Last posts on frac2024-03-28T16:22:39+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://www.hautetfort.com/https://www.hautetfort.com/explore/posts/tag/frac/atom.xmllanverthttp://lanvert.hautetfort.com/about.htmlL'art contemporain s'éclate dans le Vouzinois.tag:lanvert.hautetfort.com,2017-11-22:60018482017-11-22T21:04:00+01:002017-11-22T21:04:00+01:00 Le FRAC Champagne-Ardenne a pour vocation d'agir en faveur de la création et...
<p style="text-align: justify;">Le FRAC Champagne-Ardenne a pour vocation d'agir en faveur de la création et de la promotion de l'art contemporain. Basé à Reims, ce fonds régional d'art contemporain se décentralise régulièrement. Actuellement, des œuvres d'artistes contemporains sont visibles à Attigny et à Vouziers. Le vernissage des expositions a permis aux personnes présentes de bénéficier des explications du responsable du fonds rémois. Il est vrai que pour des néophytes, l'abord de ces œuvres n'est pas évident.</p><p style="text-align: justify;">Voici la présentation de l'exposition telle qu'elle est faite sur le site du frac :</p><p style="text-align: justify;">"Au cœur de ses mémoires, l’aviateur Roland Garros, enterré à Vouziers, évoque un vol en solitaire « face au soleil couchant », lors duquel les contingences matérielles lui avaient semblé disparaître pour laisser place à l’aventure et au rêve, dans un sentiment de puissante fusion avec la nature environnante. C’est ce même horizon que contemple l’exposition présentée par le FRAC Champagne-Ardenne dans différents lieux de Vouziers et Attigny : désir d’un ailleurs onirique, dépassement des frontières de la réalité quotidienne et regard renouvelé sur le paysage et la nature qui nous entourent."</p><p style="text-align: justify;">Lors du vernissage, des remerciements ont été adressés aux artistes et aux responsables du frac, ainsi qu'au Sous-préfet de Vouziers qui s’est fort impliqué dans cette décentralisation culturelle.</p><p style="text-align: center;"><img id="media-5727011" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lanvert.hautetfort.com/media/01/01/4157148779.JPG" alt="P1370646.JPG" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-5727012" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lanvert.hautetfort.com/media/00/01/2022308811.JPG" alt="P1370640.JPG" /></p><p style="text-align: center;">Une vidéo didactique est téléchargeable sur place.</p><p style="text-align: center;"><img id="media-5727013" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lanvert.hautetfort.com/media/01/01/1442611378.JPG" alt="P1370638.JPG" /></p><p style="text-align: center;">Le vernissage de l'exposition aux Tourelles.</p><p style="text-align: center;"><img id="media-5727014" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lanvert.hautetfort.com/media/00/02/1224323082.JPG" alt="P1370648.JPG" /></p><p style="text-align: center;">Il y a parfois un fossé à franchir</p><p style="text-align: center;"><img id="media-5727015" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lanvert.hautetfort.com/media/01/01/3017091182.JPG" alt="P1370650.JPG" /></p><p style="text-align: center;">Pas nécessaire d'avoir le niveau, mais un peu d'ouverture d'esprit</p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"> </p>
Bruno Chironhttp://www.bla-bla-blog.com/about.htmlLes aventures de l’arttag:www.bla-bla-blog.com,2017-02-28:59153472017-02-28T00:00:00+01:002017-02-28T00:00:00+01:00 La série web est un genre en plein développement. La FRAC Aquitaine s’en...
