Last posts on caucasiens2024-03-28T17:08:42+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://www.hautetfort.com/https://www.hautetfort.com/explore/posts/tag/caucasiens/atom.xml.http://pdf31.hautetfort.com/about.htmlUne Maghrébine demande à Jacadi moins de “Caucasiens” et plus de “blacks” et d'”asiatiques”tag:pdf31.hautetfort.com,2018-01-15:60173272018-01-15T09:08:00+01:002018-01-15T09:08:00+01:00 Publié par Guy Jovelin le 15 janvier 2018 Eric Martin 15 janvier...
<p>Publié par Guy Jovelin le 15 janvier 2018 </p><div class="post-img post-img-0 post-img-9" style="text-align: right;"><div class="post-meta-author"><a title="Articles par Eric Martin" href="https://www.ndf.fr/author/ericmartin/" rel="author">Eric Martin</a></div><div class="post-meta-date">15 janvier 2018</div> <p style="text-align: center;"><img id="media-5753813" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://pdf31.hautetfort.com/media/01/02/772533361.5.jpg" alt="asiatique,blacks,caucasiens,grand remplacement,jacadi,maghrébine" /></p></div><div class="post-meta"> </div><div class="post-inner"><div class="post-inner-content"><p>Les entreprises aussi doivent faire avec le Grand Remplacement :</p><p><img class="aligncenter size-full wp-image-110342" src="https://www.ndf.fr/wp-content/uploads/2018/01/jacadi.png" sizes="(max-width: 540px) 100vw, 540px" srcset="https://www.ndf.fr/wp-content/uploads/2018/01/jacadi.png 540w, https://www.ndf.fr/wp-content/uploads/2018/01/jacadi-199x300.png 199w, https://www.ndf.fr/wp-content/uploads/2018/01/jacadi-399x600.png 399w" alt="" width="540" height="813" /></p><p> </p><p>Source : <a href="https://www.ndf.fr/nos-breves/15-01-2018/une-maghrebine-demande-a-jacadi-moins-de-caucasiens-et-plus-de-blacks-et-dasiatiques/">ndf</a></p></div></div>
francoishttp://dejudasatartuffelettresaumonde.hautetfort.com/about.htmlTant pistag:dejudasatartuffelettresaumonde.hautetfort.com,2013-11-20:52261502013-11-20T15:08:00+01:002013-11-20T15:08:00+01:00 Alors les bleus, ont réussi à se qualifier pour la coupe au Brésil,...
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Alors les bleus, ont réussi à se qualifier pour la coupe au Brésil, personnellement je le regrette. En dehors du fait qu’il va nous falloir subir une flopée de matchs qui vont encombrer les écrans, je le dis franchement je regrette que cette équipe prétende représenter la France.</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">D’abord on peut se demander pourquoi nuls à Kiev, ils se sont réveillés à Paris, probablement parce qu’ils auraient autrement perdu beaucoup d’argent.</p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">De Gaulle disait : <em style="mso-bidi-font-style: normal;">« </em><span class="citation1"><em style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="mso-fareast-font-family: 'Times New Roman'; mso-bidi-font-family: 'Times New Roman';">Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne </span></em></span><span class="citation1"><span style="mso-fareast-font-family: 'Times New Roman'; mso-bidi-font-family: 'Times New Roman';">» est ce franchement l’image qu’en donne l’équipe dite « de France », cette équipe genre Bamako, où on exige de manger halal et où on ne connaît pas la Marseillaise et surement pas le latin.</span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span class="citation1"><span style="mso-fareast-font-family: 'Times New Roman'; mso-bidi-font-family: 'Times New Roman';">Quand je vois les bonnes équipes, elles sont généralement composées de nationaux, de même couleur, luttant pour leur pays. Je me suis senti plus représenté par les Caucasiens Ukrainiens.</span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span class="citation1"><span style="mso-fareast-font-family: 'Times New Roman'; mso-bidi-font-family: 'Times New Roman';">Je me souviens d’une photo de l’équipe des « <em style="mso-bidi-font-style: normal;">bleuets</em> », il y avait dix noirs et un blanc qui était d’ailleurs peut être maghrébin et à qui on avait confié le fanion.</span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span class="citation1"><span style="mso-fareast-font-family: 'Times New Roman'; mso-bidi-font-family: 'Times New Roman';">Pourquoi limite-t-on la sélection aux cités sensibles pour recruter des analphabètes, prétentieux et mal élevés dont la seule motivation est de gagner beaucoup d’argent. Recrutons des Gourcuff, des Gaulois qui aiment leur pays.</span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span class="citation1"><span style="mso-fareast-font-family: 'Times New Roman'; mso-bidi-font-family: 'Times New Roman';">Quand je me souviens de l’Afrique du sud, je suis inquiet.</span></span></p>
Ferrierhttp://thomasferrier.hautetfort.com/about.htmlDe la religion « nostratique » ou « caucasique »tag:thomasferrier.hautetfort.com,2013-06-23:51048112013-06-23T16:24:00+02:002013-06-23T16:24:00+02:00 Le terme de « nostrate » désigne un macro-groupe linguistique qui serait...
