Last posts on chouraqui2024-03-28T14:04:23+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://www.hautetfort.com/https://www.hautetfort.com/explore/posts/tag/chouraqui/atom.xmlrobinsondesileshttp://robinsondesiles.hautetfort.com/about.htmlConfinement: jour 11tag:robinsondesiles.hautetfort.com,2020-03-29:62250302020-03-29T19:22:49+02:002020-03-29T19:22:49+02:00 (samedi 28/3/20) Samedi, c'est repos. Réveillé et rendormi, j'ai fini...
<div id="js_6" class="_5pbx userContent _3576" data-testid="post_message" data-ft="{"tn":"K"}"><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">(samedi 28/3/20)</span></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Samedi, c'est repos. Réveillé et rendormi, j'ai fini par me lever à 10h ! Le soleil a fait comme moi, il est resté calfeutré derrière les nuages. Des nuages blancs, sans âme, poussé par le vent froid dont je ne sais même pas d'où il vient. Je suis ensuite entré dans le Livre. Cette fois-ci je prends les références du grand traducteur, André Chouraqui*. Voilà un homme qui n'était ni théologien, ni rabbin, et qui a re-traduit la Bible avec des recherches originales sur l'origine des mots. Sa traduction, plutot "mot à mot", et ça me plait. beaucoup.</span></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Je mets en bas de page son introduction au 3éme livre de la Bible "vayikra" qu'il traduit par "le cri" et que les traductions françaises traduisent par "le lévitique". Cette traduction fait référence aux lévites, les gardiens du Temple, qui avaient pour mission de gérer la Tente d'Assignation, car ce troisième livre de la Torah aborde toutes les obligations et les lois qui sont sous l'autorité des lévites.</span></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">après l'étude, une balade dans les environs. Les coquelicots sont sortis, ils ponctuent de points rouges le patchwork des ocres du désert. Leur floraison signera la fin de la pluie, et le début du temps sec et chaud, mais la chaleur, c'est pas pour aujourd'hui. J'ai fini ma ronde autour du camp. Des jeunes, confinés aussi, ont construit une véranda devant ma yourte. Il l'ont fabriquée avec d'anciennes traverses de chemin de fer qui viennent, dit-on ici, de l'ancienne Rodhésie. Le propriétaire du camp, amateur de bois et de menuiserie les a retaillé, raboté, et elles figurent maintenant en plancher original... Quand ce sera fini, j'enverrai des images.</span></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Sur le soir, à l'accoutumée, compte rendu familial sur messagerie instantanée. On se regarde, on se sourit, mais on sait bien que ce n'est pas suffisant. Les gens qui s'aiment ont besoin de se toucher, de s'étreindre. Nos corps sont les malheurs de nos âmes.</span></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Introduction de la traduction du troisième live de la Torah par André Chouraqui :</span><br /><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">" Il crie vers Moshè..." Ainsi débute ce volume, avec ces mots dont la racine est voisine du mot arabe Qur’an qui donne en français: Coran, le Cri, proclamation publique de la parole d’Allah.</span><br /><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Ce troisième livre du Pentateuque constitue une entité indépendante, une sorte de manuel sacerdotal qui nous fait pénétrer à l’intérieur du sanctuaire dont l’Exode avait décrit la construction. L’accent est mis sur les lois régissant le culte rendu par les kohanîm, les desservants ou prêtres, le mot levitos ayant fini par désigner en grec les kohanîm, les desservants, plutôt que leurs acolytes, léviîm, les lévites.</span><br /><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">La source sacerdotale (P) est évidente dans le Lévitique, dont le style est caractéristique de la manière des prêtres, soucieux de maintenir la pureté des traditions.</span><br /><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">L’impact du Lévitique sur les Hébreux et, après la naissance du christianisme, sur l’Église, est d’autant plus grand que ce livre contient 247 des 613 commandements de la Bible, et certains des plus importants puisqu’ils concernent la torah des consécrations, les rites sacrificiels et la vie du sanctuaire. Les kohanîm ou desservants sont investis d’une double mission: enseigner à Israël à distinguer le sacré du profane, la pureté de la contamination, et à purger le sanctuaire, source de toute bénédiction, de ce qui aurait pu le contaminer, donc entraver ses fonctions divines et cosmiques. L’univers de la Bible vit grâce à l’économie d’oblation des rites sacrificiels, qui en permettent l’harmonieux fonctionnement: ‘ola (montée ou holocauste), mînha (offrande) et shelamîm (sacrifices de pacification) sont les trois types de sacrifices spontanément offerts par l’homme pour renouer ses relations avec la divinité (ch. 1-3).