Last posts on eléments2024-03-29T15:28:06+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://www.hautetfort.com/https://www.hautetfort.com/explore/posts/tag/eléments/atom.xmlZedhttp://metapoinfos.hautetfort.com/about.htmlLa fin de la souveraineté...tag:metapoinfos.hautetfort.com,2013-01-19:49613102013-01-19T10:05:00+01:002013-01-19T10:05:00+01:00 Vous pouvez regarder ci-dessous la bande-annonce du nouveau numéro de la...
<p><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;">Vous pouvez regarder ci-dessous la bande-annonce du nouveau numéro de la revue <em>Éléments</em> (n°146, janvier - mars 2013), qui est d'ores et déjà disponible en kiosque.</span></span></p><p> </p><p><iframe width="420" height="315" src="http://www.youtube.com/embed/c9aPnozFKhQ" frameborder="0" allowfullscreen=""></iframe></p>
Zedhttp://metapoinfos.hautetfort.com/about.htmlLa nouvelle raison du monde...tag:metapoinfos.hautetfort.com,2010-09-09:28901442010-09-09T18:05:00+02:002010-09-09T18:05:00+02:00 Publié en 2009 aux éditions de La Découverte, La nouvelle raison du monde...
<p style="text-align: justify;">Publié en 2009 aux éditions de La Découverte, <strong><em>La nouvelle raison du monde - essai sur la société néolibérale</em></strong>, de <strong>Pierre Dardot </strong>et <strong>Christian Laval</strong>, reparaît au format poche chez le même éditeur. Nous reproduisons ici la recension qu'avait <strong>Alain de Benoist </strong>de ce livre dans la revue <em>Eléments</em>.</p><p style="text-align: center;"><img id="media-2636162" style="margin: 0.7em 0;" src="http://metapoinfos.hautetfort.com/media/01/00/15889498.jpg" alt="nouvelle raison du monde.jpg" /></p><p> </p><p style="text-align: justify; margin-bottom: 0cm;"><span style="font-size: small;">L'ORDRE NÉOLlBÉRAL </span></p><p style="text-align: justify; margin-bottom: 0cm;"><span style="font-size: small;">Ceux qui croient que la crise financière actuelle sonne le glas du libéralisme se trompent. Ceux qui ne voient dans le néolibéralisme qu'une idéologie (l'« idéologie du capitalisme libéré de toute entrave») relevant avant tout de l'individualisme se trompent tout autant. Le néolibéralisme actuel est à la fois autre chose et beaucoup plus que cela. En ordonnant tous les rapports sociaux au modèle concurrentiel du marché, il constitue une norme de vie, et plus précisément une forme de rationalité s'imposant au « gouvernement de soi». Loin de se confondre avec la vieille vulgate du « laisser-faire» propre au libéralisme du XVIII<sup>e</sup> siècle, le néolibéralisme (dont on doit rechercher l'origine dans le Colloque Walter Lippman de 1938) ne prône pas un illusoire retour à l'état naturel du marché (il ne se réclame pas d'une ontologie de l'ordre marchand), mais la mise en place volontaire d'un ordre mondial de marché impliquant une transformation radicale de l'action publique qui tend à restructurer, non seulement l'action des gouvernants, mais la conduite des gouvernés eux-mêmes. Bons lecteurs de Michel Foucault, Pierre Dardot et Christian Laval montrent de façon convaincante que le but ultime est d'amener l'individu à produire un certain type de rapport à soi. Le principe de la «gouvernementalité entrepreunariale» (la « bonne gouvernance » ) est que l'individu est tenu, tout comme l'État, de se considérer comme une entreprise à gérer et un capital à faire fructifier. L'effacement par les principes du management de la distinction entre la sphère privée et la sphère publique érode alors jusqu'aux fondements de la citoyenneté et de la démocratie. À cette rationalité désormais dominante, véritable dispositif stratégique global, les auteurs opposent, au terme d'une étude historique de haut niveau, des refus et des « contre-conduites» relevant de ce qu'on pourrait appeler la « raison du commun». </span><span style="font-size: small;">L'un des meilleurs livres parus à ce jour sur le sujet.</span></p><p style="text-align: justify; margin-bottom: 0cm;"><span style="font-size: small;">Alain de Benoist (<em>Eléments</em> n°132, juillet-septembre 2009)</span></p><p> </p>
Zedhttp://metapoinfos.hautetfort.com/about.htmlUne crise, trois leçons !tag:metapoinfos.hautetfort.com,2009-11-04:24505742009-11-04T19:15:00+01:002009-11-04T19:15:00+01:00 L'éditorial de Robert de Herte (alias Alain de Benoist ) dans le numéro...
