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Le connétable des lansquenets
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2021-11-28T11:30:11+01:00
2021-11-28T11:30:11+01:00
Le connétable des lansquenets par Georges FELTIN-TRACOL...
<p style="text-align: center;"><img id="media-6314216" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://euro-synergies.hautetfort.com/media/00/00/2758318231.jpg" alt="4631f6f69d.jpg" width="511" height="660" /></p><p style="text-align: left;" align="center"><span style="font-size: 24pt; font-family: 'arial black', sans-serif; color: #ff6600;"><strong>Le connétable des lansquenets</strong></span></p><p style="text-align: left;" align="center"><span style="font-size: 18pt; font-family: 'arial black', sans-serif;"><strong><span style="color: #999999;">par Georges FELTIN-TRACOL </span></strong></span></p><p style="text-align: left;"><strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999; font-size: 12pt;">Dans <em>Le roman vrai d’un fasciste français</em>, une biographie romancée de René Resciniti de Says, vieux militant royaliste maurrassien, Christian Rol rapporte une anecdote révélatrice. « Néné l’Élégant » passe un jour à « La Mère Agitée », un restaurant parisien bien connu de la mouvance. Il dîne non loin de la table de Dominique Venner qu’il n’apprécie guère et avec qui il engage pourtant une vive discussion historique. « Ce soir-là, la conversation dévie sur le Connétable de Bourbon qui avait levé les armes contre la papauté et François I<sup>er</sup>. Ce à quoi Venner était très favorable (1) ».</span></strong></p><p style="text-align: left;"><strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999; font-size: 12pt;">Toute l’historiographie française officielle fait du Connétable de France l’un de ses principaux traîtres. En 2000, compagnon de route de la « Nouvelle Droite » et professeur d’histoire spécialisé dans les Temps modernes (1492 – 1815), Jean-Joël Brégeon publie une belle biographie de ce mal-aimé (2). Il estime « qu’il y avait nécessité impérieuse de réhabiliter sa mémoire, entreprise qui, jusqu’alors, n’avait pas tenté grand monde. Le réhabiliter ou tout au moins le comprendre, l’analyser sans préjugé et, pour cela, le replonger dans son temps ».</span></strong></p><p style="text-align: center;"><img id="media-6314217" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://euro-synergies.hautetfort.com/media/01/02/4109068404.jpg" alt="Connétable.jpg" width="424" height="675" /></p><p style="text-align: left;" align="center"><span style="color: #ff6600;"><strong><span style="font-size: 12pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Une puissante lignée féodale</span></strong></span></p><p style="text-align: left;"><strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999; font-size: 12pt;">Né en 1490, Charles de Montpensier appartient à une branche cadette des Bourbons. «La maison ducale de Bourbon est l’une des plus anciennes, des plus prolifiques et donc des plus ramifiées de la noblesse française. » Sixième fils de Louis IX dit bientôt « Saint Louis », le comte Robert de Clermont-en-Beauvaisis (dans l’actuel département de l’Oise) épouse Béatrix de Bourbon, l’ultime héritière d’une famille qui prétend descendre des Troyens et des Carolingiens. Par ce mariage, Robert devient le seigneur du Bourbonnais alors que ce « fief [...] était reconnu fief féminin, et ne suivait pas la loi salique excluant les filles de la succession de leur père ». Si leur deuxième fils, Jacques, est « à l’origine de la branche Bourbon – Vendôme qui finit par monter sur le trône de France avec Henri IV » en 1589, leur aîné, Louis I<sup>er</sup> de Bourbon, unit son propre fils, Louis II, à « l’héritière du dauphin d’Auvergne [qui] lui permit d’arrondir son patrimoine avec le Forez et le Dauphiné d’Auvergne ». Sous son impulsion, la ville de Moulins devient la « capitale » d’un vaste domaine.</span></strong></p><p style="text-align: center;"><img id="media-6314218" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://euro-synergies.hautetfort.com/media/00/02/2146065769.jpg" alt="img-1-small517.jpg" width="385" height="527" /></p><p style="text-align: left;"><strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999; font-size: 12pt;">Princes de sang aptes à porter éventuellement la Couronne des Lys, les Bourbons dont la devise est « Espérance », participent à la vie du royaume sous les derniers Capétiens directs et sous les Valois. Au XV<sup>e</sup> siècle, Jean II de Bourbon se montre d’une parfaite loyauté envers Louis XI. Deux de ses frères sont des clercs. Louis est prince-évêque de Liège qui aurait épousé sans aucune autorisation Catherine van Egmond, d’où la branche actuelle non dynaste des Bourbon-Busset. Charles de Bourbon est, pour sa part, l’archevêque de Lyon. Leur sœur, Isabelle, est la femme du «Grand Duc d’Occident», Charles le Hardi, duc de Bourgogne. Elle est donc l’arrière-grand-mère de Charles Quint. Leur plus jeune frère, Pierre de Beaujeu, se voit marié à Anne de France, la fille aînée de Louis XI dont elle a hérité le terrible sens politique.</span></strong></p><p style="text-align: left;"><strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999; font-size: 12pt;">Jean II de Bourbon n’a pas d’enfant. Or, son domaine forme, « pour reprendre la formule d’un chroniqueur “ un pays nouvellement composé, comme en marqueterie ou mosaïque, de plusieurs pièces rapportées, acquises des seigneurs voisins ”. Au duché de Bourbon étaient venus s’ajouter le Forez, le Beaujolais, l’Auvergne, les Haute et Basse Marches, le Carladès, Murat, Gien, les Dombes... ». Le patrimoine des Bourbons s’accroît encore. En 1476, Louis XI offre à son gendre « les comtés de la Marche et de Montaigut-en-Combrailles ». En 1481, Anne de France reçoit le comté de Gien. La même année, Jean II de Bourbon doit remettre sur injonction royale à son frère Pierre de Beaujeu «le comté de Clermont-en-Beauvaisis, la baronnie de Beaujolais et les Dombes». Henry Montaigu explique que « la Marche, les comtés de Clermont et de Beaujolais, diverses autres seigneuries prises ici et là, devaient en attendant permettre aux époux Beaujeu de tenir rang parmi les princes (3) ». </span></strong></p><p style="text-align: left;"><strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999; font-size: 12pt;">Au décès de Jean II en 1488, son frère l’archevêque de Lyon se proclame chef de la Maison. Mais cruellement endetté, il renonce finalement à tous ses droits au profit de Pierre en échange d’une forte pension. Ainsi, « le 30 août 1488, Pierre de Beaujeu devenait duc de Bourbon et d’Auvergne, comte de Clermont, de Forez, de la Marche, de l’Isle-Jourdain et de Villars, seigneur de Beaujolais “ à la part de l’Empire ”, de Château-Chinon et d’Annonay... ». En 1491, Anne et Pierre de Bourbon – Beaujeu ont une fille d’aspect chétif, Suzanne.</span></strong></p><p style="text-align: left;"><strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999; font-size: 12pt;">Très tôt, forte de son influence à la Cour et régente <em>de facto</em> quand son frère Charles VIII part guerroyer en Italie, Anne de Beaujeu assure à sa fille les moyens légaux de conserver l’intégralité de leurs possessions territoriales. Elle s’attache aussi à régler la querelle vieille d’un demi-siècle avec les Bourbons – Montpensier dont les « terres [étaient] enclavées dans celles de la branche aînée des Bourbons, surtout à Aigueperse».</span></strong></p><p style="text-align: left;" align="center"><span style="color: #ff6600;"><strong><span style="font-size: 12pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">L’unité des Bourbons</span></strong></span></p><p style="text-align: left;"><strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999; font-size: 12pt;">Le père du futur Connétable se nomme Gilbert de Bourbon, comte de Montpensier et dauphin d’Auvergne. Au cours des premières Guerres d’Italie, il trouve sa femme en la personne d’une Italienne, Claire de Gonzague, la « fille aînée du marquis de Mantoue ». Le couple a six enfants (trois garçons et trois filles). L’arrivée de Claire dans le centre de la France introduit la Renaissance italienne dans le Massif Central ! La tragédie frappe rapidement cette famille heureuse. Charles devient à onze ans chef de famille en 1496 quand meurt son père de la malaria dans le Sud de l’Italie. En 1503 disparaît sa mère. Son éducation dépend de sa marraine, Anne de Beaujeu.</span></strong></p><p style="text-align: left;"><strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999; font-size: 12pt;">L’adolescent apprend le service de la chevalerie et se passionne pour les récits arthuriens. Son caractère le pousse vers le métier des armes. Pierre de Bourbon et sa redoutable épouse décident de lui donner leur fille unique Suzanne. Pour eux, « l’union des deux branches avait pour principal mérite d’éteindre le contentieux qui les séparait depuis trois générations tout en achevant l’unité territoriale du duché, faisant de lui le fief le plus étendu et le plus peuplé du royaume ». Quel est donc ce si grand domaine ? « Au Bourbonnais et à l’Auvergne s’ajoutaient les comtés de Clermont-en-Beauvaisis, de Forez, de la Marche, de Gien et de Clermont en Auvergne; les vicomtés de Carlat et de Murat, les seigneuries de La Roche-en-Rénier, de Bourbon – Lançay, d’Annonay, sans oublier, en pièces rapportées, les Dombes, le Beaujolais et les fiefs propres aux Montpensier, le comté de Montpensier, le dauphiné d’Auvergne, la baronnie de Mercœur, la seigneurie de Combrailles. À cet immense domaine – qui couvrait plus de 26.000 km² – s’ajoutaient les titres et les charges qui faisaient du nouveau duc de Bourbon le Grand le plus titré du royaume, pair de France, grand chambrier, en attendant le gouvernement du Languedoc et, bien sûr, la connétablie ». Jean-Joël Brégeon précise que « pour mieux considérer les domaines de Charles et de Suzanne, on peut les faire tenir dans les actuels départements, à savoir l’Allier, le Puy-de-Dôme, le Cantal, la Loire, une partie du Rhône, de l’Ain et à l’autre extrémité, de la Haute-Vienne et de la Creuse ». Par son mariage, Charles de Montpensier qu’on désigne comme « Charles-Monsieur », devient le plus puissant féodal de France depuis la Maison de Bourgogne… </span></strong></p><p style="text-align: center;"><img id="media-6314219" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://euro-synergies.hautetfort.com/media/00/00/2528752923.jpg" alt="cd8eb507a618f192f8a355c97f8e7e98.jpg" width="429" height="685" /></p><p style="text-align: left;"><strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999; font-size: 12pt;">La Dame de Beaujeu gouverne remarquablement ses terres. Elle dispose de « la châtellenie qui était la réalité administrative la plus tangible de l’« État » bourbonien. Leur nombre et leur taille étaient variables. Le Beaujolais n’en comptait que dix-huit mais le Forez en avait quarante. Beaucoup étaient minuscules, d’autres immenses, comme celle de Moulins avec ses soixante-seize paroisses réparties sur environ 1800 km² ». Elle entend surtout les conserver pour ses futurs petits-enfants. La mort en 1498 de Charles VIII et l’avènement de leur cousin le duc d’Orléans, Louis XII, la détachent de l’intérêt royal pour privilégier les intérêts familiaux et terriens de sa fille et de son gendre. Par chance, « attaché à la seigneurie, écrit Henry Montaigu, [le futur connétable] en possède la mystique (4) ».</span></strong></p><p style="text-align: left;" align="center"><span style="color: #ff6600;"><strong><span style="font-size: 12pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Au service de deux rois de France</span></strong></span></p><p style="text-align: left;"><strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999; font-size: 12pt;">Le « Roi du peuple » Louis XII apprécie Charles-Monsieur. Quand il ne se bat pas en Italie avec les armées françaises, il sert d’« otage princier » dans la suite de l’archiduc Philippe de Habsbourg qui traverse la France pour se rendre dans les Espagnes qu’il va bientôt régner aux côtés de son épouse Jeanne, la fille des Rois catholiques Isabelle de Castille et Ferdinand d’Aragon. Jeanne et Philippe sont les parents du futur Charles Quint. Une autre fois, « à Valenciennes, Charles de Bourbon fit la connaissance de ses cousins, les Croy, une puissante famille attachée au service et à la fortune des Habsbourg ».</span></strong></p><p style="text-align: left;"><strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999; font-size: 12pt;">En 1513, Louis XII le charge de « restaurer l’autorité royale et la paix publique » en Bourgogne. Charles-Monsieur « fit procéder à des travaux de fortification à Dijon, Châlons, Beaune et Auxonne. Sa sévérité à l’égard des gens de guerre coupables d’abus et d’exactions sur la population, sa rigueur et sa détermination, l’attention qu’il porta à cette mission sans gloire mais si impérieuse amenèrent Louis XII à manifester sa gratitude ». Charles de Bourbon reçoit la charge considérable de connétable de France.</span></strong></p><p style="text-align: left;"><strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999; font-size: 12pt;">Chef suprême de l’armée royale en l’absence du souverain, le connétable « porte l’épée royale et la présente, nue, à l’assistance » le jour du sacre à Reims. Il « possède sa propre juridiction – la connétablie et maréchaussée de France – qui lui donne des pouvoirs disciplinaires, sans appel, pour juger les délits et crimes des gens de guerre ». Fidèle à sa sévère réputation, le nouveau connétable interdit les pillages; il exige que ses troupes paient au juste prix les denrées prises aux paysans; il impose une réelle discipline à ses hommes d’armes; il punit le défaut de tenues particulières, reconnaissables et attribuées à chaque régiment royal. Cette dureté s’impose tant les mœurs sont rudes. </span></strong></p><p style="text-align: center;"><img id="media-6314220" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://euro-synergies.hautetfort.com/media/00/01/1498918686.jpg" alt="Novara_1500.jpg" width="506" height="664" /></p><p style="text-align: left;"><strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999; font-size: 12pt;">À la fin du Moyen Âge, les fantassins sont appelés « les “ gens de pied ” [qui] se regroupaient en “ bandes ”, réparties en “ nations ”. On pouvait trouver là des Gascons, des Picards, des Allemands, que l’on qualifiait tantôt d’aventuriers tantôt de “ bandes noires ” et qui étaient pour l’essentiel des lansquenets, ces éternels rivaux des Suisses». Les combattants helvètes servent divers souverains dès que ces derniers leur versent une solde régulière, ce qui est rarement le cas. Les mercenaires helvètes manient avec une redoutable dextérité les « “ longs bois ” [qui] faisaient la loi sur les champs de bataille depuis plus d’un siècle [...]