Last posts on dalembert2024-03-29T00:53:38+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://www.hautetfort.com/https://www.hautetfort.com/explore/posts/tag/dalembert/atom.xmlMarquis des Chouanshttp://beaudricourt.hautetfort.com/about.htmlCharles Palissot de Montenoy, un opposant nancéien aux philosophes des ”lumières”tag:beaudricourt.hautetfort.com,2013-07-06:51155202013-07-06T18:38:00+02:002013-07-06T18:38:00+02:00 Dans notre société déconnectée du réel, proie de toutes les tentations, des...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;">Dans notre société déconnectée du réel, proie de toutes les tentations, des vices, victime des mensonges des idéologues, de la jouissance sans entraves et de la liberté d'expression </span><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><em><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span class="noAxdXBlock"><span class="postbody">« </span></span></span>certifiée </em></span><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><em><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span class="noAxdXBlock"><span class="postbody">»</span></span></span></em> par ses auteurs comme étant sans limites. Il est de bon ton de rappeler à ceux qui éprouvent de la difficulté à comprendre le monde dans lequel ils vivent que rien n'est indifférent dans l'histoire des hommes, que c'est à la lumière du passé que l'on trouve les réponses aux conflits qui alimentent notre présent. Dans la même forme notre intellect et nos agissements actuels pèseront à leur tour sur le cours des choses et influenceront les générations appelées par Dieu à nous succéder. Cela vaut pour l'histoire littéraire, tout autant que pour l'histoire politique ; il y a bien souvent d'ailleurs entre l'une et l'autre plus d'un point de contact qui les font se confondre. C'est ce que nous allons nous efforcer de mettre en évidence à travers l'itinéraire de ce jeune homme contemporain du dix-huitième siècle propulsé un peu malgré lui dans le camp des adversaires des </span><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><em><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span class="noAxdXBlock"><span class="postbody">« </span></span></span></em></span><em>lumières </em></span><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><em><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span class="noAxdXBlock"><span class="postbody">»</span></span></span></em></span>, en montrant qu'elle fut la puissance de la secte des philosophes qui déjà pesait tellement sur l'opinion que le souverain du duché de Lorraine s'inclinait devant elle, et que Choiseul ministre du roi de France en subissait lui même l'influence...</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><img id="media-4173151" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://beaudricourt.hautetfort.com/media/02/00/1698664713.jpg" alt="ceremonie.jpg" />Nous sommes à Nancy, duché de Lorraine en 1750. Charles Palissot de Montenoy tout juste âgé de vingt ans et natif de cette ville, cherchait la voie de la célébrité et de la renommée littéraire. Fougueux, ambitieux et incontestablement doté de talent, sa précocité exceptionnelle avait attiré sur lui l'attention de Stanislas le roi déchu de Pologne, à tel point que ce dernier l'avait pris sous son aile au sein de sa propre académie la Société Royale des sciences et belles lettres de Nancy.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;">Cinq ans plus tard dans le cadre des manoeuvres diplomatiques visant à préparer le rattachement de la Lorraine au Royaume de France, il avait été commandé à Palissot de Montenoy une petite pièce de théâtre qui devait servir de prélude pour l'inauguration de la statue de Louis XV, au centre de la place royale (<em>de nos jours place stanislas</em>) dont nous avons conté l'histoire détaillée sur notre site. Cette comédie avait pour titre </span><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><em><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span class="noAxdXBlock"><span class="postbody">« </span></span></span></em></span><em>Le Cercle </em></span><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><em><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span class="noAxdXBlock"><span class="postbody">»</span></span></span></em></span> où </span><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><em><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span class="noAxdXBlock"><span class="postbody">« </span></span></span></em></span><em>Les originaux </em></span><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><em><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span class="noAxdXBlock"><span class="postbody">»</span></span></span></em></span>. Jouée devant le Roi de Pologne le 26 novembre 1755, Palissot y mettait en scène des </span><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><em><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span class="noAxdXBlock"><span class="postbody">« </span></span></span></em></span><em>originaux </em></span><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><em><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span class="noAxdXBlock"><span class="postbody">»</span></span></span></em></span></span> à la manière des fâcheux de Molière, on y voyait figurer des financiers, un poète, des beaux esprits, des excentriques et pour finir un philosophe dans lequel on pouvait aisément reconnaître Jean Jacques Rousseau mangeant de la salade