Last posts on ethnographie2024-03-29T15:11:54+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://www.hautetfort.com/https://www.hautetfort.com/explore/posts/tag/ethnographie/atom.xmlLe Photonhttp://lephoton.hautetfort.com/about.htmlC'était le 14 janvier...tag:lephoton.hautetfort.com,2024-01-14:19956282024-01-14T12:18:00+01:002024-01-14T12:18:00+01:00 -38. Naissance du chef militaire romain Drusus (Nero Claudius Germanicus)....
<div style="text-align: left;">-38.<br />Naissance du chef militaire romain Drusus (Nero Claudius Germanicus). Fils de Néron, frère de Tibère et gendre d'Auguste, il combattit les Frisons, les Chattes, les Souabes, les Chérusques et les Marcomans. C'est au cours de l'une de ses expéditions en Germanie qu'il fut mortellement blessé en l'an 9 av. notre ère. De son mariage avec Antonia Minor, fille de Marc-Antoine, naquit le futur empereur Claude.<br /><br /></div><div style="text-align: left;">1327.<br />Mort à Avignon du philosophe allemand et théologien dominicain Eckhart von Hochheim, dit Maître Eckhart. Il fut le premier des "mystiques rhénans".</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">1755.<br />Voltaire écrit : "On prétend que Mandrin est à la tête de 6 000 faux sauniers déterminés, que les soldats désertent pour se ranger sous ses drapeaux et qu'il sera bientôt à la tête d'une grande armée. Il y a trois mois, ce n'était qu'un voleur, c'est à présent un conquérant !"</div><p>1792.<br /><a href="http://lephoton.hautetfort.com/media/02/00/1358388166.jpg" target="_blank" rel="noopener noreferrer"><img style="border-width: 0pt; margin: 0.7em auto; display: block;" src="http://lephoton.hautetfort.com/media/02/00/1825544179.jpg" alt="convention.jpg" /></a><br />L'Assemblée nationale déclare "traître à la patrie" tout Français qui prendrait part, directement ou indirectement, à un congrès visant à obtenir une modification de la Constitution du 3 septembre 1791.</p><p>1878.<br />Naissance à Brest de l'écrivain voyageur, ethnographe et poète breton Victor Segalen. Explorateur de la Chine et de la Polynésie, il exprima dans ses écrits sa fascination pour la culture maorie et sa détestation de la morale chrétienne : "C'est pour avoir perdu la foi dans la langue de leurs pères et n'avoir pas pu donner naissance à un grand poète que les Maoris ont failli à éterniser leur race et leurs dieux".</p><p>1896.<br />Naissance à Chicago de l'écrivain américain John Dos Passos (<em>Manhattan Transfer</em>, 1925). Proche des milieux communistes dans la première moitié des années 20, son œuvre décrit des personnages de différentes classes sociales dans un style proche du "réalisme socialiste". Il deviendra férocement hostile à l'URSS après l'assassinat de son ami José Robles, tué par les staliniens pendant les journées de mai 1937 à Barcelone.</p><p>1898.<br />Mort à Guildford (Surrey) de l'écrivain et mathématicien anglais Charles Lutwige Dodgson, alias Lewis Carroll.</p><p>1900.<br />Première représentation, au théâtre Costanzi de Rome, de la <em>Tosca</em> de Giacomo Puccini, opéra tiré d'une pièce de Victorien Sardou.</p><p>1925.<br />Naissance à Tokyo de l'écrivain japonais Kimitake Hiraoka, plus connu sous le nom de Yukio Mishima.</p><p>1962.<br />La CGT ayant proposé la mise au point d'une action commune contre les "factieux de l'OAS", Guy Mollet répond, au nom du Parti socialiste : "Ces espèces de léninistes mal blanchis et mal destalinisés veulent utiliser la menace de l'OAS pour dédouaner le PC. Dans la conjoncture présente, l'action avec les communistes est impossible".</p>
fredlautrehttp://lantidote.hautetfort.com/about.htmlLE SAUVAGE ET LA CHAIR HUMAINEtag:lantidote.hautetfort.com,2020-03-23:62224772020-03-23T09:00:00+01:002020-03-23T09:00:00+01:00 Pendant le confinement, je conseille l'évasion par la lecture....
