Last posts on cip2024-03-28T12:11:39+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://www.hautetfort.com/https://www.hautetfort.com/explore/posts/tag/cip/atom.xmlLe déclinologuehttp://dernieregerbe.hautetfort.com/about.htmlUNE CLASSE POLITIQUE DE PLUS EN PLUS IMPUISSANTE ET SCLÉROSÉE… JUSQU’À PROVOQUER UNE RÉVOLUTION ?tag:dernieregerbe.hautetfort.com,2016-04-07:57868702016-04-07T23:09:00+02:002016-04-07T23:09:00+02:00 Les gens qui sont profondément...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;"> Les gens qui sont profondément hostiles au système actuel peuvent se diviser en deux catégories : ceux qui jugent qu’il n’est pas du tout démocratique (contrairement à ce qu’il prétend être), et ceux qui jugent qu’il est beaucoup trop démocratique. La seconde catégorie est bien plus minoritaire que la première, mais c’est vers elle que j’incline.</span><br /><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;"> Il y a un peu plus d’un mois, alors que le projet de loi sur le travail porté par Myriam El Khomri commençait à susciter un net rejet de l’opinion, cette opposition entre deux visions du système a pu subir une sorte de test expérimental. Une de mes connaissances, apparemment échaudée par l’adoption du mariage homosexuel malgré les massives manifestations de la droite catholique, se montrait convaincue que le projet allait passer de gré ou de force : « Je parierais beaucoup plus volontiers qu'ils vont s'en foutre. Souvenez-vous de ce qu'ils ont fait de la pétition contre le mariage homo<span style="background: white;">…</span> Ils peuvent choisir de faire passer coûte que coûte toutes les réformes qu'ils veulent voir adopter (y compris par le 49-3), même si ça doit leur coûter leur place<span style="background: white;">…</span> je pense à ça parce que je trouve qu'il y a une nette accélération dans les propositions/adoptions de réformes dont on ne parle qu'à peine d'ailleurs et qui ne mobilisent qu'une poignée de députés. » Pour ma part, je trouvais étrange – et assez « complotiste », bien plus qu’idéaliste – cette vision d’une classe politique prête à se sacrifier sur l’autel d’on ne sait quels intérêts secrets. La comparaison avec le mariage homosexuel est inadaptée : c’était une mesure de gauche rejetée par la France de droite. Là, on a une mesure de droite rejetée par la France de gauche. Comment croire que le gouvernement pourrait « se foutre » de braquer son propre électorat, à un an des élections ? En outre, le mariage homosexuel, c’était une « avancée sociétale », allant dans le sens d’un élargissement des droits de l’individu et d’une satisfaction de l’hédonisme : ce type de mesure passe toujours, depuis cinquante ans et plus. La bonne comparaison, pour moi, c’est l’échec du projet Devaquet pour les universités en décembre 1986, c’est l’échec du C.I.P. de Balladur en mars 1994, c’est l’échec de la réforme des retraites de Juppé en décembre 1995, c’est l’échec du C.P.E. de Villepin en mars 2006. À chaque fois, un gouvernement a tenté de toucher aux « avantages acquis » afin de remettre dans le bon sens la machine économique ; à chaque fois, la rue a massivement protesté contre ce qu’elle a perçu comme une atteinte à sa situation et une « précarisation » accrue de la vie économique ; trois fois, les jeunes ont refusé cet avenir meilleur qu’on leur préparait ; et à chaque fois, le gouvernement a cédé, incapable d’expliquer que les inconvénients pour un petit nombre permettraient une amélioration pour le plus grand nombre.</span><br /><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;"> Le 10 mars, mon contradicteur a cru triompher : Hollande venait d’annoncer qu’il n’était </span><a style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;" href="http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/citations/2016/03/10/25002-20160310ARTFIG00288-francois-hollande-exclut-tout-retrait-de-la-loi-el-khomri.php">pas question de retirer</a><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;"> le projet de loi. Je ne me laissai pas ébranler dans mon pronostic : je sais bien qu’un gouvernement commence toujours par affirmer son inflexibilité, pour tenter de tuer la fronde dans l’œuf. C’est quand les manifestations, loin de se décourager, redoublent d’ampleur, que