Last posts on habitations2024-03-28T16:11:04+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://www.hautetfort.com/https://www.hautetfort.com/explore/posts/tag/habitations/atom.xmlFrasbyhttp://meschampsperdu.hautetfort.com/about.htmlCitétag:meschampsperdu.hautetfort.com,2015-08-07:56720802015-08-07T02:32:00+02:002015-08-07T02:32:00+02:00 L'animal humain est-il comme l'abeille, un constructeur de...
<p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: medium; font-family: georgia, palatino;"><span style="font-size: large;"><strong>L'animal humain est-il comme l'abeille, un constructeur de cellules géométriques ?</strong></span></span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"> </p><p><a href="http://www.uncubemagazine.com/sixcms/media.php/1323/Ch%C3%A2teauroux,%202%20juin%202002%20copy.jpg" target="_blank"><img id="media-5132773" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://meschampsperdu.hautetfort.com/media/02/00/2981259410.JPG" alt="cité,question,abeille,mathieu perrnot,architecte,érosion,noir et blanc,de visu,photographie,géométrie" /></a><a href="http://www.uncubemagazine.com/sixcms/media.php/1323/Mantes-la-jolie,%201%20octobre%202000%20copy.jpg" target="_blank"><br /></a></p><p> <span style="font-size: medium;"><span style="font-family: georgia, palatino;"><span><span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 11px;"> </span></span></span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium; font-family: georgia, palatino;">Cette vue approximative d'une façade d'un environnement devenu l'ordinaire, a été saisie à l'arrache lors d'une promenade improvisée aux alentours de Lyon dans un quartier populaire assez banal, elle pourrait se prolonger sur les travaux photographiques et recherches sociologiques plus élaborées de <span style="text-decoration: underline;"><a href="http://www.mathieupernot.com/index.php" target="_blank">Mathieu Pernot,</a> </span>qui propose dans une de ses séries, d'arrêter le temps sur la démolition des habitations, de celles longtemps nommées sous le terme "grands ensembles", dont les plus connus sont situés à la Courneuve, Mantes La jolie ou encore Chateauroux, lieu de la photo de Mathieu Pernot que j'ai choisi de relier par ici (à cliquer dans l'image), un fragment comme une suite voir un élément de fiction, qui donnerait un écho présent ou futur à cet autre fragment exposé sur cette page. Il m'intéressait d'évoquer le travail de Mathieu Pernot car ses images de bâtiments en implosion peuvent être lues comme une vaste représentation d'un échec architectural et social. Le spectacle de la démolition est toujours un symbole de la rupture vers le bas, pas seulement des logements individuels, mais aussi d'une approche de l'architecture et de l'urbanisme qui a sans doute conduit la société en général (celles de ces grands ensembles en particulier) à un échec prégnant. Plutôt que d'analyser des thèmes mondiaux d'anéantissement architectural, les photographies de Mathieu Pernot cherchent à examiner les ultimes instants d'une phase particulière de la construction de logements dans les banlieues françaises à partir du développement urbain à grande échelle dans les années 1950 et 1960 ; on sait qu'officiellement Mantes-la-Jolie et Meaux à la périphérie de Paris, ont, été remises en question dans les deux dernières décennies, tout comme certaines tours ou barres dans la banlieue de Lyon, exemple surtout connu à <span style="text-decoration: underline;"><a href="https://www.youtube.com/watch?v=Xk-Je1eQ5po" target="_blank">Vénissieux (pour les dix premières tours du quartier des Minguettes</a>), </span>plus récemment, on a pu assister à la destruction de la <span style="text-decoration: underline;"><a href="https://www.youtube.com/watch?v=jETkeFu5Tkc" target="_blank"> barre 230</a> </span>quelques années après celle de la<a href="https://www.youtube.com/watch?v=t243rXx8rIA" target="_blank"><span style="text-decoration: underline;"> barre 220</span> </a>toutes deux situées dans le quartier de <a href="http://rebellyon.info/La-Duchere-un-autre-visage-de-la" target="_blank"><span style="text-decoration: underline;">la Duchère</span> </a>toujours à Lyon, d'autres destructions ont eu lieu<span