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Poésie. Un grand vent s’est levé, de Danny-Marc, éd. Pippa
tag:tramesnomades.hautetfort.com,2022-07-11:6391574
2022-07-11T19:30:00+02:00
2022-07-11T19:30:00+02:00
C’est un livre troublant que celui de Danny-Marc . Je l’ai découvert...
<p><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;"><img id="media-6372043" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://tramesnomades.hautetfort.com/media/02/01/1243167578.jpg" alt="Un grand vent.jpg" />C’est un livre troublant que celui de <u>Danny-Marc</u>. Je l’ai découvert plusieurs années après sa publication. Lu, relu, mais ne sachant pas comment y entrer pour en parler. Et c’est venu là, comme naturellement. Mais pénètre-t-on l’intime quand il dit à ce point l’intime ? On prend le temps, d’abord en retrait pudique.</span></p><p><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;">La préface de <u>Michel Cazenave</u> montre aussi ce qui peut nous mettre en distance par respect, voyant dans cet ouvrage qui est tout entier, dit-il une <em>déclaration sans retour</em>, une parole que seule une femme (<em>plus profonde…</em>) porterait ainsi.</span></p><p><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;">Car <em>elle se met beaucoup plus « en jeu et en balance », elle s’enracine d’autant plus dans toutes les réalités de la terre</em>.</span></p><p><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;">Et il la remercie <em>d’avoir osé s’avancer ainsi comme une « amazone libre », et de nous découvrir des territoires que nous suspections sans avoir toujours le courage d’y pénétrer et de les arpenter…</em></span></p><p><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;">En postface, <u>Gaétan de Courrèges</u> insiste lui aussi sur le féminin de cette parole, alliant <em>force</em> et <em>simplicité</em>, dans ces poèmes qui sont des <em>feuilles intimes</em>.</span></p><p><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;">En exergue, <span style="text-decoration: underline;">Paul Éluard</span>.</span></p><p><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;"><em>À toi qui n’as pas de nom et que les autres ignorent</em></span></p><p><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;">On peut l’interpréter de plusieurs façons car le chant d’Éluard, qui ne nomme pas Gala, est aussi de douleur. Or dans l’amour à ce point essentiel il y a de la joie mais il y a des douleurs, dans l’absence par exemple, donc un manque, ou par l’intensité même. Mais, aussi, celui à qui on écrit son amour n’a de nom que pour soi, n’est connu (<em>les autres ignorent</em>) que par soi, car c’est l’amour qui connaît. </span></p><p><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;">Mais plus loin, dans un poème <span style="text-decoration: underline;">Jean-Pierre Rosnay</span> est cité, par un titre,</span></p><p><em><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;">Comme un bateau prend la mer</span></em></p><p><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;">Car, au-delà de la métaphore et de ses sens, ce poète fut une figure marquante d’un lieu de la poésie, <em>Le Club des poètes</em>, qu’il créa, et Danny-Marc, aussi auteur-compositeur, a contribué à la vie de ce lieu (voir la bio). Le citer est aussi lui rendre hommage.</span></p><p><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;">Le premier poème est celui qui donne le titre au recueil.</span></p><p><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;"><em>Un grand vent s’est levé</em></span></p><p><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;">Le vent de la rencontre, avec la force d’une évidence, d’une passion. D’autant plus fort que cela révèle, pour chacun (elle écrit <em>nous</em>), le manque qui précédait, malgré la richesse d’une vie de création et d’engagements. Même au plus fort de la présence d’autres liens, en dehors de cette évidence il y avait un manque. Qu’on ne savait pas et qui anesthésiait, faisant vivre un <em>long sommeil</em>, pour elle, pour lui, dans…</span></p><p><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;"><em>les longues heures</em></span></p><p><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;"><em> où nous étions absents</em></span></p><p><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;">Ce qui était absent, c’était ce <em>nous</em> que la rencontre a créé. Absence à soi, à l’autre, si l’amour révèle l’ancrage de la présence…</span></p><p><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;">Présence charnelle, les mains.