Last posts on florent2024-03-29T09:24:28+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://www.hautetfort.com/https://www.hautetfort.com/explore/posts/tag/florent/atom.xmlAvignonhttp://avignon.hautetfort.com/about.htmlDins l'usino Flourèns en 1926tag:avignon.hautetfort.com,2020-09-18:62631472020-09-18T00:00:00+02:002020-09-18T00:00:00+02:00 Dans l'usine Florent en 1926 In the Florent factory in 1926 La...
<p>Dans l'usine Florent en 1926<br /><em>In the Florent factory in 1926</em></p><p style="text-align: center;"><img src="http://avignon.hautetfort.com/media/01/00/2458395458.jpg" alt="2458395458.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><a href="http://avignon.hautetfort.com/media/02/01/3008278180.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img src="http://avignon.hautetfort.com/media/01/00/1800307231.jpg" alt="1800307231.jpg" /></a></p><p style="text-align: center;">La salle de coulage et la salle d'évaporation.<br />Photos Alexandre Poirson AMA 24Fi2433 et Jean-Baptiste Michel 11Fi176.</p>
Avignonhttp://avignon.hautetfort.com/about.htmlDe Flourèns à Poirsontag:avignon.hautetfort.com,2020-09-17:62633412020-09-17T00:00:00+02:002020-09-17T00:00:00+02:00 De Florent à Poirson From Florent to Poirson Alexandre Poirson, son...
<p>De Florent à Poirson<br /><em>From Florent to Poirson</em></p><p style="text-align: center;"><img src="http://avignon.hautetfort.com/media/00/02/1696911697.jpg" alt="1696911697.jpg" /><br />Alexandre Poirson, son épouse, leurs enfants et Mme Paul Florent en 1909.<br /><em>AMA 24Fi439.</em></p><p style="text-align: center;"><img src="http://avignon.hautetfort.com/media/00/02/2866663913.jpg" alt="2866663913.jpg" /><br />Alexandre Poirson, son épouse et leur famille en 1945.<br /><em>AMA 24Fi6263.</em></p>
Avignonhttp://avignon.hautetfort.com/about.htmlL'ouro dóu cafètag:avignon.hautetfort.com,2020-09-16:62632862020-09-16T00:00:00+02:002020-09-16T00:00:00+02:00 L'heure du café Coffee time Photo Alexandre Poirson 1903. AMA...
<p>L'heure du café<br /><em>Coffee time</em></p><p style="text-align: center;"><a href="http://avignon.hautetfort.com/media/02/02/2644929725.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img src="http://avignon.hautetfort.com/media/01/01/59647258.jpg" alt="59647258.jpg" /></a><br /><em>Photo Alexandre Poirson 1903. AMA 24Fi43.</em></p><p style="text-align: center;">Sur la photo, sous toutes réserves :<br />Léontine FLORENT (1876-1964) fille de Paul épouse d'Alexandre<br />Alexandre POIRSON (1869-1959)<br />Paul FLORENT (1847-1908)<br />Pauline FLORENT (1882-1964) fille cadette de Paul<br />Louise CAILLAVET (1851-1926) épouse de Paul<br />Un garçonnet<br />Un berceau</p><p style="text-align: center;"><span class="chocolat-description">Alexandre Poirson, gendre de Paul Florent et polytechnicien, a été directeur de l'usine de 1908 jusqu'à sa mort en 1959. Ce sont ses fils Jacques et Jean qui ont ensuite géré la réglissserie jusqu'à sa fermeture en 1975.</span></p>
Avignonhttp://avignon.hautetfort.com/about.htmlLa regalissarié Flourènstag:avignon.hautetfort.com,2020-09-15:62633282020-09-15T00:00:00+02:002020-09-15T00:00:00+02:00 La réglisserie Florent Florent licorice factory Source : "Avignon...
<p>La réglisserie Florent<br /><em>Florent licorice factory</em></p><p style="text-align: center;"><a href="http://avignon.hautetfort.com/media/02/00/3074946796.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img src="http://avignon.hautetfort.com/media/02/01/533243362.jpg" alt="533243362.jpg" /></a><br />Source : "Avignon Antiquités" - Cantarel.</p><table style="border-collapse: collapse;" border="0" cellspacing="0" cellpadding="0"><tbody><tr><td style="text-align: center; vertical-align: top;"><img style="margin: 0 10px 0 0;" src="http://avignon.hautetfort.com/media/01/01/3737759626.png" alt="3737759626.png" /><br />Félicien Florent (1821-1894)<br />fondateur en 1859</td><td style="text-align: center; vertical-align: top;"><img src="http://avignon.hautetfort.com/media/02/01/731781264.png" alt="731781264.png" /><br />Paul Florent (1847-1908)</td></tr></tbody></table><p style="text-align: center;">Pour aller plus loin :<br /><a href="https://docplayer.fr/131164660-Alexandre-poirson.html" target="_blank" rel="noopener">https://docplayer.fr/131164660-Alexandre-poirson.html</a></p>
Avignonhttp://avignon.hautetfort.com/about.htmlL'usino Flourèns vers 1890tag:avignon.hautetfort.com,2020-09-14:62631392020-09-14T00:00:00+02:002020-09-14T00:00:00+02:00 L'usine Florent vers 1890 The Florent factory around 1890...