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; font-family: 'times new roman', times, serif;"><img id="media-6105228" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://lantidote.hautetfort.com/media/01/01/3863402212.jpg" alt="LERY JEAN DE VOYAGE AU BRESIL.jpg" />Pendant le confinement, je conseille l'évasion par la lecture.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; font-family: 'times new roman', times, serif;">Aujourd'hui, un autre extrait passionnant de <span style="text-decoration: underline;">Histoire d'un voyage faict en la terre du Bresil</span>, cet ancêtre du manuel d'ethnographie en général et de Lévi-Strauss en particulier (qui parle du « <em>bréviaire de l'ethnologue</em> » et du « <em>chef d'œuvre de la littérature ethnographique</em> »), publié par Jean de Léry en 1578 (Le Livre de Poche, coll. Bibliothèque classique). </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; font-family: 'times new roman', times, serif;">Jean de Léry rapporte ici des traditions ... disons "culinaires" (et sociales) légèrement différentes des nôtres. L'orthographe est "modernisée", mais j'ai laissé la syntaxe telle quelle. Si on voyait ça au cinéma, on aurait du mal à supporter. Âmes sensibles s'abstenir.</span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: 14pt; font-family: 'times new roman', times, serif;">***</span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: 14pt; font-family: 'times new roman', times, serif;">CHAPITRE XV</span></p><p style="text-align: center;"><em><span style="font-size: 14pt; font-family: 'times new roman', times, serif;">Comment les Ameriquains traittent leurs prisonniers prins en guerre, et les ceremonies qu'ils observent tant à les tuer qu'à les manger.</span></em></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; font-family: 'times new roman', times, serif;">« Il reste maintenant de savoir comme les prisonniers pris en guerre sont traités au pays de leurs ennemis. Incontinent donc qu’ils y sont arrivés, ils sont non seulement nourris des meilleures viandes qu’on peut trouver, mais aussi on baille des femmes aux hommes (et non des maris aux femmes), même celui qui aura un prisonnier ne faisant point de difficulté de lui bailler sa fille ou sa sœur en mariage, celle qu’il retiendra, en le bien traitant, lui administrera toutes ses nécessités. Et au surplus, combien que sans aucun terme préfix, mais selon qu’ils connaîtront les hommes bons chasseurs, ou bons pêcheurs, et les femmes propres à faire les jardins, ou à aller quérir des huîtres, ils les gardent plus ou moins de temps, tant y a néanmoins qu’après les avoir engraissés, comme pourceaux en l’auge, ils sont finalement assommés et mangés avec les cérémonies suivantes.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 14pt;"><span style="font-size: 14pt;">Premièrement après que tous les villages d’alentour de celui où sera le prisonnier auront été avertis du jour de l’exécution, hommes, femmes et enfants y étant arrivés de toutes parts, ce sera à danser, boire et <em>caoüiner</em> toute la matinée. Même celui qui n’ignore pas que telle assemblée se faisant à son occasion, il doit être dans peu d’heures assommé, emplumassé qu’il sera, tant s’en faut qu’il en soit contristé, qu’au contraire, sautant et buvant il sera des plus joyeux. Or cependant après qu’avec les autres il aura ainsi riblé et chanté six ou sept heures durant : deux ou trois des plus estimés de la troupe l’empoignant, et par le milieu du corps le liant avec des cordes de coton, ou autres faites de l’écorce d’un arbre qu’ils appellent <em>Yvire</em>, laquelle est semblable à celle du Til de par deçà [<em>par deçà = en Europe</em>], sans qu’il fasse aucune résistance, combien qu’on lui laisse les deux bras à délivre, il sera ainsi quelque peu de temps promené en trophée parmi le village. Mais pensez-vous que encore pour cela (ainsi que feraient les criminels par-deçà) il en baisse la tête ? Rien moins : car au contraire, avec une audace et assurance incroyable, se vantant de ses prouesses passées, il dira à ceux qui le tiennent lié : j’ai moi-même, vaillant que je suis, premièrement ainsi lié et garrotté vos parents : puis s’exaltant toujours de plus en plus, avec la contenance de même, se tournant d’un côté et d’autre, il dira à