. C’étaient en fait des hallebardes dites de Soleure ou de Berne que les Suisses complétaient par une forte dague, lorsqu’ils ne maniaient pas la redoutable <em>Zweihänder</em>, l’épée à deux mains. Sûrs de leur tactique qui les voyait formés en hérissons, les Suisses se protégeaient peu et s’en faisaient même une gloire ». C’est dans cet univers âpre et violent que le Connétable de Bourbon parvient à s’imposer. Aux côtés de Louis XII, puis de François Premier (5), il se fait un nom en Italie. « Depuis Marignan, on le tenait pour un des meilleurs capitaines de sa génération. »</span></strong></p><p style="text-align: center;"><img id="media-6314221" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://euro-synergies.hautetfort.com/media/00/01/904174736.jpg" alt="0miw33utda651.jpg" /></p><p style="text-align: left;"><strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999; font-size: 12pt;">Conscient de sa valeur et de ses qualités militaires, le Connétable de Bourbon n’hésite jamais à déployer un train de vie fastueux lors des grands événements comme au Camp du Drap d’Or où François Premier accueille Henry VIII d’Angleterre en 1520. Ce décorum luxueux agace le roi français. Par ailleurs, sa droiture et sa franchise lui valent d’irréductibles ennemis dans l’entourage immédiat du souverain: le duc d’Alençon, un temps fiancé à Suzanne de Bourbon, est un piètre homme de guerre que méprise le Connétable; le surintendant des finances Samblançay, Bonnivet et le chancelier Antoine Duprat, tous deux originaires de domaine dont il est le seigneur. Le plus redoutable de ses ennemis est néanmoins une femme, Louise de Savoie, la propre mère de François Premier !</span></strong></p><p style="text-align: left;" align="center"><span style="color: #ff6600;"><strong><span style="font-size: 12pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Les visées de Louise de Savoie</span></strong></span></p><p style="text-align: left;"><strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999; font-size: 12pt;">La reine-mère a-t-elle des vues lubriques et concupiscentes sur le fringant homme à peine plus âgé que son propre fils ? Toute une littérature brode autour de cette « romance » fantasmée par l’une et refusée par l’autre. Il est en revanche certain que Louise de Savoie agit en féodale qui rêve « d’augmenter le patrimoine des Valois – Angoulême », surtout si c’est aux dépens des Bourbon. Bien qu’élevée par Anne de Beaujeu, Louise de Savoie (portrait, ci-dessous) la déteste profondément. La réciproque est aussi vraie.</span></strong></p><p style="text-align: center;"><img id="media-6314222" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://euro-synergies.hautetfort.com/media/00/00/2036344649.jpg" alt="Jean_Clouet_(Attributed)_-_Portrait_of_Marguerite_of_Navarre_-_Google_Art_Project.jpg" /></p><p style="text-align: left;"><strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999; font-size: 12pt;">Homme à femmes soumis à l’inflexible volonté de sa mère, François Premier vexe fréquemment le Connétable à partir de 1521. Cette année-là est un tournant majeur dans la vie de Charles de Bourbon. Suzanne meurt précocement. Outre son époux qui détient en sa faveur une série de dispositions testamentaires légales, l’héritage territorial de Suzanne est revendiqué par sa cousine, Louise de Savoie. Or, « la succession de Suzanne de Bourbon était compliquée à démêler tant le statut juridique de ses biens dépendait d’origines extrêmement diverses ».</span></strong></p><p style="text-align: left;"><strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999; font-size: 12pt;">Louise de Savoie lance en 1522 un procès au Connétable devant le Parlement de Paris, seul autorisé à statuer sur les litiges liés à un pair de France. Elle réclame l’éventuelle saisie des duchés de Bourbon et d’Auvergne et des comtés de Clermont, de Forez et de la Marche.
HISTOIRE & PATRIMOINE BLEURVILLOIS
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Louis XIX
tag:histoirepatrimoinebleurvillois.hautetfort.com,2017-11-16:5994422
2017-11-16T00:00:00+01:00
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Le fils de Charles X, le neveu et gendre de Louis XVI et...
<p><img src="http://histoirepatrimoinebleurvillois.hautetfort.com/media/00/02/1261038822.jpg" id="media-5714315" alt="" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif; font-size: 12pt;">Le fils de Charles X, le neveu et gendre de Louis XVI et Marie-Antoinette, fille de la Maison de Lorraine-Habsbourg, a régné sur la France quelques secondes le 3 août 1830. Que connaît-on de ce personnage improbable à la destinée exceptionnelle ? </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif; font-size: 12pt;">Il y a quelque chose de vertigineux dans la vie de Louis-Antoine de Bourbon-Artois, duc d'Angoulême (1775-1844), prince si proche et pourtant toujours si loin du trône. L'histoire et les hommes s'ingénièrent à laisser le duc, destiné à régner, en posture de perpétuel héritier, dans l'ombre de ses oncles Louis XVI et Louis XVIII, puis de son père Charles X, et de sa sombre cousine et épouse, l'orpheline du Temple. Fils soumis et un peu niais d'apparence, incapable de prolonger la lignée des Bourbons, aux prises avec des événements trop grands pour lui qui le condamnèrent à l'exil plus de la moitié de sa vie, il montra néanmoins des qualités politiques et militaires en 1814, sous la première Restauration, puis lors de l'expédition d'Espagne de 1823, qui lui valut la réputation de vainqueur du Trocadéro.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif; font-size: 12pt;">La révolution de 1830 sonna le glas de ses espérances, d'autant que la perspective d'une succession se reporta sur son neveu le duc de Bordeaux. Il ne fut ainsi formellement Louis XIX que quelques secondes le 2 août 1830, forcé par son père de renoncer à la couronne.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif; font-size: 12pt;">Pourtant, la destinée de ce roi sans royauté, mort à Goritz en Autriche, très loin d'une France qu'il ne connaissait plus, accompagne et éclaire celle de la monarchie française dans une époque singulièrement tourmentée. Les vaincus de l'histoire ont aussi contribué à l'écriture de celle-ci, à leur façon.</span></p><p> </p><blockquote><p><span style="color: #ff6600; font-family: comic sans ms,sans-serif; font-size: 12pt;"><strong>‡ Louis XIX, duc d'Angoulême, François de Coustin, éditions Perrin, 2017, 480 p., ill. (25 €).</strong></span></p></blockquote>
Christian COTTET-EMARD
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Carnet / Rendez-vous manqués au milieu de nulle part
tag:cottetemard.hautetfort.com,2015-10-27:5705507
2015-10-27T00:23:00+01:00
2015-10-27T00:23:00+01:00
Quand je suis un peu cafardeux, je recherche le gras, les chips. Avec du...
<p style="font: normal normal normal 18px/normal 'Times New Roman'; color: #222222; text-align: justify; margin: 0px;"><span style="font-family: 'times new roman', times;"><span style="font-size: medium;"><img id="media-5196267" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://cottetemard.hautetfort.com/media/02/02/1183735425.JPG" alt="chips,whisky,vernon subutex,virginie despentes,scotch,bourbon,lagavulin,woodford,blog littéraire de christian cottet-emard,note,carnet,journal,autobiographie,écriture de soi,prairie journal,christian cottet-emard,livre,rock,saint-saëns,brahms,elgar,franck,liszt,années 80,association musique évolution,oyonnax,ain,rhône-alpes,france,europe" />Quand je suis un peu cafardeux, je recherche le gras, les chips. Avec du scotch ou du bourbon. Une bouteille me fait des mois, heureusement, car je ne prends pas les premiers prix. N’ayant plus de Lagavulin et de Woodford, j’ai fini par dénicher au fond de l’armoire deux flacons de whisky bas de gamme hérités du bar d’un défunt. J’ai jeté l’un à l’évier, vraiment imbuvable, et me suis dépanné avec l’autre, acceptable. </span></span></p><p style="font: normal normal normal 18px/normal 'Times New Roman'; color: #222222; text-align: justify; margin: 0px;"> </p><p style="font: normal normal normal 18px/normal 'Times New Roman'; color: #222222; text-align: justify; margin: 0px;"><span style="font-family: 'times new roman', times;"><span style="font-size: medium;">Une amie m’a prêté <em>Vernon Subutex</em> de Virginie Despentes et je me retrouve aujourd’hui à ramer avec ce roman parce que j’essaie toujours d’être attentif aux livres que me prêtent les amis, non pas parce que je me serais spontanément tourné vers une telle littérature mais parce que je trouve normal de tenir compte des conseils de lecture, surtout lorsqu’ils viennent de personnes proches. Je rame avec Despentes parce que pour moi, elle parle d’une autre planète. Pas moyen de me sentir concerné, pas la moindre empathie pour ses personnages, leurs préoccupations, leur monde, leur style, leur vie. J’ai eu du mal à commencer le livre, à le continuer jusqu’à une centaine de pages, à me forcer à doubler la mise et là, page deux cents et quelques, les jeux sont faits, je cale. La quatrième de couverture nous explique que Vernon Subutex est <em>« le dernier témoin d’un monde révolu, l’ultime visage de notre comédie inhumaine, notre fantôme à tous »</em> , comme si l’on nous vendait une fresque alors qu’il n’est question de rien d’autre que de vieux fêtards branchouilles traînant leur gueule de bois depuis l’adolescence dans trois rues de Paris. </span></span></p><p style="font: normal normal normal 18px/normal 'Times New Roman'; color: #222222; text-align: justify; margin: 0px;"> </p><p style="font: normal normal normal 18px/normal 'Times New Roman'; color: #222222; text-align: justify; margin: 0px;"><span style="font-family: 'times new roman', times;"><span style="font-size: medium;">J’ai déjà des difficultés avec les références musicales qui sont pourtant censées être celles des gens de mon âge mais manque de chance, déjà adolescent, je n’écoutais que du classique. Encore aujourd’hui, Saint-Saëns (eh oui, Camille Saint-Saëns !) est un de mes compositeurs préférés et en ce moment, avant de commencer à écrire ce carnet, j’écoutais <em>Scenes from the Bavarian Highlands</em> d’Edward Elgar, dans la version pour piano et chœur. C’est dire... </span></span></p><p style="font: normal normal normal 18px/normal 'Times New Roman'; color: #222222; text-align: justify; margin: 0px;"> </p><p style="font: normal normal normal 18px/normal 'Times New Roman'; color: #222222; text-align: justify; margin: 0px;"><span style="font-family: 'times new roman', times;"><span style="font-size: medium;">Alors, le rock... J’en ai certes entendu mais jamais écouté de ma propre initiative, même au sommet de ma crise d’adolescence. Un lycéen de ma classe de seconde avait quand même réussi à me traîner quelques temps dans des préfas et des salles plus ou moins paroissiales où des types de <em>l’Association Musique Évolution</em> produisaient du son. À cette époque, j’écoutais en boucle les <em>Variations symphoniques</em> de César Franck, les deux concertos pour piano de Brahms et ceux de Liszt, alors, le boucan de <em>l’Association Musique Évolution</em>, ça me passait loin, très loin au-dessus des oreilles, malgré les décibels. Quant aux idoles rock des grandes scènes nationales ou mondiales dont j’entendais baragouiner les noms par leurs pâles imitateurs puant la vieille clope et la bière tiède, leur tintouin et leur théâtre pseudo rebelle ne m’inspirait pas plus. À seize ans, je considérais déjà que le rock était à la contestation ce que la musique militaire est à la musique, juste une autre façon de marcher au pas. Comme prévu, le rock a aujourd’hui mal vieilli et son public de quinquas embourgeoisés jusqu’aux ongles des orteils avec. Despentes confirme, si j’ai bien lu. </span></span></p><p style="font: normal normal normal 18px/normal 'Times New Roman'; color: #222222; text-align: justify; margin: 0px;"> </p><p style="font: normal normal normal 18px/normal 'Times New Roman'; color: #222222; text-align: justify; margin: 0px;"><span style="font-family: 'times new roman', times;"><span style="font-size: medium;">Mais peut-être ai-je mal lu car pour moi, Despentes est pénible à lire. Pour certains paragraphes, j’aurais besoin d’une traduction. De toute manière, Vernon Subutex n’est pas le sujet de ce carnet. Le sujet, c’est que ma laborieuse lecture des deux cents premières pages m’a juste une fois de plus rappelé que je n’ai pas aimé l’époque de ma jeunesse, ni ses musiques ni ses idées qui n’étaient d’ailleurs pas des idées mais des poses gonflées du plus grotesque esprit de sérieux. Étrange sentiment, surtout au moment des débuts d’inventaire, que celui de n’avoir jamais adhéré à ce que partageaient les jeunes de mon âge. </span></span></p><p style="font: normal normal normal 18px/normal 'Times New Roman'; color: #222222; text-align: justify; margin: 0px;"> </p><p style="font: normal normal normal 18px/normal 'Times New Roman'; color: #222222; text-align: justify; margin: 0px;"><span style="font-family: 'times new roman', times;"><span style="font-size: medium;">Les années 80 et ce qui a suivi dans le domaine de la culture grand public : un arrière-goût de rendez-vous manqué au milieu de nulle part, où en dehors de la bulle protectrice et créative de la vie privée, il n’y avait probablement rien ni personne à attendre.</span></span></p><p style="font: normal normal normal 18px/normal 'Times New Roman'; color: #222222; text-align: justify; margin: 0px;"> </p><p><em><span style="font-family: 'times new roman',times; font-size: small;">(Photo © Christian Cottet-Emard, Barcelone)</span></em></p><p><a title="WebAnalytics" href="http://www.xiti.com/xiti.asp?s=563914" target="_top"><script type="text/javascript">// <![CDATA[Xt_param = 's=563914&p=page_ du_ jour';try {Xt_r = top.document.referrer;}catch(e) {Xt_r = document.referrer; }Xt_h = new Date();Xt_i = '<img width="39" height="25" border="0" alt="" ';Xt_i += 'src="http://logv4.xiti.com/hit.xiti?'+Xt_param;Xt_i += '&hl='+Xt_h.getHours()+'x'+Xt_h.getMinutes()+'x'+Xt_h.getSeconds();if(parseFloat(navigator.appVersion)>=4){Xt_s=screen;Xt_i+='&r='+Xt_s.width+'x'+Xt_s.height+'x'+Xt_s.pixelDepth+'x'+Xt_s.colorDepth;}document.write(Xt_i+'&ref='+Xt_r.replace(/[<>"]/g, '').replace(/&/g, '$')+'" title="Internet Audience">');// ]]></script></a></p><noscript>Mesure d'audience ROI statistique webanalytics par <img width="39" height="25" src="http://logv4.xiti.com/hit.xiti?s=563914&p=page_du_jour" alt="WebAnalytics"></noscript>
Kurgan
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One Bourbon, One Scotch, One Beer
tag:lantiquoriumduke.hautetfort.com,2015-02-24:5565990
2015-02-24T15:03:00+01:00
2015-02-24T15:03:00+01:00
George Thorogood - One Bourbon, One Scotch, One Beer...
