Last posts on cheyennnes2024-03-29T08:32:07+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://www.hautetfort.com/https://www.hautetfort.com/explore/posts/tag/cheyennnes/atom.xmlThibault Chaplainhttp://lacountrymusic.hautetfort.com/about.html”Atelier Fol'Fer” a réédité ”Journal peau Rouge” de Jean Raspailtag:lacountrymusic.hautetfort.com,2012-05-09:47099592012-05-09T14:12:00+02:002012-05-09T14:12:00+02:00 Quand il publia, en 1975, ce Journal peau-rouge que...
<p><span style="font-family: 'arial', 'helvetica', sans-serif; font-size: medium;"> </span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-3574995" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lacountrymusic.hautetfort.com/media/01/00/4163075881.jpg" alt="journal d'un peau rouge,jean raspail,sioux,cherokees,crow,cheyennnes" /></p><p> </p><p><span style="font-family: 'arial', 'helvetica', sans-serif; font-size: medium;">Quand il publia, en 1975, ce Journal peau-rouge que nous retrouvons aujourd’hui, Jean Raspail le sous-titra : « Mes libres voyages dans les réserves indiennes des Etats-Unis d’Amérique ». Retenons ce mot : libres. Car ce Journal peau-rouge, qui venait contrebattre l’habituelle littérature indianiste du temps, est d’abord celui d’un homme libre. L’autre mot, c’est réserves. « Libres » et « réserves ». Quasiment un oxymore…</span><br /><br /> <br /><br /><span style="font-family: 'arial', 'helvetica', sans-serif; font-size: medium;">« On est toujours le Peau-Rouge de quelqu’un » aime à dire Jean Raspail qui, toute sa vie, a écrit sur les minorités perdues, les peuples oubliés, voire disparus. C’est donc avec empathie qu’il était allé à la rencontre des Cherokees, des Crows, des Choctaws, des Sioux, des Cheyennes, etc. Sans pour autant, lui qui a écrit La Hache des steppes (où il partait à la recherche des Huns et des autres), déterrer la hache de guerre et charger encore un peu plus le fardeau de l’homme blanc.</span><br /><br /> <br /><br /><span style="font-family: 'arial', 'helvetica', sans-serif; font-size: medium;">L’écrivain sioux Vine Deloria, lassé des indiâneries des bien-pensants, a écrit : « Un guerrier tué au combat peut toujours gagner les Heureux Terrains de Chasse. Mais où se rendra un Indien étendu pour le compte par un anthropologue ? À la bibliothèque ? »</span><br /><br /> <br /><br /><span style="font-family: 'arial', 'helvetica', sans-serif; font-size: medium;">Qui se souvient des Hommes ? a naguère demandé Jean Raspail en mémoire et à la mémoire d’autres « Indiens » totalement disparus, eux. Qui se souvient des Indiens ? Eh bien, Jean Raspail qui, à la différence des anthropologues patentés, sort des sentiers battus. Sans s’embourber pour autant sur la piste des larmes.</span><br /><br /> <br /><br /><span style="font-family: 'arial', 'helvetica', sans-serif; font-size: medium;">pour commander le livre: http://www.atelier-folfer.com/edition/edition4.html</span></p>