Les notes sur le Tag fernando%20pessoa : blog hautetfort

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Retour de Lisbonne.

Après la grande courtoisie portugaise, contraste au retour : les Français se regardent de travers et s'engueulent dans l'avion. En chemin vers la navette parking de l'aéroport Saint-Exupéry, un groupe de zonards guettent les derniers voyageurs. L'un d'eux fait mine de barrer le chemin à une dame qui marche devant nous avec son mari en aboyant : « c'est quoi cette meuf ? » Bienvenue en...

Publié le 25/09/2014 dans LE BLOG... par Christian COTTET-EMARD | Lire la suite...

Être homme c'est ne pas se contenter. Sur quelques poèmes ésotériques de Fernando Pessoa

Photographie (détail) de Juan Asensio. Peu nous importe en fin de compte, en lisant les Poèmes ésotériques , le Message et Le Marin , regroupés dans un seul volume publié par les éditions Christian Bourgois en 1988 (1), que Fernando Pessoa ait puisé son inspiration pour le moins complexe à plusieurs sources, qu'il s'agisse de textes bibliques, de textes d'inspiration...

Publié le 08/09/2014 dans STALKER -... par Juan Asensio | Lire la suite...

... j'entends passer le vent

... j'entends passer le vent, - et je trouve que rien que pour entendre passer le vent, il vaut la peine d'être né. - Fernando Pessõa

Publié le 30/07/2014 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Fernando Pessoa, Bureau de tabac

Tabacaria Não sou nada. Nunca serei nada. Não posso querer ser nada. A parte isso, tenho em mim todos os sonhos do mundo. Janelas do meu quarto, Do meu quarto de um dos milhões do...

Publié le 18/07/2014 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Fernando et Marguerite

« Je ne peux vouloir être rien » - Fernando Pessoa - (Bureau de tabac) « Je ne peux me résoudre à être rien » - Marguerite Duras - (C'est tout, éditions POL)

Publié le 07/01/2014 dans LE BLOG... par Christian COTTET-EMARD | Lire la suite...

Hello, monsieur Pessoa !

Lisbonne, octobre 2013. L Ci-dessus, statue de Fernando Pessoa au café A Brasileira.

Publié le 06/10/2013 dans LE BLOG... par Christian COTTET-EMARD | Lire la suite...

La littérature dans le siècle (II) : terrasse

Qu'il est triste, vénérable Fernando, d'ainsi vous rencontrer, au détour d'une rue piétonne, sous un soleil un peu frais de Lisbonne (il ne pleuvait pas comme sur ce cliché), dans une posture aussi grotesque (1) , le genou replié, comme le ferait n'importe quel quidam affalé ; qu'il est triste de voir autant de gens passer devant vous, bruyants, indifférents, ignorants, peu...

Publié le 05/02/2013 dans off-shore par nauher | Lire la suite...

Fernando Pessoa, Poésie d'Alvaro de Campos

Lisbon revisited Rien ne m'attache à rien. Je veux cinquante choses en même temps, Avec une angoisse de faim charnelle J'aspire à un je ne sais quoi — de façon bien définie à l'indéfini... Je dors inquiet, je vis dans l'état de rêve anxieux du dormeur inquiet, qui rêve à...

Publié le 07/05/2012 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Antonio Tabucchi (24 septembre 1943 - 25 mars 2012)

« ... et la vie était là, paisible, scandée par notre voisin le grillon, et cette nuit était la meilleure de toutes les nuits, parce que c’était une nuit liquide, semblable à la pulpe d’un abricot. » Antonio Tabucchi (Extrait de Message de la pénombre , dans le recueil Les oiseaux de Fra Angelico , éditions 10/18.)

Publié le 27/03/2012 dans LE BLOG... par Christian COTTET-EMARD | Lire la suite...

Fernando Pessoa, Le Gardeur de troupeaux

Je suis un gardeur de troupeaux. Le troupeau ce sont mes pensées Et mes pensées sont toutes des sensations. Je pense avec les yeux et les oreilles Et avec les mains et avec les pieds Et avec le nez et avec la bouche. Penser une fleur c’est la voir et la respirer Et manger un fruit c’est en savoir le sens. C’est pourquoi lorsque par un jour de...

Publié le 22/09/2011 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

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