Last posts on discussion2024-03-28T13:29:24+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://www.hautetfort.com/https://www.hautetfort.com/explore/posts/tag/discussion/atom.xmlChristian COTTET-EMARDhttp://cottetemard.hautetfort.com/about.htmlCarnet / Dix ans sur les réseaux sociaux : mon bilan provisoire. tag:cottetemard.hautetfort.com,2023-01-16:64226872023-01-16T15:23:00+01:002023-01-16T15:23:00+01:00 Il m’est utile, en ce début d’année, de faire le point sur mon expérience...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6417120" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://cottetemard.hautetfort.com/media/01/01/3914610565.jpg" alt="réseaux sociaux,facebook,internet,toile,web,blogs,promotion littéraire,politique,discussion,débat,polémique,dialogue,échange,société,médias,blog littéraire de christian cottet-emard,édition,publication,carnet,notes,journal,christian cottet-emard,articles,presse,radio,radios libres,modulation de fréquence,bande fm,ondes,christian cottet-emard,expérience médias" />Il m’est utile, en ce début d’année, de faire le point sur mon expérience des réseaux sociaux, notamment Facebook où je suis inscrit et actif depuis 2013. L’idée à l’origine de mon inscription était d’établir un lien permanent avec mon blog créé en 2005 afin d’augmenter sa visibilité par l’interaction entre les publications sur les deux supports, ce qui s’avéra efficace. </span></p><p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Petits malentendus sans importance</span></strong></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">J’ai commencé à utiliser internet, en particulier le circuit des blogs, pour promouvoir mon activité littéraire en priorité. L’extension à Facebook n’était au début que la continuité de ce processus. Dans un second temps, j’ai ouvert cet espace toujours principalement dédié à la littérature à des interventions plus politiques, ce qui m’a amené à un constat amusant : les personnes qui se sont au début rapidement ajoutées en nombre à ma liste de contacts étant en majorité issues de la gauche culturelle parce qu’elles me croyaient de leur bord en raison de mon activité littéraire ont été surprises ou déçues de mes positionnements politiques (je précise que je ne suis inscrit à aucun parti même si le sinistre épisode du passeport vaccinal m’a rapproché de certains d’entre eux). Parmi ces gens, quelques-uns m’ont fait part directement de cet étonnement et de cette déception, en un mot de leurs reproches auxquels je n’accorde évidemment aucune importance. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Je m’attendais donc à voir ma liste de contacts rapidement et drastiquement réduites mais rien de tel ne se produisit. Au contraire, je gagnai même en diversité d’opinions et de personnalités. Il y eut certes quelques rares départs (rapidement compensés par de nouveaux arrivants) mais je serais bien incapable de les identifier. À partir d’un certain nombre de contacts, dès qu’on arrive à plusieurs centaines, on peut difficilement savoir qui s’en va, sauf s’il s’agit de personnes proches et très actives sur vos pages.</span></p><p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Une expérience inédite</span></strong></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Contrairement à ceux qui sous-estiment la portée et l’intérêt des réseaux sociaux par réflexe corporatiste (les journalistes encartés, j’allais dire officiels mais ceci est en train de devenir un pléonasme dans une presse largement subventionnée), par dédain relevant souvent du mandarinat (de nombreux universitaires — on se souvient du raccourci entre le comptoir de bistrot et internet de feu Umberto Eco, intellectuel pourtant brillant mais pas à l’abri des réductions hâtives et à l’évidence peu documentées), par crainte voire panique (les politiques et les responsables d’organisations syndicales qui perdent le contrôle de leurs sympathisants et adhérents), je considère quant à moi ces réseaux sociaux comme des médias à part entière, comme un phénomène de société extrêmement important et comme une expérience d’auteur totalement inédite dans l’histoire de la publication et des rapports entre auteurs et éditeurs. Petite parenthèse, j’ai la même analyse en ce qui concerne les plateformes d’édition personnelle (notamment celle d’Amazon que je considère comme la meilleure) parce qu’elles suscitent aussi la condescendance et la crainte des maisons d’édition et de tous les représentants de la bien nommée « chaîne du livre » , tous ces détenteurs de monopoles ayant bien compris la concurrence redoutable déjà à l’œuvre à leur encontre.</span></p><p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Pourquoi pratiquer les réseaux sociaux ? …</span></strong></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Revenons essentiellement aux réseaux sociaux. Comme tous les outils, les résultats dépendent de la manière dont on s’en sert et surtout du but recherché. Personnellement, je n’y suis pas forcément pour me faire des amis mais pour informer le public de mes activités littéraires et bien sûr de la parution de mes livres. Dans le domaine politique, je n’y suis pas non plus pour convaincre la foule d’individus qui ne pensent pas comme moi (ni bien sûr pour être convaincu par eux) mais pour contribuer à l’existence d’un débat contradictoire qui ne s’exerce plus dans la majorité des grands médias, le véritable objectif étant plutôt de m’adresser aux indécis, à ceux qui cherchent à se faire eux-mêmes une opinion au spectacle (c’en est un) des contradictions, des disputes voire des affrontements entre interlocuteurs et adversaires.</span></p><p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">… Et pourquoi y rester ? </span></strong></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">C’est sur ce dernier plan que j’entame désormais une réflexion sur ma pratique actuelle des réseaux sociaux, surtout Facebook qui est celui où l’on argumente et écrit encore. Avant de m’expliquer sur ce point précis, je rappelle que je distingue trois phases dans l’évolution du comportement sur Facebook : celle des débuts, la première, où l’on se regroupe, la seconde où l’on dialogue, où l’on échange, et puis la troisième, celle où l’on renonce aux deux premières en se contentant de tenir sa position. À ce stade, pourquoi rester ? </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">La question se pose d’autant plus lorsqu’on se retrouve, comme moi, avec une liste de contacts aux trois quarts constituée de personnes avec qui l’on est si peu d’accord que l’on s’en tient désormais à un silence prudent, à une sorte de réserve plus ou moins hostile qui finira un jour ou l’autre par une radiation de la liste de contacts ou, de manière plus sournoise, par l’utilisation de quelques procédures techniques offertes par Facebook pour, en toute discrétion, exclure quelqu’un ou s’exclure soi-même pour éviter ainsi de « virer » brutalement ou de partir en claquant la porte. On peut par exemple configurer pour cesser de voir les publications de quelqu’un en les masquant provisoirement pendant un certain temps. On peut sélectionner les personnes de la liste de contacts qui pourront voir ou non ce que vous publiez sans que ces gens s’en rendent compte. Il m’arrive (certes rarement) de procéder ainsi ; et j’imagine bien qu’on puisse me réserver le même traitement. Personnellement, je « vire » très rarement car je préfère que le « ménage » se fasse tout seul. Parvenir à ce stade de réflexion indique-t-il que les limites de l’outil du réseau social sont atteintes ? Peut-être.</span></p><p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Des ondes à la toile : espoirs, déceptions et limites</span></strong></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Cette éventualité me ramène à une de mes anciennes expériences médiatiques, celle liée à la fin du monopole d’État de diffusion sur la bande FM en 1981, un événement vécu comme un progrès considérable grâce auquel les radios pirates devinrent des radios libres. La mesure semblait ouvrir de belles et vastes perspectives propices à la démocratisation de la culture, à la liberté d’expression, au débat, à la créativité, à l’échange social, à la vie associative, autant de bienfaits qui décidèrent le jeune homme de vingt-deux ans que j’étais à m’investir en produisant et en animant assez longtemps des émissions culturelles hebdomadaires. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Hélas, la déception se révéla à la mesure des espoirs suscités, la plupart des radios libres à véritable contenu rédactionnel ayant peu à peu dérivé vers l’adoption de programmes stéréotypés pour finir par se faire supplanter par des radios essentiellement commerciales du genre de celles qu’on entend désormais déverser leurs décibels, leur matraquage publicitaire, leurs rengaines débiles et leur musique d’ascenseur dans les supermarchés et les salons de coiffure. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Mettre à disposition des populations un puissant outil d’expression et de communication ne signifie pas que ces mêmes populations aient forcément le désir de s’en emparer ou d’en faire un usage créatif. Des ondes à la toile, à plus de quarante ans d’intervalle, l’histoire semble vouloir se répéter…</span></p><p><a title="WebAnalytics" href="http://www.xiti.com/xiti.asp?s=563914" target="_top"><script type="text/javascript"> <!--Xt_param = 's=563914&p=page_ du_ jour';try {Xt_r = top.document.referrer;}catch(e) {Xt_r = document.referrer; }Xt_h = new Date();Xt_i = '<img width="39" height="25" border="0" alt="" ';Xt_i += 'src="http://logv4.xiti.com/hit.xiti?'+Xt_param;Xt_i += '&hl='+Xt_h.getHours()+'x'+Xt_h.getMinutes()+'x'+Xt_h.getSeconds();if(parseFloat(navigator.appVersion)>=4){Xt_s=screen;Xt_i+='&r='+Xt_s.width+'x'+Xt_s.height+'x'+Xt_s.pixelDepth+'x'+Xt_s.colorDepth;}document.write(Xt_i+'&ref='+Xt_r.replace(/[<>"]/g, '').replace(/&/g, '$')+'" title="Internet Audience">');//--></script><noscript>Mesure d'audience ROI statistique webanalytics par <img width="39" height="25" src="http://logv4.xiti.com/hit.xiti?s=563914&p=page_du_jour" alt="WebAnalytics" /></noscript></a></p>
MILIQUEhttp://aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com/about.htmlSÉMAPHORE NOCTURNE 3tag:aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com,2017-09-26:59753412017-09-26T08:33:00+02:002017-09-26T08:33:00+02:00 A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste...