<p>L'éditorial de <strong>Robert de Herte</strong> (alias <strong>Alain de Benoist</strong>) dans le numéro 133 de la revue <strong><em>Eléments</em></strong> disponible en kiosque ou <a href="http://www.revue-elements.com/elements-La-crise-n-est-pas-finie.html">ici</a> :</p> <div style="text-align: center"><img src="http://metapoinfos.hautetfort.com/media/00/01/922942496.jpg" alt="AdB.jpg" id="media-2081076" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" /></div> <div style="text-align: center"></div> <blockquote> <div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><strong><span style="font-size: small;">Une crise, trois leçons</span></strong></span></div> <div style="text-align: justify;"></div> <div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-size: small;"> </span></span> <p style="margin-top: 0cm; margin-bottom: 0cm; font-weight: normal; text-decoration: none;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-style: normal;">Il y a au moins trois enseignements à tirer de la crise financière mondiale qui s'est ouverte aux États-Unis à l'automne 2008. La première, la plus immédiatement évidente, est un démenti flagrant de la thèse libérale, longuement exposée par Mandeville dans sa</span> <i>Fable des abeilles</i><i>,</i> <span style="font-style: normal;">selon laquelle les vices privés seraient synonymes de vertu publique: les comportements égoïstes individuels contribueraient à l'avantage collectif, car en cherchant à maximiser leur intérêt individuel, les agents économiques dégageraient une richesse globale dont la société entière finirait par bénéficier. Les intérêts du marchand se confondraient avec les intérêts de tous. La dérégulation de l'économie depuis les années Reagan-Thatcher montre au contraire que la rapa</span><span style="font-style: normal;">c</span><span style="font-style: normal;">ité érigée en loi générale aboutit en réalité à l'enrichissement de quelques</span><span style="font-style: normal;">-</span><span style="font-style: normal;">uns et à l'appauvrissement du plus grand nombre. Économie entièrement laissée à elle-même, spéculation effrénée, recherche d'une plus-value ins</span><span style="font-style: normal;">t</span><span style="font-style: normal;">antanée, frénésie de l'endettement, «bulles» explosant en série, revente acc</span><span style="font-style: normal;">é</span><span style="font-style: normal;">lérée des produits titrisés, tout cela n'a eu qu'un seul résultat: une «catastrophe sociale et humaine de première grandeur» (Jacques Julliard).</span></span></span></p> <p style="margin-top: 0cm; margin-bottom: 0cm; font-weight: normal; text-decoration: none;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-style: normal;">La deuxième leçon a trait à la« main invisible» qui, selon les théoriciens libéraux, non seulement permettrait à l'offre et à la demande (solvable) de s'ajuster miraculeusement, mais aussi au capitalisme de triompher naturellement de ses crises, le système du marché étant à la</span> <span style="font-style: normal;">fois</span> <span style="font-style: normal;">autorégulateur et autorégulé. «La crise est la preuve que le marché se régule », est-on allé jusqu'à dire récemment! Le postulat est celui d'une conception normative de la vie sociale reposant sur le laisser-faire intégral et l'auto suffisance d'un marché conçu comme une puissance morale ayant toujours raison. Mais en fait d'au</span><span style="font-style: normal;">t</span><span style="font-style: normal;">orégulation et de «main invisible », c'est vers la très visible main de l'État que les grandes sociétés d'assurance et les banques menacées de faillite se sont tournées dès que la crise a éclaté. Ce même État dont on prétendait que les interventions en matière économique et financière ne pouvaient que nuire au</span> <span style="font-style: normal;">«</span> <span style="font-style: normal;">libre jeu» de la concurrence,</span> <span style="font-style: normal;">mais</span> <span style="font-style: normal;">dont on</span> <span style="font-style: normal;">était</span> <span style="font-style: normal;">brusquement bien content de pouvoir profiter des largesses. C'est l'État qui est venu au secours des responsables de la crise en injectant des liquidités par milliards dans des cir</span><span style="font-style: normal;">c</span><span style="font-style: normal;">uits en perdition</span> <span style="font-style: normal;">(<<</span> <span style="font-style: normal;">sauvez les banques! ») dont on «socialisait» ainsi les pertes. Après quoi, on peut bien continuer de prétendre que le capitalisme purge de lui-même ses crises périodiques, voire que le libéralisme« n'est pas la cause, mais la solution à la crise du capitalisme mondialisé» (Nicolas Bave</span><span style="font-style: normal;">r</span><span style="font-style: normal;">ez)</span> <span style="font-style: normal;">!