<p style="text-align: justify;"><img src="http://thomasferrier.hautetfort.com/media/01/02/229287637.png" alt="" /></p><p style="text-align: justify;"><img id="media-4156414" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://thomasferrier.hautetfort.com/media/02/01/2254988818.jpg" alt="Stonehenge.jpg" />Le terme de « nostrate » désigne un macro-groupe linguistique qui serait à la base de nombreux groupes linguistiques propres à la majorité des populations europoïdes, à savoir les groupes indo-européen, afrasien, ouralien, altaïque et caucasien, sans oublier le basque et les langues asianiques (hatti, hourrite) ainsi que le sumérien et l’élamite.<br /><br />Si une langue originelle a pu exister aux débuts d’existence de l’homme moderne en Eurasie, il est possible d’imaginer de la même façon une religion originelle dont les traits se retrouveraient dans les différents polythéismes qui y prendraient leur source.<br /><br />Cette religion « nostratique » ou « caucasique » reposerait sur l’existence de puissances divines, et songeons que le nom des dieux <em>Valar</em> imaginés par Tolkien signifie aussi « les puissances », de la racine indo-européenne *bhel-, « force », qu’on retrouve dans le russe <em>vlast’</em>, « pouvoir ». Par « puissance », il faut comprendre que la divinité est l’incarnation d’une puissance cosmique, d’un astre ou d’un phénomène, d’une force naturelle.<br /><br />Le couple divin de base unit le dieu du ciel et la déesse de la terre, la seule exception étant dans la mythologie égyptienne l’inversion sexuelle entre les deux (Geb est le dieu de la terre et Nout la déesse du ciel, mais l’un et l’autre continuent de former un couple sacré). Au cœur de la religiosité indo-européenne, on retrouve l’union de *dyeus et de *dhghom, le *pater et la *mater. La base de la théogonie hésiodique, comme de la théogonie sumérienne d’ailleurs, est bien l’union de ces deux principes (Ouranos et Gaia, An et Ki), regroupée en sumérien sous le concept d’Anki, entouré de l’Abzu ou « océan primordial » (Océanos en grec).<br /><br />Chez les anciens Sémites, le dieu du ciel *Ilu a comme parèdre une divinité de la fécondité, qui est *Atiratu (cananéenne Asherah), mais dont le rôle chtonien paraît davantage réduit dans un environnement semi-désertique. En Iran zoroastrien, l’union d’Asman (le ciel) et de Zamyat (la terre) est également présente même si son rôle en religion est très affaibli, remplacée par l’union d’Ahura Mazda et de sa parèdre Ahurani. Enfin, en Inde, le couple ciel-terre, regroupé dans l’expression dyavaprithivi, est certes fondamental mais le rôle des divinités en question est en revanche extrêmement mineur.<br /><br />D’une manière générale, le dieu du ciel donne son nom aux autres divinités, les *deywês indo-européens étant descendants de *dyeus, comme les *iluhim sémitiques le sont de *ilu, comme les diala sont les fils du dieu du ciel Diala dans la mythologie tchétchéno-ingouche et comme les <em>tanrilar</em> turcs sont fils de Tanri, le « loup gris ». Enfin, les dieux sumériens sont appelés Annunaki, du nom du dieu céleste An et les dieux hongrois sont des <em>isteni</em>, du nom du dieu céleste Isten. Il y a toutefois quelques exceptions, comme chez les Etrusques, où les dieux sont appelés <em>aisar</em>, et n’ont pas de lien direct avec le dieu céleste Tinia, mais le terme « aisar » rappelle