<p style="text-align: center;"><img id="media-5676164" style="margin: 0.7em 0px;" title="" src="http://aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com/media/00/01/524056980.jpg" alt=" magma present de l'ecriture," /></p><p style="page-break-before: always;" align="CENTER"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="color: #0000ff;"><span style="font-family: Arial Black,sans-serif;">A l'attention des multiples lecteurs</span></span></strong> </span><strong><span style="color: #0000ff;"><span style="font-family: Arial Black,sans-serif;"><span style="font-size: 12pt;">qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.</span><br /><span style="font-size: 12pt;">Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...</span> </span></span></strong></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 18pt; color: #008000;"><strong>SÉMAPHORE NOCTURNE</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 18pt; color: #008000;"><strong>3<br /></strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,sans-serif;"><strong>S'agit-il là d'une nouvelle utopie planétaire se déroulant dans un univers étrange et en même temps, terriblement familier? </strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,sans-serif;"><strong>D'une histoire d'adolescents au présent dérisoire, en marge, insatisfaite parce que déformée par la réalité quotidienne? </strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,sans-serif;"><strong>Sous sa plume ils deviendront, peut-être, des agitateurs contestataires dans l'immense frustration de mélodies déglinguées. </strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,sans-serif;"><strong>Ce sera celle émise sans discrétion à l'aune d'un jeu cérébral à l'esthétisme baroque, au contenu violent, émotionnel et hautement philosophique?</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,sans-serif;"><strong>Je profite de l'instant où l'homme se sert un nouveau verre de nectar enchanteur, où il rallume aussi, avec une précision appliquée, la pipe qui jusque-là brasillait en répandant d’innombrables volutes aux exhalaisons voluptueuses, pour m'approcher davantage de cette embrasure expansive aux irrésistibles attraits.</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,sans-serif;"><strong> Protégé par l'épaisse obscurité, je crois humer toute la fragrance de l'encre présente en ce lieu. </strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,sans-serif;"><strong>Et l'évidence des mots et des phrases qu'elle trace donne de l'expression à l'espace et s'impose à moi.</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,sans-serif;"><strong>(A SUIVRE...)</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,sans-serif;"><strong>P. MILIQUE</strong></span></p>
ulm occasionshttp://www.vf-aero.com/about.htmlAprès un bon BBQ , rien de tel qu'une bonne marche ...tag:www.vf-aero.com,2017-07-17:59637552017-07-17T10:49:59+02:002017-07-17T10:49:59+02:00 La météo fut bonne pour le BBQ de ce 15 Juillet 2017 sur l'airpark de...
<p>La météo fut bonne pour le BBQ de ce 15 Juillet 2017 sur l'airpark de Verchocq durant lequel j'ai pu voir ou revoir et même rencontrer quelques connaissances que je remercie de leurs venues sympathiques en vol ou par la voie terrestre .</p><p style="text-align: center;"><a href="http://www.vf-aero.com/media/01/01/3484855246.jpg" target="_blank" rel="noopener noreferrer"><img id="media-5660743" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://www.vf-aero.com/media/01/01/3094443692.jpg" alt="Bebop2_20170715144908+0200.jpg" /></a></p><p style="text-align: center;"><a href="http://www.vf-aero.com/media/02/02/2808053964.jpg" target="_blank" rel="noopener noreferrer"><img id="media-5660744" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://www.vf-aero.com/media/02/02/2217728392.jpg" alt="Bebop2_20170715144842+0200.jpg" /></a></p><p style="text-align: left;">Un BBQ du midi qui s'est terminé tard le soir après le départ des convives autour d'une table avec les amis les moins fatigués , à siroter du lait de poule Vodka ou du Baileys ... </p><p style="text-align: left;">Les calories se sont donc accumulées et une petite marche d'une heure Dimanche matin, après quelques grands verres d'eau et avant de petit-déjeuner , m'a fait le plus grand bien même si le résultat n'est pas des meilleurs ...</p><p style="text-align: center;"><a href="http://www.vf-aero.com/media/01/01/4039349490.JPG" target="_blank" rel="noopener noreferrer"><img id="media-5660760" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://www.vf-aero.com/media/01/01/956174569.JPG" alt="Capture20170717.JPG" /></a></p><p style="text-align: left;">Bref , Il faut reprendre le rythme ...</p><p style="text-align: left;">Bons vols et à la prochaine .</p><p style="text-align: left;">François .</p>
J.-P. Chauvinhttp://jean-philippechauvin.hautetfort.com/about.htmlUn royaliste face à l'élection présidentielle du printemps prochain.tag:jean-philippechauvin.hautetfort.com,2017-01-02:58937712017-01-02T13:52:20+01:002017-01-02T13:52:20+01:00 L'année 2017 est à peine commencée que le combat des chefs présidentiel a...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: Verdana;">L'année 2017 est à peine commencée que le combat des chefs présidentiel a repris, en prévision du printemps électoral qui verra l'un des postulants s'emparer du palais de l'Elysée pour y prendre ses quartiers durant le prochain quinquennat. La Gauche prépare sa primaire de janvier que les enquêtes d'opinion annoncent favorable à M. Valls (mais la prudence s'impose dans les pronostics), tandis que la Droite se range derrière M. Fillon qui a déjà perdu une bataille dans l'opinion publique, celle de la Sécurité sociale, et qui s'apprête à en perdre d'autres s'il s'entête à se vouloir thatchérien ou à promouvoir le projet d'aéroport Vinci à Notre-Dame-des-Landes, entre autres. Quant aux candidats périphériques, ils manœuvrent pour ne pas se faire oublier des médias, avec des succès fort variés : quand M. Mélenchon et Mme Le Pen peuvent espérer jouer un rôle important, au moins de nuisance envers le « Système », et qu'ils sont reconnus comme tels, voire valorisés ainsi par les journalistes, MM. Dupont-Aignan et Jadot, Mme Rama Yade et quelques autres, sont boudés par la presse et n'ont guère désormais de visibilité, alors même que leurs discours apparaissent plus libres car moins gênés par la perspective d'une victoire et qu'ils soulèvent parfois de vrais débats aujourd'hui négligés, à tort, par les grands partis institutionnels. M. Macron, lui, n'est pas encore totalement identifié au sens idéologique du terme, et les politologues ne savent pas encore s'il n'est qu'une « bulle » qui éclatera en arrivant à la surface, au moment de la « vraie » campagne, ou s'il dispose d'un terreau électoral qu'il pourrait faire fructifier au printemps sans rester au niveau des pâquerettes...