<p>L'usine Florent vers 1890<br /><em>The Florent factory around 1890</em></p><p><a href="http://avignon.hautetfort.com/media/00/02/2791461822.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img src="http://avignon.hautetfort.com/media/00/02/2791461822.jpg" alt="2791461822.jpg" /></a></p><p><a href="http://avignon.hautetfort.com/media/02/01/173890896.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img src="http://avignon.hautetfort.com/media/02/01/173890896.jpg" alt="173890896.jpg" /></a></p><p>Photos Jean-Baptiste Michel - AMA 11Fi176 et 11Fi178.</p>
Lizouzouhttp://lespetitslivresdelizouzou.hautetfort.com/about.html”Les Magnolias” de Florent Oiseautag:lespetitslivresdelizouzou.hautetfort.com,2020-03-03:62146282020-03-03T11:33:25+01:002020-03-03T11:33:25+01:00 Alain est un homme banal. Sa carrière d'acteur est au point mort, son...
<p style="text-align: center;"><img id="media-6093606" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lespetitslivresdelizouzou.hautetfort.com/media/02/00/4063204970.JPG" alt="magnolias,florent,oiseau,allary,babelio,masse critique" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: tahoma,arial,helvetica,sans-serif; font-size: 12pt;">Alain est un homme banal. Sa carrière d'acteur est au point mort, son agent et meilleur ami vit avec lui et chaque dimanche, il va voir sa grand-mère aux Magnolias. Un jour, elle lui demande de l'aider à mourir, et la seconde d'après, elle a oublié. Pour Alain, impossible d'oublier cette requête, il part donc à la maison de sa grand-mère pour tenter d'apprendre à vraiment connaître la vie de sa grand-mère.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: tahoma,arial,helvetica,sans-serif; font-size: 12pt;">J'avais entendu beaucoup de bien de l'auteur Florent Oiseau et de son titre "Paris-Venise", notamment grâce à l'avis du libraire Gérard Collard de la Griffe Noire. Alors quand j'ai vu son dernier roman dans la dernière opération masse critique de Babelio, j'ai postulé direct et j'ai eu la chance d'être sélectionnée pour le découvrir.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: tahoma,arial,helvetica,sans-serif; font-size: 12pt;">J'a aimé apprendre à connaitre le personnage d'Alain à travers son quotidien et ses pensées. En effet, Alain est un personnage assez banal. Il ne sort pas du lot : sa carrière d'acteur a du mal à décoller, côté amour c'est le calme plat et pour satisfaire ses besoins il va rendre visite à Rosie, la prostituée à la camionnette. Son côté excentrique est mis en avant par sa liste de nom de poney qu'il s'applique à remplir à plusieurs reprises au cœur de la lecture. Et enfin, le côté famille est invoqué par la visite dominicale à sa grand-mère à l'EHPAD "Les Magnolias".</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: tahoma,arial,helvetica,sans-serif; font-size: 12pt;">Le quotidien banal d'Alain va être chamboulé par la demande un peu particulière de sa grand-mère : l'aider à mourir. Le problème c'est que juste après, elle n'en a plus souvenir. Alain se demande alors s'il doit prendre en compte cette étrange requête. Et si c'est le cas, faut-il accepter de le faire ? Alain va alors prendre le temps de réfléchir et profite de ce temps pour apprendre à connaître la femme qu'a pu être sa grand-mère.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: tahoma,arial,helvetica,sans-serif; font-size: 12pt;">J'ai beaucoup aimé la plume de Florent Oiseau malgré une histoire qui peut paraitre un peu ordinaire et commune. Il y a de belles réflexions, notamment un passage entier que vous pourrez retrouver ci-dessous. C'est un livre qui se lit rapidement et que l'on prend plaisir à découvrir. Malgré tout, j'ai un peu peur qu'il ne me reste pas longtemps en mémoire.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: tahoma,arial,helvetica,sans-serif; font-size: 12pt;">Je remercie <a href="https://www.allary-editions.fr/" target="_blank" rel="noopener">les éditions Allary</a> et <a href="https://www.babelio.com/" target="_blank" rel="noopener">Babelio</a> !</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: tahoma,arial,helvetica,sans-serif; font-size: 12pt;"><span style="text-decoration: underline;">Petites citations pour la route </span>: "<em>Depuis le jour de notre rencontre, il n'avait cessé d'être mon meilleur ami, malgré les disputes, malgré la vie</em>."</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: tahoma,arial,helvetica,sans-serif; font-size: 12pt;">"<em>Parfois, la vie ne vous donne rien pendant des années, des décennies. Pas un trèfle à quatre feuilles, pas un Noël sous la neige, pas un billet de banque retrouvé dans une vieille veste. Aucune satisfaction, pas la moindre victoire, rien à manger pour l'égo. Elle ne vous donne tellement rien que vous pensez qu'elle vous a oublié. Vous êtes sous le porche d'une gare de province, un soir, et il pleut des cordes. Vous êtes trempés, il fait froid, vous êtes seul, le dernier bus vient de passer. Même un clébard ne viendrait pas vous tenir compagnie. Et alors que vous ne l'attendez plus, elle vient vous éclairer dans la nuit de ses phares emplis d'espoir. Elle fait ça pour tout le monde. Certains sont devant les pleins phares chaque journée, d'autres -la majorité- doivent se contenter de brefs faisceaux, d'éphémères éclaircies. Mais la vie finit toujours par revenir chercher les oubliés sous les porches des gares de province.</em>"</span></p>
Avignonhttp://avignon.hautetfort.com/about.htmlCènt an après l'usino di regalisse Florenttag:avignon.hautetfort.com,2016-08-17:60895832016-08-17T00:00:00+02:002016-08-17T00:00:00+02:00 Cent ans après l'usine des réglisses Florent A hundred years after the...
