Last posts on biocarburants2024-03-29T06:53:25+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://www.hautetfort.com/https://www.hautetfort.com/explore/posts/tag/biocarburants/atom.xmllanverthttp://lanvert.hautetfort.com/about.htmlAgrocarburants : TotalEnergies continue d’occulter les impacts climatiquestag:lanvert.hautetfort.com,2022-02-14:63661352022-02-14T18:54:53+01:002022-02-14T18:54:53+01:00 Communiqué publié par Greenpeace le 14 février 2022 Une étude...
<div class="meta" style="text-align: justify;"><time> Communiqué publié par Greenpeace le 14 février 2022 </time><p><span class="mark"> <strong><br /></strong></span></p></div><section class="accordion-box"><p style="text-align: justify;">Une étude de Greenpeace France, dans le cadre de l’enquête publique sur la nouvelle étude d’impact de TotalEnergies au sujet de son usine de La Mède, dénonce la dissimulation par TotalEnergies des effets réels de sa production d’agrocarburants sur le climat et la poursuite, en parallèle, de l’importation massive d’huile de palme issue de la déforestation.</p><p style="text-align: justify;">Suite au recours intenté par six associations en juillet 2018, le <a href="http://marseille.tribunal-administratif.fr/A-savoir/Communiques-Selection-de-decisions/Jugement-du-tribunal-administratif-n-1805238-sur-la-requete-des-associations-Les-amis-de-la-terre-France-et-autres-contre-la-decision-prefectorale-autorisant-la-societe-Total-raffinage-France-a-poursuivre-l-exploitation-de-la-raffinerie-de-La-Mede">tribunal administratif</a> de Marseille a ordonné, en avril 2021, la révision de l’étude d’impact de TotalEnergies sur le volet climat des importations à La Mède.<br />Pour Greenpeace, la multinationale persiste dans son refus d’intégrer les impacts climatiques réels de sa production dans sa <a href="http://documents.projets-environnement.gouv.fr/2022/01/14/6928108/6928108_FEI.pdf">nouvelle étude d’impact</a>. Pire, elle cache la réalité du terrain, tout en continuant d’importer en moyenne 163 000 tonnes d’huile de palme par an sur le sol français, soit près d’un tiers du volume total d’huile de palme importé en France.</p><p style="text-align: justify;">Dans l’étude “<em>Agrocarburants: comment Total occulte son impact sur les forêts et le climat</em>” de février 2022 (disponible sur demande), Greenpeace France passe au crible cette seconde étude d’impact publiée en janvier 2022 dans le cadre de l’<a href="https://www.registre-dematerialise.fr/2828">enquête publique</a> ouverte jusqu’au 24 février. Elle propose une description exhaustive de la chaîne d’approvisionnement de la raffinerie, comptabilise l’ensemble des surfaces arborées et tourbières qu’elle a fait disparaître, et en déduit l’impact réel sur le climat.<br />Les auteurs concluent que par son manque de traçabilité, TotalEnergies a importé de l’huile de palme issue de la déforestation et a dissimulé cet impact climatique substantiel dans sa nouvelle étude.</p></section><p style="text-align: justify;">TotalEnergies s’efforce de vanter les vertus des agrocarburants en indiquant, à travers une analyse comparative trompeuse, que le site de La Mède émettrait 91% de CO2 en moins que lorsqu’il raffinait des énergies fossiles.<br />Greenpeace démontre en réalité que les émissions de la “bioraffinerie”, rapportées à la tonne de carburant produit, sont plus élevées de 13% que l’équivalent fossile<strong>. </strong>TotalEnergies aurait contribué à une déforestation de plus de 1 300 ha de forêts naturelles et converti plus de 1 800 ha de tourbières, impactant donc gravement la biodiversité et le climat.</p><p style="text-align: justify;">“<em>Notre constat est clair : cette étude démontre que, contrairement à ce que prétend TotalEnergies, il est tout à fait possible d’estimer les impacts climatiques des agrocarburants. Elle souligne aussi la vigilance accrue dont les acteurs publics et les juridictions doivent faire preuve face aux subterfuges des certificats de durabilité et des discours trompeurs sur les impacts climatiques réels</em>”, explique Laura Monnier, juriste à Greenpeace France. “<em>TotalEnergies devrait se voir retirer immédiatement son autorisation d’importation d’huile de palme par la Préfecture des-Bouches-du-Rhône et devrait être contraint de rembourser rétroactivement tous les avantages fiscaux ayant favorisé l’incorporation de palme dans ses agrocarburants</em>.”</p><p style="text-align: justify;">L’huile de palme reste le principal vecteur de la déforestation en Indonésie, pays qui abrite la troisième plus grande forêt tropicale au monde. Le PDG de TotalEnergies, a annoncé cet été que l’entreprise n’utilisera plus d’huile de palme à partir de fin 2023, les importations se poursuivent donc toujours en 2022 et 2023. Au regard de tous ces éléments, il ne fait aucun doute pour Greenpeace que l’autorisation d’importer de l’huile de palme pour exploiter cette raffinerie doit cesser immédiatement.</p><p style="text-align: center;"><img style="margin: 0.7em 0;" src="https://www.humanite.fr/sites/default/files/styles/1200x675_full/public/images/58408.HR.jpg?itok=2xr1yQ5j" alt="58408.HR.jpg?itok=2xr1yQ5j" width="637" height="358" /></p>
lanverthttp://lanvert.hautetfort.com/about.htmlLa Mède : Total cède à la pression des ONGtag:lanvert.hautetfort.com,2021-07-05:63254992021-07-05T23:00:41+02:002021-07-05T23:00:41+02:00 Publié le 5 juillet 2021 par Greenpeace Dans une interview donnée au...