<p class="MsoNormal"><span style="font-size: 6pt; font-family: Verdana; background-image: initial; background-attachment: initial; background-size: initial; background-origin: initial; background-clip: initial; background-position: initial; background-repeat: initial;"><!--[if !supportEmptyParas]--> <!--[endif]--></span></p><p class="MsoNormal"><iframe width="472" height="354" style="font-family: Verdana; font-size: 12px; display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" src="https://www.youtube.com/embed/N6bk_qJw5XY?rel=0" frameborder="0" allowfullscreen=""></iframe></p><p class="MsoNormal" style="text-align: center;"><span style="font-size: 9.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Verdana;"><span style="font-size: medium; color: #ffcc00;"><strong>George Thorogood - One Bourbon, One Scotch, One Beer</strong></span> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: center;"><span style="font-size: 9.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Verdana;"><span style="color: #ff0000;">( Note de K : à savoir, le parfait p’tit déj’ !)</span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: center;"><span style="font-size: 9.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Verdana;"><span style="color: #ffcc00;"><strong>George Thorogood and the Destroyers</strong></span> celebrate 30 years of high octane, hard rocking blues on this film recorded during the British leg of their European Tour in 2004.</span></p>
Christian COTTET-EMARD
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Carnet / Petits remontants
tag:cottetemard.hautetfort.com,2015-02-13:5557979
2015-02-13T03:01:00+01:00
2015-02-13T03:01:00+01:00
Un bol d’air urbain hier après-midi pour oublier quelques heures le...
<p style="font: normal normal normal 18px/normal 'Times New Roman'; text-align: justify; margin: 0px;"><span style="font-family: 'times new roman', times;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: 'times new roman', times;"><span style="font-size: large;">Un bol d’air urbain hier après-midi pour oublier quelques heures le spectacle désolant de ces tas de neige qui n’arrivent pas à fondre autour de la maison. Il est certes dommage de devoir faire des kilomètres en voiture pour de simples courses mais le shopping ne m’a jamais déplu</span></span><span style="font-size: large;">. </span></span></span></p><p style="text-align: justify;"><img id="media-4903733" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://cottetemard.hautetfort.com/media/02/01/3910512858.jpg" alt="emplettes,ville,bourbon,woodford reserve,bundle,cigares,cusano,robusto,république dominicaine,blog littéraire de christian cottet-emard,carnet,note,journal,prairie journal,autobiographie,écriture de soi,blog littéraire de christian cottet-emard,librairie,livres,neige,tas de neige,shopping" /><span style="font-family: 'times new roman', times;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-size: large;">J’en ai profité pour ramener un fagot de mes bons vieux </span></span></span><em><span style="font-family: 'times new roman', times;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-size: large;">Bundle</span></span></span></em><span style="font-family: 'times new roman', times;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-size: large;"> qui vont très bien avec une autre trouvaille, une bouteille de mon bourbon préféré (</span></span></span><em><span style="font-family: 'times new roman', times;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-size: large;">Woodford Reserve</span></span></span></em><span style="font-family: 'times new roman', times;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-size: large;">) à un prix très avantageux. Cette abstraction qu’est le bonheur (comme la liberté) peut quand même se concrétiser si l’on se contente de l’écrire au pluriel...</span></span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-size: large;">Rien trouvé de ce que je cherchais dans les librairies. L’une des raisons est la rotation de plus en rapide des tombereaux de nouveautés qui passent de moins en moins de temps en rayon. Résultat, un livre jauni et poussiéreux qui a traîné en stock devient une rareté, un coup de chance, un luxe. Le mouton à cinq pattes se capture maintenant sur internet. Je ne jette pas la pierre aux libraires mais c’est ainsi et rien ne pourra plus empêcher cette évolution. J’ai bien fait de ne pas choisir ce métier ainsi que j’en avais formé le projet à dix-neuf ans avant d’entamer une formation qui a quand même duré presque un an avec des stages en magasin. De toute façon, cette formation m’a au moins démontré que j’aurais été incapable de tenir une librairie ou d’être simple vendeur. </span></span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-size: large;">En tant que client, le type même de librairie qui m’agace est celle où l’on se précipite sur moi pour me demander <em>si j’ai besoin d’aide</em> et dans laquelle les livres sont hérissés de fiches ou émaillés de post-it paluchés de formules nous vantant des livres </span></span></span><em><span style="font-family: 'times new roman', times;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-size: large;">« à découvrir absolument »</span></span></span></em><span style="font-family: 'times new roman', times;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-size: large;"> , des auteurs au </span></span></span><em><span style="font-family: 'times new roman', times;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-size: large;">« style ébouriffant »</span></span></span></em><span style="font-family: 'times new roman', times;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-size: large;"> , des écritures </span></span></span><em><span style="font-family: 'times new roman', times;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-size: large;">« au scalpel »</span></span></span></em><span style="font-family: 'times new roman', times;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-size: large;"> , des textes </span></span></span><em><span style="font-family: 'times new roman', times;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-size: large;">« à l’os »</span></span></span></em><span style="font-family: 'times new roman', times;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-size: large;"> des narrations </span></span></span><em><span style="font-family: 'times new roman', times;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-size: large;">« sans une once de gras »</span></span></span></em><span style="font-family: 'times new roman', times;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-size: large;"> et des pages si </span></span></span><em><span style="font-family: 'times new roman', times;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-size: large;">« jubilatoires »</span></span></span></em><span style="font-family: 'times new roman', times;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-size: large;"> qu’on se croirait dans l’annexe de réception des services de presse à la rédaction de </span></span></span><em><span style="font-family: 'times new roman', times;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-size: large;">Téléramuche</span></span></span></em><span style="font-family: 'times new roman', times;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-size: large;">.</span></span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-size: large;">Désolé, c’était l’épisode grognon, sans doute parce que j’ai retrouvé mes tas de neige. Allez hop, un petit coup de Woodford, et sans glace surtout.</span></span></span></p>
lafautearousseau royaliste
http://lafauteraousseau3.hautetfort.com/about.html
LA SATIRE MENIPPEE : O Paris, qui n'es plus Paris !
tag:lafauteraousseau3.hautetfort.com,2014-09-12:5439980
2014-09-12T22:04:00+02:00
2014-09-12T22:04:00+02:00
Nous aurons un Roi qui donnera ordre à tout, et retiendra...
<blockquote><p style="text-align: justify;"><img id="media-4677621" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lafautearousseau.hautetfort.com/media/02/00/2054060889.2.jpg" alt="King_Henry_IV_of_France.jpg" /></p></blockquote><p style="text-align: justify;"> </p><blockquote><p style="text-align: justify;"><em><span style="font-family: helvetica; font-size: medium;"><span style="font-size: medium;">Nous aurons un Roi qui donnera ordre à tout, et retiendra tous ces tyranneaux en crainte et en devoir, qui châtiera les violents, punira les réfractaires, exterminera les voleurs et pillards, retranchera les ailes aux ambitieux, fera rendre gorge à ces éponges et larrons des deniers publics, fera contenir un chacun aux limites de sa charge, et conservera tout le monde en repos et tranquillité.</span></span></em></p><p style="text-align: justify;"><em><span style="font-family: helvetica; font-size: medium;"><span style="font-size: medium;">Enfin, nous voulons un Roi pour avoir la paix, mais nous ne voulons pas faire comme les grenouilles, qui, s'ennuyant de leur Roi paisible élurent la cigogne qui les dévora toutes. Nous demandons un Roi et chef naturel, non artificiel; un Roi déjà fait, et non à faire; et n'en voulons point prendre le conseil des Espagnols, nos ennemis invétérés, qui veulent être nos tuteurs par force, et nous apprendre à croire en Dieu et en la foi chrétienne, en laquelle ils ne sont baptisés, et ne la connaissent que depuis trois jours. Nous ne voulons pour conseillers et médecins ceux de Lorraine, qui de longtemps béent après notre mort. Le Roi que nous demandons est déjà fait par la nature, né au vrai parterre des fleurs de lis de France, jeton droit et verdoyant du tige de Saint Louis. Ceux qui parlent d'en faire un autre se trompent, et ne sauraient en venir à bout. On peut faire des sceptres et des couronnes, mais non pas des Rois pour les porter; on peut faire une maison, mais non pas un arbre ou un rameau vert: il faut que la nature le produise, par espace de temps, du suc et de la moelle de la terre, qui entretient le tige en sa sève et vigueur. On peut faire une jambe de bois, un bras de fer et un nez d'argent, mais non pas une tête. Aussi pouvons-nous faire des Maréchaux à la douzaine, des Pairs, des Amiraux, et des Secrétaires et Conseillers d'État, mais de Roi point ; il faut que celui seul naisse de lui-même, pour avoir vie et valeur. Le borgne Boucher, pédant des plus méchants et scélérés, vous confessera que son œil, émaillé d'or d'Espagne, ne voit rien. Aussi un Roi électif et artificiel ne nous saurait jamais voir, et serait non seulement aveugle en nos affaires, mais sourd, insensible et immobile en nos plaintes...</span></span></em></p><p style="text-align: justify;"><em><span style="font-family: helvetica;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-size: medium;">En un mot, nous voulons que Monsieur le Lieutenant sache que nous reconnaissons pour notre vrai Roi légitime, naturel, et souverain seigneur, Henri de Bourbon, ci-devant Roi de Navarre. C'est lui seul, par mille bonnes raisons, que nous reconnaissons être capable de soutenir l'Etat de France et la grandeur de la réputation des Français, lui seul qui peut nous relever de notre chute qui peut remettre la Couronne en sa première splendeur et nous donner la paix.</span></span> </span></em></p></blockquote><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: helvetica;"> </span></p><blockquote><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: helvetica;"><em><span style="font-size: small;">Relation burlesque des États Généraux de 1593 manipulés par la Ligue et les Espagnols. Le titre évoque le philosophe cynique grec Ménippe (IIIème siècle av. J.-C.). Cette œuvre collective est surtout rédigée par le juriste Pierre Pithou. Elle défend la paix, l'indépendance nationale et l'hérédité dynastique française.</span></em></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: helvetica;"> </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: helvetica; font-size: small;">Principal auteur, P. Pithou (1594)</span></p></blockquote><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: helvetica;"> </span></p>
Marquis des Chouans
http://beaudricourt.hautetfort.com/about.html
Charles XI (1848-1909)
tag:beaudricourt.hautetfort.com,2012-11-19:4902942
2012-11-19T22:11:00+01:00
2012-11-19T22:11:00+01:00
Fils de Jean III, Charles avait épousé, le 4 février 1867, dans la...
