Last posts on ferrand2024-03-29T10:45:51+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://www.hautetfort.com/https://www.hautetfort.com/explore/posts/tag/ferrand/atom.xmlFrance Catholiquehttp://pourunefranceforteetcatholique.hautetfort.com/about.htmlFerrand, Bayrou, Goulard, Griset... , tous ces ministres pris dans la ”tourmente judiciaire” sous Macron...tag:pourunefranceforteetcatholique.hautetfort.com,2021-07-30:63298672021-07-30T20:28:18+02:002021-07-30T20:28:18+02:00 Avant Alain Griset, renvoyé devant le...
<div class="l-wrap l-header breakingnews"><div class="b-header"><div class="b-article__header"><br /><div class="b-article__header-title "><h1> </h1></div></div></div></div><div class="l-main m-oh"><div class="l-wrap m-clear"><div class="l-maincolumn m-static"><div class="b-article"><div class="article__google-news"> </div><div class="b-article__lead"><p><span style="font-size: 12pt;">Avant Alain Griset, renvoyé devant le tribunal correctionnel de Paris pour omission de déclaration de patrimoine et d'intérêts, plusieurs ministres ont eu des démêlés judiciaires depuis le début de la présidence d'Emmanuel Macron.</span></p></div><div class="b-article__text"><p><span style="font-size: 12pt;">Le ministre chargé des PME est cité à comparaître le 22 septembre pour omissions substantielles dans ses déclaration de patrimoine et d'intérêts lors de son entrée au gouvernement en juillet 2020, a appris l'AFP jeudi auprès du parquet de Paris.</span></p><h2><span style="font-size: 12pt;">Richard Ferrand</span></h2><p><span style="font-size: 12pt;">À peine nommé ministre de la Cohésion des territoires, Richard Ferrand est épinglé par le Canard enchaîné qui révèle qu'en 2011 les Mutuelles de Bretagne qu'il dirigeait alors ont loué des locaux commerciaux appartenant à sa compagne.</span></p><p><span style="font-size: 12pt;">Il quitte le gouvernement le 19 juin 2017 et succède à François de Rugy à la présidence de l'Assemblée nationale en septembre 2018.</span></p><p><span style="font-size: 12pt;">Mis en examen pour «prise illégale d'intérêts» en septembre 2019, il se voit reconnaître le 31 mars 2021 la prescription des faits, mais cette décision n'est pas définitive.</span></p><h2><span style="font-size: 12pt;">François Bayrou, Sylvie Goulard et Marielle de Sarnez </span></h2><p><span style="font-size: 12pt;">Le 9 juin 2017, le parquet de Paris ouvre une enquête visant le MoDem, présidé par François Bayrou, sur des soupçons d'emplois fictifs.</span></p><p><span style="font-size: 12pt;">La justice soupçonne des collaborateurs d'eurodéputés MoDem, notamment Marielle de Sarnez et Sylvie Goulard, d'avoir été rémunérés par des fonds du Parlement européen alors qu'ils étaient affectés à d'autres tâches pour le parti centriste.</span></p><p><span style="font-size: 12pt;">Le 21 juin, Mme Goulard, devenue ministre des Armées, quitte le gouvernement, suivie de François Bayrou (Justice) et de Mme de Sarnez (Affaires européennes).</span></p><p><span style="font-size: 12pt;">Fin 2019, Mmes Goulard et de Sarnez (décédée en janvier 2021) sont mises en examen pour «détournement de fonds publics» et M.Bayrou pour «complicité» de ce délit.</span></p><h3><span style="font-size: 12pt;">Gérald Darmanin</span></h3><p><span style="font-size: 12pt;">Accusé d'abus de faiblesse par une habitante de Tourcoing qui affirmait avoir été contrainte à des relations sexuelles en échange d'un logement et d'un emploi, Gérald Darmanin bénéficie d'un classement sans suite de l'affaire en 2018.</span></p><p><span style="font-size: 12pt;">Accusé par une autre femme d'un viol intervenu en 2009 au moment où il était un responsable UMP intermédiaire, M.Darmanin bénéficie aussi de classements sans suite en 2017 et 2018, mais la plaignante obtient la relance des investigations en juin 2020. Le ministre, placé sous le statut de témoin assisté, a été confronté à son accusatrice en mars 2021.</span></p><h3><span style="font-size: 12pt;">Éric Dupond-Moretti</span></h3><p><span style="font-size: 12pt;">Le ministre de la Justice Éric Dupond-Moretti a été mis en examen le 16 juillet pour «prise illégale d'intérêts» par la Cour de justice de la République (CJR), seule juridiction habilitée à poursuivre et juger des membres du gouvernement pour des infractions commises dans le cadre de leurs fonctions.</span></p><p><span style="font-size: 12pt;">Le garde des Sceaux est soupçonné d'avoir profité de sa fonction de ministre pour régler ses comptes avec des magistrats avec lesquels il avait eu maille à partir quand il était avocat, ce qu'il réfute.</span></p><p><span style="font-size: 12pt;">La CJR avait ouvert en janvier une information judiciaire après les plaintes des trois syndicats de magistrats et de l'association Anticor.</span></p><p><span style="font-size: 12pt;">Le Premier ministre, Jean Castex, lui a renouvelé «toute sa confiance».</span></p><h4><span style="font-size: 12pt;">Et d'autres...</span></h4><p><span style="font-size: 12pt;">Le Haut-commissaire aux Retraites, <strong>Jean-Paul Delevoye</strong>, a démissionné du gouvernement en décembre 2019, en pleine réforme des retraites, après avoir été mis en cause pour ne pas avoir déclaré plusieurs mandats à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP). Il fait l'objet d'une enquête pour «abus de confiance», «abus de biens sociaux» et recels.</span></p><p><span style="font-size: 12pt;">Le secrétaire d'État à la Fonction publique, <strong>Olivier Dussopt</strong>, est visé par une enquête du parquet national financier (PNF) pour «corruption» et «prise illégale d'intérêts» pour avoir reçu en 2017 deux lithographies en cadeau d'une entreprise, alors qu'il était député-maire d'Annonay, en Ardèche.</span></p><p><span style="font-size: 12pt;">Le PNF enquête aussi depuis mars 2019 sur des soupçons de «prise illégale d'intérêts» visant <strong>Sébastien Lecornu</strong>, chargé des Outre-mer, pour ses activités passées à la tête du département de l'Eure et au conseil d'administration d'une société autoroutière.</span></p><p><span style="font-size: 12pt;">De son côté, la CJR mène une instruction depuis juillet 2020 concernant l'ancien Premier ministre <strong>Édouard Philippe</strong>, l'ex-ministre de la Santé Agnès Buzyn et son successeur Olivier Véran, pour leur gestion du Covid-19.</span></p><p>Etc ....</p></div></div></div></div></div>
Creseveurhttp://creseveur.hautetfort.com/about.htmlFerrand contre le pass sanitaire à l'Assembléetag:creseveur.hautetfort.com,2021-07-21:63282652021-07-21T14:58:07+02:002021-07-21T14:58:07+02:00
<p style="text-align: center;"><img id="media-6278918" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://creseveur.hautetfort.com/media/02/00/3392860752.JPG" alt="Ferrand contre le pass sanitaire à l'Assemblée.JPG" /></p>
Creseveurhttp://creseveur.hautetfort.com/about.htmlFerrand veut une commission pour comprendre l'abstention massivetag:creseveur.hautetfort.com,2021-06-29:63243362021-06-29T16:46:38+02:002021-06-29T16:46:38+02:00
<p style="text-align: center;"><img id="media-6272538" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://creseveur.hautetfort.com/media/00/00/1530111766.JPG" alt="Une commission sur l'abstention.JPG" /></p>
Creseveurhttp://creseveur.hautetfort.com/about.htmlLe déconfinement ne fait pas que des heureuxtag:creseveur.hautetfort.com,2021-05-12:63154872021-05-12T12:05:31+02:002021-05-12T12:05:31+02:00
<p style="text-align: center;"><img id="media-6257692" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://creseveur.hautetfort.com/media/02/02/2632654926.jpg" alt="Déconfinement des clubs libertins.jpg" /></p>
Creseveurhttp://creseveur.hautetfort.com/about.htmlBayrou urge Macron de tenir sa promesse sur la proportionnelletag:creseveur.hautetfort.com,2021-03-12:63030152021-03-12T11:33:18+01:002021-03-12T11:33:18+01:00
<p style="text-align: center;"><img id="media-6236311" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://creseveur.hautetfort.com/media/02/00/3281445599.jpg" alt="Bayrou rappelle à Macron sa proportionnelle.jpg" /></p>
ylepapehttp://lactualitedessocialistes.hautetfort.com/about.htmlJérôme Karsenti : Mis en examen, Richard Ferrand reste à la tête de l'Assemblée nationaletag:lactualitedessocialistes.hautetfort.com,2019-09-12:61756372019-09-12T16:43:47+02:002019-09-12T16:43:47+02:00 Au micro d'Europe 1, Jérôme Karsenti, avocat d’Anticor, l'association...
<p><iframe width="560" height="315" src="https://www.youtube.com/embed/nmnfD9tsg3w" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p><p>Au micro d'Europe 1, Jérôme Karsenti, avocat d’Anticor, l'association qui a relancé l'affaire des Mutuelles de Bretagne, a dénoncé la position du président de l'Assemblée nationale, qui n'entend pas quitter le perchoir malgré la procédure judiciaire dont il fait l'objet.</p>
Creseveurhttp://creseveur.hautetfort.com/about.htmlFerrand anéantit les espoirs de voir une femme à la présidence de l'Assembléetag:creseveur.hautetfort.com,2018-09-11:60839392018-09-11T20:10:08+02:002018-09-11T20:10:08+02:00 y
<p style="text-align: center;"><img id="media-5874604" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://creseveur.hautetfort.com/media/01/02/1074847699.2.JPG" alt="Ferrand prend le perchoir.JPG" />y</p>
cléoménèshttp://carnetsdunpaien.hautetfort.com/about.htmlLégislatives, magouilles et compagnietag:carnetsdunpaien.hautetfort.com,2017-06-29:59586402017-06-29T15:25:00+02:002017-06-29T15:25:00+02:00 C’est plus fort que moi : je me méfie comme de la peste des gens qui...
<p style="text-align: justify;"><img id="media-5652339" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://carnetsdunpaien.hautetfort.com/media/00/01/2495180869.jpg" alt="législatives 2017,magouilles,en marche,république en marche,bayrou,ferrand,cédric villani,mathématicien,sophistes,médaille fields,mélanchon,nouveauté,jeunisme,recyclage,cuisine politicienne,edouard philippe,société civile,changement" /><span style="font-family: times new roman,times,serif; font-size: 12pt;">C’est plus fort que moi : je me méfie comme de la peste des gens qui vantent le changement et la nouveauté. Je sais, ce n’est pas Charlie du tout, mais faut voir les choses en face, c’est quasiment un label d’escroquerie. Les législatives 2017 en sont un magnifique exemple. On nous promet à grands cris un renouveau de la vie politique, pour arriver à quoi ? La magouille, la cuisine politicienne la plus ordinaire et la plus mesquine, celle dont on soupe depuis toujours. </span></p><p style="text-align: justify;"><br /><span style="font-family: times new roman,times,serif; font-size: 12pt;">Au programme : tractations actives pour savoir quel premier ministre sera le plus rentable, accords secrets, recyclage de vieux bouffeurs de truffes qui pensent encore s’engraisser aux frais des français pour cinq ans. Je ne dirais rien de l’ami Bayrou qui, derrière ses airs de sainte vierge, fait surement pareil que les copains. Mais pour faire oublier tout ça, En Marche a une botte secrète : mettre en avant des gugusses qui ne connaissent rien à la politique et ont fait campagne à leurs frais. Des gens « issus de la société civile », pour le dire de façon plus polie. En pratique : de pauvres andouilles téléguidées par des politiciens, qui servent de caution, et qu’on manipulera à souhait. Ça devient quoi une pucelle formée par une mère maquerelle à votre avis ? </span></p><p style="text-align: justify;"><br /><span style="font-family: times new roman,times,serif; font-size: 12pt;">D’ailleurs, faire croire que des gens qui sont nouveaux en politique seront plus honnêtes ou plus ancrés dans la vie réelle que les politiciens professionnels est une pure foutaise. La façon dont le mouvement cinq étoiles se vautre, pour ne rien dire de Berlusconi, montre bien que cette solution imaginaire ne résout rien. Et au juste, il faudra m’expliquer pourquoi les gens qui ont 30 ans d’expérience en médecine, en droit, en gastronomie sont des grands pontes, et pourquoi en politique, on deviendrait un pestiféré après deux mandats.</span></p><p style="text-align: justify;"><br /><span style="font-family: times new roman,times,serif; font-size: 12pt;">Et puis franchement, les quelques fragments d’interviews de ces candidats laissent pantois. « Nouveauté…changement…nouveauté…changement…idées-nouvelles… ». Nos petits moutons consuméristes ont bien appris leur leçon. Les ouvriers licenciés à tour de bras ? le changement ! L’éducation en déroute ? Le changement. La France, qui dégringole peu à peu les marches dans les classements relatifs à la corruption et à la liberté de la presse, car tous ses grands journaux et chaines d’info sont aux mains de la finance ? Le changement, encore et toujours… Les bonhommes eux-mêmes ne s’illusionnent guère sur leurs capacités mentales et ont presque tous refusé les débats de second tour. C’est ça le progrès, ma bonne dame !</span></p><p style="text-align: justify;"><br /><span style="font-family: times new roman,times,serif; font-size: 12pt;">J’allais oublier Cédric Villani, « génie des mathématiques » de profession. Le mec, malgré une incapacité manifeste à s’habiller normalement, a une médaille Fields, donc pour le crétin de base, tout ce qu’il dit est parole d’évangile. En pratique, dès qu’il sort de son domaine, il est, comme tous les universitaires de son siècle, extrêmement limité. S’abstenir, selon lui, c’est donner la moitié de son vote au FN. Et sortir de l’UE, c’est très très vilain ! Les sophistes (ces lettrés que méprisent tous ceux qui ont lu Platon de travers), voulant former des hommes politiques, enseignaient l’art oratoire plutôt que les mathématiques. On comprend mieux pourquoi. Le type aurait sans doute mieux fait de continuer à étudier les effets des collisions rasantes dans les gaz et l’augmentation de l’entropie selon la théorie de Boltzmann.</span></p><p style="text-align: justify;"><br /><span style="font-family: times new roman,times,serif; font-size: 12pt;">Les politiciens en place ne crèvent déjà pas le plafond. Mélanchon, probablement le plus cultivé de la bande (parmi les figures de premier plan en tout cas), place les origines du stoïcisme au Vème siècle avant Jésus Christ, soit deux siècles trop tôt. Les autres sont à peu près dépourvus de toute culture classique, et passeraient pour des ignares à côté d’un gamin de 16 ans qui a lu une vingtaine de bouquins sérieux. Va-t-on relever le niveau avec des patrons de pressing, des boulangers pâtissiers et un mathématicien qui ne sait pas se coiffer ? Rien n’est moins sûr. </span></p>
ylepapehttp://lactualitedessocialistes.hautetfort.com/about.htmlFrançois Kalfon: «Il serait indécent que Richard Ferrand soit dans le deuxième gouvernement Macron»tag:lactualitedessocialistes.hautetfort.com,2017-06-09:59523842017-06-09T10:45:00+02:002017-06-09T10:45:00+02:00 François Kalfon: «Il serait indécent que... par lefigaro
<p><iframe width="480" height="270" frameborder="0" src="//www.dailymotion.com/embed/video/x5pn0z1" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe><br /><a href="http://www.dailymotion.com/video/x5pn0z1_francois-kalfon-il-serait-indecent-que-richard-ferrand-soit-dans-le-deuxieme-gouvernement-macron_news" target="_blank">François Kalfon: «Il serait indécent que...</a> <em>par <a href="http://www.dailymotion.com/lefigaro" target="_blank">lefigaro</a></em></p>
Pythecoshttp://pythecos.hautetfort.com/about.htmlPrésidentielles 10tag:pythecos.hautetfort.com,2017-06-09:59520562017-06-09T04:57:00+02:002017-06-09T04:57:00+02:00 Le curé, le père, le prof ... la litanie risque d'être longue !...
<p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: 12pt;">Le</span><em><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: 12pt;"> curé, le père, le prof ... la litanie risque d'être longue !</span></em></strong><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: 12pt;"><img id="media-5640954" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://pythecos.hautetfort.com/media/02/02/941275361.2.jpg" alt="pythecos-12.jpg" /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: 12pt;">Oui, et c'est la raison pour laquelle j'ai décidé d'y mettre fin.</span><br /><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: 12pt;">Ce que j'ai brossé, bien trop superficiellement, ne sont que des<br /> exemples......<br /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: 12pt;">... qui, dans le langage du café du Commerce se traduisent par l'expression " <strong>Tout fout l'camp</strong>". Et les exemples ne manquent pas : la déconstruction des services (Poste suppression des agences, distribution du courrier), cabinets médicaux (désertification dans l'espace rural, attente de plusieurs mois pour avoir accès à un spécialiste), disparition des commerces de proximité et de l'artisanat dans les communes rurales et dans le centre des villes, regroupements scolaires et transports fatigants pour les enfants, sans compter les emplois précaires et un taux de chômage jamais atteint quand ce n'est pas pour les quinquagénaires l'impossibilité de retrouver un emploi, etc. etc.<br /> Dans un langage plus relevé, on dira que le XXème siècle - auquel l'élection présidentielle vient de mettre fin- a été un siècle de<strong> profondes mutations, </strong>dont le maître mot est<strong><em> déconstruction</em>, </strong>et l'exemple flagrant: la bombe atomique sur Hiroshima et sur Nagasaki. Le sacré au profit du <strong>matérialisme</strong>. Le sens donné à une vie ? Consommer ! Et pour consommer, comme tout s'achète: l'argent... le "fric"... et pour se le procurer, qu'importe la manière <em>(le ministre Ferrant s'est fait offrir - très légalement (!) un immeuble par la Mutuelle qu'il préside !).</em> Il y a pire dans ce domaine de l'argent "sale", les trafics obscurs, les mafias, les drogues. Cet argent sale pollue tout, à commencer par les fonctions politiques qui attirent naïvement les ambitieux qui pensent faire fortune ! Et pour consommer quoi ? Des spectacles infantilisants qui font la une des émissions télévisées, des bavardages limités à quelques lignes sur les réseaux dits sociaux et qui se veulent des réflexions profondes alors qu'elles ne brassent (pour la plupart) que du vain, du vide. L'essentiel est de se projeter sur l'écran, le "progrès" des portables est de pouvoir se photographier soi-même : les selfies (miroir, miroir, suis-je la plus belle ? ) et quand l'occasion se présente, en compagnie d'une "personnalité" qui va faire gonfler l' "ego", l'essentiel étant de "<em>paraître</em>" et non d<em>"être</em>". L'individu badigeonné de vanité. Car cette autre explosion est bien celle de la famille. La famille qui se désagrège en individus indépendants les uns des autres. <em>(Dans l'exemple d'incivilités que j'ai pris dans une note précédente, les 13 logements détruits étaient occupés par des personnes seules ou des familles mono-parentales - ce qui a facilité le relogement comme l'affirme cyniquement le journaliste)</em>. L'<strong>individualisme </strong>- chacun pour soi - la négation même de notre idéal républicain: liberté, égalité, fraternité.<br /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: 12pt;"> Fadaise que ce discours moralisant. Discours d'un vieillard désabusé ! D'un vieillard qui porte des œillères et ne veut pas voir les côtés positifs: ces jeunes pleins d'enthousiasme, ces jeunes et ces moins jeunes qui animent des associations caritatives, nationales ou internationales, etc. Précisément, répond le vieillard désabusé, s'il y a des resto du cœur et des animateurs qui se dépensent bénévolement c'est bien que dans notre société de civilisation dite avancée, il y a des gens qui, s'ils n'en meurent pas, souffrent de la faim ! S'il y a des associations et des militants qui se dépensent sans compter pour trouver un abri, c'est qu'il y a des sans-abris qui n'ont que les bancs publics, les trottoirs pour se reposer et des cartons pour se protéger du froid, etc Mais le vieillard ne fait là qu'un constat, il n'est pas défaitiste, il croit à l'évolution et au progrès, il sait qu'il y a parmi les jeunes des forces vives, ce sont elles qui auront à cœur de prendre en mains les ruines du XXème siècle et de "bâtir un monde nouveau", après l'effondrement, les reconstructions comme l'Histoire, au cours de son évolution, l'a toujours montré.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: 12pt;"> <em><strong> Précisément, à quel siècle pouvez-vous rapprocher le XXème siècle ?</strong></em><br /><br /> Sans hésiter au XVIème siècle. Comme je l'ai précisé dans un article précédent, les progrès techniques ont permis de découvrir la planète Terre (au XXème siècle, le cosmos), à l'imprimerie correspond l'informatique et un développement sans précédent des connaissances, et le tout sur un fond de guerres de religion et de conflits dynastiques, etc.<br /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: 12pt;"> <em><strong> Selon votre théorie de "révolutions" séculaires, la lecture du XVIIème siècle devrait laisser présager ce que sera le XXIème siècle.<br /></strong></em></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: 12pt;"> Oui et non, car si l'histoire apparaît comme un éternel recommencement, j'ai précisé que cette "révolution" était soumise à une évolution et que, si deux siècles comparés ont des points semblables, ils ne sont pas identiques.<br /> Nous pouvons toutefois craindre les effets: après le désordre le retour à l'ordre et sur le plan politique l'ordre = monarchie absolue avec comme exécutants une main de fer (Richelieu), une main de velours (Mazarin) et un roi "Soleil" (Louis XIV). Déjà des journalistes associent Macron à... Jupiter ! </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: 12pt;"> Quant à la société, d'un côté les Princes se déchirant entre eux et de l'autre le "peuple" en la personne d'un bûcheron:<br /> . "....................................il songe à son malheur.<br /> Quel plaisir a-t-il eu depuis qu'il est au monde ?<br /> En est-il un plus pauvre en la machine ronde ?<br /> Point de pain quelquefois, et jamais de repos.<br /> Sa femme, ses enfants, les soldats, les impôts,<br /> Le créancier et la corvée<br /> Lui font d'un malheureux la peinture achevée.<em><strong> <br /> </strong> La Fontaine (Fables, I,16)<br /></em>Telle était la supplique que La Fontaine adressait au roi au XVIIème siècle. Espérons qu'au XXIème siècle les syndicats, <em>mutatis mutandis</em>, ne soient pas astreints à une telle supplique !</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: 12pt;"> à suivre: <em>le coup d'Etat.</em></span></p>
ylepapehttp://lactualitedessocialistes.hautetfort.com/about.htmlL'actualité des socialistes du 26 mai au 1er juintag:lactualitedessocialistes.hautetfort.com,2017-06-08:59511882017-06-08T08:00:00+02:002017-06-08T08:00:00+02:00 TRAVAIL Fondation Jean Jaurès - Comment travaillerons-nous demain ?...