<div class="meta" style="text-align: justify;"><time> Publié le 5 juillet 2021 par Greenpeace </time></div><section class="accordion-box"><p style="text-align: justify;">Dans une interview donnée au journal la Provence, le PDG de Total Patrick Pouyanné a annoncé ce matin la fin de l’utilisation de l’huile de palme en 2023 dans son usine controversée de La Mède. Ce renoncement intervient après plusieurs années de bras de fer avec les ONG qui dénonçaient les impacts désastreux pour le climat et la biodiversité de cette huile, responsable de déforestation en Asie du Sud-Est.</p><p style="text-align: justify;">Cette annonce fait suite à une accumulation d’échecs de l’entreprise dans sa stratégie économique et environnementale pour cette usine. Elle signe aussi la défaite de Total dans la longue bataille contre ce site engagée par les associations dont Greenpeace France qui avait mené une <a href="https://www.greenpeace.fr/espace-presse/action-greenpeace-denonce-la-deforestation-made-in-france-de-lusine-total-de-la-mede/">action spectaculaire</a> en octobre 2019 à l’intérieur du site industriel de La Mède. Elle intervient également après la décision du tribunal administratif de Marseille suite à un recours juridique porté par plusieurs associations dont Greenpeace France. En avril 2021, la <a href="https://www.greenpeace.fr/espace-presse/total-la-mede-prise-en-compte-des-impacts-climatiques-le-tribunal-ordonne-a-total-de-revoir-sa-copie/">justice a ainsi annulé partiellement l’autorisation d’exploitation de La Mède</a> au motif de l’irrégularité de l’étude d’impact environnemental de Total qui n’analyse pas les impacts climatiques indirects des importations d’huile de palme. Le tribunal reste saisi de l’affaire et Total devra quand même analyser les impacts de cet approvisionnement climaticide sur les trois prochaines années, peu importe que la fin des importations soit fixée à 2023.</p></section><p style="text-align: justify;">Par ailleurs, depuis maintenant deux ans, Total s’entêtait à soutenir ce modèle industriel alors que le législateur français et le conseil constitutionnel ont, en 2019, confirmé l’exclusion des agrocarburants (huile de palme et soja compris) des avantages fiscaux pour des motifs environnementaux.</p><p style="text-align: justify;">“Cette décision marque l’échec manifeste de Total dans son combat pour soutenir coûte que coûte pendant des années un modèle destructeur à La Mède pour le climat et les forêts. Elle ne doit cependant pas dédouaner le groupe de réaliser une étude d’impact exhaustive pour continuer à exploiter de l’huile de palme à la Mède d’ici à 2023. Par ailleurs, le business modèle de TotalEnergies, quelle que soit la tentative de verdissement de son nouveau nom, continue de reposer à 90% sur l’exploitation des énergies fossiles. Cette exploitation mortifère pour la planète est à l’origine de vagues de chaleur insupportables comme celle qui frappe le Canada ou d’accident terrible comme celui qui a embrasé l’océan dans le Golfe du Mexique ce week-end”, indique François Chartier, chargé de campagne Pétrole à Greenpeace France.</p><p style="text-align: justify;">Si cette décision est une bonne nouvelle pour Greenpeace, Total doit cependant tirer immédiatement les conclusions qui s’imposent : cesser toute incorporation d’huile de palme, mais aussi d’huile de soja dont les bilans sont les plus désastreux en matière environnementale. Dans l’interview donnée, M. Pouyanné reconnaît lui-même que les agrocarburants à base d’huiles végétales n’ont pas d’avenir, à cause de leur impact sur les terres agricoles et les espaces naturels (forêts, prairies, zones humides…).</p><p style="text-align: justify;">Enfin, cette décision intervient dans un contexte où la réputation de la multinationale est de plus en plus challengée par les ONG et l’opinion publique alors que l’entreprise tente par tous les moyens de se rendre fréquentable, par exemple en <a href="https://www.greenpeace.fr/espace-presse/totalenergies-sponsor-officiel-de-la-coupe-du-monde-de-rugby-2023-une-aberration-a-lheure-de-lurgence-climatique/">associant son nom à des événements sportifs populaires</a>, dans sa stratégie de tenter d’étendre son soft power, le dernier en date étant la Coupe du monde de rugby en 2023.</p><p style="text-align: center;"><img style="margin: 0.7em 0;" src="https://www.ofimagazine.com/imager/news/117548/Total_La_Mede_46527c80523046a5c0b3b8e30581599a.jpg" alt="Total_La_Mede_46527c80523046a5c0b3b8e30581599a.jpg" width="590" height="324" /></p><p style="text-align: center;">L'usine Total de La Mède</p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"> </p>
lanverthttp://lanvert.hautetfort.com/about.htmlHuile de palme à la Mède : plainte contre le greenwashing de Totaltag:lanvert.hautetfort.com,2020-02-29:62164062020-02-29T22:42:00+01:002020-02-29T22:42:00+01:00 Communiqué de FNE le vendredi 28 février 2020 « Approvisionnement en...
<p style="text-align: justify;">Communiqué de FNE le vendredi 28 février 2020</p><p style="text-align: justify;">« Approvisionnement en matières premières 100 % durable », « réduction des émissions de carbone », « lutte contre le changement climatique »… À lire le site internet de Total, son usine de La Mède, fabriquant des agrocarburants, serait un parfait modèle d’industrie verte. Pourtant la réalité est bien différente. Après avoir dénoncé à plusieurs reprises l’imposture écologique de La Mède, France Nature Environnement et Greenpeace France saisissent aujourd’hui le Jury de Déontologie Publicitaire pour mettre fin à l’opération de greenwashing à laquelle se livre Total sur son site internet</p><p><strong>Non, l’approvisionnement du site de La Mède n’est pas « 100 % durable »</strong></p><p class="rtejustify" style="text-align: justify;">Le site industriel de Total à La Mède fabrique des agrocarburants principalement à partir d’huile de palme et est autorisé à importer 650 000 tonnes d’huiles par an. Cela entraîne un bond non négligeable de la consommation d’huile de palme en France, ce qui est problématique quand on sait que la production d'huile de palme est <a href="https://www.fne.asso.fr/dossiers/cest-quoi-le-probl%C3%A8me-avec-lhuile-de-palme%C2%A0-orang-outang-d%C3%A9forestation" target="_blank" rel="noopener">l'une des principales causes de déforestation</a> en Asie du Sud-Est<sup><a title="" href="https://www.fne.asso.fr/communiques/huile-de-palme-%C3%A0-la-m%C3%A8de-plainte-contre-le-greenwashing-de-total#_ftn1" name="_ftnref1">[1]</a></sup>. La monoculture du palmier à huile contribue à la perte de la biodiversité, à la destruction de milieux naturels remarquables et à l’augmentation des émissions de gaz à effet de serre par la déforestation induite<sup><a title="" href="https://www.fne.asso.fr/communiques/huile-de-palme-%C3%A0-la-m%C3%A8de-plainte-contre-le-greenwashing-de-total#_ftn2" name="_ftnref2">[2]</a></sup>.