<p><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><img id="media-3845354" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://beaudricourt.hautetfort.com/media/02/02/3530824769.jpg" alt="Carlos_Duke_of_Madrid.jpg" />Fils de Jean III, Charles avait épousé, le 4 février 1867, dans la chapelle du château de Frohsdorf, Marguerite de Parme, nièce du comte de Chambord.</span></p><p><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;">Quelques déclarations de ce Prince :</span></p><p><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;">"<em>Je suis le roi de toutes les libertés nationales, je ne serai jamais le roi de la révolution</em>".</span></p><p><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;">En 1870 il envoya son épouse comme ambassadrice auprès de Napoléon III pour l'avertir des visées prussiennes. Le conflit déclaré, il proposa de servir aux armées en amenant ses troupes carlistes. Napoléon III refusa, ce qui amena cette réponse du Prince :</span></p><p><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;">"<em>Il me paraît extraordinaire qu'un Bonaparte interdise à un Bourbon de participer à la guerre dont l'objet est l'Alsace acquise par mes ancêtres</em>".</span></p><p><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;">Le 14 septembre 1888, il écrivait aux légitimistes réunis à Sainte Anne d'Auray :</span></p><p><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;">"<em>Il n'y a que deux politiques en présence dans l'histoire contemporaines : le droit traditionnel et le droit populaire. Entre ces deux pôles, le monde politique s'agite. Au milieu il n'y a que des royautés qui abdiquent, des usurpations ou des dictatures. Que des Princes de ma famille aient l'usurpation triomphante, soit. Un jour viendra où eux-mêmes ou leurs descendants béniront ma mémoire. Je leur aurai gardé inviolable le droit des Bourbons dont je suis le chef, droit qui ne s'éteindra qu'avec le dernier rejeton de la race issue de Louis XIV</em>".</span></p><p><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;">Charles fut le premier à se voir signifier par le gouvernement de la République une mesure d'exil, en 1881. Mesure prise à la suite d'une messe de la Saint-Henri, où de nombreux assistants et plus spécialement des élèves de l'Ecole Militaire de Saint Cyr avaient manifesté en sa faveur. Dans un message à ses fidèles au moment de son départ, il déclara :</span></p><p><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"> "<em>La Vraie France, berceau de ma famille, et que j'aime ardemment, n'est pas responsable des actes de son gouvernement</em>".</span></p><p><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;">Le 21 janvier 1893, pour le 100èm anniversaire du martyre de Louis XVI, Charles XI reçut à Venise une importante délégation de Français fidèles conduits par le général de Cathelineau.</span></p><p><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;">Au moment de la séparation de l'Eglise et de l'Etat, il signa un manifeste daté du 12 mars 1906 :</span></p><p><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;">"<em>Comme l'aîné de la race de nos rois et successeur salique, par droit de primogéniture de mon oncle Henri V, je ne puis rester plus longtemps spectateur impassible des attentats qui se commettent contre la religion, et aussi Sa Sainteté Pie X. J'élève la voix pour repousser de toutes les forces de mon âme de chrétien et de Bourbon, la loi de séparation</em>".</span></p><p><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;">Il continuait : "C<em>atholiques français, l'avenir de la France est entre vos mains, sachez donc vous affranchir d'un joug maçonnique et satanique, en revenant franchement et avec l'ardeur qui vous caractérise, à la vraie tradition chrétienne et nationale, dont par ma naissance, c'est à dire par la volonté de Dieu, je suis le seul représentant légitime</em>".</span></p><p><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;">Charles XI mourut le 18 juillet 1909.</span></p><p style="text-align: right;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino;"><em>(extrait du manifeste légitimiste de l'UCLF)</em><br /></span></p>
papou67
http://lesmillesfoliesdepapou.hautetfort.com/about.html
Un mariage sous un air tropical!! 1ère partie....
tag:lesmillesfoliesdepapou.hautetfort.com,2012-08-05:4798057
2012-08-05T13:14:00+02:00
2012-08-05T13:14:00+02:00
Bien le bonjour à toi ami visiteur. Si l’heure des...
<p> </p><p class="MsoNoSpacing"><span style="font-family: book antiqua,palatino; font-size: medium;" lang="FR">Bien le bonjour à toi ami visiteur.</span></p><p class="MsoNoSpacing"><span style="font-family: book antiqua,palatino; font-size: medium;" lang="FR"> </span></p><p class="MsoNoSpacing"><span style="font-family: book antiqua,palatino; font-size: medium;" lang="FR">Si l’heure des vacances a « enfin » sonner pour l’entreprise qui m’emploie, il n’est pas encore tout à fait temps pour moi… quelque uns d’entre vous non pas encore été livré et tout sera fait ne vous inquiétez pas : j’honore toujours mes engagements !</span></p><p class="MsoNoSpacing"><span style="font-family: book antiqua,palatino; font-size: medium;" lang="FR">Et puis j’aime trop mon métier pour ne rien faire pendant trois semaines…</span></p><p class="MsoNoSpacing"><span style="font-family: book antiqua,palatino; font-size: medium;" lang="FR"> </span></p><p class="MsoNoSpacing"><span style="font-family: book antiqua,palatino; font-size: medium;" lang="FR">Quoi qu’il en soit, cela n’as pas vraiment de rapport avec le thème du billet de ce jour…. Quoique !!</span></p><p class="MsoNoSpacing"><span style="font-family: book antiqua,palatino; font-size: medium;" lang="FR"> </span></p><p class="MsoNoSpacing"><span style="font-family: book antiqua,palatino; font-size: medium;" lang="FR">Je t’avais déjà parlé de la possibilité que tu as de venir me rencontrer directement à la boulangerie pour que nous papotions toi et moi du dessert de tes rêves pour ton mariage (ou tout autres fêtes bien entendu... lol).</span></p><p class="MsoNoSpacing"><span style="font-family: book antiqua,palatino; font-size: medium;" lang="FR">C’est ce qu’on fait Nicolas et Myriam : après une rencontre et un bon moment de papotage nous sommes convenus d’un buffet de dessert comprenant : des macarons, des St Honorés, des éclairs et enfin un Croquembouche !!!</span></p><p class="MsoNoSpacing"><span style="font-family: book antiqua,palatino; font-size: medium;" lang="FR">Tout un programme….</span></p><p class="MsoNoSpacing"><span style="font-family: book antiqua,palatino; font-size: medium;" lang="FR">A bien y réfléchir je crois bien que cela vas me nécessiter au moins 2 articles cette histoire de mariage, lol !!</span></p><p class="MsoNoSpacing"><span style="font-family: book antiqua,palatino; font-size: medium;" lang="FR"> </span></p><p class="MsoNoSpacing"><span style="font-family: book antiqua,palatino; font-size: medium;" lang="FR">Je vais commencer par le pré-dessert …</span></p><p class="MsoNoSpacing"><span style="font-family: book antiqua,palatino; font-size: medium;" lang="FR"> </span></p><p class="MsoNoSpacing"><span style="font-family: book antiqua,palatino; font-size: medium;" lang="FR">Ce fût un vrai plaisir de papoter avec une cliente qui à comment dire : littéralement dévoré le blog !</span></p><p class="MsoNoSpacing"><span style="font-family: book antiqua,palatino; font-size: medium;" lang="FR">Elle connaissait presque tout, et m’a même reparlé d’article que j’avais publié il y a déjà pas mal de temps. C’est de cette façon que ce jeune couple m’a demandé des <strong><a href="http://lesmillesfoliesdepapou.hautetfort.com/archive/2012/02/09/st-valentin-macaron-eclair.html">éclairs St Valentin</a></strong> version « demi » : il faut croire qu’il lui a tapé dans l’œil celui-ci !! Lol</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-3693428" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lesmillesfoliesdepapou.hautetfort.com/media/00/01/1542873050.JPG" alt="éclair, pâtisserie, fraise, fraise des bois, vanille, madagascar, chocolat lait, palet, gélifié, mascarpone, papou, 67, hoenheim, saint valentin, création" /></p><p style="text-align: center;"><em><span style="font-family: book antiqua,palatino; font-size: small;">Petit rappel pour les néophytes, l'éclair présenter est composer d'un palet gélifié à la fraise des bois, d'une crème à la vanille de Bourbon, et d'une fine plaquette de chocolat noir 55%!!</span><br /></em></p><p style="text-align: center;"><img id="media-3693429" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lesmillesfoliesdepapou.hautetfort.com/media/01/01/2222668745.JPG" alt="éclair, pâtisserie, fraise, fraise des bois, vanille, madagascar, chocolat lait, palet, gélifié, mascarpone, papou, 67, hoenheim, saint valentin, création" /></p><p class="MsoNoSpacing"><span style="font-family: book antiqua,palatino; font-size: medium;" lang="FR"> </span></p><p class="MsoNoSpacing"><span style="font-family: book antiqua,palatino; font-size: medium;" lang="FR">Le dessert qui suit fait son bout de chemin dans le cœur des clients et son succès grandit de semaine en semaine : peut-être est-ce la saison qui fait ça. </span></p><p class="MsoNoSpacing"><span style="font-family: book antiqua,palatino; font-size: medium;" lang="FR">En tous les cas profitez en parce que je travaille avec les fruits de saisons et quand la saison des fraises sera fini, ben y’en aura plus dans ma vitrine non plus !!!</span></p><p class="MsoNoSpacing"><span style="font-family: book antiqua,palatino; font-size: medium;" lang="FR"> </span></p><p class="MsoNoSpacing"><span style="font-family: book antiqua,palatino; font-size: medium;" lang="FR">Donc vous l’aurez compris, le dessert est à la fraise ; et c’est <strong><a href="http://lesmillesfoliesdepapou.hautetfort.com/archive/2012/05/28/saint-honore-fraise-papou-fete-des-meres-2012-dessert-patiss.html">un Saint Honoré à la fraise</a> </strong>!! C'est un dessert que je t'avais proposé à l'occasion de la Fête des Mamans, et qui avait déjà conquis bon nombre de gourmands.</span></p><p class="MsoNoSpacing"><span style="font-family: book antiqua,palatino; font-size: medium;" lang="FR">Miam !!!</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-3693436" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lesmillesfoliesdepapou.hautetfort.com/media/02/01/1967093878.JPG" alt="saint, honoré, St, fraise, crème, chantilly, choux, pâte à choux, rose, original, papou, Papou, pâtissier, Hoenheim, 67, maitrise, brevet" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-3693440" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lesmillesfoliesdepapou.hautetfort.com/media/02/02/4273694889.JPG" alt="saint, honoré, St, fraise, crème, chantilly, choux, pâte à choux, rose, original, papou, Papou, pâtissier, Hoenheim, 67, maitrise, brevet" /></p><p class="MsoNoSpacing"><span style="font-family: book antiqua,palatino; font-size: medium;" lang="FR">Un pur régal pour les yeux, les papilles, et l’estomac !!! Lol</span></p><p class="MsoNoSpacing"><span style="font-family: book antiqua,palatino; font-size: medium;" lang="FR">Si ce St Honoré te fais saliver, surtout n’hésite pas à le commander : mais au minimum 48h à l’avance, c’est un dessert qui prend du temps à réaliser, d’autant que je travaille avec des fraises fraiche et pas de la pulpe de fruit ou il reste juste le bouchon à retirer de la brique !! Lol </span></p><p class="MsoNoSpacing"><span style="font-family: book antiqua,palatino; font-size: medium;" lang="FR"> </span></p><p class="MsoNoSpacing"><span style="font-family: book antiqua,palatino; font-size: medium;" lang="FR">Je vais donc m’arrêter là pour cette 1<sup>ère</sup> partie, et tout bientôt la suite de ce buffet de dessert, et promis on passera aux choses sérieuses !!!</span></p><p class="MsoNoSpacing"><span style="font-family: book antiqua,palatino; font-size: medium;" lang="FR"> </span></p><p class="MsoNoSpacing"><span style="font-family: book antiqua,palatino; font-size: medium;" lang="FR">Tchô !</span></p><p class="MsoNoSpacing"><span style="font-family: book antiqua,palatino; font-size: medium;" lang="FR">M. Papou</span></p>
Prieto
http://www.chemindamourverslepere.com/about.html
25 avril : Anniversaire de Mgr le Prince Louis
tag:www.chemindamourverslepere.com,2012-04-25:4692371
2012-04-25T11:05:00+02:00
2012-04-25T11:05:00+02:00
En ce jour, l' Institut de la Maison de Bourbon fait célébrer une messe...
<p><span style="font-family: georgia,palatino; font-size: small; color: #000000;">En ce jour, l'<a title="IMB : Institut de la Maison de Bourbon" href="http://www.royaute.org/" target="_blank"><span style="color: #000000;">Institut de la Maison de Bourbon</span></a> fait célébrer une messe à 12h15 à Paris, en l'église Saint-Germain l'Auxerrois, paroisse des Rois de France.</span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: georgia,palatino; font-size: small; color: #000000;"><img id="media-3553958" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://www.chemindamourverslepere.com/media/02/01/2483073547.jpg" alt="anniversaire,roi,royauté,Louis XX,prince,duc,Anjou,Bourbon" /></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: georgia,palatino; font-size: small; color: #000000;">Louis XX et son épouse Marguerite-Marie au Vatican</span></p>
Marquis des Chouans
http://richemont.hautetfort.com/about.html
Le château de Frohsdorf
tag:richemont.hautetfort.com,2011-03-12:3140774
2011-03-12T22:36:00+01:00
2011-03-12T22:36:00+01:00
La pièce la plus émouvante du château de Frohsdorf était sans conteste...
