Last posts on harris2024-03-29T10:04:47+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://www.hautetfort.com/https://www.hautetfort.com/explore/posts/tag/harris/atom.xmlCarmen SERGHIE LOPEZhttp://www.cefro.pro/about.htmlNouvelles spiritualitéstag:www.cefro.pro,2014-10-02:54600392014-10-02T20:57:00+02:002014-10-02T20:57:00+02:00 ( Photo of Earth's atmospheric layers, reveling the troposphere,...
<p><span style="color: #333333; font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;"><img id="media-4710864" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://www.cefro.pro/media/00/00/3666086390.jpg" alt="science,esprit,conscience,religion,watts,harris,misrahi,joie,philosophie" /></span></p><p><span style="color: #333333; font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">(<span style="color: #000000;"><em>Photo of Earth's atmospheric layers, reveling the troposphere, stratosphere and above)</em></span></span></p><p><span style="color: #333333; font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">Depuis une vingtaine d'années, le monde moderne connaît le développement du phénomène religieux désinstitutionnalisé, par rapport aux grandes traditions religieuses occidentales. Notre sensibilité spirituelle se modifie, <span style="color: #800000;">l'expérience</span> devient le critère de la spiritualité authentique, dont l'objectif est la transformation de soi. Une idée fondamentale est présente dans toutes les pratiques psycho-corporelles ou psycho-ésotériques (ou même dans les états modifiés de conscience, idéalisés par les penseurs New Age): celle de la responsabilité de chacun pour son perfectionnement personnel et spirituel. Il s'agit d'un travail psycho-spirituel sur soi et de l'apparition d'un nouvel humanisme aux dimensions spirituelles. Cet <span style="color: #800000;">humanisme-sagesse</span> contient des valeurs qui appartiennent au fond commun des diverses traditions humanistes: la dignité de tous les hommes et leur perfectibilité, la tolérance, le respect de l'autre, le dialogue. Un article de la revue <strong><span style="color: #800000;"><em>Psychologies</em></span></strong> paru en 2000 et intitulé <span style="color: #800000;"><em>"Et si l'on essayait la sagesse?"</em> </span>identifie ces piliers de la sagesse: <span style="color: #800000;">le respect de son corps</span> (premier pas vers un mieux-être); <span style="color: #800000;">l'intériorité</span> (être à l'écoute de soi-même); <span style="color: #800000;">la disponibilité au réel</span> (éviter les blocages psychologiques qui font écran entre nous et cette perception essentielle qu'est le réel); <span style="color: #800000;">la distanciation/le détachement</span> (connaître et gérer ses émotions); <span style="color: #800000;">vivre au présent</span>; <span style="color: #800000;">apprivoiser la mort</span> (vouloir l'oublier ou en avoir peur, c'est fausser notre équilibre présent, mais il n'est pas besoin de croire à une vie ultérieure ou éternelle). L'idée de vivre pleinement au présent pour mener une vie satisfaisante et qui ait du sens n'est pas nouvelle. </span><span style="color: #333333; font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">C'est le philosophe écrivain <strong><a href="http://www.amazon.fr/Alan-W.-Watts/e/B000AP7NRS/ref=dp_byline_cont_book_1">Alain Watts </a></strong>qui, il y a plus de cinquante ans, rendait public le concept de vivre en présence, concept dont les racines se trouvent dans la sagesse orientale qui enseigne comment traverser la vie éveillé et en habitant notre expérience.</span></p><p><span style="color: #333333; font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small; background-color: transparent;">Il est impossible d'avoir l'assurance d'un avenir heureux pour pouvoir profiter d'un présent agréable. Vouloir être sûr revient à vouloir être à l'abri du flux de la vie, du perpétuel changement, ce qui signifie ne pas être adapté à vivre dans un monde fini où, malgré les meilleurs plans, les accidents vont se produire, et où la mort vient à la fin, nous dit <span style="color: #000080;"><strong>Watts</strong></span>. </span></p><div id="yiv0273595747yui_3_16_0_6_1412168465396_4" style="font-family: HelveticaNeue-Light, 'Helvetica Neue Light', 'Helvetica Neue', Helvetica, Arial, 'Lucida Grande', sans-serif; color: #333333; font-size: 13.63636302948px; background-color: transparent;"><span id="yui_3_16_0_1_1412253300535_27221" style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">Le tout récent livre de <a href="http://www.samharris.org/"><strong>Sam Harris</strong></a>, philosophe et neuroscientifique, <a href="http://www.amazon.com/gp/product/1451636016?ie=UTF8&camp=1789&creativeASIN=1451636016&linkCode=xm2&tag=wwwsamharri02-20"><span style="color: #000080;"><em>Waking Up. A Guide to Spirituality Without Religion</em></span> </a>vient compléter la liste des ouvrages de réflexion sur la science et le réel, sur