Last posts on druides2024-03-29T00:02:33+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://www.hautetfort.com/https://www.hautetfort.com/explore/posts/tag/druides/atom.xmlGrandeloupohttp://www.grandeloupo.ch/about.htmlLa Toussainttag:www.grandeloupo.ch,2017-10-27:59934122017-10-27T11:46:03+02:002017-10-27T11:46:03+02:00 La Toussaint Première grande fête de l’Idolâtrie...
<p><span style="font-family: Century, serif;"><span style="font-size: xx-large;"><strong><img id="media-5712548" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://www.grandeloupo.ch/media/02/02/4059330318.jpg" alt="399px-Amiens_cathedral_nave-west.jpg" />La Toussaint</strong></span></span></p><p> </p><p><span style="font-family: Century, serif;"><span style="font-size: large;"><strong>Première grande fête de l’Idolâtrie</strong></span></span></p><p> </p><p><span style="font-family: Century, serif;"><span style="font-size: small;">La « <strong>Toussaint</strong> », histoire de cette fête religieuse chrétienne avec toutes les dissensions qui existent dans ce christianisme qui, théoriquement, devrait être la religion du seul et unique Dieu de toutes choses, cet Être Suprême, que je nomme <span style="color: #0070c0;"><strong>EL-SHADDAÏ,</strong></span> comme Abraham et sa descendance et non de ce nom vulgaire de « <span style="color: #984806;"><em><strong>DIEU </strong></em></span>»</span></span></p><p><span style="font-family: Century, serif;"><span style="font-size: small;">Cette religion, le « <span style="color: #7030a0;"><em>Christianisme</em></span> », devrait être une religion d’amour fraternel, un parangon pour la race humaine, comme elle le fut à sa Genèse, avec un autre « Nom » qui était la mouvance des <span style="color: #0070c0;"><em><strong>« Nazôréens, Messianistes, Galiléens, Nazaréens ».</strong></em></span> Je peux vous le dire, Lectrices et Lecteurs, nous en sommes très loin, et je certifierai même que <em>c’est la religion du Prince de ce Monde, SAMMAËL, </em>celui que vous appelez <em>Satan, Diable, Belzébuth, Mastéma, Béliar, </em>et tellement d’autre noms. Je vous laisse le choix de me démentir après votre lecture.</span></span></p><p><span style="font-family: Century, serif;"><span style="font-size: small;">Pour les humains qui commencent à me lire, je fais toujours de l’historique quand j’écris sur la religion car il est important pour moi d’être le plus près possible de la vérité pour vous prouver que je m’appuie sur la réalité historique comme sur les textes bibliques et apocryphes. </span></span></p><p><span style="font-family: Century, serif;"><span style="font-size: small;">En premier la fête de la Toussaint, le 1<sup>er</sup> novembre, est une fête de la chrétienté catholique, les chrétiens orthodoxes la fêtant vers les Pâques, quant aux protestants ils ne vénèrent pas les « Saints » --- soi-disant ? … ? </span></span></p><p><span style="font-family: Century, serif;"><span style="font-size: small;">Est-ce une fête biblique ?</span></span></p><p><span style="font-family: Century, serif;"><span style="font-size: small;">Existe-t-il un enseignement biblique qui nous oblige à vénérer des « Saints » ?</span></span></p><p><span style="font-family: Century, serif;"><span style="font-size: small;">D’après le dogme catholique cette fête se fonde sur des textes bibliques tels que l’Apocalypse de <strong>Jean VII : 2-14</strong>, la première <strong>lettre</strong> de ce <strong>Jean III,</strong> et l’évangile <strong>de Matthieu V : 1-12.</strong></span></span></p><p><span style="font-family: Century, serif;"><span style="font-size: small;">Il faut vraiment être ingénieux pour trouver un rapprochement avec cette fête de la « <span style="color: #ff0000;"><em><strong>Toussaint </strong></em></span>». </span></span></p><p><span style="font-family: Century, serif;"><span style="font-size: small;">Je dois être vraiment un imbécile !</span></span></p><p><span style="font-family: Century, serif;"><span style="font-size: small;">Si l’un de vous trouve une seule phrase où il faut vénérer des humains morts, je suis à son écoute sur le champ !</span></span></p><p><span style="font-family: Century, serif;"><span style="font-size: small;">Comme chaque année le dernier jour du mois d’Octobre, une fête Scandinave, pays du nord de l’Europe, exportée aux USA par les colons en 1750-1800, est célébrée, je parle de <span style="color: #984806;"><strong>l’Halloween.</strong></span></span></span></p><p><span style="font-family: Century, serif;"><span style="font-size: small;"><span style="color: #984806;"><em><strong>Halloween</strong></em></span><span style="color: #000000;"> fête scandinave, mais surtout d’origine Celte, se fête le </span><span style="color: #ff0000;"><strong>31 Octobre</strong></span><span style="color: #000000;">. La culture « </span><span style="color: #000000;"><strong>Celte</strong></span><span style="color: #000000;"> » apparaît vers le VIIIème siècle avant la naissance de Jésus le Nazôréen.<img id="media-5712550" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://www.grandeloupo.ch/media/02/02/2808244163.jpg" alt="Maître des Cieux Belphégore" /> </span></span></span></p><p><span style="font-family: Century, serif;"><span style="font-size: small;"><span style="color: #000000;">Personnellement je suis convaincu que la culture </span><span style="color: #000000;"><strong>Celtes</strong></span><span style="color: #000000;"> avec sa langue le </span><span style="color: #ff0000;"><em><strong>gaëlique</strong></em></span><span style="color: #000000;"> est une résultante de la </span><span style="color: #000000;"><em><strong>tour de Babel</strong></em></span><span style="color: #000000;"> quand les humains furent dispersés sur toute la surface de la Terre selon leur aspect et leurs langues. Ceux que l’on nommera les galiciens sont ces humains qui suivirent les cotes des mers, mais aussi les grandes plaines et plateaux, de l’Anatolie point de départ où ils reviendront des millénaires après, en Galatie, traversant le Bosphore, séparant la Mer Noire de la Mer de Marmara, Mer Méditerranée, suivant la route de Sofia, Belgrade, Zagreb, Trieste, Milan, col du Mont Cenis, Grenoble, Nîmes, Béziers, Toulouse, Bordeaux, Bayonne, Bilbao, La Corogne en Galice. Ce peuple en Galice ce format une langue grammaticale, et l’humain étant un nomade une partie de ces humains remontèrent à Bordeaux puis vers le Nord donnant leur nom les « </span><span style="color: #000000;"><strong>Gales</strong></span><span style="color: #000000;"> » qui devinrent les « </span><span style="color: #7030a0;"><strong>Gaules </strong></span><span style="color: #000000;">». Ces Celtes s’installèrent en Petite Bretagne, puis traversèrent la Mer du Nord et la Manche et s’établirent dans cette grande </span><span style="color: #000000;">île</span><span style="color: #000000;"> qui deviendra la Grande Bretagne, l’Écosse et le Pays de Galles, avec une autre grande ile à côté de celle-ci, je parle de l’Irlande puis le Nord de l’Europe juste avant les pays Scandinaves jusqu’au Danube, tous étaient de langue Celtes soit le Gaëlique</span></span></span></p><p><span style="font-family: Century, serif;"><span style="font-size: small;"><span style="color: #000000;">La culture spirituelle de tous ces peuples était le druidisme. Ils croyaient en un Dieu le </span><span style="color: #002060;"><strong>Samhain</strong></span><span style="color: #000000;"> qui s’écrit aussi </span><span style="color: #002060;"><strong>Samhan, Samain.</strong></span></span></span></p><p><span style="color: #000000;"><span style="font-family: Century, serif;"><span style="font-size: small;">La mythologie celtique est pauvre en document ce qui fait que les connaissances sont lacunaires et les seules sources que les historiens et exégètes possèdent sont indirectes, les vestiges archéologiques, les témoignages de ceux qui les ont côtoyés comme les Grecs et les Romains, Jules César avec ses écrits sur « <em>la guerre des Gaules </em>», et les littératures médiévales galloise et irlandaise. Comme les autres peuples de l’antiquité, les Celtes avaient une culture religieuse polythéiste dans laquelle officiait le classe sacerdotal druidisme. Cette religion s’est progressivement dissoute dans la culture de l’Empire Romain des dix décennies avant l’Ère Commune (EC.), à l’exception de l’Irlande et de l’Écosse où la civilisation celtique résista jusqu’à l’arrivé au Vème, VIème siècle du christianisme qui évangélisa ces deux Nations en faisant des concessions sur leurs fêtes païennes, les christianisant.</span></span></span></p><p><span style="color: #000000;"><span style="font-family: Century, serif;"><span style="font-size: small;">Il faut reconnaître que les Prêtres druidismes, privilégiaient l’oral sur l’écriture car peu d’humains savaient lire ce qui devint pour eux une perte du témoignage, les paroles s’envolent seuls les écrits restent d’où des informations données au compte-goutte. La civilisation celtique a concerné une grande partie de l’Europe pendant plusieurs siècles.