<div class="entrybody"><p style="text-align: center;"><img id="media-2934788" style="margin: 0.7em 0;" src="http://richemont.hautetfort.com/media/01/01/2493582027.jpg" alt="chateau de frohsdorf,comte de chambord,duchesse d'angoulême,bourbon,histoire,légitimisme,légitimité,noblesse et royauté" /></p><p>La pièce la plus émouvante du <strong>château de Frohsdorf</strong> était sans conteste la chambre où s’éteignit la <strong>duchesse d’Angoulême</strong> en 1851. La princesse y conservait dans une armoire reliquaire toute une série de pieux souvenirs lui rappelant la douleur de sa captivité au Temple.</p><p><span id="more-47262"> </span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-2934783" style="margin: 0.7em 0;" src="http://richemont.hautetfort.com/media/01/02/384933146.jpg" alt="chateau de frohsdorf,comte de chambord,duchesse d'angoulême,bourbon,histoire,légitimisme,légitimité,noblesse et royauté" /></p><p>Après le rappel à Dieu de sa tante, le<strong> comte de Chambord</strong> décida que toutes ces reliques après avoir été enfermées dans un coffre en bois, seraient murées dans un endroit tenu secret dans le château afin de ne jamais tomber entre des mains impies. La pièce fut alors transformée en sanctuaire et une plaque de marbre noir fut posée au-desus de l’emplacement du lit de la princesse, portant une touchante épitaphe écrite par le prince (<em>cf.illustration)</em></p><p style="text-align: center;"><img class="size-full wp-image-47273 aligncenter" title="19" src="http://www.noblesseetroyautes.com/nr01/wp-content/uploads/2011/03/19.jpg" alt="" width="464" height="287" /></p><p>Au second étage se situait la bibliothèque riche de plus de 10.000 volumes et dont la conservation avait été confiée au<strong> père Bole</strong>, aumônier du prince. Grand lecteur, le <strong>comte de Chambord</strong> acheta toute sa vie durant de très nombreux ouvrages d’histoire, de géographie mais reçut également beaucoup de livres provenant des nombreux écrivains en sympathie avec la cause légitimiste. Mais elle comportait aussi de nombreux volumes dans des reliures aux armes rescapés des différentes bibliothèques des princes aux <strong>Tuileries</strong> <em>(cf.illustration)</em></p><p style="text-align: center;"><img class="size-full wp-image-47274 aligncenter" title="20" src="http://www.noblesseetroyautes.com/nr01/wp-content/uploads/2011/03/20.jpg" alt="" width="411" height="407" /></p><p>Située dans l’aile Nord du château, la chapelle du château, qui était dédiée à Saint Jean, avait été transformée par le <strong>comte de Chambord</strong> en 1859 dans le goût italien avec un décor de pilastres de marbre veiné rouge et de frises de stuc blanc et or mêlant fleur-de-lys et<strong>croix de Saint </strong>Esprit tandis qu’au centre du plafond, une importante peinture figurait l’apothéose de <strong>l’empereur Saint Henri</strong> sous les traits du <strong>comte de Chambord</strong> en manteau royal. La chapelle a pu faire l’objet d’une restauration complète et soignée menée entre 1966 et 1968 <em>(cf.illustration</em>).</p><p style="text-align: center;"><img class="size-full wp-image-47275 aligncenter" title="21" src="http://www.noblesseetroyautes.com/nr01/wp-content/uploads/2011/03/21.jpg" alt="" width="334" height="463" /></p><p>C’est là que seront célébrés plusieurs mariages familiaux : ainsi, en 1845, celui de<strong> Louise d’Artois (1819-1864), fille du duc de Berry</strong>, avec <strong>don Carlo de Bourbon, infant d’Espagne, prince de Lucques et futur duc de Parme (1823-1854)</strong> (<em>cf.illustration</em>)</p><p style="text-align: center;"><img class="size-full wp-image-47276 aligncenter" title="22" src="http://www.noblesseetroyautes.com/nr01/wp-content/uploads/2011/03/22.jpg" alt="" width="339" height="460" /></p><p>Puis, en 1867, celui de leur fille<strong> Marguerite de Bourbon-Parme (1847-1893)</strong> avec <strong>don Carlos de Bourbon, infant d’Espagne, duc de Madrid (1848-1909)</strong> <em>(cf.illustration)</em></p><p style="text-align: center;"><img id="media-2934785" style="margin: 0.7em 0;" src="http://richemont.hautetfort.com/media/01/01/3887455909.jpg" alt="chateau de frohsdorf,comte de chambord,duchesse d'angoulême,bourbon,histoire,légitimisme,légitimité,noblesse et royauté" /></p><p>C’est également dans cette chapelle que fut célébré le 1er septembre 1883 le premier service qui suivra la mort du <strong>comte de Chambord</strong>, service qui, comme celui de<strong> Göritz,</strong> fut présidé par ses neveux les <strong>ducs de Madrid et de Parme</strong>. A l’extérieur du château, d’importants communs abritaient les logements du personnel de service, qui entre valets de pied (qui portaient la livrée de la <strong>maison du roi</strong> en velours « <em>bleu de roi</em> » galonnée d’argent), valets de chambre, maîtres d’hôtel, femmes de chambres, sommeliers, chefs de bouche, d’office et d’argenterie, cuisiniers et autres domestiques, 42 personnes en 1844.</p><p>Placés sous la responsabilité du <strong>comte Maxence de Damas, grand-ecuyer du prince</strong>, les écuries abritaient des remises pour les nombreuses voirtures hippomobiles (calèches, ducs, breaks de chasse, landaus, victoria, coupés) que possédait le prince comme en témoigne cetet aquarelle par <strong>K.Göebel</strong> (<em>cf.illustration</em>) figurant un landau attelé à deux chevaux devant le château.</p><p style="text-align: center;"><img class="size-full wp-image-47278 aligncenter" title="24" src="http://www.noblesseetroyautes.com/nr01/wp-content/uploads/2011/03/24.jpg" alt="" width="462" height="308" /></p><p>Mais aussi des boxes et un manège couvert pour 20 chevaux de selle et d’attelage dont s’occupaient 16 cochers, postillons, piqueux, jockeys, grooms et palefreniers comme en témoigne une photo prise devant les écuries de Frohsdorf du temps du <strong>comte de Chambord</strong> (<em>cf.illustration</em>)</p><p style="text-align: center;"><img class="size-full wp-image-47279 aligncenter" title="25" src="http://www.noblesseetroyautes.com/nr01/wp-content/uploads/2011/03/25.jpg" alt="" width="351" height="468" /></p><p>En 1883, à la mort de celui qu’à Frohsdorf, tout le monde n’appelait que « <em>monseigneur</em>« , la peine propriété du château de ses terres et de ses collections revint à la <strong>comtesse de Chambord</strong> <em>(cf.illustration</em>)</p><p style="text-align: center;"><img class="size-full wp-image-47280 aligncenter" title="26" src="http://www.noblesseetroyautes.com/nr01/wp-content/uploads/2011/03/26.jpg" alt="" width="339" height="464" /></p><p>Mais celle-ci préféra séjourner le plus souvent à Göritz dont le climat clément convenait mieux à sa tante fragile. En 1886, lorsque la princesse disparut, la pleine propriété du château et de ses collections revint à son petit-neveu <strong>don Jaime de Bourbon (1870-1931)</strong> (<em>cf.illustration</em>)</p><p style="text-align: center;"><img class="size-full wp-image-47281 aligncenter" title="27" src="http://www.noblesseetroyautes.com/nr01/wp-content/uploads/2011/03/27.jpg" alt="" width="463" height="265" /></p><p>L’usufruit revenant à sa mère <strong>Marguerite de Parme, épouse de don Carlos, duc de Madrid</strong> qui deviendra<strong> chef de la maison de Bourbon</strong> à la mort de son père, <strong>don Juan de Bourbon, comte de Montizon (1822-1887)</strong> et par ailleurs, beau-frère du comte de Chambord. Le <strong>duc de Madrid</strong>, qui avait confirmé ses droits à la couronne de France dès 1868 dans une lettre publiée de Venise qui ne fut jamais désavouée par le<strong> comte de Chambord</strong>, fut en 1887 reconnu roi de France « <em>de jure</em> » par les légitimistes français sous le nom de<strong> Charles XI</strong>. Le <strong>duc et la duchesse de Madrid</strong>, qui habitaient habituellement le <strong>palais Loredan à Venise</strong>, utilisèrent le château de Frohsdorf comme résidence d’été jusqu’à la mort de la princesse survenue en 1893. C’est à la mort de son père en 1909 que le <strong>duc d’Anjou et de Madrid</strong> s’installa à<strong> Frohsdorf</strong> et en fit dès lors sa résidence principale. Une photo prise dans les années 20 (<em>cf.illustration</em>) montre le prince au volant de sa voiture devant le château.</p><p style="text-align: center;"><img id="media-2934787" style="margin: 0.7em 0;" src="http://richemont.hautetfort.com/media/02/00/2422599604.jpg" alt="chateau de frohsdorf,comte de chambord,duchesse d'angoulême,bourbon,histoire,légitimisme,légitimité,noblesse et royauté" /></p><p>Frappé par la loi d’exil qui lui interdisait de servir sous l’uniforme français, <strong>don Jaime de Bourbon</strong> était devenu officier dans l’armée impériale russe et avait notamment participé à la guerre russo-japonaise. A la mort de son père, il devint à son tour <strong>chef de la maison de Bourbon</strong>, prit officiellement le titre de <strong>duc d’Anjou et de Madrid</strong> et fut dès lors reconnu<strong> roi de France « de jure »</strong> par les légitimistes français sous le nom de<strong> Jacques Ier</strong>. Dans une lettre adressée au <strong>comte de Paris</strong> le 23 mai 1892, il protesta solennellement contre le port des pleines armes de France par les<strong> Orléans</strong>.</p><p>Le <strong>duc d’Anjou et de Madrid</strong> fut en 1897 presque fiancé à la <strong>princesse Mathilde de Bavière, fille du futur roi Louis III</strong> mais l’hostilité de la <strong>princesse Marie Berthe de Rohan</strong>, que<strong> don Carlos</strong>, son père avait épousé en secondes noces en 1894, fit échouer le projet.</p><p>Pendant la Première Guerre Mondiale, suivant en cela en exemple de sa cousine germaine<strong> l’impératrice d’Autriche, née princesse Zita de Bourbon-Parme, épouse de l’empereur Charles Ier</strong> (<em>cf.illustration</em>)</p><p style="text-align: center;"><img class="size-full wp-image-47283 aligncenter" title="29" src="http://www.noblesseetroyautes.com/nr01/wp-content/uploads/2011/03/29.jpg" alt="" width="330" height="468" /></p><p>qui avait fait mettre les cercueils royaux, qui reposaient dans la crypte de la <strong>Castagnavizza à Göritz</strong>, en lieu sûr à Vienne,<strong> don Jaime</strong> fit envoyer en France auprès d’un homme qu’il croyait être de confiance, 3 wagons de tableaux, objets d’art, pièces d’orfèvrerie et souvenirs historiques parmi les plus précieux provenant de Frohsdorf. Parmi eux, figurait notamment l’émouvant manuscrit du journal de sa captivité écrit par <strong>Madame Royale</strong> dans la prison du temple. Mais leur contenu disparut mystérieusement.</p><p>Le <strong>duc d’Anjou et de Madrid</strong> mourut en 1931 à Paris où il avait son appartement rue du Faubourg Saint Honoré, sans alliance et en laissant de nombreuses dettes. Le château <strong>de Frohsdorf</strong> et ses collections revinrent alors à sa soeur, la <strong>princesse Béatrix de Bourbon (1874-1961)</strong> (<em>cf.illustration</em>) épouse du<strong> prince Fabrizzio Massimo</strong> qui par sa mère, née <strong>Francesca Lucchesi Palli</strong>, se trouvait être le petit-fils de la <strong>duchesse de Berry</strong>.</p><p style="text-align: center;"><img class="size-full wp-image-47284 aligncenter" title="30" src="http://www.noblesseetroyautes.com/nr01/wp-content/uploads/2011/03/30.jpg" alt="" width="461" height="272" /></p><p>Tandis que ses 3 soeurs, les princessse <strong>Blanche, archiduchesse Léopold-Salvator d’Autriche</strong>,<strong> Elvire</strong>, sans alliance et <strong>Alice, princesse Friedrich de Schönburg-Waldenburg</strong>, se partageaient les châteaux et terres de<strong> Katzeldorf et Pitten</strong>. Toutefois, pour solder le passif de la succession, la <strong>princesse Béatrix de Bourbon-Massimo</strong> se verra contrainte de faire procéder à différentes ventes. Ce sera d’abord en 1936 l’ensemble de la bibliothèque du<strong> comte de Chambord</strong> ainsi que de nombreux portraits et dessins contemporains du prince qui seront cédés au grand libraire angaius Maggs Bros. Puis en 1938, ce seront 151 tableaux dont 72 portraits et tableaux historiques concernant les <strong>princes et princesses de la maison de Bourbon</strong> entre XVIIe et le XIXe siècle qui seront dispersés.</p><p>Par bonheur, une des précieuses photos des salons furent prises avant cette dispersion, nous montre l’ancien salon rouge (<em>cf.illustration</em>) tel qu’il était alors avec le grand tapis au point portant les grandes armes de France offert en 1873 par les dames royalistes de Bretagne et l’imposant lustre en verre de Murano qui y figuraient déjà du temps du <strong>comte de Chambord</strong>. Les murs de la pièce étaient alors décorés de la suite des quatorze tableaux historiques présentant la campagne du <strong>duc d’Angoulême</strong> en Espagne (entre autres la Prise du Trocadéro et le passage de la Bidassoa par <strong>Abel de Pujol</strong> ou le Retour du Prince aux Tuileries par <strong>Louis Ducis</strong>) et du portrait ovale de la <strong>duchesse d’Angoulême</strong> qui faisait pendant à celui de son époux, tous deux exécutés en 1825 par <strong>Thomas Lawrence</strong>. L’ensemble de ces tableaux provenait des collections que la princesse avait rassemblées au château de <strong>Villeneuve-l’Etang</strong>, son ancien domaine privé qu’elle avait vendu en 1850.</p><p style="text-align: center;"><img class="size-full wp-image-47285 aligncenter" title="31" src="http://www.noblesseetroyautes.com/nr01/wp-content/uploads/2011/03/31.jpg" alt="" width="461" height="333" /></p><p>Mais le 22 avril 1941, ne pouvant subvenir à ses lourdes charges d’entretien, la<strong> princesse Béatrix de Bourbon-Massimo,</strong> devait se résoudre à signer l’acte de vente du château aux Postes du Reich, l’autriche étant alors annexée à l’Allemagne. Ne voulant toutefois pas quitter la demeure de ses ancêtres, la princesse et ses quatre filles s’installèrent alors dans l’ancien pavillon de chasse du château (<em>cf.illustration</em>), situé en lisière de l’ancien parc, en y emmenant de nombreux souvenirs historiques sur lesquels elle veillera jalousement pendant toute la seconde guerre.</p><p style="text-align: center;"><img class="size-full wp-image-47286 aligncenter" title="32" src="http://www.noblesseetroyautes.com/nr01/wp-content/uploads/2011/03/32.jpg" alt="" width="465" height="317" /></p><p>Car la guerre n’épargnera pas le <strong>château de Frohsdorf</strong>. Il sera d’abord réquisitionné en 1941 par l’occupant allemand qui le transformera en hôpital militaire avant d’être contraint de le quitter en 1945 face à l’avancée des armées soviétiques. Ce sont les soldats russes qui vandalisèrent alors de nombreux tableaux de taille importante qui étaient restés dans la demeure tandis qu’ils brûlèrent ou pillèrent, devant la <strong>princesse Massimo</strong> impuissante, de nombreuses oeuvres qui avaient été mises en sécurité par cette dernière dans les communs. Le château fut ensuite abandonné et fermé pendant dix ans <em>(cf.illustration</em>) avant d’être finalement récupéré en 1955 par les Postes autrichiennes.