le dogme et la foi, sur les différences entre religion et foi, sur la science et la spiritualité, sur l'interconnexion des choses. Tout ce que nous avons, et tout ce que nous ayons jamais eu, c'est notre esprit, et c'est aussi tout ce que nous pouvons offrir aux autres -écrit <span style="color: #000080;"><strong>Harris</strong></span>. Notre esprit (notre raison) confère une forme à toute expérience que nous avons, ainsi qu'à toute relation que nous formons, bonne ou mauvaise. Notre esprit filtre absolument tout. Si nous nous sentons en colère, déprimés, déroutés, si nous ne sommes pas capables de nous concentrer, ou d'aimer, alors, peu importe la réussite de notre vie, ou la personne qui se trouve à nos côtés, nous ne pourrons jamais en profiter. Nous recherchons le bonheur et la sécurité, pour la plupart d'entre nous, mais sans avoir vraiment conscience de la quête en soi. Il faut comprendre que c'est la façon dont nous prêtons attention au moment présent qui va déterminer le caractère de l'expérience que nous sommes en train de faire, et donc la qualité de notre vie. </span></div><div id="yiv0273595747yui_3_16_0_6_1412168465396_4" style="font-family: HelveticaNeue-Light, 'Helvetica Neue Light', 'Helvetica Neue', Helvetica, Arial, 'Lucida Grande', sans-serif; color: #333333; font-size: 13.63636302948px; background-color: transparent;"><span id="yui_3_16_0_1_1412253300535_27110" style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">L'auteur pense qu'il est raisonnable de séparer le spirituel et le religieux, d'une part parce que notre monde est dangereusement déchiré par les doctrines religieuses que tous les gens éduqués devraient condamner, et d'autre part parce qu'il y a davantage à comprendre sur la condition humaine que ce que la science et la culture séculière reconnaissent généralement. Le terme de <span style="color: #800000;">spirituel</span> désigne les efforts que font les gens à travers la méditation ou autres pratiques pour ramener leur esprit au moment présent, ou pour accéder à des états inhabituels de conscience. Une lucide intégration science et esprit passerait par la connaissance d'un certain nombre de vérités bien établies sur le fonctionnement du cerveau humain, révélées par la méditation, dans les textes de la majorité des traditions religieuses, et par la neuroscience. <span style="color: #000080;"><em>"Rien de ce qu'un chrétien, un musulman, un bouddhiste peut faire comme expérience -dépassement de soi dans l'amour, extase, béatitude, éveil -ne constitue un argument en faveur de leurs croyances traditionnelles, simplement parce que ces croyances sont logiquement incompatibles entre elles. Il doit y avoir un principe plus profond à l'oeuvre"</em></span>. </span></div><div id="yiv0273595747yui_3_16_0_6_1412168465396_4" style="font-family: HelveticaNeue-Light, 'Helvetica Neue Light', 'Helvetica Neue', Helvetica, Arial, 'Lucida Grande', sans-serif; color: #333333; font-size: 13.63636302948px; background-color: transparent;"><span id="yui_3_16_0_6_1412253300535_38" style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;"> </span></div><div style="font-family: HelveticaNeue-Light, 'Helvetica Neue Light', 'Helvetica Neue', Helvetica, Arial, 'Lucida Grande', sans-serif; color: #333333; font-size: 13.63636302948px; background-color: transparent;"><span id="yui_3_16_0_6_1412253300535_38" style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;"></span><span id="yui_3_16_0_6_1412253300535_41" style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">Dans son essai sur la joie, l'écrivain <span style="color: #000080;"><strong>Robert Misrahi</strong></span>, spécialiste de <span style="color: #000080;"><strong>Spinoza</strong></span>, parle de <span style="color: #800000;"><em>conversion philosophique </em></span>comme condition du bonheur. C'est <span style="color: #800000;"><em>"l'instauration du sujet comme nouveau commencement de sa propre vie (...) </em></span><em><span style="color: #800000;">concrètement la réalisation, par le sujet lui-même, de son désir d'être et de son mouvement vers la plénitude et vers le sens</span><span style="color: #800000;">"</span></em>.<em><span style="color: #800000;"> </span></em>La conversion philosophique est le résultat d'une décision réflexive. <em><span style="color: #800000;">"Le bonheur est à la fois une appréhension réflexive de la vie de l'individu dans sa durée, par l'individu existant dans son actualité présente, et un sentiment qualitatif de plénitude et de satisfaction concernant ce Tout de l'existence, saisi par la conscience actuelle"</span></em>. </span></div><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif;"> </span></p>
Soundandfuryhttp://talememore.hautetfort.com/about.htmlJuste pour le plaisir de se souvenirtag:talememore.hautetfort.com,2013-11-23:52286032013-11-23T21:05:00+01:002013-11-23T21:05:00+01:00 Le silence des agneaux, Thomas Harris Avis chrono' Aucun avis...