<p><img src="http://www.bla-bla-blog.com/media/00/02/2592152316.PNG" id="media-" alt="" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">La série web est un genre en plein développement. La FRAC Aquitaine s’en est emparée pour proposer un programme court sur Internet consacré à l’art contemporain, <em><a href="http://www.conquetedelart.frac-aquitaine.net" target="_blank" rel="noopener">La Conquête de l’Art</a></em>.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">Trois épisodes de trois à quatre minutes, basés sur les collections de la vénérable institution régionale, répondent à ces questions : faut-il être cultivé pour apprécier une œuvre d’art ? Une œuvre d’art doit-elle être belle ? Faire de l’art demande-t-il du travail ?</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">Le but affiché par la FRAC Aquitaine est de s’attaquer aux poncifs sur l’art contemporain et de parler des œuvres emblématiques de l’art moderne et classique.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">La FRAC Aquitaine se fait médiatrice culturelle et vise un large public. La websérie est destiné autant à être vue sur tous les écrans, seul ou en famille, dans les écoles, en fac, dans les structures médico-sociales, socio-culturelles et socio-éducatives, comme par les associations culturelles et sociales. Le support animé accompagnera des expositions nomades organisées par la FRAC Aquitaine en région.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">Historiens de l'art et auteurs (Camille de Singly et Sophie Poirier), graphistes (Cizo des Requins Marteaux Éditions) et développeurs web (Matthieu Felder / Poivre vert Productions) se sont alliés pour ce projet créé avec le soutien de la Région Nouvelle-Aquitaine (via le programme Aquitaine Cultures Connectées) et la DRAC Nouvelle-Aquitaine.</span></p><p style="text-align: right;"><strong><span style="font-size: 10pt;"><a href="http://www.conquetedelart.frac-aquitaine.net" target="_blank" rel="noopener"><em>La Conquête de l’Art</em>, réalisé par Stéphane Soulié, Frac Aquitaine</a></span></strong></p>
Zedhttp://metapoinfos.hautetfort.com/about.html« La boursouflure de l’art dit contemporain est d’origine psycho-patho-sociologique »...tag:metapoinfos.hautetfort.com,2015-10-16:56990632015-10-16T10:00:00+02:002015-10-16T10:00:00+02:00 Nous reproduisons ci-dessous un entretien avec Nicole Esterolle , cueilli...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Nous reproduisons ci-dessous un entretien avec <strong>Nicole Esterolle</strong>, cueilli sur <a href="http://comptoir.org/"><em>Le Comptoir</em></a> et consacré à l'art dit contemporain. Nicole Esterolle a récemment publié un essai intitulé <a href="http://metapoinfos.hautetfort.com/archive/2015/05/05/la-bouffonnerie-de-l-art-contemporain-5616785.html"><em><strong>La bouffonnerie de l'art contemporain</strong></em></a> (Jean-Cyrille Godefroy, 2015).</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-5182580" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://metapoinfos.hautetfort.com/media/01/01/1377628574.jpg" alt="Berlinde-De-Bruyckere.jpg" width="439" height="291" /></p><blockquote><p class="title" style="text-align: justify;"><strong><span style="font-size: medium;">Nicole Esterolle : « La boursouflure de l’art dit contemporain est d’origine psycho-patho-sociologique »</span></strong></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><em>Après plusieurs années de chroniques féroces témoignant d’une saine pédagogie de l’humour orienté contre l’art contemporain, sa coterie, ses codes et ses inepties, Nicole Esterolle faisait paraitre à la fin du printemps l’essai La Bouffonnerie de l’art contemporain. Nous l’avons donc interrogée, pour compléter ou synthétiser le propos de ce très recommandable essai qui, qu’on en accepte le propos ou qu’on le trouve excessif, a le mérite d’engager au débat sur l’art d’aujourd’hui. Un art qui, en particulier en France, semble ressembler à une institutionnalisation des positions et attitudes qui furent autrefois les audaces des avant-gardes et n’apparaissent aujourd’hui que comme un académisme stérilisant.