</span> <span style="font-style: normal;">La crise démontre en réalité que la planète financière est incapable de s'autoréguler et que sa capacité de rebond est avant tout due à des injections massives de fonds publics, c'est-à-dire à l'intervention ponctuelle d'une sphère étatique dont les libéraux sont les premiers à souligner que le principe fonc</span><span style="font-style: normal;">t</span><span style="font-style: normal;">ionne à l'inverse de l'action spontanée des marchés.</span></span></span></p> <p style="margin-top: 0cm; margin-bottom: 0cm; font-weight: normal; text-decoration: none;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-style: normal;">Enfin, ce qui est frappant dans la crise actuelle, c'est qu'alors même que tout le monde répète que le capitalisme est cycliquement affecté par des crises, personne (ou peu s'en faut) ne semble jamais capable d'en prévoir aucune. L'économie se prétend pourtant une science, et qui plus est une science dont les principes permettraient d'éliminer le risque et d'assurer une croissance linéaire permanente. Une science exacte «mesure et calcule en vue de pré</span><span style="font-style: normal;">v</span><span style="font-style: normal;">oir» (Bergson). Pourquoi les économistes du courant dominant ne parviennent</span><span style="font-style: normal;">-</span><span style="font-style: normal;">ils jamais à prévoir ni les crises ni</span> <span style="font-style: normal;">à</span> <span style="font-style: normal;">discerner les moyens d'y remédier? Parce que la thèse d'un sujet social réductible à</span> <i>l'Homo œconomicus</i> <span style="font-style: normal;">laisse pour le moins</span> <span style="font-style: normal;">à</span> <span style="font-style: normal;">désirer. La réalité sociale ne se laisse pas mettre en équations, car l'homme n'est ni un agent fondamentalement rationnel cherchant toujours à maximiser son propre intérêt, ni seulement un producteur-consommateur. De ce fait, il est impossible d'isoler un «objet économique pur », distinct des faits humains et sociaux auxquels il est inéluctablement associé. L'économie libérale, néoc1assique, prétend que l'homme est calculable de part en part. La crise actuelle fournit la preuve de l'échec de cette prétention à la «transparence ». L'histoire est en réalité imprévisible. Elle abonde autant en néces</span><span style="font-style: normal;">s</span><span style="font-style: normal;">ités qu'en hasards, en paradoxes, en incertitudes, en hétérotélies et en aléas.</span></span></span></p> <p style="margin-top: 0cm; margin-bottom: 0cm; font-weight: normal; text-decoration: none;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-style: normal;">Le monde de l'interconnexion universelle, de la liquidité parfaite, permet</span><span style="font-style: normal;">t</span><span style="font-style: normal;">ant une circulation totalement« libre» du capital, n'est qu'un rêve. On n'échappe pas à 1'« opacité» - à commencer par celle des marchés financiers. La mathématisation croissante de la théorie économique à laquelle on assiste depuis vingt ans, surtout dans le domaine du calcul des risques, ne donne à cet égard qu'une apparence de scientificité. La formalisation mathématique fait gagner en élégance à l'économie ce qu'elle lui fait perdre en réalisme. Elle amène surtout à négliger tous les facteurs impossibles à quantifier,</span> <span style="font-style: normal;">à</span> <span style="font-style: normal;">commencer précisément par la notion de risque, qui dépend avant tout du</span> <i>sens</i> <span style="font-style: normal;">que l'on donne aux événements.</span></span></span></p> <p style="margin-top: 0cm; margin-bottom: 0cm;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-style: normal;"><span style="text-decoration: none;"><span style="font-weight: normal;">Les causes immédiates de la crise (la pression concurrentielle mondiale née de la globalisation, qui a généralisé le modèle d'un capitalisme basé sur la déflation salariale, le partage de la valeur ajoutée au détriment des salariés, la baisse de la demande et sa stimulation artificielle à travers le crédit, la montée en puissance des marchés financiers et la hausse de l'exigence de rentabilité du capital) ne doivent pas faire illusion. La crise actuelle n'est pas un accident de parcours. Elle n'est pas une crise qui survient à l'intérieur du capitalisme, mais une crise systémique du régime d'accumulation et de suraccumulation, c'est-à-dire du capitalisme lui-même, d'un capitalisme qui ne domine plus seulement formellement, mais bien réellement, la société globale. De ce point de vue, il ne sert à rien de dénoncer les excès, les «dévoiements» ou les dysfonctionnements d'un système qui est lui-même excès de façon intrinsèque. La Forme-Capital est vouée à l'accélération perpétuelle de son propre mouvement, c'est -à-dire à l'aggravation des déséquilibres. L'éter</span></span></span><span style="font-style: normal;"><span style="text-decoration: none;"><span style="font-weight: normal;">n</span></span></span><span style="font-style: normal;"><span style="text-decoration: none;"><span style="font-weight: normal;">el problème du capitalisme est de trouver toujours à vendre plus</span></span></span> <span style="font-style: normal;"><span style="text-decoration: none;"><span style="font-weight: normal;">à</span></span></span> <span style="font-style: normal;"><span style="text-decoration: none;"><span style="font-weight: normal;">des hommes ayant de moins en moins de moyens d'acheter. Antique malédiction de la chrématistique, c'est-à-dire de l'argent</span></span></span> <i><span style="text-decoration: none;"><span style="font-weight: normal;">(ta chremata).