style="text-decoration: underline;"> <a href="https://www.youtube.com/watch?v=ZstaWbTio84" target="_blank">un peu partout ailleurs</a></span>, (est ce devenu l'ordinaire ?) Où le constat de dégradation de ces lieux de vie oblige à démolir certaines bâtisses qui aujourd'hui ne peuvent plus être considérées comme habitables ni adaptées à l'objectif initial, pas plus qu'à celui de notre société, désormais entichée des fameuses "smart cities" (<span style="text-decoration: underline;"><a href="http://epjt.fr/la-realite-des-smart-cities/" target="_blank">cités "intelligentes"</a></span>) dont on ne sait pas encore ce qu'elles révèleront, malgré un discours attrayant à vue de nez, on ne sait pas non plus ce que ses promoteurs entendent par ce terme "smart cities" ? Ni si elles ne dériveront pas à l'issue de quelques décennies (ou avant) vers des formes inédites de dégradation, ou plutôt de dysfonctionnement ; bardée de capteurs de données, censée améliorer nos vies urbaines, la smart city est aussi un prodigieux vecteur (potentiel) de surveillance. Mener à faire dialoguer des données, publiques et privées n'est pas aussi évident qu'on tend à nous le présenter. Bref,</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-size: medium; font-family: georgia, palatino;">"Comment construire une smart city à taille humaine, débarrassée de ses oripeaux marketing ?"</span></strong></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium; font-family: georgia, palatino;">est une autre question qui pourrait concerner une autre critique sur ce thème, en matière d'urbanisme subsiste toujours des craintes que toute volonté originale d'harmoniser l'environnement avec le "tissu social" ne réussisse qu'à mieux élaborer un projet plus glaçant, que les termes de "ville connectée" ou de "cité participative" rendraient tout à fait acceptable (du moins à l'énoncé) en nous faisant vite oublier l'autre terme plus effrayant de "ville ubiquitaire" que l'excellent et très engagé auteur de science-fiction <span style="text-decoration: underline;"><a href="http://ragemag.fr/wp-content/uploads/2013/05/alaindamasio.jpg" target="_blank">Alain Damasio</a></span>, a déjà baptisé <span style="text-decoration: underline;"><a href="http://www.lesinrocks.com/2013/11/25/medias/lauteur-sf-alain-damasio-disseque-societe-controle-cest-pas-big-brother-cest-big-mother-11447605/" target="_blank">"Big Mother"</a></span>. Ca c'est pour le futur au galop, la "ville ubiquitaire" est déjà là, elle fonctionne parait-il à merveille, pour prendre la plus lointaine (forcément exotique ou pionnière) et terminer notre très court voyage du futur-présent-proche, à nos explo(ra)sions (presque) passées, citons, la ville "intelligente" sud coréenne de <span style="text-decoration: underline;"><a href="https://www.youtube.com/watch?v=szktRPHI1U8" target="_blank">Sondgo,</a></span> déjà promue dans le monde entier comme un labo-modèle du genre avec heureusement quelques réserves et <a href="http://www.letemps.ch/Page/Uuid/5b4397dc-7fb5-11e3-b0fd-6cf6af4df49b/A_Songdo_ville_intelligente_et_inqui%C3%A9tant_laboratoire_futuriste_de_la_Cor%C3%A9e_du_Sud" target="_blank"><span style="text-decoration: underline;">des inquiétudes bien réelles</span> concernant les "cobayes" que sont forcément pour l'instant les habitants </a>... </span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium; font-family: georgia, palatino;">Que les nostalgiques coutumiers de la bonne vieille cité analogique du bon vieux temps n'aillent pas trop vite se rassurer du retard de nos cités européennes ces fulgurantes "smart cities" si lointaines sont un peu le modèle de ce qui s'annonce en projet globalement sur tous les continents, c'est là une autre forme de grands ensembles, autant qu'une révolution planétaire pour nos entités fragiles en quête d'ubiquité et autres tissus collectifs s'y tenant désolés depuis qu'on essaye de nous enseigner que nous ne pourrions sans doute pas "vivre" trop longtemps en mode déconnecté, sans le "payer" au prix d'un terrible isolement, heureusement les entrepreneurs et autres décideurs n'auront pas manqué de <a href="http://www.wedemain.fr/La-France-paree-pour-la-revolution-des-smart-cities_a962.html" target="_blank"><span style="text-decoration: underline;">penser à tout, dans un but transparent et ludique</span> : notre futur ne pourrait se réaliser sans une toute nouvelle "cité du bonheur"</a> ; c'est à présent une utopie réalisable depuis des lustres <span style="text-decoration: underline;"><a href="http://fr.web.img4.acsta.net/r_640_600/b_1_d6d6d6/medias/nmedia/18/74/31/38/19708478.jpg" target="_blank">anticipée.