</em></span></p><h2 style="text-align: justify;"><em><span style="font-size: small;">Dénoncer l’art contemporain : pourquoi ?</span></em></h2><h4 style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Le Comptoir : Afin d’éviter tout malentendu, commençons par un éclairage. Vous avez exprimé votre intérêt pour de nombreux artistes présents, dont les noms sont cités çà et là dans votre livre et vos chroniques. Quand vous parlez d’art contemporain, de quoi parlez-vous au juste ?</span></h4><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><strong>Nicole Esterolle</strong> : Il y a des centaines d’artistes d’aujourd’hui – donc contemporains – que je connais, dont j’aime le travail et que je défends sous ma vraie identité. Il m’est arrivé en effet d’en citer quelques-uns dans mes chroniques de Nicole. Ces artistes-là sont ceux de l’intériorité sensible, de la mise en forme, du savoir-peindre et/ou dessiner, du plaisir de l’inattendu, du mystère : tous les ingrédients qui constituent pour moi la vraie substance artistique.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Et puis il y a l’aberration historique des dits “contemporains”, c’est-à-dire ceux qui se sont attribués abusivement ce qualificatif ; ceux pour qui <em>« </em><em>les attitudes sont bêtement devenues formes »</em><strong>[i]<a name="_ednref1" href="http://comptoir.org/2015/10/07/nicole-esterolle-la-boursouflure-de-lart-dit-contemporain-est-dorigine-psycho-patho-sociologique/#_edn1"></a></strong> ; ceux de la posture, de l’extériorité spectaculaire ; ceux de la subversion et du non-sens convenus et subventionnés ; ceux de la <em>« </em><em>processualité discursive »</em><strong>[ii]<a name="_ednref2" href="http://comptoir.org/2015/10/07/nicole-esterolle-la-boursouflure-de-lart-dit-contemporain-est-dorigine-psycho-patho-sociologique/#_edn2"></a></strong> ; ceux de la rhétorique de plus en plus délirante ; ceux dont l’énormité du discours pallie le vide intérieur, mais surtout génère de la médiatisation, du <em>buzz</em>, de la visibilité et du pognon au bout de l’embrouille.</span></p><a href="http://comptoir.org/2015/10/07/nicole-esterolle-la-boursouflure-de-lart-dit-contemporain-est-dorigine-psycho-patho-sociologique/"><span style="font-size: small;"><strong>Lire la suite sur Le Comptoir</strong></span></a></blockquote><blockquote><span style="font-size: x-small;">[Monsieur Domenico Joze, qui a réalisé l'entretien avec Nicole Esterolle et qui ne souhaite pas voir son travail figurer sur un site mal-pensant, nous a demandé de le retirer. Vous pouvez donc découvrir la suite de cet entretien sur le site <em>Le Comptoir</em>.</span></blockquote><blockquote><div class="commentparent "><p id="c8391393" style="text-align: justify;"><span style="font-size: x-small;"><em>Monsieur, </em></span><br /><span style="font-size: x-small;"><em> Vous avez en effet "reproduit" l'entretien, mais sans demander l'autorisation à l'auteur. </em></span><br /><span style="font-size: x-small;"><em> Or, il s'avère que je ne souhaite pas que mon travail apparaisse sur votre site.</em></span><br /><span style="font-size: x-small;"><em> Je vous saurais donc gré ou bien de le retirer tout-à-fait, ou bien de n'en laisser que l'introduction avec renvoi vers le site Comptoir.org.