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Bruno Chiron
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À l’ombre de Pontaniou
tag:www.bla-bla-blog.com,2023-09-26:6461169
2023-09-26T00:00:00+02:00
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Nous sommes d’accord. Le roman épistolaire a connu son heure de gloire,...
<p><img src="http://www.bla-bla-blog.com/media/01/02/4016553245.jpg" id="media-6474840" alt="" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">Nous sommes d’accord. Le roman épistolaire a connu son heure de gloire, mais n’est plus vraiment au beau fixe aujourd’hui. C’est pourtant ce genre choisi par <a href="https://www.facebook.com/elisabeth.lesaux.5" target="_blank" rel="noopener">Élisabeth Le Saux </a>dans son dernier opus, <em>Courir sur ton ombre</em> (<a href="https://www.michalon.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=livre&no=77608" target="_blank" rel="noopener">éd. Michalon</a>).</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">Nous sommes à la fin des années 70. Anna Guibert, folle amoureuse d’Antoine, musicien de jazz, tue par passion la maîtresse de ce dernier. Condamnée, elle est emprisonnée dans la sinistre prison de Pontaniou. Là, elle écrit à Antoine, lui parle de leur histoire d’amour, de son manque, du vide de sa vie, de son désespoir, de la prison, mais aussi de création, d’art et de musique.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">Bientôt, la raison l’abandonne. Antoine lui répond, avant que la correspondance prenne un tour nouveau, à travers une troisième personne surgissant dans la vie du jazzman. </span></p><blockquote><p style="padding-left: 80px; text-align: left;"><span style="font-size: 14pt; color: #00ccff;"><strong>Partitions</strong></span></p></blockquote><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;"><em>Courir sur ton ombre </em>se compose de quatre parties – quatre "nocturnes", en référence aux terribles cellules mais aussi aux célèbres œuvres musicales. Les "<em>partitions</em>" I et II ont pour protagoniste principale Anna, correspondant avec un homme qu’elle a toujours aimé et pour qui elle a commis l’irréparable.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">Entre les deux, le lien ne s’est jamais tout à fait rompu, si bien que l’échange épistolaire apparaît comme une suite d’éclats lumineux. Élisabeth Le Saux parvient à dessiner le caractère d’Anna et ses démons ("<em>Je suis la Madone en extase dans les bras du sauveur</em>"), avec comme interlocuteur un homme toujours amoureux et aussi paumé qu’elle.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">À partir de la "<em>Partition III</em>", une autre correspondance s’ouvre, cette fois entre Anna et Antoine. C'est une autre relation, avec toujours la Bretagne et le jazz en filigrane.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">Le livre se termine sur un "<em>Finale</em>" non sous forme de lettre mais de nouvelle. Avec la musique omniprésnete</span><span style="font-size: 10pt;"> car, comme l’écrivait Anna, "</span><em style="font-size: 10pt;">je cours désormais sur ton ombre, Antoine, et la musique est là, toujours là, plus vaste que la vie</em><span style="font-size: 10pt;">".</span></p><p style="text-align: right;"><strong><span style="font-size: 10pt;">Élisabeth Le Saux, <em>Courir sur ton ombre ou Nocturne à Pontaniou</em>, éd. Michalon, 2023, 124 p.</span></strong><br /><strong><span style="font-size: 10pt;"><a href="https://www.michalon.