</a></span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium; font-family: georgia, palatino;"> </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium; font-family: georgia, palatino;">Après cette parenthèse présent/ futur. Revenons à nos vieux grands ensemble d'hier ou <span style="text-decoration: underline;"><a href="http://2.bp.blogspot.com/_b5j0xrtP0rc/TJaAvrPHUxI/AAAAAAAAAf8/M5qOsXBzvrE/s1600/P1010460.JPG" target="_blank">vestiges d'aujourd'hui,</a></span> à ceux qui furent détruits reconstruits ou <span style="text-decoration: underline;"><a href="http://www.ladepeche.fr/article/2014/06/24/1906118-reynerie-messager-bientot-la-fin-d-une-epoque.html" target="_blank">ceux qui demeurent abîmés</a> </span>en projet d'être démolis, Il faut toujours re-préciser que ces tours ou barres ne sont pas arbitrairement soufflées sans</span><span style="font-size: medium; font-family: georgia, palatino;"> programmes et contrôle au plus haut niveau, puisque toutes les explosions ont été <span style="text-decoration: underline;"><a href="https://www.youtube.com/watch?v=ta4kj05KJOM" target="_blank">approuvées par l'Etat</a>. </span></span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium; font-family: georgia, palatino;">Les bâtiments un court instant ont été aspirés dans un épais nuage de fumée, on peut désormais assister à ces opérations de destruction impressionnante comme on assiste à l'éradication de mémoires contenant une histoire sociale riche en récits (agréables ou désagréables), des aventures humaines (toutes singulières), un trajet ou projet des communautés intégrées (ou désintégrées), toutes sont prises dans tel processus. La concertation restant relative, quand certaines de ces habitations au lieu d'être éradiquées auraient pu être dans certains cas être réhabilitées, il demeure dans certaines de ces décisions, des zones floues où dans certains cas, de destruction ou de rénovation, les habitants aux ressources modestes, habitant depuis très longtemps dans ces vieux "grands ensembles" n'auront pas eu d'autre choix que devoir "déguerpir".</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium; font-family: georgia, palatino;">Le fantôme du contrôle total hantant toutes les sociétés depuis le XIX siècle, chaque décret officiel de démolition revient nous le rappeler, les squats ou démolitions par implosions, les vulnérabilités architecturales racontent toujours l'effondrement d'un monde qui sera remplacé par un autre qu'on ne pourra apprécier qu'en l'ayant expérimenté et entretemps, il y a une profonde vulnérabilité brièvement entrevue, mémorable à jamais. </span><span style="font-size: medium; font-family: georgia, palatino;">Ce qu'on peut constater à cet instant intermédiaire, est que l</span><span style="font-size: medium; font-family: georgia, palatino;">a technique peut éradiquer en quelques minutes, ce qui a existé, c'est une "formalité" presque admise", la technique possède ce pouvoir de "se débarrasser", faire place nette, jeter aux oubliettes un projet qui n'a pas fonctionné, et un environnement peut ainsi disparaître au moyen d'un phénomène physique, l'implosion :</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-size: medium; font-family: georgia, palatino;">"phénomène accompagnant la rupture d'une enceinte où règne une dépression"</span></strong></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium; font-family: georgia, palatino;">C'est là, l'état des lieux des travaux de Mathieu Pernot qui montre le passage de ce qui a existé, jusqu'à sa destruction, l'implosion marquant la fin d'une ancienne condition mais l'instant que Mathieu Pernot va montrer se situe juste à la jonction ouvrant de sérieuses pistes de réflexion:</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-size: medium; font-family: georgia, palatino;">"Un nuage d'éléments composites en se répandant sur la banlieue, moderne Pompéi, prend la forme des nuées ardentes. </span></strong><strong><span style="font-size: medium; font-family: georgia, palatino;">Ce moment éruptif, magnifique, annonce la destruction d'un monde. Durant quelques instants, la perfection formelle de ce nuage et la disparition des principes solides présentent la plus parfaite figure de <span style="text-decoration: underline;"><a href="http://agora.qc.ca/Dossiers/eugenisme" target="_blank">l'eugénisme</a></span>."