</span></span></span></p><p><span style="font-family: Century, serif;"><span style="font-size: small;"><span style="color: #000000;">Dans la mythologie celtique le « </span><span style="color: #002060;"><strong>Samhain </strong></span><span style="color: #000000;">» est la fête religieuse qui célèbre le début de la saison « </span><span style="color: #000000;"><em><strong>Sombre</strong></em></span><span style="color: #000000;"> » de l’année, en opposé à la saison « </span><span style="color: #000000;"><em><strong>Claire</strong></em></span><span style="color: #000000;"> ». Le </span><span style="color: #984806;"><em><strong>Samhain</strong></em></span><span style="color: #000000;"> est une fête de transition, le passage d’une année à l’autre, et d’ouverture vers « </span><span style="color: #000000;"><em><strong>l’Autre Monde</strong></em></span><span style="color: #000000;"> », celui des dieux</span><span style="color: #252525;">. Elle est mentionnée dans de nombreux récits épiques irlandais car, de par sa définition, elle est propice aux événements magiques et mythiques. Son importance chez les Celtes est indéniable, incontestable puisque nous la retrouvons en Gaule sous les trois nuits de Samain durant le mois de Somonios, notre mois de Novembre, sur le calendrier de Coligny.</span></span></span></p><p><span style="font-family: Century, serif;"><span style="font-size: small;"><span style="color: #252525;">Le mot « </span><span style="color: #984806;"><strong>Halloween </strong></span><span style="color: #252525;">» est un mot typiquement anglais son étymologie ayant aucun rapport avec la langue Celtes, le gaëlique. En effet en langue anglaise « </span><span style="color: #252525;"><strong>Hallows </strong></span><span style="color: #252525;">» qui est une forme archaïque de « </span><span style="color: #252525;"><strong>Holy </strong></span><span style="color: #252525;">» qui signifie «</span><span style="color: #7030a0;"> </span><span style="color: #7030a0;"><strong>saint</strong></span><span style="color: #7030a0;"> </span><span style="color: #252525;">» et de « </span><span style="color: #252525;"><strong>even</strong></span><span style="color: #252525;"> » qui signifie « </span><span style="color: #7030a0;"><strong>soir </strong></span><span style="color: #252525;">» Ce « </span><span style="color: #252525;"><strong>even</strong></span><span style="color: #252525;"> » est devenue « </span><span style="color: #252525;"><strong>evening</strong></span><span style="color: #252525;"> », puis « </span><span style="color: #252525;"><strong>e’en</strong></span><span style="color: #252525;"> » pour finir par « </span><span style="color: #252525;"><strong>een » </strong></span><span style="color: #252525;">Ce qui en français devenait le « </span><span style="color: #7030a0;"><em><strong>soir de tous les saints</strong></em></span><span style="color: #7030a0;"> </span><span style="color: #252525;">» devenant « </span><span style="color: #7030a0;"><strong>Toussaint </strong></span><span style="color: #252525;">»</span></span></span></p><p><span style="color: #252525;"><span style="font-family: Century, serif;"><span style="font-size: small;"><img id="media-5712554" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://www.grandeloupo.ch/media/01/02/4146506957.jpg" alt="dr-Druides sous les chênes.jpg" />Contrairement à la pensée générale, si les celtes privilégiaient l’orale, ils connaissaient l’écriture comme l’alphabet étrusque ou grec, et ils ont quand même inventé un système particulier de notation qui est l’écriture oghamique</span></span></span></p><p><span style="color: #000000;"><span style="font-family: Century, serif;"><span style="font-size: small;">L’immortalité de l’âme était une des croyances des Celtes, ce qui explique, peut-être, les témoignages sur leur vaillance et leur intrépidité au combat, puisque la peur de la mort était absente.</span></span></span></p><p><span style="font-family: Century, serif;"><span style="font-size: small;">L’Encyclopédie Britannique dit ce qui suit : </span></span></p><p><span style="color: #984806;"><span style="font-family: Century, serif;"><span style="font-size: small;"><em>« Samhain, fin de l’été celte, une des fêtes du calendrier les plus importantes et les plus sinistres de l’année celte. Lors de Samhain, célébrée le 1er novembre, on croyait que le monde des dieux était rendu visible aux yeux de l’humanité et que ces dieux jouaient des tours à leurs adorateurs humains. Il s’agissait d’un temps plein de danger, rempli de frayeur et d’événements surnaturels. La période était remplie d’offrandes et de sacrifices de toutes sortes. On les croyait essentiels, car sans eux, les Celtes pensaient qu’ils ne pourraient surmonter les périls de la saison et résister aux actions des dieux. Samhain fut un important précurseur de l’Halloween. »</em></span></span></span></p><p><span style="color: #984806;"><span style="font-family: Century, serif;"><span style="font-size: small;"><em>« La nuit du 31 octobre, la veille du Nouvel An, les Celtes, après avoir fait les récoltes et les avoir engrangées en prévision de l’hiver, commençait leur fête. D’abord, ils éteignaient les feux de cuisine dans leurs maisons. Puis les druides, prêtres celtes, qui signifie, « Savant, Savoir, Sagesse », se rencontraient au sommet des collines dans les profondes forêts de chênes, ils considéraient cet arbre comme sacré, et ils préparaient d’énormes feux sacrés afin d’effrayer les mauvais esprits et honorer leur dieu soleil. Ensuite, les gens brûlaient de leur récolte et de leurs animaux en sacrifice à leurs dieux tout en dansant autour alors que la « saison du soleil » les quittait et que la « saison de la noirceur » faisait son apparition. Les Celtes portaient des costumes faits de peaux et de têtes d’animaux, et se prédisaient l’avenir. Le matin suivant, ils rallumaient leurs feux de cuisine à partir des feux sacrés pour se dégager des esprits méchants et être protégés pendant la saison hivernale. »</em></span></span></span></p><p><span style="font-family: Century, serif;"><span style="font-size: small;"><span style="color: #252525;">Le nom de </span><span style="color: #984806;"><em><strong>Samhain</strong></em></span><span style="color: #252525;"> signifie « </span><span style="color: #984806;"><em><strong>réunion </strong></em></span><span style="color: #252525;">», c’est une fête obligatoire de toute la société celtique qui donne lieu à des assemblées et des banquets rituels ; son caractère païen la place sous l’autorité de la classe sacerdotale des druides.</span></span></span></p><p><span style="font-family: Century, serif;"><span style="font-size: small;"><span style="color: #252525;"><strong>Le 31 Octobre</strong></span><span style="color: #252525;"> dans notre époque moderne est la fête de</span> <span style="color: #984806;"><em><strong>l’Halloween</strong></em></span><span style="color: #252525;">, veille de la « </span><span style="color: #7030a0;"><em><strong>Toussaint</strong></em></span><span style="color: #252525;"> » fête religieuse, et dernier jour de l’année Celte qui équivaut à notre Saint Sylvestre, </span><span style="color: #252525;"><em><strong>le 1</strong></em></span><span style="color: #252525;"><sup><em><strong>er</strong></em></sup></span><span style="color: #252525;"><em><strong> Novembre</strong></em></span><span style="color: #252525;"> étant le premier jour de l’année Celte jour de célébration du Dieu </span><span style="color: #984806;"><strong>Samhain,</strong></span> <span style="color: #252525;">sachant que « </span><span style="color: #252525;"><strong>Halloween</strong></span><span style="color: #252525;"> » signifie « </span><span style="color: #7030a0;"><em><strong>soir de tous les Saints</strong></em></span><span style="color: #7030a0;"> </span><span style="color: #252525;">» et il n’existe aucune relation avec la croyance celtique..</span></span></span></p><p><span style="font-family: Century, serif;"><span style="font-size: small;"><span style="color: #252525;">En dépit de son nom d'origine chrétienne et anglaise, la grande majorité des sources présentent </span><span style="color: #984806;"><strong>Halloween</strong></span><span style="color: #252525;"> comme un héritage de la fête païenne de </span><span style="color: #7030a0;"><em><strong>Samhain</strong></em></span><span style="color: #252525;"> – Samain – , le jour </span><span style="color: #000000;">de l’An Celtes.