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=livre&no=77608" target="_blank" rel="noopener">https://www.michalon.fr</a></span></strong><br /><strong><span style="font-size: 10pt;"><a href="https://www.facebook.com/elisabeth.lesaux.5" target="_blank" rel="noopener">https://www.facebook.com/elisabeth.lesaux.5</a></span></strong></p><p style="text-align: right;"><em><span style="font-size: 10pt;">Voir aussi : <a href="http://www.bla-bla-blog.com/archive/2023/09/14/qui-que-vous-soyez-ouvrez-critique-avis-6459447.html" target="_blank" rel="noopener">"Guerres et paix"</a></span></em></p><p style="text-align: center;"><iframe width="560" height="315" src="https://www.youtube.com/embed/3cqazZfhtNM?si=vuFPbq-FSGOIfnjK" title="YouTube video player" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture; web-share" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p><p style="text-align: right;"><span style="font-size: 12pt;"><span style="color: #808080;">Tenez-vous informés de nos derniers blablas</span></span><br /><span style="font-size: 12pt; color: #808080;"><strong>en vous abonnant gratuitement à notre newsletter.</strong></span></p><p style="text-align: right;"><span style="font-size: 12pt; color: #00ffff;"><strong><span style="color: #00ccff;"><a style="color: #00ccff;" href="https://www.facebook.com/leblablablog/" target="_blank" rel="noopener">Likez</a>, <a style="color: #00ccff;" href="http://www.bla-bla-blog.com/archive/2018/10/28/bla-bla-blog-vous-plait-suivez-nous-et-faites-le-savoir-6100663.html" target="_blank" rel="noopener">partagez </a>et <a style="color: #00ccff;" href="https://www.instagram.com/leblablablog/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">instagramez</a></span><span style="color: #00ccff;"> </span><span style="color: #00ccff;">les blablas de Bla Bla Blog !</span></strong></span></p>
Frasby
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Quelques heures avant la nuit. (Part I)
tag:certainsjours.hautetfort.com,2009-09-16:2100257
2009-09-16T22:55:00+02:00
2009-09-16T22:55:00+02:00
"Je me suis demandé s'il nous arrivait encore d'éprouver des joies où la...
<p><b>"Je me suis demandé s'il nous arrivait encore d'éprouver des joies où la tristesse ne viendrait se jeter comme à la traverse ; qui ne se mélangeraient pas d'une impression de déclin, de ruine prochaine, de vanité. Tiens, se dit-on, cela existe encore ? Nos joies sont de cette sorte que nous procure un vieux quartier d'habitation rencontré au faubourg d'une ville étrangère et pauvre, que le progrès n'a pas eu le temps de refaire à son idée. Les gens semblent là chez eux sur le pas de la porte, de simples boutiques y proposent les objets d'industries que l'on croyait éteintes; des maisons hors d'âge et bienveillantes, qu'on dirait sans téléphone, des rues d'avant l'automobile, pleines de voix, les fenêtres ouvertes au labeur et qui réveillent des impressions de lointains, d'époques accumulées, de proche campagne; on buvait dans ce village un petit vin qui n'était pas désagréable pour le voyageur."</b></p> <p>BAUDOUIN DE BODINAT in "La vie sur terre", Editions, "encyclopédie des nuisances" 1996-1999.<b><br /></b></p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 12.0px Helvetica;"><b><img src="http://certainsjours.hautetfort.com/media/01/02/372690040.2.JPG" id="media-1641587" alt="devore70.JPG" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" name="media-1641587" /></b></p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 12.0px Helvetica;"> </p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 12.0px Helvetica;"><i><b>Avant-propos</b></i> :</p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 12.0px Helvetica;"> </p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 12.0px Helvetica;">Tandis qu'il fût impossible cette nuit de retrouver <i>les nuages</i>, à la bonne adresse, <a target="_blank" href="http://les-nuages.hautetfort.com/">(la fameuse erreur 404)..