</em></span><br /><span style="font-size: x-small;"><em> Merci pour votre compréhension.</em></span><br /> <br /><span style="font-size: x-small;"><em> DJ</em></span></p><p class="posted"><span style="font-size: x-small;"> Écrit par : <a title="DJ" href="http://comptoir.org" rel="nofollow" target="_blank">DJ</a> | 16/10/2015 </span></p></div><div class="commentparent "><p id="c8391493" style="text-align: justify;"><span style="font-size: x-small;"><em>Cher Monsieur,</em></span><br /> <br /><span style="font-size: x-small;"><em> Je suis heureux de découvrir que vous lisez mon modeste blog. </em></span><br /><span style="font-size: x-small;"><em> J'ai, comme vous l'avez remarqué, pris la liberté de reproduire votre entretien avec Nicole Esterolle. N'étant ni un journaliste ni un intellectuel (précaire), je n'ai pas le temps de solliciter des autorisations. Je reproduis et je cite mes sources. Viril mais correct...</em></span><br /><span style="font-size: x-small;"><em> De ce fait, vos questions à cette auteur se retrouvent sur un site gravement mal-pensant et mal famé et cette promiscuité vous met dans une situation difficile, je le conçois. On a vite fait, de nos jours, d'être dénoncé par le premier Bruno Roger-Petit venu comme rouge-brun, tel le Michéa ou le Onfray moyen. Je reconnais que vous ne pouviez pas prendre ce risque grave. Il faut soigner son e-réputation, comme on dit chez les bobos, et surtout préserver l'avenir. La fréquentation des comptoirs n'a qu'un temps !...</em></span><br /><span style="font-size: x-small;"><em> Je modifie donc mon site... </em></span><br /><span style="font-size: x-small;"><em> Cordialement, tout de même</em></span></p><p class="posted"><span style="font-size: x-small;"> Écrit par : Métapo Infos | 16/10/2015 ]</span></p></div></blockquote>
HISTOIRE & PATRIMOINE BLEURVILLOIShttp://histoirepatrimoinebleurvillois.hautetfort.com/about.htmlLe FRAC Lorraine condamnétag:histoirepatrimoinebleurvillois.hautetfort.com,2013-11-29:52328202013-11-29T00:00:00+01:002013-11-29T00:00:00+01:00 Le Fonds régional d’art contemporain (Frac) de Lorraine a été condamné...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><a href="http://histoirepatrimoinebleurvillois.hautetfort.com/media/00/01/2613012362.jpg" target="_blank"><img id="media-4344870" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://histoirepatrimoinebleurvillois.hautetfort.com/media/00/01/144527909.jpg" alt="frac metz.jpg" /></a>Le Fonds régional d’art contemporain (Frac) de Lorraine a été condamné pour avoir exposé en 2008 des œuvres susceptibles de choquer sans avoir suffisamment protégé le jeune public. Le Frac a été condamné à régler un euro symbolique au titre de dommages-intérêts à l’Association générale contre le racisme et le respect de l’identité française et chrétienne (Agrif), association de défense de la culture chrétienne à l’origine de la plainte.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Le tribunal de grande instance de Metz a estimé que des textes de l’artiste Eric Pougeau exposés par le Frac Lorraine durant l’exposition « Infamille », en 2008, pouvaient « créer un sentiment de peur chez le mineur susceptible de les lire » et qu’ils étaient de nature à porter « gravement atteinte à la dignité humaine », d’après son jugement rendu le 21 novembre.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: x-small;">[d’après ER]</span></p>
Albert Dreslonhttp://vanvesauquotidien.hautetfort.com/about.htmlLES 30 ANS DU THEATRE LE VANVES : 17 – DE LA DANSE PURE AU SPECTACLE VIVANTtag:vanvesauquotidien.hautetfort.com,2012-11-05:48866652012-11-05T05:00:00+01:002012-11-05T05:00:00+01:00 Octobre 2012 a été un mois anniversaire pour le théâtre Le Vanves qui...