<img id="media-5712556" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://www.grandeloupo.ch/media/01/02/2510674525.jpg" alt="dr-Le barde.jpg" /></span></span></span></p><p><span style="font-family: Century, serif;"><span style="font-size: small;"><span style="color: #252525;">Les siècles passent ! En Palestine les romains viennent de crucifier un humain du nom de </span><span style="color: #252525;"><strong>Jésus de Nazareth</strong></span><span style="color: #252525;"> et ses </span><span style="color: #7030a0;"><strong>Disciples </strong></span><span style="color: #252525;">dont douze seront nommés </span><span style="color: #7030a0;"><strong>Apôtres</strong></span><span style="color: #252525;">, par leur force intellectuelle et spirituelle, surtout à Jérusalem, puis en Asie Mineur, spécialement à Antioche, et en basse Égypte, particulièrement à Alexandrie, par leur intelligence au-dessus de la moyenne de l’époque feront beaucoup de Disciples et la « </span><span style="color: #7030a0;"><em><strong>Mouvance des Nazôréen</strong></em></span><span style="color: #7030a0;"> </span><span style="color: #252525;">» naitra.</span></span></span></p><p><span style="font-family: Century, serif;"><span style="font-size: small;"><span style="color: #252525;">Cette mouvance deviendra de plus en plus forte dans tout le Bassin Méditerranéen et dans les pays limitrophes, ainsi que dans la classe élevée romaine, sans dépasser les dix pourcents de toutes les religions de l’époque. Les siècles continuent à passer jusqu’au III</span><span style="color: #252525;"><sup>ème</sup></span><span style="color: #252525;"> siècle ou </span><span style="color: #252525;"><strong>l’Empereur Romain Constantin le Grand</strong></span><span style="color: #252525;">, qui après
Zedhttp://metapoinfos.hautetfort.com/about.htmlUne histoire du néo-druidisme en Bretagne...tag:metapoinfos.hautetfort.com,2017-04-13:59316832017-04-13T16:00:00+02:002017-04-13T16:00:00+02:00 Les éditions Ouest-France viennent de publier un essai historique de...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">Les éditions Ouest-France viennent de publier un essai historique de <strong>Philippe Le Stum</strong> intitulé <em><strong>Néo-druidisme en Bretagne - Origine, naissance et développement 1890-1914</strong></em>. Conservateur au musée départemental breton de Quimper, Philippe Le Stum enseigne à l'université de Bretagne-Occidentale et est l'auteur de plusieurs ouvrages et de nombreux articles sur la culture régionale et l'identité bretonne.</span></p><p> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-5603778" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://metapoinfos.hautetfort.com/media/02/02/492222163.jpg" alt="Le Stum_Néo-druidisme.jpg" /></p><blockquote><p style="text-align: justify;">" Le néo-druidisme, désireux de renouer avec l'ancienne tradition celtique, naquit en Grande-Bretagne à la fin du XVIIIe siècle. Aujourd'hui, près d'un million de personnes dans le monde s'en réclament. En 1900, fut fondé le Gorsedd des druides, bardes et ovates de la presqu'île de Bretagne. Sa naissance et son développement forment un aspect essentiel de l'histoire du mouvement identitaire breton. <br /> Le Gorsedd entendit guider le régionalisme, régenter le nationalisme naissant, engager enfin la Bretagne dans un vaste courant "panceltique" européen. Retracer l'histoire du néo-druidisme en Bretagne, c'est donc retracer celle des débats intellectuels et politiques relatifs à l'identité bretonne. C'est aussi évoquer des personnalités étonnantes : militants, hommes politiques, journalistes, écrivains, chansonniers, mystiques et voyants. <br /> Cette étude est établie sur les archives des deux premiers "grands druides" bretons. Elle contient des correspondances de toutes les personnalités du mouvement breton et interceltique d'alors. "</p></blockquote>
Ratatoskhttp://euro-synergies.hautetfort.com/about.htmlThe Ancient Paths: Discovering the Lost Map of Celtic Europetag:euro-synergies.hautetfort.com,2016-05-07:57977602016-05-07T00:05:00+02:002016-05-07T00:05:00+02:00 The Ancient Paths: Discovering the Lost Map of Celtic Europe, review...
<div class="storyHead"><div><p style="text-align: center;"><img id="media-5363032" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://euro-synergies.hautetfort.com/media/01/01/3861201720.jpg" alt="gauleeur02Carte2.jpg" /></p><h1><span style="font-size: 24pt; font-family: arial black,sans-serif; color: #ff6600;"><strong>The Ancient Paths: Discovering the Lost Map of Celtic Europe, review</strong></span></h1></div><h2><span style="font-size: 14pt; font-family: arial black,sans-serif; color: #99cc00;"><strong>Tim Martin has his eyes opened by an enthralling new history that argues that Druids created a sophisticated ancient society to rival the Romans</strong></span></h2></div><div class="oneHalf gutter"><div class="story"><div class="byline"><div><p class="bylineBody"><span style="font-size: 18pt; font-family: arial black,sans-serif;"><strong><span style="color: #999999;">By <a style="color: #999999;" title="Tim Martin" href="http://www.telegraph.co.uk/journalists/tim-martin/" rel="author"> <span class="name">Tim Martin</span></a></span></strong></span></p><p class="bylineBody"><span style="font-family: arial black,sans-serif;"><strong><span class="name" style="font-size: 12pt; color: #999999;"><span style="font-size: 18pt;">Ex: http://www.telegraph.co.uk</span> </span></strong></span></p></div></div><div id="mainBodyArea"><div class="firstPar"><p><strong><span style="font-size: 12pt; font-family: arial,helvetica,sans-serif; color: #999999;"><img id="media-5363027" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0px;" title="" src="http://euro-synergies.hautetfort.com/media/00/02/3312602526.jpg" alt="paths._SX326_BO1,204,203,200_.jpg" />'Important if true” was the phrase that the 19th-century writer and historian Alexander Kinglake wanted to see engraved above church doors. It rings loud in the ears as one reads the latest book by <a style="color: #999999;" href="http://www.telegraph.co.uk/culture/books/bookreviews/7521268/Parisians-by-Graham-Robb-review.html">Graham Robb</a>, a biographer and historian of distinction whose new work, if everything in it proves to be correct, will blow apart two millennia of thinking about Iron Age Britain and Europe and put several scientific discoveries back by centuries.</span></strong></p></div><div class="secondPar"><p><strong><span style="font-size: 12pt; font-family: arial,helvetica,sans-serif; color: #999999;">Rigorously field-tested by its sceptical author, who observes drily that “anyone who writes about Druids and mysteriously coordinated landscapes, or who claims to have located the intersections of the solar paths of Middle Earth in a particular field, street, railway station or cement quarry, must expect to be treated with superstition”, it presents extraordinary conclusions in a deeply persuasive and uncompromising manner. What surfaces from these elegant pages – if true – is nothing less than a wonder of the ancient world: the first solid evidence of <a style="color: #999999;" href="http://www.telegraph.co.uk/news/religion/8037258/Druids-Worshippers-of-nature-who-were-said-to-sacrifice-humans.html">Druidic</a> science and its accomplishments and the earliest accurate map of a continent.</span></strong></p></div><div class="thirdPar"><p><strong><span style="font-size: 12pt; font-family: arial,helvetica,sans-serif; color: #999999;">Robb begins his journey from a cottage in Oxfordshire, following up a handful of mysteries that had teasingly accrued as he assembled his <a style="color: #999999;" href="http://www.telegraph.co.uk/culture/books/booknews/10055988/Philip-Hensher-wins-the-Royal-Society-of-Literature-Ondaatje-Prize.html">Ondaatje Prize</a>-winning travelogue <a style="color: #999999;" href="http://www.telegraph.co.uk/culture/books/fictionreviews/3557366/Book-of-the-day-The-Discovery-of-France-by-Graham-Robb.html">The Discovery of France</a>.</span></strong></p></div><div class="fourthPar"><p><strong><span style="font-size: 12pt; font-family: arial,helvetica,sans-serif; color: #999999;">They had to do with the Heraklean Way, an ancient route that runs 1,000 miles in a straight line from the tip of the Iberian Peninsula to the Alps, and with several Celtic settlements called Mediolanum arranged at intervals along the route.</span></strong></p><p style="text-align: center;"><img id="media-5363031" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://euro-synergies.hautetfort.com/media/00/00/1382823740.png" alt="gaule17180_orig.png" /></p></div><div class="fifthPar"><p><strong><span style="font-size: 12pt; font-family: arial,helvetica,sans-serif; color: #999999;">After examining satellite imaging (difficult for the private scholar even a decade ago) and making several more research trips, Robb bumped up against two extraordinary discoveries. First, the entire Via Heraklea runs as straight as an arrow along the angle of the rising and setting sun at the solstices. Second, plotting lines through the Celtic Mediolanum settlements results in lines that map on to sections of Roman road, which themselves point not to Roman towns but at Celtic oppida farther along.