</span><br /><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Hatat (défauteur) et ashâm (coulpe) sont destinés à effacer une faute ou une culpabilité (ch. 4-5). Le sacrifice et l’offrande correspondent ainsi à un besoin de l’homme, soucieux d’être en règle avec la divinité: les prophètes, cependant, ne cessent de critiquer les rites sacrificiels lorsque ceux-ci se montrent impuissants à élever l’homme à une plus grande transparence spirituelle et morale. L’offrande faite à IHVH-Adonaï, donc à ses prêtres, consiste soit en animaux gros et petit bétail, oiseaux purs , soit en céréales. Le rite solennise et souvent dramatise l’offrande dont il accuse l’efficacité mystique et parfois magique. La valeur suprême du sacrifice vient de ce qu’il exprime en toute circonstance la volonté de IHVH-Adonaï révélée à Moshè. D’où l’importance d’une législation fort détaillée n’omettant aucun des détails qui donneront son efficacité au rite. Les cérémonies ont pour but suprême d’assurer le bon fonctionnement du pacte, garant de toute paix et de toute bénédiction accordée par IHVH-Adonaï à Israël et au monde (ch. 6-7).</span><br /><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Les chapitres 8 à 10, qui définissent les rites de consécration du sanctuaire et de ses desservants, constituent une suite logique et chronologique des chapitres 35 à 40 de l’Exode. Il est remarquable que le récit soit dominé par la haute figure de Moshè, qui n’était pas prêtre, et non par Aarôn: partout dans la Bible, l’inspiré a priorité sur le desservant, même dans ce code sacerdotal.</span><br /><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Mais davantage qu’un code, le volume du Lévitique est aussi un immense poème incantatoire d’une facture parfois étonnamment moderne. La phrase lapidaire épouse toujours des rythmes haletants pour décrire l’homme de la Bible confronté, sous le regard de son Dieu, aux exigences du sacrifice, de l’offrande ou de l’oblation, comme aux fatalités de la vie et de la mort."</span><br /><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;"><a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Andr%C3%A9_Chouraqui?fbclid=IwAR07-GD81YZR6QOpx7YULnzX1czZT1YFXun1K6ZhhWTIjwM-flCgt_ZxM7M" target="_blank" rel="noopener nofollow" data-ft="{"tn":"-U"}" data-lynx-mode="asynclazy" data-lynx-uri="https://l.facebook.com/l.php?u=https%3A%2F%2Ffr.wikipedia.org%2Fwiki%2FAndr%C3%A9_Chouraqui%3Ffbclid%3DIwAR07-GD81YZR6QOpx7YULnzX1czZT1YFXun1K6ZhhWTIjwM-flCgt_ZxM7M&h=AT3r3bKjsJJji_DKuOqsWYK_9sGAYdCskBhXXADme2r-OrL_aZD5KHinT_fzA8odCxeNd6WiCzf1G2EZpBiehLGfl0sZI3cSvqQC-_9j024sAr879j6RNm5iuxYOhlmpLrxPJeRmyNP0gqGjagyKXnlMJPT7">https://fr.wikipedia.org/wiki/André_Chouraqui</a></span></p></div><div class="_3x-2" data-ft="{"tn":"H"}"><div data-ft="{"tn":"H"}"><div class="mtm"><div><div class="_1ktf" data-ft="{"tn":"E"}"><div class="uiScaledImageContainer _517g"><img class="scaledImageFitWidth img" src="https://scontent.ftlv14-1.fna.fbcdn.net/v/t1.0-9/p843x403/91991275_10221997052659488_5422866437104467968_o.jpg?_nc_cat=103&_nc_sid=8024bb&_nc_oc=AQmwt4TtUpq5KJfF2qo9DYJOf_alrFiPiI0D1sOBK4iyODpnhEcKF21jbtRm_M7dBB0&_nc_ht=scontent.ftlv14-1.fna&_nc_tp=6&oh=c33b276957451fafb9ccdd0a9a8ced95&oe=5EA6AB06" alt="L’image contient peut-être : plante, herbe, plein air et nature" width="500" height="769" data-src="https://scontent.ftlv14-1.fna.fbcdn.net/v/t1.0-9/p843x403/91991275_10221997052659488_5422866437104467968_o.jpg?_nc_cat=103&_nc_sid=8024bb&_nc_oc=AQmwt4TtUpq5KJfF2qo9DYJOf_alrFiPiI0D1sOBK4iyODpnhEcKF21jbtRm_M7dBB0&_nc_ht=scontent.ftlv14-1.fna&_nc_tp=6&oh=c33b276957451fafb9ccdd0a9a8ced95&oe=5EA6AB06" /></div></div></div></div></div></div>
joliefillehttp://netravaillezjamais.hautetfort.com/about.htmlNourith reprend Michel Polnareff !tag:netravaillezjamais.hautetfort.com,2013-10-17:51986832013-10-17T14:59:22+02:002013-10-17T14:59:22+02:00 On adore cette reprise de Michel Polnareff ! Nourith, l'interprète des...
