page-title page-title--publication "><a href="https://www.iddri.org/fr/publications-et-evenements/billet-de-blog/energie-citoyenne-une-ambition-politique-forte-qui"><strong><span class="field field--name-title field--type-string field--label-hidden">IDDRI - Énergie citoyenne : une ambition politique forte, qui exigera des moyens supplémentaires</span></strong></a></p><p><span class="field field--name-title field--type-string field--label-hidden">Les projets d’énergies renouvelables à gouvernance locale (également appelés projets « citoyens »<a id="footnoteref1_zrmakjm" class="see-footnote" title=" Le besoin de clarification de la terminologie a été souligné dans de précédents travaux de l’Iddri, en 2016 et 2019 notamment. Le groupe de travail national avait majoritairement employé le terme de projets « à gouvernance locale », qui permet d’insister sur l’implication des citoyens et des collectivités locales, tandis qu’au niveau politique et médiatique, la notion de « projets citoyens » reste prépondérante. Plus récemment, l’émergence des « communautés d’énergies renouvelables » en tant que nouvel objet réglementaire a pu encore ajouter à cette confusion. " href="https://www.iddri.org/fr/publications-et-evenements/billet-de-blog/energie-citoyenne-une-ambition-politique-forte-qui#footnote1_zrmakjm">1</a>) se fondent sur une implication forte des citoyens et des collectivités locales dans la gouvernance et le financement des projets sur leur territoire. Ils constituent à ce titre un véritable levier d’appropriation locale de la transition énergétique. En se fondant sur les travaux d’un groupe de travail coordonné par le ministère de la Transition écologique, l’Ademe et l’Iddri en 2021, la ministre a présenté en novembre 2021 dix mesures en faveur des énergies renouvelables citoyennes. Le gouvernement souhaite notamment développer 1 000 nouveaux projets d’ici 2028, ce qui reviendrait à multiplier par au moins 5 leur développement dès cette année, tout en maintenant le niveau d’aides publiques dédiées a priori inchangé. Comment atteindre cet objectif ? Et quels défis pour la suite ? </span></p><p><a href="https://www.ofce.sciences-po.fr/blog/gaz-naturel-pourquoi-ca-flambe/"><strong>OFCE - Gaz naturel : pourquoi ça flambe ?</strong></a></p><div class="entry-content"><p>Entre décembre 2020 et décembre 2021, le prix du gaz naturel sur le marché à terme TTF, référence européenne pour le marché de gros, a été multiplié par sept pour atteindre le record de 108 euros/MWh. Historiquement, l’intérêt porté à cette source d’énergie est souvent passé au second plan pour plusieurs raisons : le mode de fixation de ses prix (contrats de très long terme, indexation sur le prix du pétrole), ou encore sa substituabilité à d’autres sources d’énergie à moyen terme. En effet, le gaz est en concurrence avec les autres sources d’énergie dans ses usages directs (chauffage, cuisson) et indirects (production d’électricité). Cette substituabilité n’est cependant vraie qu’à moyen terme pour les usages directs : il est par exemple nécessaire que le coût de remplacement du gaz par l’électricité (coûts d’installation, de résiliation d’abonnement, etc.) soit supérieur au gain lié au différentiel de prix entre les deux énergies sur plusieurs années pour qu’un ménage opère la substitution. </p></div><p><a href="https://reporterre.net/Nucleaire-le-naufrage-de-la-classe-dirigeante-francaise"><strong>Reporterre - Nucléaire : le naufrage de la classe dirigeante française</strong></a></p><div class="chapo"><p>Emmanuel Macron a annoncé la construction de six nouveaux <span class="caps">EPR</span>, et huit autres en projet, le 10 février à Belfort. Cette annonce traduit l’incapacité de la classe dirigeante de ce pays à penser le monde actuel.