<p class="note"><span style="color: #ff0000;"><strong>TRAVAIL</strong></span></p><p class="note"><strong><a href="https://jean-jaures.org/nos-productions/comment-travaillerons-nous-demain">Fondation Jean Jaurès - Comment travaillerons-nous demain ? Pierre-Yves Gomez, Cécile Jolly</a></strong></p><p class="note">Robots et révolution numérique redessinent le travail. Sera-t-il plus rare ou riche en nouveaux emplois, plus envahissant ou moins pénible ? Saurons-nous inventer de nouvelles protections pour les salariés et les indépendants ? Le magazine <em>Alternatives économiques</em> et la Fondation Jean-Jaurès ont fait débattre plusieurs experts autour de questions clés touchant à l’avenir du travail, pendant que Pôle Emploi, grâce à ses vastes études et enquêtes, propose huit tendances pour l’emploi de demain. Présentes sous forme de dossier dans le numéro de mai du magazine, ces contributions sont à retrouver durant tout le mois de juin sur les sites de deux partenaires. <br /> Pour entamer ce cycle de publications, Cécile Jolly et Pierre-Yves Gomez exposent leur conception du travail et des principales tendances aujourd’hui à l’œuvre. La première de nos cinq controverses sur le travail de demain.</p><p><span style="color: #ff0000;"><strong>DEMOCRATIE PARTICIPATIVE</strong></span></p><p><strong><a href="http://www.slate.fr/story/142472/ou-va-la-democratie-participative">Slate - «La démocratie participative est une tentative de réponse à la contestation de la légitimité des décisions publiques»</a></strong></p><p>De plus en plus d'initiatives visent à redonner la parole au peuple. Jusqu'où peuvent-elles s'imposer? Avec quelle efficacité? Rencontre avec le chercheur Loïc Blondiaux, spécialiste du sujet.</p><p>Professeur de science politique à l'université Paris I Panthéon-Sorbonne, chercheur au Centre européen de sociologie et de science politique (CESSP/CNRS), Loïc Blondiaux est un spécialiste reconnu de la démocratie participative en France, mais aussi en Finlande, en Italie, au Canada, au Chili et aux États-Unis (autant de pays où il a enseigné).</p><p>Il a publié notamment <a href="https://www.amazon.fr/fabrique-lopinion-histoire-sociale-sondages/dp/2020296977" target="_blank"><em>La Fabrique de l'opinion. Une histoire sociale des sondages </em></a>(Seuil, 1996) et <em>Le Nouvel esprit de la démocratie. Actualité de la démocratie participative</em> (Seuil, 2008). Il s'entretient ici avec Damien Augias, responsable du pôle politique de Nonfiction, à propos des pratiques actuelles et à venir de démocatie participative, en particulier au niveau local.</p><p><span style="color: #ff0000;"><strong>INEGALITES</strong></span></p><p><strong><a href="http://www.latribune.fr/economie/france/les-pauvres-sont-de-plus-en-plus-pauvres-selon-l-observatoire-des-inegalites-726446.html">La Tribune - Les pauvres sont... de plus en plus pauvres, alerte l'Observatoire des inégalités</a></strong></p><p>L'Observatoire des inégalités a publié son second rapport. Il dresse un état des lieux complet sur les inégalités en France en matière de revenus, de patrimoine, d'éducation, etc. Il met en exergue un phénomène inquiétant: depuis quelques années, la pauvreté ne régresse plus. Au contraire, les pauvres ont tendance à s'appauvrir davantage.</p><p><strong><a href="http://www.inegalites.fr/spip.php?page=analyse&id_article=2289&id_rubrique=64&id_mot=30&id_groupe=9">Observatoire des inégalités - Inégalités : une hypocrisie française</a></strong></p><div id="texte_article"><p><span class="date">30 mai 2017 - </span>Les inégalités de revenus progressent parce que les plus favorisés en veulent toujours plus. Soit on assume le phénomène, soit on se donne les moyens d’une plus grande solidarité. Par Anne Brunner et Louis Maurin de l’Observatoire des inégalités. Extrait du « Rapport sur les inégalités en France, édition 2017 ».</p></div><p><strong><a href="http://www.inegalites.fr/spip.php?page=analyse&id_article=2288&id_rubrique=64&id_mot=30&id_groupe=9">Observatoire des inégalités - Inégalités : le débat n’a toujours pas eu lieu</a></strong></p><div id="texte_article"><p><span class="date">23 mai 2017 - </span>Le sentiment d’injustice croît dans notre pays. Pourtant, le débat politique ne peut se résumer à l’alternative proposée par les deux finalistes de l’élection présidentielle : protection identitaire dans un camp, libéralisme individualiste dans l’autre. Le point de vue de Patrick Savidan, professeur de philosophie politique et président de l’Observatoire des inégalités. Extrait du quotidien Libération.</p></div><p><span style="color: #ff0000;"><strong>PS</strong></span></p><p><strong><a href="http://www.francetvinfo.fr/politique/benoit-hamon/politique-le-parti-socialiste-au-plus-bas_2214100.html">France 3 - Politique : le Parti socialiste au plus bas</a></strong></p><p>Les élections législatives s'annoncent tendues pour le PS. France 3 fait le point sur la situation.</p><p>Depuis la défaite de Benoît Hamon au premier tour de l'élection présidentielle 2017, le Parti socialiste ne parvient pas à se relever. Avec 6,35% des voix, l'un des plus faibles scores de son histoire, le <a href="http://www.francetvinfo.fr/politique/ps/le-parti-socialiste-menace-d-eclatement_2184651.html">parti est même menacé de disparition</a>. Pour les législatives, Bernard Cazeneuve, sans être candidat, mène la bataille pour son parti. Pour lui, la gauche ne doit pas se résumer à celle de Jean-Luc Mélenchon.</p><p><strong><a href="http://www.lexpress.fr/actualite/politique/elections/legislatives-pris-en-tenaille-le-ps-menace-d-une-deroute-historique_1913073.html">L'Express - Législatives: pris en tenaille, le PS menacé d'une déroute historique</a></strong></p><p>Les élections législatives s'annoncent périlleuses pour le PS, qui pourrait bien connaître son pire résultat de la Ve République, dans le sillage de son score à la présidentielle de 6,3%.</p><p>Que restera-t-il du Parti socialiste le 18 juin prochain? Au lendemain d'un <a href="http://www.lexpress.fr/actualite/politique/elections/a-la-mutualite-la-sideration-des-partisans-de-benoit-hamon_1901562.html" target="_self">échec cuisant</a> à <a href="http://www.lexpress.fr/actualite/politique/elections/presidentielle-2017/" target="_self">l'élection présidentielle</a>, le PS est promis à une déroute historique aux législatives. La "Bérézina" de 1993 - seuls 57 postes de députés avaient été sauvés - pourrait même être largement amplifiée. </p><p><strong><a href="http://www.rtl.fr/actu/politique/jean-christophe-cambadelis-doit-quitter-la-direction-du-ps-selon-thierry-mandon-7788753917">RTL - Jean-Christophe Cambadélis doit quitter la direction du PS, selon Thierry Mandon</a></strong></p><p>L'ancien secrétaire d'État plaide pour une "direction collégiale", et cite plusieurs noms pour la composer : Najat Vallaud-Belkacem, Matthias Fekl ou encore Olivier Faure.</p><p>"<strong>Tout changer, cela passe aussi par un changement de direction</strong>, pour pouvoir passer le relais à une nouvelle génération". Les mots de Thierry Mandon, ancien secrétaire d'État pendant le mandat de François Hollande sont clairs : Jean-Christophe Cambadélis, actuel Premier secrétaire du Parti socialiste <strong>doit abandonner la direction du PS</strong>. </p><p><strong><a href="http://www.liberation.fr/elections-presidentielle-legislatives-2017/2017/05/21/se-mobiliser-aujourd-hui-pour-reinventer-la-gauche-demain_1571157">Libé - Se mobiliser aujourd’hui pour réinventer la gauche demain</a></strong></p><p>L’avenir ne peut être le simple retour au projet social-démocrate porté par le PS depuis vingt ans. Il faut défendre désormais une social-écologie réformiste qui transforme la société en profondeur et réponde aux nouveaux défis du XXIe siècle.</p><p><strong>Signataires :</strong></p><p><strong>Nathalie Appéré</strong> Députée-maire de Rennes<strong> Olivier Bianchi</strong> Maire de Clermont-Ferrand, président de Clermont Auvergne Métropole<strong> Jean-François Debat</strong> Maire de Bourg-en-Bresse, président du groupe socialiste et démocrate au conseil régional Auvergne-Rhône-Alpes <strong>Carole Delga</strong> Ancienne ministre, présidente du conseil régional d’Occitanie <strong>Olivier Dussopt</strong> Député-maire d’Annonay <strong>Olivier Faure</strong> Député de Seine-et-Marne, président du groupe socialiste à l’Assemblée nationale <strong>Matthias Fekl</strong> Ancien ministre, député du Lot-et-Garonne <strong>Estelle Grelier</strong> Ancienne ministre, députée de Seine-Maritime <strong>Mathieu Klein</strong> Président du conseil départemental de Meurthe-et-Moselle <strong>Johanna Rolland</strong> Maire de Nantes <strong>Najat Vallaud-Belkacem</strong> Ancienne ministre <strong>André Viola</strong> Président du conseil départemental de l’Aude </p><p class="note"><span style="color: #ff0000;"><strong>PRELEVEMENT A LA SOURCE</strong></span></p><p class="note"><strong><a href="http://www.latribune.fr/opinions/tribunes/prelevement-a-la-source-une-experimentation-progressive-plutot-qu-un-report-a-perpetuite-714788.html">La Tribune - Prélèvement à la source : une expérimentation progressive plutôt qu'un report à perpétuité</a></strong></p><p class="note">Le projet de retenue à la source de l'impôt conçu par Bercy parait condamné par ses choix insensés. Il faut sans attendre relancer un schéma de synchronisation progressive entre les revenus courants et le paiement des acomptes de l'impôt sur le revenu. Des solutions simples existent, qui permettraient, en s'appuyant sur les investissements réalisés, de réussir sur la durée du quinquennat cette modernisation attendue de notre gestion fiscale. Par Marc Wolf, avocat fiscaliste et ancien directeur adjoint à la Direction Générale des Impôts.</p><p class="note"><span style="color: #ff0000;"><strong>LEGISLATIVES</strong></span></p><p class="note"><strong><a href="http://www.liberation.fr/elections-presidentielle-legislatives-2017/2017/05/30/le-ps-defaitiste-face-au-depute-des-fraises-et-des-moutons_1573449">Libé - Le PS défaitiste face au «député des fraises et des moutons»</a></strong></p><p class="note">Des élus bretons pointent un effet de sidération dans leur région après les révélations sur Richard Ferrand, mais leur espoir de battre cette célébrité locale est mince.</p><p class="note"><em>«En Bretagne, nous sommes sur des terres granitiques : tout infuse lentement mais sûrement.»</em> A moins de deux semaines du premier tour des législatives, la gauche du Finistère, déjà bien sonnée par la recomposition politique au niveau national, se retrouve déboussolée par la tourmente Ferrand. Elu du cru, ancien représentant local d’Henri Emmanuelli (dans une fédération rocardienne) puis proche de Martine Aubry (dans un département hollandais), le député de la 6<sup>e</sup> circonscription du Finistère était au cœur de tous les réseaux socialistes locaux avant de passer avec armes et bagages chez Macron, pour le compte duquel il a levé une petite armée de candidats bretons chargés de faire la peau aux socialistes.</p><p class="note"><strong><a href="http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/legislatives-2017/20170526.OBS9907/aux-legislatives-le-parachutage-est-legitime.html">L'Obs - "Aux législatives, le parachutage est légitime !"</a></strong></p><p class="note">Les députés sont des élus de la nation, et non des élus locaux, explique le politiste Michel Hastings.</p><p class="note">Selon la liste officielle publiée par le ministère de l’Intérieur, <a href="http://tempsreel.nouvelobs.com/en-direct/a-chaud/37463-legislatives2017-total-candidats-elections-legislatives.html" target="_blank" rel="noopener noreferrer">il y aura au total 7.882 candidats le 11 juin prochain</a>, lors du premier tour des législatives. C’est nettement plus qu’il y a cinq ans – ils étaient alors 6.541 – pour un nombre de sièges inchangés à l'Assemblée nationale (577). Soit une moyenne de 14 prétendants par circonscription.</p><div class="article-subhead"><strong><a href="http://www.liberation.fr/france/2017/05/31/haro-sur-cambadelis-le-roi-des-elephants_1573649">Libé - Un jour, une circo : Haro sur Cambadélis, le roi des éléphants</a></strong></div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead">Une nouvelle fois candidat dans la 16e circonscription de Paris, le premier secrétaire du PS est cerné par les jeunes pousses de Macron et de Mélenchon, qui rêvent de le faire tomber.</div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead">En difficulté dans son fief du XIX<sup>e</sup> arrondissement de Paris, Jean-Christophe Cambadélis fait figure de cible idéale. Dans ce nouveau monde, où il n’est question que de «renouveau» et de «société civile», le premier secrétaire du Parti socialiste, élu en 1988 lors du second mandat de François Mitterrand, incarne le temps qui passe. Les adversaires sont nombreux et viennent de partout. A l’extérieur du parti, comme à l’intérieur de son propre camp.</div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead"><strong><a href="http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/20170526.OBS9910/58-candidats-n-auraient-pas-pu-se-presenter-avec-la-loi-sur-la-moralisation-de-la-vie-politique.html">L'Obs - Avec la loi de moralisation de la vie publique, 58 candidats aux législatives auraient dû renoncer</a></strong></div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead">Sur les 7.882 candidats, 58 n'auraient pas pu se présenter aux prochaines élections législatives si la nouvelle loi était déjà entrée en vigueur...</div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead">Des candidats en sursis ? Si <a href="https://abonnes.nouvelobs.com/politique/20170522.OBS9687/bayou-lance-la-preparation-de-sa-loi-sur-la-moralisation-de-la-vie-politique.html" target="_blank" rel="noopener noreferrer">les douze propositions du député apparenté PS René Dosière</a> au ministre de la Justice, François Bayrou, qui pourraient être intégrées à <a href="http://tempsreel.nouvelobs.com/presidentielle-2017/20170519.OBS9647/moralisation-de-la-vie-politique-une-petite-revolution-se-prepare.html" target="_blank" rel="noopener noreferrer">la future loi sur la moralisation de la vie politique </a>étaient déjà en vigueur, 58 parlementaires n'auraient pas pu se représenter aux élections <a class="tag" href="http://tempsreel.nouvelobs.com/tag/legislatives-2012">législatives</a> des 11 et 18 juin prochains, <a href="http://www.leparisien.fr/elections/legislatives/candidats/moralisation-de-la-vie-politique-elus-deputes-trois-fois-de-suite-ils-sont-encore-candidats-24-05-2017-6980745.php" target="_blank" rel="noopener noreferrer">assure "Le Parisien"</a>.</div><p class="note"><strong><a href="http://www.liberation.fr/elections-presidentielle-legislatives-2017/2017/05/31/en-marche-l-ethique-elastique_1573618">Libé - En Marche, l'éthique élastique</a></strong></p><p class="note">Outre les très médiatisées polémiques touchant les ministres Ferrand et Sarnez, le mouvement d'Emmanuel Macron doit trancher sur une série de candidatures problématiques.</p><p class="note">Pas facile de faire advenir <em>«un nouveau monde, un monde de règles précises qui rétablissent la confiance dans les acteurs publics»</em>, dixit le Premier ministre Edouard Philippe mardi soir sur France 2. Surtout quand au sein de l’armada de pèlerins estampillés La République En Marche (LREM) censés porter le <em>«renouvellement»</em> des visages et des pratiques, un petit groupe trimballe quelques bruyantes casseroles de l’ancien monde.</p><div class="article-subhead"><strong><a href="http://www.liberation.fr/elections-presidentielle-legislatives-2017/2017/05/28/nord-de-paris-nous-aussi-on-est-deux-a-defendre-le-meme-projet_1572914">Libé - Un jour une circo - Nord de Paris : «Nous aussi, on est deux à défendre le même projet»</a></strong></div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead">Dans la 18e circonscription de la capitale, deux lignes radicalement opposées s’affrontent… à travers quatre candidats : alors que Myriam El Khomri (PS) et Pierre-Yves Bournazel (LR) soutiennent tous deux la majorité présidentielle, Caroline De Haas (EE-LV, Ensemble, PCF) et Paul Vannier (FI) sont en pointe contre les réformes du code du travail.</div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead"><span style="color: #ff0000;"><strong>MACRON</strong></span></div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead"><strong><span style="color: #0000ff;"><a style="color: #0000ff;" href="http://www.slate.fr/story/146271/macron-legislatives">Slate - Avec Emmanuel Macron, le Parti du Moindre Mal risque de faire très mal, Eric Dupin</a></span></strong> <br /><div class="social googleplus"> </div><div class="social googleplus">Profitant à plein de la présidentialisation et du scrutin majoritaire, le parti macronien est bien parti pour rafler une majorité absolue à l'Assemblée nationale. Sa position stratégique au centre, dans un contexte d'extrêmes influents, lui vaut un avantage décisif.</div><div class="social googleplus"> </div><div class="social googleplus">Même dans ses rêves les plus fous, François Bayrou n'aurait pu imaginer un scénario aussi inouï: une force centroïde capable de propulser une majorité absolue de députés à l'Assemblée nationale –de <a href="https://www.lesechos.fr/elections/legislatives-2017/030353242207-legislatives-la-vague-la-republique-en-marche-continue-de-monter-2089496.php" target="_blank">310 à 330 sièges, selon la dernière projection OpinionWay</a>. Et cela sans changer, le moins du monde, de mode de scrutin ou de logique institutionnelle.</div></div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead"><strong><a href="http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/20170531.OBS0110/comment-les-francais-voient-macron-le-benefice-du-doute.html">L'Obs - Comment les Français voient Macron : le bénéfice du doute</a></strong></div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead">Quels sont les ressorts de la popularité d'Emmanuel Macron ? L'institut BVA a recueilli les paroles de Français, Adrien Abecassis, l'ex-"monsieur opinion" de François Hollande, les décortique.</div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead"><strong>"Le sursis bienveillant"</strong>. C'est ainsi que l'on pourrait résumer le regard des Français envers leur nouveau Président. 62% des Français ont une bonne opinion de lui, selon l'Observatoire de la politique nationale BVA-Orange-La Tribune (terrain les 22 et 23 mai). C'est un niveau équivalent à ses prédécesseurs : immédiatement après son arrivée, François Mitterrand était crédité de 61% de bonnes opinions, Jacques Chirac 62%, Nicolas Sarkozy 63%, François Hollande 61%.</div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead"><a href="http://www.telos-eu.com/fr/politique-francaise-et-internationale/de-quel-liberalisme-emmanuel-macron-est-il-le-nom.html"><strong>Telos - De quel libéralisme Emmanuel Macron est-il le nom? Jérôme Perrier</strong></a></div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead">À
ylepapehttp://lactualitedessocialistes.hautetfort.com/about.htmlL'actualité des socialistes du 26 mai au 1er juintag:lactualitedessocialistes.hautetfort.com,2017-06-07:59511872017-06-07T08:00:00+02:002017-06-07T08:00:00+02:00 TRAVAIL Fondation Jean Jaurès - Comment travaillerons-nous demain ?...