<p><iframe width="420" height="315" src="http://www.youtube.com/embed/LOTxoD-FXos" frameborder="0" allowfullscreen=""></iframe></p><p>On adore cette reprise de Michel Polnareff ! Nourith, l'interprète des Dix Commandements prouve une fois de plus sa finesse vocale, on savoure !</p><p> </p><p><img id="media-4291225" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://netravaillezjamais.hautetfort.com/media/02/01/1131344266.jpg" alt="DSC_8526.jpg" /></p>
Edouard S.http://nightswimming.hautetfort.com/about.htmlC'était mieux avant... (Décembre 1984)tag:nightswimming.hautetfort.com,2009-12-02:24944142009-12-02T19:14:00+01:002009-12-02T19:14:00+01:00 Novembre passé, la fin de l'année approche. Il est temps de nous poser la...
<p style="text-align: justify;"><a href="http://nightswimming.hautetfort.com/archive/2009/10/30/c-etait-mieux-avant-novembre-1984.html">Novembre</a> passé, la fin de l'année approche. Il est temps de nous poser la question : mais que se passait-il donc dans les salles de cinéma françaises en <b>Décembre 1984</b> ?</p> <p style="text-align: justify;"><img src="http://nightswimming.hautetfort.com/media/00/02/713802081.jpg" alt="sosfantomes.jpg" id="media-2137461" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" />Les enfants ont-ils été gâtés ? <b><i>Le bébé Schtroumpf</i></b> n'est guère resté dans les mémoires, malgré le coup de main donné à Peyo par Joseph Barbera et William Hanna, mais, pour rester dans l'animation, <b><i>Le conte des contes</i></b> regroupait en un seul programme plusieurs courts de l'un des maîtres du genre, Youri Norstein. <b><i>La poule noire</i></b>, film soviétique de Victor Gress, se présentait aussi comme un conte pour enfants. De plus, les gamins passionnés par la vie des animaux pouvaient traîner leurs parents voir <b><i>Sauvage et beau</i></b>, le documentaire de Frédéric de Rossif (sur la musique de Vangelis). En revanche, à qui étaient vraiment destinés <b><i>Sheena, reine de la jungle</i></b> (de John Guillermin, avec Tanya Roberts) et l'alléchant <b><i>J'ai rencontré le Père Noël</i></b> (de Christian Gion, avec Karen Cheryl) ?</p> <p style="text-align: justify;">A l'époque, ayant passé l'âge de voir ce genre de choses, je m'étais déplacé pour suivre la treizième (!) aventure commune de Terence Hill et Bud Spencer et ce fut bien, pour moi, la dernière fois (<b><i>Attention les dégats !</i></b>, une vague histoire exotique à base de sosies, torchée par E. B. Clucher). Les deux grosses sorties américaines du mois, toujours au rayon "famille", avaient tout de même une autre allure puisqu'il s'agissait de <b><i>Gremlins</i></b> et de <b><i>S.O.S. Fantômes</i></b>, deux "dates" dans l'histoire de la comédie fantastique. Ni l'un ni l'autre ne doivent trop crouler sous le poids des ans et la revoyure ne doit pas être désagréable (malgré Bill Murray, un léger avantage devant certainement rester au Joe Dante par rapport au Ivan Reitman).</p> <p style="text-align: justify;">Ciblant le "grand public", <b><i>Nemo</i></b> d'Arnaud Sélignac (coproduction franco-britannique) se voulait follement ambitieux. L'entreprise menée sur les chemins de l'imaginaire aboutit à un flop mémorable (le film, lui, ne l'est pas : je n'en garde aucune image en tête, au point de douter de l'avoir vu un jour). Dernier titre connu de mes services dans cette liste mensuelle : <b><i>Paroles et musique</i></b> d'Elie Chouraqui. En ce temps-là, j'aurai effectivement suivi Christophe Lambert dans tous ses déplacements (ici au Canada, avec Deneuve et Anconina). Aujourd'hui, je préfère protéger mes oreilles avant tout.