<p>Cent ans après l'usine des réglisses Florent<br /><em>A hundred years after the factory of licorice Florent</em></p><p><a title="Cènt an après l'usino di regalisse Florent" href="http://avignon.hautetfort.com/media/00/02/2704248253.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" src="http://avignon.hautetfort.com/media/01/02/1264838929.jpg" alt="4280039067.jpg" /></a></p><p style="text-align: center;"><a title="Cènt an après l'usino di regalisse Florent" href="http://avignon.hautetfort.com/media/00/02/2704248253.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img src="http://avignon.hautetfort.com/media/02/01/3777680864.jpg" alt="906865758.jpg" /></a></p><p style="text-align: center;">Là, je n'ai carrément pas pu me placer au bon endroit !</p>
Avignonhttp://avignon.hautetfort.com/about.htmlSiéu lou blasoun dis anciano regalisso Florent à Cantareltag:avignon.hautetfort.com,2016-04-13:60894962016-04-13T00:00:00+02:002016-04-13T00:00:00+02:00 Je suis le blason des anciens réglisses Florent à Cantarel I am the blazon...
<p>Je suis le blason des anciens réglisses Florent à Cantarel<br /><em>I am the blazon of the ancient Florent liquorice at Cantarel</em></p><p style="text-align: center;"><img src="http://avignon.hautetfort.com/media/00/02/1775658372.jpg" alt="1682086404.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><img src="http://avignon.hautetfort.com/media/00/00/307154281.png" alt="1366267655.png" /></p><p style="text-align: center;"><a title="Lis anciano regalisso Florent à Cantarel" href="http://avignon.hautetfort.com/media/01/00/3485982750.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img src="http://avignon.hautetfort.com/media/02/00/1701237003.jpg" alt="1701237003.jpg" /></a></p>
Prietohttp://www.chemindamourverslepere.com/about.htmlLundi 27 octobre 2014tag:www.chemindamourverslepere.com,2014-10-27:54768912014-10-27T05:15:00+01:002014-10-27T05:15:00+01:00 Calendrier liturgique
<p style="text-align: center;"><span style="color: #008080; font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span style="color: #990000;"><strong><a title="Calendrier liturgique mensuel" href="http://www.spiritualite-chretienne.com/au_fil_des_jours/calendrier_liturgique_2014_10.html" target="_blank"><span style="color: #008080;">Calendrier liturgique</span></a></strong></span></span></p>
Cassiopéehttp://unpolar.hautetfort.com/about.htmlLa traque de la musaraigne, de Florent Couao-Zottitag:unpolar.hautetfort.com,2014-03-15:53231872014-03-15T15:24:15+01:002014-03-15T15:24:15+01:00 Une chronique de Cassiopée « Breton...
<p style="text-align: justify;"><span style="color: #0000ff; font-family: times new roman,times; font-size: small;"><em><strong><img id="media-4481359" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://unpolar.hautetfort.com/media/02/01/563385158.jpg" alt="traque,musaraigne,florent,couao-zotti" />Une chronique de <span style="text-decoration: underline;"><a href="http://unpolar.hautetfort.com/chroniques-de-cassiopee.html" target="_self"><span style="color: #0000ff; text-decoration: underline;">Cassiopée</span></a> </span></strong></em></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"><strong> </strong></span><span style="color: #0000ff; font-family: times new roman,times; font-size: small; background-color: #ffff00;"><strong><em>« Breton sur le continent africain doit veiller au grain…. »</em> </strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"><strong> </strong></span><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">C’est avec des proverbes aussi improbables que celui mis en exergue que Florent Couao-Zotti introduit chacun de ses chapitres. Florilège typiquement africain, vous vous prenez à attendre ces titres pour sourire… Mais il n’y pas que ça…A croire que l’éditeur sait trouver des pépites parmi les auteurs de ce continent, et cette fois-ci c’est un béninois. C’est le premier roman que je lis de cet écrivain et je ne le regrette pas.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"> </span><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">Si l’intrigue n’a rien d’extraordinaire (en vieillissant, je deviens difficile), les rebondissements sont légion, l’atmosphère est retranscrite à merveille et ce pauvre Stéphane Néguirec est vraiment attachant bien qu’on ait envie de le secouer parfois et de lui glisser à l’oreille « Mais arrête mon vieux, rentre chez toi, à Guingamp, ce n’est pas parce qu’il pleut souvent en Bretagne que tu es mieux en Afrique… » Mais bon, s’il m’avait écouté, il n’y aurait pas eu d’histoire….Et lui, il pense être bien intégré. <em>« Il avait réussi, au fil des jours et des semaines, à s’intégrer à la géographie humaine et à se convaincre qu’il était devenu, à défaut d’être Noir, presque invisible. »</em></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"> </span><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">Il a laissé derrière lui, deux enfants et une femme aimante pour aller « poétiser » à Cotonou au Bénin. Je ne vous apprendrai rien en précisant que les poèmes, ça ne nourrit pas bien et que c’est un job assez fermé ; pour faire son trou, c’est un peu dur… Mais Stéphane se contente de peu et il a la chance de plaire aux femmes….Un blanc sur l’oreiller, c’est pas mal….Mais il ferait bien de se méfier, son visa est expiré depuis des lustres… Il va rencontrer une femme d’un soir qui va devenir un peu plus qu’accompagnatrice d’un soir et même carrément collante… Avec elle, à cause d’elle, pour elle, il va vivre des événements qu’il ne maîtrise plus puis qu’ils ne maîtrisent plus, la situation échappant également à sa compagne…</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"> </span><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">A travers leur périple, on entrevoit la réalité quotidienne d’un pays qui se cherche, où les coutumes (avec notamment la place de la femme) sont encore très ancrées et non discutables. La corruption est présente chez les uns et les autres, l’argent et la drogue seraient-ils les nerfs de la guerre ?