<p class="note"><span style="color: #ff0000;"><strong>TRAVAIL</strong></span></p><p class="note"><strong><a href="https://jean-jaures.org/nos-productions/comment-travaillerons-nous-demain">Fondation Jean Jaurès - Comment travaillerons-nous demain ? Pierre-Yves Gomez, Cécile Jolly</a></strong></p><p class="note">Robots et révolution numérique redessinent le travail. Sera-t-il plus rare ou riche en nouveaux emplois, plus envahissant ou moins pénible ? Saurons-nous inventer de nouvelles protections pour les salariés et les indépendants ? Le magazine <em>Alternatives économiques</em> et la Fondation Jean-Jaurès ont fait débattre plusieurs experts autour de questions clés touchant à l’avenir du travail, pendant que Pôle Emploi, grâce à ses vastes études et enquêtes, propose huit tendances pour l’emploi de demain. Présentes sous forme de dossier dans le numéro de mai du magazine, ces contributions sont à retrouver durant tout le mois de juin sur les sites de deux partenaires. <br /> Pour entamer ce cycle de publications, Cécile Jolly et Pierre-Yves Gomez exposent leur conception du travail et des principales tendances aujourd’hui à l’œuvre. La première de nos cinq controverses sur le travail de demain.</p><p><span style="color: #ff0000;"><strong>DEMOCRATIE PARTICIPATIVE</strong></span></p><p><strong><a href="http://www.slate.fr/story/142472/ou-va-la-democratie-participative">Slate - «La démocratie participative est une tentative de réponse à la contestation de la légitimité des décisions publiques»</a></strong></p><p>De plus en plus d'initiatives visent à redonner la parole au peuple. Jusqu'où peuvent-elles s'imposer? Avec quelle efficacité? Rencontre avec le chercheur Loïc Blondiaux, spécialiste du sujet.</p><p>Professeur de science politique à l'université Paris I Panthéon-Sorbonne, chercheur au Centre européen de sociologie et de science politique (CESSP/CNRS), Loïc Blondiaux est un spécialiste reconnu de la démocratie participative en France, mais aussi en Finlande, en Italie, au Canada, au Chili et aux États-Unis (autant de pays où il a enseigné).</p><p>Il a publié notamment <a href="https://www.amazon.fr/fabrique-lopinion-histoire-sociale-sondages/dp/2020296977" target="_blank"><em>La Fabrique de l'opinion. Une histoire sociale des sondages </em></a>(Seuil, 1996) et <em>Le Nouvel esprit de la démocratie. Actualité de la démocratie participative</em> (Seuil, 2008). Il s'entretient ici avec Damien Augias, responsable du pôle politique de Nonfiction, à propos des pratiques actuelles et à venir de démocatie participative, en particulier au niveau local.</p><p><span style="color: #ff0000;"><strong>INEGALITES</strong></span></p><p><strong><a href="http://www.latribune.fr/economie/france/les-pauvres-sont-de-plus-en-plus-pauvres-selon-l-observatoire-des-inegalites-726446.html">La Tribune - Les pauvres sont... de plus en plus pauvres, alerte l'Observatoire des inégalités</a></strong></p><p>L'Observatoire des inégalités a publié son second rapport. Il dresse un état des lieux complet sur les inégalités en France en matière de revenus, de patrimoine, d'éducation, etc. Il met en exergue un phénomène inquiétant: depuis quelques années, la pauvreté ne régresse plus. Au contraire, les pauvres ont tendance à s'appauvrir davantage.</p><p><strong><a href="http://www.inegalites.fr/spip.php?page=analyse&id_article=2289&id_rubrique=64&id_mot=30&id_groupe=9">Observatoire des inégalités - Inégalités : une hypocrisie française</a></strong></p><div id="texte_article"><p><span class="date">30 mai 2017 - </span>Les inégalités de revenus progressent parce que les plus favorisés en veulent toujours plus. Soit on assume le phénomène, soit on se donne les moyens d’une plus grande solidarité. Par Anne Brunner et Louis Maurin de l’Observatoire des inégalités. Extrait du « Rapport sur les inégalités en France, édition 2017 ».</p></div><p><strong><a href="http://www.inegalites.fr/spip.php?page=analyse&id_article=2288&id_rubrique=64&id_mot=30&id_groupe=9">Observatoire des inégalités - Inégalités : le débat n’a toujours pas eu lieu</a></strong></p><div id="texte_article"><p><span class="date">23 mai 2017 - </span>Le sentiment d’injustice croît dans notre pays. Pourtant, le débat politique ne peut se résumer à l’alternative proposée par les deux finalistes de l’élection présidentielle : protection identitaire dans un camp, libéralisme individualiste dans l’autre. Le point de vue de Patrick Savidan, professeur de philosophie politique et président de l’Observatoire des inégalités. Extrait du quotidien Libération.</p></div><p><span style="color: #ff0000;"><strong>PS</strong></span></p><p><strong><a href="http://www.francetvinfo.fr/politique/benoit-hamon/politique-le-parti-socialiste-au-plus-bas_2214100.html">France 3 - Politique : le Parti socialiste au plus bas</a></strong></p><p>Les élections législatives s'annoncent tendues pour le PS. France 3 fait le point sur la situation.</p><p>Depuis la défaite de Benoît Hamon au premier tour de l'élection présidentielle 2017, le Parti socialiste ne parvient pas à se relever. Avec 6,35% des voix, l'un des plus faibles scores de son histoire, le <a href="http://www.francetvinfo.fr/politique/ps/le-parti-socialiste-menace-d-eclatement_2184651.html">parti est même menacé de disparition</a>. Pour les législatives, Bernard Cazeneuve, sans être candidat, mène la bataille pour son parti. Pour lui, la gauche ne doit pas se résumer à celle de Jean-Luc Mélenchon.</p><p><strong><a href="http://www.lexpress.fr/actualite/politique/elections/legislatives-pris-en-tenaille-le-ps-menace-d-une-deroute-historique_1913073.html">L'Express - Législatives: pris en tenaille, le PS menacé d'une déroute historique</a></strong></p><p>Les élections législatives s'annoncent périlleuses pour le PS, qui pourrait bien connaître son pire résultat de la Ve République, dans le sillage de son score à la présidentielle de 6,3%.</p><p>Que restera-t-il du Parti socialiste le 18 juin prochain? Au lendemain d'un <a href="http://www.lexpress.fr/actualite/politique/elections/a-la-mutualite-la-sideration-des-partisans-de-benoit-hamon_1901562.html" target="_self">échec cuisant</a> à <a href="http://www.lexpress.fr/actualite/politique/elections/presidentielle-2017/" target="_self">l'élection présidentielle</a>, le PS est promis à une déroute historique aux législatives. La "Bérézina" de 1993 - seuls 57 postes de députés avaient été sauvés - pourrait même être largement amplifiée. </p><p><strong><a href="http://www.rtl.fr/actu/politique/jean-christophe-cambadelis-doit-quitter-la-direction-du-ps-selon-thierry-mandon-7788753917">RTL - Jean-Christophe Cambadélis doit quitter la direction du PS, selon Thierry Mandon</a></strong></p><p>L'ancien secrétaire d'État plaide pour une "direction collégiale", et cite plusieurs noms pour la composer : Najat Vallaud-Belkacem, Matthias Fekl ou encore Olivier Faure.</p><p>"<strong>Tout changer, cela passe aussi par un changement de direction</strong>, pour pouvoir passer le relais à une nouvelle génération". Les mots de Thierry Mandon, ancien secrétaire d'État pendant le mandat de François Hollande sont clairs : Jean-Christophe Cambadélis, actuel Premier secrétaire du Parti socialiste <strong>doit abandonner la direction du PS</strong>. </p><p><strong><a href="http://www.liberation.fr/elections-presidentielle-legislatives-2017/2017/05/21/se-mobiliser-aujourd-hui-pour-reinventer-la-gauche-demain_1571157">Libé - Se mobiliser aujourd’hui pour réinventer la gauche demain</a></strong></p><p>L’avenir ne peut être le simple retour au projet social-démocrate porté par le PS depuis vingt ans. Il faut défendre désormais une social-écologie réformiste qui transforme la société en profondeur et réponde aux nouveaux défis du XXIe siècle.</p><p><strong>Signataires :</strong></p><p><strong>Nathalie Appéré</strong> Députée-maire de Rennes<strong> Olivier Bianchi</strong> Maire de Clermont-Ferrand, président de Clermont Auvergne Métropole<strong> Jean-François Debat</strong> Maire de Bourg-en-Bresse, président du groupe socialiste et démocrate au conseil régional Auvergne-Rhône-Alpes <strong>Carole Delga</strong> Ancienne ministre, présidente du conseil régional d’Occitanie <strong>Olivier Dussopt</strong> Député-maire d’Annonay <strong>Olivier Faure</strong> Député de Seine-et-Marne, président du groupe socialiste à l’Assemblée nationale <strong>Matthias Fekl</strong> Ancien ministre, député du Lot-et-Garonne <strong>Estelle Grelier</strong> Ancienne ministre, députée de Seine-Maritime <strong>Mathieu Klein</strong> Président du conseil départemental de Meurthe-et-Moselle <strong>Johanna Rolland</strong> Maire de Nantes <strong>Najat Vallaud-Belkacem</strong> Ancienne ministre <strong>André Viola</strong> Président du conseil départemental de l’Aude </p><p class="note"><span style="color: #ff0000;"><strong>PRELEVEMENT A LA SOURCE</strong></span></p><p class="note"><strong><a href="http://www.latribune.fr/opinions/tribunes/prelevement-a-la-source-une-experimentation-progressive-plutot-qu-un-report-a-perpetuite-714788.html">La Tribune - Prélèvement à la source : une expérimentation progressive plutôt qu'un report à perpétuité</a></strong></p><p class="note">Le projet de retenue à la source de l'impôt conçu par Bercy parait condamné par ses choix insensés. Il faut sans attendre relancer un schéma de synchronisation progressive entre les revenus courants et le paiement des acomptes de l'impôt sur le revenu. Des solutions simples existent, qui permettraient, en s'appuyant sur les investissements réalisés, de réussir sur la durée du quinquennat cette modernisation attendue de notre gestion fiscale. Par Marc Wolf, avocat fiscaliste et ancien directeur adjoint à la Direction Générale des Impôts.</p><p class="note"><span style="color: #ff0000;"><strong>LEGISLATIVES</strong></span></p><p class="note"><strong><a href="http://www.liberation.fr/elections-presidentielle-legislatives-2017/2017/05/30/le-ps-defaitiste-face-au-depute-des-fraises-et-des-moutons_1573449">Libé - Le PS défaitiste face au «député des fraises et des moutons»</a></strong></p><p class="note">Des élus bretons pointent un effet de sidération dans leur région après les révélations sur Richard Ferrand, mais leur espoir de battre cette célébrité locale est mince.</p><p class="note"><em>«En Bretagne, nous sommes sur des terres granitiques : tout infuse lentement mais sûrement.»</em> A moins de deux semaines du premier tour des législatives, la gauche du Finistère, déjà bien sonnée par la recomposition politique au niveau national, se retrouve déboussolée par la tourmente Ferrand. Elu du cru, ancien représentant local d’Henri Emmanuelli (dans une fédération rocardienne) puis proche de Martine Aubry (dans un département hollandais), le député de la 6<sup>e</sup> circonscription du Finistère était au cœur de tous les réseaux socialistes locaux avant de passer avec armes et bagages chez Macron, pour le compte duquel il a levé une petite armée de candidats bretons chargés de faire la peau aux socialistes.</p><p class="note"><strong><a href="http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/legislatives-2017/20170526.OBS9907/aux-legislatives-le-parachutage-est-legitime.html">L'Obs - "Aux législatives, le parachutage est légitime !"</a></strong></p><p class="note">Les députés sont des élus de la nation, et non des élus locaux, explique le politiste Michel Hastings.</p><p class="note">Selon la liste officielle publiée par le ministère de l’Intérieur, <a href="http://tempsreel.nouvelobs.com/en-direct/a-chaud/37463-legislatives2017-total-candidats-elections-legislatives.html" target="_blank" rel="noopener noreferrer">il y aura au total 7.882 candidats le 11 juin prochain</a>, lors du premier tour des législatives. C’est nettement plus qu’il y a cinq ans – ils étaient alors 6.541 – pour un nombre de sièges inchangés à l'Assemblée nationale (577). Soit une moyenne de 14 prétendants par circonscription.</p><div class="article-subhead"><strong><a href="http://www.liberation.fr/france/2017/05/31/haro-sur-cambadelis-le-roi-des-elephants_1573649">Libé - Un jour, une circo : Haro sur Cambadélis, le roi des éléphants</a></strong></div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead">Une nouvelle fois candidat dans la 16e circonscription de Paris, le premier secrétaire du PS est cerné par les jeunes pousses de Macron et de Mélenchon, qui rêvent de le faire tomber.</div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead">En difficulté dans son fief du XIX<sup>e</sup> arrondissement de Paris, Jean-Christophe Cambadélis fait figure de cible idéale. Dans ce nouveau monde, où il n’est question que de «renouveau» et de «société civile», le premier secrétaire du Parti socialiste, élu en 1988 lors du second mandat de François Mitterrand, incarne le temps qui passe. Les adversaires sont nombreux et viennent de partout. A l’extérieur du parti, comme à l’intérieur de son propre camp.</div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead"><strong><a href="http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/20170526.OBS9910/58-candidats-n-auraient-pas-pu-se-presenter-avec-la-loi-sur-la-moralisation-de-la-vie-politique.html">L'Obs - Avec la loi de moralisation de la vie publique, 58 candidats aux législatives auraient dû renoncer</a></strong></div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead">Sur les 7.882 candidats, 58 n'auraient pas pu se présenter aux prochaines élections législatives si la nouvelle loi était déjà entrée en vigueur...</div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead">Des candidats en sursis ? Si <a href="https://abonnes.nouvelobs.com/politique/20170522.OBS9687/bayou-lance-la-preparation-de-sa-loi-sur-la-moralisation-de-la-vie-politique.html" target="_blank" rel="noopener noreferrer">les douze propositions du député apparenté PS René Dosière</a> au ministre de la Justice, François Bayrou, qui pourraient être intégrées à <a href="http://tempsreel.nouvelobs.com/presidentielle-2017/20170519.OBS9647/moralisation-de-la-vie-politique-une-petite-revolution-se-prepare.html" target="_blank" rel="noopener noreferrer">la future loi sur la moralisation de la vie politique </a>étaient déjà en vigueur, 58 parlementaires n'auraient pas pu se représenter aux élections <a class="tag" href="http://tempsreel.nouvelobs.com/tag/legislatives-2012">législatives</a> des 11 et 18 juin prochains, <a href="http://www.leparisien.fr/elections/legislatives/candidats/moralisation-de-la-vie-politique-elus-deputes-trois-fois-de-suite-ils-sont-encore-candidats-24-05-2017-6980745.php" target="_blank" rel="noopener noreferrer">assure "Le Parisien"</a>.</div><p class="note"><strong><a href="http://www.liberation.fr/elections-presidentielle-legislatives-2017/2017/05/31/en-marche-l-ethique-elastique_1573618">Libé - En Marche, l'éthique élastique</a></strong></p><p class="note">Outre les très médiatisées polémiques touchant les ministres Ferrand et Sarnez, le mouvement d'Emmanuel Macron doit trancher sur une série de candidatures problématiques.</p><p class="note">Pas facile de faire advenir <em>«un nouveau monde, un monde de règles précises qui rétablissent la confiance dans les acteurs publics»</em>, dixit le Premier ministre Edouard Philippe mardi soir sur France 2. Surtout quand au sein de l’armada de pèlerins estampillés La République En Marche (LREM) censés porter le <em>«renouvellement»</em> des visages et des pratiques, un petit groupe trimballe quelques bruyantes casseroles de l’ancien monde.</p><div class="article-subhead"><strong><a href="http://www.liberation.fr/elections-presidentielle-legislatives-2017/2017/05/28/nord-de-paris-nous-aussi-on-est-deux-a-defendre-le-meme-projet_1572914">Libé - Un jour une circo - Nord de Paris : «Nous aussi, on est deux à défendre le même projet»</a></strong></div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead">Dans la 18e circonscription de la capitale, deux lignes radicalement opposées s’affrontent… à travers quatre candidats : alors que Myriam El Khomri (PS) et Pierre-Yves Bournazel (LR) soutiennent tous deux la majorité présidentielle, Caroline De Haas (EE-LV, Ensemble, PCF) et Paul Vannier (FI) sont en pointe contre les réformes du code du travail.</div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead"><span style="color: #ff0000;"><strong>MACRON</strong></span></div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead"><strong><span style="color: #0000ff;"><a style="color: #0000ff;" href="http://www.slate.fr/story/146271/macron-legislatives">Slate - Avec Emmanuel Macron, le Parti du Moindre Mal risque de faire très mal, Eric Dupin</a></span></strong> <br /><div class="social googleplus"> </div><div class="social googleplus">Profitant à plein de la présidentialisation et du scrutin majoritaire, le parti macronien est bien parti pour rafler une majorité absolue à l'Assemblée nationale. Sa position stratégique au centre, dans un contexte d'extrêmes influents, lui vaut un avantage décisif.</div><div class="social googleplus"> </div><div class="social googleplus">Même dans ses rêves les plus fous, François Bayrou n'aurait pu imaginer un scénario aussi inouï: une force centroïde capable de propulser une majorité absolue de députés à l'Assemblée nationale –de <a href="https://www.lesechos.fr/elections/legislatives-2017/030353242207-legislatives-la-vague-la-republique-en-marche-continue-de-monter-2089496.php" target="_blank">310 à 330 sièges, selon la dernière projection OpinionWay</a>. Et cela sans changer, le moins du monde, de mode de scrutin ou de logique institutionnelle.</div></div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead"><strong><a href="http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/20170531.OBS0110/comment-les-francais-voient-macron-le-benefice-du-doute.html">L'Obs - Comment les Français voient Macron : le bénéfice du doute</a></strong></div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead">Quels sont les ressorts de la popularité d'Emmanuel Macron ? L'institut BVA a recueilli les paroles de Français, Adrien Abecassis, l'ex-"monsieur opinion" de François Hollande, les décortique.</div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead"><strong>"Le sursis bienveillant"</strong>. C'est ainsi que l'on pourrait résumer le regard des Français envers leur nouveau Président. 62% des Français ont une bonne opinion de lui, selon l'Observatoire de la politique nationale BVA-Orange-La Tribune (terrain les 22 et 23 mai). C'est un niveau équivalent à ses prédécesseurs : immédiatement après son arrivée, François Mitterrand était crédité de 61% de bonnes opinions, Jacques Chirac 62%, Nicolas Sarkozy 63%, François Hollande 61%.</div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead"><a href="http://www.telos-eu.com/fr/politique-francaise-et-internationale/de-quel-liberalisme-emmanuel-macron-est-il-le-nom.html"><strong>Telos - De quel libéralisme Emmanuel Macron est-il le nom? Jérôme Perrier</strong></a></div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead">À
ylepapehttp://lactualitedessocialistes.hautetfort.com/about.htmlL'actualité des socialistes du 26 mai au 1er juintag:lactualitedessocialistes.hautetfort.com,2017-06-06:59511862017-06-06T08:00:00+02:002017-06-06T08:00:00+02:00 TRAVAIL Fondation Jean Jaurès - Comment travaillerons-nous demain ?...