</p><p class="rtejustify" style="text-align: justify;">Face à ces données, Total affirme que <em>« 100 % des huiles sont certifiées durables selon les critères exigés par l’Union Européenne »</em>. Pour s’en assurer, <a href="https://www.greenpeace.fr/total-carbure-a-la-deforestation-a-la-mede/" target="_blank" rel="noopener">Greenpeace France a enquêté</a> sur la chaîne d’approvisionnement en huile de palme de Total. Le constat est sans appel : la traçabilité de certains approvisionnements est impossible en raison du système de certification choisi (« mass balance »), qui mélange les huiles dites « durables » et « non durables ».</p><p style="text-align: justify;"><strong>Face à ce greenwashing de Total, les associations saisissent le Jury de la Déontologie Publicitaire</strong></p><p class="rtejustify" style="text-align: justify;">Pour parer aux critiques, Total s’est fait une belle vitrine toute verte sur son site internet. On peut y lire que l’approvisionnement de La Mède participe<em> « directement à la lutte contre le changement climatique en garantissant une réduction d’au moins 50 % des émissions de CO<sub>2</sub> par rapport à leur équivalent fossile ». </em>Or, les conséquences néfastes de la production d’huile de palme sont aujourd’hui étayées par des études scientifiques ainsi qu’actées par les législateurs français et européen.</p><p class="rtejustify" style="text-align: justify;">Pour <strong>Jérôme Graefe, juriste de France Nature Environnement,</strong> <em>« rien ne permet à Total d’affirmer que l’approvisionnement de La Mède est 100 % durable, ni même que les agrocarburants à base d’huile de palme participent activement à la lutte contre le changement climatique. Au contraire, comme le démontre l’état des connaissances et des conditions mondiales de production d’huile de palme, la culture du palmier à huile aggrave les émissions de gaz à effet de serre. Si Total souhaite lutter contre le changement climatique, la multinationale doit réfléchir à un projet de reconversion réellement écologique. »</em></p><p class="rtejustify" style="text-align: justify;">Pour <strong>Laura Monnier</strong>, <strong>chargée de campagne de Greenpeace France,</strong> « <em>Total a beau tenter de verdir son image, affirmer aujourd’hui que les agrocarburants permettent de lutter efficacement contre le changement climatique est non seulement archaïque au regard du contexte législatif et scientifique, mais surtout mensonger compte tenu des règles publicitaires sur développement durable. »</em></p><p style="text-align: justify;">Prochaine étape pour Total : rendez-vous devant le Jury de Déontologie Publicitaire.</p><div><h5 class="rteright" style="text-align: justify;"> </h5><hr align="left" size="1" width="33%" /><div id="ftn1"><h5 class="rteright" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt;"><a title="" href="https://www.fne.asso.fr/communiques/huile-de-palme-%C3%A0-la-m%C3%A8de-plainte-contre-le-greenwashing-de-total#_ftnref1" name="_ftn1">[1]</a><a href="http://https//www.greenpeace.fr/deforestation-huile-de-palme-compte-a-rebours-final/" target="_blank" rel="noopener"> Entre 1990 et 2015 en Indonésie, c’est près d’un terrain de football qui a disparu toutes les 25 secondes, soit 24 millions d’hectares de forêts tropicales.</a></span></h5></div><div id="ftn2"><h5 class="rteright"><span style="font-size: 14pt;"><a title="" href="https://www.fne.asso.fr/communiques/huile-de-palme-%C3%A0-la-m%C3%A8de-plainte-contre-le-greenwashing-de-total#_ftnref2" name="_ftn2">[2]</a> <a href="https://www.greenpeace.fr/biocarburants-lhuile-de-palme-dans-nos-moteurs-cauchemar-des-forets/" target="_blank" rel="noopener">À l’échelle mondiale, 12 % des gaz à effet de serre proviennent de la déforestation</a>.</span></h5><p style="text-align: center;"><img style="margin: 0.7em 0;" src="https://cdn.greenpeace.fr/site/uploads/2018/12/IMG_5269_GP0STS4EU_Medium_res_with_credit_line.jpg" alt="IMG_5269_GP0STS4EU_Medium_res_with_credit_line.jpg" width="621" height="414" /></p><p style="text-align: justify;">Des pelleteuses abattent les arbres d’une forêt primaire de Papouasie sur la concession d’huile de palme PT Megakarya Jaya Raya du groupe Pacific Inter-link (décembre 2017).</p><p> </p></div></div>
lanverthttp://lanvert.hautetfort.com/about.htmlHuile de palme : en catimi, le gouvernement livre un cadeau à Totaltag:lanvert.hautetfort.com,2019-12-29:62015122019-12-29T23:07:34+01:002019-12-29T23:07:34+01:00 La bataille a été longue, mais les agrocarburants produits à partir d’huile...
<p style="text-align: justify;">La bataille a été longue, mais les agrocarburants produits à partir d’huile de palme ne bénéficieront plus, dès janvier 2020, d’un avantage fiscal. Seulement, Total vient de réussir à faire passer auprès du gouvernement une honteuse astérisque : les carburants issus des distillats acides d’huile de palme resteront, eux, détaxés, selon une note des Douanes. Les associations membres du RAC, dont France Nature Environnement fait partie, dénoncent cette nouvelle manœuvre pour avantager Total au détriment de l'environnement. Lettre ouverte au premier ministre.</p><p style="text-align: justify;">A l’attention de Monsieur Édouard Philippe, Premier Ministre copie : Madame Elisabeth Borne, Ministre de la transition écologique et solidaire</p><p class="rteright" style="text-align: justify;">Paris, le 20 décembre 2019</p><p style="text-align: justify;">Objet: exclusion des PFAD de la liste des biocarburants</p><p style="text-align: justify;">Monsieur le Premier Ministre,</p><p style="text-align: justify;">Le 18 décembre 2018, les députés ont voté l’exclusion des produits à base d’huile de palme de la liste des biocarburants à partir du 1er janvier 2020. Cette décision a été confirmée par le Conseil constitutionnel le 11 octobre 2019, puis, une nouvelle fois, par les députés le 19 décembre au travers de l’adoption du Projet de loi de Finances pour 2021. Or, selon une note d’information de la Direction Générale des Douanes datant du 19 décembre 2019, les PFAD (Palm Fatty Acid Distillate) ne seront pas exclus des biocarburants et seront donc toujours éligibles au mécanisme de la TIRIB à partir du 1er janvier 2020.