Last posts on delambre2024-03-29T07:18:33+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://www.hautetfort.com/https://www.hautetfort.com/explore/posts/tag/delambre/atom.xmlOlivier Leguayhttp://www.inclassablesmathematiques.fr/about.htmlLa naissance du mètretag:www.inclassablesmathematiques.fr,2009-11-12:24368462009-11-12T18:42:00+01:002009-11-12T18:42:00+01:00 Une excellente animation sur le sujet de la mesure d'un arc de méridienne...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Une excellente animation sur le sujet de la mesure d'un arc de méridienne par Delambre et Méchain à la fin du XVIIIème siècle est proposée par Colette POIRIEL, Professeur de mathématiques au collège Poincaré (Versailles).<br /> <br /> Voilà la description que j'ai pu recueillir de l'auteure:</span></p> <p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Il s'agit d'un projet de classe initié avec des élèves de 6ème et de 5ème en accompagnement éducatif. Cela m'a pris une année en tout de faire aboutir ce projet (recherches, construction du scénario, séances d'accompagnement éducatif, animation...).<br /> <br /> Il est possible d'aborder cette animation en cours de différentes façons :<br /></span></p> <ul style="text-align: justify;"> <li><span style="font-size: small;"><b>Histoire des sciences</b> : Au 18ème siècle, à travers ses savants, ses Académies, ses fabricants d'instruments, la Science imprègne l'esprit des Lumières et représente un pouvoir capable d'imposer un concept aussi inédit et difficile que le Système Métrique Décimal (ou S.M.D.)</span></li> <li><span style="font-size: small;"><b>Révolution française</b> : L'épopée des savants Delambre et Méchain traversant la France durant la Révolution est un miroir des évènements et témoigne de la volonté d'unification du pays.</span></li> <li><span style="font-size: small;"><b>Triangulation</b> : Cette partie mathématique, destinée aux élèves de 5ème et de 4ème, rappelle quelques notions essentielles et concrètes sur le triangle. C'est également une mise en évidence de l'importance que l'on doit accorder à la précision des mesures.</span></li> </ul> <p> </p> <p><span style="font-size: small;">Un questionnaire en format PDF reprenant l'essentiel de l'animation est disponible</span> <a href="http://www.inclassablesmathematiques.fr/media/00/01/1130740666.pdf" id="media-2111423" name="media-2111423">ICI</a></p> <p> </p> <div style="text-align: center;"><span style="font-size: small;"><br /> <a href="http://www.lacartoonerie.com/cartoon/id1247866348_dessin-anime-naissance-metre">La Naissance du Mètre</a><br /> Un cartoon de <a href="http://www.lacartoonerie.com/member/id553586511_poincare">Poincare</a></span></div> <div style="text-align: center;"><br /></div> <p style="text-align: center;"><object height="284" width="400" data="http://www.lacartoonerie.com/player/1247866348" type="application/x-shockwave-flash"><param name="wmode" value="transparent"></param><param name="wmode" value="transparent" /> <param name="allowFullScreen" value="true" /> <param name="allowScriptAccess" value="always" /> <param name="src" value="http://www.lacartoonerie.com/player/1247866348" /> <param name="allowfullscreen" value="true" /></object></p> <p> </p> <p><span style="font-size: small;">On pourra compléter par le travail de l'IREM d'Orléans sur <a target="_blank" href="http://www.univ-orleans.fr/irem/meridienne/">la Méridienne</a>.</span></p> <p><span style="font-size: small;">On peut aussi, à l'occasion, rappeler l'existence du <a target="_blank" href="http://www.amazon.fr/M%C3%A9ridienne-Mesure-du-monde/dp/2266119419">livre de Denis Guedj - La méridienne</a>. Impossible d'en dire plus car je ne l'ai pas encore lu.</span></p> <p style="text-align: left;"><span style="font-size: small;"><a target="_blank" href="http://www.univ-orleans.fr/irem/meridienne/"></a></span></p>