</span></strong></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium; font-family: georgia, palatino;">Lorsque nous contemplons ces explosions en réalité ou par le truchement d'images, si nous restons troublés, nous sommes aussi troublés de voir se rassembler de nombreuses personnes désirant assister à cet évènement, parmi elles, en premier, on trouvera des personnes qui sont affectivement bouleversées de voir ainsi s'anéantir un pan de leur vie et assistent impuissantes à l'anéantissement de leur mémoire mais plus étrangement d'autres personnes quasi aussi nombreuses s'agrégeront qui n'ont pas de lien spécial avec cette mémoire, ni de familiarité en ces lieux, elles se seront déplacées par simple curiosité, ou plaisir d'assister à un spectacle, entre autres, les images de destruction fascinent en général, les mémoires des lieux sous la fumée se seront déréalisées pour devenir un pur instant "spectaculaire", pour employer un terme cher à<span style="text-decoration: underline;"><a href="http://sami.is.free.fr/Oeuvres/debord_societe_spectacle_1.html" target="_blank"> Guy Debord</a>.</span> </span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium; font-family: georgia, palatino;">Le photographe, dans son exercice de restitution, nous place face à notre capacité de regarder. Regarder la dépossession ; un moment de basculement possible, vision de l'homme et ses objets sans illusion, sans s'arrêter à la dénonciation, ou au simple effet spectaculaire. C'est le parti-pris de Mathieu Pernot qui ne montre pas la destruction pour la seule révélation esthétique, même si le style des photos est infiniment soigné offrant un résultat splendide, il délivre au delà, un travail de restitution et de questionnement salutaires.</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-family: georgia, palatino; font-size: medium;">"Ce sont des images-sculptures qui représentent le moment très précis où l'immeuble, encore debout, vacille. L'instant d'après il n'y a plus rien. On pourrait presque parler de cet instant décisif si cher à <span style="text-decoration: underline;"><a href="http://www.magnumphotos.com/C.aspx?VP3=CMS3&VF=MAGO31_4&VBID=2K1HZOQ0TK0K0K&IID=24PV7C0V1RS&PN=1" target="_blank">Henri Cartier-Bresson</a></span>. Ce n'est pas seulement un immeuble qui tombe mais aussi une utopie d'urbanisme. Et c'est la mise à mort de cette modernité qui m'intéresse. Ce qui est terrible, c'est qu'on se rend vite compte que derrière chaque immeuble démoli il y en a un autre. Comme si ça n'allait jamais s'arrêter. Je ne pense pas que les problèmes de ces quartiers soient du seul ordre urbanistique. La preuve, à la <span style="text-decoration: underline;"><a href="http://4.bp.blogspot.com/-WCD0LdRCyNo/VSY9KzlnRiI/AAAAAAAAKCU/BoNKW4HEKzM/s1600/cit%C3%A9_radieuse_large%2Bvia%2Bdubon.fr.jpg" target="_blank">cité Radieuse</a></span> – qui est à mes yeux une barre HLM –, les gens vivent très bien parce qu'ils sont intégrés et qu'ils ont du travail. C'est toujours un peu simplificateur de croire qu'il suffit de désosser les grandes barres pour changer les choses". </span></strong></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: georgia, palatino; font-size: medium;">(extr. entretien, </span><span style="font-family: georgia, palatino; font-size: medium;">Mathieu Pernot </span><span style="font-family: georgia, palatino; font-size: medium;"> </span><span style="font-family: georgia, palatino; font-size: medium;">Publié dans le magazine "D'a" le 05/04/2004)</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium; font-family: georgia, palatino;">La disparition du paysage, comme sujet au profit de la perception d'un