<p class="note"><span style="color: #ff0000;"><strong>TRAVAIL</strong></span></p><p class="note"><strong><a href="https://jean-jaures.org/nos-productions/comment-travaillerons-nous-demain">Fondation Jean Jaurès - Comment travaillerons-nous demain ? Pierre-Yves Gomez, Cécile Jolly</a></strong></p><p class="note">Robots et révolution numérique redessinent le travail. Sera-t-il plus rare ou riche en nouveaux emplois, plus envahissant ou moins pénible ? Saurons-nous inventer de nouvelles protections pour les salariés et les indépendants ? Le magazine <em>Alternatives économiques</em> et la Fondation Jean-Jaurès ont fait débattre plusieurs experts autour de questions clés touchant à l’avenir du travail, pendant que Pôle Emploi, grâce à ses vastes études et enquêtes, propose huit tendances pour l’emploi de demain. Présentes sous forme de dossier dans le numéro de mai du magazine, ces contributions sont à retrouver durant tout le mois de juin sur les sites de deux partenaires. <br /> Pour entamer ce cycle de publications, Cécile Jolly et Pierre-Yves Gomez exposent leur conception du travail et des principales tendances aujourd’hui à l’œuvre. La première de nos cinq controverses sur le travail de demain.</p><p><span style="color: #ff0000;"><strong>DEMOCRATIE PARTICIPATIVE</strong></span></p><p><strong><a href="http://www.slate.fr/story/142472/ou-va-la-democratie-participative">Slate - «La démocratie participative est une tentative de réponse à la contestation de la légitimité des décisions publiques»</a></strong></p><p>De plus en plus d'initiatives visent à redonner la parole au peuple. Jusqu'où peuvent-elles s'imposer? Avec quelle efficacité? Rencontre avec le chercheur Loïc Blondiaux, spécialiste du sujet.</p><p>Professeur de science politique à l'université Paris I Panthéon-Sorbonne, chercheur au Centre européen de sociologie et de science politique (CESSP/CNRS), Loïc Blondiaux est un spécialiste reconnu de la démocratie participative en France, mais aussi en Finlande, en Italie, au Canada, au Chili et aux États-Unis (autant de pays où il a enseigné).</p><p>Il a publié notamment <a href="https://www.amazon.fr/fabrique-lopinion-histoire-sociale-sondages/dp/2020296977" target="_blank"><em>La Fabrique de l'opinion. Une histoire sociale des sondages </em></a>(Seuil, 1996) et <em>Le Nouvel esprit de la démocratie. Actualité de la démocratie participative</em> (Seuil, 2008). Il s'entretient ici avec Damien Augias, responsable du pôle politique de Nonfiction, à propos des pratiques actuelles et à venir de démocatie participative, en particulier au niveau local.</p><p><span style="color: #ff0000;"><strong>INEGALITES</strong></span></p><p><strong><a href="http://www.latribune.fr/economie/france/les-pauvres-sont-de-plus-en-plus-pauvres-selon-l-observatoire-des-inegalites-726446.html">La Tribune - Les pauvres sont... de plus en plus pauvres, alerte l'Observatoire des inégalités</a></strong></p><p>L'Observatoire des inégalités a publié son second rapport. Il dresse un état des lieux complet sur les inégalités en France en matière de revenus, de patrimoine, d'éducation, etc. Il met en exergue un phénomène inquiétant: depuis quelques années, la pauvreté ne régresse plus. Au contraire, les pauvres ont tendance à s'appauvrir davantage.</p><p><strong><a href="http://www.inegalites.fr/spip.php?page=analyse&id_article=2289&id_rubrique=64&id_mot=30&id_groupe=9">Observatoire des inégalités - Inégalités : une hypocrisie française</a></strong></p><div id="texte_article"><p><span class="date">30 mai 2017 - </span>Les inégalités de revenus progressent parce que les plus favorisés en veulent toujours plus. Soit on assume le phénomène, soit on se donne les moyens d’une plus grande solidarité. Par Anne Brunner et Louis Maurin de l’Observatoire des inégalités. Extrait du « Rapport sur les inégalités en France, édition 2017 ».</p></div><p><strong><a href="http://www.inegalites.fr/spip.php?page=analyse&id_article=2288&id_rubrique=64&id_mot=30&id_groupe=9">Observatoire des inégalités - Inégalités : le débat n’a toujours pas eu lieu</a></strong></p><div id="texte_article"><p><span class="date">23 mai 2017 - </span>Le sentiment d’injustice croît dans notre pays. Pourtant, le débat politique ne peut se résumer à l’alternative proposée par les deux finalistes de l’élection présidentielle : protection identitaire dans un camp, libéralisme individualiste dans l’autre. Le point de vue de Patrick Savidan, professeur de philosophie politique et président de l’Observatoire des inégalités. Extrait du quotidien Libération.</p></div><p><span style="color: #ff0000;"><strong>PS</strong></span></p><p><strong><a href="http://www.francetvinfo.fr/politique/benoit-hamon/politique-le-parti-socialiste-au-plus-bas_2214100.html">France 3 - Politique : le Parti socialiste au plus bas</a></strong></p><p>Les élections législatives s'annoncent tendues pour le PS. France 3 fait le point sur la situation.</p><p>Depuis la défaite de Benoît Hamon au premier tour de l'élection présidentielle 2017, le Parti socialiste ne parvient pas à se relever. Avec 6,35% des voix, l'un des plus faibles scores de son histoire, le <a href="http://www.francetvinfo.fr/politique/ps/le-parti-socialiste-menace-d-eclatement_2184651.html">parti est même menacé de disparition</a>. Pour les législatives, Bernard Cazeneuve, sans être candidat, mène la bataille pour son parti. Pour lui, la gauche ne doit pas se résumer à celle de Jean-Luc Mélenchon.</p><p><strong><a href="http://www.lexpress.fr/actualite/politique/elections/legislatives-pris-en-tenaille-le-ps-menace-d-une-deroute-historique_1913073.html">L'Express - Législatives: pris en tenaille, le PS menacé d'une déroute historique</a></strong></p><p>Les élections législatives s'annoncent périlleuses pour le PS, qui pourrait bien connaître son pire résultat de la Ve République, dans le sillage de son score à la présidentielle de 6,3%.</p><p>Que restera-t-il du Parti socialiste le 18 juin prochain? Au lendemain d'un <a href="http://www.lexpress.fr/actualite/politique/elections/a-la-mutualite-la-sideration-des-partisans-de-benoit-hamon_1901562.html" target="_self">échec cuisant</a> à <a href="http://www.lexpress.fr/actualite/politique/elections/presidentielle-2017/" target="_self">l'élection présidentielle</a>, le PS est promis à une déroute historique aux législatives. La "Bérézina" de 1993 - seuls 57 postes de députés avaient été sauvés - pourrait même être largement amplifiée. </p><p><strong><a href="http://www.rtl.fr/actu/politique/jean-christophe-cambadelis-doit-quitter-la-direction-du-ps-selon-thierry-mandon-7788753917">RTL - Jean-Christophe Cambadélis doit quitter la direction du PS, selon Thierry Mandon</a></strong></p><p>L'ancien secrétaire d'État plaide pour une "direction collégiale", et cite plusieurs noms pour la composer : Najat Vallaud-Belkacem, Matthias Fekl ou encore Olivier Faure.</p><p>"<strong>Tout changer, cela passe aussi par un changement de direction</strong>, pour pouvoir passer le relais à une nouvelle génération". Les mots de Thierry Mandon, ancien secrétaire d'État pendant le mandat de François Hollande sont clairs : Jean-Christophe Cambadélis, actuel Premier secrétaire du Parti socialiste <strong>doit abandonner la direction du PS</strong>. </p><p><strong><a href="http://www.liberation.fr/elections-presidentielle-legislatives-2017/2017/05/21/se-mobiliser-aujourd-hui-pour-reinventer-la-gauche-demain_1571157">Libé - Se mobiliser aujourd’hui pour réinventer la gauche demain</a></strong></p><p>L’avenir ne peut être le simple retour au projet social-démocrate porté par le PS depuis vingt ans. Il faut défendre désormais une social-écologie réformiste qui transforme la société en profondeur et réponde aux nouveaux défis du XXIe siècle.</p><p><strong>Signataires :</strong></p><p><strong>Nathalie Appéré</strong> Députée-maire de Rennes<strong> Olivier Bianchi</strong> Maire de Clermont-Ferrand, président de Clermont Auvergne Métropole<strong> Jean-François Debat</strong> Maire de Bourg-en-Bresse, président du groupe socialiste et démocrate au conseil régional Auvergne-Rhône-Alpes <strong>Carole Delga</strong> Ancienne ministre, présidente du conseil régional d’Occitanie <strong>Olivier Dussopt</strong> Député-maire d’Annonay <strong>Olivier Faure</strong> Député de Seine-et-Marne, président du groupe socialiste à l’Assemblée nationale <strong>Matthias Fekl</strong> Ancien ministre, député du Lot-et-Garonne <strong>Estelle Grelier</strong> Ancienne ministre, députée de Seine-Maritime <strong>Mathieu Klein</strong> Président du conseil départemental de Meurthe-et-Moselle <strong>Johanna Rolland</strong> Maire de Nantes <strong>Najat Vallaud-Belkacem</strong> Ancienne ministre <strong>André Viola</strong> Président du conseil départemental de l’Aude </p><p class="note"><span style="color: #ff0000;"><strong>PRELEVEMENT A LA SOURCE</strong></span></p><p class="note"><strong><a href="http://www.latribune.fr/opinions/tribunes/prelevement-a-la-source-une-experimentation-progressive-plutot-qu-un-report-a-perpetuite-714788.html">La Tribune - Prélèvement à la source : une expérimentation progressive plutôt qu'un report à perpétuité</a></strong></p><p class="note">Le projet de retenue à la source de l'impôt conçu par Bercy parait condamné par ses choix insensés. Il faut sans attendre relancer un schéma de synchronisation progressive entre les revenus courants et le paiement des acomptes de l'impôt sur le revenu. Des solutions simples existent, qui permettraient, en s'appuyant sur les investissements réalisés, de réussir sur la durée du quinquennat cette modernisation attendue de notre gestion fiscale. Par Marc Wolf, avocat fiscaliste et ancien directeur adjoint à la Direction Générale des Impôts.</p><p class="note"><span style="color: #ff0000;"><strong>LEGISLATIVES</strong></span></p><p class="note"><strong><a href="http://www.liberation.fr/elections-presidentielle-legislatives-2017/2017/05/30/le-ps-defaitiste-face-au-depute-des-fraises-et-des-moutons_1573449">Libé - Le PS défaitiste face au «député des fraises et des moutons»</a></strong></p><p class="note">Des élus bretons pointent un effet de sidération dans leur région après les révélations sur Richard Ferrand, mais leur espoir de battre cette célébrité locale est mince.</p><p class="note"><em>«En Bretagne, nous sommes sur des terres granitiques : tout infuse lentement mais sûrement.»</em> A moins de deux semaines du premier tour des législatives, la gauche du Finistère, déjà bien sonnée par la recomposition politique au niveau national, se retrouve déboussolée par la tourmente Ferrand. Elu du cru, ancien représentant local d’Henri Emmanuelli (dans une fédération rocardienne) puis proche de Martine Aubry (dans un département hollandais), le député de la 6<sup>e</sup> circonscription du Finistère était au cœur de tous les réseaux socialistes locaux avant de passer avec armes et bagages chez Macron, pour le compte duquel il a levé une petite armée de candidats bretons chargés de faire la peau aux socialistes.</p><p class="note"><strong><a href="http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/legislatives-2017/20170526.OBS9907/aux-legislatives-le-parachutage-est-legitime.html">L'Obs - "Aux législatives, le parachutage est légitime !"</a></strong></p><p class="note">Les députés sont des élus de la nation, et non des élus locaux, explique le politiste Michel Hastings.</p><p class="note">Selon la liste officielle publiée par le ministère de l’Intérieur, <a href="http://tempsreel.nouvelobs.com/en-direct/a-chaud/37463-legislatives2017-total-candidats-elections-legislatives.html" target="_blank" rel="noopener noreferrer">il y aura au total 7.882 candidats le 11 juin prochain</a>, lors du premier tour des législatives. C’est nettement plus qu’il y a cinq ans – ils étaient alors 6.541 – pour un nombre de sièges inchangés à l'Assemblée nationale (577). Soit une moyenne de 14 prétendants par circonscription.</p><div class="article-subhead"><strong><a href="http://www.liberation.fr/france/2017/05/31/haro-sur-cambadelis-le-roi-des-elephants_1573649">Libé - Un jour, une circo : Haro sur Cambadélis, le roi des éléphants</a></strong></div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead">Une nouvelle fois candidat dans la 16e circonscription de Paris, le premier secrétaire du PS est cerné par les jeunes pousses de Macron et de Mélenchon, qui rêvent de le faire tomber.</div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead">En difficulté dans son fief du XIX<sup>e</sup> arrondissement de Paris, Jean-Christophe Cambadélis fait figure de cible idéale. Dans ce nouveau monde, où il n’est question que de «renouveau» et de «société civile», le premier secrétaire du Parti socialiste, élu en 1988 lors du second mandat de François Mitterrand, incarne le temps qui passe. Les adversaires sont nombreux et viennent de partout. A l’extérieur du parti, comme à l’intérieur de son propre camp.</div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead"><strong><a href="http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/20170526.OBS9910/58-candidats-n-auraient-pas-pu-se-presenter-avec-la-loi-sur-la-moralisation-de-la-vie-politique.html">L'Obs - Avec la loi de moralisation de la vie publique, 58 candidats aux législatives auraient dû renoncer</a></strong></div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead">Sur les 7.882 candidats, 58 n'auraient pas pu se présenter aux prochaines élections législatives si la nouvelle loi était déjà entrée en vigueur...</div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead">Des candidats en sursis ? Si <a href="https://abonnes.nouvelobs.com/politique/20170522.OBS9687/bayou-lance-la-preparation-de-sa-loi-sur-la-moralisation-de-la-vie-politique.html" target="_blank" rel="noopener noreferrer">les douze propositions du député apparenté PS René Dosière</a> au ministre de la Justice, François Bayrou, qui pourraient être intégrées à <a href="http://tempsreel.nouvelobs.com/presidentielle-2017/20170519.OBS9647/moralisation-de-la-vie-politique-une-petite-revolution-se-prepare.html" target="_blank" rel="noopener noreferrer">la future loi sur la moralisation de la vie politique </a>étaient déjà en vigueur, 58 parlementaires n'auraient pas pu se représenter aux élections <a class="tag" href="http://tempsreel.nouvelobs.com/tag/legislatives-2012">législatives</a> des 11 et 18 juin prochains, <a href="http://www.leparisien.fr/elections/legislatives/candidats/moralisation-de-la-vie-politique-elus-deputes-trois-fois-de-suite-ils-sont-encore-candidats-24-05-2017-6980745.php" target="_blank" rel="noopener noreferrer">assure "Le Parisien"</a>.</div><p class="note"><strong><a href="http://www.liberation.fr/elections-presidentielle-legislatives-2017/2017/05/31/en-marche-l-ethique-elastique_1573618">Libé - En Marche, l'éthique élastique</a></strong></p><p class="note">Outre les très médiatisées polémiques touchant les ministres Ferrand et Sarnez, le mouvement d'Emmanuel Macron doit trancher sur une série de candidatures problématiques.</p><p class="note">Pas facile de faire advenir <em>«un nouveau monde, un monde de règles précises qui rétablissent la confiance dans les acteurs publics»</em>, dixit le Premier ministre Edouard Philippe mardi soir sur France 2. Surtout quand au sein de l’armada de pèlerins estampillés La République En Marche (LREM) censés porter le <em>«renouvellement»</em> des visages et des pratiques, un petit groupe trimballe quelques bruyantes casseroles de l’ancien monde.</p><div class="article-subhead"><strong><a href="http://www.liberation.fr/elections-presidentielle-legislatives-2017/2017/05/28/nord-de-paris-nous-aussi-on-est-deux-a-defendre-le-meme-projet_1572914">Libé - Un jour une circo - Nord de Paris : «Nous aussi, on est deux à défendre le même projet»</a></strong></div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead">Dans la 18e circonscription de la capitale, deux lignes radicalement opposées s’affrontent… à travers quatre candidats : alors que Myriam El Khomri (PS) et Pierre-Yves Bournazel (LR) soutiennent tous deux la majorité présidentielle, Caroline De Haas (EE-LV, Ensemble, PCF) et Paul Vannier (FI) sont en pointe contre les réformes du code du travail.</div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead"><span style="color: #ff0000;"><strong>MACRON</strong></span></div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead"><strong><span style="color: #0000ff;"><a style="color: #0000ff;" href="http://www.slate.fr/story/146271/macron-legislatives">Slate - Avec Emmanuel Macron, le Parti du Moindre Mal risque de faire très mal, Eric Dupin</a></span></strong> <br /><div class="social googleplus"> </div><div class="social googleplus">Profitant à plein de la présidentialisation et du scrutin majoritaire, le parti macronien est bien parti pour rafler une majorité absolue à l'Assemblée nationale. Sa position stratégique au centre, dans un contexte d'extrêmes influents, lui vaut un avantage décisif.</div><div class="social googleplus"> </div><div class="social googleplus">Même dans ses rêves les plus fous, François Bayrou n'aurait pu imaginer un scénario aussi inouï: une force centroïde capable de propulser une majorité absolue de députés à l'Assemblée nationale –de <a href="https://www.lesechos.fr/elections/legislatives-2017/030353242207-legislatives-la-vague-la-republique-en-marche-continue-de-monter-2089496.php" target="_blank">310 à 330 sièges, selon la dernière projection OpinionWay</a>. Et cela sans changer, le moins du monde, de mode de scrutin ou de logique institutionnelle.</div></div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead"><strong><a href="http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/20170531.OBS0110/comment-les-francais-voient-macron-le-benefice-du-doute.html">L'Obs - Comment les Français voient Macron : le bénéfice du doute</a></strong></div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead">Quels sont les ressorts de la popularité d'Emmanuel Macron ? L'institut BVA a recueilli les paroles de Français, Adrien Abecassis, l'ex-"monsieur opinion" de François Hollande, les décortique.</div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead"><strong>"Le sursis bienveillant"</strong>. C'est ainsi que l'on pourrait résumer le regard des Français envers leur nouveau Président. 62% des Français ont une bonne opinion de lui, selon l'Observatoire de la politique nationale BVA-Orange-La Tribune (terrain les 22 et 23 mai). C'est un niveau équivalent à ses prédécesseurs : immédiatement après son arrivée, François Mitterrand était crédité de 61% de bonnes opinions, Jacques Chirac 62%, Nicolas Sarkozy 63%, François Hollande 61%.</div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead"><a href="http://www.telos-eu.com/fr/politique-francaise-et-internationale/de-quel-liberalisme-emmanuel-macron-est-il-le-nom.html"><strong>Telos - De quel libéralisme Emmanuel Macron est-il le nom? Jérôme Perrier</strong></a></div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead">À
ylepapehttp://lactualitedessocialistes.hautetfort.com/about.htmlL'actualité des socialistes du 26 mai au 1er juintag:lactualitedessocialistes.hautetfort.com,2017-06-05:59503942017-06-05T08:45:00+02:002017-06-05T08:45:00+02:00 INEGALITES La Tribune - Les pauvres sont... de plus en plus pauvres,...