</span></span></i></span></span></p> <p style="font-style: normal; margin-top: 0cm; margin-bottom: 0cm; font-weight: normal; text-decoration: none;"><span style="font-size: small;">L'idée fondamentale est que le capitalisme voué à lui-même ne peut que s'autodétruire, qu'il ne peut qu'être miné par ses contradictions internes, qui résultent de son idéal d'illimitation par accumulation et donc de sa dynamique propre: le mouvement du capital atteint sa limite lorsqu'il ne parvient plus à faire système, c'est-à-dire lorsque le faire de son monde n'arrive plus à reproduire le monde de son faire. Maigre consolation pour ceux qui préfèrent croire gu'i! serait mieux d'en triompher en le combattant frontalement? Peut-être. Mais c'est aussi l'idée que tout ce qui existe meurt de ce qui l'a fait naître: le système de l'argent périra par l'argent. Il en va de même de tous les systèmes qui engendrent l'aliénation: c'est ce qui les fait vivre à un moment donné gui crée aussi les conditions de leur disparition. L'article de foi qui domine aujourd'hui est que le capitalisme est promis à la vie éternelle. Même si cela ne se mesure pas à l'aune des impatiences individuelles, la vérité est que la démonie de l'avoir, l'économie politique du seul profit, même si elle s'essaie à l'éternisation de son parcours, n'échappera finalement pas à son destin.</span></p> <p style="font-style: normal; margin-top: 0cm; margin-bottom: 0cm; font-weight: normal; text-decoration: none;"></p> <p style="font-style: normal; margin-top: 0cm; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;"><span style="font-size: small;"><b>Robert de Herte</b></span></p> <p style="font-style: normal; margin-top: 0cm; margin-bottom: 0cm; font-weight: normal; text-decoration: none;"><br /></p> </div> </blockquote>
Zedhttp://metapoinfos.hautetfort.com/about.htmlLa crise n'est pas finie !tag:metapoinfos.hautetfort.com,2009-10-10:24124822009-10-10T17:07:00+02:002009-10-10T17:07:00+02:00 Le numéro 133 de la revue Eléments sort en kiosque avec un dossier sur...
<p>Le numéro 133 de la revue <em><strong>Eléments</strong></em> sort en kiosque avec un dossier sur le thème de la crise.</p> <div style="text-align: center"><img src="http://metapoinfos.hautetfort.com/media/01/01/779964212.jpg" alt="Eléments133.jpg" id="media-2032361" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" /></div> <blockquote> <p><span class="fichecritique">"Ce qui est frappant dans la crise actuelle, c’est qu’alors même que tout le monde répète que le capitalisme est cycliquement affecté par des crises, personne (ou peu s’en faut) ne semble jamais capable d’en prévoir aucune. (...) La réalité sociale ne se laisse pas mettre en équations, car l’homme n’est ni un agent fondamentalement rationnel cherchant toujours à maximiser son propre intérêt, ni seulement un producteur-consommateur. (...) Les causes immédiates de la crise ne doivent pas faire illusion. La crise actuelle n’est pas un accident de parcours. Elle n’est pas une crise qui survient à l’intérieur du capitalisme, mais une crise systémique du régime d’accumulation et de suraccumulation, c’est-à-dire du capitalisme lui-même. (...) Tout ce qui existe meurt de ce qui l’a fait naître : le système de l’argent périra par l’argent."<br /> <br /> AU SOMMAIRE...<br /> <br /> Dossier : LA CRISE N’EST PAS FINIE !<br /> • Une crise sans révolution ?<br /> • Le protectionnisme ou la mort ?<br /> • Le dollar au cœur de la crise<br /> <br /> Et aussi…<br /> • Cette indécente nostalgie du communisme<br /> • Voyage aux confins de l’univers<br /> • André Boniface, le rebelle flamboyant<br /> • Fitzgerald notre Américain<br /> • Textes politiques de Drieu La Rochelle<br /> • Les vrais faux rebelles de la scène rock<br /> • Le pape prône la mondialisation !<br /> • Le pétrole au prix du sang des peuples<br /> • La consolation par Richard Millet<br /> • Le testament d’André Malraux<br /> • Ne visitez pas le Musée Magritte…<br /> • Obama, souviens-toi de Gandamak<br /> • Quentin Tarentino à la foire aux images</span></p> </blockquote> <p style="text-align: left;">Le numéro est disponible en ligne <a href="http://www.revue-elements.com/elements-La-crise-n-est-pas-finie.html">ici</a></p>