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Notes sur le tag : emile verhaeren

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Dernières notes

Autour de ma maison, d'Emile Verhaeren,

  Jacques de Gheyn, Fleurs et insectes, 1600 © Fondation Custodia, Collection Frits Lugt, Paris  Avec mon coeur, j’admire tout Ce qui vibre, travaille et bout Dans la tendresse humaine et sur la terre auguste. L’hiver s’en va et voici mars et puis avril Et puis le prime été, joyeux et puéril. Sur la glycine en fleurs que la rosée humecte, Rouges, verts, bleus,...

Publié le 27/09/2014 dans vivelescouleurs par DH | Lire la suite...

Au clos de notre amour, l’été se continue, d'Emile Verhaeren

Tableau de Laurence-Amélie    Au clos de notre amour, l’été se continue : Un paon d’or, là-bas, traverse une avenue ; Des pétales pavoisent - Perles, émeraudes, turquoises - L’uniforme sommeil des gazons verts Nos étangs bleus luisent, couverts Du baiser blanc des nénuphars de neige ; Aux quinconces, nos groseilliers font des cortèges ; Un insecte de...

Publié le 01/02/2014 dans vivelescouleurs par DH | Lire la suite...

EMILE VERHAEREN, POETE GENEREUX

Émile Verhaeren (1855-1916), poète belge, tendre et truculent, sera successivement un poète naturaliste : "les Flamandes", puis mystique : "les Moines". En proie à une profonde crise spirituelle, il écrit les poèmes désespérés des "Soirs", des "Débâcles", des "Flambeaux noirs". Son désespoir se transforme en angoisse à tel point que ce poète, naturellement chaleureux et joyeux, atteint...

Publié le 24/07/2012 dans l'écrivain... par Christian Jougla | Lire la suite...

Hommage à Verhaeren

    Francis Vielé-Griffin sur « le Grand Flamand »     Mais je suis né, là-bas, dans les brumes de Flandre, En un petit village où des murs goudronnés Abritent des marins pauvres mais obstinés, Sous des cieux d’ouragan, de fumée et de cendre.     Émile Verhaeren, « Épilogue », Toute la...

Publié le 07/10/2010 dans flandres-hol... par daniel cunin | Lire la suite...

le lierre en son royaume

" Toujours il tord à point sa multiple vigueur, Fibres après fibres, au creux des moindres fentes, Et n'écoute qu'au soir tombant les brises lentes Chanter en lui et l'émouvoir de leurs rumeurs " (Emile Verhaeren)   Jeune archange des graffiti , le  lierre d'Altiani ne se sait pas encore mortel :...

Publié le 27/02/2010 dans ELIZABETH... par Elizabeth PARDON | Lire la suite...

Récitation

Une tradition immuable de l'école primaire, en tout cas de mon temps, était la récitation de poésie. Quand je dis de mon temps, je me sens un vieux dinausore de plus de 20 ans ! Mais il ne s'agit pas de remonter plus loin que les années 80, mes années de Primaire. C'est une époque bénie ou j'avais encore tellement à découvrir (encore maintenant, rassurez-vous ) Je me...

Publié le 13/04/2009 dans Oh Océane par Océane | Lire la suite...

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