<p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: large; font-family: arial,helvetica,sans-serif;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: Times New Roman;">Octobre 2012 a été un mois anniversaire pour le théâtre Le Vanves qui célèbre ses 30 ans. C’est pourquoi le Blog Vanves Au Quotidien donne plusieurs petits coups de projecteurs sur ce théâtre qui a donné une large place à la danse avec le festival Art Danthé qui évolue maintenant de la danse pure au spectacle vivant </span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 7.05pt 0pt 0cm; text-align: justify;"><span style="font-size: large; font-family: arial,helvetica,sans-serif;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 7.05pt 0pt 0cm; text-align: justify;"><span style="font-size: large; font-family: arial,helvetica,sans-serif;"><span style="font-family: Times New Roman;">D’année en année, de festival<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>s’est structuré, a commencé à être repéré par quelques organismes institutionnels ou territoriaux comme l’ancêtre d’Arcadie (Ile de France Opéra Ballet) qui <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>l’a soutenu moralement, même si la DRAC a mis longtemps à reconnaître leur travail, à cause du trop grand nombre de scènes conventionnées, qu’elle voulait limiter. « <em style="mso-bidi-font-style: normal;">C’est un soir lors d’une programmation, où un artiste a amené la déléguée danse de la DRAC, qui m’a coincé dans mon bureau pour dire : « on s’est rendu à l’évidence qu’il faut vous aider parce que le théâtre de Vanves fait un travail remarquable au niveau<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>de la danse. On va vous conventionner</em> » raconte José Alfarroba. Ce qui a été le cas pour les 10 ans d’Art Danthé en 2007 sachant qu’à l’époque une vingtaine de théâtre étaient des scénes conventionnées pour la danse en France dont 7 en Ile de France. </span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 7.05pt 0pt 0cm; text-align: justify;"><span style="font-size: large; font-family: arial,helvetica,sans-serif;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 7.05pt 0pt 0cm; text-align: justify;"><span style="font-size: large; font-family: arial,helvetica,sans-serif;"><span style="font-family: Times New Roman;">« <em style="mso-bidi-font-style: normal;">Et on m’a même invité à faire partie de la commission «experts danse » pendant 3 ans, qui nous a ouvert beaucoup de portes. A partir de ce moment là, <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>le festival Artdanthé, même s’il avait déjà commencé à vraiment grandir, a décollé. Car ce label a été un coup de pouce<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>pour la poursuite d’un projet artistique fort mettant l’accent sur la diffusion de spectales de danse, le développement de la cullture chorégraphique des publics et l’accompagnement de la création, sans parler des moyens financiers supplémentaires (plus de 100 000 € sur 3 ans). Il a permis de pérénniser la subvention versée par le Conseil Général en faveur dArt Danthé <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>Du coup, les lieux partenaires qui nous considéraient comme l’enfant pauvre, nous ont regardé autrement, car là, vraiment, nous faisions parti de la famille</em> » raconte t-il en reconnaissant que « <em style="mso-bidi-font-style: normal;">ces histoires de chapelle, c’est vraiment franco-français</em> », </span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 7.05pt 0pt 0cm; text-align: justify;"><span style="font-size: large; font-family: arial,helvetica,sans-serif;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 7.05pt 0pt 0cm; text-align: justify;"><span style="font-size: large; font-family: arial,helvetica,sans-serif;"><span style="font-family: Times New Roman;">Le théâtre <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>a reçu beaucoup d’artistes très réputés, très connus, comme Daniel Léveillé, Jérôme Bel, Brios Charmatz, José Nadj<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>dans les premiers temps, <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>s’est ouvert à l’étranger avec le Québec, les Pays Bas…grâce à ce festival <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>qui <strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="mso-spacerun: yes;"> </span></strong>est passé de la danse pure au spectacle vivant comme José Alfarroba l’expliquait lors de la présentation de la saison 2012-13. «<strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"> <em style="mso-bidi-font-style: normal;"> </em></strong><em style="mso-bidi-font-style: normal;">C’est venu tout seul ! Nous allons voir beaucoup de spectacles ensemble ailleurs, pour éduquer notre regard. Et nous avons beaucoup de discussions, lors de notre réunion hebdomadaire pour regarder et parler de ce que l’on a vu dans la semaine. Et nous nous sommes <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>aperçu