les choses sérieuses commencent. Comme prévu, les syndicats intensifièrent la mobilisation (la pétition contre le projet, ayant rassemblé un million de signatures dès le 4 mars, était un indice très net du profond rejet populaire), et remportèrent très vite le bras-de-fer : dès le 14 mars, le projet de loi était </span><a style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;" href="http://www.ladepeche.fr/article/2016/03/14/2303659-loi-travail-valls-veut-un-nouveau-depart-au-projet-modifie.html">vidé de l’essentiel de sa substance</a><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;">. Le maintien de la pression de la rue et des syndicats, relayée par une offensive parlementaire, va entraîner </span><a style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;" href="http://actu.cotetoulouse.fr/analyse-loi-travail-el-khomri-une-defaite-en-rase-campagne_33247/">de nouvelles reculades</a><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;">. Une fois de plus, comme je l’avais prévu, un gouvernement a capitulé sous la pression de la rue. Capitulation qui, dailleurs, prouve aussi bien le manque de volonté de nos dirigeants que leur manque de pédagogie : ils ne savent pas expliquer leurs projets, ni les négocier pour les faire accepter en amont, ni les défendre pour les justifier en aval </span><a style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;" href="#_ftn1" name="_ftnref1">[1]</a><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;">. Quand le projet est annoncé, l’opinion est prise par surprise, et a le sentiment légitime qu’on cherche à lui faire un enfant dans le dos. On se plaint que le gouvernement ne respecte pas les aspirations du peuple, mais dès que celui-ci s’agite, il recule aussitôt. La « tyrannie de l’opinion » fait qu’il n’ose pas prendre des mesures qui paraissent impopulaires, dès lors que cette impopularité se fait bruyante et visible.</span><br /><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;"> </span><br /><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;"> Mais ma victoire a été de courte durée. Nous venons en effet d’apprendre l’adoption d’une proposition de loi modifiant la campagne de l’élection présidentielle. On se frotte les yeux en lisant </span><a style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;" href="http://www.lefigaro.fr/politique/2016/04/05/01002-20160405ARTFIG00303-election-presidentielle-ce-qui-va-changer.php">ces modifications</a><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;"> demandées et obtenues par le Parti Socialiste. Bien entendu, la barrière des « 500 signatures », qui empêche ou freine considérablement l’apparition d’un candidat hors système, est maintenue, alors que beaucoup demandaient son abaissement. Le seuil a été élevé en 1976 : auparavant, il en suffisait de 100 </span><a style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;" href="#_ftn2" name="_ftnref2">[2]</a><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;">. Rappelons que si le F.N., les trotskistes ou les écologistes parviennent à chaque fois à réunir ces 500 parrainages d’élus, ils éprouvent néanmoins des difficultés extrêmes à les obtenir. Il leur faut consacrer un gros buget et mobiliser beaucoup de militants pendant des mois (qui vont démarcher et relancer les maires les uns après les autres), pour atteindre ce sésame : c'est une énorme dépense de moyens et d'énergie, qui affaiblit d'autant leur campagne proprement dite. Au contraire, les candidats des partis du « système », comptant déjà des milliers d’élus locaux, n’ont qu’à claquer des doigts pour obtenir les signatures en trois jours.</span><br /><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;"> Loin d’assouplir la législation pour faire respirer la démocratie, les députés n’ont rien trouvé de mieux que de la durcir encore. Désormais, tous les parrainages seront publiés, ce qui pourra dissuader certains maires, qui pouvaient espérer passer à travers le tirage au sort et éviter ainsi que leurs électeurs leur reprochent d’avoir soutenu tel candidat. En outre, ce seront les parrains qui devront envoyer eux-mêmes leur signature au Conseil constitutionnel (et non plus les candidats, qui jusqu’à présent allaient déposer en une fois leur collecte), contrainte qui va leur paraître fastidieuse. Enfin et surtout, la période de campagne officielle, impliquant une stricte égalité de temps de parole entre tous les candidats, qui jusqu’à présent durait cinq semaines, sera désormais réduite à deux semaines. Deux semaines seulement tous les cinq ans, pendant lesquelles tous les candidats pourront se faire entendre pareillement ! Deux semaines d’expression égale, pour deux-cents-cinquante-huit semaines d’omniprésence médiatique des grands partis !