Last posts on feydeau
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Creseveur
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Juppé saoulé par ses jeunes
tag:creseveur.hautetfort.com,2016-02-03:5754581
2016-02-03T13:48:39+01:00
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<p style="text-align: center;"><img id="media-5283874" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://creseveur.hautetfort.com/media/00/00/3520591198.JPG" alt="Juppé soulé par ses jeunes.JPG" /></p>
Denise
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Les Têtes heureuses chez Feydeau: réjouissant!
tag:specialdujour.hautetfort.com,2011-11-16:3867965
2011-11-16T04:57:00+01:00
2011-11-16T04:57:00+01:00
L'Hôtel du libre-échange , de Georges Feydeau Mise en scène:...
<p><span style="font-family: book antiqua,palatino;"><strong>L'Hôtel du libre-échange</strong>, de <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Georges_Feydeau" target="_blank">Georges Feydeau</a></span></p><p><span style="font-family: book antiqua,palatino;">Mise en scène: <strong>Rodrigue Villeneuve</strong></span></p><p><span style="font-family: book antiqua,palatino;">Comédiens: <strong>Martin Giguère, </strong><strong>Sophie Larouche, </strong><strong>Christian Ouellet,</strong><strong> Lucille Perron, </strong><strong>Mélanie Potvin,</strong><strong> Éric Renald, </strong><strong>Patrick Simard<br /></strong></span></p><p><span style="font-family: book antiqua,palatino;">Au Petit théâtre (UQAC), du <strong>27 octobre au 13 novembre</strong> 2011</span></p><p><span style="font-family: book antiqua,palatino;">Représentation du <strong>dimanche 6 novembre</strong><br /></span></p><p style="text-align: center;"><a href="http://specialdujour.hautetfort.com/media/00/00/1615299267.jpg" target="_blank"><img id="media-3294450" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://specialdujour.hautetfort.com/media/00/00/2415909618.jpg" alt="les têtes heureuses,l'hôtel du libre échange,don giovanni,mozart,metropolitan opera" /></a></p><p>Une <strong>réjouissante incursion</strong> des Têtes heureuses dans <strong>un genre</strong> où on ne les attendait pas: le <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Vaudeville_%28th%C3%A9%C3%A2tre%29" target="_blank">vaudeville</a>. Non pas parce que c'est <strong>comique</strong>, car la compagnie sait y faire dans le genre (avec <strong>Ubu-Roi</strong>, par exemple), mais parce qu'il s'agit d'un vaudeville <strong>pur sucre</strong>, rigolo et grinçant.</p><p>Des personnages <strong>sans envergure</strong>, mesquins et égoïstes, un texte à la <strong>mécanique implacable</strong> dont il faut respecter le rythme et les subtilités, une <strong>histoire bien serrée</strong> (mensonge, tricherie, adultère -jamais consommé!) mais pas vraiment vraisemblable, supposée contenir en elle-même des effets comiques<strong> dévastateurs</strong> pour le <strong>genre humain</strong>.</p><p>Le metteur en scène <strong>Rodrigue Villeneuve</strong> aborde ce genre comme il le fait pour le drame et la tragédie: avec le même respect, par un travail approfondi sur <strong>le texte</strong> et sur le <strong>jeu des comédiens</strong> (paroles, gestes, interaction).</p><p>Il les dirige fort bien, ces comédiens, afin qu'ils nous servent avec élégance ce <strong>texte logorrhéique</strong> et ces répliques ciselées, tout en naviguant avec précision dans <strong>les rouages et les engrenages</strong> de cette histoire à rebondissements. Même si ce n'est pas vraiment leur univers, ils s'en tirent fort bien.</p><p>Le <strong>deuxième acte</strong>, où l'on voit ce qui se passe dans ce <strong>miteux </strong><em>hôtel du libre-échange</em> (que l'on pourrait rebaptiser "hôtel du quiproquo"), est très comique, bien rythmé et <strong>rondement mené</strong>. Le premier acte souffre de quelques longueurs (c'est <strong>la faute à Feydeau</strong>) et le dernier <strong>attache à la va-vite</strong> les ficelles qui pendent un peu partout (c'est aussi la faute à Feydeau).</p><p>La <strong>scénographie dépouillée</strong> oblige -et aide- le spectateur à <strong>imaginer des portes</strong> et des murs qui n'y sont pas du tout, seulement découpés par des<strong> éclairages</strong> et quelques accessoires. C'est limite, mais ça fonctionne.</p><p>J'en ai gardé le souvenir d'un dimanche après-midi où j'ai beaucoup ri.</p>
guy
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Transparence
tag:unsoirouunautre.hautetfort.com,2010-07-11:2819186
2010-07-11T18:09:00+02:00
2010-07-11T18:09:00+02:00
Le rideau devant la scène est sans relache tiré, ouvert,...