</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">Stéphane Néguirec est embarqué, bien malgré lui, dans une sombre histoire et il va alors découvrir « la face cachée » du lieu où il avait élu domicile. Il va se battre pour expliquer qu’il n’a rien à voir avec tout ça, mais ce sera très laborieux. Pourquoi croire un blanc ? Qui plus est sans boulot fixe ni place officielle? Bref, il est dans l’embarras (pour ne pas dire dans la m…) jusqu’au cou et sans doute plus, et les aides qui vont se présenter à lui en seront-elles vraiment ?</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"> </span><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">L’écriture de Florent Couao-Zotti est bien dosée. Il n’a pas trop intégré de termes locaux, juste quelques uns, expliqués dans un glossaire en fin d’ouvrage. Il les place à bon escient pour maintenir lecteur dans l’ambiance du coin. De plus, certaines tournures de phrases sont très poétiques, dans un langage que je qualifierai de « fleuri » et amènent le sourire aux lèvres.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"><em>« Les rondeurs de la Béninoise, en pagne ou en bouteille. » »La poignée de mains fut vigoureuse, comme si ce geste allait sceller entre eux une amitié aussi bouffante qu’un boubou. »</em></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"><em> </em></span><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">Comme il n’y a pas de temps mort, cet opus est très agréable à lire et permet de découvrir une nouvelle plume de romans policiers originaux et intéressants. Que demander de plus ?</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"> </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"><strong><em>Titre : La traque de la musaraigne<br /></em></strong><strong><em>Auteur : Florent Couao-Zotti<br /></em></strong><strong><em>Éditions : Jigal (février 2014)<br /></em></strong><strong><em>Collection : Polar<br /></em></strong><strong><em>ISBN : 979-1092016130<br /></em></strong><strong><em>Nombre de pages : 215</em></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"> </span><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"><strong>Quatrième de couverture</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"> <em>Quand Stéphane Néguirec, jeune Breton un brin rêveur, poète à ses heures, amoureux du large et des horizons lointains, débarque à Cotonou, au Bénin, il ne sait pas encore que question dépaysement, il va être servi ! Aux paysages enchanteurs qui l'électrisent, s'ajoutent les charmes des filles aux courbes délicieuses et notamment, ceux de la mystérieuse Déborah Palmer qui lui propose très vite un mariage blanc contre une fortune en billets verts. À l'autre bout de la ville, Jésus Light, un voyou ghanéen, traque sans relâche sa femme, Pamela, partie précipitamment avec le butin de son dernier casse...</em></span></p>
Mathildehttp://www.parisienne-avertie.com/about.htmlCeux que j'ai lu cet été*tag:www.parisienne-avertie.com,2013-09-06:51577492013-09-06T19:08:00+02:002013-09-06T19:08:00+02:00 Les livres et moi c’est une grande histoire d’amour. La plus longue à ce...
<p style="text-align: justify;">Les livres et moi c’est une grande histoire d’amour. La plus longue à ce jour. Ils sont partout avec moi, dans mon sac à main tous les jours, au dessus de mon lit, sur les murs de mon salon… C’est tellement petit chez moi que pour optimiser ils sont aussi (presque) ma seule déco. Les classer fait partie de mes occupations préférées pour un dimanche d’hiver. Et ça permet de changer sensiblement la vue depuis mon canapé quand j’ai besoin d’air vif.<br /><br />Je lis beaucoup donc, parce que tu te doutes que je ne me contente pas de les regarder dans la couverture. Les auteurs, leurs personnages surtout, vivent avec moi le temps de la lecture, certains restent et ne me quitteront jamais tout à fais. Je lis tout le temps, avec un rythme fluctuant (comme tout le monde je crois), mais jamais moins d’un livre par quinzaine et jamais plus d’un livre par jour (à moins d’un roman graphique) (parce que je ne suis pas une machine et que si je dévore, je ne sais pas lire plus vite que vite). <br /><br />J’ai envie de te parler un peu de mes lectures de cet été, très jolies découvertes inside, je reprends les titres dans la chronologies où je les ai lus.