</span></strong></p></div><div class="body"><p><strong><span style="font-size: 12pt; font-family: arial,helvetica,sans-serif; color: #999999;">Viewed in this light, the ancient texts of the Italian conquerors begin to reveal sidelong secrets about the people they supplanted. Piece by piece, there emerges a map of the ancient world constructed along precise celestial lines: a huge network of meridians and solar axes that served as the blueprint for the Celtic colonisation of Europe, dictated the placement of its settlements and places of worship, and was then almost wholly wiped from history. We are, to put it mildly, unused to thinking like this about the Celts, whose language is defunct and whose reputation was comprehensively rewritten by those who succeeded them.</span></strong></p><p><strong><span style="font-size: 12pt; font-family: arial,helvetica,sans-serif; color: #999999;">Greek travellers from the sixth century BC onwards described a nation of sanguinary brutes and madmen who threw their babies in rivers, walked with their swords into the sea and roughly sodomised their guests. “It does not take an anthropologist to suspect,” Robb observes drily, “that what the travellers saw or heard about were baptismal rites, the ceremonial dedication of weapons to gods of the lower world, and the friendly custom of sharing one’s bed with a stranger.”</span></strong></p><p><strong><span style="font-size: 12pt; font-family: arial,helvetica,sans-serif; color: #999999;">Later on, clean-shaven, toga-sporting Roman visitors to what they called Gallia Bracata and Gallia Comata – Trousered Gaul and Hairy Gaul respectively – were horrified by the inhabitants’ practical legwear and love of elaborate moustaches, and marvelled to hear them discoursing not in gnarly Gaulish but in perfect Greek.</span></strong></p><p><strong><span style="font-size: 12pt; font-family: arial,helvetica,sans-serif; color: #999999;">As the Roman military machine rolled over Europe, depicting the Celt as a woods-dwelling wild man became not just a matter of Italian snobbery but one of propagandist utility. According to Robb, when the Romans arrived this side of the Alps, they found a country whose technical achievements were different from, but competitive with, their own.</span></strong></p><p style="text-align: center;"><img id="media-5363033" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://euro-synergies.hautetfort.com/media/01/02/2583398599.JPG" alt="gaulepr845241.JPG" /></p><p><strong><span style="font-size: 12pt; font-family: arial,helvetica,sans-serif; color: #999999;">Mapped and governed by a network of scholar-priests according to a template laid down in heaven, covered by a road network that afforded swift passage to fleets of uniquely advanced chariots (“nearly all the Latin words for wheeled vehicles”, Robb notes, “come from Gaulish”) and possessing astronomical and scientific knowledge that would take another millennium to surface again, Gaul remained a deeply enigmatic place to its military-minded conquerors. When Julius Caesar swept through, on a tide of warfare and genocide that would lead his countryman Pliny to accuse him of humani generis iniuria, “crimes against humanity”, much of its knowledge retreated to the greenwood, never to emerge.</span></strong></p><p style="text-align: center;"><strong><span style="font-size: 12pt; font-family: arial,helvetica,sans-serif; color: #999999;"><img id="media-5363029" style="margin: 0.7em 0px;" title="" src="http://euro-synergies.hautetfort.com/media/02/00/1849119277.jpg" alt="caesar.jpg" /></span></strong></p><p><strong><span style="font-size: 12pt; font-family: arial,helvetica,sans-serif; color: #999999;">Most significantly, suggests Robb, Caesar failed to work out the Druids. To most of us even now, the word conjures up the image of a white-robed seer with a sickle, an implausible hybrid of Getafix and Glastonbury hippie. (Robb suggests, following the design on a Gaulish cauldron, that they tended more towards a figure-hugging costume patterned like oak bark: much better for melting like smoke into the trees, a trait of Druid-led armies that Caesar vigorously deplored.) The Druidic curriculum took two decades to train up its initiates, but these men of science put nothing in writing. Like their wood-built houses, their secrets rotted with time. How could we hope to reconstruct them?</span></strong></p><p><strong><span style="font-size: 12pt; font-family: arial,helvetica,sans-serif; color: #999999;">Remarkably, Robb has an answer to this, and it forms the centre of a book almost indecently stuffed with discoveries. One of the most consistently baffling things about Celtic temple sites to modern surveyors is their shape: warped rectangles that seem none the less to demonstrate a kind of systematic irregularity. Using painstakingly reconstructed elements of the Druidic education, which placed religious emphasis on mapping the patterns of the heavens on to the lower “Middle Earth” of our world, Robb comes up with an astonishing discovery: these irregular rectangles exactly match a method for constructing a geometrical ellipse, the image of the sun’s course in the heavens. Such a method was previously thought to be unknown in the West until the 1500s.</span></strong></p><p><strong><span style="font-size: 12pt; font-family: arial,helvetica,sans-serif; color: #999999;">Other suggestions follow thick and fast, backed by a mixture of close reading, mathematical construction and scholarly detective work. Building on meridians and equinoctial lines, the Druids used their maps of the heavens to create a map that criss-crossed a continent, providing a plan of sufficient latitudinal and longitudinal accuracy to guide the Celtic diaspora as it pushed eastward across Europe.</span></strong></p><p><strong><span style="font-size: 12pt; font-family: arial,helvetica,sans-serif; color: #999999;">The swirls and patterns in Celtic art turn out, Robb surmises, to be arranged along rigorous mathematical principles, and may even encode the navigational and cartographic secrets that the Druids so laboriously developed.</span></strong></p><p><strong><span style="font-size: 12pt; font-family: arial,helvetica,sans-serif; color: #999999;">Robb manages his revelations with a showman’s skill, modestly conscious that his book is unfurling a map of Iron Age Europe and Britain that has been inaccessible for millennia. Every page produces new solutions to old mysteries, some of them so audacious that the reader may laugh aloud. Proposing a new location for Uxellodunum, the site of the Gauls’ final losing battle in France, is one thing; suggesting where to look for King Arthur’s court, or which lake to drag for Excalibur, is quite another. But both are here.</span></strong></p><p><strong><span style="font-size: 12pt; font-family: arial,helvetica,sans-serif; color: #999999;">Amid such riches, readers of The Discovery of France – a glorious book that mixed notes from a modern cycling tour with a historical gazetteer of pre-unification France – may still be itching for the moment when the author gets back on his bike. Beautifully written though it is, The Ancient Paths can tend to dryness at times, but some of its best moments come when the author gets out into the field.</span></strong></p><p><strong><span style="font-size: 12pt; font-family: arial,helvetica,sans-serif; color: #999999;">One example will suffice. Certain references in Caesar’s writing indicate that the Gauls operated a vocal telegraph, composed of strategically placed teams yodelling news overland to one another, which passed messages at a speed nearly equivalent to the first Chappe telegraph in the 18th century. To judge how this might have worked, Robb takes himself off to the oppidum above Aumance, near Clermont-Ferrand, where he reports on the car alarms and the whirr of traffic still audible across countryside four kilometres away.</span></strong></p><p><strong><span style="font-size: 12pt; font-family: arial,helvetica,sans-serif; color: #999999;">He goes further. Aumance was one of around 75 places once known by the name Equoranda, a word with an unknown root that resembles the Greek and Gaulish for “sound-line” or “call-line”. All the Equoranda settlements Robb visits turn out to be on low ridges or shallow valleys, and would, he writes, “have made excellent listening posts”. Examined in this light, one word in Caesar’s account becomes fruitful: he observes that the Gauls “transmit the news by shouting across fields and regios”, a word that can be translated as “boundaries”. An ancient Persian technique for acoustic surveying, still current in the 19th-century south of France, involves three men calling to one another and plotting their position along the direction of the sound. Put the pieces together and you end up – or Robb does – with “the scattered remains of a magnificent network” that could have acted not just as a telegraph system but as a means to map the Druids’ boundaries on to the earth.