Last posts on extorsion2024-03-29T11:13:54+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://www.hautetfort.com/https://www.hautetfort.com/explore/posts/tag/extorsion/atom.xml.http://pdf31.hautetfort.com/about.htmlExtorsion : le gouvernement compte encore augmenter le prix du carburant !tag:pdf31.hautetfort.com,2018-07-25:60684892018-07-25T12:32:00+02:002018-07-25T12:32:00+02:00 Publié par Guy Jovelin le 25 juillet 2018 Auteur : Pierrot...
<p style="text-align: left;">Publié par Guy Jovelin le 25 juillet 2018</p><p style="text-align: right;">Auteur : Pierrot<br /><a href="tp://www.contre-info.com/extorsion-le-gouvernement-compte-encore-augmenter-le-prix-du-carburant#more-53073">contre-info</a></p><p style="text-align: center;"><img id="media-5845637" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://pdf31.hautetfort.com/media/02/00/1580231574.jpg" alt="carburant,darmanin,extorsion,prix" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">C’est aux lecteurs du journal Var-mation que le ministre de l’action et des comptes publics s’est livré, le jeudi 19 juillet. À la question « Les taxes de carburants vont-elles diminuer pour favoriser le pouvoir d’achat ?« , il s’est exclamé « Non ! Au contraire, on va les augmenter car le diesel est une des premières causes de mortalité dans les villes« . Il précise que les enfants peuvent contracter de l’asthme ou des cancers et que des dizaines de milliers de morts sont causés par le diesel chaque année. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">L’objectif est donc une économie décarbonisée, une « logique contre intuitive » selon le ministre. « Pendant des années on a fait acheter du diesel mais aujourd’hui nous devons passer à une transition énergétique plus écologique. » ajoute-t-il, avant d’évoquer la prime de conversion. Il qualifie cette initiative de « grand succès » et confirme que ceux qui passent à l’électrique réalisent de grandes économies. </span></p><p style="text-align: right;"><span style="font-size: 10pt;">Source : <a href="https://www.laprovence.com/actu/en-direct/5075292/gerald-darmanin-affirme-laugmentation-des-taxes-sur-les-carburants.html">Var Matin</a> </span><br /><br /></p>
Yfighttp://yfigexnihilo.hautetfort.com/about.htmlUn procès très ordinairetag:yfigexnihilo.hautetfort.com,2007-04-17:9917882007-04-17T14:40:00+02:002007-04-17T14:40:00+02:00 C’était un 15 décembre. Dès que je me suis présenté à la...
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"> </p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">C’était un 15 décembre.</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"> </p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Dès que je me suis présenté à la réception pour l'entretien d'embauche, j'ai su que ça allait merder !</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">La secrétaire avait une tête de chien battu et a totalement paniqué quand je lui ai annoncé que j'avais rendez-vous avec le directeur.</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Elle est restée un bon moment à me regarder comme si je venais pour un hold-up, puis, voyant que je ne bougeais pas d'un poil, elle m'a dit :</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">" je vais l'appeler pour lui dire que vous êtes là, alors ?" et c'était plus une question qu'une affirmation.</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"> </p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">La secrétaire du directeur est venue me chercher. Elle avait l’air sympa mais quelque peu distante.</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Le directeur, je l’avais déjà eu au téléphone et il m’avait semblé assez limité.</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">C’était un homme courtaud avec le cou rentré dans les épaules, des petits yeux chafouins et une barbe en collier de marin breton qui prend d’une oreille jusqu’à l’autre mais en évitant le dessous de la lèvre inférieure et sans moustache, un nain de jardin. Il avait l’air fourbe et retors.</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Il n’était pas seul dans le bureau, une femme mûre à la face rébarbative aux yeux globuleux aux lèvres repoussantes et aux cheveux hirsutes et blanchâtres l’accompagnait.</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Le directeur nous a présentés : Yfig, Madame Obséquieuse, Chef du personnel.</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Nous nous sommes serré la louche, elle avait des mains de maçon, toutes sèches, crevassées, râpeuses.</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Elle a évité soigneusement de me regarder dans les yeux et j’ai trouvé que son nom lui allait à merveille.</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Ils m’ont prié de m’asseoir et l’entretien a commencé.</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Ils m’ont fait le coup du : « nous allons vous présenter notre société », formalité des plus chiantes dans la mesure ou<span> </span> elle consiste à parler en bien de l’entreprise en évitant soigneusement de dire le moindre mot sur la réalité interne.</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Puis, de la façon la plus classique qui soit, nous nous sommes penchés sur mon CV. J’ai bien essayé d’y mettre un brin de fantaisie, mais ils m’ont vite fait comprendre que l’humour ne les branchaient pas.