hoplitehttp://hoplite.hautetfort.com/about.htmlUn âge d'or en islam?tag:hoplite.hautetfort.com,2008-03-26:15348722008-03-26T19:30:00+01:002008-03-26T19:30:00+01:00 Il y a quelques jours j’écrivais un court post, à chaud, sur les rapports...
<p style="margin: 0cm 0cm 0pt" class="MsoNormal"><font size="3" face="Times New Roman">Il y a quelques jours j’écrivais un court post, à chaud, sur les rapports entre Islam et Raison. A la relecture je m’aperçois que cette notion <i>d’âge d’or de l’Islam</i> est sans doute trompeuse et qu’il est sans doute utile de revenir sur cette <i>brillante civilisation arabe</i>.</font></p> <p><font size="3" face="Times New Roman">L’Islam original est arabe car né en Arabie après la révélation faite au prophète Mahomet, simple bédouin chassé de la Mecque par ses pairs pour la ville de Yathrib- qui deviendra Médine. Ce premier islam, arabe par les <b>hommes</b> et la <b>langue</b>, va déferler sur toute la péninsule arabique puis l’ensemble du pourtour méditerranéen -non arabe- en moins d’un siècle, et jusqu’en Asie centrale, sur les bords de l’Indus qu’Alexandre avait atteint également.</font></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt" class="MsoNormal"><font size="3" face="Times New Roman">Or bon nombre d’auteurs prompts à célébrer le <i>miracle arabe</i>, <i>l’âge d’or islamique</i> font la <b>confusion</b> -volontaire ou non- entre la <b>langue</b>, arabe qui s’est imposée à tous les peuples colonisés, et la <b>civilisation</b> arabo-musulmane : or la très grande majorité des auteurs musulmans qui ont fait cet « age d’or » par leurs écrits, leurs recherches, leurs traductions, n’étaient pas arabes, mais persans ou byzantins, chrétiens ou juifs…</font></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt" class="MsoNormal"><font size="3" face="Times New Roman">Le mythe de la civilisation arabo-musulmane consiste à croire que ce sont les Arabes qui ont inventé les sciences et que c’est grâce à l’Islam qu’une brillante civilisation a pu voir le jour. Or ce mythe ne résiste pas à la réalité.</font></p> <p><font size="3" face="Times New Roman">Depuis la sortie des Arabes hors de l’Arabie, apparaît en effet une civilisation flamboyante…mais qui flamboie de ses composantes <b>étrangères</b> : byzantine d’abord, puis persane. L’âge d’or de l’islam, c’est Byzance, dans un premier temps, et l’or de la Perse ensuite. <i>L’islam civilisation</i> désigne en réalité l’ensemble des <b>emprunts</b> faits aux convertis étrangers, voire aux dhimmis, c’est-à-dire aux juifs et aux chrétiens refusant la conversion à l’islam et "protégés"/ rançonnés par les musulmans. La grande habileté des califes, Omeyyades, Abbassides et Sassanides puis enfin des thuriféraires de cet âge d’or de l’Islam –notamment en Occident,<span> </span> fut d’avoir attribué ces <b>emprunts</b> à l’islam.</font></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt" class="MsoNormal"><font size="3" face="Times New Roman">Mais si l’on a la curiosité de s’enquérir de l’origine des savants à qui l’on doit cette civilisation, on constate que la plupart d’entre eux ne sont pas arabes ni mêmemusulmans, même s’ils écrivent en arabe…Tous les lettrés de l’empire arabo-musulman écrivent alors en effet en arabe, quelle que soit leur confession et leur origine.</font></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt" class="MsoNormal"><font size="3" face="Times New Roman">En fait cet <i>humanisme arab</i>e, cet <i>âge d’or arabo-musulman</i> n’a rien à voir avec l’ethnie concentrée dans la péninsule Arabique, pas plus d’ailleurs qu’avec le strict message de l’islam. Le mot arabe se réfère uniquement à la <b>langue</b>. Pour être honnête, il aurait fallu parler d’« humanisme en langue arabe », pour ne pas engendrer d’équivoque.