moment de silence invite aussi les "regardeurs" (sic <span style="text-decoration: underline;"><a href="http://animulavagula.hautetfort.com/media/00/00/647914391.JPG" target="_blank">Jean Dubuffet</a></span>), que nous sommes, à essayer de "reconstruire la scène et sa dramaturgie", ils tenteront au delà de la contemplation esthétique, de rester des acteurs capables de s'interroger à partir de c</span><span style="font-size: medium; font-family: georgia, palatino;">es prises de vue de pure démolition qui expriment un moment de violence signifiant précisément la négation d'une histoire, ou d'une carte. Regarder passivement cette démolition serait aussi savoir (se) </span><span style="font-size: medium; font-family: georgia, palatino;">faire disparaître brutalement - de manière à effacer cette carte. </span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium; font-family: georgia, palatino;">Mathieu Pernot, au contraire, cherche à restituer ou plus exactement trouver une forme à l'histoire, préserver et élaborer un récit ; pour éclairage, je joins deux documents à propos de son travail, d'abord un court extrait d'un article de</span><span style="font-size: medium; font-family: georgia, palatino;"> </span><span style="font-family: georgia, palatino; font-size: medium;">Étienne Hatt paru dans le n°408 d’Art Press, en février 2014 qui définit le propos de Mathieu Pernot.</span><span style="font-family: georgia, palatino; font-size: medium;"> </span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: georgia, palatino; font-size: medium;"><strong>"L’artiste procède par séries qui sont autant de points de vue analytiques et successifs sur les
Prietohttp://www.chemindamourverslepere.com/about.htmlVanuatu : Jusqu'à 90% des habitations de la capitale endommagées par le cyclone, l'état d'urgence déclaré - Proximité dutag:www.chemindamourverslepere.com,2015-03-15:55833732015-03-15T14:52:00+01:002015-03-15T14:52:00+01:00 Le très puissant cyclone qui a frappé l'archipel du Vanuatu a endommagé...
<p style="text-align: center;"><img id="media-4970627" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://www.chemindamourverslepere.com/media/02/02/1788953000.jpg" alt="Vanuatu,habitations,capitale,endommagées,cyclone,état d'urgence,victimes" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;">Le très puissant cyclone qui a frappé l'archipel du Vanuatu a endommagé jusqu'à 90% des habitations de la capitale Port Vila, a déclaré dimanche l'ONG humanitaire Oxfam.</span><br /><br /><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;">« Cela sera vraisemblablement l'une des pires catastrophes jamais vues dans le Pacifique, l'ampleur des besoins humanitaires sera énorme », a déclaré le directeur d'Oxfam pour le Vanuatu, Colin Collet van Rooyen. « Des communautés entières ont été emportées », a-t-il ajouté.</span><br /><br /><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span style="color: #000000;">Source et article à lire sur</span> <span style="color: #008080;"><a title="20 Minutes" href="http://www.20minutes.fr/monde/1562479-20150315-vanuatu-jusqu-90-habitations-capitale-endommagees-cyclone-etat-urgence-declare" target="_blank"><span style="color: #008080;">20 Minutes</span></a></span><span style="color: #000000;">.</span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;">« J’exprime ma proximité à la population de Vanuatu, au-delà de l’Océan Pacifique, fortement frappée par un cyclone. Je prie pour les défunts, pour les blessés et pour les sans-abri. Je remercie ceux qui se sont immédiatement mobilisés pour apporter des secours et de l’aide », a dit le Pape François après l’Angélus de ce dimanche.</span></p>
sir bill tigerhttp://jeuxdelettres.hautetfort.com/about.htmlLes habitationstag:jeuxdelettres.hautetfort.com,2011-07-13:37025112011-07-13T16:30:00+02:002011-07-13T16:30:00+02:00 Pour jouer aux mots codés ayant pour thème : les habitations, cliquez...
<p style="text-align: center;">Pour jouer aux<strong> mots codés</strong> ayant pour thème : les habitations, cliquez <a id="media-3109363" href="http://jeuxdelettres.hautetfort.com/media/00/02/1777244119.xls"><span style="text-decoration: underline;"><em><strong>ici</strong></em></span></a>.</p>