<h2><img id="media-4338793" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://talememore.hautetfort.com/media/00/02/3958809197.jpg" alt="silence des agneaux.jpg" /><span style="color: #ffffff; background-color: #000000;">Le silence des agneaux, Thomas Harris</span></h2><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000; background-color: #ffffff;"><strong>Avis chrono'</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><strong>Aucun avis objectif possible. Une des premières histoires du genre à avoir marqué ma mémoire. Des personnages cultes - surtout Hannibal. Ce livre me donne - sûrement à tort - l'impression d'avoir été à la racine d'un filon à présent florissant.</strong></p><hr /><p style="text-align: justify;">Je n'avais jamais lu le livre mais le film du Silence des agneaux est un de mes premiers souvenirs de films. Le tout tout premier étant la planète des singes pour lequel j'ai eu pour la première fois l'autorisation de rester veiller le soir.</p><p style="text-align: justify;">En dehors de tous les Disney que je connais par coeur - les vrais, les anciens sortis en VHS - il n'y a pas tant de films à avoir marqué mon adolescence. <em>Dirty Dancing</em> - je savais peut-être déjà confusément à cette époque que je ne saurais jamais danser, d'où une grande fascination, je pouvais voir ce film plusieurs fois dans la même journée (et la fin en boucle en prime). <em>D.A.R.Y.L</em>, une histoire de garçon robot que j'ai beaucoup beaucoup regardée à l'époque. <em>Vivement dimanche</em>, un film de Truffaut avec Fanny Ardent. Et <em>Drôle de Drame</em>, j'adorais Drôle de Drame. Je vais me le regarder ce week-end, tiens!</p><p style="text-align: justify;">J'ai regardé sur IMDB, <em>Le Silence des agneaux</em> est sorti en 91. Je ne l'ai sûrement pas vu à cette époque. A quelle occasion alors? Je suis certaine qu'on ne possédait pas cette vidéo à la maison. Je revois le salon... Ce devait être entre 92 et 96...</p><p style="text-align: justify;">Je crois que j'ai craqué pour Jodi Foster. ^^</p><p style="text-align: justify;">Je n'ai pas revu le film depuis des années, mais quand je pense à cette actrice, c'est dans ce film que je la revois plutôt que dans Flight Plan ou l'autre, là, où elle s'enferme dans sa maison. Deux films que j'ai beaucoup moins aimés.</p><p style="text-align: justify;">Je n'ai pas grand chose à dire du livre, en tant que tel. C'est trop tard pour lui, il ne sera jamais rien d'autre pour moi que la transcription du film. J'ai adoré me plonger dedans. C'est une exception à mon ras-le-bol des histoires criminelles. Hannibal le gentleman cannibale est un personnage génial. C'est un classique pour moi, le Silence des agneaux. Je me souvenais de pas mal de détails, mais pas exactement de tout. J'avais hâte de connaître la fin.</p><p style="text-align: justify;">Une parenthèse qui me rappelle tendrement que je serais sans doute une lectrice plus heureuse si au lieu de lire de nouveaux livres je recherchais ceux qui m'ont marquée autrefois...</p><p style="text-align: justify;">Daddy, de Loup Durand. C'est le premier titre qui figure dans mon classeur jaune, non sans raison... Il est suivi de Germinal et de l'Alchimiste, livres que j'ai relus par la suite.</p><p style="text-align: justify;">Que penseraient mes deux uniques lectrices si j'insérais dans le blog, une ou deux fois par mois, une nouvelle rubrique pour parler de souvenirs de livres? C'est chiant les souvenirs des autres, non? Mais l'idée me plaît bien...</p><p style="text-align: justify;">Un merci au passage à C'era, qui m'a rapporté de la grande braderie aux livres un exemplaire du Silence des agneaux! Et qui m'a d'ailleurs dit que si je ne voulais plus de morts, je n'avais qu'à lire 50 shades. Je vais le faire! On le fait ensemble? On va rire!</p>
Edouard S.http://nightswimming.hautetfort.com/about.htmlAppaloosatag:nightswimming.hautetfort.com,2008-11-07:18860652008-11-07T22:38:59+01:002008-11-07T22:38:59+01:00 (Ed Harris / Etats-Unis / 2008) ■■□□ Appaloosa s'inscrit dans la...