</a>. Le lecteur peut tenter de cliquer sur <i>"Les nuages"</i> rubrique blogosphère, colonne de gauche, desfois que ça viendrait de chez moi... Enfin, c'est là, en début de soirée sur <i>"les nuages",</i> exactement, d'ordinaire ou plutôt, d'extraordinaire, où j'aime aller prendre le large comme d'autres prennent le deltaplane, le vélo ou la jonque... (<i>Nuage,</i> dites-nous s'il vous plaît, ou si vous voulez... Est ce que ça vient de chez moi ?). S'il est encore permis d'être lue ici par <i>un nuage</i>, j'aimerais glisser une pensée vraiment amicale. <i>"Le nuage"</i> était venu là, poser des commentaires et en visitant son domaine, j'avais eu un coup de foudre, (ou un <i>coup de nuage,</i> mais un très beau), depuis je raffole de ce domaine, il y a vraiment de quoi ! univers fascinant entre mille, oeil acéré, intelligence de la photo, Amour des paysages, le monde des <i>"nuages"</i> est (était ? non ! il n'est pas encore venu, le temps des nécrologues), une pépite rare dans notre blogosphère (pléthorique). Autant le dire, à mes yeux, un domaine d'exception. Sauf qu'il y a un hic. Depuis la fin de cette dernière nuit, (qui ne suit pas tout à fait la date ci dessus, allez comprendre ! mais bon), la fameuse <a target="_blank" href="http://les-nuages.hautetfort.com/">erreur 404,</a> persiste. Et le domaine, depuis hier (le 28 /09 exactement), reste désespérement introuvable, c'est vraiment énervant...</p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 12.0px Helvetica;">Prélude à un billet par contraste beaucoup plus sombre, mais un avant propos en forme de supplique personnellement adressée à l'auteur(e) du, des <i>"nuage(s)"</i> pour que reviennent, peut être, ces fugues océaniques, et autres mondes à perspectives lumineuses. Et puis il y a ces titres au dessus des photos, si finement pensés, touche précise, ciselant les multiples sens du tableau. <i>Les nuages</i> savent aussi choisir malicieusement les mots ... J'ose croire que <a target="_blank" href="http://les-nuages.hautetfort.com/">l'erreur 404</a> n'est qu'une erreur à rectifier, pas un massacre par immolation (ah ! la touche <i>"supprimer ce blog"</i> menant à l'erreur 404, est une autre bizarre tentation...) Mais il ne faut pas y toucher <i>Nuage !</i> sinon, quelquechose manquera, quelquechose et quelqu'un. On croit que ce n'est rien, mais c'est un peu comme les étoiles... Voyez... Bon, Je ne ferai pas de sentimentalisme, nulle séquence émotion à trois balles. Je sais aussi (même si nul blog et son bloggueur n'est du point de vue de <i>la vie sur terre</i> vraiment indispensable), quelle béance et quelle peine se trouvent encore quand un bloggeur avec lequel se tisse des liens, au fil à fil, jour après jour, disparaît du jour au lendemain... Même si ce n'est pas lui qui disparaît mais sa publication, dans le contexte virtuel, c'est un peu comme s'il disparaissaît quand même, lui, avec sa publication. On ne s'habituera pas (enfin moi, pas vraiment), à cette page figée, par exemple, au 19 janvier 2009, dernière page, à ce jour, de l'univers de Léopold Revista (l'un des plus bienveillants, et des plus élégants de tous nos <i>"citoyens du monde"</i>). Ce jour là, Léopold, tirait sa référence, au 300em passage, en <a target="_blank" href="http://leopoldrevista.canalblog.com/">un billet qui reste en ligne encore à ce jour</a> et qui bouleverse assez. (Tous les autres billets se lisent aussi très bien, surtout, n'hésitez pas). Quelques autres et moi même se souviennent d'une surprise assez "mauvaise" après le doute, une certitude, quand Marc expérimenta, (peu importe la raison, une raison, même déraisonnable, se respecte), la fatale manipulation, qui mène à la page erreur 404 et combien plus immense fût notre étonnement, doublé d'une joie non dissimulée, quand Marc réinventa pour nous, (et pour lui tout autant, je crois) ce magnifique domaine, qui en fascine plus d'un. Une liberté particulière accordée au lecteur, qui vient à ce monde aux questions ouvertes, fruité, spacieux et puis (...) solaire au titre doux d'<a target="_blank" href="http://epistolaire.hautetfort.com/">"Epistolaire"</a>. <i>"Une voix dans le choeur",</i> voilà peut être bien exprimé cet indicible <i>"je ne sais quoi",</i> qui ouvre largement le sens<i>.