</p></div><div class="texte"><p>La classe dirigeante de ce pays est d’un confondant irréalisme. Elle vit dans un royaume magique où la science, la technique et l’économie n’existent pas. Il aura suffi à cette classe dirigeante — qui depuis trois décennies ne fait <a href="https://reporterre.net/Le-bilan-ecologique-de-Macron-89-mesures-negatives-depuis-2017">quasiment rien</a> contre le changement climatique, qui continue à <a href="https://reporterre.net/Projet-d-autoroute-a-Rouen-Que-vont-brouter-nos-vaches-De-la-poussiere">construire des autoroutes</a>, à agrandir des aéroports, à multiplier les dispositifs de consommation énergétique —, il lui aura suffi qu’un lobby appuyé par quelques communicants habiles lui dise depuis quelques années <em>«<small class="fine d-inline"> </small>Le nucléaire n’émet pas de <span class="caps">CO</span><sub>2</sub><small class="fine d-inline"> </small>»</em>, pour qu’elle croie avoir trouvé la solution à cet entêtant défi : comment éviter l’aggravation du changement climatique<small class="fine d-inline"> </small>?</p><p><span style="color: #ff0000;"><strong>LAICITE</strong></span></p><p><a href="https://www.lagazettedescommunes.com/785498/defere-suspension-laicite-la-circulaire-est-publiee/"><strong>La Gazette des communes - Déféré-suspension laïcité : la circulaire est publiée</strong></a></p><p><span class="articleChapo">La loi Séparatisme a introduit la possibilité, pour les préfets, de demander la suspension de l'exécution d'un acte d'une collectivité qui porterait gravement atteinte aux principes de laïcité et de neutralité des services publics. Dans une circulaire du 31 décembre, le gouvernement donne les modalités d'application de ce nouveau et délicat déféré-suspension laïcité. </span></p><p><span style="color: #ff0000;"><strong>RAOULT</strong></span></p><p><a href="https://www.licra.org/shoah-et-passe-vaccinal-les-paralleles-douteux-de-didier-raoult"><strong>LICRA - Shoah et passe vaccinal. Les parallèles douteux de Didier Raoult</strong></a></p><p class="first">Didier Raoult se livre régulièrement à des parallèles douteux entre la Seconde Guerre mondiale et la politique sanitaire du gouvernement. Passe vaccinal et vaccination riment ainsi pour lui avec Shoah, nazisme et collaboration.</p><p>Dans une vidéo du 01/02, Raoult cite les travaux de Milgram et d’Arendt pour alerter sur les dangers de l’obéissance: ils aideraient à comprendre la « torture », la « déportation »…et donc, le danger du respect des mesures sanitaires (vaccination…) ! (Source : <a href="https://www.youtube.com/watch?v=eiwiH40AAjE" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://www.youtube.com/watch?v=eiwiH40AAjE</a>)</p></div><div class="elementor-element elementor-element-1ca750f elementor-widget elementor-widget-shortcode" data-id="1ca750f" data-element_type="widget" data-widget_type="shortcode.default"><div class="elementor-widget-container"><div class="elementor-shortcode"><div class="elementor-widget-container"><p><span style="color: #ff0000;"><strong>EHPAD</strong></span></p><p><a href="https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2022/02/11/maltraitances-en-ehpad-cacophonie-dans-le-suivi-des-alertes-et-des-controles_6113230_4355770.html"><strong>Le Monde - Maltraitances en Ehpad : cacophonie dans le suivi des alertes et des contrôles</strong></a></p><div class="article__heading"><p class="article__desc">Le gouvernement ne donne pas de chiffres sur les signalements de mauvais traitements dans les établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes. Il s’est pourtant doté dès 2004 d’outils pour faire remonter ces informations.