</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Enfin, on a joué au petit jeu des questions réponses, le truc le plus tartignolle qui se puisse pratiquer pour un entretien d’embauche, sauf si strictement technique.</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"> </p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">La question qui tue : « avez-vous des questions sur l’entreprise ? »</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Ben oui, évidemment face de pet, je voudrais savoir si vous piquez dans la caisse et si vous vous octroyez des avantages surnuméraires ?</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"> </p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Et là, la dame à tête de bouledogue et qui se prétendait chef du personnel a enfin pu poser LA question pour laquelle elle avait insisté pour participer à l’entretien :</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">« Si nous vous retenons pour le poste, pensez-vous que vous devrez être tenu<span> </span> informé de tout ce qui se passera dans la société, ou bien, au contraire, pensez-vous que vous ne vous sentirez concerné par ce qui se passera dans votre département et uniquement par ça ? »</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"> </p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Ca m’a foutu un coup, car je me suis dit que cette pauvre dinde était vraiment aussi finaude qu’un baril de lessive vide qui peut encore servir comme poubelle et que je me préparais de sacrés beaux jours si jamais je rentrais dans une boîte où le chef du personnel est aussi gland qu’un rayon de roue de bicyclette !!!!!!</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"> </p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">J’ai eu une furieuse envie de me lever et de me casser en laissant là ces deux ronds de flanc.</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Mais j’étais sans boulot depuis six mois et n’avais droit à aucun type d’allocation ni d’aide et chaque jour qui passait nous endettait un peu plus ….. et puis, j’ai eu une pensée amicale pour l’ami qui m’avait introduit auprès de cette société.</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"> </p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">J’ai donc fait semblant d’avoir pris le temps de réfléchir pour leur asséner benoîtement le seul lieu commun qu’une pareille question pouvait attendre en réponse :</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">« Ni l’un ni l’autre, chère madame (et j’ai perçu, à certaines vibrations, qu’elle serrait les fesses), car si je vous dis que je me contenterai de m’informer de mon département, vous penserez que je me désintéresse de votre entreprise, ce qui n’est pas le cas, et si je vous réponds que je veux être tenu informé par le détails de tout ce qui s’y passe, je n’aurais plus assez de<span> </span> temps pour m’occuper de mon service. Je souhaiterai donc être mis au courant de tout ce qui me concernera au premier degré et accessoirement de tout ce qui peut avoir une influence sur la stratégie globale de l’entreprise et donc, par effets de bord, sur mon service. L’art du management n’est-il pas d’anticiper ? »</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"> </p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Le directeur acquiesça du chef et parut fort satisfait et elle, fort décontenancée, je le vis à ses yeux qui avaient échappés à ses orbites.</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Elle les remit en place et nous échangeâmes nos civilités.</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"> </p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"> </p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"> </p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Par mon copain qui suivait ce client pour d’autres services, j’appris que nous étions deux sur les rangs. Avouerais-je que j’ai espéré ne pas être retenu ? C’était un peu lâche de ma part, mais qui me jettera la première pierre ?</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Le lendemain, mon copain m’informait que l’autre candidat avait déclaré forfait après son entretien. Tu m’étonnes, pensais-je ! Il est pas fou, lui !</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"> </p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Le 19 décembre, le directeur m’appela pour me tenir informé, sans s’oublier au passage.</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">« Je voulais vous dire que nous continuons à recevoir des candidats et que c’est pour cette raison que nous ne vous avons donné aucune suite pour le moment, et je voulais savoir si vous êtes toujours disponible, si nous pouvons compter sur vous ? »</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"> </p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">J’ai quand même appelé mon pote pour lui faire part de mon inconfort vis à vis de cette turne inquiétante.