</i> Je n'oublierai pas non plus, l'explosion annoncée par Fabien, et son blog étonnant, encore de l'ouvrage finement amené, avec des textes carrément surprenants, le tout drôlement stylé (s'il me lit, il va râler, tant mieux !). <i>"Un peu moins que quelques bribes",</i> Fabien avait annoncé à ses lecteurs, grosso modo <i>"à telle date, j'explose le domaine".</i> Et il l'a fait ! Fabien a depuis recrée je crois, un domaine, qu'une panne informatique m'a dérobé... (Tributaires que nous sommes, de la technique, malgré nos airs indépendants, Fabien, si tu m'entends et que tu as sous la main ce que je cherche... ;-)</p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 12.0px Helvetica;"> </p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 12.0px Helvetica;">Pour en revenir au ciel d'automne. Je sais aussi que <i>"le nuage"</i> aime follement <a target="_blank" href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Ernesto_Sabato">De Sabato,</a> y aurait t-il quelque injonction de <i>l'Ernesto,</i> derrière ce nuage envolé ? (Ernesto ! c'est pas bien malin !). Ayant appris <i>(merci nuage)</i> combien l'écrivain était pyromane, concernant ses propres oeuvres, j'espère que <i>notre amie,</i> dans je ne sais quel mouvement (peut-être angélique tout autant que ténébreux ?), n'aura pas livré ce blog merveilleux, au bûcher qui renvoie toujours son lecteur, désespérement, à la page <i>"erreur 404"</i>. Rien que d'y songer, ça rend malade. Dites nous que non, <i>"Nuages "</i>... Cette erreur, elle vient <i>"bien de chez eux ?"</i> comme on disait avant quand l'écran devenait noir dans la télévision. Sauf que là, chez <i>"les nuages</i>", c'est beaucoup mieux que ce qu'on peut voir dans une télévision ! Alors oui ? <i>"Ca vient de chez eux ?"</i> Juste, un babil, <i>nuage</i>... Que ces lumières du pays qui donne aux saisons des noms à danser sous la pluie et que ces pluies qui caressent doucement, chez vous, les toits de chaume, ne tombent pas définitivement sur cette page arrachée. Si d'aventure, <i>cela ne venait pas de chez eux</i>, la lectrice que je suis, enragerait,( ô désespoir !). Et ceci ne serait pas mon dernier mot...</p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 12.0px Helvetica;"> </p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 12.0px Helvetica;"><i><b>1- Tandis qu'ici ...</b></i></p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 12.0px Helvetica;"> </p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 12.0px Helvetica;"><img src="http://certainsjours.hautetfort.com/media/01/01/930542880.JPG" id="media-2002433" alt="NUAGES345.JPG" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" name="media-2002433" /></p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 12.0px Helvetica;">Tandis qu'une fête bat son plein dans Villeurbanne de jour en jour liftée menue, transformée peu à peu en ville-poubelle architecturale, vastes chantiers, à en coincer son château de Merlin entre deux barres dont l'une est pleine de sparadraps jaunes banane troués par des hublots en guise de fenêtres, (je vous montrerai cela un de ces quatres). Une lourde matière pour BAUDOUIN de BODINAT et sa prose essentielle toujours et encore : <a target="_blank" href="http://certainsjours.hautetfort.com/archive/2009/06/28/la-vie-sur-terre.html"><i>"la vie sur terre".</i></a></p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 12.0px Helvetica;"><i><br /></i></p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 12.0px Helvetica;"><b><i>"A quoi penser? Les vitres des immeubles en face s'incendient maintenant au soleil couchant. Bruits familiers du soir, cuisines allumées sous le ciel encore clair, tintements de tables mises ; la chanson plaintive d'une radio quelque part derrière les murs et l'odeur des jardins silencieux sans personne dans la pénombre qui monte; l'écho soudain de ma propre voix me disant. Ne la laisse pas monter sur l'appui de la fenêtre !"