<p><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif;"><span style="font-size: small;">Le rideau devant la scène est sans relache tiré, ouvert, fermé, mais, translucide, laisse presque tout deviner, autant que le déshabillé de Mme Ventroux. Qui elle ne se soucie pas de cacher quoi que se soit, surtout en cet été de canicule, toute en naturel et transparences alors que le député Ventroux s'attache maladivement aux bienséances, aux apparences. Lui plus soucieux d'escamoter toute suggestion de nudité que de dissimuler aux yeux du monde d'autres turpitudes, petits arrangements et trafic d'influences, enveloppes de billets glissées par son visiteur, l'infâme maire Hochepaix. Un leure? A notre place de spectateur est censée oppérer non pas le regard de l'opinion publique (déja désabusée), mais l'oeil acéré du redoutable Clemenceau, debout au balcon opposé. Quand enfin le journaliste du Figaro viendra enqueter, il n'aura d'yeux que pour madame et son fessier. Rappelons que nous sommes en 1911, evidemment, aucune actualité.</span></span></p> <p><span style="font-size: small;"><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif;">Feydeau revient en ce mois de juillet 2010 plus féroce que jamais, mais sa pièce toute retournée, telle une longue scène de ménage qui échapperait aux protagonistes. En cent ans, on se lasserait de voir Mme Ventroux toujours déshabillée dans le même sens. Elle apparaît aujourd'hui plus logique qu'ecervelé dans son parti pris d'honneteté vestimentaire, d'une réthorique implacable et d'une présence débordante. Et le député Ventroux, éffrayé par la vie, pantin névrosé, agité comme un personnage de BD, dans ce combat vaincu d'avance. La victoire de madame est amère. Son mari ne la voit plus, qui se soucie seulement du regard des autres sur sa chair. Est ce pour celà qu'elle vient en avant-scène, en beauté dans la lumière, nous déclamer un pot pourri de chansons retros aux effets mélancoliques? Vue, entendue, émouvante. La mécanique de Feydeau s'enclenche implacablement, le temps se dilate dans l'absurdité logique des enchaînements, avec un parti pris ici moins comique que vertigineux, cruel et désabusé. La drôlerie est alors le dernier effet de l'effroi et de l'incontrolé. </span><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif;">Au final, tous voiles tombés, la sereine nudité de Mme Ventroux (l'injonction-titre du député plus que jamais impuissante en matière de théatre contemporain), est moins violente que la folie indifférente du député.</span></span></p> <p><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif;"><span style="font-size: small;">C'était <em>Mais n'te promène donc pas toute nue</em> de <strong>Georges Feydeau</strong>, mis en scène par <strong>Sandrine Lanno</strong>, avec <strong>Melanie MenuLoïc-Emmanuel Deneuvy, Joël Koné, Miglen Mirtchev, Sergueï Ryschenkow, lumières de Xavier Hollebecq.</strong></span></span></p> <p><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif;"><span style="font-size: small;">Au <strong><a href="http://www.etoiledunord-theatre.com/index2.html" target="_blank">théatre de L'étoile du nord</a></strong>, jusqu'au 25 juillet.</span></span></p> <p><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif;"><span style="font-size: small;">Guy</span></span></p> <p><span style="font-size: small;"><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif;">lire aussi: </span></span><a href="http://unsoirouunautre.hautetfort.com/archive/2009/02/04/a-court-de-forme-semaine-2.html#more" target="_blank"><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif;"><span style="font-size: small;">Cannibalisme tenace</span></span></a><span style="font-size: small;"><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif;"> de Sandrine Lanno avec Mélanie Menu</span></span></p>
guy
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Feydeau, panique
tag:unsoirouunautre.hautetfort.com,2009-06-14:2235311
2009-06-14T11:29:00+02:00
2009-06-14T11:29:00+02:00
Trop crevante la Môme Crevette, et toujours increvable le Feydeau,...