<p style="text-align: justify;">(Ed Harris / Etats-Unis / 2008)</p> <p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">■■□□</span></p> <p style="text-align: justify;"><img src="http://nightswimming.hautetfort.com/media/02/00/647905247.jpg" alt="appaloosa.jpg" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" id="media-1379685" /><i><b>Appaloosa</b></i> s'inscrit dans la lignée la plus classique du western. Ed Harris réalisateur choisit en effet d'assumer entièrement tous les stéréotypes du genre qu'il met en scène. L'attitude est d'ailleurs revendiquée, d'assez jolie manière, jusqu'au générique de fin défilant sur une série d'images d'objets emblématiques : une selle de cheval, un chapeau, un colt etc... Passé un prologue sec où une fusillade est filmée sans fioritures, le récit démarre par l'arrivée de deux cavaliers, introduction d'autant plus typique qu'elle s'accompagne d'une voix off. Deux heures plus tard, cette voix reviendra pour fermer le livre, se posant sur un plan de cowboy s'éloignant à cheval. On ne peut guère faire plus simple et ce refus de moderniser se révèle pour le spectateur plutôt reposant, tant au niveau esthétique que psychologique.</p> <p style="text-align: justify;">Le revers de la médaille est le peu de surprises scénaristiques avant la dernière demie-heure. De plus, les chevilles narratives sont assez voyantes. Le fait qu'un événement soit toujours concomitant à un autre, dans la même scène, provoque un certain déséquilibre entre moments d'actions et séquences réflexives. Désireux d'oeuvrer à tout prix dans la sobriété, Harris ne fait malheureusement qu'effleurer certaines choses comme la problématique de la loi (son établissement, son respect, ses limites) ou plus tard celle de la fin d'un monde (celui de la conquête) coïncidant avec la naissance d'un autre (celui du capitalisme).</p> <p style="text-align: justify;">L'aspect le plus intéressant du film est le lien indémêlable tissé entre deux hommes, Virgil Cole et Everett Hitch, ces deux professionnels engagés pour rétablir l'ordre dans les petites villes. Sans nous assommer avec un sous-texte homosexuel, Ed Harris parvient à faire ressentir cette forte amitié qui passe par les regards plus que par les mots (le jeu d'opposition entre les deux, Everett parlant peu mais toujours à bon escient et Virgil, butant souvent sur des mots dont il maîtrise mal la signification, est d'ailleurs un peu appuyé). L'interprétation est homogène et crédible. Face au Mal représenté par Jeremy Irons et aux côtés d'Ed Harris, Viggo Mortensen dégage une présence imposante. On n'oubliera pas ses regards et son look d'étrange cowboy élancé. Renée Zellweger hérite, elle, d'un rôle féminin difficile et d'un personnage peu aimable.</p> <p style="text-align: justify;">Avec ses décors et sa photo impeccables, <i>Appaloosa</i> passe agréablement. Mais en restant un peu trop sur les rails, il reste en deça, dans le registre du classicisme tranquille, du mésestimé <i>Open Range</i> de Kevin Costner, qui était porteur de plus de beauté et d'émotion.</p>
Nikolazhttp://inblogwetrust.hautetfort.com/about.htmlWeek-end Télévisuel !tag:inblogwetrust.hautetfort.com,2006-11-27:7578662006-11-27T01:50:00+01:002006-11-27T01:50:00+01:00 Vendredi 24 novembre 2006 De retour de Clamart, je me dirige tout...