</font></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt" class="MsoNormal"><font size="3" face="Times New Roman">Durant cette brillante parenthèse, du IVème au Xème siècle, de Bagdad à Cordoue, en passant par Ispahan, Damas, le Caire et Fès, tous les intellectuels, les écrivains, les hommes de science utilisent la langue arabe pour parler de savoirs qui sont considérés comme <i>étrangers, intrus</i>, comme la philosophie Grecque, la médecine. Tout savoir écrit est d’expression arabe, qu’il émane de chrétiens, de juifs ou de musulmans.</font></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt" class="MsoNormal"><font size="3" face="Times New Roman">Avicenne, effigie, à son corps défendant de cet âge d’or arabe mythique, en arabe Ibn Sinâ, né prés de Boukhara, serait aujourd’hui Ouzbek. Il fut toute sa vie persécuté par le pouvoir Turc sunnite car c’était un chiite, et traité en <b>hérétique</b> dans le monde musulman. C’est parce que ses œuvres furent traduites en latin à Tolède au XIIème siècle que l’Occident chrétien connut celui qui fut appelé Avicenna en français. La traduction latine des œuvres d’Avicenne a exercé une influence sur la pensée médiévale de l’Occident qui découvrait Aristote à travers les commentaires Avicenniens. Mais sans l’Occident, Avicenne serait resté un hérétique musulman sans gloire posthume, car considéré comme un « diable » par les juristes traditionnels de l’islam…</font></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt" class="MsoNormal"><font size="3" face="Times New Roman">Parmi ces sciences dont la création est attribuée par beaucoup à l’islam, les mathématiques sont emblématiques. Elles furent en fait héritées de traditions antiques, principalement grecques et indiennes. « <i>Au départ la branche des mathématiques, constituée par l’arithmétique, la science du calcul ou ‘ilm al hisab, fut tirée des textes <b>grecs</b> qui avaient été conservés par des <b>chrétiens</b> nestoriens irakiens ; Puis cela fut transformé considérablement par l’adoption de méthode de calcul et de notation numérique <b>indiennes</b>- y compris l’usage du zéro et de la numération décimale de position- qui furent combinées à des habitudes d’origine babyloniennes.</i> » (1) La géométrie, autre branche des mathématiques se fonda sur la traduction, dés le IXème siècle, d’ouvrages grecs parmi<span> </span> lesquels les <i>Eléments</i> d’Euclide. Le terme arabe <i>al-jabr</i> pour désigner l’<i>algèbre</i> laisse croire que les arabes auraient inventé l’algèbre alors que les procédés algébriques proviennent de sources plus anciennes babyloniennes et d’ouvrages grecs, hébreux et indiens. L’algèbre atteint son apogée grâce aux travaux réalisés en Iran, entre la fin du XIème et le début du XIIème siècle, par le fameux Omar Khayyam.</font></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt" class="MsoNormal"><font size="3" face="Times New Roman">La médecine est également une science largement héritée de l’antiquité, pratiquée par des savants non musulmans ou récemment convertis, la plupart du temps extérieurs à la société islamique traditionnelle. Sachant que la plupart des écrits de grecs furent traduits en arabe par des <span> </span>chrétiens orientaux, syriaques en particulier (le syriaque constituant <i>la langue intermédiaire</i> par excellence entre le grec et l’arabe). C’est grâce aux traductions d’Hippocrate et Gallien que les médecins en terre d’islam purent devenir les <i>dignes successeurs</i> des grecs. Et à cet héritage hellénique il faut ajouter l’héritage de l’Inde et de la Perse.</font></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt" class="MsoNormal"><font size="3" face="Times New Roman">De façon générale, beaucoup d’intellectuels musulmans rédigèrent leurs œuvres en arabe mais ils n’étaient pas arabes, mais perses ou byzantins…Dans leurs écrits, on retrouve les idées de Platon, d’Aristote, de Gallien, de Porphyre, mais aussi la sagesse iranienne ancienne, la sagesse de l’inde, l’éthique arabe d’avant l’islam.