</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: Verdana;"> </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: Verdana;">Cette élection prochaine est passionnante parce qu'elle semble, à ce jour, très ouverte et qu'elle sera, peut-être, l'occasion de vrais débats (au moins un temps) avant que les appareils partisans ne reprennent les choses en main, préparant le coup d'après, ces élections législatives de juin qui, elles aussi, décideront de la plus ou moins grande latitude d'action et de décision du nouveau Chef de l’État.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: Verdana;"> </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: Verdana;">Le royaliste que je suis n'est pas un exilé de l'intérieur, et je me refuse à détourner les yeux et les oreilles du spectacle politique parce que celui-ci serait, de toute façon, de piètre qualité et que la République est un régime qui m'apparaît fort néfaste pour le pays et sa pérennité. Etre royaliste ne signifie pas se retirer dans une tour d'ivoire et attendre la catastrophe finale en maugréant « Je vous l'avais bien dit... » ! Non, être royaliste impose de tout faire pour « éviter le pire et promouvoir le moins pire » : les débats que la République propose ou impose méritent d'être abordés, voire complétés et même débordés, et je ne laisserai pas aux républicains le monopole de la parole et de la réflexion, bien au contraire. Je suis à l'aise dans les débats républicains parce que, justement, je ne suis pas républicain et que, du coup, je suis d'autant plus libre pour aller au-delà des arrangements politiciens ou des clivages partisans. Discuter avec des hommes et femmes de gauche ou de droite, ou même des extrêmes et des marges, ne me fait pas peur, et je n'exclus personne de la discussion, même pas les pires, car cela serait leur donner des raisons supplémentaires de cultiver l'exclusion, eux-mêmes pouvant arguer de leur propre mise à l'écart pour vanter leur exclusivisme... Certains se souviennent comment, étudiant monarchiste à Rennes, je n'hésitais pas à me rendre à des réunions anarchistes ou extrémistes de tous les bords pour débattre et proposer : cela était parfois houleux et même dangereux, mais cela « était », tout simplement, et j'ai toujours rappelé que ma devise personnelle m'obligeait : « la liberté, ça ne se renifle pas : ça se respire ».</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: Verdana;"> </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: Verdana;">Dans cette période électorale, je lis tous les programmes (autant que faire se peut), et j'écoute les analyses, attentif aux enjeux et aux perspectives. Je ne suis pas neutre, bien sûr, et mon royalisme est « principiel » dans mon appréhension des idées et des projets : c'est pour cela que j'ai, avec l'aide de mes amis du Groupe d'Action Royaliste, lancé cette nouvelle enquête sur la Monarchie et que je participe sur la toile, dans les lieux de sociabilité rennais, bretons, parisiens ou versaillais (entre autres) ou dans les réunions des uns ou des autres, à toutes les discussions possibles, même si le temps disponible réduit parfois mes ambitions... </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: Verdana;"> </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: Verdana;">2017 s'annonce à la fois comme une année dure et passionnante : il s'agira, en ces temps de « mondialisation discutée » et d'incertitudes économiques et politiques, de promouvoir l'idée-force d'une Monarchie « traditionnelle dans ses principes, moderne dans ses pratiques » : non par esthétisme ou provocation, ni par dilettantisme intellectuel ou par romantisme, mais par nécessité et volonté de servir, encore et toujours, une France dont, comme le signalait le catholique éminemment royaliste Georges Bernanos, le monde a besoin...</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: Verdana;"> </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: Verdana;"> </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"> </span></p>
MILIQUEhttp://aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com/about.htmlUN AVENIR A NOUVEAU LUMINEUX 10tag:aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com,2016-12-17:58801652016-12-17T09:14:00+01:002016-12-17T09:14:00+01:00 A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va...
<p style="text-align: center;"><img id="media-5497832" style="margin: 0.7em 0px;" title="" src="http://aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com/media/02/00/292481516.jpg" alt="au magma présent de l'écriture," /></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 12pt; color: #0000ff;"><strong>A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.</strong></span><br /><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 12pt; color: #0000ff;"><strong>Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...</strong> </span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 18pt; color: #008000;"><strong>UN AVENIR A NOUVEAU LUMINEUX</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 18pt; color: #008000;"><strong> 10</strong></span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 14pt;"><strong><span style="color: #000000;">A vivre à tes côtés, je ne pouvais que savoir.<br clear="none" />Toutes les discussions, tous les doutes, tous les moments de désespoir, de fatigue, d'espoir de rémission, de lassitude, de souffrance, de guérison attendue et de retour à la vie, je peux et je veux les partager avec toi.</span></strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 14pt;"><strong><span style="color: #000000;"><br clear="none" />Avec toi je veux assumer l'extrême pénibilité de l'événement.<br clear="none" />Je veux être à tes côtés pour combattre avec toi les douleurs physiques et psychiques qui se dérouleront peut-être en de multiples versions plus aliénantes les unes que les autres.<br clear="none" />Qu'elles se fassent parfois, à l'infime du jour, feutrées, violentes, obsédantes, brutales, chroniques, intenses, profondes, intolérables, diffuses ou atroces, quelles que soit leur singularité, je veux être là, à leur côté, pour tenter d'alléger son fardeau qui te contraint.<br clear="none" />Simplement parce que cette place-là est la mienne.</span></strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 14pt;"><strong><span style="color: #000000;">(A SUIVRE...)</span></strong></span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 14pt;"><strong><span style="color: #000000;">P. MILIQUE</span></strong></span></p>
Kralyhttp://lessongesdunenuit.hautetfort.com/about.htmlTraité Transaltantique...tag:lessongesdunenuit.hautetfort.com,2015-12-06:57264892015-12-06T05:00:00+01:002015-12-06T05:00:00+01:00
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Kralyhttp://lessongesdunenuit.hautetfort.com/about.htmlH. Guillemin parle de Rousseau... (2)tag:lessongesdunenuit.hautetfort.com,2014-09-20:54511812014-09-20T08:30:53+02:002014-09-20T08:30:53+02:00
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Littérature de partouthttp://litteraturedepartout.hautetfort.com/about.htmlLouis Scutenaire, Mes inscriptionstag:litteraturedepartout.hautetfort.com,2014-09-13:54454902014-09-13T05:00:00+02:002014-09-13T05:00:00+02:00 ...