que dans les spectacles de danse, cela danse certes, mais cela parle aussi, cela, chante etc…C’est la qualité et l’innovation qui nous ont intéressé </em>» explique t-il en posant carrément la question : «<em style="mso-bidi-font-style: normal;"> C’est quoi la danse contemporaine ? </em>». D’ailleurs, il n’a jamais caché qu’il préférait « <em style="mso-bidi-font-style: normal;">des spectacles novateurs à des spectacles bien rodés qui traduisent un travail de recherche et de questionnement. L’idée n’est pas de choquer, mais d’interpeller le spectateur, de le faire réfléchir, de le toucher</em> »</span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 7.05pt 0pt 0cm; text-align: justify;"><span style="font-size: large; font-family: arial,helvetica,sans-serif;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 7.05pt 0pt 0cm; text-align: justify;"><span style="font-size: large; font-family: arial,helvetica,sans-serif;"><span style="font-family: Times New Roman;">Du coup, il a fait le pari,<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>voilà 3 à 4 ans, sans que personne ne lui pose la question, de présenter de la danse, <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>avec un peu de musiqu , de théâtre…dans ce festival et même hors festival. « <em style="mso-bidi-font-style: normal;">Les abonnés apprécient aussi. C’est une façon de l’ouvrir davantage encore. Quelqu’un qui prend un abonnement à 3 spectacles, verra de la danse, du théâtre.<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>Et Artdanthé va devenir un festival du spectacle vivant dans le futur. On n’aimerait pas qu’il vieillisse mal, car on se pose vraiment la question : Est-ce qu’il faut l’arrêter et passer à autre chose ? Comment le faire évoluer. Je n’aimerais que l’on dise « on l’a trop vu, ils n’ont plus rien à dire, ni à montrer ». Alors que <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>l’équipe a encore des choses à montrer</em> ». </span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 7.05pt 0pt 0cm; text-align: justify;"><span style="font-size: large; font-family: arial,helvetica,sans-serif;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 7.05pt 0pt 0cm; text-align: justify;"><span style="font-size: 9pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"><span style="font-size: large; font-family: arial,helvetica,sans-serif;">Enfin, dés le départ, en paralléle à la programmation, il a poursuivi un travail de fond accordant une attention toute particulière à la sensiblisation du public jeunes – grâce aux dispositifs pédagogiques « Danse au Lycée » et « Danse côté cour »<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>- et moins jeunes grâce à des rencontres-débats, conférences dansées, ateliers de pratiquesl’école du spectateur,<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>participation et figuration dans des spectacles préparés toute l’année avec des artistes.<span style="mso-spacerun: yes;"> </span><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">A SUIVRE</strong></span> </span></span></p>
Jean-Pierre WILLEMShttp://willemsconsultants.hautetfort.com/about.htmlUn conseil aux régionstag:willemsconsultants.hautetfort.com,2008-09-19:18062912008-09-19T00:14:22+02:002008-09-19T00:14:22+02:00 Les conseils régionaux constituent l'angle mort de la réforme de la...
<p style="text-align: justify;">Les conseils régionaux constituent l'angle mort de la réforme de la formation professionnelle.L'Etat a la maîtrise d'ensemble, les partenaires sociaux ont la négociation, mais les Conseils régionaux, malgré leur compétence de principe, n'ont véritablement de prise que sur la formation des jeunes (initiale, apprentissage, demandeurs d'emploi) et n'ont guère que des interventions financières pour les adultes, principalement demandeurs emplois, sachant que le transfert de l'AFPA complique l'équation. Difficile donc de trouver une place aux régions dans la réforme.</p> <div style="text-align: center"><img src="http://willemsconsultants.hautetfort.com/media/01/00/1453719678.jpg" id="media-1285096" alt="ca10_2310604_1_px_470_.jpg" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" height="375" width="280" /></div> <div style="text-align: center">Saadane Afif au Fonds régional d'art contemporain de Normandie</div> <div style="text-align: justify;"><br /></div> <div style="text-align: justify;">Pourtant, les conseils régionaux pourraient dessiner les contours d'un service public régional de la formation professionnelle. La chronique réalisée avec Jean-Marie Luttringer pour l'AEF essaie d'identifier les conditions de mise en place d'un tel service.</div> <div style="text-align: justify;"><br /></div> <div style="text-align: justify;"><a href="http://willemsconsultants.hautetfort.com/media/01/01/434371145.pdf" id="media-1285099" name="media-1285099">Réforme de la formation et service public régional.pdf</a></div> <div style="text-align: center"><br /></div>