</span></strong></p><p><strong><span style="font-size: 12pt; font-family: arial,helvetica,sans-serif; color: #999999;">It’s a magnificent piece of historical conjecture, backed by a quizzical scholarly intellect and given a personal twist by experiment. So, for that matter, is</span></strong></p><p><strong><span style="font-size: 12pt; font-family: arial,helvetica,sans-serif; color: #999999;">the whole thing. Robb describes in his introduction the secretive meetings with publishers in London and New York that kept a lid on the book’s research until publication, and watching its conclusions percolate through popular and academic history promises to be thrilling.</span></strong></p><p><strong><span style="font-size: 12pt; font-family: arial,helvetica,sans-serif; color: #999999;">Reading it is already an electrifying and uncanny experience: there is something gloriously unmodern about seeing a whole new perspective on history so comprehensively birthed in a single book. If true, very important indeed.</span></strong></p><p><strong><span style="font-size: 12pt; font-family: arial,helvetica,sans-serif; color: #999999;"><img src="http://i.telegraph.co.uk/multimedia/archive/02699/Paths1_2699439a.jpg" alt="" width="220" height="293" name="Paths1" align="left" /></span></strong></p><p><strong><span style="font-size: 12pt; font-family: arial,helvetica,sans-serif; color: #999999;"><span style="color: #ffcc99;"><a style="color: #ffcc99;" href="http://books.telegraph.co.uk/BerteShopWeb/viewProduct.do?ISBN=9780330531504&utm_source=tmg&utm_medium=article_10372050&utm_campaign=articlelinks">The Ancient Paths: Discovering the Lost Map of Celtic Europe</a>,</span> by Graham Robb (Picador, RRP £20, Ebook £6.02), is available to order from Telegraph Books at £26 + £1.35p&p. Call 0844 871 1515 or visit <a style="color: #999999;" href="http://books.telegraph.co.uk/BerteShopWeb/home.do">books.telegraph.co.uk</a></span></strong></p><p> </p></div></div></div></div>
Zedhttp://metapoinfos.hautetfort.com/about.htmlLa civilisation celtique...tag:metapoinfos.hautetfort.com,2015-11-25:57203772015-11-25T16:00:00+01:002015-11-25T16:00:00+01:00 Les éditions Yoran Embanner viennent de rééditer l'ouvrage de Françoise Le...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">Les éditions Yoran Embanner viennent de rééditer l'ouvrage de <strong>Françoise Le Roux</strong> et de <strong>Christian-J Gyuonvarc'h</strong> intitulé <em><strong>La civilisation celtique</strong></em>. Les deux auteurs, chercheurs et universitaires, disciples de Georges Dumézil, figuraient parmi les meilleurs spécialistes du monde celtique et ont toujours travaillé à la même œuvre. Ils sont auteurs de plusieurs centaines d’articles et de nombreux ouvrages traduits en une demi-douzaine de langues.</span></p><p> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-5221322" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://metapoinfos.hautetfort.com/media/02/00/1832663516.jpg" alt="la-civilisation-celtique.jpg" /></p><blockquote><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">" Qu’est-ce que la civilisation celtique et qui étaient vraiment les Celtes ?</span><br /><span style="font-size: 10pt;">On a tant écrit sur le sujet que la question se pose : étaient-ils des barbares grossiers que Rome a heureusement convertis, par le glaive d'abord, par la persuasion ensuite, à la « civilisation » ? Ou bien une aristocratie militaire brillante, conduite par des chefs spirituels, les druides, détenteurs de la plus haute initiation, et que Rome a délibérément détruite ?</span><br /><span style="font-size: 10pt;">Les Celtes apparaissent enfin pour ce qu’ils sont réellement, de l’Antiquité au Moyen Âge : non des primitifs, mais des peuples différents, ayant sur la religion, la société, l’État, des conceptions traditionnelles inconciliables avec celle de la Rome antique sur lesquelles s’est fondée l’Europe médiévale et moderne. Mieux encore : ce sont les Celtes d’Irlande qui, profondément et sincèrement christianisés, ont sauvé la culture classique du néant des temps mérovingiens.</span><br /><br /><span style="font-size: 10pt;">Les auteurs ont rédigé à l’attention du grand public, sous une forme simple et condensée, une solide initiation à la connaissance des Celtes sous ses différents aspects (archéologique, historique, linguistique…) depuis leur apparition au cœur de l’Europe jusqu’aux temps modernes et leur relégation progressive dans les confins finistériens de l’arc atlantique. "</span></p></blockquote>
Zedhttp://metapoinfos.hautetfort.com/about.htmlDes philosophes chez les Barbares...tag:metapoinfos.hautetfort.com,2015-03-09:55746442015-03-09T16:00:00+01:002015-03-09T16:00:00+01:00 Les éditions du Seuil rééditent dans leur collection de poche une étude de...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Les éditions du Seuil rééditent dans leur collection de poche une étude de <strong>Jean-Louis Brunaux</strong> intitulée <strong><em>Les druides - Des philosophes chez les Barbares</em></strong>. Archéologue, directeur de recherches au CNRS, Jean-Louis Brunaux un des meilleurs spécialistes actuel de la civilisation gauloise. Il a notamment publié <a href="http://metapoinfos.hautetfort.com/archive/2012/05/30/nos-ancetre-les-gaulois.html"><em><strong>Nos ancêtres les Gaulois</strong></em></a> (Point, 2012).</span></p><p> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-4933277" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://metapoinfos.hautetfort.com/media/02/02/3939288280.jpg" alt="Druides.jpg" /></p><blockquote><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">" Qui sont les druides ? Depuis l’Antiquité, ils suscitent un étrange intérêt. S’ils ont eux-mêmes cultivé le mystère, mythes et idéologie ont contribué à brouiller davantage leur image. Prêtres, magiciens, devins : les fonctions qui leur ont été attribuées sont aussi diverses que contradictoires.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">La recherche qui est menée ici prend l’allure d’une enquête policière où toutes les pistes sont ouvertes. L’auteur doit remonter aux plus anciennes mentions des druides, quand ils étaient considérés par les Grecs comme des philosophes, pour découvrir leur origine au début du Ier millénaire avant notre ère. De là, il peut reconstituer leur histoire et celle des représentations dont ils ont fait l’objet jusqu’à nos jours.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Avec eux, c’est aussi une nouvelle image de la Gaule qui se dessine, loin des préjugés et des images d’Épinal. "</span></p><p style="text-align: justify;"> </p></blockquote>
A lirehttp://blogdesebastienfath.hautetfort.com/about.htmlMouvements Religieux (AEIMR) sur le Conseil des Clairières Druidiquestag:blogdesebastienfath.hautetfort.com,2014-09-04:54400402014-09-04T00:43:00+02:002014-09-04T00:43:00+02:00 Dans quelques jours (9 septembre 2014), des révélations sensationnelles...
<p><img id="media-4677754" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://blogdesebastienfath.hautetfort.com/media/00/02/2895673167.jpg" alt="conseil druidique.jpg" />Dans quelques jours (9 septembre 2014), <a href="http://www.lepoint.fr/science/un-coin-de-voile-s-est-leve-sur-les-mysteres-de-stonehenge-03-09-2014-1859520_25.php">des révélations sensationnelles sont annoncées au sujet du site mégalithique de <strong>Stonehenge</strong></a> (Angleterre), occasion de relancer les <a href="http://www.lefigaro.fr/culture/2014/08/29/03004-20140829ARTFIG00242-stonehenge-a-t-il-livre-tous-ses-secrets.php">discussions sur les<strong> croyances druidiques</strong></a>. </p><p>Les spécialistes du contemporain suivent plutôt quant à eux les reconfigurations <em>new age</em> du druidisme, à l'image de groupes comme le <a href="http://comarlia.site90.net/calendrier0910.htm">Conseil des clairières druidiques</a> au sujet duquel le <a href="http://www.interassociation.org/sommaire%202014.pdf">bulletin de l'AEIMR </a>de <strong>Bernard Blandre</strong> (<a href="http://www.interassociation.org/sommaire%202014.pdf">lien</a>) consacre une étude dans sa dernière livraison 2014 (p.23). </p><p><a href="http://www.interassociation.org/sommaire%202014.pdf">Lien vers <em>Mouvements Religieux</em>, le Bulletin de l'<strong>AEIMR</strong>.</a> </p>
Europa Patria Nostrahttp://vouloir.hautetfort.com/about.htmlGrundvigttag:vouloir.hautetfort.com,2014-04-23:53363362014-04-23T00:05:00+02:002014-04-23T00:05:00+02:00 Arbres de la Liberté, cultes druidiques et révolution culturelle chez...