<p style="text-align: center;"> <img id="media-4686791" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://litteraturedepartout.hautetfort.com/media/01/00/3716306591.10.jpg" alt="imgres.jpg" /></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"><span style="mso-spacerun: yes;"> </span>À quoi sert-il d'écrire un poème, d'achever un blessé, de bâtir une cabane ?</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"><span style="mso-spacerun: yes;"> </span>À écrire un poème, achever un blessé, bâtir une cabane.</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"><span style="mso-spacerun: yes;"> </span><span style="mso-spacerun: yes;"> </span>S'il vous plaît de vraiment gagner, ne réfutez point, parlez d'autre chose.</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"><span style="mso-spacerun: yes;"> </span>Je n'ai jamais désiré voir construire les grands monuments, sauf peut-être, et sur la foi des vieux graveurs, la tour de Babel. </span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Le misanthrope est celui qui reproche aux hommes d'être ce qu'il est.</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Un pot de chambre — « le vase de nuit » — est poétique au même titre qu'un buisson au printemps. Le tout est de savoir s'utiliser et d'être libre.</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">En brisant ou détournant les règles d'un jeu, vous ne trouvez qu'un autre jeu.</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></p><p><!--[if gte mso 9]><xml> <o:OfficeDocumentSettings> <o:AllowPNG/> </o:OfficeDocumentSettings></xml><![endif]--><!--[if gte mso 9]><xml> <w:WordDocument> <w:Zoom>0</w:Zoom> <w:TrackMoves>false</w:TrackMoves> <w:TrackFormatting/> <w:HyphenationZone>21</w:HyphenationZone> <w:PunctuationKerning/> <w:DrawingGridHorizontalSpacing>18 pt</w:DrawingGridHorizontalSpacing> <w:DrawingGridVerticalSpacing>18 pt</w:DrawingGridVerticalSpacing> <w:DisplayHorizontalDrawingGridEvery>0</w:DisplayHorizontalDrawingGridEvery> <w:DisplayVerticalDrawingGridEvery>0</w:DisplayVerticalDrawingGridEvery> <w:ValidateAgainstSchemas/> <w:SaveIfXMLInvalid>false</w:SaveIfXMLInvalid> <w:IgnoreMixedContent>false</w:IgnoreMixedContent> <w:AlwaysShowPlaceholderText>false</w:AlwaysShowPlaceholderText> <w:Compatibility> <w:BreakWrappedTables/> <w:DontGrowAutofit/> <w:DontAutofitConstrainedTables/> <w:DontVertAlignInTxbx/> </w:Compatibility> </w:WordDocument></xml><![endif]--><!--[if gte mso 9]><xml> <w:LatentStyles DefLockedState="false" LatentStyleCount="276"> </w:LatentStyles></xml><![endif]--> <!--[if gte mso 10]><style> /* Style Definitions */table.MsoNormalTable{mso-style-name:"Tableau Normal";mso-tstyle-rowband-size:0;mso-tstyle-colband-size:0;mso-style-noshow:yes;mso-style-parent:"";mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt;mso-para-margin:0cm;mso-para-margin-bottom:.0001pt;mso-pagination:widow-orphan;font-size:12.0pt;font-family:"Times New Roman";mso-ascii-font-family:Cambria;mso-ascii-theme-font:minor-latin;mso-fareast-font-family:"Times New Roman";mso-fareast-theme-font:minor-fareast;mso-hansi-font-family:Cambria;mso-hansi-theme-font:minor-latin;}</style><![endif]--> <!--StartFragment--> <!--EndFragment--></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville; color: blue;">Louis Scutenaire, <em style="mso-bidi-font-style: normal;">Mes inscriptions</em>, éditions Labor, 1990, p. 204, 210, 216, 233, 238, 260.</span></p>
Agence Mézenc Informationhttp://mezenc-actualites.hautetfort.com/about.htmlCinémapéros (Le Chambon-sur-Lignon, Haute-Loire)tag:mezenc-actualites.hautetfort.com,2014-07-23:54157472014-07-23T16:23:00+02:002014-07-23T16:23:00+02:00 L’Espace d'Art Contemporain Les Roches (43400 Le Chambon-sur-Lignon)...
<p class="MsoNormal"><span style="mso-ansi-language: FR;">L’Espace d'Art Contemporain Les Roches (43400 Le Chambon-sur-Lignon) propose c<span style="color: #333333;">haque mardi à 19 h, du 22 juillet au 12 août, un court-métrage. </span></span><span style="color: #333333;" lang="ES-BO">La séance est suivie de discussions autour d’un apéritif.</span></p><p class="MsoNormal"><span lang="ES-BO"><br /> Mardi 22 juillet à 19h, <em><span style="color: black;">Adrift</span></em><span style="color: black;"> de <strong>Frederik Depickere</strong> (2012,08 min)<br /></span></span><span style="color: #262626;" lang="ES-BO">Un réfugié venu de nulle part erre sans but ni direction 150 kilomètres au-dessus du cercle Arctique.</span><span style="color: #333333; mso-ansi-language: FR;"> </span></p><p class="MsoNormal"><span style="mso-ansi-language: FR;">Mardi 29 juillet à 19h, <em><span style="color: black;">Quand passe le train</span></em><span style="color: black;"> de <strong>Jérémie Reichenbach</strong> (2013, 30 min)<br /></span></span><span style="color: #262626;" lang="ES-BO">La Patrona, Mexique. À chaque passe d’un train de migrants, l’épicière Norma et ses amies se précipitent pour leur fournir des vivres à la volée. </span></p><p class="MsoNormal"><span style="mso-ansi-language: FR;">Mardi 5 août à 19h<span style="color: #333333;"> <em>Il Capo </em>de <strong>Yuri Ancarani </strong>(2010, 15 min)<br /></span></span><span style="color: #262626;" lang="ES-BO">Une merveilleuse langue des signes s’est créée entre l’homme et la machine dans les carrières de marbre de Carrare, situées en Italie, au nord-ouest de la Toscane. Dans un paysage irréel aux allures de science fiction, un homme dirige un bras mécanique vers le marbre qui est sur le point de se désintégrer en plusieurs blocs. Le vacarme à Carrare doit être véritablement assourdissant mais le son du film a été filtré de telle sorte que toute notre attention soit concentrée sur les mouvements de l’homme et du bras mécanique. La caméra est placée de manière à ce que les mâchoires du bras semblent plus grosses que les rochers à l’arrière-plan. Mais finalement ce sont les rochers qui reprennent le contrôle, emplissant totalement l’écran. Et cette fois, l’homme qui dirige n’est plus là.</span></p><p class="MsoNormal"><span lang="ES-BO">Mardi 12 août à 19h, <em><span style="color: black;">Le pont sur la Drina</span></em><span style="color: black;"> de <strong>Xavier Lukomski</strong> (2005, 18mn)<br /></span></span><span style="color: #262626;" lang="ES-BO">Visegrad est une ville de Bosnie orientale, avec un pont. Un pont symbolique et majestueux. Un pont rendu célèbre par le roman d’Ivo Andric. Un pont comme un emblème, comme un pilori, comme un mausolée… Comme un témoignage.</span></p><p class="MsoNormal"><span style="color: #333333;" lang="ES-BO">Plus d'infos sur :<br /></span><a href="http://www.eaclesroches.com/cinemaperos/" target="_blank"><span style="color: #333333;" lang="ES-BO">http://www.eaclesroches.com/cinemaperos/</span></a></p>
J.-P. Chauvinhttp://jean-philippechauvin.hautetfort.com/about.htmlDiscussion politique à Mayenne.tag:jean-philippechauvin.hautetfort.com,2014-02-27:53093552014-02-27T09:02:00+01:002014-02-27T09:02:00+01:00 Normal 0 21 MicrosoftInternetExplorer4...