<p>Trop crevante la Môme Crevette, et toujours increvable le Feydeau, encore aujourd'hui à la rescousse des billetteries. Bien plus fort que la recession, valeur refuge dans l'économie de la scène. Pour paradoxalement y représenter paroxysmes, crises, et déreglements. Comme par catharsis? Ici le trou noir né d'une soirée trop arrosée dans la vie paisible du bourgeois Petypon, susceptible par inflation d'emporter l'univers entier.</p> <div style="text-align: center"><a target="_blank" href="http://unsoirouunautre.hautetfort.com/media/01/01/1396951563.jpg"><img src="http://unsoirouunautre.hautetfort.com/media/01/01/1518019965.jpg" alt="LA DAME2©B.Enguérand.jpg" name="media-1815000" id="media-1815000" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" /></a></div> <p>Dans le lit de Petypon le lendemain matin de migraine la môme crevette- danseuse au moulin rouge- matérialisation de désirs refoulés ou témoignage invavouable d'une autre vie qui aurait du rester cachée. Le bordel fait irruption au foyer...rien ne va plus. Sous les quiproquos c'est la réalité qui pans aprés pans s'altère. Les voiles qui font le décor se retournent pour ne plus rien cacher, les portes suspendues à de fragiles conventions s'envolent et les limites n'en finissent plus de s'effacer. Rien ne tient en place. Difficille de contenir chacun dans son espace réservé: la domestique à l'office, La môme dans le lit, les visiteurs au salon, le vieil oncle en Afrique... Petypon aux abois tente de gagner quelques minutes en pétrifiant les protagonistes sur un fauteuil extatique reduit à sa plus simple expression. Peine perdue: on ne ralenti pas l'entropie. Le langage n'arrange rien, embrouille: "les parôles ne signifient rien, c'est l'intonation qui fait le sens". La Môme Crévette-d'un naturel inaltérable- fait irruption dans ce monde bien reglé comme un élement perturbant que chacun choisit de voir comme il l'entend: ange venu du ciel, bonne nièce, femme honnête, élégante parisienne ou putain... Son langage leste et ses gestes osés donnent le la aux rombières de province, qui avalent tout et de concert remuent de la croupe et des seins par mimétisme parisien. Ou écoutent religieusement cinquante manières imagées de dire comment on se fait plaisir. C'est alors le paroxysme, tout cul par dessus tête, durant cette fête de sous-prefecture soudain onirique, où notables, dames, militaires et curé dansent en arrière fond une bacchanalle libératrice. Sydavier pousse cet exercice de metaboulevard jusqu'à ses limites, drôle et distancié à la fois. Le désordre est parfait, les comédiens "épatants" investissent dans le désordre et jusque dans la salle le cadre si précieux et surchargé de l'Odéon. Entre deux spectateurs, comme par contagion, une breve altercation. Aprés l'orgie, le dernier acte prend des allures de gueule de bois. Pas de salut possible sinon par une résolution bien factice, jusqu'au bout Mr Petypon aussi secoué que l'intrigue, Mme Petypon aveugle et pathétique, réfugiée dans la religion. Pas de fin possible, ni de retablissement de l'ordre sauf dans l'épuisement. </p> <p>C'était <strong><em>La Dame de chez Maxim</em></strong> de <strong>GEORGES FEYDEAU</strong><br /> mise en scène <strong>JEAN-FRANCOIS SIVADIER,</strong> collaboration artistique : <strong>Nicolas Bouchaud, Véronique Timsit, Nadia Vonderheyden</strong><br /> scénographie : <strong>Daniel Jeanneteau, Jean-François Sivadier, Christian Tirole,</strong> lumière : <strong>Philippe Berthomé</strong> assisté de <strong>Jean-Jacques Beaudouin,</strong> costumes : <strong>Virginie Gervaise,</strong> décor : <strong>Amélia Holland,</strong> maquillage, perruques : <strong>Arnaud Ventura,</strong> son : <strong>Cédric Alaïs, Jean-Louis Imbert,</strong> chant : <strong>Pierre-Michel Sivadier,</strong> travail sensible : <strong>Vincent Rouche</strong> et <strong>Anne ,</strong> assistante à la mise en scène : <strong>Véronique Timsit,</strong> régisseur général : <strong>Dominique Brillault,</strong> avec <strong>Nicolas Bouchaud, Cécile Bouillot, Stephen Butel, Raoul Fernandez, Corinne Fischer, Norah Krief, Nicolas Lê Quang, Catherine Morlot, Gilles Privat, Anne de Queiroz, Nadia Vonderheyden, Rachid Zanouda</strong> et <strong>Jean-Jacques Beaudouin, Christian Tirole</strong>.</p> <p>A <strong>l<a target="_blank" href="http://www.theatre-odeon.fr/">'Odéon</a></strong>, jusqu'au 25 juin.</p> <p><a href="mailto:unsoirouunautre@yahoo.fr">Guy</a></p> <p><em>Photo par Brigitte Enguérand avec l'aimable autorisation du théatre de l'Odéon</em></p> <p><em>Prochain Feydeau: Le Didon à L'étoile du nord! </em></p>
guy
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L'enfer, c'est Feydeau
tag:unsoirouunautre.hautetfort.com,2008-08-02:1728779
2008-08-02T11:51:00+02:00
2008-08-02T11:51:00+02:00
Confusion: le sol de la scéne est jonché de livres. On craindrait...