</font></p> <font size="3" face="Times New Roman">C’est effectivement l’émergence d’une civilisation prestigieuse -par ses avancées propres, son génie propre mais aussi par sa capacité à transmettre une partie de l’héritage culturel antique- mais qui a peu à voir avec les arabes et rien à voir avec l’islam ! Parce qu’elle est le fait, pour l’essentiel, de non arabes, qui étaient devenus la majorité au sein de l'empire arabo-musulman. L’ennui , c’est que cette civilisation brillante, <strong>née à l’ombre de l’islam mais d’origine étrangère</strong> comme on vient de le voir, fut toujours en concurrence avec l’islam religion, l’islam arabe des origines, car elle n’avait rien de musulman ni d’arabe.</font> <p><a target="_blank" href="http://hoplite.hautetfort.com/media/02/02/1329854693.jpg"><font size="3" face="Times New Roman"><img name="media-925292" src="http://hoplite.hautetfort.com/media/02/02/1329854693.jpg" alt="1329854693.jpg" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0px; border-width: 0px" id="media-925292" /></font></a></p> <p><i><font size="3"><font face="Times New Roman">« Par un curieux acharnement à travestir le vrai, nos livres pour l’enseignement, des petites classes au lycées, s’appliquent à faire croire que les auteurs de l’antiquité ont tous sombré dans un noir oubli dés la chute de Rome et ne furent à nouveau connus en Occident que par les Arabes qui, eux, prenaient soin de les traduire. Ce n’est qu’au temps de la Renaissance, au réveil d’un sommeil de plus de mille années, que les humanistes, en Italie puis en France puis en Angleterre auraient pris le relais et étudié les textes grecs et romains. Vérité sans appel que toute sorte de romanciers, de polygraphes et de journalistes pour revues d’histoire ou de culture acceptent encore sans chercher à y voir d’un peu p^lus prés. Pourtant, tout est à revoir.</font></font></i> <i><font size="3"><font face="Times New Roman">On nous dit : « Sans les arabes, vous n’auriez pas connu Aristote!» C’est inexact, archi faux. Les leçons et les principaux ouvrages des savants, philosophes, poètes, dramaturges de l’Antiquité ne furent jamais, à aucun moment, ignorés des lettrés en Occident. Parler d’ « arabes » n’est pas seulement une facilité de langage mais une grave impropriété qui cache sans doute une mauvaise action, à savoir la volonté de taire la véritable identité des auteurs musulmans les plus féconds et les mieux connus, ceux qui ont le plus écrit en toutes sortes de domaines. C’étaient pour la plupart des Syriens, des Egyptiens ou des Espagnols qui, soumis par la conquête, avaient adopté la langue et l’écriture des maîtres. Les Perses, eux, avaient gardé leur langue.</font></font></i></p> <p><i><font size="3"><font face="Times New Roman">En tout état de cause, les clercs d’Occident n’ont pas attendu les musulmans. Aristote était connu et étudié à Ravenne au temps du roi des Goths Théodoric et du philosophe Boèce, dans les années 510-520, soit plus d’un siècle avant l’Hégire. Cet enseignement, celui de la logique notamment, n’a jamais cessé dans les écoles cathédrales puis dans les toutes premières universités et l’on se servait alors de traductions latines des textes grecs d’origine que les érudits, les philosophes et les hommes d’Eglise de Constantinople avaient pieusement gardés et largement diffusés. Les traductions du grec en langue arabe et de l’arabe en latin, que l’on attribue généralement à Avicenne, Averroès et à Avicébron, sont apparues relativement tard, pas avant les années 1200, alors que tous les enseignement étaient déjà en place en Occident et que cela faisait plus d’un siècle que la logique, directement inspirée d’Aristote, était reconnue comme l’un des sept arts libéraux du cursus universitaire. (…) Ces