</p><p style="text-align: center;"><img id="media-4240378" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://www.parisienne-avertie.com/media/02/00/2784252138.jpg" alt="florent,marie laberge,le goût du bonheur,québec,livres,livre,books,reading,a week in winter,maeve binchy,replay,ken grinwood,le nao de brown,glynn dillon,you had me at hello,mhairi mcfarlane,l'atelier des miracles,valérie tuong cong,l'homme de lewis,peter may,la maison des sept soeurs,elle eggels,la maladie de sachs,martin winckler,venir au monde,margaret mazzantini" /></p><p style="text-align: justify;"><em>(légende : * aucun intérêt / ** bien / *** très bien / **** extra à lire absolument)</em><br /><br /><strong>Florent, Marie Laberge **</strong></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4240591" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://www.parisienne-avertie.com/media/01/00/1274130845.jpg" alt="librairie de paris,florent,marie laberge,le goût du bonheur,québec,livres,livre,books,reading,a week in winter,maeve binchy,replay,ken grinwood,le nao de brown,glynn dillon,you had me at hello,mhairi mcfarlane,l'atelier des miracles,valérie tuong cong,l'homme de lewis,peter may,la maison des sept soeurs,elle eggels,la maladie de sachs,martin winckler,venir au monde,margaret mazzantini" /></p><p style="text-align: justify;">C’est l’ultime tome d’une trilogie québecoise que j’ai commencée à Paris et terminée à la plage. Parfaite saga familiale à lire l’été avec des expressions québécoise en petit plus dépaysant (parce que l’accent dans la tête du coup, forcément). Florent n’est pas mon tome favori mais m’étant attachée aux personnages j’ai aimé terminer l’histoire malgré les longueurs.</p><p style="text-align: justify;">Dans sa trilogie intitulée Le Goût Du Bonheur, Marie Laberge croque avec tendresse la vie de Gabrielle que nous suivons dans le premier tome. On est à la fin des années 20, dans une famille catholique aisée du Québec, la condition de la femme n’est pas un sujet, la famille est régie par l’Eglise et les préjugés… Gabrielle est une femme qui croit en les femmes (et en leurs droits), d'ailleurs elle n'a pas hésité à choisir son mari (un anglais) et élève avec lui leurs enfants. Le second tome qui suit la fille aînée de Gabrielle, Adélaïde, a pour toile de fond le Canada de la seconde guerre mondiale. Ce n’est clairement pas un indispensable de la littérature, mais j’ai passé un bon moment dans cette grande famille recomposée à Québec.<br /><br /><strong>A Week In Winter, Maeve Binchy **</strong></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4240586" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://www.parisienne-avertie.com/media/01/00/191689040.jpg" alt="librairie de paris,florent,marie laberge,le goût du bonheur,québec,livres,livre,books,reading,a week in winter,maeve binchy,replay,ken grinwood,le nao de brown,glynn dillon,you had me at hello,mhairi mcfarlane,l'atelier des miracles,valérie tuong cong,l'homme de lewis,peter may,la maison des sept soeurs,elle eggels,la maladie de sachs,martin winckler,venir au monde,margaret mazzantini" /></p><p style="text-align: justify;">Maeve Binchy est une de mes auteurs de chick-litt’ UK favorite. Mon premier livre d'elle, je l'ai dévoré en français (une trouvaille de ma mère pour un été sur la plage) : <em><a href="http://www.amazon.fr/C%C3%A9tait-pourtant-l%C3%A9t%C3%A9-Maeve-Binchy/dp/2266131583">C'était pourtant l'été</a></em>. Depuis, chacun de mes passages au Royaume Uni est l'occasion de rapporter un de ces livres en VO, je commence à avoir une belle collection. Elle est irlandaise et me donne chaque fois plus envie de découvrir cette île (à tout moment je peux prendre un A/R).</p><p style="text-align: justify;">Dans <em>A Week In Winter</em>, on suit les aventures d'une jeune irlandaise rebelle qui quitte l'Irlande précipitamment avec son amoureux. Elle revient veuve et trentenaire s'installer dans le village de son enfance, et décide de faire du vieux manoir une maison d'hôte. L'ouverture est prévue en plein hiver et on passe la semaine avec un groupe d'une petite dizaine de personnes dans ce bord de mer irlandais. Ce qui m'a plu : chaque chapitre raconte un morceau de l'histoire vu par l'un des protagonistes, et ça tourne comme ça. Encore une fois, un bon moment mais pas le livre de l'année.<br /><br /><strong>Replay, Ken Grinwood ***</strong></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4240594" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://www.parisienne-avertie.com/media/02/02/2130739239.jpg" alt="librairie de paris,florent,marie laberge,le goût du bonheur,québec,livres,livre,books,reading,a week in winter,maeve binchy,replay,ken grinwood,le nao de brown,glynn dillon,you had me at hello,mhairi mcfarlane,l'atelier des miracles,valérie tuong cong,l'homme de lewis,peter may,la maison des sept soeurs,elle eggels,la maladie de sachs,martin winckler,venir au monde,margaret mazzantini" /></p><p style="text-align: justify;">Une jolie surprise. <br />Si mes souvenirs ne me font pas défaut, j'ai choisi ce livre dans ma librairie préférée (<3 sur <a href="http://www.librairie-de-paris.fr/">la librairie de Paris</a>) entre le rayon où j'ai pris le livre cadeau pour une amie et la caisse, parce que le titre m'a fait de l’œil. Et puis, je n'ai jamais été déçue par cette librairie au goût et à la sélection aussi sûrs que les conseils de ses libraires. Bref, Replay, je n'avais noté que son titre et l'avais payé sans y repenser.<br />Au moment de faire la valise des vacances, je sors la pile des "bouquins à lire" et je fais mon choix. Ne nous mentons pas, le fait que je l'ai acheté en poche a fortement joué (Valise, si tu me regardes...).