</span></p><p><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;">Et c’est le moment de saluer les « épures » de <span style="text-decoration: underline;">Danièle Maffray</span>. Le mot m’est venu avant de le voir inscrit, tant c’est pur. Elle traduit, avec une intuition délicate, les émotions que les poèmes délivrent. Douceur et violence du désir autant que de l’élan du cœur (<em>ce volcan qui dormait</em> / <em>sous la neige</em>, et de la révélation à soi-même de son incarnation.</span></p><p><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;">Mains <em>de soleil</em> dans le poème, page 13, mains de l’illustratrice, page 12, portant un cercle solaire figuré par un simple trait circulaire, geste de réception et d’offrande qui a quelque chose de sacré, comme pour une prière, répondant, poème suivant, à la <em>soif</em> de celui qui est aimé et aime. Ce qui naît c’est le <em>NOUVEAU</em>, en retour à la source de l’enfant en soi, à la ferveur.</span></p><p><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;"><em>Nous serons tout à l’heure </em></span></p><p><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;"><em>deux enfants nus</em></span></p><p><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;"><em> sur la plage de l’aube</em></span></p><p><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;"><em>et je t’aimerai</em></span></p><p><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;">Le sacré, que j’ai noté en commentant une épure de Danièle Maffray, est présent dans le texte, et la rencontre de l’amour, quand c’est à cette hauteur de conscience, révèle, en bousculant <em>l’ordre établi d</em>e son identité incarnée, le corps comme <em>temple </em>(page 17, poème <em>Orphée)</em>. Le poète du lointain passé chantait le soleil et l'appelait. </span><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;">Eux seront ce poète dans le présent. </span></p><p><em><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;">Demain comme Orphée</span></em></p><p><em><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;">nous ferons lever le soleil</span></em></p><p><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;">Mais Orphée est aussi celui qui ressuscite son aimée, la révèle à la vie. Ici il est l’un et l’autre, chacun trouvant en lui-même sa part féminine et masculine de créateur. (Nous…).</span></p><p><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;">La peur est vaincue, qui peut-être était présente dans le commencement de la rencontre (le <em>pas</em> pour aller vers), devant l’inconnu de cette force (<em>je n’ai plus peur</em>). Ce qui advient c’est <em>un éclat de liberté délivrée</em>. Avec le <em>rire</em> libérateur, pour l’un, la saisie de la <em>lumière</em>, pour l’autre.</span></p><p><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;">Accueil réciproque qui fait retrouver, par le nous, <em>le miracle de vivre</em>.</span></p><p><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;">Transformation qui, passant aussi par une conscience autrement révélée des corps, les fait <em>DEVENIR</em>. Les quelques mots ainsi en majuscules marquent l’essentiel d’un processus alchimique dans l’amour. Et, pour être présente à cela intensément, celle qui vit le monde avec l’intensité de l’attention aux réalités sociales et aux douleurs d’autrui, sait choisir de mettre le monde entre parenthèses pour vivre la présence. </span></p><p><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;"><em>Cette nuit</em></span></p><p><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;"><em>j’ai largué le monde</em></span></p><p><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;"><em>et pour quelques heures</em></span></p><p><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;"><em>lui ai demandé le silence</em></span></p><p><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;">La voyageuse a évoqué Ostende, puis Tolède. Comme le temps d’épousailles avec la beauté des lieux et de la nature.</span></p><p><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;">Le temps. L’intensité fait éternité.</span></p><p><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;">Le passé d’avant la rencontre est effacé par le présent, <em>moment d’éternité</em>, </span><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;">cette <em>heure vivante</em>. Mais le temps c’est aussi celui qui passe, raccourcit le futur de nos vies.