l’un : j’ai mangé de ton père, à l’autre : j’ai assommé et <em>boucané </em>[= <em>rôti au feu</em>] tes frères : bref ajoutera-t-il : j’ai en général tant mangé d’hommes et de femmes, voire des enfants de vous autres <em>Toüoupinambaoults</em>, lesquels j’ai pris en guerre, que je n’en saurais dire le nombre : et au reste, ne doutez pas que pour venger ma mort, les <em>Margajas</em> de la nation dont je suis, n’en mangent encore ci-après autant qu’ils en pourront attraper. » (p.354-356)</span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 14pt;"><span style="font-size: 14pt;">(...) Or sitôt que le prisonnier aura été ainsi assommé, s'il avait une femme (comme j'ai dit qu'on en donne à quelques-uns), elle se mettant auprès du corps fera quelque petit deuil : je dis nommément petit deuil, car suivant vraiment ce que fait le Crocodile : à savoir qu'ayant tué un homme il pleure auprès avant que de le manger, aussi après que cette femme aura fait ses tels quels regrets et jeté quelques feintes larmes sur son mari mort, si elle peut ce sera la première qui en mangera. Cela fait les autres femmes, et principalement les vieilles (lesquelles plus convoiteuses de manger de la chair humaine que les jeunes sollicitent incessamment tous ceux qui ont des prisonniers de les faire vitement dépêcher [= <em>exécuter</em>]) se présentant avec de l'eau chaude chaude qu'elles ont toute prête, frottent et échaudent de telle façon le corps mort ayant levé la première peau, elles le font aussi blanc que les cuisiniers par deçà sauraient faire un cochon de lait prêt à rôtir.</span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 14pt;"><span style="font-size: 14pt;">Après cela, celui duquel il était prisonnier avec d'autres,tels, et autant qu'il lui plaira, prenant ce pauvre corps le fendront et mettront si soudainement en pièces, qu'il n'y a boucher en ce pays ici qui puisse plus tôt démembrer un mouton. Mais outre cela (ô cruauté plus que prodigieuse) tout ainsi que les veneurs par deçà après qu'ils ont pris un cerf en baillent la curée aux chiens courants, aussi ces barbares afin de tant plus inciter et acharner leurs enfants, les prenant l'un après l'autre ils leur frottent le corps, bras, cuisses et jambes du sang de leurs ennemis. Au reste depuis que les Chrétiens ont fréquenté ce pays-là, les sauvages découpent et taillent tant le corps de leurs prisonniers, que des animaux et autres viandes, avec les couteaux et ferrements qu'on leur baille. Mais auparavant, comme j'ai entendu des vieillards, ils n'avaient d'autre moyen de ce faire, sinon qu'avec des pierres tranchantes qu'ils accommodaient à cet usage.</span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 14pt;"><span style="font-size: 14pt;">Or toutes les pièces du corps, et même les tripes après être bien nettoyées sont incontinent mises sur les <em>Boucans</em>, auprès desquels, pendant que le tout cuit ainsi à leur mode, les vieilles femmes (lesquelles, comme j'ai dit, appètent merveilleusement de manger de la chair humaine) étant toutes assemblées pour recueillir la graisse qui dégoutte le long des bâtons de ces grandes et hautes grilles de bois, exhortant les hommes de faire en sorte qu'elles aient toujours de telle viande : et en léchant leurs doigts disent, <em>Yguatou</em>, c'est-à-dire, il est bon. Voilà donc ainsi que j'ai vu, comme les sauvages Américains font cuire la chair de leurs prisonniers pris en guerre : à savoir Boucaner, qui est une façon de rôtir à nous inconnue. </span></span><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 14pt;"><span style="font-size: 14pt;">» (p.361-364)</span></span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-6105972" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lantidote.hautetfort.com/media/00/00/3393766764.jpg" alt="littérature,ethnographie,france,jean de léry,indiens tupis,histoire d'un voyage en terre de brésil" width="472" height="581" /></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 14pt;">Le "boucan".</span></p>
stephanedugasthttp://stephanedugast.hautetfort.com/about.htmlLES VOYAGES EXTRAORDINAIRES D'HISTORIAtag:stephanedugast.hautetfort.com,2016-08-09:58314982016-08-09T08:46:00+02:002016-08-09T08:46:00+02:00 Dans tous les bons kiosques de presse, retrouvez cet été un hors-série de...