<span style="background: white;">…</span></span><br /><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;"> « Faut-il en pleurer ou en avoir la nausée ? », demande Corinne Lepage </span><a style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;" href="http://www.huffingtonpost.fr/corinne-lepage/conditions-candidature-presidentielle_b_9552422.html">dans une tribune</a><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;"> qu’on ne peut qu’approuver. Candidate en 2002, et connaissant donc de l’intérieur le chemin-de-croix du petit candidat, elle note qu’en 2012, sur 42 000 parrainages possibles, moins de 15 000 ont été donnés… dont plus de 10 000 pour les deux principaux candidats ! Ce qui veut dire que moins de 5000 élus (12 % !) ont contribué à faire que le grand rendez-vous de la vie politique française soit autre chose qu’un simple face-à-face entre le P.S. et l’U.M.P. « Tout celà n'est pas supportable et parfaitement contraire à la démocratie, </span><em style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;">conclut-elle</em><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;">. Alors que 88 % de nos concitoyens souhaitent voter pour un candidat qui ne soit pas issu des grands partis politiques, ceux-ci se défendent en violant les règles de base de l'égalité entre les candidats. Dès lors qu'il s'agit de défendre leur fonds de commerce, la désaffection de nos concitoyens pour les politiques, l'abstention, la montée des extrêmes leur sont totalement indifférentes. »</span><br /><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;"> En effet, cette mesure est proprement ahurissante. On ne cesse de répéter qu’en France plus encore qu’ailleurs, il y a une crise de la démocratie, que la classe politique n’a jamais été aussi discréditée, que les citoyens ne se sentent pas représentés, que les dirigeants vivent dans une bulle, que le pays réel n’est plus écouté, que la parole politique est confisquée par une oligarchie… et voilà que, sans utilité réelle, les politiciens confirment exactement tout celà, et font en sorte de l’amplifier encore ! Ils élèvent le niveau d’entrée dans leur caste, ils confortent l’entre-soi, ils ferment un peu plus le jeu, ils verrouillent le scrutin. L’élection présidentielle, c’est bien connu, est la seule élection qui intéresse encore vraiment les Français, la seule qui leur donne l’impression de peser encore un peu sur le destin du pays. On pourrait dire : la dernière soupape de sûreté de la démocratie. Et voilà qu’on s’arrange pour en faire une partie jouée d’avance, pour décourager les petits candidats de s’y immiscer, pour faire barrage à toute irruption d’un citoyen hors-système qui viendrait bouleverser la donne ! Et celà au moment même où le désir d’un renouvellement de la classe politique se fait plus impérieux que jamais, où les quatre cinquièmes des Français ne souhaitent pas que le président sortant ni son prédécesseur se représentent, comme ceux-ci en ont pourtant l’intention évidente ! (et où, aux E.-U.A., le succès inattendu des candidatures de Donald Trump et de Bernie Sanders montre que, là-bas aussi, le ras-le-bol à l’égard de l’Établissement et le désir de renverser le Système sont de plus en plus prégnants).