</p><p style="text-align: justify;">Ce recul, s’il se confirme, est inadmissible. Il porterait atteinte aux engagements du gouvernement français qui a reconnu les risques liés aux PFAD dans le cadre de la Stratégie Nationale de Lutte contre la Déforestation Importée et s’est engagé à “soumettre les PFAD aux dispositions concernant les biocarburants de première génération”.</p><p style="text-align: justify;">En aucun cas les PFAD ne peuvent être considérés comme des résidus ou des déchets d’huile de palme, car il s’agit de produits techniquement très proches de l’huile de palme brute. Ces produits sont déjà valorisés pour de nombreuses utilisations, notamment dans l’alimentation animale, la cosmétique ou l’industrie chimique. Une hausse de leur utilisation se traduirait inévitablement par une hausse de la déforestation, comme l’a montré une étude publiée en 2017 sur le sujet1,avec tout ce que cela représenterait de désastreux en termes d’impacts sur le climat mais aussi sur la biodiversité.</p><p style="text-align: justify;">Par ailleurs,les PFAD ne sont pas inclus dans l’Annexe IX A de la directive REDII qui définit la liste des matières pouvant être considérées comme des biocarburants avancés. Des pays comme l’Allemagne, la Norvège, le Royaume-Uni ou les Pays-Bas ont d’ores et déjà décidé de ne pas classer les PFAD comme “déchets” ou “résidus”, contrairement au souhait de certaines industries, comme Total ou Neste.</p><p style="text-align: justify;">Nous considérons donc que ne pas inclure les PFAD dans le champ des produits à base d’huile de palme soumis à une exclusion de la catégorie des biocarburants au 1er janvier 2020 reviendrait également à remettre en cause la volonté de l’Assemblée Nationale, qui s’est exprimée par deux fois en faveur de l’exclusion des produits à base d’huile de palme de la liste des biocarburants.</p><p style="text-align: justify;">Par la présente, nous vous appelons à clarifier sans plus attendre la position du Gouvernement quant au statut des PFAD au sein de la réglementation française.</p><p style="text-align: justify;">Dans l’attente de votre réponse, nous vous prions de bien vouloir agréer, Monsieur le Premier Ministre, l’expression de notre haute considération.</p><h3>Signataires</h3><p>Pour le Réseau Action Climat, Morgane Créach, Directrice</p><p>PourGreenpeace, Jean-François Julliard, Directeur</p><p>Pour Canopée, Sylvain Angerand, Coordinateur des campagnes</p><p>Pour France Nature Environnement, Michel Dubromel, Président</p><p>Pour Agir pour l’Environnement, Stéphen Kerckhove, Délégué général</p><p>Pour One Voice, MurielArnal, Présidente-fondatrice</p><p>Pour Noé, Arnaud Greth, Président</p><p>Pour Envol Vert, Olivier Guichardon, Président</p><p>Pour All4trees, Jonathan Guyot, Président</p><p>Pour Notre Affaire à Tous, Marie Pochon, Secrétaire Générale</p><p>Pour le CCFD-Terre Solidaire, Sylvie Bukhari de Pontual, Présidente</p><p>Pour NatureRights, Samanta Novella, Présidente</p><p>Pour Oxfam France, Cécile Duflot, Directrice générale</p><p>Pour la LPO, Yves Verilhac, Directeur général</p><p>Pour Coeur de Forêt, Charlotte Meyrueis, Directrice</p><p>Pour Bloom, Sabine Rosset, Directrice</p><p style="text-align: center;"><img id="media-6073190" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lanvert.hautetfort.com/media/00/02/3092532741.jpg" alt="Screenshot_2019-12-29 Huile de palme en catimi, le gouvernement livre un cadeau à Total avant Noël.jpg" /></p><h5 class="rteright" style="text-align: center;">Crédit photo : African Hopa</h5>
lanverthttp://lanvert.hautetfort.com/about.htmlPas d'huile de palme dans nos réservoirstag:lanvert.hautetfort.com,2019-01-14:61207572019-01-14T23:31:00+01:002019-01-14T23:31:00+01:00 C'est impensable ! 75 % de l'huile de palme consommée en France est sous...
<p style="text-align: justify;">C'est impensable ! 75 % de l'huile de palme consommée en France est sous forme de carburant !<br /> Nous la chassons de notre assiette, elle nous revient à la pompe, à cause de la réglementation européenne.<br /> Heureusement, cela pourrait changer bientôt, grâce à notre mobilisation !</p><p style="text-align: justify;"><img style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" src="https://scontent-cdt1-1.xx.fbcdn.net/v/t1.0-9/40664587_289459725118703_6143467133675241472_n.png?_nc_cat=103&_nc_ht=scontent-cdt1-1.xx&oh=71e923fce866091a5998f7e2b9301da0&oe=5CD5AA1D" alt="40664587_289459725118703_6143467133675241472_n.png?_nc_cat=103&_nc_ht=scontent-cdt1-1.xx&oh=71e923fce866091a5998f7e2b9301da0&oe=5CD5AA1D" width="171" height="171" />Le 12 janvieri, à la station-service Total de Woinic, 9 citoyen.ne.s des Ardennes ont mené une action pour informer les automobilistes sur la présence d’huile de palme dans les carburants. Comme 7 européens sur 10, nous sommes nombreux à vouloir mettre fin à ce scandale. Ça tombe bien! La Commission Européenne doit rendre son verdict le 1er février. Rejoignez les 400 000 européens qui ont déjà signé la pétition pour dire STOP à l’huile de palme dans les carburants!</p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: 18pt;"><strong><a href="https://actions.sumofus.org/a/pas-d-huile-de-palme-dans-nos-reservoirs">Pour signer la pétition, cliquer ici</a></strong></span></p><p style="text-align: center;"><img style="margin: 0.7em 0;" src="https://scontent-cdt1-1.xx.fbcdn.net/v/t1.0-9/50046990_345253799539295_8033326561518157824_n.jpg?_nc_cat=100&_nc_ht=scontent-cdt1-1.xx&oh=ab18390cbf2dfb1ccb42167b6bfd051c&oe=5CD0531E" alt="50046990_345253799539295_8033326561518157824_n.jpg?_nc_cat=100&_nc_ht=scontent-cdt1-1.xx&oh=ab18390cbf2dfb1ccb42167b6bfd051c&oe=5CD0531E" width="543" height="407" /></p><p style="text-align: center;">Les militants d'Action Non-Violente COP21 devant la station Total</p>
lanverthttp://lanvert.hautetfort.com/about.htmlQuand l’Europe privilégie des bioénergies climato-incompatiblestag:lanvert.hautetfort.com,2016-11-25:58791982016-11-25T18:43:51+01:002016-11-25T18:43:51+01:00 Les ONG européennes Bird-life et T&E révèlent aujourd’hui de nouvelles...