</span></p><p><em><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;">Nous n’avons plus vingt ans</span></em></p><p><em><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;">mon amour</span></em></p><p><em><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;">le temps presse</span></em></p><p><em><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;">Partons à la rencontre </span></em></p><p><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;"> <em> de ce temps d’avant</em></span></p><p><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;">Donc... il faut avoir (poème <em>Si nous refaisions le monde</em>)</span></p><p><em><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;">le désir un peu fou</span></em></p><p><em><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;">de défier le temps qui passe</span></em></p><p><em><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;">et l’usure du temps</span></em></p><p><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;">…………………………………………………………………….</span></p><p><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;">Pour moi <span style="text-decoration: underline;">Danny-Marc</span> est aussi la précieuse et généreuse co-éditrice (avec <span style="text-decoration: underline;">Jean-Luc Maxence</span>, note qui suit) de la superbe revue annuelle <span style="text-decoration: underline;"><em>Les Cahiers du sens</em></span>, avec laquelle j’ai eu la joie de partager quelques années d’écriture et de belles rencontres. Le dernier numéro, le 30, a marqué l’achèvement d’une grande entreprise (lien ci-dessous, recension). Mais les publications existent, traces définitives de haute poésie (je trouve) et de spiritualité. Ils sont les éditeurs du <span style="text-decoration: underline;">Nouvel Athanor</span>, présent dans les Salons (Marché de la poésie, L’Autre livre, Salon de la revue…) et en permanence dans les rayons de la librairie <span style="text-decoration: underline;">L’Autre livre</span>. Par eux j’ai découvert des auteurs et un esprit d’ensemble. Deux êtres pour qui j’ai de la tendresse, en plus de l’estime.</span></p><p><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;">Recension © MC San Juan</span></p><p><span style="font-size: 12pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;">…………………………………………………………………………………………….</span></p><p><span style="text-decoration: underline;"><span style="font-size: 12pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;">LIENS… </span></span></p><p><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;"><span style="text-decoration: underline;"><em>Un grand vent s’est levé</em>, page de l’édition-librairie-galerie, Pippa</span>… </span><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;"><a href="https://www.pippa.fr/Un-grand-vent-s-est-leve">https://www.pippa.fr/Un-grand-vent-s-est-leve</a></span></p><p><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;"><span style="text-decoration: underline;"><img id="media-6372537" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://tramesnomades.hautetfort.com/media/01/02/1662884114.jpg" alt="dannny-marc,danièle maffray,un grand vent s'est levé,pippa éditions,pippa,poésie,livres,citations,art,sacré" />Anthologie 1991-2011</span>. <em><u>L’Athanor des poètes</u></em> (<span style="text-decoration: underline;">avec Jean-Luc Maxence</span>), <span style="text-decoration: underline;">Le Nouvel Athanor,</span> 2011... </span><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;"><a href="http://www.soleils-diffusion.com/article.php?isbn=9782356230232">http://www.soleils-diffusion.com/article.php?isbn=9782356230232</a></span></p><p><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;"><u>Co-éditrice</u> (avec Jean-Luc Maxence), <span style="text-decoration: underline;">Le Nouvel Athanor </span>(et revue <span style="text-decoration: underline;">Les Cahiers du sens</span>)</span></p><p><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;"><em><u><img id="media-6372538" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://tramesnomades.hautetfort.com/media/02/00/846166030.jpg" alt="dannny-marc,danièle maffray,un grand vent s'est levé,pippa éditions,pippa,poésie,livres,citations,art,sacré" />Les Cahiers du Sens</u></em>, <u>entrevues.org</u>… </span><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;"><a href="https://www.entrevues.org/revues/cahiers-du-sens/">https://www.entrevues.org/revues/cahiers-du-sens/</a> </span></p><p><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;"><u>Édition.