</span><br /><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;"> On en vient à se dire que ces politiciens autistes sont en train de jouer aux allumettes sur un baril de poudre. On se demande vraiment ce qu'ils ont dans la tête. Il faudrait que quelqu’un, devant toutes les télévisions, proclame avec la solennité qui convient : </span><em style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;">Tout celà finira très très mal ; vous ne mesurez pas le degré de mépris, de haine et d'exaspération que vous suscitez ; à force d’étouffer les protestations plus ou moins impuissantes, vous provoquerez une révolution dévastatrice ; la colère du peuple bafoué sera terrible ; à trop ignorer les citoyens, cette classe politique sera balayée dans la violence ; il y aura des têtes promenées au bout d’une pique</em><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;">. </span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-5344294" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://dernieregerbe.hautetfort.com/media/02/02/1055206359.jpg" alt="explosion sociale,révolte,révolution sociale,1793,exécutions sommaires,justice du peuple,pique,tête,aristocrates,révolution française" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;"> Un peu après mai 68, Raymond Aron et quelques autres constataient que, depuis deux siècles, les Français ont besoin d’une grande explosion à chaque génération. 1789, 1830, 1848, 1871, 1889 (crise boulangiste), 1934-36, 1958, 1968… En décembre 1995 le pays a été paralysé pendant quelques jours par les manifs contre le plan Juppé, en novembre 2005 les banlieues d’immigrés ont pris feu… deux répétitions d’un mouvement beaucoup plus détonant ? Ce pays est incapable de se réformer pacifiquement ; donc il se rigidifie, il se bloque, et quand la tension devient insupportable, il explose. La révolution périodique plutôt que la réforme permanente… Ainsi la question ne serait pas : la France va-t-elle connaître une terrible secousse, mais plutôt : </span><em style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;">quand</em><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;"> la prochaine secousse aura-t-elle lieu ?</span><br /><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;"> Parmi les indices qui peuvent nous faire croire à la survenue prochaine d’un évènement de type révolutionnaire, il y a celui-ci : c’est que de plus en plus de gens s’attendent à ce qu’il ait lieu. Attentif à ce qui paraît en librairie, j’ai été frappé que, ces dernières années, trois livres soient sortis portant exactement ce même titre : </span><em style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;">Ça va mal finir</em><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;">. Le premier est dû à Pierre-Louis Basse en janvier 2005 (Rocher) ; le deuxième à Nicolas Domenach en avril 2006 (Plon) ; le troisième à François Léotard en mars 2008 (Grasset). Voilà donc deux journalistes et un ancien homme politique qui ont senti l’arrivée d’une grande catastrophe sociale, au point d’avertir leurs concitoyens par ce pronostic alarmant. Mais une décennie s’est écoulée depuis les deux premiers, et rien ne s’est vraiment passé. Est-ce à dire que l’orage est derrière nous ? Je crois que de plus en plus de gens sentent obscurément qu’au contraire, la situation ne fait que se tendre de plus en plus, rendant de plus en plus inéluctable une issue violente, sous une forme ou sous une autre. Deux analogies historiques s'imposent aux esprits, ou du moins hantent les consciences : la crise des années 1930 <a style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;" href="#_ftn3" name="_ftnref3">[3]</a> et 1788 <a style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;" href="#_ftn4" name="_ftnref4">[4]</a>. Le simple fait que ces comparaisons reviennent de façon lancinante prouve que nos contemporains croient possible une explosion révolutionnaire, voire s'y attendent. Et en parler crée un climat favorable à son surgissement. Tant l’on crie Noël qu’à la fin il vient…</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-5344302" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://dernieregerbe.hautetfort.com/media/00/01/1864837296.jpg" alt="pierre-louis basse,nicolas domenach,françois léotard,ça va mal finir" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;"> Les deux évènements que j’ai pointés semblent diamétralement opposés : d’un côté un gouvernement qui recule dès que la rue s’agite, de l’autre des partis qui font en sorte de perpétuer leur mainmise sur la nation. Mais on peut se demander si cette opposition apparente ne cacherait pas une parenté secrète. Si la classe politique éprouve le besoin de verrouiller le système, n’est-ce pas parce qu’elle sent qu’il pourrait se retourner contre elle ? Si elle retire (ou vide) un projet de loi dès que celui-ci se voit contesté, n’est-ce pas parce qu’elle sent qu’en ne cédant pas là-dessus, elle pourrait être emportée tout entière ? Ces deux réactions fébriles ne trahiraient-elles pas, chacune à sa façon, la conscience angoissée que le pays lui glisse entre les mains ?