l’indo-européen *ansus, « divinité », et surtout chez les Basques. Chez ces derniers, le nom des dieux est <em>jainko</em> (féminin <em>jainkosa</em>) et n’a pas de lien avec le nom du dieu du ciel, Urtzi, même s’il est possible que par le passé les choses aient pu être différentes. Enfin, la déesse de la terre, en tant qu’épouse du dieu du ciel, porte parfois un nom spécifique dans ce rôle. Ainsi est-elle *Ilatu chez les anciens Sémites et *Diwni chez les anciens Indo-Européens (grecque Dionê, latin Diana).<br /><br />De ce couple primordial proviennent les autres dieux et déesses composant le panthéon, qui n’est pas composé d’une multitude de dieux mais de grandes figures mythiques représentant les forces élémentaires de l’univers (terre, air, eau, feu), les astres (soleil, lune, étoiles et planètes) et les phénomènes atmosphériques (aurore, orage, crépuscule, nuit), ainsi que les êtres vivants (animaux sauvages et d’élevage, forêts et champs agricoles). Par extension, ces divinités ont aussi un rôle social, patronnant des activités humaines fondamentales (agriculture, navigation, chasse, guerre, souveraineté politique, arts) ou des sentiments (amour, discorde, harmonie, honneur).<br /><br />Dans les panthéons, un dieu spécifique a un rôle majeur, au point parfois de détrôner le dieu céleste. Il est *Adadu dit *Balu (Baal) chez les anciens Sémites, *Maworts (qui a donné Mars à Rome) chez les anciens Indo-européens. On le retrouve sous les traits d’Orko au pays basque, le maître du tonnerre, et de même sous ceux de Buran chez les anciens Turcs, de l’Hadur hongrois ou encore de l’Ishkur sumérien et du Sela vaïnakh. Ce dieu de l’orage est aussi le dieu de la guerre, même si cette fonction finira bien souvent par être attribuée à un dieu spécifique, comme Moloz chez les Géorgiens. Chez les Grecs et les Romains, la fonction orageuse sera assumée par le dieu du ciel (Zeus, Jupiter), laissant aux héritiers de *Maworts (Arès et Mars) la seule fonction guerrière. Cela s’explique par l’influence crétoise chez qui le ciel diurne et le ciel d’orage avaient fini par ne faire qu’un, le fameux dieu-taureau qui servira de base au mythe du Minotaure.<br /><br />Il a à ses côtés une épouse qui est la déesse de l’aurore et de l’amour, assimilée à la planète Vénus. Chez les Indo-européens, c’est *Ausos, l’Aurore, surnommée *Wenos (latin Venus, sanskrit vanas), « le désir amoureux ». Elle possède deux dimensions, en tant que déesse guerrière (Athéna) et en tant que déesse amoureuse (Aphrodite). Chez les anciens Sémites, *Attartu possède également ces deux dimensions, c’est en particulier le cas de l’Ishtar mésopotamienne, comme de l’Inanna sumérienne. Toutefois, l’Aurore comme phénomène atmosphérique est patronnée par le dieu *Sharu (cananéen Shahar). Chez les autres peuples « caucasiques », cette déesse a un rôle beaucoup plus modeste.<br /><br /><img id="media-4156416" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://thomasferrier.hautetfort.com/media/00/02/3679980281.jpg" alt="Arkaim_Low.jpg" />Enfin, les divinités astrales que sont le Soleil et la Lune se retrouvent au premier plan dans toutes ces mythologies. Le soleil est généralement un dieu masculin, mais certaines mythologies le présentent sous des traits féminins (la *shamsu sémitique, certaines déesses solaires d’Europe du nord et de l’est, dans le Caucase), et de même la lune peut aussi bien être féminine (chez les Grecs, les Romains, les Celtes et les Arméniens dans le monde indo-européen) que masculine (chez les Sémites, les Turcs mais aussi les Germains, les Indo-iraniens et les Baltes). Dans certains cas, deux divinités lunaires, l’une masculine et l’autre féminine cohabitent. Dans la religion proto-indo-européenne, on a ainsi *Mens et *Louksna, *Mens étant masculin ou féminin selon les cas, *Louksna (« la lumineuse ») toujours féminine.