<p><!--[if gte mso 9]><xml> <w:WordDocument> <w:View>Normal</w:View> <w:Zoom>0</w:Zoom> <w:HyphenationZone>21</w:HyphenationZone> <w:Compatibility> <w:BreakWrappedTables/> <w:SnapToGridInCell/> <w:WrapTextWithPunct/> <w:UseAsianBreakRules/> </w:Compatibility> <w:BrowserLevel>MicrosoftInternetExplorer4</w:BrowserLevel> </w:WordDocument></xml><![endif]--></p><p><!--[if gte mso 10]><style> /* Style Definitions */ table.MsoNormalTable{mso-style-name:"Tableau Normal";mso-tstyle-rowband-size:0;mso-tstyle-colband-size:0;mso-style-noshow:yes;mso-style-parent:"";mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt;mso-para-margin:0cm;mso-para-margin-bottom:.0001pt;mso-pagination:widow-orphan;font-size:10.0pt;font-family:"Times New Roman";}</style><![endif]--></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 11.0pt; font-family: Verdana;">Alors que je traversais mardi dernier la ville de Mayenne, dans le département du même nom, je remarquais soudain un jeune homme qui semblait courir derrière ma voiture tandis que je cherchais à me garer pour me reposer un peu d’une route longue et rendue fatigante par des conditions météorologiques peu favorables : en fait, ayant aperçu la décoration éminemment royaliste de la vitre arrière de ma « roycomobile », il voulait juste discuter avec moi quelques instants de politique, ce que j’acceptais bien volontiers. </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 11.0pt; font-family: Verdana;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 11.0pt; font-family: Verdana;">Notre courte discussion a d’abord porté sur le « pourquoi » de mon royalisme et de la monarchie : j’ai essayé de résumer ma pensée en quelques mots, soulignant que <strong>la monarchie était la condition des libertés publiques et particulièrement régionales</strong>, m’appuyant sur tout le bénéfice que, par exemple, la Bretagne pourrait tirer de l’existence d’un <strong>État royal, sorte de trait d’union (et symbole arbitral d’unité) entre les provinces reconstituées de France et garant de « l’autonomie » de celles-ci</strong>. J’aurai pu ajouter que cette conception d’une <strong>monarchie « libertale »</strong>, c’est-à-dire d’une Autorité laissant aux provinces la liberté, le soin de s’organiser et de s’administrer elles-mêmes, avec leurs spécificités et leurs institutions propres, n’est pas un retour en arrière mais <strong>la reconnaissance ordonnée d’une demande forte (et bien actuelle !) des populations pour une plus grande proximité des pôles de décision et l’application d’une forme de démocratie locale</strong> plus directe sans être, pour autant, une menace pour l’unité de l’ensemble, garantie par l’existence même de l’État central royal, central mais pas centraliste !</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 11.0pt; font-family: Verdana;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 11.0pt; font-family: Verdana;">Nous avons aussi discuté sur la question de la propriété privée qui ne me semble pas toujours adaptée aux lieux et aux histoires (et aux cultures) locales : en France, <strong>la Révolution a supprimé d’autres formes de propriété que l’on pourrait qualifier « d’usage », en particulier dans les campagnes, au profit d’une sorte de privatisation de toutes les terres « communes »</strong> jadis laissées à la disposition des paysans, souvent les plus pauvres, pour y amener leurs bêtes à paître, par exemple. Cela s’est souvent traduit, du coup, par la paupérisation définitive de certains ruraux et leur départ forcé vers la ville, formant ce que Marx appellera, sur le même mouvement affectant les ruraux anglais, « <strong>l’armée de réserve du capital </strong>», c’est-à-dire une main d’œuvre bon marché nécessaire au décollage industriel et facilement exploitable. En Afrique, à Madagascar par exemple, comme au Brésil dans la forêt amazonienne, l’État vend ou loue des terres qui ne lui appartiennent pas, chassant les premiers habitants, les tribus originelles des lieux, toujours dans le cadre d’une privatisation des terres, souvent considérées comme disponibles malgré la présence de peuples qui n’avaient guère le sens de la propriété privée, au contraire des nouveaux maîtres « légaux » de ses espaces… Là encore, la propriété privée apparaît bien comme une spoliation des droits naturels et légitimes de communautés à vivre sur un territoire qui est leur depuis parfois des centaines d’années sans être « contractualisé » par un quelconque papier ou titre de propriété. Dans ce sens-là, la formule de Proudhon si célèbre et si souvent mal comprise, « <strong>La propriété c’est le vol</strong> », n’est pas totalement fausse…</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 11.0pt; font-family: Verdana;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 11.0pt; font-family: Verdana;">Qu’on me comprenne bien : je ne remets pas en cause la propriété privée, j’en marque juste les limites et je signale les <strong>alternatives anciennes</strong> (ce qui ne veut pas dire forcément obsolètes) à cette forme particulière de possession, alternatives qui peuvent, en ces temps de crise des espaces et des logements, retrouver une certaine actualité, comme à travers des jardins ou des potagers collectifs, par exemple. La notion de <strong>propriété partagée</strong>, d’ailleurs, semble aujourd’hui connaître un certain renouveau, avec des applications diverses et parfois fort prometteuses ! </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 11.0pt; font-family: Verdana;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 11.0pt; font-family: Verdana;">Ce qui est certain, c’est qu’il appartient aux États, dans les pays dits en développement (mais certains sont déjà des puissances émergées) de <strong>penser la possession autrement qu’en seuls termes de propriété privée, et de protéger les peuples et les tribus qui, aujourd’hui, vivent sur des territoires convoités par les multinationales minières ou de l’agroalimentaire</strong> : la France, qui connaît le sujet à travers la Guyane, pourrait jouer un rôle dans la préservation de ces formes traditionnelles de rapport à la terre, en particulier par le biais de son siège au Conseil de sécurité de l’ONU.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 11.0pt; font-family: Verdana;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 11.0pt; font-family: Verdana;">Je n’ai pas eu le temps, sur ce trottoir de Mayenne, de tout dire et développer avec ce jeune homme : beaucoup d’autres sujets furent abordés en quelques minutes, comme <strong>la question de la démocratie et de ses limites</strong>, marquées, entre autres, par <strong>le fait que des chefs de l’État élus démocratiquement pouvaient être contestés ou renversés par la rue</strong>, en Ukraine ou au Venezuela, ce qui semble remettre en cause (faut-il toujours s’en plaindre, d’ailleurs ?) le principe même de l’élection pour la tête du Pouvoir. </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 11.0pt; font-family: Verdana;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 11.0pt; font-family: Verdana;">Avant de nous séparer, il m’avoua qu’il était anarchiste et je lui rappelais alors la formule que l’on doit à Maurice Clavel ou à Jean-Edern Hallier, « <strong>La monarchie c’est l’anarchie plus un </strong>». C’est ce « un », c’est-à-dire <strong>le Roi, qui permet aux libertés d’exister, de s’exprimer, d’être préservées des excès du Pouvoir, qu’il soit économique, financier ou politique</strong>, ce que, déjà en son temps, l’écrivain britannique George Orwell avait pressenti et évoqué à propos de la Couronne britannique face aux fascismes et au communisme. Ce que les royalistes du XIXe siècle résumaient par « <strong>L’autorité en haut, les libertés à la base </strong>» et les légistes anciens par « <strong>Sub rege, rei publicae</strong> » que l’on peut traduire par « <strong>Sous le –ou grâce au- règne du Roi, les libertés publiques</strong> »…</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 11.0pt; font-family: Verdana;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 11.0pt; font-family: Verdana;">Cette discussion n’était qu’une ébauche, et j’espère bien la poursuivre lors d’un prochain passage à Mayenne ! Qui a dit, en tout cas, que la jeunesse ne s’intéressait plus à la politique ? Si, il y a des jeunes qui ne se contentent pas de regarder la télévision, de planer sur la toile ou d’écouter benoîtement les cours de l’Education nationale, et, <strong>qu’ils soient manifestants du printemps 2013 ou bonnets rouges, de droite ou de gauche, républicains ou royalistes, anarchistes ou monarchistes</strong>, etc., <strong>ce sont eux aussi qui peuvent faire bouger les choses !</strong> Dans le bon sens, j’espère… et j’essaye d’y travailler !</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 11.0pt; font-family: Verdana;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 11.0pt; font-family: Verdana;"> </span></p>
nanouchehttp://www.nanouche.com/about.htmlMes_aventures Matrimoniales!tag:www.nanouche.com,2012-07-29:47924972012-07-29T14:00:00+02:002012-07-29T14:00:00+02:00 Même si tu n’es pas inscrit (e) sur Meetic, il peut t’arriver de faire...