</u> <u>Le Nouvel Athanor</u>. Publications, voir le site de <u>Soleils diffusion (mais commandes en librairie)</u>... <a href="http://www.soleils-diffusion.com/id_athanor.php">http://www.soleils-diffusion.com/id_athanor.php</a></span></p><p><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">Et dépôt permanent de livres de l'édition, librairie <u>L’Autre livre</u>… <a href="https://www.lautrelivre.fr/">https://www.lautrelivre.fr/</a></span></p><p><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;">Co-créatrice du magazine <u>Rebelles</u>, avec <u>Jean-Luc Maxence</u>… </span><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;"><a href="https://rebelles-lemag.com">https://rebelles-lemag.com</a></span></p><p><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;">…………………</span></p><p><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;"><span style="text-decoration: underline;">Recension</span>, ici. <u>Les Cahiers du Sens n° 30</u>. <span style="text-decoration: underline;"><em>Le silence</em></span>… (le dernier numéro). Autres recensions (tag Les cahiers du Sens)… </span><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;"><a href="http://tramesnomades.hautetfort.com/archive/2020/08/26/poesie-les-cahiers-du-sens-n-30-le-silence-et-des-livres-ass-6259613.html">http://tramesnomades.hautetfort.com/archive/2020/08/26/poesie-les-cahiers-du-sens-n-30-le-silence-et-des-livres-ass-6259613.html</a></span></p><p><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">....................................</span></p><p><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">Voir <span style="text-decoration: underline;">une sélection de titres du catalogue du Nouvel Athanor</span>, en complément de la recension des recueils de <span style="text-decoration: underline;">Bruno Thomas</span>, même édition. Note qui suit, juste après celle sur les livres de <span style="text-decoration: underline;">Jean-Luc Maxence</span>.</span></p>
MCSJuan
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Les Cahiers du Sens, au Marché de la Poésie, stand 509.
tag:tramesnomades.hautetfort.com,2019-06-08:6157045
2019-06-08T16:29:00+02:00
2019-06-08T16:29:00+02:00
C’est le Marché de la Poésie , à Paris... Depuis mercredi, jusqu'à...
<div><img id="media-6000867" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://tramesnomades.hautetfort.com/media/00/01/523089016.jpg" alt="CAHIERS du SENS 29. 2019.jpg" />C’est le <span style="text-decoration: underline;">Marché de la Poésie</span>, à Paris... Depuis mercredi, jusqu'à dimanche 9.</div><div>Encore aujourd'hui et demain.</div><div> </div><div>Heureuse d’y être présente avec la revue annuelle <span style="text-decoration: underline;">Les Cahiers du Sens</span> (stand 509, édition <span style="text-decoration: underline;">Le Nouvel Athanor</span>), revue où j’ai le plaisir de partager (en très bonne compagnie) un espace de pages, dans les numéros des années 2017-2018-2019. Celui de cette année a pour thème central l’impatience… </div><div>J’y reviendrai, pour une recension.</div><div>Sur la page ci-dessous, lire le texte des éditeurs (et écrivains), J<span style="text-decoration: underline;">ean-Luc Maxence</span> et <span style="text-decoration: underline;">Danny-Marc.</span></div><div><p>"Au siècle dernier, en 1991 exactement, nouq prenions avec les Cahiers du Sens n°1 une route inconnue. Elle s'avéra passionnante à explorer. Le premier thème choisi pour notre dossier fut " Le désir ". A vrai dire il ne nous quitta jamais pendant presque trente ans ! » (…) "Que restera-t-il de ce Labyrinthe tracé grâce à l'esprit de corps et de fraternité de tant et tant de poètes dont la plupart devinrent des veilleurs et même des ami(e)s ? »<br />Texte complet sur la page de l’édition...</p><p>La revue (stand 509 au Marché) peut être commandée en librairie, ou directement à l’édition...</p><p><em>MC San Juan</em></p><span style="text-decoration: underline;">Le Nouvel Athanor,</span> et <span style="text-decoration: underline;">Les Cahiers du Sens</span>. Voir les publications sur le site de <span style="text-decoration: underline;">Soleils </span>diffusion... </div><div>Et dépôt de livres, librairie <span style="text-decoration: underline;">L'Autre livre</span>...</div>