<p><span style="color: #ff0000;"><strong>INEGALITES</strong></span></p><p><strong><a href="http://www.latribune.fr/economie/france/les-pauvres-sont-de-plus-en-plus-pauvres-selon-l-observatoire-des-inegalites-726446.html">La Tribune - Les pauvres sont... de plus en plus pauvres, alerte l'Observatoire des inégalités</a></strong></p><p>L'Observatoire des inégalités a publié son second rapport. Il dresse un état des lieux complet sur les inégalités en France en matière de revenus, de patrimoine, d'éducation, etc. Il met en exergue un phénomène inquiétant: depuis quelques années, la pauvreté ne régresse plus. Au contraire, les pauvres ont tendance à s'appauvrir davantage.</p><p><strong><a href="http://www.inegalites.fr/spip.php?page=analyse&id_article=2289&id_rubrique=64&id_mot=30&id_groupe=9">Observatoire des inégalités - Inégalités : une hypocrisie française</a></strong></p><div id="texte_article"><p><span class="date">30 mai 2017 - </span>Les inégalités de revenus progressent parce que les plus favorisés en veulent toujours plus. Soit on assume le phénomène, soit on se donne les moyens d’une plus grande solidarité. Par Anne Brunner et Louis Maurin de l’Observatoire des inégalités. Extrait du « Rapport sur les inégalités en France, édition 2017 ».</p></div><p><strong><a href="http://www.inegalites.fr/spip.php?page=analyse&id_article=2288&id_rubrique=64&id_mot=30&id_groupe=9">Observatoire des inégalités - Inégalités : le débat n’a toujours pas eu lieu</a></strong></p><div id="texte_article"><p><span class="date">23 mai 2017 - </span>Le sentiment d’injustice croît dans notre pays. Pourtant, le débat politique ne peut se résumer à l’alternative proposée par les deux finalistes de l’élection présidentielle : protection identitaire dans un camp, libéralisme individualiste dans l’autre. Le point de vue de Patrick Savidan, professeur de philosophie politique et président de l’Observatoire des inégalités. Extrait du quotidien Libération.</p></div><p><span style="color: #ff0000;"><strong>DEMOCRATIE PARTICIPATIVE</strong></span></p><p><strong><a href="http://www.slate.fr/story/142472/ou-va-la-democratie-participative">Slate - «La démocratie participative est une tentative de réponse à la contestation de la légitimité des décisions publiques»</a></strong></p><p>De plus en plus d'initiatives visent à redonner la parole au peuple. Jusqu'où peuvent-elles s'imposer? Avec quelle efficacité? Rencontre avec le chercheur Loïc Blondiaux, spécialiste du sujet.</p><p>Professeur de science politique à l'université Paris I Panthéon-Sorbonne, chercheur au Centre européen de sociologie et de science politique (CESSP/CNRS), Loïc Blondiaux est un spécialiste reconnu de la démocratie participative en France, mais aussi en Finlande, en Italie, au Canada, au Chili et aux États-Unis (autant de pays où il a enseigné).</p><p>Il a publié notamment <a href="https://www.amazon.fr/fabrique-lopinion-histoire-sociale-sondages/dp/2020296977" target="_blank"><em>La Fabrique de l'opinion. Une histoire sociale des sondages </em></a>(Seuil, 1996) et <em>Le Nouvel esprit de la démocratie. Actualité de la démocratie participative</em> (Seuil, 2008). Il s'entretient ici avec Damien Augias, responsable du pôle politique de Nonfiction, à propos des pratiques actuelles et à venir de démocatie participative, en particulier au niveau local.</p><p><span style="color: #ff0000;"><strong>PS</strong></span></p><p><strong><a href="http://www.francetvinfo.fr/politique/benoit-hamon/politique-le-parti-socialiste-au-plus-bas_2214100.html">France 3 - Politique : le Parti socialiste au plus bas</a></strong></p><p>Les élections législatives s'annoncent tendues pour le PS. France 3 fait le point sur la situation.</p><p>Depuis la défaite de Benoît Hamon au premier tour de l'élection présidentielle 2017, le Parti socialiste ne parvient pas à se relever. Avec 6,35% des voix, l'un des plus faibles scores de son histoire, le <a href="http://www.francetvinfo.fr/politique/ps/le-parti-socialiste-menace-d-eclatement_2184651.html">parti est même menacé de disparition</a>. Pour les législatives, Bernard Cazeneuve, sans être candidat, mène la bataille pour son parti. Pour lui, la gauche ne doit pas se résumer à celle de Jean-Luc Mélenchon.</p><p><strong><a href="http://www.lexpress.fr/actualite/politique/elections/legislatives-pris-en-tenaille-le-ps-menace-d-une-deroute-historique_1913073.html">L'Express - Législatives: pris en tenaille, le PS menacé d'une déroute historique</a></strong></p><p>Les élections législatives s'annoncent périlleuses pour le PS, qui pourrait bien connaître son pire résultat de la Ve République, dans le sillage de son score à la présidentielle de 6,3%.</p><p>Que restera-t-il du Parti socialiste le 18 juin prochain? Au lendemain d'un <a href="http://www.lexpress.fr/actualite/politique/elections/a-la-mutualite-la-sideration-des-partisans-de-benoit-hamon_1901562.html" target="_self">échec cuisant</a> à <a href="http://www.lexpress.fr/actualite/politique/elections/presidentielle-2017/" target="_self">l'élection présidentielle</a>, le PS est promis à une déroute historique aux législatives. La "Bérézina" de 1993 - seuls 57 postes de députés avaient été sauvés - pourrait même être largement amplifiée. </p><p><strong><a href="http://www.rtl.fr/actu/politique/jean-christophe-cambadelis-doit-quitter-la-direction-du-ps-selon-thierry-mandon-7788753917">RTL - Jean-Christophe Cambadélis doit quitter la direction du PS, selon Thierry Mandon</a></strong></p><p>L'ancien secrétaire d'État plaide pour une "direction collégiale", et cite plusieurs noms pour la composer : Najat Vallaud-Belkacem, Matthias Fekl ou encore Olivier Faure.</p><p>"<strong>Tout changer, cela passe aussi par un changement de direction</strong>, pour pouvoir passer le relais à une nouvelle génération". Les mots de Thierry Mandon, ancien secrétaire d'État pendant le mandat de François Hollande sont clairs : Jean-Christophe Cambadélis, actuel Premier secrétaire du Parti socialiste <strong>doit abandonner la direction du PS</strong>. </p><p><strong><a href="http://www.liberation.fr/elections-presidentielle-legislatives-2017/2017/05/21/se-mobiliser-aujourd-hui-pour-reinventer-la-gauche-demain_1571157">Libé - Se mobiliser aujourd’hui pour réinventer la gauche demain</a></strong></p><p>L’avenir ne peut être le simple retour au projet social-démocrate porté par le PS depuis vingt ans. Il faut défendre désormais une social-écologie réformiste qui transforme la société en profondeur et réponde aux nouveaux défis du XXIe siècle.</p><p><strong>Signataires :</strong></p><p class="note"><strong>Nathalie Appéré</strong> Députée-maire de Rennes<strong> Olivier Bianchi</strong> Maire de Clermont-Ferrand, président de Clermont Auvergne Métropole<strong> Jean-François Debat</strong> Maire de Bourg-en-Bresse, président du groupe socialiste et démocrate au conseil régional Auvergne-Rhône-Alpes <strong>Carole Delga</strong> Ancienne ministre, présidente du conseil régional d’Occitanie <strong>Olivier Dussopt</strong> Député-maire d’Annonay <strong>Olivier Faure</strong> Député de Seine-et-Marne, président du groupe socialiste à l’Assemblée nationale <strong>Matthias Fekl</strong> Ancien ministre, député du Lot-et-Garonne <strong>Estelle Grelier</strong> Ancienne ministre, députée de Seine-Maritime <strong>Mathieu Klein</strong> Président du conseil départemental de Meurthe-et-Moselle <strong>Johanna Rolland</strong> Maire de Nantes <strong>Najat Vallaud-Belkacem</strong> Ancienne ministre <strong>André Viola</strong> Président du conseil départemental de l’Aude</p><p class="note"><span style="color: #ff0000;"><strong>TRAVAIL</strong></span></p><p class="note"><strong><a href="https://jean-jaures.org/nos-productions/comment-travaillerons-nous-demain">Fondation Jean Jaurès - Comment travaillerons-nous demain ? Pierre-Yves Gomez, Cécile Jolly</a></strong></p><p class="note">Robots et révolution numérique redessinent le travail. Sera-t-il plus rare ou riche en nouveaux emplois, plus envahissant ou moins pénible ? Saurons-nous inventer de nouvelles protections pour les salariés et les indépendants ? Le magazine <em>Alternatives économiques</em> et la Fondation Jean-Jaurès ont fait débattre plusieurs experts autour de questions clés touchant à l’avenir du travail, pendant que Pôle Emploi, grâce à ses vastes études et enquêtes, propose huit tendances pour l’emploi de demain. Présentes sous forme de dossier dans le numéro de mai du magazine, ces contributions sont à retrouver durant tout le mois de juin sur les sites de deux partenaires. <br /> Pour entamer ce cycle de publications, Cécile Jolly et Pierre-Yves Gomez exposent leur conception du travail et des principales tendances aujourd’hui à l’œuvre. La première de nos cinq controverses sur le travail de demain. </p><p class="note"><span style="color: #ff0000;"><strong>PRELEVEMENT A LA SOURCE</strong></span></p><p class="note"><strong><a href="http://www.latribune.fr/opinions/tribunes/prelevement-a-la-source-une-experimentation-progressive-plutot-qu-un-report-a-perpetuite-714788.html">La Tribune - Prélèvement à la source : une expérimentation progressive plutôt qu'un report à perpétuité</a></strong></p><p class="note">Le projet de retenue à la source de l'impôt conçu par Bercy parait condamné par ses choix insensés. Il faut sans attendre relancer un schéma de synchronisation progressive entre les revenus courants et le paiement des acomptes de l'impôt sur le revenu. Des solutions simples existent, qui permettraient, en s'appuyant sur les investissements réalisés, de réussir sur la durée du quinquennat cette modernisation attendue de notre gestion fiscale. Par Marc Wolf, avocat fiscaliste et ancien directeur adjoint à la Direction Générale des Impôts.</p><p class="note"><span style="color: #ff0000;"><strong>LEGISLATIVES</strong></span></p><p class="note"><strong><a href="http://www.liberation.fr/elections-presidentielle-legislatives-2017/2017/05/30/le-ps-defaitiste-face-au-depute-des-fraises-et-des-moutons_1573449">Libé - Le PS défaitiste face au «député des fraises et des moutons»</a></strong></p><p class="note">Des élus bretons pointent un effet de sidération dans leur région après les révélations sur Richard Ferrand, mais leur espoir de battre cette célébrité locale est mince.</p><p class="note"><em>«En Bretagne, nous sommes sur des terres granitiques : tout infuse lentement mais sûrement.»</em> A moins de deux semaines du premier tour des législatives, la gauche du Finistère, déjà bien sonnée par la recomposition politique au niveau national, se retrouve déboussolée par la tourmente Ferrand. Elu du cru, ancien représentant local d’Henri Emmanuelli (dans une fédération rocardienne) puis proche de Martine Aubry (dans un département hollandais), le député de la 6<sup>e</sup> circonscription du Finistère était au cœur de tous les réseaux socialistes locaux avant de passer avec armes et bagages chez Macron, pour le compte duquel il a levé une petite armée de candidats bretons chargés de faire la peau aux socialistes.</p><p class="note"><strong><a href="http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/legislatives-2017/20170526.OBS9907/aux-legislatives-le-parachutage-est-legitime.html">L'Obs - "Aux législatives, le parachutage est légitime !"</a></strong></p><p class="note">Les députés sont des élus de la nation, et non des élus locaux, explique le politiste Michel Hastings.</p><p class="note">Selon la liste officielle publiée par le ministère de l’Intérieur, <a href="http://tempsreel.nouvelobs.com/en-direct/a-chaud/37463-legislatives2017-total-candidats-elections-legislatives.html" target="_blank" rel="noopener noreferrer">il y aura au total 7.882 candidats le 11 juin prochain</a>, lors du premier tour des législatives. C’est nettement plus qu’il y a cinq ans – ils étaient alors 6.541 – pour un nombre de sièges inchangés à l'Assemblée nationale (577). Soit une moyenne de 14 prétendants par circonscription.</p><div class="article-subhead"><strong><a href="http://www.liberation.fr/france/2017/05/31/haro-sur-cambadelis-le-roi-des-elephants_1573649">Libé - Un jour, une circo : Haro sur Cambadélis, le roi des éléphants</a></strong></div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead">Une nouvelle fois candidat dans la 16e circonscription de Paris, le premier secrétaire du PS est cerné par les jeunes pousses de Macron et de Mélenchon, qui rêvent de le faire tomber.</div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead">En difficulté dans son fief du XIX<sup>e</sup> arrondissement de Paris, Jean-Christophe Cambadélis fait figure de cible idéale. Dans ce nouveau monde, où il n’est question que de «renouveau» et de «société civile», le premier secrétaire du Parti socialiste, élu en 1988 lors du second mandat de François Mitterrand, incarne le temps qui passe. Les adversaires sont nombreux et viennent de partout. A l’extérieur du parti, comme à l’intérieur de son propre camp.</div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead"><strong><a href="http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/20170526.OBS9910/58-candidats-n-auraient-pas-pu-se-presenter-avec-la-loi-sur-la-moralisation-de-la-vie-politique.html">L'Obs - Avec la loi de moralisation de la vie publique, 58 candidats aux législatives auraient dû renoncer</a></strong></div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead">Sur les 7.882 candidats, 58 n'auraient pas pu se présenter aux prochaines élections législatives si la nouvelle loi était déjà entrée en vigueur...</div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead">Des candidats en sursis ? Si <a href="https://abonnes.nouvelobs.com/politique/20170522.OBS9687/bayou-lance-la-preparation-de-sa-loi-sur-la-moralisation-de-la-vie-politique.html" target="_blank" rel="noopener noreferrer">les douze propositions du député apparenté PS René Dosière</a> au ministre de la Justice, François Bayrou, qui pourraient être intégrées à <a href="http://tempsreel.nouvelobs.com/presidentielle-2017/20170519.OBS9647/moralisation-de-la-vie-politique-une-petite-revolution-se-prepare.html" target="_blank" rel="noopener noreferrer">la future loi sur la moralisation de la vie politique </a>étaient déjà en vigueur, 58 parlementaires n'auraient pas pu se représenter aux élections <a class="tag" href="http://tempsreel.nouvelobs.com/tag/legislatives-2012">législatives</a> des 11 et 18 juin prochains, <a href="http://www.leparisien.fr/elections/legislatives/candidats/moralisation-de-la-vie-politique-elus-deputes-trois-fois-de-suite-ils-sont-encore-candidats-24-05-2017-6980745.php" target="_blank" rel="noopener noreferrer">assure "Le Parisien"</a>.</div><p class="note"><strong><a href="http://www.liberation.fr/elections-presidentielle-legislatives-2017/2017/05/31/en-marche-l-ethique-elastique_1573618">Libé - En Marche, l'éthique élastique</a></strong></p><p class="note">Outre les très médiatisées polémiques touchant les ministres Ferrand et Sarnez, le mouvement d'Emmanuel Macron doit trancher sur une série de candidatures problématiques.</p><p class="note">Pas facile de faire advenir <em>«un nouveau monde, un monde de règles précises qui rétablissent la confiance dans les acteurs publics»</em>, dixit le Premier ministre Edouard Philippe mardi soir sur France 2. Surtout quand au sein de l’armada de pèlerins estampillés La République En Marche (LREM) censés porter le <em>«renouvellement»</em> des visages et des pratiques, un petit groupe trimballe quelques bruyantes casseroles de l’ancien monde.</p><div class="article-subhead"><strong><a href="http://www.liberation.fr/elections-presidentielle-legislatives-2017/2017/05/28/nord-de-paris-nous-aussi-on-est-deux-a-defendre-le-meme-projet_1572914">Libé - Un jour une circo - Nord de Paris : «Nous aussi, on est deux à défendre le même projet»</a></strong></div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead">Dans la 18e circonscription de la capitale, deux lignes radicalement opposées s’affrontent… à travers quatre candidats : alors que Myriam El Khomri (PS) et Pierre-Yves Bournazel (LR) soutiennent tous deux la majorité présidentielle, Caroline De Haas (EE-LV, Ensemble, PCF) et Paul Vannier (FI) sont en pointe contre les réformes du code du travail.</div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead"><span style="color: #ff0000;"><strong>MACRON</strong></span></div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead"><strong><span style="color: #0000ff;"><a style="color: #0000ff;" href="http://www.slate.fr/story/146271/macron-legislatives">Slate - Avec Emmanuel Macron, le Parti du Moindre Mal risque de faire très mal, Eric Dupin</a></span></strong> <br /><div class="social googleplus"> </div><div class="social googleplus">Profitant à plein de la présidentialisation et du scrutin majoritaire, le parti macronien est bien parti pour rafler une majorité absolue à l'Assemblée nationale. Sa position stratégique au centre, dans un contexte d'extrêmes influents, lui vaut un avantage décisif.</div><div class="social googleplus"> </div><div class="social googleplus">Même dans ses rêves les plus fous, François Bayrou n'aurait pu imaginer un scénario aussi inouï: une force centroïde capable de propulser une majorité absolue de députés à l'Assemblée nationale –de <a href="https://www.lesechos.fr/elections/legislatives-2017/030353242207-legislatives-la-vague-la-republique-en-marche-continue-de-monter-2089496.php" target="_blank">310 à 330 sièges, selon la dernière projection OpinionWay</a>. Et cela sans changer, le moins du monde, de mode de scrutin ou de logique institutionnelle.</div></div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead"><strong><a href="http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/20170531.OBS0110/comment-les-francais-voient-macron-le-benefice-du-doute.html">L'Obs - Comment les Français voient Macron : le bénéfice du doute</a></strong></div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead">Quels sont les ressorts de la popularité d'Emmanuel Macron ? L'institut BVA a recueilli les paroles de Français, Adrien Abecassis, l'ex-"monsieur opinion" de François Hollande, les décortique.</div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead"><strong>"Le sursis bienveillant"</strong>. C'est ainsi que l'on pourrait résumer le regard des Français envers leur nouveau Président. 62% des Français ont une bonne opinion de lui, selon l'Observatoire de la politique nationale BVA-Orange-La Tribune (terrain les 22 et 23 mai). C'est un niveau équivalent à ses prédécesseurs : immédiatement après son arrivée, François Mitterrand était crédité de 61% de bonnes opinions, Jacques Chirac 62%, Nicolas Sarkozy 63%, François Hollande 61%.</div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead"><a href="http://www.telos-eu.com/fr/politique-francaise-et-internationale/de-quel-liberalisme-emmanuel-macron-est-il-le-nom.html"><strong>Telos - De quel libéralisme Emmanuel Macron est-il le nom? Jérôme Perrier</strong></a></div><div class="article-subhead"> </div><div class="ar
ylepapehttp://lactualitedessocialistes.hautetfort.com/about.htmlL'actualité des socialistes du 26 mai au 1er juintag:lactualitedessocialistes.hautetfort.com,2017-06-04:59503932017-06-04T08:47:00+02:002017-06-04T08:47:00+02:00 INEGALITES La Tribune - Les pauvres sont... de plus en plus pauvres,...
<p><span style="color: #ff0000;"><strong>INEGALITES</strong></span></p><p><strong><a href="http://www.latribune.fr/economie/france/les-pauvres-sont-de-plus-en-plus-pauvres-selon-l-observatoire-des-inegalites-726446.html">La Tribune - Les pauvres sont... de plus en plus pauvres, alerte l'Observatoire des inégalités</a></strong></p><p>L'Observatoire des inégalités a publié son second rapport. Il dresse un état des lieux complet sur les inégalités en France en matière de revenus, de patrimoine, d'éducation, etc. Il met en exergue un phénomène inquiétant: depuis quelques années, la pauvreté ne régresse plus. Au contraire, les pauvres ont tendance à s'appauvrir davantage.</p><p><strong><a href="http://www.inegalites.fr/spip.php?page=analyse&id_article=2289&id_rubrique=64&id_mot=30&id_groupe=9">Observatoire des inégalités - Inégalités : une hypocrisie française</a></strong></p><div id="texte_article"><p><span class="date">30 mai 2017 - </span>Les inégalités de revenus progressent parce que les plus favorisés en veulent toujours plus. Soit on assume le phénomène, soit on se donne les moyens d’une plus grande solidarité. Par Anne Brunner et Louis Maurin de l’Observatoire des inégalités. Extrait du « Rapport sur les inégalités en France, édition 2017 ».</p></div><p><strong><a href="http://www.inegalites.fr/spip.php?page=analyse&id_article=2288&id_rubrique=64&id_mot=30&id_groupe=9">Observatoire des inégalités - Inégalités : le débat n’a toujours pas eu lieu</a></strong></p><div id="texte_article"><p><span class="date">23 mai 2017 - </span>Le sentiment d’injustice croît dans notre pays. Pourtant, le débat politique ne peut se résumer à l’alternative proposée par les deux finalistes de l’élection présidentielle : protection identitaire dans un camp, libéralisme individualiste dans l’autre. Le point de vue de Patrick Savidan, professeur de philosophie politique et président de l’Observatoire des inégalités. Extrait du quotidien Libération.</p></div><p><span style="color: #ff0000;"><strong>DEMOCRATIE PARTICIPATIVE</strong></span></p><p><strong><a href="http://www.slate.fr/story/142472/ou-va-la-democratie-participative">Slate - «La démocratie participative est une tentative de réponse à la contestation de la légitimité des décisions publiques»</a></strong></p><p>De plus en plus d'initiatives visent à redonner la parole au peuple. Jusqu'où peuvent-elles s'imposer? Avec quelle efficacité? Rencontre avec le chercheur Loïc Blondiaux, spécialiste du sujet.</p><p>Professeur de science politique à l'université Paris I Panthéon-Sorbonne, chercheur au Centre européen de sociologie et de science politique (CESSP/CNRS), Loïc Blondiaux est un spécialiste reconnu de la démocratie participative en France, mais aussi en Finlande, en Italie, au Canada, au Chili et aux États-Unis (autant de pays où il a enseigné).</p><p>Il a publié notamment <a href="https://www.amazon.fr/fabrique-lopinion-histoire-sociale-sondages/dp/2020296977" target="_blank"><em>La Fabrique de l'opinion. Une histoire sociale des sondages </em></a>(Seuil, 1996) et <em>Le Nouvel esprit de la démocratie. Actualité de la démocratie participative</em> (Seuil, 2008). Il s'entretient ici avec Damien Augias, responsable du pôle politique de Nonfiction, à propos des pratiques actuelles et à venir de démocatie participative, en particulier au niveau local.</p><p><span style="color: #ff0000;"><strong>PS</strong></span></p><p><strong><a href="http://www.francetvinfo.fr/politique/benoit-hamon/politique-le-parti-socialiste-au-plus-bas_2214100.html">France 3 - Politique : le Parti socialiste au plus bas</a></strong></p><p>Les élections législatives s'annoncent tendues pour le PS. France 3 fait le point sur la situation.