<br />À Cannes, une fois terminée la semaine en Irlande en hiver avec Maeve, j'attaque ce petit bout de livre. Et au début j'ai un peu de mal, je ne vois pas bien où va l'histoire, je ne m'attache pas aux personnages... mais vite c'est très sympa et je ne sais pas si les droits ont été achetés pour le cinéma mais je m'y voyais déjà !</p><p style="text-align: justify;">Le pitch (oui parce que je te raconte ma vie là, mais toi, tu veux en savoir plus sur le livre, je te vois) : un homme de 44 ans, américain, marié, ni heureux ni malheureux, est au téléphone avec sa femme quand il fait une crise cardiaque et meurt. Il se réveille un peu plus tard, dans sa chambre d'étudiant à la fac, il a 23 ans et se retrouve à recommencer sa vie sans rien avoir oublié de la précédente. Et ce n'est que le début...<br /><br /><strong>Le Nao de Brown, Glynn Dillon ***</strong></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4240601" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://www.parisienne-avertie.com/media/00/00/3772945698.jpg" alt="librairie de paris,florent,marie laberge,le goût du bonheur,québec,livres,livre,books,reading,a week in winter,maeve binchy,replay,ken grinwood,le nao de brown,glynn dillon,you had me at hello,mhairi mcfarlane,l'atelier des miracles,valérie tuong cong,l'homme de lewis,peter may,la maison des sept soeurs,elle eggels,la maladie de sachs,martin winckler,venir au monde,margaret mazzantini" /></p><p style="text-align: justify;">Les BD et autres romans graphiques, à la base je n'y connais rien et surtout j'ai longtemps cru que je n'aimais pas ça. <br />Jusqu'à ce que <a href="http://www.penelope-jolicoeur.com/">Pénélope</a> ne m'offre et me conseille quelques opus que j'ai adoré. Désormais, je me risque même parfois à choisir seule. Celui-là (qui fut si je ne me trompe distingué au cours du dernier festival d'Angoulême) c'est justement elle qui me l'a offert.</p><p style="text-align: justify;">Je l'ai donc emporté en vacances en faisant fi de son poids, de confiance. Et j'ai bien fait. C'est étonnant, hyper beau (dans la forme autant que le fond), attachant. Mais je vais laisser les experts en parler, c'est le mieux : la <a href="http://www.madmoizelle.com/nao-brown-penelope-bagieu-134559">chronique de Pénélope sur Madmoizelle</a>.<br /><br /><strong>You had me at Hello, Mhairi McFarlane ***</strong></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4240602" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://www.parisienne-avertie.com/media/01/02/2485079868.png" alt="librairie de paris,florent,marie laberge,le goût du bonheur,québec,livres,livre,books,reading,a week in winter,maeve binchy,replay,ken grinwood,le nao de brown,glynn dillon,you had me at hello,mhairi mcfarlane,l'atelier des miracles,valérie tuong cong,l'homme de lewis,peter may,la maison des sept soeurs,elle eggels,la maladie de sachs,martin winckler,venir au monde,margaret mazzantini" /></p><p style="text-align: justify;">Le cliché de la chick litt' avec cette histoire romantique. Déjà le titre a plu à la midinette en moi, parce que je ne peux entendre You had me at Hello sans penser à <a href="http://www.youtube.com/watch?v=AyrP-pwDayE">cette scène</a> et que bon..., passons j'étais jeune <span style="text-decoration: line-through;">et Renée et Tom aussi dis donc</span> tout ça.</p><p style="text-align: justify;">Le pitch : Rachel et Ben se rencontrent à l'université et là c'est Rachel & Ben et Ben & Rachel. Puis ils se séparent. 10 ans passent et, un jour de pluie, Rachel bouscule quelqu'un dans la rue (et tu te doutes bien) PAF c'est Ben. Ils boivent un café, il est marié elle vient de rompre avec son petit ami. Et ils recommencent à se voir en amis. <br />Ce que dit la 4ème de couv' résume bien bien ce qui m'est arrivé avec ce petit pavé écossais parfait pour l'été : <em>hilarious, heartbreaking and everything in between, you'll be hooked from their first "hello"</em>.<br /><br /><strong>L’atelier des Miracles, Valérie Tuong Cong **</strong></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4240606" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://www.parisienne-avertie.com/media/00/00/2304164999.gif" alt="librairie de paris,florent,marie laberge,le goût du bonheur,québec,livres,livre,books,reading,a week in winter,maeve binchy,replay,ken grinwood,le nao de brown,glynn dillon,you had me at hello,mhairi mcfarlane,l'atelier des miracles,valérie tuong cong,l'homme de lewis,peter may,la maison des sept soeurs,elle eggels,la maladie de sachs,martin winckler,venir au monde,margaret mazzantini" /></p><p style="text-align: justify;">Je ne sais pas par quelle bizarrerie, je me souviens d'avoir vu de bouquin d'abord de dos. Et son dos m'a plu, j'y ai lu : "c'était un atelier d'horlogerie, a-t-il souri. Remettre les pendules à l'heure, réparer la mécanique humaine c'est un peu notre spécialité, non ?". Je l'ai acheté sans le retourner, ni l'ouvrir.</p><p style="text-align: justify;">En vacances, je l'ouvre, je commence ma lecture en semant de l'indice 50+ sur les premières pages. C'est agréables à lire. Le pitch : on suit Mariette, Mike et Millie, personnages paumés, en fin de course de toute évidence. Et un beau jour, un homme (Jean) leur tend la main et les conduit vers leur nouvelle vie qui commencera avec lui à ce qu'il appelle l'Atelier. Cet atelier est particulier, entre la secte et le kibboutz. Mais il semble efficace et tout le monde commence à aller mieux. Quand soudain...