<p><span style="font-family: verdana,geneva,sans-serif; font-size: 10pt;"><font style="font-size: 10pt;" size="2"><strong>Dans tous les bons kiosques de presse, retrouvez cet été un hors-série de la revue Historia consacré aux voyages extraordinaires.</strong> </font></span></p><p><img src="http://stephanedugast.hautetfort.com/media/01/01/2148173793.jpg" id="media-5424084" alt="" /></p><blockquote><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000080;"><strong><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;"><font style="font-size: 10pt;" size="2">Embarquez sur des Voyages extraordinaires pour une merveilleuse traversée pleine de surprises. Évasion garantie.</font></span></strong></span></p></blockquote><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana,geneva,sans-serif; font-size: 10pt;"><font style="font-size: 10pt;" size="2">Depuis qu'il est présent sur notre planète, l'être humain n'a jamais cessé de vouloir explorer les terres et les mers situées au-delà de son horizon. Ainsi est né la passion du voyage, irrépressible, irraisonnée, qui pousse chacun à quitter son environnement pour se lancer sur des chemins exotiques (du grec exôtikos, étranger). Périples bien réels ou odyssées imaginaires, qu'importe le moyen de transport, pourvu qu'il y ait l'ivresse de la découverte de soi et du monde.</font></span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-5424085" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://stephanedugast.hautetfort.com/media/02/00/1010994825.jpg" alt="presse,hors-série,revue historia,voyages extraordinaires,hérodote,géographie,ethnographie,barbares,ulysse,marco polo,expéditions,conquistadores,eldorado,virgile,sélénites,voyageurs intrépides,olivier archambeau,géographe,président,société des explorateurs français,sef" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;"><font style="font-size: 10pt;" size="2">Ces voyages extraordinaires, des </font><em><font style="font-size: 10pt;" size="2">Enquêtes</font></em><font style="font-size: 10pt;" size="2"> de l'historien grec Hérodote, le père de la géographie et de l'ethnographie, partis à la rencontre des Barbares aux aventures d'Ulysse, des récits plus ou moins véridiques de Marco Polo, aux expéditions des Conquistadores à la recherche de l'Eldorado, s'égarent aussi parfois en enfer tel que décrit par Virgile ou chez les Sélénites, autant dire sur la lune ! </font></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;"><font style="font-size: 10pt;" size="2">Alors partez avec ce numéro d'Historia Spécial sur les routes pleines d'imprévus de voyageurs intrépides sans oublier que la lecture est aussi l'une des plus belles façons de s'évader.</font></span></p><blockquote><p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif; color: #000080;"><font style="font-size: 10pt;" size="2">En prime : un entretien éclairant avec Olivier Archambeau, géographe et président de la Société des Explorateurs Français.</font></span></strong></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;"><span style="color: #000080;"><strong><font style="font-size: 10pt;" size="2">En savoir </font><font style="font-size: 10pt;" size="2">+, RDV </font><font face="Liberation Serif, serif"><font style="font-size: 10pt;" size="2">>>> <a href="http://www.historia.fr/parution/sp%C3%A9cial-30" target="_blank">ICI</a>. </font></font></strong></span> </span></p></blockquote>
fredlautrehttp://lantidote.hautetfort.com/about.htmlON NE SAIT PLUS OÙ …tag:lantidote.hautetfort.com,2016-07-01:58203502016-07-01T09:00:00+02:002016-07-01T09:00:00+02:00 … DONNER DE LA TÊTE À COUPER Hérode dit à Salomé...
<p style="text-align: center;"><span style="font-size: 14.0pt; font-family: 'Arial','sans-serif';">… DONNER DE LA TÊTE À COUPER</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-5405936" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://lantidote.hautetfort.com/media/02/02/299407295.jpg" alt="1881 10 16 232 FERAT.jpg" /><img id="media-5404660" style="margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0px;" title="" src="http://lantidote.hautetfort.com/media/02/01/794271008.jpg" alt="1896 06 28 990 ACHANTIS DAMBLANS.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-5405061" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lantidote.hautetfort.com/media/02/01/525533898.jpg" alt="JUDITH HOLOPH.jpg" /><img id="media-5405937" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://lantidote.hautetfort.com/media/02/01/3057780139.jpg" alt="1882 07 30 1.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-5405938" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://lantidote.hautetfort.com/media/02/02/1302762604.jpg" alt="1882 10 08 FERAT DESIRE.jpg" /><img id="media-5404769" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lantidote.hautetfort.com/media/00/00/1792574976.jpg" alt="1883 09 09 322 CASTELLI.