<p style="background-color: #ff0000" align="justify"><font color="#FFFFFF"><b>Vendredi 24 novembre 2006</b></font></p> <p align="justify">De retour de Clamart, je me dirige tout droit vers un restaurant super accueillant du nom de <font color="#FF6600"><b>l’Amaryllis</b></font>, dans le Boulevard Garibaldi, pour y retrouver Khazâd et Lydia et manger un morceau ; le but ultime de cette rencontre Paris-Quinzièmesque est de participer à un tournage avec une équipe de <font color="#FF6600"><b>France 3</b></font>. En effet, Khazâd fut contacté par <font color="#FF6600">Michelle Rey</font>, journaliste à France 3 régional, pour tourner un sujet sur un phénomène tout à fait populaire et qui nous concerne au premier chef : <b><font color="#FF6600">les BLOGS </font></b>!! Ainsi donc, nous nous retrouvons au restau, un peu stressés, un peu tendus. J’essaye de détendre l’atmosphère avec des astuces de relaxation, et le Patron y met aussi du sien, bien qu’il n’ait pas beaucoup à se forcer non plus, vu son caractère très convivial. Nous commandons un plateau d’entrées, succulent, et enchaînons avec le plat – saumon à l’oseille pour ma part. Khazâd avait pris avec lui son <i>laptop</i>, avait aspiré le site <font color="#FF6600"><b>Paris15.fr</b></font>, et attendait des nouvelles de la journaliste, en tournage le matin même à Cergy. Nous l’attendions pour 13h30, elle arriva en fait vers 14h15, avec son équipe légère constituée d’un preneur de son et d’un caméraman.<b><a href="http://www.niko-blog.fr/images/medium_France3.jpg" style="border-bottom-style: groove" target="_blank"><font color="#99FF99"><img src="http://www.niko-blog.fr/images/thumb_France3.jpg" alt="medium_France3.jpg" style="border-width: 0px; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0px; float: left" /></font></a></b> Nous discutons à bâtons rompus tout en terminant notre repas, et vient le moment de commencer le tournage. Il faut savoir que nous resterons près de 3 heures en compagnie de <b><font color="#FF6600">France 3</font></b>, pour, au final, un reportage de 2 minutes 30 à l’antenne ! Donc l’équipe de Paris15 décide qui fera quoi : je me chargerai de la présentation du site, par le truchement de l’ordi portable et de commentaires idoines, Khazâd se chargera de présenter le petit monde des BLOGS, et Lydia se rendra dans une boutique pour une courte interview. Avant nos parties individuelles, nous sommes filmés en groupe, discutant des prochaines mises à jour du site. C’est assez cool, et nous ne sentons guère le stress à ce moment là. <font color="#FF6600">C’est un peu différent lorsque c’est à mon tour de faire face, seul, à la caméra !</font> Mais le stress s’évacue doucement tandis que le preneur de son installe le micro HF ; je prends position à côté du laptop et c’est parti ! En quelque 5 minutes non stop, je fais mon petit discours improvisé, et, à la fin, le caméraman me demande de reproduire mes gestes démonstratifs pour faire des gros plans. Ensuite, Khâzad s’installe au bar pour sa partie, tandis que Lydia et moi nous contentons de le regarder de loin, car nous apparaissont dans le cadre, puis nous prenons le chemin, à pied, d’une boutique de jeux pour enfants aux fins d’y rencontrer sa tenancière et d’y mettre en boîte l’interview de Lydia. La boutique est superbe, la patronne fort sympathique, et les dernières scènes se tournent rapidement, avec quelques visites de clients ponctuant les prises. Fin de l’après-midi de tournage vers 17h. Khazâd et Lydia ont prévu de se rendre au <font color="#FF6600"><b>Salon des Vignerons</b></font>, et moi je dois passer à <font color="#FF6600"><b>L&E</b></font> pour récupérer mon planning de la semaine suivante. En rentrant chez moi vers 19h, je mange un morceau, discute un brin sur MSN, puis décide d’aller au cinéma pour voir James BOND, mais j'y verrai en définitive BORAT : j'ai largement perdu au change !