<p style="text-align: justify;">Les ONG européennes Bird-life et T&E révèlent aujourd’hui de nouvelles preuves à charge à propos de l’impact sur le climat de la politique européenne en ce qui concerne les énergies issues de la biomasse (ou bioénergies). Fondé sur une synthèse scientifique et des investigations concernant des projets à travers toute l’Europe, elles publient le Livre Noir des Bioénergies. Cette publication présente de nombreuses études de cas qui illustrent parfaitement le revers de la médaille des bonnes intentions de la politique énergétique européenne.</p><p class="rtejustify" style="text-align: justify;"><strong>Des bioénergies, destructrices de notre environnement</strong></p><p class="rtejustify" style="text-align: justify;">Les bioénergies représentent 65% des énergies renouvelables en Europe. Les énergies issues de la biomasse peuvent être bien utilisées et dans des volumes raisonnables qui impactent peu la biodiversité, l’eau ou encore le climat. Malheureusement, il ne faut pas se laisser bercer par l’idée simpliste que les bioénergies sont durables quelles qu’elles soient. Certaines ne sont pas le rêve vert que nous espérons et aggravent parfois plus le dérèglement climatique que les énergies fossiles, sans parler de leurs conséquences sur l’environnement et la biodiversité.</p><p class="rtejustify" style="text-align: justify;">De nombreux cas illustrent ce constat à travers l’Europe. En Slovaquie, en Finlande et en<strong> Italie,</strong> des entreprises brûlent des arbres directement prélevés dans des forêts protégées. En Allemagne, les terres agricoles sont détournées de leur usage alimentaire pour faire pousser du maïs destiné à alimenter des méthaniseurs. Dans toute l’Europe, en France à Marseille avec la raffinerie la « Méde » de Total, l’huile de palme est massivement importée d’Asie du sud-est pour faire des agrocarburants sans prendre en compte les dégâts occasionnés par cette culture. Dans les Canaries et en France, à Gardanne, les centrales à biomasse construites grâce aux subventions sont devant un choix cornélien : importer massivement du bois ou risquer d’exploiter les forêts locales au-delà de leurs capacités.</p><p class="rtejustify" style="text-align: justify;"><strong>L’Europe doit changer de cap </strong></p><p class="rtejustify" style="text-align: justify;">Pour Camille Dorioz, chargé de mission agriculture, <em>« Le </em><u><a href="http://civicrm.fne.asso.fr/sites/all/modules/civicrm/extern/url.php?u=21017&qid=2781731"><em>Livre Noir des bioénergies</em></a></u><em> apporte des preuves supplémentaires d’un usage dérégulé de l’énergie biomasse (arbres entiers, cultures alimentaires pour la production d’énergie...). L’Europe, par ses subventions, soutient directement une destruction massive de l’environnement, sur son propre territoire, mais aussi en Asie du sud-est et en Amérique du Nord. »</em></p><p class="rtejustify" style="text-align: justify;">Pour Denez l’Hostis, président de FNE : <em>« L’Europe doit revoir sa politique énergétique. Celle-ci doit se fonder sur la disponibilité réelle de la ressource et sur des critères de durabilité clairs. Nous demandons un engagement de la Commission européenne afin de promouvoir ardemment la réduction de la consommation d’énergie, de favoriser les énergies renouvelables vraiment durables et d’arrêter l’usage des agro-carburants de première génération d’ici 2030 »</em></p><p style="text-align: center;"><img id="media-5510906" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lanvert.hautetfort.com/media/02/02/1089405799.jpg" alt="Forêt La Croix aux Bois 03.2013 007.jpg" /></p><p class="rtejustify"> </p>
Opapilleshttp://opapilles.hautetfort.com/about.htmlGestion durable des forêtstag:opapilles.hautetfort.com,2014-03-30:53302242014-03-30T06:03:00+02:002014-03-30T06:03:00+02:00 Ce film met en évidence la façon dont la Finlande constitue un exemple dans...
<strong>Ce film met en évidence la façon dont la Finlande constitue un exemple dans la gestion durable des forêts</strong> et comment les innovations nombreuses et variées qui émergent du secteur forestier de ce pays peuvent aider, non seulement la Finlande, mais le reste de l'Europe, à atteindre l'objectif de reverdir leurs économies. Le bois, contrairement aux combustibles fossiles, est une ressource renouvelable, car les arbres repoussent suite à l'ensemencement, à la replantation et à la régénération naturelle.</br><br /><iframe width="460" height="259" src="//www.youtube.com/embed/0EHiQvdeAFo" frameborder="0" allowfullscreen></iframe><br /><strong>Le travail de la Finlande dans le développement de produits en bois novateurs,</strong> démontre comment le bois peut être utilisé comme une option plus verte non seulement dans les industries traditionnelles telles que la construction et la production de pâte et de papier, mais dans des domaines aussi vastes que l'énergie, les produits pharmaceutiques et la médecine.
Opapilleshttp://opapilles.hautetfort.com/about.html16 % tirés des déchetstag:opapilles.hautetfort.com,2014-03-20:53209512014-03-20T05:48:00+01:002014-03-20T05:48:00+01:00 Chaque année, les européens produisent environ 900 millions de tonnes de...
<strong>Chaque année, les européens produisent environ 900 millions de tonnes de déchets</strong> de papier, d'alimentation, d'exploitation forestière ou agricole. Utiliser un quart de ces déchets – pour laisser l'essentiel de la ressource aux autres usages (amendements des sols, litières pour animaux, etc.) – à la production de biocarburants, permettrait de couvrir 12 % des besoins du transport routier d'aujourd'hui et 16 % de celui projeté pour 2030. </br><br /><p style="text-align: center"><img src="http://opapilles.hautetfort.com/media/00/00/2830177586.png" id="media-4478190" title="" alt="déchets,biocarburants,énergies renouvelables,transport,environnement,co2,papier" style="margin: 0.7em 0;" /></p><br /><strong>Telle est la conclusion de l'étude de l'organisation non gouvernementale International Council on Clean Transportation/Conseil international</strong> du transport propre (ICCT), intitulée "Wasted: Europe's Untapped Resource". Selon la nature des déchets, leur transformation ferait intervenir divers procédés (pyrolyse, Fischer-Tropsch, biométhanisation, etc.). La construction des unités de production pourrait ainsi créer 162 000 emplois et 13 000 emplois pour les exploiter. La collecte des déchets agricoles et forestiers pourrait être à l'origine de 133 000 nouveaux emplois. Soit plus de 300 000 emplois d'ici à 2030. Ces biocarburants permettraient de réduire les émissions de CO2 de 60 à 90 % par rapport aux carburants fossiles. </br><br />Source : <a href="http://www.energies-renouvelables.org/articles/newsletter_12032014/biocarburants.asp" target="_blank">energies-renouvelables.org</a>
Cap21 Lorrainehttp://cap21lorraine.hautetfort.com/about.htmlBiocarburants : Corinne Lepage obtient le vote de la Commissiontag:cap21lorraine.hautetfort.com,2013-07-19:51250602013-07-19T17:46:00+02:002013-07-19T17:46:00+02:00 Corinne Lepage, rapporteur de la commission de l'environnement, a remporté...