et marchant à quatre pattes, la huitième scène le désigne de manière que l'on ne puisse s'y méprendre... Palissot pensait ainsi plaire à Stanislas, dont on se souvient que le monarque avait réfuté avec politesse et estime le </span><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><em><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span class="noAxdXBlock"><span class="postbody">« </span></span></span></em></span></span><em>discours sur l'inégalité des conditions </em></span><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><em><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span class="noAxdXBlock"><span class="postbody">»</span></span></span></em></span></span> de J.J Rousseau. Le comte de Tressan vice président de la Société Royale des sciences et belles lettres de Nancy, présent à cette représentation et donc par conséquent lui aussi spectateur du divertissement, ne s'émut en cet instant nullement de l'affront occasionné par la pièce.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;">Tressan, favori de la Reine Marie Leszczynka et de son père Stanislas, était également le confrère de Dalembert à l'Académie des Sciences de Paris. L'influence de Dalembert grandissait chaque jour, à cette époque déjà, nombreux étaient ceux qui briguaient une place au sein du cénacle littéraire bien plus qu'ils ne convoitaient un titre de </span><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><em><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span class="noAxdXBlock"><span class="postbody">« </span></span></span></em></span></span>duc et pair</span><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><em><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span class="noAxdXBlock"><span class="postbody"> »</span></span></span></em></span></span></span>... Tressan était du nombre, aussi s'empressa-t-il pour servir ses propres intérêts de répondre à la demande de Dalembert qui ayant eu vent du contenu de la pièce jouée à Nancy, donna une virulente impulsion pour faire châtier avec sévérité l'auteur de l'outrage fait à Rousseau et donc au parti philosophique tout entier. En position de force, Tressan manoeuvra avec beaucoup de perspicacité et n'éprouva guère de difficulté pour persuader ses confrères de la Société Royale de Nancy, que l'honneur du corps était compromis par l'indignité de Palissot l'un de ses membres, ce jeune impétueux ayant eût l'audace de placer sur la scène un philosophe renommé et de l'exposer à la risée publique. Il parvint même à faire partager cette opinion à Stanislas qui n'hésita pas à prononcer l'exclusion de Palissot, procédure tout aussi sommaire qu'elle fut expéditive. En tout ceci, on ne sait de quoi l'on doit le plus s'étonner : où de la facilité avec laquelle la plainte fut portée, où de la docilité avec laquelle Stanislas prononça la sentence dictée par la secte philosophique dont visiblement il redoutait la vengeance...</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><img id="media-4173166" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://beaudricourt.hautetfort.com/media/00/01/3468889541.jpg" alt="Buste_de_Charles_Palissot_de_Montenoy_par_Houdon_Bibliotheque_Mazarine_Paris_n1.jpg" />La réaction de Palissot de Montenoy, ne se fit point attendre, pour sa défense il affirma avec raison que l'on ne peut le condamner pour une pièce représentée devant le Roi de Pologne lui-même et que le monarque n'avait désapprouvé ni à l'audition, ni à la lecture... En outre, il se prévalait enfin du droit du théâtre, en invoquant l'exemple d'Aristophane et de Molière. Ligne de défense fort embarrassante pour Stanislas comme nous pouvons l'imaginer.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;">Contre toute attente c'est Rousseau en personne, resté jusqu'à présent muet sur le dossier dans lequel il était pourtant directement concerné, obéissant probablement à la vanité et à son orgueil démesuré, flatté d'un outrage qui faisait de lui un Socrate moderne poursuivi par un nouvel Aristophane, qui vint au secours du monarque Polonais et le tira de ce pas difficile. Il adressa une lettre à Dalembert, et trois au comte de Tressan, pour demander à la manière d'un souverain tout puissant à ce que le dit condamné soit gracié, c'est dire l'influence exercée par le parti des philosophes au coeur de cette société alors en pleine mutation.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;">Tout cela bien évidemment ne faisait pas les affaires de Dalembert, bien plus susceptible que Rousseau vis à vis du point d'honneur philosophique, sans parler qu'il comptait bien se servir de la gêne occasionnée pour nuire à Fréron ennemi juré de Voltaire, que Dalembert décrivait dans ses missives comme le </span><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><em><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span class="noAxdXBlock"><span class="postbody">« </span></span></span></em></span></span>protecteur et protégé </span><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><em><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span class="noAxdXBlock"><span class="postbody">» </span></span></span></em></span></span></span></span>de Palissot. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;">Bien décidé à se venger des encyclopédistes, il s'en suivit une guerre de plume à outrance qui opposa sa vie durant, Palissot (<em>certainement un brin opportuniste</em>) à la secte maçonnique des philosophes. Dès 1756, il publia les </span><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><em><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span class="noAxdXBlock"><span class="postbody">« </span></span></span></em></span><em>Petites lettres sur le grands philosophes</em></span><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><em><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span class="noAxdXBlock"><span class="postbody"> »</span></span></span></em></span></span></span>, lettres adressées à Madame de la Marck sa protectrice, dans lesquelles il attaquait violemment les encyclopédistes et plus particulièrement Dalembert qu'il voulait atteindre. Ces publications eurent un succès très limité, elles ne firent vraisemblablement qu'irriter les ennemis du nancéien plus que de les blesser avec efficacité. Il trouva par la suite dans la satire théâtrale un moyen beaucoup plus adapté pour satisfaire sa fureur et sa soif intarissable de vengeance. Il lança sa comédie </span><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><em><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span class="noAxdXBlock"><span class="postbody">« </span></span></span></em></span><strong><em>des Philosophes </em></strong></span><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><em><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span class="noAxdXBlock"><span class="postbody">»</span></span></span></em></span></span></span></span>, jouée en plein Paris après d'âpres négociations tant il faut se souvenir que les comédiens du Roi de France par crainte de représailles, refusèrent tout d'abord de se prêter aux différents rôles mis en scène par Palissot, et que c'est Mesdames de Robecq et de la Marck qui obtinrent pour l'auteur de cette comédie l'assurance de la protection du Dauphin, père de Louis XVI...</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><img id="media-4173179" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://beaudricourt.hautetfort.com/media/00/02/3468191613.jpg" alt="rideau-rouge-d-39-un-theatre-classique.jpg" />Le 2 mai 1760 Choiseul (<em>compatriote Lorrain de Palissot</em>) devenu ministre du Roi donna l'ordre de jouer la comédie qui fut représentée au théâtre français. Cette pièce eût tout de même pour effet d'occuper toutes les conversations vers le milieu de l'année 1760, jamais les chefs du parti encyclopédique qui prétendaient diriger l'opinion, se virent exposés aussi violemment au fouet de la satire théâtrale et à la fougue de ce jeune opposant des lumières, qui on l'imagine, devait jubiler devant le succès prodigieux de sa mise en scène.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;">Palissot avait envoyé sa pièce à Voltaire, auquel il vouait une véritable admiration ce qui est un paradoxe alors que l'on sait la place de chef de file occupée par celui que l'on nomme le </span><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><em><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span class="noAxdXBlock"><span class="postbody">« </span></span></span></em></span></span>Patriarche </span><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><em><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span class="noAxdXBlock"><span class="postbody">»</span></span></span></em></span></span></span></span> au sein du parti philosophique. Ce qui ne rend pas facile de saisir toute la complexité du personnage Palissot de Montenoy, il faut se souvenir néanmoins que c'est d'avantage par un concours de circonstance que ce nancéien se retrouve propulsé dans le camp des opposants aux philosophes plus que par conviction personnelle, et qu'il est avant tout un jeune homme ambitieux qui rêve de succès, de gloire et de célébrité, ce qui tend en ce sens tout naturellement à le rapprocher peut être de l'attitude d'un personnage comme le comte de Tressan en quête d'une place à l'académie des Lettres ? Voltaire d'ailleurs se serait bien passé lui même de cette intention (<em>l'envoi de la pièce</em>), ainsi que l'atteste cette lettre adressée à Helvetius :</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;">"<em>M. Palissot m'a envoyé sa pièce, reliée en maroquin, et m'a comblé d'éloges injustes qui ne sont bons qu'à semer la zizanie entre les frères...</em>" (Voltaire. 16 juillet 1760)</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;">Il va s'ensuivre une longue correspondance entre les deux hommes , dans laquelle Voltaire conscient des talents du jeune homme, va jouer de sa finesse et du double rôle qui lui est familier, pour tenter de rallier Palissot au camp des philosophes, tantôt en le félicitant hautement d'avoir représenté Rousseau (<em>avec lequel il était déjà fâché</em>) marchant à quatre pattes pour mettre en pratique ses doctrines sur la vie sauvage, tantôt en le blâmant de s'être attaqué à Dalembert et à Diderot (<em>alias Doritus dans sa comédie, qui fait pompeusement l'éloge de ses propres ouvrages</em>). Il reste que Palissot n'y consentit jamais, il était trop avancé, et la lutte était envenimée à un tel point qu'il ne pouvait plus reculer. Par ailleurs pour saisir les véritables considérations de Voltaire sur la pièce de théâtre de Palissot, il faut les chercher n'ont pas dans la correspondance échangée avec celui-ci, mais dans ses missives écrites à ses </span><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><em><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><span class="noAxdXBlock"><span class="postbody">« </span></span></span></em></span></span><em><st