traducteurs auxquels nous devrions tant, n’étaient certainement pas des Arabes et, pour la plupart, pas même des musulmans. Les conquérants d’après l’hégire ne portèrent que peu d’intérêt à la philosophie des grecs de l’antiquité dont les populations soumises, en Mésopotamie, en Syrie ou en Chaldée, gardaient pieusement les textes et les enseignements. (…) Pendant plusieurs centaines d’années, les grands centres intellectuels de l’Orient, Ninive, Damas et Edesse, sont restés ceux d’avant la conquête musulmane. La transmission du savoir y était assurée de génération en génération et les nouveaux maîtres n’y pouvaient apporter quoi que ce soit de leur propre. En Espagne, la ville de Tolède et plusieurs autres cités épiscopales ainsi que les grands monastères étaient des centres intellectuels très actifs, tout particulièrement pour les traductions de l’antique, bien avant l’invasion musulmane et la chute des rois Wisigoths. L’école des traducteurs arabes de Tolède est une légende, rien de plus.</font></font></i></p> <p><i><font size="3"><font face="Times New Roman">En réalité, ces travaux des Chrétiens sous occupation musulmane n’étaient, en aucune façon, l’essentiel. Ils ne présentaient que peu d’intérêt. Les Chrétiens d’Occident allaient aux sources mêmes, là ou ils étaient assurés de trouver des textes authentiques beaucoup plus variés, plus sincères et en bien plus grand nombre. Chacun savait que l’empire Romain vivait toujours, intact, vigoureux sur le plan intellectuel, en Orient. Métropole religieuse, siège du patriarche, Constantinople est demeurée jusqu’à sa chute et sa mort sous les coups des Ottomans de Mehmet II, en 1453, un centre de savoir inégalé partout ailleurs. On n’avait nul besoin d’aller chercher l’héritage grec et latin à Bagdad ou à Cordoue : il survivait, impérieux et impérissable dans cette ville chrétienne, dans ses écoles, ses académies et ses communautés monastiques. Les peintures murales et les sculptures des palais impériaux contaient les exploits d’Achille et d’Alexandre.</font></font></i> <font size="3"><font face="Times New Roman"><i>Les hommes d’église et de pouvoir, les marchands même, fréquentaient régulièrement Constantinople et avaient tout à y apprendre. Nos livres de classe disent qu’ils ont attendu les années 1450 et la chute de Constantinople pour découvrir les savants et les lettrés grecs ! Mais c’est là encore pécher par ignorance ou par volonté de tromper. C’est écrire comme si l’on pouvait tout ignorer des innombrables séjours dans l’Orient, mais dans un Orient chrétien de ces Latins curieux d’un héritage qu’ils ne pouvaient oublier. En comparaison, les pays d’islam n’apportaient rien d’équivalent. </i>» (2)</font></font></p> <p><a target="_blank" href="http://hoplite.hautetfort.com/media/01/01/1611167042.gif"><img name="media-925532" src="http://hoplite.hautetfort.com/media/01/01/1611167042.gif" alt="1611167042.gif" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0px; border-width: 0px" id="media-925532" /></a></p> <p><font size="3" face="Times New Roman">(1)Dominique Sourdel, Dictionnaire historique de l’islam, p. 551.</font></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt" class="MsoNormal"><font size="3" face="Times New Roman">(2)Jacques Heers, L’histoire assassinée, p. 170, 171. Ed de Paris 2006.</font></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt" class="MsoNormal"><font size="3" face="Times New Roman">Et aussi, pour ceux que cela intéresse, deux livres passionnants : <i>Islam</i> de Bernard Lewis et <i>La schizophrénie de l’Islam</i> de Delcambre.</font></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt" class="MsoNormal"> </p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt" class="MsoNormal"><font size="3" face="Times New Roman">Illustrations: en haut, Avicenne; en bas, siège de Constantinople.</font></p>