</p><p style="text-align: center;"><img class="size-full wp-image-47287 aligncenter" title="33" src="http://www.noblesseetroyautes.com/nr01/wp-content/uploads/2011/03/33.jpg" alt="" width="348" height="350" /></p><p>Il fera ensuite l’objet d’un programme complet de restauration qui sera effectué entre 1961 et 1968 pour un montant total de 72 millions de schillings autrichiens, avant d’être transformé en centre de formation des télécommunications. Les décors des salons de réception seront soigneusement reconstitués, la chapelle fera l’objet d’une restauration exemplaire mais les appartements des étages seront, eux, irrémédiablement détruits et cloisonnés pour être convertis en salles de réunion et chambres.</p><p>En 2005, les Postes autrichiennes ont revendu le<strong> château de Frohsdorf</strong> à un promoteur immobilier qui souhaitait transformer la demeure en appartements de luxe mais les travaux semblent aujourd’hui stoppés et le devenir de cette demeure chargée d’histoire semble aujourd’hui très incertain.</p><p>Quant au<strong> pavillon de chasse de Frohsdorf</strong> en 1961, à la mort de la<strong> princesse Béatrix de Bourbon-Massimo</strong>, c’est sa fille la <strong>princesse Blanche (1906-1999</strong>), qui avait épousé en 1943 le <strong>comte Paul Wurmbrand-Stuppach</strong> issu d’une ancienne famille médiatisée du <strong>Saint empire romain germanique</strong> (<em>cf.illustration</em>) qui en héritera ainsi que les riches collections qu’il contenait.</p><p style="text-align: center;"><img class="size-full wp-image-47288 aligncenter" title="34" src="http://www.noblesseetroyautes.com/nr01/wp-content/uploads/2011/03/34.jpg" alt="" width="396" height="467" /></p><p>A la mort de la <strong>comtesse douairière Wurmbrand-Stuppach</strong>, le pavillon reviendra à son fils le <strong>comte Ernest-Gundaccar</strong> et son épouse <strong>Elisabeth</strong>. Le couple qui a 4 enfants, perpétue aujourd’hui fidèlement la présence en Basse Autriche de la <strong>branche aînée des Bourbons</strong> depuis 167 ans et veille jalousement à la conservation de ce précieux patrimoine historique ainsi que de l’important domaine forestier qui lui est attaché.</p><p>On y remaqrue notamment toujours le fameux portrait de <strong>Marie Antoinette</strong> par <strong>Madame Vigée-Lebrun</strong> (<em>cf.illustration</em>) « balafré » par un coup de baïonnette en 1793 et qui figurait du temps du <strong>comte de Chambord</strong> dans le salon rouge.</p><p style="text-align: center;"><img class="size-full wp-image-47289 aligncenter" title="35" src="http://www.noblesseetroyautes.com/nr01/wp-content/uploads/2011/03/35.jpg" alt="" width="461" height="265" /></p><p>Mais aussi la paire de souliers que porta le <strong>roi Charles X</strong> à l’occasion de son sacré à Reims le 29 mai 1825. Pour la cérémonie, il portait deux diamants jumeaux provenant des joyaux de la couronne et qui réintégrèrent le <strong>Garde-meuble royal</strong> après la cérémonie (<em>cf.illustration</em>)</p><p style="text-align: center;"><img class="size-full wp-image-47290 aligncenter" title="36" src="http://www.noblesseetroyautes.com/nr01/wp-content/uploads/2011/03/36.jpg" alt="" width="326" height="475" /></p><p>ou encore un remarquable guéridon marqueté aux <strong>grandes armes de France</strong> (<em>cf.illustration</em>) dont la provenance est émouvante puisqu’il fut réalisé et offert par des ouvriers français lors d’une visite au prince ainsi qu’en témoigne l’étiquette qu’il porte au-dessous.</p><p>Quant aux précieuses archives du <strong>comte de Chambord</strong>, elles furent logiquement léguées par <strong>Henri V</strong> aux chefs de la <strong>maison de Bourbon</strong> successifs que furent <strong>don Carlos</strong>, considéré par les légitimistes comme le <strong>roi de France Charles XI</strong>, puis <strong>don Jaime</strong>, comme le roi de France <strong>Jacques Ier</strong>. Pendant l’occupation du château, elles furent malheureusement en partie pillées par les soldats soviétiques en 1945.</p><p style="text-align: center;"><img class="size-full wp-image-47291 aligncenter" title="37" src="http://www.nobless
Marquis des Chouans
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La Monarchie Traditionnelle Française
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2010-11-29T23:19:00+01:00
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Les avantages de la monarchie catholique traditionnelle La...
<p><span style="color: #ff0000;"><strong><span class="mw-headline" style="font-size: small;">Les avantages de la monarchie catholique traditionnelle</span></strong></span></p><p><span class="mw-headline"><p>La monarchie conférerait à l’Etat des qualités bénéfiques: <img id="media-2774044" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" src="http://beaudricourt.hautetfort.com/media/00/00/2708587449.jpg" alt="2217934523_small_1.jpg" /></p><ul><li>unité, </li><li>continuité, </li><li>indépendance, </li><li>responsabilité, </li><li>légitimité. </li></ul><p><a name="Unit.C3.A9.2C_m.C3.A9moire_et_tradition"></a><h3><span class="mw-headline">Unité, mémoire et tradition</span></h3><p>L'unité, sans laquelle il ne saurait y avoir d‘autorité véritable, est indispensable pour garantir l’indépendance nationale.</p><a name="La_d.C3.A9mocratie_divise_les_Fran.C3.A7ais_en_entretetenant_un_.C3.A9tat_permanent_de_division_et_de_guerre_civile"></a><h4><span class="mw-headline">La démocratie républicaine divise les Français en entretetenant un état permanent de division et de guerre civile</span></h4></p><p>Dans une démocratie les intérêts supérieurs du pays sont <span style="text-decoration: underline;">sacrifiés aux luttes partisanes</span>.</p></span></p><p>"<em>La véritable unité de la Nation française ne se fera que par un retour à la foi de ses ancêtres et à la royauté capétienne qui permettra le libre et authentique épanouissement des communautés composant le corps social</em>" (<strong>Prince Jacques-Henri</strong>, dans sa déclaration du 19 novembre 1972 à l'occasion de son voyage dans l'Ouest)</p><p><p><p><span class="mw-headline"> </span></p></p></p><p><img id="media-2774027" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" src="http://beaudricourt.hautetfort.com/media/02/01/3108340598.jpg" alt="princealphonse.jpg" />"<em>Que chacun soit bien convaincu que l'aîné des Capétiens, fidèle à la tradition millénaire de sa famille, n'est pas là pour diviser mais pour unir et rassembler</em>" (<strong>Alphonse duc d'Anjou et de Cadix</strong>, dans une allocution prononcée à Pau, le 29 Mmars 1987)</p><p>"<em>Défendre la vérité ce n'est pas diviser mais unir (...). Ce n'est que sur la vérité que les choses valables peuvent s'édifier, ce n'est que par la vérité que les Français retrouveront cette unité patiemment construite et soudainement abolie voici deux siècles. (...) Puissent, par le triomphe de la vérité, les Français s'aimer de nouveau les uns les autres pour que vive la France </em>!" (<strong>Alphonse duc d'Anjou et de Cadix</strong>, dans une allocution prononcée à Paris, le 22 janvier 1988).</p><p>"<em>Ne l'oubliez pas ; c'est par le retour à ses traditions de Foi et d'honneur, que la grande nation (i.e. la France) un moment affaiblie, recouvrera sa puissance et sa gloire</em>" (<strong>Le Comte de Chambord </strong>dans son manifeste du 9 octobre 1870).</p><p><p><span class="mw-headline"><h4><span class="mw-headline" style="font-size: medium;"><span style="color: #ff0000;">Comment revenir au spectacle de nos divisions,... à l'unité nécessaire ?" </span><span style="font-size: small;">par MGR Delassus</span></span></h4></span></p><p><img id="media-2774016" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" src="http://beaudricourt.hautetfort.com/media/01/02/192056357.jpg" alt="Mgr_Henri_Delassus_-1836-1921-.jpg" />"<em>Il n'existe pas deux voies: c'est de revenir au principe qui, au cinquième siècle, a fait la France. </em></p><p><p><em>A un peuple précipité hors de sa voie, arraché à ses traditions et qui meurt, on ne peut rendre du sang, de la vie, du patriotisme, de l'élan, qu'en le ramenant, en le rattachant de nouveau à son principe. [...] Car où se trouve le principe générateur de l'unité, là se trouve le renouvellement de la patrie française !</em>"</p></p></p><p>(<strong>Mgr Delassus</strong>, <em>L'esprit familial, dans la famille)</em></p><p><h3><span class="mw-headline">Identité</span></h3></p><p>"<em>L'identité nationale passe aussi et sûrement par cette mémoire du temps passé, ponctuée par des anniversaires qu'il faudrait commémorer dignement</em>" (<strong>Alphonse duc d'Anjou et de Cadix</strong>, dans une allocution prononcée à Paris, le 22 janvier 1989) </p><p><p>La monarchie est le régime politique qu'il faut à la France parce que c'est son régime naturel.</p><p>Le roi fédère autour de sa personne et agrège des populations autour de ce qu'il représente: la nation et la patrie.</p><p>La France est née catholique et royaliste.</p><p>Ses ennemis pourront épiloguer et chicaner; ils ne pourront jamais effacer le baptême de Clovis.</p><p>C'est pourquoi par exemple, la mémoire de ce grand roi est oubliée, les livres le concernant, mis de côté, son histoire, passée à la trappe dans les manuels scolaires...</p><p>Mais la vérité ne change pas et les faits historiques sont tétus...</p><p><a name="Continuit.C3.A9"></a></p><h3><span class="mw-headline">Continuité</span></h3><p>Les successions paisibles, conséquences du principe héréditaire dans la dévolution du pouvoir, évitent à la France de connaître des révolutions meurtrières et des guerres fratricides...</p><p>Ainsi des objectifs à long terme peuvent-ils être atteints.</p><p>La continuité du pouvoir monarchique durant huit siècles contraste avec l’instabilité institutionnelle des deux derniers siècles.</p><p><a name="Ind.C3.A9pendance"></a></p><h3><span class="mw-headline">Indépendance</span></h3><p>La monarchie est la qualité d’un régime qui ne repose pas sur l’élection, laquelle lie le pouvoir à l’opinion publique, l’obligeant à pratiquer une démagogie éhontée pour recueillir des suffrages.</p></p><p>Le régime électif est ainsi obligé de centraliser l’administration du pays. Il détruit les libertés locales, municipales, régionales, professionnelles, les provinces à qui le roi permettait de vivre et de s’organiser librement.</p><p><p><p>Dégagé des soucis électoraux, le Roy serait en situation d'être un arbitre.</p></p><p><p><a name="Responsabilit.C3.A9"></a></p><h3><span class="mw-headline">Responsabilité</span></h3><p>Les intérêts dynastiques et personnels du Roi se confondent avec les intérêts nationaux, tandis que le pouvoir démocratique dilue la responsabilité dans les majorités et les scrutins.</p><p><a name="L.C3.A9gitimit.C3.A9"></a></p><h3><span class="mw-headline">Légitimité</span></h3><p>La monarchie reconnaît Dieu comme la source du pouvoir.</p><p>C'est un régime politique sain qui s’exerce en vue du seul bien commun, indépendant des groupes d’intérêt et des puissances d’argent.</p><p>La monarchie diminue les risques de corruption du pouvoir du fait même que le roi est sûr de son pouvoir. Il n'a pas besoin de se corrompre dans de basses manigances pour l'obtenir...</p><p>L’Etat royal puise sa légitimité dans l’Histoire et les services qu’il a rendus au pays au cours des siècles.</p><p>Il n’y a pas de légitimité en démocratie puisque le pouvoir est le fruit des compétitions électorales et que les partis l’exercent selon les caprices de l’opinion...</p><p><a name="Moralit.C3.A9"></a></p><h3><span class="mw-headline">Moralité</span></h3><p>Dans la monarchie, les manoeuvres électorales que l'on rencontre dans la démocratie sont absentes. La moralité s'en trouve sauve.</p></p><p>Voici le programme gouvernemental que le comte de Chambord proposait aux Français : <img id="media-2774040" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" src="http://beaudricourt.hautetfort.com/media/00/02/2520337335.jpg" alt="chambord2.jpg" /></p><p><p>"<em>Pénétré des besoins de mon temps, toute mon ambition est de fonder avec vous (i.e. les Français), un gouvernement vraiment national, ayant le droit pour base, l'honnêteté pour moyen, la grandeur morale pour but</em>" (Le Comte de Chambord dans son manifeste du 9 octobre 1870)</p></p><p>"<em>Gouverner ne consiste pas à flatter les passions des peuples, mais à s'appuyer sur leurs vertus</em>" (Le <strong>Comte de Chambord</strong>, dans son manifeste du 9 octobre 1870)</p></p><p><p><p><a name="Repr.C3.A9sentation"></a></p><h3><span class="mw-headline">Représentation</span></h3></p><p>La monarchie a historiquement conduit le Royaume de France à son plus haut degré de civilisation.</p><p><p>La Monarchie traditionnelle, héréditaire, décentralisée et représentative a fait la France et l’a conduite à son apogée.</p><p>Le monarque mieux que quiconque représente la France et la France de toujours...</p></p><p><em><strong>L’histoire confirme ces simples vérités historiques :</strong></em></p></p><p style="text-align: center;"><p>Le bilan des régimes démocratiques, Républiques ou Empire, est autrement lourd : morts par milliers, cinq invasions depuis 1792 (1792,1813,1870,1914,1940), instabilité constitutionnelle, luttes intestines, révolutions, affaiblissement général de la France.</p></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #ff0000;"><strong>Les Légitimistes travaillent donc au juste retour du régime naturel de notre pays. Ayant condamné le régime politique républicain, et reconnaissant dans la Monarchie Catholique Traditionnelle la vérité historique de la France, ils s’efforcent de la restaurer.</strong></span> </p>
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Photo du baptême des Princes Louis et Alphonse de Bourbon
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2010-09-07T19:00:00+02:00
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<p style="text-align: center;"><img id="media-2636269" style="margin: 0.7em 0;" src="http://richemont.hautetfort.com/media/02/01/1372648083.jpg" alt="1283800376_0.jpg" /></p>
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Le baptème au Vatican des Princes Louis et Alphonse
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2010-09-07T09:05:00+02:00
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Les Princes Louis et Alphonse , qui sont depuis leur naissance Duc de...