<p><img id="media-4187226" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://cap21lorraine.hautetfort.com/media/01/01/2714916548.jpg" alt="arocarburants,biocarburants,commission" />Corinne Lepage, rapporteur de la commission de l'environnement, a remporté une <strong><a href="http://www.lemonde.fr/planete/article/2013/07/11/l-ue-veut-jauger-les-agrocarburants-d-apres-leur-impact-environnemental_3446293_3244.html">première victoire</a></strong> en faisant adopter par la commission européenne son rapport sur le développement des biocarburants.</p><p>Le principe est de plafonner les <strong>agrocarburants de première génération</strong> en prenant en compte leurs effets indirects sur la production de gaz à effet de serre via le changement d'affectation des sols qu'ils génèrent. Une mesure importante, qui facilitera le passage aux <strong>biocarburants avancés</strong>, issus d'algues ou de déchets et non de plantations nouvelles.</p><p>Cette première victoire, obtenue malgré un lobbying intense des producteurs, devra être confirmée en septembre en session plénière.</p><h1 class="ep_title">La commission de l’environnement soutient la promotion des biocarburants avancés</h1><p><span class="ep_subtitle"><span class="ep_committee"><abbr title="Commission de l'environnement, de la santé publique et de la sécurité alimentaire">ENVI</abbr> </span><span class="ep_theme">Environnement </span>− <span class="ep_date">11-07-2013 - 12:48</span> </span></p><div class="ep_boxbody"><div class="ep_block"><div class="ep_element1col"><!-- Bloc image --><!-- photo reference: 20130710PHT17004 --><div class="ep_elementimg_left"><strong>Les députés ont adopté ce jeudi des mesures pour soutenir un plafonnement des biocarburants classiques et accélérer le passage à une nouvelle génération de produits, fabriqués à partir d’autres sources, comme les algues ou certains déchets. Ces mesures visent à réduire les émissions de gaz à effet de serre générées par l'utilisation croissante de terres agricoles pour la production de biocarburants.</strong></div><div class="ep_elementtext"><p>"Je me félicite que la commission de l' environnement ait décidé de traiter le problème des émissions de gaz à effet de serre liées au changement indirect d'affectation des sols en les intégrant dans la législation, de plafonner la première génération et de promouvoir les agrocarburans avancés." a déclaré le rapporteur Corinne Lepage (ALDE, FR) à l’issue du vote. "Je pense cependant qu'il faut laisser du temps à l'industrie pour s'adapter et je proposerai des compromis dans ce sens en session plénière."</p><p>Son rapport de première lecture a été adopté ce matin par 43 voix pour, 26 contre et 1 abstention.</p><p><strong>Qu’est-ce que le changement d’affectation des sols indirect (CASI) ?</strong></p><p>La production d'émissions de gaz à effet de serre résultant de l'utilisation croissante de terres agricoles pour la production de biocarburants constitue ce que l'on appelle le changement d’affectation des sols indirect (CASI). Des modèles scientifiques ont montré que ce phénomène, s’il est pris en compte dans le bilan du cycle de vie d’un carburant, peut annuler une partie des effets positifs des biocarburants.</p><p>Le Parlement européen avait appelé dès 2008 à la prise en compte du facteur CASI dans la politique européenne des biocarburants.</p><p><strong>Plafonnement pour la première génération, soutien à l’innovation</strong></p><p>Les Etats membres doivent faire en sorte que la part de l’énergie renouvelable dans les transports compte pour au moins 10% de leur consommation finale en 2020. D'après la commission de l'environnement, la part de biocarburants de première génération, produits à partir de cultures alimentaires et énergétiques, ne doit pas dépasser 5,5% de l’énergie finale consommée dans les transports en 2020 (la Commission européenne avait initialement proposé un plafonnement à 5%).</p><p><strong>Ne pas compromettre la forêt ni la politique des déchets</strong></p><p>Les biocarburants avancés, produits à partir d'autres sources, comme les algues ou certains déchets, devront représenter pas moins de 2% de la consommation en 2020, indiquent les députés. Cependant, ce développement ne devra pas priver d’autres secteurs de matières premières, déstabiliser la politique européenne en matière de déchets, de forêt, ou avoir un impact négatif sur la biodiversité.</p><p><strong>Développer les synergies avec l’électrique et la capture de carbone</strong></p><p>Afin d’assurer une meilleure présence des véhicules électriques sur le marché, l’électricité produite à partir d’énergies renouvelables devra également compter pour 2% de la consommation globale d’énergie dans les transports en 2020.</p><p><strong>Prochaines étapes</strong></p><p>Le rapport législatif sera voté en séance plénière à Strasbourg en septembre.</p></div></div></div></div>
Opapilleshttp://opapilles.hautetfort.com/about.htmlPoursuivre ses recherches sur les peupliers OGM ?tag:opapilles.hautetfort.com,2013-05-14:50688972013-05-14T05:27:00+02:002013-05-14T05:27:00+02:00 La France va-t-elle poursuivre ses recherches sur les peupliers OGM ? Dans...
<strong>La France va-t-elle poursuivre ses recherches sur les peupliers OGM ?</strong> Dans la commune de Saint-Cyr-en-Val, à proximité d'Orléans, sur un site de recherche de plus de 1300 m2, près de 1 000 peupliers génétiquement modifiés poussent en plein champ. Depuis 1995, des chercheurs de l'Institut national de recherche agronomique (INRA) étudient les propriétés de ces arbres transgéniques pour la fabrication de pâte à papier ou la production de biocarburants. Mais ce nouvel objectif suscite des craintes chez les agriculteurs et les défenseurs de l'environnement. Plusieurs associations réclament l'arrêt des recherches. D'autant que la dernière autorisation ministérielle arrivant à expiration cette année, les plants auraient dû être détruits au printemps. Mais l'INRA a demandé une nouvelle prolongation de cinq ans et le projet est soumis du 6 au 27 mai à une consultation publique. </br><br /><p style="text-align: center"><img src="http://opapilles.hautetfort.com/media/01/02/3521961334.jpg" id="media-4098641" title="" alt="peupliers.jpg" style="margin: 0.7em 0;" /></p><br /><strong>Selon les experts du comité scientifique, ces cultures de recherche sont sans danger pour la santé humaine.</strong> Les tests de toxicité et d'allergicité se sont révélés négatifs. Quant à l'impact sur l'environnement, il est jugé "minime". L'utilisation de plants exclusivement femelles et une taille des arbres tous les trois ans limitent les risques de dissémination des transgènes par le pollen ou par les graines. De son côté, l'INRA souligne même l'effet positif que l'exploitation de peupliers génétiquement modifiés pourrait avoir sur l'environnement. Comme tous les arbres, les peupliers sont notamment constitués de lignine, un composant qui entrave les opérations de trituration du bois pour la production de pâte à papier ou de biocarburants. Or, les modifications génétiques subies par les peupliers de Saint-Cyr-en-Val permettent de faire diminuer les taux de lignine présents dans l'arbre et donc, indique l'INRA, "de réduire la quantité de produits chimiques coûteux et polluants nécessaires à [leur] élimination".</br><br /><br /><strong>Dans un communiqué commun, Greenpeace, les Amis de la Terre et la Fédération nationale d'agriculture biologique soutiennent l'arrêt des recherches, </strong>"Au-delà d'un simple essai c'est bien de mise en culture qu'il s'agit". A la Confédération paysanne, Guy Kastler, responsable de la commission OGM, craint donc une concurrence pour la terre entre production d'aliments et de biocarburants. "Les peupliers ont besoin de beaucoup d'eau, et leur exploitation nécessite qu'ils soient cultivés sur de grands espaces, précise-t-il. Donc, contrairement à ce qu'affirment les chercheurs de l'INRA, les arbres ne seront pas plantés dans des zones inutilisées." Ils le seront, poursuit-il, sur des surfaces agricoles ou dans des zones humides, "au détriment soit des agriculteurs, soit de la biodiversité".</br><br />source : <a href="http://www.lemonde.fr/planete/article/2013/05/08/la-bataille-des-peupliers-genetiquement-modifies_3173750_3244.html#xtor=AL-32280516" target="_blank">lemonde.fr</a>
Opapilleshttp://opapilles.hautetfort.com/about.htmlBiocarburant à base de microalguestag:opapilles.hautetfort.com,2012-12-07:49208142012-12-07T06:58:59+01:002012-12-07T06:58:59+01:00 Ce 7 décembre 2012, à Libourne, un véhicule de série roule au biocarburant à...