</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Il m’a rassuré en termes convaincants :</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">« T’inquiète, Yfig, c’est qu’une question de formalités, une fois dans la bergerie, tu feras tout ce que tu voudras, ils sont tous brèles en informatique et tu vas vite t’en rendre compte et tu passeras pour un dieu à leurs yeux ! Et puis oublies pas qu’ils sont à moitié fonctionnaires et qu’ils passent leur temps à roupiller. »</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"> </p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Lui, au moins, avait la foi !</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">« Et pourquoi tu travailles avec eux si tu en as une si mauvaise opinion. » risquais-je.</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">« Pour le fric mon chéri, pour le fric. »</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"> </p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Bon ! je me remis à ma toile et me concentrais sur un glacis des plus délicat. Dommage que la peinture ne nourrisse pas en dessous d’une certaine notoriété. Si mon copain m’avait introduit dans les milieux artistiques, j’aurais eu plus de grâces à jouer les caudataires.</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"> </p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"> </p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Le 26 décembre, le nain de jardin m’appelait pour me demander si j’accepterais de commencer le 30 décembre en justifiant cette date quelque peu surprenante par un jargon totalement incompréhensible. Il s’agissait de mettre, au plus vite, un terme aux bêtises du responsable de service que je devais remplacer.</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"> </p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Rendez-vous fut donné.</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Le 30, à 9 heures, j’avançais vers ma destinée.</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"> </p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Le directeur me demanda de l’accompagner jusqu’au service informatique.</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">C’était une grand messe : tout le personnel de service, y compris les deux personnes en congés, avaient été requises. Au total 12 personnes plus le directeur et votre serviteur nous évitions de justesse le 13 fatidique. La ‘cène’ me sembla particulièrement surréaliste.</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Le directeur en Christ et ses 12 apôtres et moi le témoin inattendu !</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">La bouledogue n’était pas là, mais j’apprendrais ultérieurement qu’elle n’était pas spécialement courageuse dans les cas de gros vent.</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Le Christ me présenta en qualité de nouveau chef de service devant l’ancien qui prit rapidement la parole pour affirmer qu’il n’avait pas été officiellement informé ni destitué et qu’en conséquence il restait le seul chef ….. passant outre, le Christ fit le tour de la table en demandant à chacune et chacun de se présenter.</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Ils s’exécutèrent avec des mines crispées et des culs serrés (ça se voyait à leur bouches qui rentraient dans leurs faces).</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">L’ambiance de plomb était particulièrement lourde et épineuse.</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">On mettrait ça dans un film, pensais-je, personne n’y croirait !</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Puis vint mon tour de présenter mes états de services.</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Je débitais mon CV comme s’il s’agissait du synopsis de ma prochaine nouvelle, avec baroud à Khartoum, ramdam à Djakarta, barnum à Pretoria et missions commandos à Chicago …. A leur bouilles pétrifiées, je me suis mis à la place de mes futures collaboratrices et teurs qui devaient se demander quel était là le mercenaire qui débarquait dans cette petite entreprise paisible qui vivait au rythme des 35 heures et des RTT et n’avait nul besoin d’un kamikaze pour gâcher leur tranquillité.</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Ce n’était pas moi, c’était une espèce de professionnel qui récitait une notice d’emploi.</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Le directeur m’a demandé de présenter mon plan d’action.</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Manquait pas d’air le dirlo ! J’ai répondu que je souhaitais réaliser un travail d’équipe et que je convoquais le personnel à une réunion de définition de stratégie qui se tiendrait à 14 heures 30.</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"> </p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Le Christ est redescendu à son bureau de directeur et je suis resté avec mon prédécesseur qui m’a dit qu’il ne me tenait pas personnellement responsable de la situation mais qu’il ne fallait pas non plus que je m’attende à la moindre faveur de sa part.</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"> </p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">J’avais pas faim. Je suis allé faire un tour à pied pour m’aérer les synapses.</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Je faisais tout mon possible pour ne pas penser. La seule chose qui me retenait de tout envoyer chier, c’était de me dire que de commencer un 30 décembre me validait le dernier trimestre pour la retraite et ça, c’était quand même un joli pied de nez au destin. Et puis tout comptes faits, ce n’était jamais qu’un contrat à durée déterminée, de quoi passer une mauvaise passe !