<br /><br />Cette brève analyse tend à démontrer que les mythologies des peuples caucasiques ou europoïdes sont apparentées, avec de grandes figures communes et la base d’un panthéon organisé. Union du ciel et de la terre, séparation du ciel de jour (*dyeus, *ilu, Tanri, Isten) et du ciel d’orage (*maworts, *adadu, Hadur), couple orage/aurore, dieux et déesses comme fils du dieu du ciel dont ils portent ainsi le patronyme, forces de la nature incarnées, tout cela permet de reconstituer une religion ancestrale dont les traces remontent au paléolithique.<br /><br />Si cette religion a évolué et s’est étoffée au gré des progrès scientifiques, et notamment le passage à l’agriculture et à l’élevage, la sédentarisation des populations au sein des premières cités, l’invention de la roue, la domestication du cheval, son cœur matriciel n’a pas changé. La religion « nostratique » aurait possédé une petite vingtaine de divinités et non une multitude comme dans l’animisme, des dieux à forme humaine pour l’essentiel, même si liés à des animaux emblématiques. Ce n’est qu’en Egypte et dans une moindre mesure en Inde que les représentations divines intégreront des traits animaliers. Encore n’est-ce le cas que pour certaines divinités, car Osiris et Isis ont forme humaine, de même que Geb et Nout, et surtout Maat, la déesse de la justice.<br /><br /><img id="media-4156432" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://thomasferrier.hautetfort.com/media/00/02/3187181643.jpg" alt="religion préhistorique,nostrates,caucasiens,europoïdes" />Elle est fondamentalement polythéiste, l’idée d’un monothéisme primitif qu’évoquaient les savants européens au XIXème siècle et les théologiens chrétiens et musulmans depuis toujours ne tenant pas. S’il y a bien un dieu suprême, il n’est en aucun cas dieu unique et il a épouse et enfants. Face à ce monde qu’ils comprenaient mal, les mortels ont toujours pu compter sur l’appui de ces divinités ancestrales, nées en même temps que l’univers et dont elles sont les piliers. Dans le monde non-caucasique, la mythologie japonaise est la seule à s’apparenter d’une certaine manière à cette religiosité ancestrale ici évoquée. Ses traits sont néanmoins fort différents, puisque le cœur de leur logique est l’affirmation de la déesse du soleil Amaterasu, en rivalité avec son frère orageux Susanoo, même si les dieux ou kami sont généralement anthropomorphes. Les religions d’Afrique noire ou de Chine sont fondamentalement autres, de même que les cultes précolombiens qu’ont rencontrés les espagnols, même si on retrouve des divinités astrales et atmosphériques (le dieu inca Inti patronnant le soleil, le dieu aztèque Tlaloc maîtrisant la pluie), qui sont d’une certaine manière des divinités universelles, mais dans une lecture diversifiée et enracinée.</p><p style="text-align: justify;"><strong>Thomas FERRIER (PSUNE/LBTF)</strong></p>