<strong>Ce 7 décembre 2012, à Libourne, un véhicule de série roule au biocarburant à base de microalgues</strong>, sans adaptation spécifique. La société Fermentalg a produit avec succès ses premiers litres de biodiesel. Le biocarburant de 3ème génération produit par Fermentalg est conforme à la norme B72 qui le rend compatible avec l’ensemble du parc automobile en circulation sans aucune restriction.</br><br /><p style="text-align: center"><img src="http://opapilles.hautetfort.com/media/00/00/202365876.jpg" id="media-3871264" title="" alt="biocarburants,énergies renouvelables,énergies,algues vertes,algues,voiture,transport" style="margin: 0.7em 0;" /></p><br /><strong>Ce biocarburant à base de microalgues offre de hauts rendements en lipides</strong>, un impact environnemental contrôlé et l’absence de pression sur les denrées alimentaires. Ces microalgues se nourrissent de sous produits de l’industrie agroalimentaire ou chimique. Produire ces biocarburants permettra donc de réduire la facture pétrolière tout en réduisant les émissions de gaz à effet de serre.</br><br />Pour en savoir plus, on peut se connecter sur le site de la société <a href="http://www.fermentalg.com/" target="_blank">fermentalg.com</a>
Opapilleshttp://opapilles.hautetfort.com/about.htmlUn symptôme, pas la maladietag:opapilles.hautetfort.com,2012-09-15:48327172012-09-15T05:24:00+02:002012-09-15T05:24:00+02:00Selon José Graziano da Silva, directeur général de l'Organisation des Nations...
Selon José Graziano da Silva, directeur général de l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), Kanayo F. Nwanze, président du Fonds international pour le développement agricole (Fida), et Ertharin Cousin, directrice exécutive du Programme alimentaire mondial (PAM), la situation régnant sur les marchés alimentaires mondiaux, caractérisée par une forte hausse des cours du maïs, du blé et du soja, a suscité la crainte de voir se reproduire la crise alimentaire de 2007-2008. Cependant, une intervention rapide et coordonnée à l'échelle internationale peut empêcher sa répétition.<br /><p style="text-align: center"><img src="http://opapilles.hautetfort.com/media/01/00/1550762634.jpg" id="media-3744834" title="" alt="onu,alimentation,céréales,population,biocarburants,nourriture" style="margin: 0.7em 0;" /></p><br /><strong>Les trois agences onusiennes dénoncent le rôle joué par la conversion croissante des cultures vivrières</strong> en agrocarburants et la spéculation financière dans la hausse des niveaux de prix et leur volatilité. Car même lors des années où le climat est clément, la production céréalière mondiale suffit à peine à satisfaire les demandes croissantes de nourriture, d'alimentation animale et de combustible. Partant du principe que les prix alimentaires élevés sont un symptôme, et non la maladie, la FAO, le PAM et le Fida affirment qu'il appartient à la communauté internationale de prendre des mesures préventives pour empêcher des hausses excessives.</br><br />Source : <a href="http://www.lemonde.fr/planete/article/2012/09/04/la-fao-le-pam-et-le-fida-lancent-un-appel-contre-la-flambee-des-prix-alimentaires_1755485_3244.html" target="_blank">lemonde.fr</a>
Opapilleshttp://opapilles.hautetfort.com/about.htmlBiocarburants et environnementtag:opapilles.hautetfort.com,2012-02-06:45807222012-02-06T05:31:00+01:002012-02-06T05:31:00+01:00 Les biocarburants ont initialement fait l'objet d'un a priori positif au...
<p><strong>Les biocarburants ont initialement fait l'objet d'un a priori positif au plan de l’environnement</strong>, puisque, contrairement aux énergies fossiles, ils ne rejettent dans l'atmosphère que ce qu'ils y ont capturé pendant leur phase de croissance. Toutefois, à partir de 2008 et l'envolée du prix des matières premières agricoles, des critiques sont apparues concernant la compétition entre la production de biocarburants et celle de nourriture pour les hommes ou les animaux. Par ailleurs, le bilan en termes d'émissions de gaz à effet de serre a été constamment révisé dans un sens plus restrictif. De surcroît, les analyses des coûts/avantages ont commencé à tenir compte plus correctement de l’énergie nécessaire à leur production par rapport à celle restituée lors de leur combustion, ainsi que des changements d'affectation des sols (CAS) résultant de l’affectation de surfaces croissantes à la culture des plantes destinées à les produire.</p><p style="text-align: center;"><img id="media-3412757" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://opapilles.hautetfort.com/media/01/02/2239897701.jpg" alt="biocarburants,énergies renouvelables,énergies,environnement,atmosphère,agriculture,gaz à effets de serre" /></p><p><br /><strong>En France, l’ADEME a été chargée de coordonner plusieurs études sur ces points, la première en 2002 présentant un bilan plutôt positif</strong>, la dernière en 2009/2010, fondée notamment sur la méthode des analyses de cycle de vie (ACV), et dont les conclusions, d’ailleurs controversées, sont plus en retrait. L’agence estime ainsi aujourd'hui que, par rapport au carburant fossile de référence, les réductions d'émissions de gaz à effet de serre du biodiesel sont comprises entre 59 et 90 %, celles de l'éthanol entre 49 et 72 %. Toujours par rapport au carburant fossile de référence, la consommation d'énergie fossile pour produire le biodiesel est réduite de 68 à 84 %, et celle de l'éthanol est réduite de 18 à 85 %. Ces données restent cependant très contestées, notamment par les associations de défense de l'environnement, à la fois dans la méthode d'affectation énergétique des coproduits et dans la mesure où ils ne tiennent pas compte des changements d'affectation des sols, en particulier indirects.</p><p>On peut lire le rapport de la cour des comptes sur le site <a title="Biocarburants" href="http://www.ccomptes.fr/fr/CC/documents/RPT/Rapport_thematique_politique_publique_aide_aux_biocarburants.pdf">ccomptes.fr</a></p>
Opapilleshttp://opapilles.hautetfort.com/about.htmlLe bilan écologique et énergétique des biocarburantstag:opapilles.hautetfort.com,2012-02-04:45724972012-02-04T06:26:00+01:002012-02-04T06:26:00+01:00 La cour des comptes, dans un rapport public publié le 24 janvier, soulève...