<p>Même si tu n’es pas inscrit (e) sur Meetic, il peut t’arriver de faire des rencontres Mythiques !</p><p>Et de surcroit quand tu es moi.</p><p>Soit un cas désespéré pour ma jewishmum favorite et ses copines les marieuses.</p><p>Bon, il faut que je t’avoue mon secret : Je suis petite fille de rabbin et arrière petite fille de Rabbin ! J’ai un meilleur combo que ShoRiuKen dans StreetFighter.</p><p>Mais, vous l’aurez deviné, avec un grand Pedigree viennent de grandes emmerdes parmi lesquelles l’obligation plus ou moins fatale d’épouser un juif. Et quand je dis plus ou moins, j’entends « à la manière du Parrain ».</p><p style="text-align: center;"><img id="media-3686445" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://www.nanouche.com/media/00/01/31173807.jpg" alt="meetic,mythiques,rencontre,marieuse,jewishmum,rencontres du 3e type,discussion,dates,dialogue,informatique,situation comique,pierre richard,fume,plan drague,celibataire,mariage,rencontre arrangée,brique rose,boulettes,sefarade,sentier,shoriuken,street fighter,parrain,enrico macias,une fille a marier,donovan frankenreite" /></p><blockquote><p><em>"T’as le droit de pas épouser un juif et d’aller tester tes nouvelles baskets en béton au large de la Seine, c’est ton choix, je ne te force pas."</em></p></blockquote><p> </p><p>Mais làs, je vous vois venir les polémiqueurs : épouser un juif permet d’éviter tout de même un certain nombre de problèmes. Même si je ne suis pas une fanatique, ni ultra religieuse je voudrais élever mes futurs enfants dans la religion juive. Ce qui implique que l’autre soit ouvert ou de la même religion pour éviter de rajouter des problèmes à un couple qui n’existe pas encore.</p><p>Bref, je m’égare.</p><p>Donc les copines marieuses de ma mère sont très drôles, elles ne font pas vraiment de tri mais donnent ton numéro comme si c’était un bon d’entrée pour la meilleure boutique du Sentier.</p><p> Ce qui donne des appels assez comiques. Ou pas.</p><p>- oui, bonjour, je t’appelle de la part de Marieuse en chef numéro 1 mais tu la connais peut être. </p><p>- (Et si je répondais NON) possible.</p><p>- On m’a dit que tu étais célibataire, ca tombe bien moi aussi je cherche quelqu’un.</p><p>- (J’men doute ou sinon tu m’appellerais pas de la part de Marieuse en chef numéro 1) humm</p><p>- Et donc voila, je voulais savoir si tu serais intéressée de me rencontrer. En plus je crois qu’on fait le même métier. T’es dans l’informatique ?</p><p>- (Ah parce que c’est un gage de réussite de faire le même métier ? Et puis elles ne comprennent rien ! Je ne suis pas vraiment dans l’informatique) Euh bah avant tout ce serait mieux de faire connaissance au téléphone, tu ne penses pas ?</p><p>- Ouais bon commençons : je m’appelle Edgar*, 38 ans, shomer shabbat, je travaille dans un service …</p><p>- Informatique donc …</p><p>- …. Et toi t’es shomeret ? (note aux mécréants : shomeret est le féminin de shomer qui signifie respectueux de lois du shabbah du vendredi soir au samedi soir tu fais quasi rien à part manger et prier! ;))</p><p>- NON !</p><p>- Aaaaahhhhhhh ,mais tu veux changer ?</p><p>- Bah pas tout de suite, pourquoi? c’est gênant .</p><p>- Quand même oui ! mais bon on m’a dit que tu étais assez pieuse, donc je peux te laisser une chance.</p><p>- Me laisser une chance ! Bah en fait non tu as raison, tu es trop religieux pour moi ! Je n’aimerais pas te faire perdre ton temps ! tu as 38 ans c’est précieux les années !</p><p>- Ah! mais tu as mal pris ce que je t’ai dit ?</p><p>- Qui moi ? non Jamais. Mais tu as raison, et puis je ne cherche pas vraiment ! C’est <strong>MA MERE</strong> qui cherche à ma place. Donc je peux te donner son numéro et si tu arrives à la convaincre, je veux bien te voir (sans rien promettre)</p><p>*Pour des raisons d’intégrité familiale, la confidentialité des prénoms sera respectée.</p><p>Apres l’épisode Edgar qui n’a pas voulu le numéro de ma mère mais qui s’est plaint à la marieuse (!) je n’ai pas eu trop d’appels (En même temps ca m’arrange) (Comment ca j’ai fait exprès ?!?) Mis a part de celui de la Marieuse :</p><p>- Audrey, je ne suis pas très contente, je t’avais envoyé un garçon de « bonne famille » qui fait le même métier que toi ! Bon certes il était petit mais il ne te l’avait pas dit. Alors pourquoi ma fille tu fais ca ?</p><p>- Pourquoi JE fais quoi ?</p><p>- Pourquoi tu ne laisses pas les garçons venir à toi ? Tu veux m’en parler ? Tu as quelqu’un mais tu ne veux pas le dire à ta mère c’est ca ?</p><p>- Ah non, même pas, j’ai juste pas le temps JE TRAVAILLE MOI ! Et puis d’abord si il est petit, pourquoi tu me l’envoi, tu sais bien que je fais 1M76, et que c’est MON critère le reste j’men fous ou presque !</p><p>- Ma fille, tu crois que t’es la seule à travailler. Pfff la pauvre ta mère, j’espère qu’avec l’aide de D.ieu tu trouveras.</p><p>- (et moi alors, pourquoi ma mère ?) Donc tu ne m’enverras plus personne ?</p><p>- Bah pourquoi tu dis ca ?</p><p>- T’as dit avec l’aide de D.ieu … Non tu sais quoi, Laisses tomber. Fais ce que t’as à faire.</p><p> </p><p>Avant Facebook, c’était simple d’esquiver les appels, jusqu’au jour ou l’une des marieuses à eu l’idée flamboyante de créer son compte de MARIEUSE avec comme concept un truc totalement inédit : « Mes amis sont vos amis alors allez y parlez vous et mariez vous. »</p><p> </p><p>Franchement, elle aurait dit « Marrez-vous » j’aurai accepté mais là…</p><p>Et puis après... la pression de TOUTE ma famille, je l’ai accepté en la limitant au strict rien de ma page FB (Faut pas pousser tout de même).</p><p> </p><p>Sauf que les amis de Marieuse en chef 2, sur Facebook, ils te POKEnt (oui ca existent encore en 2012) ou t’ajoutent comme sans même un petit message accompagnant cette demande.</p><p>On n’est pas a la foire à 10 balles sur mon FB, j’accepte que (ou presque) que des gens que j’ai vu au moins 1 fois dans ma vie !</p><p> </p><p>Bref, l’un d’entre eux a eu le privilège de parler de moi avec Marieuse en chef numéro 2. Résultat : dans la foulée un appel de Madame, me demandant expressément d’ajouter immédiatement ce garçon (je dois lui trouver un faux nom aussi, et si je l’appelais juste V. comme Vainqueur – <em>j’m’autovalide</em>).</p><p>Pour m’éviter 36 appels, de la marieuse, ajoutés à ceux de ma mère (même si elle m’a promis ne rien lui avoir dit,) je lui ai offert le privilège de devenir mon « ami ».</p><p>Il m’a vite appelé car madame la Marieuse en chef numéro 2 avait donné mon numéro (sans mon accord cela va s’en dire).</p><p> </p><p>Donc il m’appelle, les premiers contacts se passent plutôt bien.</p><p>Et puis, vient le moment où se voir devient important à ses yeux !</p><p>Bah oui comme V. à la quarantaine, il ne veut perdre de temps (donc c’est moi qui mange)</p><p>Petit détail non négligeable : physiquement c’est un hybride de Christophe Lambert, Jean Claude Van Damme et Jean Roch pour le côté « chemise ouverte, la chaine, et le blouson en cuir ! » (J'ai la quarantaine mais j’assume pas).</p><p> </p><p>Donc on décide de se voir un dimanche soir pour prendre un verre.</p><p>Comme V. est un vrai gentleman, il me demande mon adresse pour venir me chercher, galant homme qu’il est ! M’ouvre la porte et décide de m’emmener dans un lieu parfait pour une <span style="text-decoration: line-through;">touriste ou pour une midinette,</span> première rencontre, au bar « LA VUE » ! Je fais genre que je trouve cette idée merveilleuse <em>(oui j’apprends à m’adoucir)</em> alors que bon le bar « La Vue » je connais depuis que j’ai 16 ans donc ca fait longtemps.</p><p>Bref on s’y rend, sauf que monsieur s’est garé au parking du MERIDIEN et qu’au Méridien à part un bar de Jazz, le bar La vue n’existe pas. <em>Mais chuuuuut je ne veux pas froisser V</em>.