</span><br /><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;"> J’ai commencé en opposant deux diagnostics contradictoires : absence de démocratie, excès de démocratie. Là encore, ne s’agirait-il pas de deux faces d’une même réalité ? Parce que l’État est déconnecté des forces profondes du pays réel, il se livre à l’opinion que fabriquent les sondages, les médias et les groupes de pression, il se laisse tyranniser par l’opinion superficielle, humorale, versatile de la populace, réalisant cette </span><em style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;">ochlocratie</em><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;"> (pouvoir de la foule) dans laquelle Polybe et les anciens voyaient le pire des régimes.</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;"> <em>Retractatio</em> : Si cet article porte un titre interrogatif, c'est que je n'ai aucune idée de la réponse. Contrairement à P.-L. Basse, N. Domenach et F. Léotard, jamais je ne publierai un texte affirmant posément que la survenue prochaine d
ArnaudMercierhttp://affairesversailles.hautetfort.com/about.htmlUn nouvel outil anti-crise pour les entreprises du départementtag:affairesversailles.hautetfort.com,2009-11-16:24702432009-11-16T13:49:00+01:002009-11-16T13:49:00+01:00 Un nouvel outil anti-crise pour les entreprises du...
<p><img alt="Accueil" src="http://www.versailles.cci.fr/CCIV_UPT.nsf/bd_haut_logo.jpg" /></p> <p> </p> <p><strong><span style="font-family: Arial; color: #000080; font-size: x-small;">Un nouvel outil anti-crise pour les entreprises du département</span></strong></p> <p><br /> <span style="font-family: Arial; font-size: x-small;">Le "Centre d'information sur la prévention des difficultés des entreprises" (</span><strong><span style="font-family: Arial; font-size: x-small;">CIP</span></strong><span style="font-family: Arial; font-size: x-small;">) s'adresse aux petites entreprises des Yvelines. Il s’agit d’une association qui regroupe des juges consulaires, des experts comptables, des commissaires aux comptes, des avocats et des professionnels de la Chambre de métiers et de l'artisanat et de la CCI de Versailles Val-d'Oise/Yvelines. Tout chef d'entreprise peut ainsi rencontrer gratuitement et de façon confidentielle un groupe composé de quatre professionnels. Les permanences se tiennent toutes les 2 semaines, à partir du</span> <strong><span style="font-family: Arial; font-size: x-small;">19 novembre 2009</span></strong><span style="font-family: Arial; font-size: x-small;">.</span> <strong><span style="text-decoration: underline;"><span style="font-family: Arial; font-size: x-small;">Contact</span></span></strong> <span style="font-family: Arial; font-size: x-small;">: tél. 0130847883</span></p> <div align="center"><span style="font-family: Arial; font-size: x-small;">courriel :</span> <span style="font-family: Arial; color: #0000ff; font-size: x-small;">cipyvelines@versailles.cci.fr</span></div> <div align="center"></div> <div align="center"><span style="font-family: Arial; color: #0000ff; font-size: x-small;">Source : <a href="http://www.versailles.cci.fr/CCIVActu.nsf/nFA/9FA68C97DD53B5E2C12572F1004D77E7?OpenDocument">http://www.versailles.cci.fr/CCIVActu.nsf/nFA/9FA68C97DD53B5E2C12572F1004D77E7?OpenDocument</a></span></div> <p> </p> <div class="boxtitleless-decorator1" id="box-mybox1742571"> <div class="boxtitleless-decorator2"> <div class="boxtitleless-decorator3"> <div class="link-note"><iframe scrolling="no" allowtransparency="true" hspace="0" vspace="0" marginheight="0" marginwidth="0" src="http://zbox.zanox.com/ppb/?312547C908908646S0&DefaultURL=&master=11&page=126&ma_website_id=183924&ttbg=#FFFFFF" frameborder="0" height="200" width="200" name="zanox_adbox_frame"></iframe></div> </div> </div> </div> <div class="boxtitleless-decorator1" id="box-mybox1727747"> <div class="boxtitleless-decorator2"> <div class="boxtitleless-decorator3"> <div class="link-note"></div> </div> </div> </div> <p> </p>