<p style="text-align: center;"><span style="font-size: 10pt;"><strong><span style="color: #ff0000;">Les Princes Louis et Alphonse</span>, qui sont depuis leur naissance Duc de Bourgogne et Duc de Berry, ont été baptisés dans l'une des chapelles du choeur de la Basilique Saint-Pierre de Rome, par le Vicaire Général du Vatican, le Cardinal Comastri, sur des fonds baptismaux prêtés par le baron de Alacuas, qui fut le tuteur du Prince Louis-Alphonse après la mort de son père le Duc de Cadix. C'est de robes de baptême qui appartenaient au Duc d'Anjou et de Cadix, dont avaient été revêtus les jumeaux.</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: 10pt;"><strong>Sa Sainteté, le Pape Benoît XVI, avait daigné accorder la traditionnelle Bénédiction Apostolique, lue par un Prélat de la Maison Papale, Mgr Thévenin.</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: 10pt;"><strong>La marraine du Prince Louis était Arancha Martínez -Bordiú, le parrain M. Francisco d'Agostino. Ceux d'Alphonse, Amparo Corell de Trenos, baronne de Alacuas, qui est très proche du Prince Louis de Bourbon, et Lorenzo Perlaes, ami intime des parents.</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: 10pt;"><strong>Les jumeaux ont été inscrits sur les registres du Vatican comme <span style="text-decoration: underline;">Altesses Royales, Duc de Bourgogne et Duc de Berry</span>.</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: 10pt;"><strong>La presse n'a pas manqué de rappeler que la Princesse Eugénie (trois ans), avait été baptisée à la Nonciature Apostolique de Paris, et inscrite comme <span style="text-decoration: underline;">Princesse et Altesse Royale</span>.</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: 10pt;"><strong>Le Duc d'Anjou a déclaré : "<em>Le baptême de mes fils dans l'Eglise Catholique, dont l'histoire est intimement liée depuis mille ans à ma famille, a une valeur très importante</em>".</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: 10pt;"><strong>"Louis-Alphonse et Marguerite se sentent très attachés aux valeurs de la famille comme base de la société", selon l'Agence Efe.</strong></span></p><p style="text-align: center;"> <span style="font-size: 10pt;"><strong>(source Efe)</strong></span></p><p style="text-align: center;"><em>Source :</em> <a title="Le Portail de l'Europe Royale" href="http://royaute-news.over-blog.com/article-le-bapteme-au-vatican-des-jumeaux-bourbon-56625257.html">http://royaute-news.over-blog.com/article-le-bapteme-au-vatican-des-jumeaux-bourbon-56625257.html</a></p>
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Baptême des princes Louis et Alphonse de Bourbon
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2010-09-06T23:17:00+02:00
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MONARCHIE INFO Édition du 6 septembre 2010 Nous avons la...
<p style="text-align: center;"><span style="font-size: xx-large;"><strong><span style="color: #000080; font-family: times new roman,times;">MONARCHIE INFO <img id="media-2632537" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" src="http://richemont.hautetfort.com/media/02/01/1377437354.jpg" alt="fleur-de-lis2.jpg" /></span></strong></span><br /><br /><span style="font-size: medium; color: #000080; font-family: times new roman,times;"><img id="media-2632538" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" src="http://richemont.hautetfort.com/media/00/00/1377437354.jpg" alt="fleur-de-lis2.jpg" />Édition du 6 septembre 2010</span><br /><br /><br /><span style="font-size: large;"><strong><span style="color: #000080; font-family: times new roman,times;">Nous avons la joie de vous faire part du baptême de</span></strong></span><br /><br /><span style="font-size: large;"><strong><span style="color: #000080; font-family: times new roman,times;">Mgr le Prince Louis, Dauphin de France, duc de Bourgogne</span></strong></span><br /><br /><span style="font-size: large;"><strong><span style="color: #000080; font-family: times new roman,times;">et de Mgr le Prince Alphonse de Bourbon, duc de Berry, son frère.</span></strong></span><br /><br /><span style="font-size: large;"><strong><span style="color: #000080; font-family: times new roman,times;">Le baptême a été administré ce jour, 6 septembre 2010, en la Basilique Saint-Pierre de Rome,</span></strong></span><br /><br /><span style="font-size: large;"><strong><span style="color: #000080; font-family: times new roman,times;">par Son Eminence le cardinal Angelo Comastri,</span></strong></span><br /><br /><span style="font-size: large;"><strong><span style="color: #000080; font-family: times new roman,times;">Archiprêtre titulaire de la Basilique Vaticane et Vicaire général du Pape pour la Cité du Vatican.</span></strong></span><br /><br /><span style="font-size: large;"><strong><span style="color: #000080; font-family: times new roman,times;">Mgr Nicolas Thévenin, de la Préfecture de la Maison pontificale,</span></strong></span><br /><br /><span style="font-size: large;"><strong><span style="color: #000080; font-family: times new roman,times;">a lu la bénédiction apostolique.</span></strong></span><br /><br /><span style="font-size: large;"><strong><span style="color: #000080; font-family: times new roman,times;">Deo gratias !</span></strong></span><br /><br /><span style="font-size: large; color: #000080;"><span style="font-family: Wingdings; mso-fareast-font-family: SimSun; mso-ansi-language: PT; mso-fareast-language: ZH-CN; mso-bidi-language: AR-SA; mso-ascii-font-family: 'Times New Roman'; mso-hansi-font-family: 'Times New Roman'; mso-bidi-font-family: 'Times New Roman'; mso-char-type: symbol; mso-symbol-font-family: Wingdings;"><span style="mso-char-type: symbol; mso-symbol-font-family: Wingdings;"></span></span><span style="font-family: Wingdings; mso-fareast-font-family: SimSun; mso-ansi-language: PT; mso-fareast-language: ZH-CN; mso-bidi-language: AR-SA; mso-ascii-font-family: 'Times New Roman'; mso-hansi-font-family: 'Times New Roman'; mso-bidi-font-family: 'Times New Roman'; mso-char-type: symbol; 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mso-fareast-font-family: SimSun; mso-ansi-language: PT; mso-fareast-language: ZH-CN; mso-bidi-language: AR-SA; mso-ascii-font-family: 'Times New Roman'; mso-hansi-font-family: 'Times New Roman'; mso-bidi-font-family: 'Times New Roman'; mso-char-type: symbol; mso-symbol-font-family: Wingdings;"><span style="mso-char-type: symbol; mso-symbol-font-family: Wingdings;"></span></span><span style="font-family: Wingdings; mso-fareast-font-family: SimSun; mso-ansi-language: PT; mso-fareast-language: ZH-CN; mso-bidi-language: AR-SA; mso-ascii-font-family: 'Times New Roman'; mso-hansi-font-family: 'Times New Roman'; mso-bidi-font-family: 'Times New Roman'; mso-char-type: symbol; mso-symbol-font-family: Wingdings;"><span style="mso-char-type: symbol; mso-symbol-font-family: Wingdings;"></span></span><span style="font-family: Wingdings; mso-fareast-font-family: SimSun; mso-ansi-language: PT; mso-fareast-language: ZH-CN; mso-bidi-language: AR-SA; mso-ascii-font-family: 'Times New Roman'; mso-hansi-font-family: 'Times New Roman'; mso-bidi-font-family: 'Times New Roman'; mso-char-type: symbol; mso-symbol-font-family: Wingdings;"><span style="mso-char-type: symbol; mso-symbol-font-family: Wingdings;"></span></span><span style="font-family: Wingdings; mso-fareast-font-family: SimSun; mso-ansi-language: PT; mso-fareast-language: ZH-CN; mso-bidi-language: AR-SA; mso-ascii-font-family: 'Times New Roman'; mso-hansi-font-family: 'Times New Roman'; mso-bidi-font-family: 'Times New Roman'; mso-char-type: symbol; mso-symbol-font-family: Wingdings;"><span style="mso-char-type: symbol; mso-symbol-font-family: Wingdings;"></span></span><span style="font-family: Wingdings; mso-fareast-font-family: SimSun; mso-ansi-language: PT; mso-fareast-language: ZH-CN; mso-bidi-language: AR-SA; mso-ascii-font-family: 'Times New Roman'; mso-hansi-font-family: 'Times New Roman'; mso-bidi-font-family: 'Times New Roman'; mso-char-type: symbol; mso-symbol-font-family: Wingdings;"><span style="mso-char-type: symbol; mso-symbol-font-family: Wingdings;"></span></span><span style="font-family: Wingdings; mso-fareast-font-family: SimSun; mso-ansi-language: PT; mso-fareast-language: ZH-CN; mso-bidi-language: AR-SA; mso-ascii-font-family: 'Times New Roman'; mso-hansi-font-family: 'Times New Roman'; mso-bidi-font-family: 'Times New Roman'; mso-char-type: symbol; mso-symbol-font-family: Wingdings;"><span style="mso-char-type: symbol; mso-symbol-font-family: Wingdings;"></span></span><span style="font-family: Wingdings; mso-fareast-font-family: SimSun; mso-ansi-language: PT; mso-fareast-language: ZH-CN; mso-bidi-language: AR-SA; mso-ascii-font-family: 'Times New Roman'; mso-hansi-font-family: 'Times New Roman'; mso-bidi-font-family: 'Times New Roman'; mso-char-type: symbol; mso-symbol-font-family: Wingdings;"><span style="mso-char-type: symbol; mso-symbol-font-family: Wingdings;"></span></span><span style="font-family: Wingdings; mso-fareast-font-family: SimSun; mso-ansi-language: PT; mso-fareast-language: ZH-CN; mso-bidi-language: AR-SA; mso-ascii-font-family: 'Times New Roman'; mso-hansi-font-family: 'Times New Roman'; mso-bidi-font-family: 'Times New Roman'; mso-char-type: symbol; mso-symbol-font-family: Wingdings;"><span style="mso-char-type: symbol; mso-symbol-font-family: Wingdings;"></span></span><span style="font-family: Wingdings; mso-fareast-font-family: SimSun; mso-ansi-language: PT; mso-fareast-language: ZH-CN; mso-bidi-language: AR-SA; mso-ascii-font-family: 'Times New Roman'; mso-hansi-font-family: 'Times New Roman'; mso-bidi-font-family: 'Times New Roman'; mso-char-type: symbol; mso-symbol-font-family: Wingdings;"><span style="mso-char-type: symbol; mso-symbol-font-family: Wingdings;"></span></span><span style="font-family: Wingdings; mso-fareast-font-family: SimSun; mso-ansi-language: PT; mso-fareast-language: ZH-CN; mso-bidi-language: AR-SA; mso-ascii-font-family: 'Times New Roman'; mso-hansi-font-family: 'Times New Roman'; mso-bidi-font-family: 'Times New Roman'; mso-char-type: symbol; mso-symbol-font-family: Wingdings;"><span style="mso-char-type: symbol; mso-symbol-font-family: Wingdings;"></span></span><span style="font-family: Wingdings; mso-fareast-font-family: SimSun; mso-ansi-language: PT; mso-fareast-language: ZH-CN; mso-bidi-language: AR-SA; mso-ascii-font-family: 'Times New Roman'; mso-hansi-font-family: 'Times New Roman'; mso-bidi-font-family: 'Times New Roman'; mso-char-type: symbol; mso-symbol-font-family: Wingdings;"><span style="mso-char-type: symbol; mso-symbol-font-family: Wingdings;"></span></span><span style="font-family: Wingdings; mso-fareast-font-family: SimSun; mso-ansi-language: PT; mso-fareast-language: ZH-CN; mso-bidi-language: AR-SA; mso-ascii-font-family: 'Times New Roman'; mso-hansi-font-family: 'Times New Roman'; mso-bidi-font-family: 'Times New Roman'; mso-char-type: symbol; mso-symbol-font-family: Wingdings;"><span style="mso-char-type: symbol; mso-symbol-font-family: Wingdings;"></span></span><span style="font-family: Wingdings; mso-fareast-font-family: SimSun; mso-ansi-language: PT; mso-fareast-language: ZH-CN; mso-bidi-language: AR-SA; mso-ascii-font-family: 'Times New Roman'; mso-hansi-font-family: 'Times New Roman'; mso-bidi-font-family: 'Times New Roman'; mso-char-type: symbol; mso-symbol-font-family: Wingdings;"><span style="mso-char-type: symbol; mso-symbol-font-family: Wingdings;"></span></span><span style="font-family: Wingdings; mso-fareast-font-family: SimSun; mso-ansi-language: PT; mso-fareast-language: ZH-CN; mso-bidi-language: AR-SA; mso-ascii-font-family: 'Times New Roman'; mso-hansi-font-family: 'Times New Roman'; mso-bidi-font-family: 'Times New Roman'; mso-char-type: symbol; mso-symbol-font-family: Wingdings;"><span style="mso-char-type: symbol; mso-symbol-font-family: Wingdings;"></span></span><span style="font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-font-family: SimSun; mso-ansi-language: FR; mso-fareast-language: ZH-CN; mso-bidi-language: AR-SA;" lang="FR"><br style="mso-special-character: line-break;" /></span></span><br /><span style="font-size: medium; color: #000080; font-family: times new roman,times;">Ne manquez pas de visiter les sites Internet de l'UCLF ete de l'IMB</span><br /><span style="font-size: medium; color: #000080; font-family: times new roman,times;">Vous y trouverez toutes les informations utiles que vous souhaitez obtenir</span><br /><span style="font-size: medium; color: #000080; font-family: times new roman,times;"><a href="http://www.royaute.org">http://www.royaute.org</a></span><br /><span style="font-size: medium; color: #000080; font-family: times new roman,times;"><a href="http://www.uclf.org">http://www.uclf.org</a></span><br /><span style="font-size: medium; color: #000080; font-family: times new roman,times;"><a href="http://www.cercle-henri4.com">http://www.cercle-henri4.com</a></span><br /><span style="font-size: medium; color: #000080; font-family: times new roman,times;"><a href="http://www.hautetfort.com/admin/posts/">http://www.hautetfort.com/admin/posts/</a></span></p>
Marquis des Chouans
http://richemont.hautetfort.com/about.html
Baptême des princes Louis et Alphonse de Bourbon au Vatican
tag:richemont.hautetfort.com,2010-09-06:2886301
2010-09-06T16:09:00+02:00
2010-09-06T16:09:00+02:00
Baptême des princes Louis et Alphonse de Bourbon Selon le...