</p><p>On prend donc l’ascenseur du Méridien pour monter au 8<sup>e</sup> étage, je lâche juste un : « tu es sûr que le bar dont tu me parles n’est pas genre au 30<sup>e</sup> étage ? » V. me dit alors « oui mais doit y avoir un autre ascenseur après» <em>(voir même un autre hôtel non ? mais chuuuuuut Audrey ne dis rien)</em></p><p>Arrivés au 8<sup>e</sup>, pas d’ascenseur – Bizarre !</p><p>On redescend donc – V. demande à l’accueil, je me recule sait-on jamais !</p><p>Et V. comprend ALORS qu’on n’est pas au Concorde Lafayette mais au Méridien.</p><p> </p><p>On traverse donc, j’en profite pour fumer.</p><p>V. me lâche un : « Ah tu fumes ? » <em>(non je crapote, juste pour le plaisir de claquer 6€ tous les 2 jours, ca fait un genre sympa)</em> « oui désolée, mais je crois que c’est mon seul vice ! » <em>(avec l’ironie mais ca c’est secret).</em></p><p> </p><p>On prend désormais le bon ascenseur pour aller au bar la vue.</p><p><em>Toi aussi t’as soif maintenant avec toutes ces péripéties. </em></p><p><em> </em></p><p>ON Y EST ENFIN ! Mais problème de Vue : toutes les bonnes places sont prises ! Bah oui c’est un truc de touristes tout de même. On décide alors de se mettre un peu excentrés tout en ayant quand même une vue sur tout PARIS.</p><p> </p><p>Bref, on commence à parler sérieusement, ce qui nous donne une discussion autocentrée autour de V. et de ses prouesses.</p><p>OUI OUI !</p><p> </p><p>- Lui (sérieux) : Audrey, tu sais que j’ai annulé un plan à 3, pour venir te voir.</p><p>- Moi (interloquée) : (ah mais pourquoi ???? sérieux fallait pas) Ah bon, mais si tu veux on peut reporter #gentillesse</p><p>- Lui (sincère) Non non Audrey, je suis fatigué de tout ca, je veux me poser, et puis je l’ai envoyé à mon pote.</p><p>- Moi (WTF !!!) Tout de même, tout ca pour moi je suis touchée. Je ne sais que dire!</p><p>- Lui (paternaliste) : Non mais oui Audrey, il faut que tu le saches le SEXE c’est important pour moi, j’ai plus 15 ans. Mais j’en ai marre maintenant je veux de nouveau faire l’amour à quelqu’un. Tu me suis ?</p><p>- Moi (curieuse) : OUI je vois ce que tu veux dire mais pourquoi tu me dis tout ca ?</p><p>- Lui (inconscient) Non mais voila, je suis fatigué, je veux fonder une famille, marre d’aller à droite à gauche, … Des plans cul …</p><p>- Moi (un tout petit peu irritée) Mais c’est quoi ta démarche en fait ? Car tu vas voir une marieuse, qui donc va te présenter des filles de « bonne famille » tu ne peux pas leur parler aussi crument ? Tu ne trouves pas ca incohérent comme discours/démarche ?</p><p>- Lui (sans foi ni loi) : T’as raison t’es peut être trop jeune.</p><p>- Moi : Pardon ?</p><p>- Lui : Bah oui, J’ai 40 ans moi tu sais</p><p>- Moi (à peine plus irritée que 2 mn avant) : Oui c’est bon on sait !</p><p>- Lui : Mais je les ai pas je suis plutôt bien conservé, je fais attention, mais voila c’est important.</p><p>- Moi (larguée) : Je suis d’accord mais qui a dit le contraire ?</p><p>- Bah toi !</p><p>- Bah non, je me demande juste si d’entrée de jeux c’est important se dire ca et QUE ca ! Au fait tu sais ce que je fais dans la vie ?</p><p>- Ouais t’es dans l’informatique ?</p><p>- Moi (dépitée) : Bon OK, tu vois CA c’est synonyme que tu ne m’as pas demandé ce que je faisais. Donc avant de me dire la vie de ton zizi, tu aurais pu au moins t’intéresser à moi.</p><p>- Lui …</p><p> </p><p>On continue donc de discuter… ZzZzZ</p><p>Et puis le sujet de Sexe revenant, je décide alors de rigoler, bailler, et de lui dire « il est tard, on rentre »</p><p> </p><p>Il acquiesce, me ramène chez moi, jusque devant le digicode, à se demander s’il ne voulait pas essayer de le noter pour revenir. Il veut qu’on se revoie. Je lance un « pourquoi pas on se recontacte ! » peu convaincant et m’esquive sur les pas de ma voisine qui rentrait au même moment.</p><p>Les jours qui ont suivi s’apparent à un remake hébraïque de « Harcèlement » : appels, sms, d’abord V. puis la marieuse !</p><p> </p><p>Mais pourquoi la Marieuse m’appelle ??? Ah V. s’est plaint Je dois répondre mardi midi sans faute ou sinon notre diner de mercredi sera annulé.</p><p> Comment vous dire. J’ai envoyé un message en disant que j’étais occupée (ce qui est vrai) qu’il était sympathiiiique mais que je pensais après réflexion que cela ne le ferai pas donc aucun intérêt de lui faire perdre son temps (ni le mien – même si j’ai ri lors de cette soirée)</p><p>Sa réponse : « Tu es surement TROP jeune mais tu trouveras »</p><p>MERCIIIII !</p><p> </p><p>Voilà, si toi aussi tu te sens l’âme aventurière, si tu veux faire l’expérience juste laisse-moi ton numéro, je le donnerai à l’une des marieuses.</p><p>Pas besoin de savoir ce que tu recherches tu ne l’auras JAMAIS.</p><p> </p><p>Ma Jewishmum, et mes potes les marieuses je vous aime hein.</p><p>Mais le TRI ce n’est pas que pour les poubelles ou l’écologie. Ca doit aussi exister pour le bonheur des autres.</p><p><span style="color: #000080;"><em><iframe width="560" height="315" src="http://www.youtube.com/embed/xgUCHHlYSxY" frameborder="0" allowfullscreen=""></iframe></em></span></p><p><span style="color: #000080;"><em><br /> </em></span></p><p><span style="color: #000080;"><em>Je tenais à remercier <a href="http://www.fannyberrebi.com/">Fanny</a> qui m'a suggéré de vous conter mes mésaventures mythiques.</em></span></p><p><span style="color: #000080;"><em><br /></em></span></p><p><span style="color: #000000;"><em>Bon dimanche avec de la "vraie" musique:<br /></em></span></p><p><span style="color: #000080;"><em><iframe width="420" height="315" src="http://www.youtube.com/embed/8Y-upHLOv48" frameborder="0" allowfullscreen=""></iframe></em></span></p><p><span style="color: #000080;"><span style="color: #000000;">Et si tu veux ecouter d'autres musiques de Donovan Frankenreiter, ca se passe <a href="http://www.relix.com/audio/artist-exclusives/2012/05/25/exclusive-album-stream-donavon-frankenreiter-start-livin">ici</a> pour son dernier album (just love est juste TOP)<br /></span></span></p>
Edhttp://whatamistilldoinghere.hautetfort.com/about.html”Le dimanche, on débranche.”*tag:whatamistilldoinghere.hautetfort.com,2012-05-13:47146152012-05-13T19:08:00+02:002012-05-13T19:08:00+02:00 Avez-vous remarqué comme le dimanche est propice aux discussions à propos...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: medium;">Avez-vous remarqué comme le dimanche est propice aux discussions à propos de problèmes existentiels ? Ce matin, j'en suis venue à me demander quelle était la véritable motivation des gens qui fabriquent nos vêtements. Nous faire acheter, dépenser plus, ça, je le sais. Nous convaincre que suivre la mode est une nécessité, là encore c'est évident. Mais une fois que nous avons cédé à toutes leurs pressions, pourquoi nous punir ?</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: medium;">Je veux parler, certains l'auront peut-être deviné, des étiquettes. C'est un supplice inhumain qui nous est imposé depuis des années quelle que soit l'évolution des tissus. J'ai déjà acheté des vêtements en micro-fibre, en soie, en coton, en tencel et d'autres textiles ultra-doux dont les noms m'échappent, mais à chaque fois, l'étiquette tue. Et quand ce n'est pas l'étiquette elle-même, c'est le fil à pêche utilisé pour la coudre ! Evidemment, comme tout le monde, j'essaye de la découdre, la fameuse étiquette tortionnaire, mais le vice des fabricants (quel que soit le pays d'origine de la fabrication !) les pousse à mêler le fil de couture de l'étiquette à celui du vêtement lui-même, ce qui fait que quand vous réussissez par miracle à ne pas faire de trou dans le tissu, vous vous retrouvez avec un vêtement décousu, dont l'ourlet pend, ou le col, ou que sais-je encore !