<p style="text-align: center;"><img id="media-4503799" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://vouloir.hautetfort.com/media/02/01/2942176119.jpg" alt="grundtvig.jpg" /></p><p style="text-align: left;" align="center"><span style="color: #0000ff; font-size: large; font-family: arial black,avant garde;"><strong><span style="text-decoration: underline;">Arbres de la Liberté, cultes druidiques et révolution culturelle chez Nicolai Frederik Severin Grundtvig</span></strong></span></p><p style="text-align: left;" align="center"><span style="color: #000000; font-size: medium; font-family: arial black,avant garde;"><strong>Hennig Eichberg</strong></span></p><p align="left"><span style="color: #000000;"><strong><span style="font-size: small; font-family: arial,helvetica,sans-serif;">Dans le contexte européen à la fin du XVIIIième et au début du XIXième, le renouveau païen allemand n'était pas isolé. En France, dans la seconde moitié du XVIIIième, la déchistianisation avait fait des progrès considérables, touchant même le petit paysannat, les artisans et les boutiquiers. Ce changement de mentalité est considéré comme un signe avant-coureur important de la Révolution de 1789. Dès les premières années de l'ère révolutionnaires, on assiste à la naissance d'un culte non chrétien de la liberté, qui s'exprime à travers le calendrier révolutionnaire, les fêtes populaires et les temples bâtis dans un style allégorique et abstrait, assez pédant et imitant sans grande originalité l'architecture de la Rome antique. Dans toutes ces innovations, la plus intéressante, à nos yeux, est le culte de l'arbre de la liberté, qui renoue avec le vieux culte européen de l'Arbre de Mai.</span></strong></span></p><p align="left"><span style="color: #000000;"><strong><span style="font-size: small; font-family: arial,helvetica,sans-serif;">Préparés par le romantisme celtisant d'Ossian et par certains courants du déisme qui se revendiquait une religion de la nature, les cultes néo-druidiques ressurgissent en Grande-Bretagne, renouant avec des traditions bardiques héritées du moyen-âge. A partir de 1781, apparaissent des ordres druidiques-maçonniques. A partir de 1792, on assiste en Angleterre à des cérémonies tenues par des druides vêtus de blanc et proférant d'antiques prières autour de cercles de pierres dressées et d'autels celtiques. En 1819, des cérémonies semblables animent le rassemblement des bardes gallois, lors de la fête celtique traditionnelles de l'Eisteddfod.</span></strong></span></p><p align="left"><span style="color: #000000;"><strong><span style="font-size: small; font-family: arial,helvetica,sans-serif;">En Suède, le romantisme d'inspiration germanique trouve son principal écho dans la Ligue Gothique, constituée en 1811. Etudiants et intellectuels affiliés à ce cercle, parmi lesquels se rangent les poètes E. J. Geijer et Esaias Tegner, ainsi que le fondateur de la gymnastique suédoise P. H. Ling, se donnent des noms tirés de l'ancienne mythologie germanique ou des sagas norroises, se rassemblent sur des places entourées d'un cercle de pierres et y tiennent le ³thing². Ils se réfèrent aux dieux anciens, ils se livrent à des recherches historiques et à l'actualisation littéraire du passé gothique, à partir duquel ils veulent refonder l'identité nationale suédoise.</span></strong></span></p><p align="left"><span style="color: #000000;"><strong><span style="font-size: small; font-family: arial,helvetica,sans-serif;">Mais, c'est au Danemark que renaissent des références plus durables à la mythologie nordique. Les bases jetées à l'époque ont permis de forger une conscience mythologique, identitaire et politique dont l'effet se fait encore sentir aujourd'hui, surtout dans les milieux dits de ³gauche². Cette tradition identitaire de la gauche révolutionnaire danoise débute avec Jens Baggesen qui effectue en 1789, année de la Révolution à Paris, un voyage en Allemagne. Il se rend en lisière de la forêt de Teutoburg, où, sur une hauteur, on célèbre le souvenir de Hermann/Arminius, vainqueur des Romains et des légions de Varus. Dans ses souvenirs, Baggesen nous a laissé ce texte: "Nulle part je ne me suis senti plus libre, plus citoyen du Nord, plus frère dans la grande famille des peuples de notre côté des Alpes qu'ici, au sommet de la forêt chérusque où, pour la première fois, la puissance du Sud a plié devant celle du Nord. J'ai vu la naissance de la liberté en Europe dans le ravivement du souvenir d'Arminius; et j'ai suivi d'un regard ivre de joie sa course vers l'Ouest. Avec les Anglo-Saxons, elle est passée en Albion, avec les Francs, en Gaule. Et maintenant elle brille d'un double éclat dans l'assemblée française".</span></strong></span></p><p align="left"><span style="color: #000000;"><strong><span style="font-size: small; font-family: arial,helvetica,sans-serif;">Au début de son itinéraire, la gauche identitaire et romantique danoise a donc tourné son regard vers la révolution française, puis, quelques années plus tard, elle a approfondi son corpus doctrinal en explorant à fond l'antiquité scandinave. En 1819, on trouve très nettement la trace de cet engouement dans le livre Nordens guder (= Dieux nordiques) d'Adam Gottlob Oehlenschläger. En 1808, la première édition de Nordens Mythologi (= Mythologie nordique) de N. F. S. Grundtvig est encore toute imprégnée de l'esprit romantique. Son édition augmentée de 1832 révèle une démarche nouvelle, très intéressante, qui annonce déjà l'anthropologie contemporaine et une sorte de pré-structuralisme. A l'époque, ces premières manifestations de notre philosophie contemporaine était qualifié de ³fantaisiste² et de ³subjective².</span></strong></span></p><p align="left"><span style="color: #000000;"><strong><span style="font-size: small; font-family: arial,helvetica,sans-serif;">Au lieu de fuir dans une empyrée poétique, à la façon de beaucoup de romantiques, Grundtvig, dans son interprétation de la mythologie nordique, dévoile un projet proprement politique. Le conflit entre les géants et les Ases n'apparaît plus comme un conflit entre forces imprévisibles de la nature et quiétude culturelle, mais comme les combats successifs entre deux types de culture: Rome contre le Nord, les érudits et les élites contre le peuples, le savoir livresque contre la parole vivante, la vieillesse contre la jeunesse.</span></strong></span></p><p align="left"><span style="color: #000000;"><strong><span style="font-size: small; font-family: arial,helvetica,sans-serif;">Cette approche correspondait avec les fronts politiques qui se dessinaient au Danemark de l'époque. Le nationalisme et le socialisme s'opposaient de concert à l'ancien régime qui vivait ses derniers moments. Les paysans se révoltaient contre les grands propriétaires terriens et contre une élite culturelle, politique et académique imprégnée de latin et d'allemand. Le mouvement national danois, issu du mouvement paysan et se définissant comme de ³gauche², comprend tout de suite l'enjeu de cette nouvelle interprétation de la mythologie nordique. Les bases mythologiques données par Grundtvig donne à la conscience révolutionnaire danoise et au mouvement social une épine dorsale culturelle. De cette fusion émerge une contre-culture aux formes multiples: des organisations de masses, des ¦uvres personnelles originales, un mouvement didactique créateur d'un réseau de ³hautes écoles populaires² accessibles à tous, des paroisses chrétiennes non orthodoxes en rupture de ban avec le luthérianisme officiel de l'Etat danois, des sociétés de gymnastique, des clubs de tir visant à armer le peuple, des coopératives en tous domaines.</span></strong></span></p><p align="left"><span style="color: #000000;"><strong><span style="font-size: small; font-family: arial,helvetica,sans-serif;">Dans les années de 1870 à 1880, les références directes à la mythologie scandinave perdent de leur influence dans les milieux populaires, socialistes et prolétariens. Elles ne reviendront que dans les années 1920, cette fois dans des milieux plus conservateurs. En dépit de la variante de la mythologie nordique véhiculée par l'Allemagne nationale-socialiste, les références nordiques joueront un rôle dans la résistance à l'occupation nazie de 1940 à 1945. Après la dernière guerre, elles sont tombées en désuétude.</span></strong></span></p><p align="left"><span style="color: #000000;"><strong><span style="font-size: small; font-family: arial,helvetica,sans-serif;">Mais, à la fin des années 60, le mouvement contestataire étudiant danois reprend à son compte la mythologie nordique telle qu'elle avait été présentée par Grundtvig. Certaines modulations de la culture alternative soixante-huitarde sont marquées par ces références scandinavisantes. Des auteurs comme Ejvind Larsen et Ebbe Klovedahl Reich, ainsi que, plus récemment, Paul Engberg, ont joué un rôle important dans ce processus. Citons notamment cette chanson burlesque contre la technocratie, où le loup Fenris de la mythologie scandinave apparaît comme un bourgeois dévorateur. Agit-prop par la mythologie nordique! Chez l'éditeur d'un journal de gauche, Information, paraissait pour les communes rurales un supplément intitulé Freya, imprégné de romantisme paysan. Dans un tel contexte, les ³hautes écoles populaires² acquièrent une popularité nouvelle, et se placent souvent sous le signe de l'écologie: elles remettent en marche des moulins à vent, pour substituer une énergie éolienne douce aux énergies habituelles de la civilisation industrielle capitaliste contemporaine. Elles étudient la création d'énergie à partir de la biomasse. Elles enseignent le yoga et le méditation indiennes. On s'y réfère à nouveau directement à Grundtvig et à sa mythologie nordique. A Arrhus, le magasin de la contre-culture s'appelle ³Yggdrasill².</span></strong></span></p><p align="left"><span style="color: #000000;"><strong><span style="font-size: small; font-family: arial,helvetica,sans-serif;">Rappelons toutefois que Grundtvig et ses prédécesseurs romantiques ne voyaient pas de contradiction entre le christianisme et la mythologie nordique, tout comme les Allemands Arndt et Jahn. En revanche, la version alternative contemporaine de ce filon nordicisant développe une critique fondamentale du christianisme. Reich et Larsen voient en lui, surtout dans sa forme protestante, le prélude structurel au capitalisme, à l'écrasement de la nature par l'industrie, à la crise de l'environnement. La Réforme apparait donc comme ³un mélange d'absolutisme et de rapacité² (Reich). Quant à Larsen, il a écrit: "Ce n'est pas seulement avec Luther que nous devons engager le débat critique, mais avec le christianisme dans son ensemble. Peut-on imaginer pouvoir changer quelque chose aux maux sociaux de notre époque avant d'avoir éliminé le christianisme".</span></strong></span></p><p align="left"><span style="color: #000000;"><strong><span style="font-size: small; font-family: arial,helvetica,sans-serif;">Se référant à Herder et à Goethe, le mouvement pacifiste danois du début des années 80, se pose comme une résistance populaire contre l'advenance problable d'un terrible Ragnarök nucléaire. Derrière l'hyper-conscience des enjeux qu'a développé le mouvement pacifiste danois, c'est l'Europe toute entière qui s'est brièvement dressée contre son asservissement séculaire par les confessions chrétiennes, puis par le système de pensée scientiste et enfin par les programmes politiques conventionnels. Nous pouvons dès lors constater que le filon mythologisant danois, et son pendant allemand, permettent de structurer une véritable alternative culturelle, pour une nouvelle gauche contestatrice capable de remettre en question le système industriel.</span></strong></span></p><p align="left"><span style="color: #000000;"><strong><span style="font-size: small; font-family: arial,helvetica,sans-serif;">Les diverses formes nationales de néo-paganisme, le mouvement mythologiste, etc. font certes apparaître des profils nationaux très différents les uns des autres. Il n'empêche qu'ils sont toujours une révolte du réel-charnel contre les artifices du pouvoir, contre les manipulations des puissants qui étouffent pour mieux s'imposer. L'arbre de la liberté dans la France révolutionnaire, le mouvement druidique gallois et les fêtes de l'Eisteddfod celtisant, le gothisme suédois du début du XIXième, la contre-culture théorisée et chantée par Grundtvig apparaissent entre les révolutions de 1789 à Paris et de 1848 à Berlin, Francfort et Vienne: ce n'est pas un hasard!</span></strong></span></p><p align="left"><span style="color: #000000;"><strong><span style="font-size: small; font-family: arial,helvetica,sans-serif;">[Synergies Européennes, Vouloir, Avril, 1998 - trad. franç. : Robert Steuckers]</span></strong></span></p>
Kurganhttp://lapres-mididesmagiciens.hautetfort.com/about.htmlJean MARKALE / Chartres et l’énigme des druidestag:lapres-mididesmagiciens.hautetfort.com,2013-04-04:50360902013-04-04T17:20:00+02:002013-04-04T17:20:00+02:00 Espace boutique : Mars et avril, mois de l'occultisme et de...