</i></b></p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 12.0px Helvetica;"><b><i><br /></i></b></p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 12.0px Helvetica;">Tours de poisse et dégoulinade aux univers nourris de miettes, dopées à toutes les panacées, Lexomyl, trichlorétylène, Kro de base... Pizza vit', rapid cheese, sandwiche pain de mie à la merguez. Le cours Emile Zola, s'engonce dans ses mille paradoxes, du vrai Zola caché dans son arrière boutique, guettant le camion d'un déménageur (breton ?) sur sa montre à gousset, jusqu'aux salons de coiffures high tech, opticiens 1000, 2000, par vingtaine confinés, ici, ailleurs, des fourmis aux doigts de fée découpent au mètre des rubans et au kilomètre, le textile... Plus près, à la fenêtre de la maison de Cadet Rousselle : <b><i>(Cadet Rousselle a trois maisons, (bis), Qui n’ont ni poutres, ni chevrons, (bis) C’est pour loger les hirondelles...)".</i></b> La crasse banlieue avale la ville, dévorant un peu plus encore cette vieille idée de rêve social, à en faire tourner, retourner mille fois <a target="_blank" href="http://www.guichetdusavoir.org/ipb/index.php?showtopic=9302">Lazare G.</a> dans sa tombe. Plus loin, là où c'est encore assez beau à regarder, <i><a target="_blank" href="http://certainsjours.hautetfort.com/archive/2008/06/24/le-repit.html">"le répit de l'agriculteur"</a></i> médite ces fadaises sous un ciel en forme d'abîme. A moins que ce ne soit que le dépit...</p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 12.0px Helvetica;"> </p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 12.0px Helvetica;"><i><b>(A suivre</b></i> ...)</p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 12.0px Helvetica;"> </p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 12.0px Helvetica;">Photo 1 : Des oiseaux préparant peut être un futur voyage d'hiver, à la fin de l'après-midi, vus au dessus des sculptures modernes ornant l'esplanade près de l'Opéra dans la chaleur moite d'un été qui ne finit pas et sous un ciel atone et bizarrement bas. Lyon. Septembre 2009.</p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 12.0px Helvetica;"> </p> <p style="margin: 0px; font-family: Helvetica; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: normal; font-size: 12px; line-height: normal; font-size-adjust: none; font-stretch: normal; -x-system-font: none;">Photo 2 : Le temps se couvre... Trop de nuages (pas celui que nous recherchons), et nul oiseau en ces hauteurs. Le ciel épais de Villeurbanne, un no man's land, entre Charpennes et République vu en Septembre 2009. © Frb.</p>
Frasby
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Comme un mercredi
tag:certainsjours.hautetfort.com,2008-07-30:1728848
2008-07-30T18:39:00+02:00
2008-07-30T18:39:00+02:00
"Voir sans être vu", comme le rêvait monsieur Epistolaire ( lire...
<p><img src="http://certainsjours.hautetfort.com/media/02/02/1120877319.jpg" id="media-1166680" alt="prisons.jpg" style="border-width: 0pt; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0pt; float: left" name="media-1166680" /> "Voir sans être vu", comme le rêvait <a href="http://certainsjours.hautetfort.com/archive/2008/07/29/la-facade-d-un-prieure.html" target="_blank">monsieur Epistolaire</a> ( lire les commentaires)... Dans la tour cernée de murailles aux pierres dorées, caressantes ...</p> <p>C'est aussi sur le <a href="http://epistolaire.hautetfort.com/archive/2008/07/29/l-ecclesiaste.html" target="_blank">blog "EPISTOLAIRE"</a> que vous découvrirez un beau billet fort en thème à propos de l'Ecclésiaste (et de Montaigne) à goûter simplement, pour le plaisir du doute ...</p> <p>Ici, Nous ne sommes pas dans la tour du précédent billet, mais à l'intérieur d'un édifice tout aussi Roman d'où il est agréable de regarder filer les nuages entre les barreaux d'une cage presque adorée...dont nous sortirons presque indemnes...Le plus beau restant à venir...</p>