</span></p><p> <img id="il_fi" style="padding-top: 8px; padding-right: 8px; padding-bottom: 8px; margin-right: auto; margin-left: auto; display: block;" src="http://ahpardi.com/wp-content/uploads/2012/03/Kingdagobertnoir-600x399.jpg" alt="" width="452" height="239" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: medium;">Evidemment, pour les mecs, y'en a qui ont pensé à mettre l'étiquette à l'extérieur... <a href="http://ahpardi.com/2012/03/les-boxer-king-dagobert-marques-du-sceau-royal/">http://ahpardi.com/2012/03/les-boxer-king-dagobert-marques-du-sceau-royal/</a></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: medium;">Ce matin donc, avec ADMV, nous avons eu une réflexion sur les étiquettes. Mais ce dimanche nous avons eu également un fou rire commun en retrouvant sur Youtube un moment de "Guignols de l'info" que je trouve savoureux. En lien ci-dessous.</span></p><p><iframe width="560" height="315" style="margin-right: auto; margin-left: auto; display: block;" src="http://www.youtube.com/embed/TxO7Ff23_gA" frameborder="0" allowfullscreen=""></iframe></p><p style="text-align: justify;"> <span style="font-family: verdana,geneva; font-size: medium;">Et un autre fou rire sur la difficulté de reproduire l'accent local, survenu à la suite d'un malentendu. ADMV m'a annoncé qu'elle avait lavé ses "sok". Comme elle venait de se racheter des chaussettes, j'ai cru que pour me faire plaisir, elle parlait anglais. J'ai corrigé : "non, tes socks!, avec un s". Mais en fait elle avait lavé ses "sacs", et imitait l'accent local. Mais là, elle avait tout faux. Il y a une subtilité subtile entre le a déformé régionalement en o, et le o de dog en anglais, ou le o de pot ou de comme. Evidemment à l'écrit, c'est dur à rendre, d'autant plus que l'alphabet phonétique international ne rend pas compte de ce "o" que j'adore. </span></p><p><iframe width="420" height="315" style="margin-right: auto; margin-left: auto; display: block;" src="http://www.youtube.com/embed/3UgpfSp2t6k" frameborder="0" allowfullscreen=""></iframe></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: medium;">Ce sont donc là nos discussions du dimanche. Les vôtres sont-elles plus profondes ? </span></p><p><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: medium;"> *Henri Proglio (Encore pdg d'2DF...)</span></p>
mh,http://www.lalettredemh.com/about.htmlIndignés aujourd'hui. Bastille 29 mai place de la bastille à 14 h.tag:www.lalettredemh.com,2011-05-29:36240682011-05-29T11:54:57+02:002011-05-29T11:54:57+02:00 Parce que j'ai l'impression qu'on cause beaucoup plus de concombres de foot...
<p>Parce que j'ai l'impression qu'on cause beaucoup plus de concombres de foot de ventre, de... que d'indignations:</p><ul><li><a href="http://www.arretsurimages.net/vite.php?id=11275" target="_blank">La police relance les Indignados (presse espagnole)</a></li></ul><ul><li><a title="Lire LA PUERTA DEL SOL CONTRE LE NIHILISME FINANCIER, par Pierre Sarton du Jonchay" href="http://www.pauljorion.com/blog/?p=24892" rel="bookmark" target="_blank"><strong>LA PUERTA DEL SOL CONTRE LE NIHILISME FINANCIER</strong>, </a></li></ul><ul><li><a href="http://www.lemonde.fr/europe/article/2011/05/29/la-jeunesse-espagnole-est-capable-de-s-organiser-seule-sans-parti-ni-syndicat_1529028_3214.html#ens_id=1271383&xtor=RSS-3208" target="_blank">"La jeunesse espagnole est capable de s'organiser seule, sans parti ni syndicat"</a></li></ul><p> </p><p>mh,</p><p> </p><p> </p>
IndianSamouraihttp://www.indiansamourai.com/about.htmlLa deuxième discussion du jour…tag:www.indiansamourai.com,2010-10-15:29452372010-10-15T12:57:51+02:002010-10-15T12:57:51+02:00 Chez le marchand de matelas en mousse. Moi :...
<p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: 9pt; color: navy;"><span style="font-family: Arial;">Chez le marchand de matelas en mousse.</span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: 9pt; color: navy;"><span style="font-family: Arial;"> </span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: 9pt; color: navy;"><span style="font-family: Arial;">Moi : Bonjour, je voudrais un matelas en mousse 64x24 pouces.</span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: 9pt; color: navy;"><span style="font-family: Arial;">Lui : Ok, 800 roupies.</span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: 9pt; color: navy;"><span style="font-family: Arial;">Moi : Hein ?? Mais la semaine dernière c’était 600 roupies.</span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: 9pt; color: navy;"><span style="font-family: Arial;">Lui : Combien la largeur ? Ah, 24 ! Ok, 600 roupies.</span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: 9pt; color: navy;"><span style="font-family: Arial;"> </span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: 9pt; color: navy;"><span style="font-family: Arial;">Le boy arrive.</span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: 9pt; color: navy;"><span style="font-family: Arial;">Lui : 64 x 24 inches. Char saur rupies.</span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: 9pt; color: navy;"><span style="font-family: Arial;">Moi : Hein ?? Char saur (400) ?? Mais tu viens de me dire 600.</span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: 9pt; color: navy;"><span style="font-family: Arial;">S’ensuit une explication embrouillée comme quoi il aurait donné les mesures. Et où il me prend pour une conne.</span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: 9pt; color: navy;"><span style="font-family: Arial;">Bon ben je saurai que je me suis fait entuber de 200 roupies (3,50€ mais quand même 1/3 du prix !). Mais je suis trop fatiguée pour me battre… Puis surtout y a un autre connard qui vient de me demander 1 500 rs donc finalement je me sens moins lésée...</span></span></p>
IndianSamouraihttp://www.indiansamourai.com/about.htmlLa discussion du jour…tag:www.indiansamourai.com,2010-10-15:29452042010-10-15T12:28:55+02:002010-10-15T12:28:55+02:00 Nous fêtons l’anniversaire d’un nouveau collègue. ...
<p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: 9pt; color: navy;"><span style="font-family: Arial;">Nous fêtons l’anniversaire d’un nouveau collègue.</span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: 9pt; color: navy;"><span style="font-family: Arial;"> </span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: 9pt; color: navy;"><span style="font-family: Arial;">Moi : Bon anniversaire ! Quel âge as-tu ?</span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: 9pt; color: navy;"><span style="font-family: Arial;">Lui : 30 ans.</span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: 9pt; color: navy;"><span style="font-family: Arial;">Moi : Oh !</span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: 9pt; color: navy;"><span style="font-family: Arial;">Moi : T’es marié ? </span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: 9pt; color: navy;"><span style="font-family: Arial;">Lui : Non.<br />Moi : Ah bon ?? Mais comment ça se fait ? (<em>Incrédulité complète</em> ;) )</span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: 9pt; color: navy;"><span style="font-family: Arial;">Lui : Ben j’ai trouvé personne pour l’instant.</span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: 9pt; color: navy;"><span style="font-family: Arial;">Moi : Mais comment ça ?? Tes parents cherchent pas ??</span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: 9pt; color: navy;"><span style="font-family: Arial;">Lui : Si si, ils cherchent mais ils n’ont pas encore trouvé…</span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: 9pt; color: navy;"><span style="font-family: Arial;">Moi : Ah, ouf.</span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: 9pt; color: navy;"><span style="font-family: Arial;"> </span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: 9pt; color: navy;"><span style="font-family: Arial;">Alors ? Alors ? Je peux passer mon brevet d’Indienne ??</span></span></p>
Pascal Adamhttp://theatrummundi.hautetfort.com/about.htmlContre exempletag:theatrummundi.hautetfort.com,2010-05-27:27636502010-05-27T22:51:00+02:002010-05-27T22:51:00+02:00 ...
<p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;">Il ne faut certes rien discuter, mais l’affirmation péremptoire est néfaste.</span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p>