</p> <p style="text-align: justify;"><img src="http://nightswimming.hautetfort.com/media/02/01/1224056467.jpg" alt="matelot512.jpg" id="media-2137459" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" />En décembre 84, le Père Noël avait déposé, à côté du paquet rose réservé aux adultes (<b><i>Les cochonnes</i></b>, <b><i>La maison des mille et un plaisirs</i></b>...), un panier garni de films de kung-fu : <b><i>Le défi meurtrier du Tigre Noir</i></b> (But Fu), <b><i>La fureur de Shaolin</i></b> (Tao Man Po), <b><i>Les huit hommes d'or de Shaolin</i></b> (Lin Bin), <b><i>Les sept magnifiques du kung-fu</i></b> (Kung Aug) et <b><i>Les massacreurs du temple d'or</i></b> (Chung Chi). On pouvait également tomber sur un film-opéra (<b><i>Aïda</i></b>, de Clemente Fracassi), sur de l'horreur post-nucléaire italienne (<b><i>Les rats de Manhattan</i></b> de Bruno Mattei), sur du thriller à la française (<b><i>La septième cible</i></b> de Claude Pinoteau, avec Lino Ventura)... ou encore, en vrac : <b><i>Réveillon chez Bob</i></b> (Denys Granier-Deferre), <i><b>La femme ivoire</b></i> (Dominique Cheminal), <b><i>Hotel New York</i></b> (Jackie Raynal), <b><i>Partenaires</i></b> (Claude d'Anna), <b><i>Un été d'enfer</i></b> (Michael Shock).</p> <p style="text-align: justify;">Finalement, de ce programme semblent se détacher, aux côtés du <i>Conte des contes</i> et des deux comédies US pré-citées, trois titres singuliers : <b><i>Le matelot 512</i></b>, le mélodrame distancié de René Allio, <b><i>Le pays où rêvent les fourmis vertes</i></b>, nouvelle épopée de Werner Herzog (certes pas la plus réputée) et <b><i>Bayan Ko</i></b>, le thriller social subversif du philippin Lino Brocka.</p> <p style="text-align: justify;"><img src="http://nightswimming.hautetfort.com/media/00/00/1981159591.JPG" alt="revuecinema400.JPG" id="media-2137462" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" />A la une de la presse cinéma, nous retrouvions Johnny Hallyday (<i>Première</i>, 93) et surtout François Truffaut, suite à sa disparition en octobre 1984 (<i>Cinéma 84,</i> 312, et <i>Cinématographe</i>, 105). Logiquement, <i>Starfix</i> (21) et <i>L'Écran Fantastique</i> (51), tout comme <i>La revue du Cinéma</i> (400), faisaient leur fête aux <i>Gremlins</i>. <i>Positif</i> (286) revenait sur le film de Michael Radford, <i>1984</i>, et <i>Jeune Cinéma</i> (163) sur celui de Souleymane Cissé, <i>Baara</i>, sortis respectivement en novembre et octobre. Les <i>Cahiers du Cinéma</i> (366), de leur côté, prenaient un peu d'avance en affichant le <i>Stranger than Paradise</i> de Jarmusch.</p> <p style="text-align: justify;">Voilà pour décembre 1984. La suite le mois prochain...</p> <p style="text-align: justify;"> </p> <p style="text-align: justify;">Pour en savoir plus : <a href="http://eightdayzaweek.blogspot.com/2006/02/gremlins.html"><i>Gremlins</i></a>, <a href="http://eightdayzaweek.blogspot.com/2007/07/les-rats-de-manhattan.html"><i>Les rats de Manhattan</i></a> & <i><a href="http://eightdayzaweek.blogspot.com/2009/11/quel-film-avons-nous-vu-ce-jour_30.html">La septième cible</a></i> vus par Mariaque, <i><a href="http://shangols.canalblog.com/archives/2008/07/10/9880356.html">Le pays où rêvent les fourmis vertes</a></i> vu par Shangols.</p>
Houdaerhttp://houdaer.hautetfort.com/about.htmlLundi 16 octobretag:houdaer.hautetfort.com,2006-10-16:10752052006-10-16T07:15:00+02:002006-10-16T07:15:00+02:00 Le quatrième numéro de « La...
<span style="font-size: 14pt; font-family: Verdana"><span> </span> Le quatrième numéro de « <span style="color: maroon"><a href="http://www.lechoixdeslibraires.com/livre-26416-la-sur-de-l-ange-n4-a-quoi-bon-dieu.htm"><span style="color: maroon">La sœur de l’ange</span><font color="#000066"> </font></a></span>» vient de sortir. Il vaut ses 18, 50 €. Je ne suis pas peu fier d’y présenter (brièvement) un texte de Vialatte ainsi que d’y glisser une (longue) nouvelle. Du côté des noms connus : Debord, Philippe Corcuff, Andrée Chédid, Jean-Yves Leloup, André Chouraqui etc. Un cahier passionnant consacré au « Grand jeu ». Crépu et Bernanos. Yannis Constantinidès & Sophie Deltin pour « Nietzsche et la fiction ». Comment résumer les 250 pages de ce numéro ?</span> <p> </p>