</p><p style="text-align: justify;">Pourquoi je n'ai finalement pas tant aimé que ça ? Parce que ça m'a semblé un peu trop caricatural et pas très fouillé ni tournée vers les émotions des personnages. Parce que la fin est trop tirée par les cheveux. Parce que, quoi.<br /><br /><strong>L’homme de Lewis, Peter May ****</strong></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4240607" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://www.parisienne-avertie.com/media/02/00/109611253.jpg" alt="librairie de paris,florent,marie laberge,le goût du bonheur,québec,livres,livre,books,reading,a week in winter,maeve binchy,replay,ken grinwood,le nao de brown,glynn dillon,you had me at hello,mhairi mcfarlane,l'atelier des miracles,valérie tuong cong,l'homme de lewis,peter may,la maison des sept soeurs,elle eggels,la maladie de sachs,martin winckler,venir au monde,margaret mazzantini" /></p><p style="text-align: justify;">Là, c'est une drôle d'histoire. Dans la vraie vie, j'ai plutôt une très bonne mémoire (si, demande à mes amis), pourtant ce n'est qu'une fois l'Homme de Lewis bien commencé que je me suis dit que les personnages me disaient quelque chose. Jusqu'à une phrase dont je me souvenais parfaitement, là, j'ai lu entièrement la 4ème de couverture pour m'apercevoir que j'étais en train de lire la suite d'un de mes polars préférés ever : L'île des chasseurs d'oiseaux (si tu veux tu peux lire ce qu'en avait pensé <a href="http://www.deedeeparis.com/blog/lile-des-chasseurs-doiseaux-de-peter-may">Delphine</a> à qui je l'ai offert).</p><p>Et sans surprise c'est top. Mais ça ne se raconte pas. Lis les vite. Parce que la bonne nouvelle, c'est qu'une nouvelle suite vient de sortir. YOUPI.<br /><br /><strong>La maison des sept sœurs, Elle Eggels *</strong></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4240608" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://www.parisienne-avertie.com/media/01/02/4229492919.png" alt="librairie de paris,florent,marie laberge,le goût du bonheur,québec,livres,livre,books,reading,a week in winter,maeve binchy,replay,ken grinwood,le nao de brown,glynn dillon,you had me at hello,mhairi mcfarlane,l'atelier des miracles,valérie tuong cong,l'homme de lewis,peter may,la maison des sept soeurs,elle eggels,la maladie de sachs,martin winckler,venir au monde,margaret mazzantini" /></p><p style="text-align: justify;">Avant l'été, je suis allée aider mes parents à remplir la bibliothèque flambant neuve du palier de leur maison. Du coup, à force de charrier des cartons et de ranger les bouquins, forcément, j'ai un peu fait mon marché et suis revenue avec quelques empruntés à ajouter sur l'étagère des "prêtés". Celui-ci je l'ai choisi parce que j'ai aimé la couverture, et le titre. Mais je n'ai pas accroché à l'histoire de cette famille de soeurs sans père ni mère qui tiennent la boulangerie du village. Chou blanc. Next.<br /><br /><strong>La Maladie de Sachs, Martin Winckler ****</strong></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4240609" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://www.parisienne-avertie.com/media/02/00/1339598017.png" alt="librairie de paris,florent,marie laberge,le goût du bonheur,québec,livres,livre,books,reading,a week in winter,maeve binchy,replay,ken grinwood,le nao de brown,glynn dillon,you had me at hello,mhairi mcfarlane,l'atelier des miracles,valérie tuong cong,l'homme de lewis,peter may,la maison des sept soeurs,elle eggels,la maladie de sachs,martin winckler,venir au monde,margaret mazzantini" /></p><p style="text-align: justify;">Ce livre fait partie d'une moisson sur Amazon à mon retour de Cannes, après un dîner animé avec trois de mes amis, où nous avons chacun parlé de nos livres préférés. Ce genre de discussion qui te colle des envies de lectures pour tout de suite et que tu es à deux doigts de prendre la bouffe à emporter et de rentrer bouquiner, tu vois ? Dans les titres que j'avais retenu et que j'ai <span style="text-decoration: line-through;">compulsivement</span> acheté en ligne le soir en rentrant, il y avait la Maladie de Sachs, et c'est l'un des premiers que j'ai reçu, et lu dans la foulée.</p><p style="text-align: justify;">Ce livre est super chouette, vraiment. C'est l'histoire un médecin généraliste, en Bourgogne. Je ne sais plus trop quel âge il a mais je dirais entre 30 et 40. La particularité de ce livre, en dehors de la vision qu'a Bruno Sachs de sa médecine, réside là encore dans le procédé de narration. Tour à tour, ce sont les patients qui nous parlent de lui et petit à petit les pièces du puzzle s'emboîtent. C'est un livre émouvant, touchant. J'ai vu qu'il avait été adapté en film à la fin des années 90 avec Albert Dupontel dans le rôle principal et j'ai très envie de le découvrir.</p><p style="text-align: justify;"><strong>Venir au Monde, Margaret Mazzantini ***</strong></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4240570" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://www.parisienne-avertie.com/media/02/01/3220309385.png" alt="librairie de paris,florent,marie laberge,le goût du bonheur,québec,livres,livre,books,reading,a week in winter,maeve binchy,replay,ken grinwood,le nao de brown,glynn dillon,you had me at hello,mhairi mcfarlane,l'atelier des miracles,valérie tuong cong,l'homme de lewis,peter may,la maison des sept soeurs,elle eggels,la maladie de sachs,martin winckler,venir au monde,margaret mazzantini" width="416" height="414" /></p><p style="text-align: justify;">Quelle claque. <br />Dans mon iPhone j'ai un note toujours d'actualité où je compile les recommandations film / livre / musique que l'on me fait. Je ne sais plus qui m'avait parlé de celui-ci mais qui que ce soit, merci.