<p><span style="color: #ff0000;"><p style="text-align: center;"><strong><span style="color: #ff0000;">Baptême des princes Louis et Alphonse de Bourbon </span></strong></p></span></p><p><p style="text-align: center;"><img id="media-2631608" style="margin: 0.7em 0;" src="http://richemont.hautetfort.com/media/02/02/2623407480.jpg" alt="eugenieetsesfreres.jpg" /></p></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000;">Selon le magazine “Vanitatis”, le<strong> prince Louis de Bourbon, duc de Bourgogne</strong> et le <strong>prince Alphonse de Bourbon, duc de Berry</strong> ont été baptisés dans l’intimité familiale au Vatican. Le lieu aurait été choisi afin que la grand-mère paternelle du <strong>duc d’Anjou, </strong>Emmanuelle de Dampierre, duchesse d’Anjou et de Ségovie, qui réside à Rome et qui a une santé fragile, puisse assister à la cérémonie. Le <strong>duc et la duchesse d’Anjou</strong> accompagnés par leur fille la <strong>princesse Eugénie</strong> avaient été aperçus ces derniers jours dans les rues de Rome. <em>(Copyright photo d’archives : Efe - Source : Vanitatis )</em></span></p><p style="text-align: left;"><span style="color: #ff0000;"><span style="color: #000000;"><em>Sources : </em></span></span></p><p style="text-align: left;"><span style="color: #ff0000;"></span><span style="color: #ff0000;"><span style="color: #000000;"><em><a title="Noblesse et Royauté" href="http://www.noblesseetroyautes.com/nr01/?p=38674">http://www.noblesseetroyautes.com/nr01/?p=38674</a></em></span></span></p><p style="text-align: left;"><span style="color: #ff0000;"><span style="color: #000000;"><em><a title="Luis Alfonso bautiza a sus mellizos en Roma" href="http://www.diezminutos.es/famosos_corazon/famosos_espanoles/luis_alfonso_bautiza_a_sus_mellizos_en_roma">http://www.diezminutos.es/famosos_corazon/famosos_espanoles/luis_alfonso_bautiza_a_sus_mellizos_en_roma</a></em></span></span></p>
voltaire I see
http://voltaireathome.hautetfort.com/about.html
Vous avez, dit-on, Madame, trouvé dans votre château le secret d’immortaliser un âne
tag:voltaireathome.hautetfort.com,2009-11-21:2478470
2009-11-21T20:08:00+01:00
2009-11-21T20:08:00+01:00
http://www.youtube.com/watch?v=9RDO5KzQC9E Il est...
<p style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: justify;" class="MsoNormal"> </p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;"><a href="http://www.youtube.com/watch?v=9RDO5KzQC9E"><span style="font-size: small; font-family: Times New Roman;">http://www.youtube.com/watch?v=9RDO5KzQC9E</span></a></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: small; font-family: Times New Roman;"> Il est juste de faire un tel carillon pour un tel homme !</span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: center;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;"><span style="font-size: small; font-family: Times New Roman;">IL EST NE !</span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: justify;" class="MsoNormal"> </p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: justify;" class="MsoNormal"> </p> <p style="text-align: center;"><span style="font-size: small; font-family: Times New Roman;">Il y a <span style="text-decoration: line-through;">trois cent cinquante</span> ans ! trois cent quinze ! (oups ! je ne sais plus compter, mais sachez pour ma défense qu'il ne fait pas son âge ){*}</span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: small; font-family: Times New Roman;"> </span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: small; font-family: Times New Roman;">Le 21 Novembre 1694 : naissance, baptême le jour suivant en l’église Saint André des Arts (à Paris, dans le faubourg St Germain) par l’abbé Bouché.</span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;"><a href="http://blog.pressebook.fr/ruesdeparis/2009/10/31/saint-andre-des-arts/">http://blog.pressebook.fr/ruesdeparis/2009/10/31/saint-andre-des-arts/</a></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: small; font-family: Times New Roman;"> </span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: small; font-family: Times New Roman;">Mais qui est-il ce bébé ?</span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: small; font-family: Times New Roman;"> </span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: center;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 18pt; color: #3366ff; line-height: 150%;"><span style="font-family: Times New Roman;">François-Marie Arouet</span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: center;" class="MsoNormal"><span style="font-family: Times New Roman;"><span style="font-size: 22pt; color: red; line-height: 150%;">Voltaire !</span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;"> </span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;">Double anniversaire ce jour : celui de Voltaire et celui du blog que je ne me lasse pas d’admirer er fréquenter assidûment : <a href="http://www.monsieurdevoltaire.com/.">http://www.monsieurdevoltaire.com/<span style="color: #000000;">.</span></a></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;">Vous avez entendu parler de Voltaire ! ? Alors écoutez-le, lisez-le ! Aimez -le !</span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;"><span style="color: #000000;">Allez-y</span> ! Tout de suite ! Plus vite que ça !</span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;">Euh ! prenez quand même le temps de lire ce qui suit , vous irez vous prendre votre dessert après ...</span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: justify;" class="MsoNormal"> </p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: center;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;"> </span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;"> </span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;"> </span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;">« A Anne-Louise-Bénédicte de Bourbon-Condé, duchesse du Maine</span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;"> [1720 ?]</span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;"><span style="mso-tab-count: 3;"> </span> Toutes les princesses malencontreuses qui furent jadis retenues dans des châteaux enchantés par des négromants eurent toujours beaucoup de bienveillance pour les pauvres chevaliers errants à qui même infortune était advenue</span> <i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: Garamond;"><span style="font-size: small;">[la duchesse dont le mari –fils de Louis XIV et de Mme de Montespan – avait été écarté du pouvoir par le Régent, avait été impliquée dans le complot de Cellamare en 1718 et exilée à Dijon, puis à Chalons . Elle était la « dictatrice » de l’Ordre de la Mouche à miel qu’elle avait créé à Sceaux en 1703.]</span></span></i><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;">. Ma Bastille, Madame, est la très humble servante de votre Chalons ; mais il y a une très grande différence entre l’une et l’autre :</span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;"> </span></p> <p align="center" style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: center;" class="MsoNormal"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;">Car à Chalons les grâces vous suivirent</span></i></p> <p align="center" style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: center;" class="MsoNormal"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;">Les jeux badins prisonniers s’y rendirent ;</span></i></p> <p align="center" style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: center;" class="MsoNormal"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;">Et tous ces enfants éperdus</span></i></p> <p align="center" style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: center;" class="MsoNormal"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;">Furent bien surpris quand ils virent</span></i></p> <p align="center" style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: center;" class="MsoNormal"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;">La fermeté, la paix, et toutes les vertus,</span></i></p> <p align="center" style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: center;" class="MsoNormal"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;">Qui près de vous se réunirent.</span></i></p> <p align="center" style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: center;" class="MsoNormal"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;"> </span></i></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: justify;" class="MsoNormal"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span></span></i> <span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;"><span style="mso-tab-count: 2;"> </span> Cet aimable assemblage, si précieux et si rare, vous asservit les cœurs de tous les habitants.</span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;"> </span></p> <p align="center" style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: center;" class="MsoNormal"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;">On admire sur vos traces</span></i></p> <p align="center" style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: center;" class="MsoNormal"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;">Minerve auprès de l’amour.</span></i></p> <p align="center" style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: center;" class="MsoNormal"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;">Ah ! ne leur donnez plus ce Chalons pour séjour ;</span></i></p> <p align="center" style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: center;" class="MsoNormal"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;">Et que les muses et les grâces</span></i></p> <p align="center" style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: center;" class="MsoNormal"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;">Jamais plus loin que Sceaux n’aillent fixer leur cour.</span></i></p> <p align="center" style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: center;" class="MsoNormal"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;"> </span></i></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;"><span style="mso-tab-count: 3;"> </span> Vous avez, dit-on, Madame, trouvé dans votre château le secret d’immortaliser un âne.</span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;"> </span></p> <p align="center" style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: center;" class="MsoNormal"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;">Dans ces murs malheureux votre voix enchantée</span></i></p> <p align="center" style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: center;" class="MsoNormal"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;">Ne put jamais charmer qu’un âne et les échos :</span></i></p> <p align="center" style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: center;" class="MsoNormal"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;">On vous prendrait pour une Orphée,</span></i></p> <p align="center" style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: center;" class="MsoNormal"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;">Mais vous n’avez point su, trop malheureuse fée,</span></i></p> <p align="center" style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: center;" class="MsoNormal"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;">Adoucir tous les animaux.</span></i></p> <p align="center" style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: center;" class="MsoNormal"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;"> </span></i></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;"><span style="mso-tab-count: 3;"> </span> Puissiez-vous mener désormais une vie toujours heureuse, et que la tranquillité de votre séjour de Sceaux ne soit jamais interrompue que par de nouveaux plaisirs. Les agréments seuls de votre esprit peuvent suffire à faire votre bonheur.</span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;"> </span></p> <p align="center" style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: center;" class="MsoNormal"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;">Dans ses écrits le savant Malézieu</span></i></p> <p align="center" style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: center;" class="MsoNormal"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: Garamond;"><span style="font-size: small;">[Nicolas de Malézieu, membre de l’Académie des sciences, de l’Académie française, mais aussi organisateur des divertissements à Sceaux]</span></span></i></p> <p align="center" style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: center;" class="MsoNormal"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;">Joignit toujours l’utile à l’agréable ;</span></i></p> <p align="center" style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: center;" class="MsoNormal"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;">On admira dans le tendre Chaulieu</span></i></p> <p align="center" style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: center;" class="MsoNormal"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;">De ses chansons la grâce inimitable.</span></i></p> <p align="center" style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: center;" class="MsoNormal"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;">Il vous fallait les perdre tous les deux,</span></i></p> <p align="center" style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: center;" class="MsoNormal"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: Garamond;"><span style="font-size: small;">[Si Chaulieu mourut bien en 1720, Malézieu ne mourut qu’en 1727. La perte de Malézieu évoque le fait qu’il était aussi impliqué dans la conspiration de Cellamare et ne retrouvera sa liberté entière et le retour chez la duchesse qu’en 1722]</span></span></i></p> <p align="center" style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: center;" class="MsoNormal"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;">Car il n’est rien que le temps ne détruise ;</span></i></p> <p align="center" style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: center;" class="MsoNormal"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;">Mais ce beau dieu qui les arts favorise</span></i></p> <p align="center" style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: center;" class="MsoNormal"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;">De ses présents vous enrichit comme eux,</span></i></p> <p align="center" style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: center;" class="MsoNormal"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;">Et tous les dieux vivent dans Ludovise.</span></i></p> <p align="center" style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: center;" class="MsoNormal"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;"> </span></i></p> <p align="center" style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: center;" class="MsoNormal"> </p> <p align="center" style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: center;" class="MsoNormal"> </p> <p align="center" style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: center;" class="MsoNormal"> </p> <p align="center" style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: center;" class="MsoNormal"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;"> </span></i></p> <p align="center" style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: center;" class="MsoNormal"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;"> </span></i></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%;" class="MsoNormal"> </p> <p align="center" style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: center;" class="MsoNormal"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;"><a href="http://www.youtube.com/watch?v=a6z8ih20C6s"></a></span></i></p> <p><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;"> </span></i></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;"> </span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;"> </span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: justify;" class="MsoNormal"> </p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: justify;" class="MsoNormal"> </p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;">Et puis comme j’adore être un gentil iconoclaste, une version de « Il est né le divin enfant qui m’enchante » et que j’aurais aimé entendre lors des messes de minuit auxquelles j’ai participé , sans y trouver de réelle fraternité, chacun se hâtant de retrouver la dinde et les bonnes bouteilles à la maison . Passons…</span></p> <p align="center" style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: center;" class="MsoNormal"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;"><a href="http://www.youtube.com/watch?v=a6z8ih20C6s">http://www.youtube.com/watch?v=a6z8ih20C6s</a></span></i></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: justify;" class="MsoNormal"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;"> </span></i></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;"> </span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 150%; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt; line-height: 150%; font-family: Garamond;"> </span></p> <div style="text-align: center"><img name="media-2115129" src="http://voltaireathome.hautetfort.com/media/00/01/493384384.gif" alt="91550818anniversaire-gif.gif" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" id="media-2115129" /></div> <div style="text-align: center"></div> <div style="text-align: center">{*} correction apportée grâce à la vigilance de LoveVoltaire</div>