</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">On m’a casé dans un petit bureau au fond du couloir.</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"> </p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"> </p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Ca a duré plus d’un mois, jusqu’à début février quand le directeur et sa marâtre se sont enfin décidés à lourder mon prédécesseur.</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Ils se sont crus aux States, car ils l’ont viré du jour au lendemain sans semonce …….<span> </span> Mais c’est son histoire, pas la mienne …… ça m’a quand même laissé de quoi largement réfléchir à ce que pourrait être mon sort ……</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"> </p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Et puis je me suis mis à l’ouvrage.</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"> </p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Chaque fois que je constatais un dysfonctionnement, je rédigeais un rapport circonstancié que j’adressais au directeur en lui demandant de me faire part de sa décision.</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"> </p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Exemple :</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">------------------------------</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><a title="_Toc38186542" name="_Toc38186542"></a>Messageries LOTUS / LINUX<span> </span> et Base Documentaire LOTUS</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">.<span> </span> Nous avons mis en place une messagerie sous LINUX</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span> </span> nous avons testé avec succès la possibilité de consulter les bases documentaires de<span> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Lotus à partir d’un navigateur WEB.</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"> </p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Nous sommes donc à même de vous proposer deux solutions :</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">- Acheter des licences LOTUS pour les nouvelles boîtes de messagerie</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">- Donner accès à la messagerie LINUX en garantissant une parfaite communication avec les personnes ayant déjà leur compte sous LOTUS.</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span>En l’attente de votre décision, et toujours à votre disposition pour toute question ou information complémentaire, veuillez agréer mes plus cordiales salutations</span><strong>.</strong></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><strong>-----------------------------------</strong></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><strong> </strong></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"> </p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"> </p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Mes collaboratrices-teurs n’étaient pas du tout des brèles, en tout cas, pas tous.</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Je les ai inscris à des cours, choses qui ne leur était pas arrivé depuis plusieurs années et j’ai fait venir des intervenants experts sur des sujets pointus.</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Au fil des mois, les compétences du service remontaient de niveau et l’ambiance de travail<span> </span> devenait de plus en plus agréable.</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"> </p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Mais c’était sans compter sur la jalousie de la l’acariâtre pimbêche dont je venais d’apprendre qu’elle se trouvait être DRH par ancienneté et qu’elle avait commencé<span> </span> comme secrétaire sténodactylo quelques décennies auparavant. Je n’ai rien contre les autodidactes, mais les promotions canapé, par contre, ça me défrise les poils du cul et la différence est aisée à faire entre une professionnelle et une gribouille qui vous fait de vilain procès pour des choses qui la dépasse et qui réinvente le code du travail au gré des ses fantasmes et autres humeurs.</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">J’avais eu l’occasion, au travers de quelques altercations simples de me rendre compte de l’incompétence croquignolette de la dame.</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Elle ignorait, entres autres, les modalités juridiques de gestion des fonds de formations et prétendait que les formations que je réclamais pour mon service devaient faire l’objet d’un budget officiel. Je lui fis entendre raison en l’amenant à accepter une réunion avec un prescripteur de formations professionnelles de la place qui lui apporta tous les éléments juridiques qui lui prouvèrent par A plus B que le financement pouvait être assuré indépendamment du budget. J’ai bien senti que mon stratagème ne l’avait pas flattée sur sa capacité à la gestion des ressources humaines.</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Elle avait décrété, d’autre part, qu’avec un CDD, je n’avais pas accès aux avantages du CE. Je m’en foutais, le CE ne proposait rien, rien qui puisse m’intéresser.</p><p class="MsoN