<p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><strong><span style="font-family: Verdana; color: red; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;">Espace boutique : </span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><strong></strong><span><span><span style="font-family: Verdana; color: red; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;">Mars et avril, mois de l'occultisme et de l'ésotérisme...</span></span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: medium;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="color: #000000; font-size: medium;"><strong><span style="font-family: Verdana; mso-bidi-font-size: 12.0pt;"><span style="font-size: medium;">Jean MARKALE : « Chartres et l’énigme des druides » </span></span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Verdana; color: #000000; font-size: 3pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="color: #000000;"><strong><span style="font-family: Verdana; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;">Quatrième de couverture : </span></strong></span></p><div style="widows: 2; orphans: 2; word-spacing: 0px; -webkit-text-size-adjust: auto; -webkit-text-stroke-width: 0px;"><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Verdana; color: #000000; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;">La cathédrale de Chartres est incontestablement l'un des plus beaux sanctuaires de toute la chrétienté, tant par son architecture et la richesse artistique de son ornementation, que par la valeur symbolique de son ensemble. Mais c'est surtout un sanctuaire dédié à la Vierge, et cela, semble-t-il, bien avant l'introduction du christianisme en Gaule. Quelle est donc cette mystérieuse Virgo paritura que les Druides auraient vénérée à l'emplacement même de la crypte de la cathédrale actuelle, dans une grotte ou dans un temple en plein air ? </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Verdana; color: #000000; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;">Ne serait-elle pas, cette « Notre Dame de Sous-Terre », l'image de la Mère universelle, la Déesse des Commencements, celle « sur le point d'enfanter » le monde, vers laquelle se dresse l'humanité entière, celle enfin que les chrétiens ont fini par identifier à l'Immaculée conception ? </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Verdana; color: #000000; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;">A travers la cathédrale de Chartres, haut-lieu de la dévotion mariale, mais également à travers le labyrinthe de la vieille ville, si chargée d'histoire, d'étranges voix se font entendre. Chartres n'est-elle pas située au centre de la Beauce, recouverte autrefois par une forêt immense, la forêt des Carnutes, qui, selon Jules César, abritait le plus grand sanctuaire de toute la Gaule, sanctuaire où les Druides venaient célébrer, une fois l'an, de très secrètes liturgies ? </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Verdana; color: #000000; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;">Ce qui est sûr, en tout cas, c'est qu'il existe une filiation évidente entre le culte druidique de la Déesse-Mère et le culte de la Vierge Marie, culte lié lui-même aux représentations dites de la <em>Vierge Noire</em>. Or, si Notre Dame de Chartres, comme celle du Puy-en-Velay, comme celle de Rocamadour, est une <em>Vierge Noire</em>, que recouvre donc son image mythique, surtout dans un pays marqué par la présence indélébile des Druides ? C'est à tous ces problèmes nimbés d'ombre que cet ouvrage, captivant et hautement documenté, tente de répondre, aussi bien par l'archéologie que par l'histoire, la mythologie et l'histoire des religions.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="color: #000000;"> </span></p></div><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Verdana; color: #000000; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;">France loisirs – 2007 – 317 pages – 22,5 x 14 cm – 420 grammes.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Verdana; color: #000000; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;">Etat = reliure éditeur cartonnée noire avec titre en doré sur tranche et jaquette couleur. Traces de stockage et manip’ sur jaquette, ainsi qu’un haut de tranche reliure légèrement frotté, mais rien de bien notable. Sain, propre et tout à fait bon pour le service.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Verdana; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;"><span style="font-family: Verdana; color: #000000; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;"><span style="font-family: Verdana; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;"><span style="color: #000000;">>>> <span style="text-decoration: line-through;"><strong>4,80 €uros.</strong></span></span> <span style="color: #0000ff;">/ vendu ! Temporairement indisponible.</span></span></span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"> </p><p class="MsoNormal" style="text-align: center; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Verdana; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;"><span style="font-family: Verdana; color: #000000; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;"><span style="font-family: Verdana; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;"><span style="color: #ff0000;"><img id="media-4046642" style="margin: 0.7em auto; display: block;" title="" src="http://bouquinorium.hautetfort.com/media/02/00/2321730843.jpg" alt="jean markale,chartres et l’énigme des druides,ésotérisme,paganisme,vierges noires,déesse-mère,druidisme,druides" /></span></span></span></span><span style="color: #000000;"><span style="font-size: x-small;"> </span><span style="font-family: Verdana; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;"><span style="font-size: x-small;">( Ailleurs = de 5,50 à 10 €uros sur amazon / 6,75 sur priceminister )</span> </span></span></p>
Kurganhttp://fierteseuropeennes.hautetfort.com/about.htmlL’union n’est pas l’uniformité !tag:fierteseuropeennes.hautetfort.com,2012-06-15:47528832012-06-15T15:01:00+02:002012-06-15T15:01:00+02:00 « - Crois-tu, dit le Grec, que si vous aviez gagné cette guerre, vous...