</p><p>Depuis la défaite de Benoît Hamon au premier tour de l'élection présidentielle 2017, le Parti socialiste ne parvient pas à se relever. Avec 6,35% des voix, l'un des plus faibles scores de son histoire, le <a href="http://www.francetvinfo.fr/politique/ps/le-parti-socialiste-menace-d-eclatement_2184651.html">parti est même menacé de disparition</a>. Pour les législatives, Bernard Cazeneuve, sans être candidat, mène la bataille pour son parti. Pour lui, la gauche ne doit pas se résumer à celle de Jean-Luc Mélenchon.</p><p><strong><a href="http://www.lexpress.fr/actualite/politique/elections/legislatives-pris-en-tenaille-le-ps-menace-d-une-deroute-historique_1913073.html">L'Express - Législatives: pris en tenaille, le PS menacé d'une déroute historique</a></strong></p><p>Les élections législatives s'annoncent périlleuses pour le PS, qui pourrait bien connaître son pire résultat de la Ve République, dans le sillage de son score à la présidentielle de 6,3%.</p><p>Que restera-t-il du Parti socialiste le 18 juin prochain? Au lendemain d'un <a href="http://www.lexpress.fr/actualite/politique/elections/a-la-mutualite-la-sideration-des-partisans-de-benoit-hamon_1901562.html" target="_self">échec cuisant</a> à <a href="http://www.lexpress.fr/actualite/politique/elections/presidentielle-2017/" target="_self">l'élection présidentielle</a>, le PS est promis à une déroute historique aux législatives. La "Bérézina" de 1993 - seuls 57 postes de députés avaient été sauvés - pourrait même être largement amplifiée. </p><p><strong><a href="http://www.rtl.fr/actu/politique/jean-christophe-cambadelis-doit-quitter-la-direction-du-ps-selon-thierry-mandon-7788753917">RTL - Jean-Christophe Cambadélis doit quitter la direction du PS, selon Thierry Mandon</a></strong></p><p>L'ancien secrétaire d'État plaide pour une "direction collégiale", et cite plusieurs noms pour la composer : Najat Vallaud-Belkacem, Matthias Fekl ou encore Olivier Faure.</p><p>"<strong>Tout changer, cela passe aussi par un changement de direction</strong>, pour pouvoir passer le relais à une nouvelle génération". Les mots de Thierry Mandon, ancien secrétaire d'État pendant le mandat de François Hollande sont clairs : Jean-Christophe Cambadélis, actuel Premier secrétaire du Parti socialiste <strong>doit abandonner la direction du PS</strong>. </p><p><strong><a href="http://www.liberation.fr/elections-presidentielle-legislatives-2017/2017/05/21/se-mobiliser-aujourd-hui-pour-reinventer-la-gauche-demain_1571157">Libé - Se mobiliser aujourd’hui pour réinventer la gauche demain</a></strong></p><p>L’avenir ne peut être le simple retour au projet social-démocrate porté par le PS depuis vingt ans. Il faut défendre désormais une social-écologie réformiste qui transforme la société en profondeur et réponde aux nouveaux défis du XXIe siècle.</p><p><strong>Signataires :</strong></p><p class="note"><strong>Nathalie Appéré</strong> Députée-maire de Rennes<strong> Olivier Bianchi</strong> Maire de Clermont-Ferrand, président de Clermont Auvergne Métropole<strong> Jean-François Debat</strong> Maire de Bourg-en-Bresse, président du groupe socialiste et démocrate au conseil régional Auvergne-Rhône-Alpes <strong>Carole Delga</strong> Ancienne ministre, présidente du conseil régional d’Occitanie <strong>Olivier Dussopt</strong> Député-maire d’Annonay <strong>Olivier Faure</strong> Député de Seine-et-Marne, président du groupe socialiste à l’Assemblée nationale <strong>Matthias Fekl</strong> Ancien ministre, député du Lot-et-Garonne <strong>Estelle Grelier</strong> Ancienne ministre, députée de Seine-Maritime <strong>Mathieu Klein</strong> Président du conseil départemental de Meurthe-et-Moselle <strong>Johanna Rolland</strong> Maire de Nantes <strong>Najat Vallaud-Belkacem</strong> Ancienne ministre <strong>André Viola</strong> Président du conseil départemental de l’Aude</p><p class="note"><span style="color: #ff0000;"><strong>TRAVAIL</strong></span></p><p class="note"><strong><a href="https://jean-jaures.org/nos-productions/comment-travaillerons-nous-demain">Fondation Jean Jaurès - Comment travaillerons-nous demain ? Pierre-Yves Gomez, Cécile Jolly</a></strong></p><p class="note">Robots et révolution numérique redessinent le travail. Sera-t-il plus rare ou riche en nouveaux emplois, plus envahissant ou moins pénible ? Saurons-nous inventer de nouvelles protections pour les salariés et les indépendants ? Le magazine <em>Alternatives économiques</em> et la Fondation Jean-Jaurès ont fait débattre plusieurs experts autour de questions clés touchant à l’avenir du travail, pendant que Pôle Emploi, grâce à ses vastes études et enquêtes, propose huit tendances pour l’emploi de demain. Présentes sous forme de dossier dans le numéro de mai du magazine, ces contributions sont à retrouver durant tout le mois de juin sur les sites de deux partenaires. <br /> Pour entamer ce cycle de publications, Cécile Jolly et Pierre-Yves Gomez exposent leur conception du travail et des principales tendances aujourd’hui à l’œuvre. La première de nos cinq controverses sur le travail de demain. </p><p class="note"><span style="color: #ff0000;"><strong>PRELEVEMENT A LA SOURCE</strong></span></p><p class="note"><strong><a href="http://www.latribune.fr/opinions/tribunes/prelevement-a-la-source-une-experimentation-progressive-plutot-qu-un-report-a-perpetuite-714788.html">La Tribune - Prélèvement à la source : une expérimentation progressive plutôt qu'un report à perpétuité</a></strong></p><p class="note">Le projet de retenue à la source de l'impôt conçu par Bercy parait condamné par ses choix insensés. Il faut sans attendre relancer un schéma de synchronisation progressive entre les revenus courants et le paiement des acomptes de l'impôt sur le revenu. Des solutions simples existent, qui permettraient, en s'appuyant sur les investissements réalisés, de réussir sur la durée du quinquennat cette modernisation attendue de notre gestion fiscale. Par Marc Wolf, avocat fiscaliste et ancien directeur adjoint à la Direction Générale des Impôts.</p><p class="note"><span style="color: #ff0000;"><strong>LEGISLATIVES</strong></span></p><p class="note"><strong><a href="http://www.liberation.fr/elections-presidentielle-legislatives-2017/2017/05/30/le-ps-defaitiste-face-au-depute-des-fraises-et-des-moutons_1573449">Libé - Le PS défaitiste face au «député des fraises et des moutons»</a></strong></p><p class="note">Des élus bretons pointent un effet de sidération dans leur région après les révélations sur Richard Ferrand, mais leur espoir de battre cette célébrité locale est mince.</p><p class="note"><em>«En Bretagne, nous sommes sur des terres granitiques : tout infuse lentement mais sûrement.»</em> A moins de deux semaines du premier tour des législatives, la gauche du Finistère, déjà bien sonnée par la recomposition politique au niveau national, se retrouve déboussolée par la tourmente Ferrand. Elu du cru, ancien représentant local d’Henri Emmanuelli (dans une fédération rocardienne) puis proche de Martine Aubry (dans un département hollandais), le député de la 6<sup>e</sup> circonscription du Finistère était au cœur de tous les réseaux socialistes locaux avant de passer avec armes et bagages chez Macron, pour le compte duquel il a levé une petite armée de candidats bretons chargés de faire la peau aux socialistes.</p><p class="note"><strong><a href="http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/legislatives-2017/20170526.OBS9907/aux-legislatives-le-parachutage-est-legitime.html">L'Obs - "Aux législatives, le parachutage est légitime !"</a></strong></p><p class="note">Les députés sont des élus de la nation, et non des élus locaux, explique le politiste Michel Hastings.</p><p class="note">Selon la liste officielle publiée par le ministère de l’Intérieur, <a href="http://tempsreel.nouvelobs.com/en-direct/a-chaud/37463-legislatives2017-total-candidats-elections-legislatives.html" target="_blank" rel="noopener noreferrer">il y aura au total 7.882 candidats le 11 juin prochain</a>, lors du premier tour des législatives. C’est nettement plus qu’il y a cinq ans – ils étaient alors 6.541 – pour un nombre de sièges inchangés à l'Assemblée nationale (577). Soit une moyenne de 14 prétendants par circonscription.</p><div class="article-subhead"><strong><a href="http://www.liberation.fr/france/2017/05/31/haro-sur-cambadelis-le-roi-des-elephants_1573649">Libé - Un jour, une circo : Haro sur Cambadélis, le roi des éléphants</a></strong></div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead">Une nouvelle fois candidat dans la 16e circonscription de Paris, le premier secrétaire du PS est cerné par les jeunes pousses de Macron et de Mélenchon, qui rêvent de le faire tomber.</div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead">En difficulté dans son fief du XIX<sup>e</sup> arrondissement de Paris, Jean-Christophe Cambadélis fait figure de cible idéale. Dans ce nouveau monde, où il n’est question que de «renouveau» et de «société civile», le premier secrétaire du Parti socialiste, élu en 1988 lors du second mandat de François Mitterrand, incarne le temps qui passe. Les adversaires sont nombreux et viennent de partout. A l’extérieur du parti, comme à l’intérieur de son propre camp.</div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead"><strong><a href="http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/20170526.OBS9910/58-candidats-n-auraient-pas-pu-se-presenter-avec-la-loi-sur-la-moralisation-de-la-vie-politique.html">L'Obs - Avec la loi de moralisation de la vie publique, 58 candidats aux législatives auraient dû renoncer</a></strong></div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead">Sur les 7.882 candidats, 58 n'auraient pas pu se présenter aux prochaines élections législatives si la nouvelle loi était déjà entrée en vigueur...</div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead">Des candidats en sursis ? Si <a href="https://abonnes.nouvelobs.com/politique/20170522.OBS9687/bayou-lance-la-preparation-de-sa-loi-sur-la-moralisation-de-la-vie-politique.html" target="_blank" rel="noopener noreferrer">les douze propositions du député apparenté PS René Dosière</a> au ministre de la Justice, François Bayrou, qui pourraient être intégrées à <a href="http://tempsreel.nouvelobs.com/presidentielle-2017/20170519.OBS9647/moralisation-de-la-vie-politique-une-petite-revolution-se-prepare.html" target="_blank" rel="noopener noreferrer">la future loi sur la moralisation de la vie politique </a>étaient déjà en vigueur, 58 parlementaires n'auraient pas pu se représenter aux élections <a class="tag" href="http://tempsreel.nouvelobs.com/tag/legislatives-2012">législatives</a> des 11 et 18 juin prochains, <a href="http://www.leparisien.fr/elections/legislatives/candidats/moralisation-de-la-vie-politique-elus-deputes-trois-fois-de-suite-ils-sont-encore-candidats-24-05-2017-6980745.php" target="_blank" rel="noopener noreferrer">assure "Le Parisien"</a>.</div><p class="note"><strong><a href="http://www.liberation.fr/elections-presidentielle-legislatives-2017/2017/05/31/en-marche-l-ethique-elastique_1573618">Libé - En Marche, l'éthique élastique</a></strong></p><p class="note">Outre les très médiatisées polémiques touchant les ministres Ferrand et Sarnez, le mouvement d'Emmanuel Macron doit trancher sur une série de candidatures problématiques.</p><p class="note">Pas facile de faire advenir <em>«un nouveau monde, un monde de règles précises qui rétablissent la confiance dans les acteurs publics»</em>, dixit le Premier ministre Edouard Philippe mardi soir sur France 2. Surtout quand au sein de l’armada de pèlerins estampillés La République En Marche (LREM) censés porter le <em>«renouvellement»</em> des visages et des pratiques, un petit groupe trimballe quelques bruyantes casseroles de l’ancien monde.</p><div class="article-subhead"><strong><a href="http://www.liberation.fr/elections-presidentielle-legislatives-2017/2017/05/28/nord-de-paris-nous-aussi-on-est-deux-a-defendre-le-meme-projet_1572914">Libé - Un jour une circo - Nord de Paris : «Nous aussi, on est deux à défendre le même projet»</a></strong></div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead">Dans la 18e circonscription de la capitale, deux lignes radicalement opposées s’affrontent… à travers quatre candidats : alors que Myriam El Khomri (PS) et Pierre-Yves Bournazel (LR) soutiennent tous deux la majorité présidentielle, Caroline De Haas (EE-LV, Ensemble, PCF) et Paul Vannier (FI) sont en pointe contre les réformes du code du travail.</div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead"><span style="color: #ff0000;"><strong>MACRON</strong></span></div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead"><strong><span style="color: #0000ff;"><a style="color: #0000ff;" href="http://www.slate.fr/story/146271/macron-legislatives">Slate - Avec Emmanuel Macron, le Parti du Moindre Mal risque de faire très mal, Eric Dupin</a></span></strong> <br /><div class="social googleplus"> </div><div class="social googleplus">Profitant à plein de la présidentialisation et du scrutin majoritaire, le parti macronien est bien parti pour rafler une majorité absolue à l'Assemblée nationale. Sa position stratégique au centre, dans un contexte d'extrêmes influents, lui vaut un avantage décisif.</div><div class="social googleplus"> </div><div class="social googleplus">Même dans ses rêves les plus fous, François Bayrou n'aurait pu imaginer un scénario aussi inouï: une force centroïde capable de propulser une majorité absolue de députés à l'Assemblée nationale –de <a href="https://www.lesechos.fr/elections/legislatives-2017/030353242207-legislatives-la-vague-la-republique-en-marche-continue-de-monter-2089496.php" target="_blank">310 à 330 sièges, selon la dernière projection OpinionWay</a>. Et cela sans changer, le moins du monde, de mode de scrutin ou de logique institutionnelle.</div></div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead"><strong><a href="http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/20170531.OBS0110/comment-les-francais-voient-macron-le-benefice-du-doute.html">L'Obs - Comment les Français voient Macron : le bénéfice du doute</a></strong></div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead">Quels sont les ressorts de la popularité d'Emmanuel Macron ? L'institut BVA a recueilli les paroles de Français, Adrien Abecassis, l'ex-"monsieur opinion" de François Hollande, les décortique.</div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead"><strong>"Le sursis bienveillant"</strong>. C'est ainsi que l'on pourrait résumer le regard des Français envers leur nouveau Président. 62% des Français ont une bonne opinion de lui, selon l'Observatoire de la politique nationale BVA-Orange-La Tribune (terrain les 22 et 23 mai). C'est un niveau équivalent à ses prédécesseurs : immédiatement après son arrivée, François Mitterrand était crédité de 61% de bonnes opinions, Jacques Chirac 62%, Nicolas Sarkozy 63%, François Hollande 61%.</div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead"><a href="http://www.telos-eu.com/fr/politique-francaise-et-internationale/de-quel-liberalisme-emmanuel-macron-est-il-le-nom.html"><strong>Telos - De quel libéralisme Emmanuel Macron est-il le nom? Jérôme Perrier</strong></a></div><div class="article-subhead"> </div><div class="ar
ylepapehttp://lactualitedessocialistes.hautetfort.com/about.htmlL'actualité des socialistes du 26 mai au 1er juintag:lactualitedessocialistes.hautetfort.com,2017-06-03:59503912017-06-03T08:45:00+02:002017-06-03T08:45:00+02:00 INEGALITES La Tribune - Les pauvres sont... de plus en plus pauvres,...
<p><span style="color: #ff0000;"><strong>INEGALITES</strong></span></p><p><strong><a href="http://www.latribune.fr/economie/france/les-pauvres-sont-de-plus-en-plus-pauvres-selon-l-observatoire-des-inegalites-726446.html">La Tribune - Les pauvres sont... de plus en plus pauvres, alerte l'Observatoire des inégalités</a></strong></p><p>L'Observatoire des inégalités a publié son second rapport. Il dresse un état des lieux complet sur les inégalités en France en matière de revenus, de patrimoine, d'éducation, etc. Il met en exergue un phénomène inquiétant: depuis quelques années, la pauvreté ne régresse plus. Au contraire, les pauvres ont tendance à s'appauvrir davantage.</p><p><strong><a href="http://www.inegalites.fr/spip.php?page=analyse&id_article=2289&id_rubrique=64&id_mot=30&id_groupe=9">Observatoire des inégalités - Inégalités : une hypocrisie française</a></strong></p><div id="texte_article"><p><span class="date">30 mai 2017 - </span>Les inégalités de revenus progressent parce que les plus favorisés en veulent toujours plus. Soit on assume le phénomène, soit on se donne les moyens d’une plus grande solidarité. Par Anne Brunner et Louis Maurin de l’Observatoire des inégalités. Extrait du « Rapport sur les inégalités en France, édition 2017 ».</p></div><p><strong><a href="http://www.inegalites.fr/spip.php?page=analyse&id_article=2288&id_rubrique=64&id_mot=30&id_groupe=9">Observatoire des inégalités - Inégalités : le débat n’a toujours pas eu lieu</a></strong></p><div id="texte_article"><p><span class="date">23 mai 2017 - </span>Le sentiment d’injustice croît dans notre pays. Pourtant, le débat politique ne peut se résumer à l’alternative proposée par les deux finalistes de l’élection présidentielle : protection identitaire dans un camp, libéralisme individualiste dans l’autre. Le point de vue de Patrick Savidan, professeur de philosophie politique et président de l’Observatoire des inégalités. Extrait du quotidien Libération.</p></div><p><span style="color: #ff0000;"><strong>DEMOCRATIE PARTICIPATIVE</strong></span></p><p><strong><a href="http://www.slate.fr/story/142472/ou-va-la-democratie-participative">Slate - «La démocratie participative est une tentative de réponse à la contestation de la légitimité des décisions publiques»</a></strong></p><p>De plus en plus d'initiatives visent à redonner la parole au peuple. Jusqu'où peuvent-elles s'imposer? Avec quelle efficacité? Rencontre avec le chercheur Loïc Blondiaux, spécialiste du sujet.</p><p>Professeur de science politique à l'université Paris I Panthéon-Sorbonne, chercheur au Centre européen de sociologie et de science politique (CESSP/CNRS), Loïc Blondiaux est un spécialiste reconnu de la démocratie participative en France, mais aussi en Finlande, en Italie, au Canada, au Chili et aux États-Unis (autant de pays où il a enseigné).</p><p>Il a publié notamment <a href="https://www.amazon.fr/fabrique-lopinion-histoire-sociale-sondages/dp/2020296977" target="_blank"><em>La Fabrique de l'opinion. Une histoire sociale des sondages </em></a>(Seuil, 1996) et <em>Le Nouvel esprit de la démocratie. Actualité de la démocratie participative</em> (Seuil, 2008). Il s'entretient ici avec Damien Augias, responsable du pôle politique de Nonfiction, à propos des pratiques actuelles et à venir de démocatie participative, en particulier au niveau local.</p><p><span style="color: #ff0000;"><strong>PS</strong></span></p><p><strong><a href="http://www.francetvinfo.fr/politique/benoit-hamon/politique-le-parti-socialiste-au-plus-bas_2214100.html">France 3 - Politique : le Parti socialiste au plus bas</a></strong></p><p>Les élections législatives s'annoncent tendues pour le PS. France 3 fait le point sur la situation.</p><p>Depuis la défaite de Benoît Hamon au premier tour de l'élection présidentielle 2017, le Parti socialiste ne parvient pas à se relever. Avec 6,35% des voix, l'un des plus faibles scores de son histoire, le <a href="http://www.francetvinfo.fr/politique/ps/le-parti-socialiste-menace-d-eclatement_2184651.html">parti est même menacé de disparition</a>. Pour les législatives, Bernard Cazeneuve, sans être candidat, mène la bataille pour son parti. Pour lui, la gauche ne doit pas se résumer à celle de Jean-Luc Mélenchon.</p><p><strong><a href="http://www.lexpress.fr/actualite/politique/elections/legislatives-pris-en-tenaille-le-ps-menace-d-une-deroute-historique_1913073.html">L'Express - Législatives: pris en tenaille, le PS menacé d'une déroute historique</a></strong></p><p>Les élections législatives s'annoncent périlleuses pour le PS, qui pourrait bien connaître son pire résultat de la Ve République, dans le sillage de son score à la présidentielle de 6,3%.</p><p>Que restera-t-il du Parti socialiste le 18 juin prochain? Au lendemain d'un <a href="http://www.lexpress.fr/actualite/politique/elections/a-la-mutualite-la-sideration-des-partisans-de-benoit-hamon_1901562.html" target="_self">échec cuisant</a> à <a href="http://www.lexpress.fr/actualite/politique/elections/presidentielle-2017/" target="_self">l'élection présidentielle</a>, le PS est promis à une déroute historique aux législatives. La "Bérézina" de 1993 - seuls 57 postes de députés avaient été sauvés - pourrait même être largement amplifiée. </p><p><strong><a href="http://www.rtl.fr/actu/politique/jean-christophe-cambadelis-doit-quitter-la-direction-du-ps-selon-thierry-mandon-7788753917">RTL - Jean-Christophe Cambadélis doit quitter la direction du PS, selon Thierry Mandon</a></strong></p><p>L'ancien secrétaire d'État plaide pour une "direction collégiale", et cite plusieurs noms pour la composer : Najat Vallaud-Belkacem, Matthias Fekl ou encore Olivier Faure.</p><p>"<strong>Tout changer, cela passe aussi par un changement de direction</strong>, pour pouvoir passer le relais à une nouvelle génération". Les mots de Thierry Mandon, ancien secrétaire d'État pendant le mandat de François Hollande sont clairs : Jean-Christophe Cambadélis, actuel Premier secrétaire du Parti socialiste <strong>doit abandonner la direction du PS</strong>. </p><p><strong><a href="http://www.liberation.fr/elections-presidentielle-legislatives-2017/2017/05/21/se-mobiliser-aujourd-hui-pour-reinventer-la-gauche-demain_1571157">Libé - Se mobiliser aujourd’hui pour réinventer la gauche demain</a></strong></p><p>L’avenir ne peut être le simple retour au projet social-démocrate porté par le PS depuis vingt ans. Il faut défendre désormais une social-écologie réformiste qui transforme la société en profondeur et réponde aux nouveaux défis du XXIe siècle.