<p>Confusion: le sol de la scéne est jonché de livres. On craindrait se retrouver à nouveau plongé dans le cauchemar éveillé de <a target="_blank" href="http://unsoirouunautre.hautetfort.com/archive/2008/06/08/neuer-tanz.html"><em>Das Chrom + & Du.</em></a> On est soulagé: c'est bien du <a target="_blank" href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Georges_Feydeau"><span style="color: #ff0000;">Feydeau (1862-1921</span></a><span style="color: #ff0000;">).</span> Mais dans la mise en scène de ce soir, d'un bout à l'autre, tout est délicieusement terrifiant. Il ne s'agit plus d'un attentat vaudevillesque contre l'ordre bourgeois: on est pas loin du théâtre de l'absurde. Pour exposer toute l'horreur de la vulgarité, qui n'est pas tant le fait d'aborder des sujets <img name="media-1169032" src="http://unsoirouunautre.hautetfort.com/media/02/01/1846903440.jpg" alt="on n arrete pas le théatre.jpg" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0px; border-width: 0px" id="media-1169032" />intestinaux, mais de dénier, avec brutalité, tout signification au langage, tout ordre au monde, le réduire à la seule corporalité.</p> <p>Quand Mme Follavoine hausse la voix, pour rendre impossible tout consensus avec son mari sur le sens des mots, on reste pétrifié dans son siège. Monsieur Follavoine est une victime erberluée, dont les rêves se brisent aussi cruellement que ses pots de chambre pourtant incassables. Voit son espace physique et mental envahi par les eaux sales de madame, alors qu'il tente de créer un ailleurs en imaginant les îles "zébrides". Dans le désordre de ses livres épars, y réussirait il d'ailleurs même sans cette opposition quasi démoniaque? Pas moyen de réconcilier corps et mots. Toto, l'enfant-roi, dépasse les parents d'une bonne tête, et hurle à les faire trembler. La bonne est ailleurs, hallucinée, perdue dans les chansons. Monsieur Choilloux est maladif et hystérique, et -pire- n'affiche pas d'hostilité ouverte en reaction aux agressions dont il est victime. Donc est d'une angoissante imprévisibilité, à l'inverse mesure des grandes attentes de Follavoine. Madame Choilloux et son amant viennent porter le coup de grâce avec les manifestations agressives d'une sexualité débordante, au bord de violer mari, femme, bonne et enfant. Madame Follavoine anéantit toutes les constructions sociales précaires d'un seul "Cocu" vulgaire et retentissant. On est bouche bée, le jeu est porté au delà des limites raisonnables de l'exagération: c'est hilarant, subtil pourtant, et dévastateur tout autant.</p> <p>C'était <strong><em>On Purge Bébé</em></strong>, de <span style="color: #ff0000;"><strong>Georges Feydeau</strong></span>, m.e.s. par <strong><span style="color: #ff0000;">Stéphane Auvray-Nauvroy</span></strong> , avec <strong><span style="color: #ff0000;">Aurélia Arto, Selim Clayssen, Johanna Cohen, Dianko Diaoune, Michèle Harfaut, Julien Kosellek, Eram Sobhani,</span></strong> au <strong><a target="_blank" href="http://www.etoiledunord-theatre.com/index2.html">Théâtre de l'Etoile du Nord</a></strong>, avec <strong><em>On arrête Pas le Théâtre</em></strong>.</p> <p>Jusqu'à dimanche, et aprés c'est fini.</p> <p><a href="mailto:unsoirouunautre@yahoo.fr" class="null">Guy </a></p> <p> </p>
absolu
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Occupe-toi d'Amélie
tag:www.listesratures.fr,2007-01-13:825635
2007-01-13T18:25:00+01:00
2007-01-13T18:25:00+01:00
<div style="text-align: center"><a target="_blank" href="http://www.amazon.fr/Occupe-toi-dAm%C3%A9lie-Georges-Feydeau/dp/2253137235/sr=8-1/qid=1168633751/ref=sr_1_1/402-0318407-5316917?ie=UTF8&s=books" title="commander"><img src="http://www.listesratures.fr/images/thumb_feydeau.jpg" alt="medium_feydeau.jpg" style="margin: 0.7em 0px; border-width: 0px" /></a></div>