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Verdana; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;"><img id="media-3628425" style="margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://fierteseuropeennes.hautetfort.com/media/01/01/3041951894.jpg" alt="cécile guignard-vanuxem,vercingétorix,druides,citoyens,celtes,kelts,histoire,poilitique" width="130" height="162" />« - Crois-tu, dit le Grec, que si vous aviez gagné cette guerre, vous auriez fondé un véritable État, comme Rome ?</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; widows: 2; margin: 0cm 0cm 0pt; orphans: 2; word-spacing: 0px; -webkit-text-size-adjust: auto; -webkit-text-stroke-width: 0px;"><span style="font-family: Verdana; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;">Mais le druide s’esclaffe.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; widows: 2; margin: 0cm 0cm 0pt; orphans: 2; word-spacing: 0px; -webkit-text-size-adjust: auto; -webkit-text-stroke-width: 0px;"><span style="font-family: Verdana; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;">- Un État ? Comme Rome ? Quelle abomination ! Oh non, quelle épouvantable chose qu’un État ! Ce n’est pas du tout de cela que je te parle ! As-tu rencontré un seul Celte capable d’être</span><span class="apple-converted-space"><span style="font-family: Verdana; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 7.5pt;"> </span></span><em><span style="font-family: Verdana; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 7.5pt;">un citoyen</span></em><span style="font-family: Verdana; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;"> ? C’est bon pour les Grecs et les Romains, cette chose abstraite et grégaire, cette chose petite et sans couleur ! Un</span><span class="apple-converted-space"><span style="font-family: Verdana; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 7.5pt;"> </span></span><em><span style="font-family: Verdana; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 7.5pt;">citoyen</span></em><span style="font-family: Verdana; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;"> ! Cette outre pleine de vent, et toute pareille aux autres ! Un Celte qui perdrait sa couleur et sa liberté perdrait la vie ! Un pouvoir, d’accord, tant que l’on peut mettre à mort le roi qui s’en rend indigne ! Un Empire, d’accord, tant que l’on peut y dénombrer des tribus toutes différentes, avec pour chacune ses petits chefs ! Mais un État… une organisation étatique… quelle absurdité insupportable pour des hommes libres ! Quelle contrainte vide et déracinée ! Pourrions nous devenir comme les légionnaires de Rome, des fourmis toutes identiques, des fourmis serviles qui ne savent plus bien pour qui ni pourquoi elles meurent ? Sans tribu, sans roi, sans fief ? De qui est-on l’obligé quand on n’a plus de roi ? Peut-on vivre et mourir pour l’un de ces démagogues, l’un de ses fantoches en toge que l’opinion publique mène comme des marionnettes, et qui se gargarisent de leur civisme ? Et puis ce serait trahir les lois de la nature, la nature si imaginative qui a fait en sorte que personne ne marche au même pas… Donnerais-tu la même nourriture et la même loi à l’aigle, à l’ours, au loup, au cochon sauvage ? Donne à manger des glands au loup, il en mourra ! Oblige un aigle à courir dans les fourrés et ses ailes se briseront, ses serres deviendront des moignons, il ne sera plus un aigle ! L’État… Quel crime contre nature est-ce là ? Et quand on déciderait de commettre ce crime, sur quel animal ajusterait-on la conduite de tous les autres ?</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; widows: 2; margin: 0cm 0cm 0pt; orphans: 2; word-spacing: 0px; -webkit-text-size-adjust: auto; -webkit-text-stroke-width: 0px;"><span style="font-family: Verdana; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;">Non, mon ami, le prodige dont je te parle, c’est l’aigle, l’ours, le loup, le cochon, la forêt entière s’armant contre l’intrus qui la mutile et qui la broie ! Un Cadurque et un Breton combattant côte à côte, voilà la merveille ! Voila la vraie force conforme aux lois sacrées de la nature ! Mais par quelle logique absurde l’ours chercherait-il à être chien ? Mais par quelle logique absurde le Cadurque chercherait-il à être Breton ? L’union n’est pas l’uniformité ! Est-il nécessaire d’être tous identiques pour défendre la même cause, et pour combattre ensemble, de manger le même foin aux mêmes heures ? »</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; widows: 2; margin: 0cm 0cm 0pt; orphans: 2; word-spacing: 0px; -webkit-text-size-adjust: auto; -webkit-text-stroke-width: 0px;"><span style="font-family: Verdana; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Verdana; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;"><strong>Cécile Guignard-Vanuxem</strong> : « </span><em><span style="font-style: normal; font-family: Verdana; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 7.5pt;">Vercingétorix, le défi des druides. »</span></em></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Verdana; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;">Editions Cheminements.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Verdana; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Verdana; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; mso-fareast-font-family: 'Times New Roman'; mso-bidi-font-family: 'Times New Roman'; mso-ansi-language: FR; mso-fareast-language: FR; mso-bidi-language: AR-SA;">Note empruntée à : <a href="http://lecheminsouslesbuis.wordpress.com/">http://lecheminsouslesbuis.wordpress.com/</a></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"> </p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"> </p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Verdana; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; mso-fareast-font-family: 'Times New Roman'; mso-bidi-font-family: 'Times New Roman'; mso-ansi-language: FR; mso-fareast-language: FR; mso-bidi-language: AR-SA;"><iframe width="502" height="274" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" src="http://www.youtube.com/embed/fIlG8Sjlv-w?rel=0" frameborder="0" allowfullscreen=""></iframe></span></p>
Kurganhttp://bouquinorium.hautetfort.com/about.htmlMARKALE - Chartres et l’énigme des druidestag:bouquinorium.hautetfort.com,2012-03-07:46288892012-03-07T23:49:00+01:002012-03-07T23:49:00+01:00 Jean MARKALE : « Chartres et l’énigme des druides »...
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: medium;"><strong><span style="font-family: Verdana; mso-bidi-font-size: 12.0pt;">Jean MARKALE : « Chartres et l’énigme des druides » </span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Verdana; font-size: 3pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><strong><span style="font-family: Verdana; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;">Quatrième de couverture : </span></strong></p><div style="widows: 2; orphans: 2; word-spacing: 0px; -webkit-text-size-adjust: auto; -webkit-text-stroke-width: 0px;"><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Verdana; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;">La cathédrale de Chartres est incontestablement l'un des plus beaux sanctuaires de toute la chrétienté, tant par son architecture et la richesse artistique de son ornementation, que par la valeur symbolique de son ensemble. Mais c'est surtout un sanctuaire dédié à la Vierge, et cela, semble-t-il, bien avant l'introduction du christianisme en Gaule. Quelle est donc cette mystérieuse Virgo paritura que les Druides auraient vénérée à l'emplacement même de la crypte de la cathédrale actuelle, dans une grotte ou dans un temple en plein air ? </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Verdana; color: black; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;">Ne serait-elle pas, cette « Notre Dame de Sous-Terre », l'image de la Mère universelle, la Déesse des Commencements, celle « sur le point d'enfanter » le monde, vers laquelle se dresse l'humanité entière, celle enfin que les chrétiens ont fini par identifier à l'Immaculée conception ? </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Verdana; color: black; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;">A travers la cathédrale de Chartres, haut-lieu de la dévotion mariale, mais également à travers le labyrinthe de la vieille ville, si chargée d'histoire, d'étranges voix se font entendre. Chartres n'est-elle pas située au centre de la Beauce, recouverte autrefois par une forêt immense, la forêt des Carnutes, qui, selon Jules César, abritait le plus grand sanctuaire de toute la Gaule, sanctuaire où les Druides venaient célébrer, une fois l'an, de très secrètes liturgies ? </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Verdana; color: black; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;">Ce qui est sûr, en tout cas, c'est qu'il existe une filiation évidente entre le culte druidique de la Déesse-Mère et le culte de la Vierge Marie, culte lié lui-même aux représentations dites de la <em>Vierge Noire</em>. Or, si Notre Dame de Chartres, comme celle du Puy-en-Velay, comme celle de Rocamadour, est une <em>Vierge Noire</em>, que recouvre donc son image mythique, surtout dans un pays marqué par la présence indélébile des Druides ? C'est à tous ces problèmes nimbés d'ombre que cet ouvrage, captivant et hautement documenté, tente de répondre, aussi bien par l'archéologie que par l'histoire, la mythologie et l'histoire des religions.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"> </p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Verdana; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;">France Loisirs – 2007 – 317 pages.</span></p></div><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Verdana; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;">22,5 x 14 cms / 420 grammes.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Verdana; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;">Reliure cartonnée recouverte d’un tissu noir.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Verdana; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;">Titres en doré sur tranche et jaquette couleurs.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Verdana; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;">Quelques petites traces de manip' sur la jaquette sans quoi comme neuf ! </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Verdana; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;">>>> <span style="text-decoration: line-through;"><strong>5 €uros.</strong></span> <span style="color: #0000ff;">/ Vendu ! Temporairement indisponible.</span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"> </p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Verdana; color: #000000; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;"><span style="color: #ff0000;"><span style="color: #000000;">Avril 2013 /</span></span> <span style="color: #ff0000;"><strong>Retour en stock</strong></span><span style="color: #ff0000;"> <span style="color: #000000;">d'un exemplaire :</span></span> ( celui de la photo )</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Verdana; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;">France loisirs – 2007 – 317 pages – 22,5 x 14 cm – 420 grammes.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Verdana; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;">Etat = reliure éditeur cartonnée noire avec titre en doré sur tranche et jaquette couleur. Traces de stockage et manip’ sur jaquette, ainsi qu’un haut de tranche reliure légèrement frotté, mais rien de bien notable. Sain, propre et tout à fait bon pour le service.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Verdana; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;"><span style="font-family: Verdana; color: #000000; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;"><span style="font-family: Verdana; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;">>>> <span style="text-decoration: line-through;"><strong>4,80 €uros.</strong></span> <span style="color: #0000ff;">/ Vendu ! Temporairement indisponible.</span></span></span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"> </p><p class="MsoNormal" style="text-align: center; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Verdana; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;"><span style="font-family: Verdana; color: #000000; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;"><span style="font-family: Verdana; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;"><span style="color: #ff0000;"><img id="media-4046642" style="margin: 0.7em auto; display: block;" title="" src="http://bouquinorium.hautetfort.com/media/02/00/2321730843.jpg" alt="jean markale,chartres et l’énigme des druides,ésotérisme,paganisme,vierges noires,déesse-mère,druidisme,druides" /></span></span></span></span><span style="font-size: x-small;"> </span><span style="font-family: Verdana; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;"><span style="font-size: x-small;">( Ailleurs = de 5,50 à 10 €uros sur amazon / 6,75 sur priceminister )</span> </span></p>