<br />Ce n'est pas du tout le genre de livre que je choisirais seule. Et pourtant, j'aurais eu drôlement tort, alors je t'en parle, ok, mais c'est encore un peu frais je l'ai fini dans la nuit... <br />Déjà, l'écriture est blessée, dure, sans concessions. On suit une italienne Gemma, qu'on rencontre à Sarajevo puis qu'on va suivre chez elle à Rome ensuite. Elle est venue sur les traces d'un poète qu'elle aime (Andric) et forcément elle rencontre deux garçons là-bas, Gojko, un local qui deviendra son ami, et Diego, un italien (de Gènes) qui deviendra son mari.</p><p style="text-align: justify;"><br />Le livre commence à Rome, quand Gemma reçoit un coup de fil de Gojko qui l'invite à revenir car il y a une commémoration de la guerre avec une exposition des photos de Diego (dont on comprend qu'il est mort mais on ne sait pas comment). Elle décide d'emmener avec elle son fils Pietro (né là bas pendant la guerre au cours d'un des voyages de Gemma et Diego à Sarajevo). Le reste c'est les allers-retours du passé au présent, de la guerre à la paix, c'est la dureté des sentiments et de la vie, c'est l'obsession. Ce sont aussi les rebondissements qui jalonnent le livre et m'ont prise au dépourvu (au point de voler quelques bouts de nuit). Une histoire dure et crue. L'amour dans tout ce qu'il a de plus beau mais aussi de plus laid. Et l'éternelle question de l'enfantement et de la filiation. Il ne faut pas passer à côté. <br />Là encore, j'ai vu que l'adaptation cinéma était sortie, mais bizarrement je ne suis pas pressée, je doute de la capacité d'un réalisateur à reproduire le ton de l'auteure.</p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><em>* Pardon my jeu de mots digne de la mauvaise traduction des titres d'épisodes de Friends, toi-même tu sais.</em></p>
Prietohttp://www.chemindamourverslepere.com/about.htmlJeudi 3 janvier 2013tag:www.chemindamourverslepere.com,2013-01-03:49447732013-01-03T08:00:00+01:002013-01-03T08:00:00+01:00 En France, Ste Geneviève Calendrier liturgique
<p style="text-align: center;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span style="color: #990000;"><strong>En France, <span style="color: #008080;"><a title="Ste Geneviève" href="http://missel.free.fr/Sanctoral/01/03.php" target="_blank"><span style="color: #008080;">Ste Geneviève</span></a></span><br /><br /><span style="color: #008080;"><a title="calendrier liturgique mensuel" href="http://www.spiritualite-chretienne.com/au_fil_des_jours/calendrier_liturgique_2013_01.html" target="_blank"><span style="color: #008080;">Calendrier liturgique</span></a></span></strong></span></span></p>
Prietohttp://www.chemindamourverslepere.com/about.html7 novembre : Sanctoraltag:www.chemindamourverslepere.com,2012-11-07:48892652012-11-07T08:01:00+01:002012-11-07T08:01:00+01:00 St Willibrord , Evêque d'Echternach († 739) St Florent de Strasbourg...
<p style="text-align: center;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;"><strong><a title="St Willibrord, Evêque" href="http://levangileauquotidien.org/main.php?language=FR&module=saintfeast&localdate=20121107&id=7958&fd=0" target="_blank"><span style="color: #000000;">St Willibrord</span></a>, Evêque d'Echternach († 739)<br /><br /><a title="St Florent de Strasbourg, Evêque et confesseur" href="http://levangileauquotidien.org/main.php?language=FR&module=saintfeast&localdate=20121107&id=7946&fd=0" target="_blank"><span style="color: #000000;">St Florent de Strasbourg</span></a>, Evêque et confesseur († 693)<br /><br />Au calendrier traditionnel : De la férie</strong></span></p>
Doumehttp://deja2007.hautetfort.com/about.htmlPour eux....tag:deja2007.hautetfort.com,2008-03-28:15371792008-03-28T10:06:00+01:002008-03-28T10:06:00+01:00 Ce n'est pas un coup de gueule... mais ! ...
<p><a target="_blank" href="http://deja2007.hautetfort.com/media/00/00/1511973878.jpg"><img name="media-927633" src="http://deja2007.hautetfort.com/media/00/00/2060445526.jpg" alt="1511973878.jpg" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0px; border-width: 0px" id="media-927633" /></a>Ce n'est pas un coup de gueule... mais !</p> <p><a target="_blank" href="http://deja2007.hautetfort.com/media/02/01/1421413621.jpg"><img name="media-927631" src="http://deja2007.hautetfort.com/media/02/01/1146414514.jpg" alt="1421413621.jpg" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0px; border-width: 0px" id="media-927631" /></a></p> <p> </p> <p> </p> <p> Demain une marche aura lieu à Paris, vers l'Elysée et je vous invite à relayer ce mouvement. Pour ceux de ma famille, certains "très proches" et tous ceux que je ne connais pas, je veux les assurer de mon soutien et de mon admiration pour ce qu'ils font et de quelle façon ! merci à vous tous qui lisez ce message, si vous êtes à Paris, ou banlieue, de vous inscrire comme volontaires sur les sites de référence : Apf et Ni..ni...</p> <p>Merci pour Myriam, Florent et tous les autres !</p> <p><a xml:lang="fr" href="http://pacte.blogs.apf.asso.fr/" title="Pour signer le pacte de soutien" lang="fr"><img width="360" src="http://www.apf.asso.fr/ikono/actualites/npnsmail.jpg" alt="appel à la marche citoyenne du samedi 29 mars 2008" /></a></p>