</p> <p style="background-color: #ff0000" align="justify"><font color="#FFFFFF"><b>Samedi 25 novembre 2006</b></font></p> <p align="justify">Lever vers 10h00 après avoir mis mon radio-réveil à sonner à 8h00, alarme que je n’ai pas entendue… J’ai passé la matinée à faire un grand ménage qui s’avérait des plus urgents, et j’attendais un coup de fil d’une amie qui devait passer me voir en fin d’après-midi. Il était prévu que j’aille boire un café avec une voisine vers 14h00, et à l’heure dite je me dirige vers le restau où elle et une amie dînaient, <font color="#FF6600"><b>Chez Thomas</b></font>. Bonne pizzeria, bonne adresse à retenir – j’ai d’ailleurs récupéré la carte de l’établissement, conformément à mon habitude. Bon moment à discuter de musique, en buvant deux cafés. Ensuite, Marion devait aller chercher une bouteille de gaz dans une station service non loin, et nous l’accompagnâmes magnanimement. Petit trajet à pied, en tirant à tour de rôle un petit <i>trolley</i> abritant quelques bouteilles en verre prestement jetées dans le container qui va bien, sous le métro aérien, et la bouteille de gaz consignée et usagée. Le temps que Marion achète sa bouteille neuve, Céline et moi-même avons le temps de papoter un peu dans les vapeurs d’essence, tout en devinant les marques des voitures qui manquaient de<b><a href="http://www.niko-blog.fr/images/medium_columbo.jpg" style="border-bottom-style: groove" target="_blank"><font color="#99FF66"><img src="http://www.niko-blog.fr/images/thumb_columbo.jpg" alt="medium_columbo.jpg" style="border-width: 0px; margin: 0.2em 0px 1.4em 0.7em; float: right" /></font></a></b> nous écraser. Trajet retour en suivant le même itinéraire. Marion et son amie de l’IUFM décident de passer le reste de l’après-midi ensemble et sont partantes pour se faire un petit jeu de société ; elles m’invitent cordiablement à les accompagner dans ce ludique passe-temps. J’accepte avec joie, n’ayant d’une part rien de mieux à faire en attendant mon amie Val, et d’autre part heureux de prolonger ces instants en compagnie de deux charmantes personnes. Nous rentrons chez Marion, et jetons nos affaires sur le canapé, et notre dévolu sur un jeu nommé <font color="#FF6600"><b>Alhambra</b></font>. J’en découvre les règles, clairement expliquées par Marion (elle n'est pas dans l'enseignement pour rien !), et nous voilà embringués dans une partie endiablée d’Alhambra. En cours de partie, je reçois un appel de Val, qui est à Boulogne, et qui se met en route pour nous rejoindre. Je sors l’accueillir sur le pas de la porte, et nous poursuivons la partie en équipe, tout en parlant un minimum. A la fin du jeu, remporté brillamment par Marion (je termine tout de même bon second), nous nous éclipsons et gagnons mon appartement afin d’y déguster un café et s’échanger de nos nouvelles. Vers 20h00, Val s’en va, et j’en profite pour m’assoupir devant un épisode de <font color="#FF6600"><b>Columbo</b></font> qui passe sur le câble. Je mange ensuite un morceau, et je regarde, émerveillé, ébaubi, ébahi, choqué devant tant de grâce, d’émotions, de sensibilité, d’harmonie, le dernier <font color="#FF6600"><b>DVD Live de Mark Knopfler & Emmylou Harris</b></font>. L’écoute au casque à volume appréciable se révèle bouleversante. J’ai déjà eu l’occasion de dire ô combien j’étais amoureux de cette musique, et l’écoute du concert n’a fait que renforcer cette sensation. C’est sur ces moments musicaux merveilleux que je termine la journée, ma foi remplie de façon très agréable.</p> <p style="background-color: #ff0000" align="justify"><font color="#FFFFFF"><b>Dimanche 26 novembre 2006</b></font></p> <p align="justify">Lever à 7h00 puisque j’avais prévu de faire un tour sur le marché pour y acheter quelques provisions. Sandra devait passer vers 10h30 pour qu’on bosse sur le site Web de l’assoss, et pour manger un morceau <b><a href="http://www.niko-blog.fr/images/medium_combien.jpg" style="border-bottom-style: groove" target="_blank"><font color="#99FF66"><img src="http://www.niko-blog.fr/images/thumb_combien.jpg" alt="medium_combien.jpg" style="border-width: 0px; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0px; float: left" /></font></a></b>avant que de rejoindre le <font color="#FF6600"><b>centre bouddhiste</b></font>, où nous passerions une après-midi d’étude. Je suis très content de retourner au centre après une période un peu attentiste, et il se trouve que notre groupe sera tout petit : nous aurions dû être 6, nous nous retrouvons à 4 ! Mais tant mieux, le temps que nous passons ensemble n’en est que plus intense humainement, plus riche, plus fécond, plus sincère, plus véritable. Tout à fait requinqué par ces instants humains et magiques et précieux, je rentre chez moi pour la troisième partie de journée, faite de lectures, de discussions virtuelles et de visionnage du film de B. Blier <font color="#FF6600"><u><b>Combien Tu M’Aimes</b></u></font> ? Je m’assoupis devant mon écran, je ne suis pas convaincu de la qualité de cette œuvre, même si la fin est un poil plus originale et décalée que le début poussif qui m’a valu de m’endormir… </p> <p align="justify">Et vous, comment se passa votre week-end ? </p>