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-5404774" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lantidote.hautetfort.com/media/01/00/3574688078.jpg" alt="LOUIS XVI.jpg" /><img id="media-5405939" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://lantidote.hautetfort.com/media/02/00/370353924.jpg" alt="1882 10 29 DESIRE.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><br /><img id="media-5406314" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://lantidote.hautetfort.com/media/00/00/1179026175.jpg" alt="1883 12 23 337 FERAT.jpg" /><img id="media-5404777" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lantidote.hautetfort.com/media/01/02/3443055135.jpg" alt="1895 04 12 405 CASTELLI.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-5405062" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lantidote.hautetfort.com/media/02/00/1735300009.jpg" alt="SALOME CRANACH.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: 'book antiqua', palatino, serif; font-size: 14pt;">Hérode dit à Salomé : « Non merci, sans façon, je ne mange pas de ce pain-là. Le reste était délicieux, mais de toute façon, je n'avais plus faim ».</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-5404780" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lantidote.hautetfort.com/media/02/00/1344973610.jpg" alt="1884 02 24 POLICE TONKIN PIRATE.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-5404781" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lantidote.hautetfort.com/media/02/02/252736064.jpg" alt="CHINE 1927.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: 'book antiqua', palatino, serif; font-size: 14pt;">En 1927, Tchang Kai Chek n'aimait pas les syndicalistes. Au moins la photographie rend-elle compte honnêtement de la souffrance de l'animal au moment d'être égorgé rituellement dans l'abattoir (cf. l'association justicière L 214, qui oeuvre, malheureusement, en faveur exclusive de la "cause animale" : va savoir ce qu'il en est d'une improbable "cause humaine").</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-5404782" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lantidote.hautetfort.com/media/00/02/2377647863.jpg" alt="1883 07 15 XIII p24 CASTELLI.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-5404784" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lantidote.hautetfort.com/media/02/02/3481491511.jpg" alt="1890 06 22 676 SUMATRA GERARDIN.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: 'book antiqua', palatino, serif; font-size: 14pt;">Ci-dessous, explication de l'image ci-dessus.</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-5405048" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lantidote.hautetfort.com/media/01/00/2643874588.jpg" alt="1890 06 22.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-5404785" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lantidote.hautetfort.com/media/00/01/3066705172.jpg" alt="1882 04 02 247 CASTELLI.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: 'book antiqua', palatino, serif; font-size: 14pt;">Le virtuose du sabre s'amuse comme un petit fou.</span></p><p style="text-align: center;"> </p>
HISTOIRE & PATRIMOINE BLEURVILLOIShttp://histoirepatrimoinebleurvillois.hautetfort.com/about.htmlAux yeux du souvenir : les jeunes années d'un Mosellan (1928-1952)tag:histoirepatrimoinebleurvillois.hautetfort.com,2012-05-30:47265692012-05-30T00:00:00+02:002012-05-30T00:00:00+02:00 A l'heure de la vieillesse, l'auteur jette un regard sur sa vie pour...
<p style="text-align: justify;"><a href="http://histoirepatrimoinebleurvillois.hautetfort.com/media/02/01/3327249714.jpg" target="_blank"><img id="media-3594701" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://histoirepatrimoinebleurvillois.hautetfort.com/media/02/01/3526536775.jpg" alt="mosellan.jpg" /></a>A l'heure de la vieillesse, l'auteur jette un regard sur sa vie pour partager avec ses petits-enfants les événements qui l'ont fait grandir.</p><p style="text-align: justify;">Les yeux du souvenir sont grands ouverts sur ce passé, de l'école de sa prime jeunesse dans un village mosellan jusqu'au service militaire effectué en Afrique du Nord.</p><p style="text-align: justify;">Pour sa descendance - et pour tous ceux qui s'intéressent à l'histoire de la Lorraine et à la vie des hommes qui ont fait ce territoire -, il explique ses origines familiales tout en évoquant le monde rural des années 1930 que vient bouleverser la guerre. Une nouvelle page s'ouvre avec l'expulsion des Mosellans et les années d'occupation vécues loin de sa Lorraine natale, en Rhône-Alpes, puis le retour difficile dans une province meurtrie.</p><p style="text-align: justify;">Récit biographique avant tout, le lecteur y découvrira également bien des aspects historiques et ethnographiques qui permettent de mieux comprendre les particularismes mosellans en Lorraine. Un témoigne à lire et à partager.</p><p> </p><blockquote><p><span style="color: #ffff00;"><strong>‡ Aux yeux du souvenir. Les jeunes années d'un Mosellan 1928-1952, Paul Clémens, éditions L'Harmattan, 2012, 230 p., ill. (24 €).</strong></span></p></blockquote>