</p><p><strong>Signataires :</strong></p><p class="note"><strong>Nathalie Appéré</strong> Députée-maire de Rennes<strong> Olivier Bianchi</strong> Maire de Clermont-Ferrand, président de Clermont Auvergne Métropole<strong> Jean-François Debat</strong> Maire de Bourg-en-Bresse, président du groupe socialiste et démocrate au conseil régional Auvergne-Rhône-Alpes <strong>Carole Delga</strong> Ancienne ministre, présidente du conseil régional d’Occitanie <strong>Olivier Dussopt</strong> Député-maire d’Annonay <strong>Olivier Faure</strong> Député de Seine-et-Marne, président du groupe socialiste à l’Assemblée nationale <strong>Matthias Fekl</strong> Ancien ministre, député du Lot-et-Garonne <strong>Estelle Grelier</strong> Ancienne ministre, députée de Seine-Maritime <strong>Mathieu Klein</strong> Président du conseil départemental de Meurthe-et-Moselle <strong>Johanna Rolland</strong> Maire de Nantes <strong>Najat Vallaud-Belkacem</strong> Ancienne ministre <strong>André Viola</strong> Président du conseil départemental de l’Aude</p><p class="note"><span style="color: #ff0000;"><strong>TRAVAIL</strong></span></p><p class="note"><strong><a href="https://jean-jaures.org/nos-productions/comment-travaillerons-nous-demain">Fondation Jean Jaurès - Comment travaillerons-nous demain ? Pierre-Yves Gomez, Cécile Jolly</a></strong></p><p class="note">Robots et révolution numérique redessinent le travail. Sera-t-il plus rare ou riche en nouveaux emplois, plus envahissant ou moins pénible ? Saurons-nous inventer de nouvelles protections pour les salariés et les indépendants ? Le magazine <em>Alternatives économiques</em> et la Fondation Jean-Jaurès ont fait débattre plusieurs experts autour de questions clés touchant à l’avenir du travail, pendant que Pôle Emploi, grâce à ses vastes études et enquêtes, propose huit tendances pour l’emploi de demain. Présentes sous forme de dossier dans le numéro de mai du magazine, ces contributions sont à retrouver durant tout le mois de juin sur les sites de deux partenaires. <br /> Pour entamer ce cycle de publications, Cécile Jolly et Pierre-Yves Gomez exposent leur conception du travail et des principales tendances aujourd’hui à l’œuvre. La première de nos cinq controverses sur le travail de demain. </p><p class="note"><span style="color: #ff0000;"><strong>PRELEVEMENT A LA SOURCE</strong></span></p><p class="note"><strong><a href="http://www.latribune.fr/opinions/tribunes/prelevement-a-la-source-une-experimentation-progressive-plutot-qu-un-report-a-perpetuite-714788.html">La Tribune - Prélèvement à la source : une expérimentation progressive plutôt qu'un report à perpétuité</a></strong></p><p class="note">Le projet de retenue à la source de l'impôt conçu par Bercy parait condamné par ses choix insensés. Il faut sans attendre relancer un schéma de synchronisation progressive entre les revenus courants et le paiement des acomptes de l'impôt sur le revenu. Des solutions simples existent, qui permettraient, en s'appuyant sur les investissements réalisés, de réussir sur la durée du quinquennat cette modernisation attendue de notre gestion fiscale. Par Marc Wolf, avocat fiscaliste et ancien directeur adjoint à la Direction Générale des Impôts.</p><p class="note"><span style="color: #ff0000;"><strong>LEGISLATIVES</strong></span></p><p class="note"><strong><a href="http://www.liberation.fr/elections-presidentielle-legislatives-2017/2017/05/30/le-ps-defaitiste-face-au-depute-des-fraises-et-des-moutons_1573449">Libé - Le PS défaitiste face au «député des fraises et des moutons»</a></strong></p><p class="note">Des élus bretons pointent un effet de sidération dans leur région après les révélations sur Richard Ferrand, mais leur espoir de battre cette célébrité locale est mince.</p><p class="note"><em>«En Bretagne, nous sommes sur des terres granitiques : tout infuse lentement mais sûrement.»</em> A moins de deux semaines du premier tour des législatives, la gauche du Finistère, déjà bien sonnée par la recomposition politique au niveau national, se retrouve déboussolée par la tourmente Ferrand. Elu du cru, ancien représentant local d’Henri Emmanuelli (dans une fédération rocardienne) puis proche de Martine Aubry (dans un département hollandais), le député de la 6<sup>e</sup> circonscription du Finistère était au cœur de tous les réseaux socialistes locaux avant de passer avec armes et bagages chez Macron, pour le compte duquel il a levé une petite armée de candidats bretons chargés de faire la peau aux socialistes.</p><p class="note"><strong><a href="http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/legislatives-2017/20170526.OBS9907/aux-legislatives-le-parachutage-est-legitime.html">L'Obs - "Aux législatives, le parachutage est légitime !"</a></strong></p><p class="note">Les députés sont des élus de la nation, et non des élus locaux, explique le politiste Michel Hastings.</p><p class="note">Selon la liste officielle publiée par le ministère de l’Intérieur, <a href="http://tempsreel.nouvelobs.com/en-direct/a-chaud/37463-legislatives2017-total-candidats-elections-legislatives.html" target="_blank" rel="noopener noreferrer">il y aura au total 7.882 candidats le 11 juin prochain</a>, lors du premier tour des législatives. C’est nettement plus qu’il y a cinq ans – ils étaient alors 6.541 – pour un nombre de sièges inchangés à l'Assemblée nationale (577). Soit une moyenne de 14 prétendants par circonscription.</p><div class="article-subhead"><strong><a href="http://www.liberation.fr/france/2017/05/31/haro-sur-cambadelis-le-roi-des-elephants_1573649">Libé - Un jour, une circo : Haro sur Cambadélis, le roi des éléphants</a></strong></div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead">Une nouvelle fois candidat dans la 16e circonscription de Paris, le premier secrétaire du PS est cerné par les jeunes pousses de Macron et de Mélenchon, qui rêvent de le faire tomber.</div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead">En difficulté dans son fief du XIX<sup>e</sup> arrondissement de Paris, Jean-Christophe Cambadélis fait figure de cible idéale. Dans ce nouveau monde, où il n’est question que de «renouveau» et de «société civile», le premier secrétaire du Parti socialiste, élu en 1988 lors du second mandat de François Mitterrand, incarne le temps qui passe. Les adversaires sont nombreux et viennent de partout. A l’extérieur du parti, comme à l’intérieur de son propre camp.</div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead"><strong><a href="http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/20170526.OBS9910/58-candidats-n-auraient-pas-pu-se-presenter-avec-la-loi-sur-la-moralisation-de-la-vie-politique.html">L'Obs - Avec la loi de moralisation de la vie publique, 58 candidats aux législatives auraient dû renoncer</a></strong></div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead">Sur les 7.882 candidats, 58 n'auraient pas pu se présenter aux prochaines élections législatives si la nouvelle loi était déjà entrée en vigueur...</div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead">Des candidats en sursis ? Si <a href="https://abonnes.nouvelobs.com/politique/20170522.OBS9687/bayou-lance-la-preparation-de-sa-loi-sur-la-moralisation-de-la-vie-politique.html" target="_blank" rel="noopener noreferrer">les douze propositions du député apparenté PS René Dosière</a> au ministre de la Justice, François Bayrou, qui pourraient être intégrées à <a href="http://tempsreel.nouvelobs.com/presidentielle-2017/20170519.OBS9647/moralisation-de-la-vie-politique-une-petite-revolution-se-prepare.html" target="_blank" rel="noopener noreferrer">la future loi sur la moralisation de la vie politique </a>étaient déjà en vigueur, 58 parlementaires n'auraient pas pu se représenter aux élections <a class="tag" href="http://tempsreel.nouvelobs.com/tag/legislatives-2012">législatives</a> des 11 et 18 juin prochains, <a href="http://www.leparisien.fr/elections/legislatives/candidats/moralisation-de-la-vie-politique-elus-deputes-trois-fois-de-suite-ils-sont-encore-candidats-24-05-2017-6980745.php" target="_blank" rel="noopener noreferrer">assure "Le Parisien"</a>.</div><p class="note"><strong><a href="http://www.liberation.fr/elections-presidentielle-legislatives-2017/2017/05/31/en-marche-l-ethique-elastique_1573618">Libé - En Marche, l'éthique élastique</a></strong></p><p class="note">Outre les très médiatisées polémiques touchant les ministres Ferrand et Sarnez, le mouvement d'Emmanuel Macron doit trancher sur une série de candidatures problématiques.</p><p class="note">Pas facile de faire advenir <em>«un nouveau monde, un monde de règles précises qui rétablissent la confiance dans les acteurs publics»</em>, dixit le Premier ministre Edouard Philippe mardi soir sur France 2. Surtout quand au sein de l’armada de pèlerins estampillés La République En Marche (LREM) censés porter le <em>«renouvellement»</em> des visages et des pratiques, un petit groupe trimballe quelques bruyantes casseroles de l’ancien monde.</p><div class="article-subhead"><strong><a href="http://www.liberation.fr/elections-presidentielle-legislatives-2017/2017/05/28/nord-de-paris-nous-aussi-on-est-deux-a-defendre-le-meme-projet_1572914">Libé - Un jour une circo - Nord de Paris : «Nous aussi, on est deux à défendre le même projet»</a></strong></div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead">Dans la 18e circonscription de la capitale, deux lignes radicalement opposées s’affrontent… à travers quatre candidats : alors que Myriam El Khomri (PS) et Pierre-Yves Bournazel (LR) soutiennent tous deux la majorité présidentielle, Caroline De Haas (EE-LV, Ensemble, PCF) et Paul Vannier (FI) sont en pointe contre les réformes du code du travail.</div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead"><span style="color: #ff0000;"><strong>MACRON</strong></span></div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead"><strong><span style="color: #0000ff;"><a style="color: #0000ff;" href="http://www.slate.fr/story/146271/macron-legislatives">Slate - Avec Emmanuel Macron, le Parti du Moindre Mal risque de faire très mal, Eric Dupin</a></span></strong> <br /><div class="social googleplus"> </div><div class="social googleplus">Profitant à plein de la présidentialisation et du scrutin majoritaire, le parti macronien est bien parti pour rafler une majorité absolue à l'Assemblée nationale. Sa position stratégique au centre, dans un contexte d'extrêmes influents, lui vaut un avantage décisif.</div><div class="social googleplus"> </div><div class="social googleplus">Même dans ses rêves les plus fous, François Bayrou n'aurait pu imaginer un scénario aussi inouï: une force centroïde capable de propulser une majorité absolue de députés à l'Assemblée nationale –de <a href="https://www.lesechos.fr/elections/legislatives-2017/030353242207-legislatives-la-vague-la-republique-en-marche-continue-de-monter-2089496.php" target="_blank">310 à 330 sièges, selon la dernière projection OpinionWay</a>. Et cela sans changer, le moins du monde, de mode de scrutin ou de logique institutionnelle.</div></div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead"><strong><a href="http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/20170531.OBS0110/comment-les-francais-voient-macron-le-benefice-du-doute.html">L'Obs - Comment les Français voient Macron : le bénéfice du doute</a></strong></div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead">Quels sont les ressorts de la popularité d'Emmanuel Macron ? L'institut BVA a recueilli les paroles de Français, Adrien Abecassis, l'ex-"monsieur opinion" de François Hollande, les décortique.</div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead"><strong>"Le sursis bienveillant"</strong>. C'est ainsi que l'on pourrait résumer le regard des Français envers leur nouveau Président. 62% des Français ont une bonne opinion de lui, selon l'Observatoire de la politique nationale BVA-Orange-La Tribune (terrain les 22 et 23 mai). C'est un niveau équivalent à ses prédécesseurs : immédiatement après son arrivée, François Mitterrand était crédité de 61% de bonnes opinions, Jacques Chirac 62%, Nicolas Sarkozy 63%, François Hollande 61%.</div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead"><a href="http://www.telos-eu.com/fr/politique-francaise-et-internationale/de-quel-liberalisme-emmanuel-macron-est-il-le-nom.html"><strong>Telos - De quel libéralisme Emmanuel Macron est-il le nom? Jérôme Perrier</strong></a></div><div class="article-subhead"> </div><div class="ar
ylepapehttp://lactualitedessocialistes.hautetfort.com/about.htmlL'actualité des socialistes du 26 mai au 1er juintag:lactualitedessocialistes.hautetfort.com,2017-06-02:59484112017-06-02T08:00:00+02:002017-06-02T08:00:00+02:00 INEGALITES La Tribune - Les pauvres sont... de plus en plus pauvres,...
<p><span style="color: #ff0000;"><strong>INEGALITES</strong></span></p><p><strong><a href="http://www.latribune.fr/economie/france/les-pauvres-sont-de-plus-en-plus-pauvres-selon-l-observatoire-des-inegalites-726446.html">La Tribune - Les pauvres sont... de plus en plus pauvres, alerte l'Observatoire des inégalités</a></strong></p><p>L'Observatoire des inégalités a publié son second rapport. Il dresse un état des lieux complet sur les inégalités en France en matière de revenus, de patrimoine, d'éducation, etc. Il met en exergue un phénomène inquiétant: depuis quelques années, la pauvreté ne régresse plus. Au contraire, les pauvres ont tendance à s'appauvrir davantage.</p><p><strong><a href="http://www.inegalites.fr/spip.php?page=analyse&id_article=2289&id_rubrique=64&id_mot=30&id_groupe=9">Observatoire des inégalités - Inégalités : une hypocrisie française</a></strong></p><div id="texte_article"><p><span class="date">30 mai 2017 - </span>Les inégalités de revenus progressent parce que les plus favorisés en veulent toujours plus. Soit on assume le phénomène, soit on se donne les moyens d’une plus grande solidarité. Par Anne Brunner et Louis Maurin de l’Observatoire des inégalités. Extrait du « Rapport sur les inégalités en France, édition 2017 ».</p></div><p><strong><a href="http://www.inegalites.fr/spip.php?page=analyse&id_article=2288&id_rubrique=64&id_mot=30&id_groupe=9">Observatoire des inégalités - Inégalités : le débat n’a toujours pas eu lieu</a></strong></p><div id="texte_article"><p><span class="date">23 mai 2017 - </span>Le sentiment d’injustice croît dans notre pays. Pourtant, le débat politique ne peut se résumer à l’alternative proposée par les deux finalistes de l’élection présidentielle : protection identitaire dans un camp, libéralisme individualiste dans l’autre. Le point de vue de Patrick Savidan, professeur de philosophie politique et président de l’Observatoire des inégalités. Extrait du quotidien Libération.</p></div><p><span style="color: #ff0000;"><strong>DEMOCRATIE PARTICIPATIVE</strong></span></p><p><strong><a href="http://www.slate.fr/story/142472/ou-va-la-democratie-participative">Slate - «La démocratie participative est une tentative de réponse à la contestation de la légitimité des décisions publiques»</a></strong></p><p>De plus en plus d'initiatives visent à redonner la parole au peuple. Jusqu'où peuvent-elles s'imposer? Avec quelle efficacité? Rencontre avec le chercheur Loïc Blondiaux, spécialiste du sujet.</p><p>Professeur de science politique à l'université Paris I Panthéon-Sorbonne, chercheur au Centre européen de sociologie et de science politique (CESSP/CNRS), Loïc Blondiaux est un spécialiste reconnu de la démocratie participative en France, mais aussi en Finlande, en Italie, au Canada, au Chili et aux États-Unis (autant de pays où il a enseigné).</p><p>Il a publié notamment <a href="https://www.amazon.fr/fabrique-lopinion-histoire-sociale-sondages/dp/2020296977" target="_blank"><em>La Fabrique de l'opinion. Une histoire sociale des sondages </em></a>(Seuil, 1996) et <em>Le Nouvel esprit de la démocratie. Actualité de la démocratie participative</em> (Seuil, 2008). Il s'entretient ici avec Damien Augias, responsable du pôle politique de Nonfiction, à propos des pratiques actuelles et à venir de démocatie participative, en particulier au niveau local.</p><p><span style="color: #ff0000;"><strong>PS</strong></span></p><p><strong><a href="http://www.francetvinfo.fr/politique/benoit-hamon/politique-le-parti-socialiste-au-plus-bas_2214100.html">France 3 - Politique : le Parti socialiste au plus bas</a></strong></p><p>Les élections législatives s'annoncent tendues pour le PS. France 3 fait le point sur la situation.</p><p>Depuis la défaite de Benoît Hamon au premier tour de l'élection présidentielle 2017, le Parti socialiste ne parvient pas à se relever. Avec 6,35% des voix, l'un des plus faibles scores de son histoire, le <a href="http://www.francetvinfo.fr/politique/ps/le-parti-socialiste-menace-d-eclatement_2184651.html">parti est même menacé de disparition</a>. Pour les législatives, Bernard Cazeneuve, sans être candidat, mène la bataille pour son parti. Pour lui, la gauche ne doit pas se résumer à celle de Jean-Luc Mélenchon.</p><p><strong><a href="http://www.lexpress.fr/actualite/politique/elections/legislatives-pris-en-tenaille-le-ps-menace-d-une-deroute-historique_1913073.html">L'Express - Législatives: pris en tenaille, le PS menacé d'une déroute historique</a></strong></p><p>Les élections législatives s'annoncent périlleuses pour le PS, qui pourrait bien connaître son pire résultat de la Ve République, dans le sillage de son score à la présidentielle de 6,3%.</p><p>Que restera-t-il du Parti socialiste le 18 juin prochain? Au lendemain d'un <a href="http://www.lexpress.fr/actualite/politique/elections/a-la-mutualite-la-sideration-des-partisans-de-benoit-hamon_1901562.html" target="_self">échec cuisant</a> à <a href="http://www.lexpress.fr/actualite/politique/elections/presidentielle-2017/" target="_self">l'élection présidentielle</a>, le PS est promis à une déroute historique aux législatives. La "Bérézina" de 1993 - seuls 57 postes de députés avaient été sauvés - pourrait même être largement amplifiée. </p><p><strong><a href="http://www.rtl.fr/actu/politique/jean-christophe-cambadelis-doit-quitter-la-direction-du-ps-selon-thierry-mandon-7788753917">RTL - Jean-Christophe Cambadélis doit quitter la direction du PS, selon Thierry Mandon</a></strong></p><p>L'ancien secrétaire d'État plaide pour une "direction collégiale", et cite plusieurs noms pour la composer : Najat Vallaud-Belkacem, Matthias Fekl ou encore Olivier Faure.</p><p>"<strong>Tout changer, cela passe aussi par un changement de direction</strong>, pour pouvoir passer le relais à une nouvelle génération". Les mots de Thierry Mandon, ancien secrétaire d'État pendant le mandat de François Hollande sont clairs : Jean-Christophe Cambadélis, actuel Premier secrétaire du Parti socialiste <strong>doit abandonner la direction du PS</strong>. </p><p><strong><a href="http://www.liberation.fr/elections-presidentielle-legislatives-2017/2017/05/21/se-mobiliser-aujourd-hui-pour-reinventer-la-gauche-demain_1571157">Libé - Se mobiliser aujourd’hui pour réinventer la gauche demain</a></strong></p><p>L’avenir ne peut être le simple retour au projet social-démocrate porté par le PS depuis vingt ans. Il faut défendre désormais une social-écologie réformiste qui transforme la société en profondeur et réponde aux nouveaux défis du XXIe siècle.</p><p><strong>Signataires :</strong></p><p class="note"><strong>Nathalie Appéré</strong> Députée-maire de Rennes<strong> Olivier Bianchi</strong> Maire de Clermont-Ferrand, président de Clermont Auvergne Métropole<strong> Jean-François Debat</strong> Maire de Bourg-en-Bresse, président du groupe socialiste et démocrate au conseil régional Auvergne-Rhône-Alpes <strong>Carole Delga</strong> Ancienne ministre, présidente du conseil régional d’Occitanie <strong>Olivier Dussopt</strong> Député-maire d’Annonay <strong>Olivier Faure</strong> Député de Seine-et-Marne, président du groupe socialiste à l’Assemblée nationale <strong>Matthias Fekl</strong> Ancien ministre, député du Lot-et-Garonne <strong>Estelle Grelier</strong> Ancienne ministre, députée de Seine-Maritime <strong>Mathieu Klein</strong> Président du conseil départemental de Meurthe-et-Moselle <strong>Johanna Rolland</strong> Maire de Nantes <strong>Najat Vallaud-Belkacem</strong> Ancienne ministre <strong>André Viola</strong> Président du conseil départemental de l’Aude</p><p class="note"><span style="color: #ff0000;"><strong>TRAVAIL</strong></span></p><p class="note"><strong><a href="https://jean-jaures.org/nos-productions/comment-travaillerons-nous-demain">Fondation Jean Jaurès - Comment travaillerons-nous demain ? Pierre-Yves Gomez, Cécile Jolly</a></strong></p><p class="note">Robots et révolution numérique redessinent le travail. Sera-t-il plus rare ou riche en nouveaux emplois, plus envahissant ou moins pénible ? Saurons-nous inventer de nouvelles protections pour les salariés et les indépendants ? Le magazine <em>Alternatives économiques</em> et la Fondation Jean-Jaurès ont fait débattre plusieurs experts autour de questions clés touchant à l’avenir du travail, pendant que Pôle Emploi, grâce à ses vastes études et enquêtes, propose huit tendances pour l’emploi de demain. Présentes sous forme de dossier dans le numéro de mai du magazine, ces contributions sont à retrouver durant tout le mois de juin sur les sites de deux partenaires. <br /> Pour entamer ce cycle de publications, Cécile Jolly et Pierre-Yves Gomez exposent leur conception du travail et des principales tendances aujourd’hui à l’œuvre. La première de nos cinq controverses sur le travail de demain. </p><p class="note"><span style="color: #ff0000;"><strong>PRELEVEMENT A LA SOURCE</strong></span></p><p class="note"><strong><a href="http://www.latribune.fr/opinions/tribunes/prelevement-a-la-source-une-experimentation-progressive-plutot-qu-un-report-a-perpetuite-714788.html">La Tribune - Prélèvement à la source : une expérimentation progressive plutôt qu'un report à perpétuité</a></strong></p><p class="note">Le projet de retenue à la source de l'impôt conçu par Bercy parait condamné par ses choix insensés. Il faut sans attendre relancer un schéma de synchronisation progressive entre les revenus courants et le paiement des acomptes de l'impôt sur le revenu. Des solutions simples existent, qui permettraient, en s'appuyant sur les investissements réalisés, de réussir sur la durée du quinquennat cette modernisation attendue de notre gestion fiscale. Par Marc Wolf, avocat fiscaliste et ancien directeur adjoint à la Direction Générale des Impôts.</p><p class="note"><span style="color: #ff0000;"><strong>LEGISLATIVES</strong></span></p><p class="note"><strong><a href="http://www.liberation.fr/elections-presidentielle-legislatives-2017/2017/05/30/le-ps-defaitiste-face-au-depute-des-fraises-et-des-moutons_1573449">Libé - Le PS défaitiste face au «député des fraises et des moutons»</a></strong></p><p class="note">Des élus bretons pointent un effet de sidération dans leur région après les révélations sur Richard Ferrand, mais leur espoir de battre cette célébrité locale est mince.</p><p class="note"><em>«En Bretagne, nous sommes sur des terres granitiques : tout infuse lentement mais sûrement.»</em> A moins de deux semaines du premier tour des législatives, la gauche du Finistère, déjà bien sonnée par la recomposition politique au niveau national, se retrouve déboussolée par la tourmente Ferrand. Elu du cru, ancien représentant local d’Henri Emmanuelli (dans une fédération rocardienne) puis proche de Martine Aubry (dans un département hollandais), le député de la 6<sup>e</sup> circonscription du Finistère était au cœur de tous les réseaux socialistes locaux avant de passer avec armes et bagages chez Macron, pour le compte duquel il a levé une petite armée de candidats bretons chargés de faire la peau aux socialistes.</p><p class="note"><strong><a href="http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/legislatives-2017/20170526.OBS9907/aux-legislatives-le-parachutage-est-legitime.html">L'Obs - "Aux législatives, le parachutage est légitime !"</a></strong></p><p class="note">Les députés sont des élus de la nation, et non des élus locaux, explique le politiste Michel Hastings.</p><p class="note">Selon la liste officielle publiée par le ministère de l’Intérieur, <a href="http://tempsreel.nouvelobs.com/en-direct/a-chaud/37463-legislatives2017-total-candidats-elections-legislatives.html" target="_blank" rel="noopener noreferrer">il y aura au total 7.882 candidats le 11 juin prochain</a>, lors du premier tour des législatives. C’est nettement plus qu’il y a cinq ans – ils étaient alors 6.541 – pour un nombre de sièges inchangés à l'Assemblée nationale (577). Soit une moyenne de 14 prétendants par circonscription.