</p><p class="article__desc">Sur les 7 500 établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) que compte la France, combien sont contrôlés chaque année ? <em>« Je suis incapable de vous le dire comme ça »</em>, a reconnu Brigitte Bourguignon, la ministre déléguée chargée de l’autonomie, mardi 1<sup>er</sup> février sur <a title="Nouvelle fenêtre" href="https://www.franceinter.fr/emissions/l-invite-de-7h50/l-invite-de-7h50-du-mardi-01-fevrier-2022" target="_blank" rel="noopener">France Inter</a>.</p></div><div class="entry-content"><p><span style="color: #ff0000;"><strong> OCEANS</strong></span></p><p class="selectionShareable"><a href="https://basta.media/ocean-summit-Brest-Macron-aire-marine-protegee-Office-francais-biodiversite-Soulevements-de-la-mer-dont-look-down"><strong>Basta - <span class="crayon article-titre-8710 ">Ocean Summit : « Construire une aire marine protégée n’est pas qu’un simple coup de stylo ou une annonce »</span></strong></a></p><p class="selectionShareable"><span class="crayon article-titre-8710 ">Ancien responsable scientifique de l’Agence des aires marines protégées, Pierre Watremez est aujourd’hui retraité mais actif concernant la protection des océans. Communication du gouvernement, aires marines protégées, exploitation minière des grands fonds... ce spécialiste nous répond.</span></p></div><p><a href="https://reporterre.net/A-Brest-un-ilot-de-resistance-contre-la-surexploitation-des-oceans"><strong>Reporterre - À Brest, un îlot de résistance contre la surexploitation des océans</strong></a></p><div class="chapo"><p>Pendant trois jours, à Brest, les Soulèvements de la mer ont préparé la résistance face au One Ocean Summit, un sommet mondial qui réunira, dès mercredi, des chefs d’États, entreprises et <span class="caps">ONG</span> pour discuter «<small class="fine d-inline"> </small>croissance bleue<small class="fine d-inline"> </small>».</p></div><div class="texte"><p>Cette semaine se tiendra à Brest le One Ocean Summit, un sommet international de la mer qui réunira chefs d’État et différents acteurs de la mer. Au cœur des échanges : la protection des océans, <em>«<small class="fine d-inline"> </small>l’économie bleue<small class="fine d-inline"> </small>»</em>, et un traité sur la haute mer pour donner un cadre juridique aux activités maritimes sur cette surface <em>«<small class="fine d-inline"> </small>sans gouvernance<small class="fine d-inline"> </small>»</em> qui représente 45<small class="fine d-inline"> </small>% de la planète.</p><p><span style="color: #ff0000;"><strong>DESCOLA</strong></s
ylepapehttp://lactualitedessocialistes.hautetfort.com/about.htmlFrance Info - Le vrai du faux. 75% du patrimoine détenu en France l'est-il réellement par héritage ?tag:lactualitedessocialistes.hautetfort.com,2019-03-28:61387902019-03-28T17:33:00+01:002019-03-28T17:33:00+01:00 Victor Matet revient aujourd'hui sur une affirmation du Premier secrétaire...
<p class="chapo">Victor Matet revient aujourd'hui sur une affirmation du Premier secrétaire du Parti socialiste concernant la part d'héritage dans le patrimoine des Français.</p><header class="articleHeader "></header><section class="text"><p>Mercredi 20 mars lors du débat organisé par BFM TV entre les six principaux dirigeants de partis, Olivier Faure, le patron du PS, a affirmé : "<em>75% du patrimoine détenu en France l'est par héritage</em>"</p><h2 class="subheader">D'où vient cette affirmation ?</h2><p>De Thomas Piketty, indique Olivier Faure. Thomas Piketty, c'est l'économiste spécialiste des inégalités sociales, proche de François Hollande et Ségolène Royal par le passé puis membre de l'équipe de Benoît Hamon lors de la dernière présidentielle.</p><p><a href="https://mobile.francetvinfo.fr/replay-radio/le-vrai-du-faux/le-vrai-du-faux-75-du-patrimoine-detenu-en-france-l-est-il-reellement-par-heritage_3222879.html?fbclid=IwAR1T3DZ6suwoeya9IelLeEcEosPkG9CqgcIzEXpgjXtRb02x8wgtCKwLVWQ#xtref=https://www.google.com/"><strong>Lire la suite</strong></a><br />__________________<br />__________________</p></section>