</p><div class="article-subhead"><strong><a href="http://www.liberation.fr/france/2017/05/31/haro-sur-cambadelis-le-roi-des-elephants_1573649">Libé - Un jour, une circo : Haro sur Cambadélis, le roi des éléphants</a></strong></div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead">Une nouvelle fois candidat dans la 16e circonscription de Paris, le premier secrétaire du PS est cerné par les jeunes pousses de Macron et de Mélenchon, qui rêvent de le faire tomber.</div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead">En difficulté dans son fief du XIX<sup>e</sup> arrondissement de Paris, Jean-Christophe Cambadélis fait figure de cible idéale. Dans ce nouveau monde, où il n’est question que de «renouveau» et de «société civile», le premier secrétaire du Parti socialiste, élu en 1988 lors du second mandat de François Mitterrand, incarne le temps qui passe. Les adversaires sont nombreux et viennent de partout. A l’extérieur du parti, comme à l’intérieur de son propre camp.</div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead"><strong><a href="http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/20170526.OBS9910/58-candidats-n-auraient-pas-pu-se-presenter-avec-la-loi-sur-la-moralisation-de-la-vie-politique.html">L'Obs - Avec la loi de moralisation de la vie publique, 58 candidats aux législatives auraient dû renoncer</a></strong></div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead">Sur les 7.882 candidats, 58 n'auraient pas pu se présenter aux prochaines élections législatives si la nouvelle loi était déjà entrée en vigueur...</div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead">Des candidats en sursis ? Si <a href="https://abonnes.nouvelobs.com/politique/20170522.OBS9687/bayou-lance-la-preparation-de-sa-loi-sur-la-moralisation-de-la-vie-politique.html" target="_blank" rel="noopener noreferrer">les douze propositions du député apparenté PS René Dosière</a> au ministre de la Justice, François Bayrou, qui pourraient être intégrées à <a href="http://tempsreel.nouvelobs.com/presidentielle-2017/20170519.OBS9647/moralisation-de-la-vie-politique-une-petite-revolution-se-prepare.html" target="_blank" rel="noopener noreferrer">la future loi sur la moralisation de la vie politique </a>étaient déjà en vigueur, 58 parlementaires n'auraient pas pu se représenter aux élections <a class="tag" href="http://tempsreel.nouvelobs.com/tag/legislatives-2012">législatives</a> des 11 et 18 juin prochains, <a href="http://www.leparisien.fr/elections/legislatives/candidats/moralisation-de-la-vie-politique-elus-deputes-trois-fois-de-suite-ils-sont-encore-candidats-24-05-2017-6980745.php" target="_blank" rel="noopener noreferrer">assure "Le Parisien"</a>.</div><p class="note"><strong><a href="http://www.liberation.fr/elections-presidentielle-legislatives-2017/2017/05/31/en-marche-l-ethique-elastique_1573618">Libé - En Marche, l'éthique élastique</a></strong></p><p class="note">Outre les très médiatisées polémiques touchant les ministres Ferrand et Sarnez, le mouvement d'Emmanuel Macron doit trancher sur une série de candidatures problématiques.</p><p class="note">Pas facile de faire advenir <em>«un nouveau monde, un monde de règles précises qui rétablissent la confiance dans les acteurs publics»</em>, dixit le Premier ministre Edouard Philippe mardi soir sur France 2. Surtout quand au sein de l’armada de pèlerins estampillés La République En Marche (LREM) censés porter le <em>«renouvellement»</em> des visages et des pratiques, un petit groupe trimballe quelques bruyantes casseroles de l’ancien monde.</p><div class="article-subhead"><strong><a href="http://www.liberation.fr/elections-presidentielle-legislatives-2017/2017/05/28/nord-de-paris-nous-aussi-on-est-deux-a-defendre-le-meme-projet_1572914">Libé - Un jour une circo - Nord de Paris : «Nous aussi, on est deux à défendre le même projet»</a></strong></div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead">Dans la 18e circonscription de la capitale, deux lignes radicalement opposées s’affrontent… à travers quatre candidats : alors que Myriam El Khomri (PS) et Pierre-Yves Bournazel (LR) soutiennent tous deux la majorité présidentielle, Caroline De Haas (EE-LV, Ensemble, PCF) et Paul Vannier (FI) sont en pointe contre les réformes du code du travail.</div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead"><span style="color: #ff0000;"><strong>MACRON</strong></span></div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead"><strong><span style="color: #0000ff;"><a style="color: #0000ff;" href="http://www.slate.fr/story/146271/macron-legislatives">Slate - Avec Emmanuel Macron, le Parti du Moindre Mal risque de faire très mal, Eric Dupin</a></span></strong> <br /><div class="social googleplus"> </div><div class="social googleplus">Profitant à plein de la présidentialisation et du scrutin majoritaire, le parti macronien est bien parti pour rafler une majorité absolue à l'Assemblée nationale. Sa position stratégique au centre, dans un contexte d'extrêmes influents, lui vaut un avantage décisif.</div><div class="social googleplus"> </div><div class="social googleplus">Même dans ses rêves les plus fous, François Bayrou n'aurait pu imaginer un scénario aussi inouï: une force centroïde capable de propulser une majorité absolue de députés à l'Assemblée nationale –de <a href="https://www.lesechos.fr/elections/legislatives-2017/030353242207-legislatives-la-vague-la-republique-en-marche-continue-de-monter-2089496.php" target="_blank">310 à 330 sièges, selon la dernière projection OpinionWay</a>. Et cela sans changer, le moins du monde, de mode de scrutin ou de logique institutionnelle.</div></div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead"><strong><a href="http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/20170531.OBS0110/comment-les-francais-voient-macron-le-benefice-du-doute.html">L'Obs - Comment les Français voient Macron : le bénéfice du doute</a></strong></div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead">Quels sont les ressorts de la popularité d'Emmanuel Macron ? L'institut BVA a recueilli les paroles de Français, Adrien Abecassis, l'ex-"monsieur opinion" de François Hollande, les décortique.</div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead"><strong>"Le sursis bienveillant"</strong>. C'est ainsi que l'on pourrait résumer le regard des Français envers leur nouveau Président. 62% des Français ont une bonne opinion de lui, selon l'Observatoire de la politique nationale BVA-Orange-La Tribune (terrain les 22 et 23 mai). C'est un niveau équivalent à ses prédécesseurs : immédiatement après son arrivée, François Mitterrand était crédité de 61% de bonnes opinions, Jacques Chirac 62%, Nicolas Sarkozy 63%, François Hollande 61%.</div><div class="article-subhead"> </div><div class="article-subhead"><a href="http://www.telos-eu.com/fr/politique-francaise-et-internationale/de-quel-liberalisme-emmanuel-macron-est-il-le-nom.html"><strong>Telos - De quel libéralisme Emmanuel Macron est-il le nom? Jérôme Perrier</strong></a></div><div class="article-subhead"> </div><div class="ar
ylepapehttp://lactualitedessocialistes.hautetfort.com/about.htmlLe Point - Hammadi (PS): la position du gouvernement sur Ferrand ”intenable” voire ”toxique”tag:lactualitedessocialistes.hautetfort.com,2017-06-01:59500242017-06-01T22:50:00+02:002017-06-01T22:50:00+02:00 Razzy Hammadi, porte-parole du PS, a jugé jeudi la position du gouvernement...
<p>Razzy Hammadi, porte-parole du PS, a jugé jeudi la position du gouvernement dans l'affaire Ferrand "intenable", voire "toxique", et l'a comparée avec l'affaire Cahuzac, tandis que le chef de file des députés socialistes Olivier Faure pense qu'il serait "sain" que Richard Ferrand démissionne.</p><p>"La position devient intenable, et elle devient nocive pour ne pas dire toxique pour ce gouvernement", qui avait fait de la moralisation de la vie politique sa priorité, a déclaré sur BFMTV M. Hammadi, député de Seine-Saint-Denis qui brigue un deuxième mandat.</p><p><a href="http://www.lepoint.fr/politique/ferrand-la-position-du-gouvernement-intenable-voire-toxique-selon-le-ps-01-06-2017-2131968_20.php"><strong>Lire la suite</strong></a><br />___________________<br />___________________</p>
ylepapehttp://lactualitedessocialistes.hautetfort.com/about.htmlFerrand doit-il démissionner ? C à vous - 31/05/2017tag:lactualitedessocialistes.hautetfort.com,2017-05-31:59497052017-05-31T23:46:18+02:002017-05-31T23:46:18+02:00
<div style="position: relative; height: 0; padding-bottom: 56.25%;"><iframe width="640" height="360" style="position: absolute; width: 100%; height: 100%; left: 0;" src="https://www.youtube.com/embed/R5_1ne6T9W8?ecver=2" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></div>
.http://pdf31.hautetfort.com/about.htmlIls veulent moraliser ? Chiche ! Qu'ils démissionnent !tag:pdf31.hautetfort.com,2017-05-31:59494052017-05-31T08:44:00+02:002017-05-31T08:44:00+02:00 Publié par Guy Jovelin le 31 mai 2017 Un proverbe des pays...
<p>Publié par Guy Jovelin le 31 mai 2017</p><header class="box-header"><div class="post-article-title"> <img src="http://size.blogspirit.net/hautetfort.com/lafautearousseau/733/media/01/00/3010174003.jpg" srcset="http://size.blogspirit.net/hautetfort.com/lafautearousseau/1466/media/01/00/3010174003.jpg 2x" alt="" width="563" height="325" /></div></header><section class="clearfix box-body"><p><strong>Un proverbe des pays chauds dit que, quand le singe veut monter au cocotier, il faut qu'il ait les fesses propres...</strong></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">Qu'est-ce qu'il lui a pris, à Macron, de vouloir, d'un coup, comme ça, mettre « du blanc », de la morale, de la pureté partout ? Certes, on sortait du désastreux quinquennium horribilis du non moins désastreux Hollande ; certes il y avait eu Thévenoud et Cahuzac ; certes il y avait eu tout le reste... Alors, oui, on pouvait, et il fallait, promettre qu'on ferait tout pour faire moins pire (ce qui, là, n'était vraiment pas difficile, et n'aurait pas demandé beaucoup d'efforts). Mais, de là à promettre la lune ! De là à se lier soi-même les mains en faisant une promesse par nature impossible à tenir - tous, toujours et partout irréprochables - il y a un pas ! Comment Macron, qui est tout sauf stupide, n'a-t-il pas vu que la démagogie de sa promesse insensée ne pourrait que lui revenir en pleine figure, tôt ou tard ? Ce fut tôt, plus que tard, et beaucoup plus tôt que prévu. Et cela fait d'autant plus mal que la promesse avait fait son petit effet.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">Résumons-nous, du moins pour l'instant, parce que, comme on dit familièrement, « ça pleut ! », et il faut suivre ! A chaque jour, son lot de révélation(s)...</span></p><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">1. Véronique Avril aime-t-elle les poissons du même nom ? Si oui, ce qu'on hésite à appeler le sien est de très mauvais goût... Candidate de La République en marche pour les élections législatives à Saint-Denis (2ème circonscription), elle a mis en location un appartement dans un immeuble insalubre, durant cinq ans. Et qu'on ne dise pas qu'il s'agit d'un oubli de l'instant : l'immeuble, de 23 m², dans le centre de Saint-Denis, a été acheté en 2011, alors même que, insalubre, il était déjà classé en état de « péril imminent » à la suite d'arrêtés pris en 2004 et 2008 ! Largement le temps pour une dame, même distraite, de se rendre compte de la situation ! Ah, on allait oublier : Véronique Avril osait louer ce taudis à une famille de 5 personnes, pour 650 euros par mois !</span></div><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">C'est beau, le respect de l'autre, l'amour du genre humain !</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">Le parti d'Emmanuel Macron a précisé lundi soir avoir saisi le « comité d’éthique » pour examiner l'affaire concernant Véronique Avril. Mais l'annonce de la composition du gouvernement n'avait-elle pas été reportée d'un jour pour, précisément, « tout vérifier » ? Quand le grotesque le dispute à l'amateurisme, à ce point, c'en devient inquiétant... </span></p><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">2. Et Richard Ferrand ? C'est fou comme il ressemble de plus en plus, et de plus en plus vite, à François Fillon : mêmes mots, même défense (?), même crispation dérisoire et arrogante, même appel au « peuple souverain » qui, lui, décidera par son vote ! Finalement, pour lui aussi - qui avait pourtant été l'un des promoteurs les plus ardents du « laver plus blanc » - la Justice, c'est pour les autres !... On revit le proche passé, pénible pour tous, du candidat LR, et on se dit que, finalement, l'expérience des uns ne sert pas aux autres.</span></div><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">L'enrichissement personnel, pas évoqué au début de « l’affaire », l'est maintenant ouvertement. Soyons clair : Ferrand l'enferré dans sa sale affaire n'a qu'une chose à faire, démissionner ! </span></p><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">3. Et Sarnez, la comparse de Bayrou, le dernier des Caïmans ? On sait que, Macron étant d'accord - démagogie pré-électorale oblige ! - c'est Bayrou qui a formulé le premier ce projet de « moralisation de la vie publique ». Lui qui a contribué à faire élire Hollande, d'abord, Macron, ensuite, mais qui s'est fait élire, entre les deux, maire de Pau par ce qu'on appelle « la droite » ! Et qui ira bientôt au Tribunal pour avoir insulté une association, mais, là, c'est une autre affaire, dont nous parlerons une autre fois...</span></div><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">Bayrou se pourléchait les babines du cas Ferrand parce qu'il le déteste : Ferrand avait osé conseiller à Macron de refuser de céder aux exigences exorbitantes de Bayrou en matière de circonscriptions gagnables pour le Modem. Du coup, Bayrou se gardait bien de dire quoi que ce soit : il a « perdu sa langue », écrivions-nous récemment. Oui, mais le voilà rattrapé par l'affaire de sa comparse Sarnez, qui - d'ailleurs - n'a rien fait d'autre que de faire comme tout le monde. Mais voilà, comme nous le disions plus haut, à partir du moment où l'on a promis qu'on allait tout changer, et qu'on allait voir ce qu'on allait voir... eh ! bien, on voit ! </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">Là aussi, une seule solution : la démission, pour la donneuse de leçon !</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">Ne restent plus que Bayrou et Macron, dans ce qui ressemble à la comptine des <em>Dix petits nègres</em> d'Agatha Christie, mais divisée par deux. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">Pour ce qui est de Bayrou, rien ne le pousse à démissionner, certes, mais on le voit très mal, maintenant, présenter bientôt, sans éclater de rire, ou sans que quelqu'un (ou quelques-uns) le fasse dans le public, son projet de moralisation de la vie politique...</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">Quant à Macron, il est maintenant protégé pour cinq ans par l'immunité attachée à sa fonction. Mais Jean-Philippe Delsol a expliqué, avec beaucoup de clarté et de pédagogie (de concision aussi : en 8'13") que Macron était passible d'une sanction d'interdiction d'exercer une fonction publique∗.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">Pourquoi ?</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">Parce que, ayant gagné beaucoup d'argent lorsqu'il était à la Banque Rothschild, il a déclaré avoir employé une grosse part de cet argent pour réaliser des travaux dans l'appartement de sa femme : on vous laisse découvrir l'affaire avec Jean-Philippe Delsol... </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">En somme, à côté du dernier des caïmans se cache un gros lézard. Et ce quinquennat, qui avait promis en fanfare de tout changer, commence à peine : ça promet ! </span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">Source : <a href="http://lafautearousseau.hautetfort.com/">lafautearousseau</a></span></p></section>
L'Hérétiquehttp://heresie.hautetfort.com/about.htmll'affaire Ferrand, intox et désintoxtag:heresie.hautetfort.com,2017-05-28:59486602017-05-28T23:36:00+02:002017-05-28T23:36:00+02:00 Sur l'affaire Ferrand, il me semble que la presse et nombre de commentaires...
<p>Sur l'affaire Ferrand, il me semble que la presse et nombre de commentaires ne prennent pas l'histoire par le bon bout. Les astuces qu'il a utilisées pour la Mutuelle de Bretagne ne me semblent pas poser problème, a fortiori si la Mutuelle est gagnante au bout du compte. Il s'agit d'argent privé, pas d'argent public, et il n'y a rien d'illégal, ce que la justice a très clairement établi. C'est bien pour cela qu'elle refuse, à raison, de se saisir de l'affaire.</p><p>Ce qui coince, c'est l'autre point : avoir fait travailler son fils comme collaborateur parlementaire. Ce n'était pas certes illégal, et, à la rigueur, on pourrait admettre qu'il s'agit d'une mauvaise pratique révolue. Le problème, c'est que Ferrand fait partie de <a href="http://www.lexpress.fr/actualite/politique/quand-ferrand-pronait-l-interdiction-d-emplois-familiaux-pour-les-parlementaires_1911656.html">ceux qui l'ont ouvert le plus fort pour dénoncer ce genre de pratiques</a>.</p><p>Je déteste l'hypocrisie. Je déteste ceux qui disent «faites ce que je dis, pas ce que je fais». Ferrand fait partie de cette espèce, toute socialiste, qui a le don de me hérisser.</p><p>C'est une erreur politique de continuer à le soutenir. C'est aussi une erreur morale.</p><p> </p>
Blophttp://impromptu.hautetfort.com/about.htmlWastburg, de Cédric Ferrandtag:impromptu.hautetfort.com,2012-02-04:38968602012-02-04T07:35:00+01:002012-02-04T07:35:00+01:00 L'histoire : Wastburg est une cité indépendante coincée entre deux...
<p style="text-align: justify;"><img id="media-3329356" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://impromptu.hautetfort.com/media/01/00/2991460229.jpg" alt="wastburg.jpg" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><em>L'histoire</em> : Wastburg est une cité indépendante coincée entre deux bras d'un fleuve, entre deux royaumes qui, au mieux, s'ignorent. Dans un monde où la magie s'est carapatée sans un mot d'excuse, les bourgeois (habitants du bourg, donc) vivent comme ils le peuvent, jonglant avec une corruption galopante, une misère crasse, une tension sociale sur le fil et une totale absence de vision de l'avenir. Le passé magique de la ville pèse de tout son poids, immobilisant la société de Wastburg dans un purgatoire éternel.<br /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Dans la boue de la cité, le Burmaester est un personnage quasi invisible et récurrent, celui dont tout le monde parle et qu'on ne voit jamais, celui autour duquel gravitent toutes les petites histoires du roman.<br /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">La Garde de la cité constitue le fil rouge du récit. Nous sautons de garde en garde, faisant petit à petit le tour de Wastburg, sous tous ses angles, dans tous ses quartiers. Le tout forme un ensemble de trames secondaires qui tissent la toile de Wastburg, jusqu'à la surprise finale. Mais je ne spoile pas. <br /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><em>Mon avis</em> : exercice ô combien ingrat ! Critiquer avec franchise et honnêteté le livre d'un type qu'on connaît via son <a href="http://hu-mu.blogspot.com">blog</a>, dont on apprécie le travail de blogueur, qui est préfacé par l'auteur d'un de ses plus grands <a href="http://impromptu.hautetfort.com/archive/2010/08/05/gagner-la-guerre-de-jean-philippe-jaworski.html">coups de coeur</a> de ces dernières années et édité (sur conseil dudit auteur) par un <a href="http://www.moutons-electriques.fr/index.php">éditeur</a> dont on aime beaucoup la ligne éditoriale. Ouille.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">L'idée est vraiment originale : un monde construit pour fonctionner avec la magie au quotidien, et qui doit vivre sans. Un monde qui se rétrécit, mais qui lutte pour sa propre survie. </span><span style="font-size: small;">Pas de héros ni de quête, ici bas ; c'est la débrouille, l'immoralité et la misère qui prédominent. Et puis,<em> Wastburg</em> propose une superbe vue en coupe d'une cité, avec ses rues et ses arrière-cours, ses gardes et ses blanchons, ses innombrables trafics, la parlure colorée de ses habitants. Un tableau de toute beauté, mais qui est resté, pour moi, un tableau : figé. Sans mouvement, sans émotion, sans dynamique. </span><span style="font-size: small;">Je me suis ennuyée. Voilà, c'est dit. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Je me suis ennuyée, parce que l'histoire n'avance pas, ou tellement lentement qu'on ne sait pas si on va quelque part. Je suis une béotienne, j'ai des "goûts de chiotte", dirait certainement un personnage du roman. </span><span style="font-size: small;">J'aime la belle écriture (là, il faut dire que Cédric Ferrand a chiadé sa copie), j'aime les situations originales (ce qui est le cas) mais j</span><span style="font-size: small;">'aime aussi quand ça bouge, j'aime le suspens et les cliffhangers, bref, j'aime ce qui constitue bien souvent les blockbusters et les franchises stéréotypées. Puéril, n'est-ce pas ?</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Cela vient peut-être de mon manque d'intérêt pour l'univers des jeux de rôle, où chaque personnage est une histoire et un univers en soi. Cédric Ferrand <a href="http://wastburg.com/">dit lui-même</a> bien volontiers que son activité de créateur de jeux de rôle a influencé la construction de son récit. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Alors voilà, je suis fidèle à ma ligne éditoriale : je dis en toute franchise ce que je pense, mais dans ce cas précis, ce n'est pas un exercice très agréable. C'est peut-être pour cette raison que j'ai mis si longtemps à rédiger ce billet (<span style="font-size: x-small;">ou comment trouver une excuse débile pour justifier 5 semaines de non publication</span>...). </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Cela posé, je ne peux que vous encourager à vous faire une idée par vous-même. Lisez, car d'autres, bien d'autres, ont aimé.<br /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><br /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Editeur : Les moutons électriques, 2011</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Genre : fantasy crapuleuse</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Lu aussi par <a href="http://hu-mu.blogspot.com/2011/09/wastburg-cedric-ferrand-critique-pro.html">Munin</a>, <a href="http://efelle.canalblog.com/archives/2011/10/19/22408069.html">Efelle</a>, <a href="http://www.traqueur-stellaire.net/2012/01/wastburg-cedric-ferrand/">Guillaume le Traqueur</a>, <a href="http://siku00.blogspot.com/2011/01/wastburg.html">Cédric Jeanneret</a>. Voir également <a href="http://quoideneufsurmapile.blogspot.com/2011/08/cedric-ferrand-wastburg-mystery-tour.html">l'interview de l'auteur</a> par Gromovar.<br /></span></p>