<div class="chapo"><p><strong>La cour des comptes, dans un rapport public publié le 24 janvier, soulève plusieurs aspects limités de la politique d’aide aux biocarburants.</strong> Les biocarburants, utilisés en mélange avec les hydrocarbures, sont distribués pour la circulation automobile sous deux formes, le biodiesel en addition au gazole et le bioéthanol en addition à l'essence. La Cour des comptes estime que le développement des biocarburants a couté 3 milliards d'euros aux consommateurs, en soulignant que « si le cout total des deux filières pour l’État n’aura pas dépassé 820 M€ sur 2005-2010 et lui rapportera à l’avenir, le consommateur a supporté un surcoût de près de 3 Md€, auquel s'ajoute le prix plus élevé des biocarburants répercuté à la pompe, contribuant pour l'année 2010 à un renchérissement estimé entre 0,5 et 0,7 Md€. »</p><p style="text-align: center;"><img id="media-3402892" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://opapilles.hautetfort.com/media/02/01/1906657183.jpg" alt="énergies,énergies renouvelables,biocarburants,écologie,alimentation,hydrocarbures,gaz à effets de serre" /></p><p><strong>De plus, le bilan écologique et énergétique resterait limité,</strong> notamment en raison de « l'envolée du prix des matières premières agricoles » à l’origine de critique « sur la compétition existant entre la production de biocarburants et celle de nourriture pour les hommes ou les animaux ». Par ailleurs, elle note que « le bilan en termes d'émissions de gaz à effet de serre a été constamment révisé dans un sens plus restrictif ».</p><p>Source : <a title="biocarburants" href="http://www.environnement-online.com/presse/environnement/actualites/2717/energie-renouvelable/evaluation-critique-de-la-politique-daide-aux-biocarburants-par-la-cour-des-comptes">environnement-online.com</a></p></div>
Opapilleshttp://opapilles.hautetfort.com/about.htmlLes algues, meilleure source pour les biocarburantstag:opapilles.hautetfort.com,2011-09-01:37595692011-09-01T05:23:00+02:002011-09-01T05:23:00+02:00 Avec un rendement surfacique bien supérieur aux cultures traditionnelles et...
<p>Avec un rendement surfacique bien supérieur aux cultures traditionnelles et un carburant liquide à haute densité énergétique facilement substituable aux carburants pétroliers, les biocarburants algaux offrent de sérieux atouts.</p><p style="text-align: center;"><img id="media-3178263" style="margin: 0.7em 0pt;" title="" src="http://opapilles.hautetfort.com/media/00/01/1889696228.jpg" alt="biocarburants,énergies,énergies renouvelables,mer,océans,pétrole" /></p><p>Le nombre d’entreprises impliquées dans le développement de cette nouvelle source d'énergie a été multiplié par plus de trois depuis 2005 et les dépôts de brevets foisonnent.</p><p><strong>Au début de l'année 2011, la première usine au monde de biocarburant à base d'algues a vu le jour à Alicante en Espagne.</strong></p><p>On aurait pu finir par craindre que les biocarburants à base d’algues, en dépit de leur exceptionnel rendement, ne soient jamais produits à une échelle industrielle, du fait de la complexité de la transformation qui rendait sa rentabilité hypothétique. Le doute a été levé pour la faisabilité technique de la production, à l’échelle d’une unité de fabrication.</p><p>Trois éléments sont nécessaires pour cette production : du phytoplancton, du CO2 et un bon ensoleillement, d'où le choix d'Alicante à proximité d’une cimenterie rejettant le CO2 indispensable à ce type de fabrication.</p><p>Pour en savoir plus, on peut relire l'article du Monde<em> « A Alicante, la révolution du « pétrole bleu »</em>, , 29/01/2011</p>
Opapilleshttp://opapilles.hautetfort.com/about.htmlLe projet Salinalgue pour cultiver des micro-alguestag:opapilles.hautetfort.com,2011-04-16:31750472011-04-16T05:37:00+02:002011-04-16T05:37:00+02:00 Cultures de micro-algues pour la production de bioénergies et de...
<p><strong>Cultures de micro-algues pour la production de bioénergies et de bioproduits </strong></p><p><a name="c881"></a>La mobilisation de nouvelles ressources pour la production de bioénergies et de bioproduits est indispensable pour réduire les émissions des gaz à effet de serre, gérer la production du C02 industriel et préserver l’environnement.</p><p style="text-align: center;"><img id="media-2971977" style="margin: 0.7em 0pt;" title="" src="http://opapilles.hautetfort.com/media/01/01/193003744.jpg" alt="algues,énergies,biocarburants,co2,gaz à effets de serre" /></p><p>Les zones littorales humides du sud de la France présentent un écosystème et un environnement particulièrement favorables au développement de l’algoculture : grandes superficies mobilisables et activité historique de production de sel en recherche de reconversion (Salins du Midi), plus important bassin de production de CO2 industriel à proximité (Fos sur mer) et présence naturelle d’une microalgue hautement valorisable <em>(Dunaliella salina).</em></p><p>Sur la base de ce double constat, <strong>le projet Salinalgue vise la culture d’une microalgue native </strong><em>(Dunaliella salina)</em><strong> à grande échelle en milieu ouvert sur des salines inexploitées et son bioraffinage</strong> afin de commercialiser différents bioproduits dont un biocarburant de nouvelle génération ayant de hautes performances en termes de rendement de production à l’hectare et de réduction d’émission de gaz à effet de serre (GES). Des molécules à haute valeur ajoutée (Béta-carotène, Oméga 3…) seront également valorisées à partir de cette microalgue, ainsi que les protéines pour l’alimentation aquacole en substitution aux farines de poisson.</p><p><strong><em>Dunaliella salina</em> (DS) est une espèce de microalgue native</strong> qui se développe spontanément et préférentiellement dans les milieux lagunaires très salés. Le projet comprend une étude approfondie de cette microalgue dans le but de maitriser sa culture et sa récolte en milieu ouvert.</p><p>Pour mieux connaître ce projet, on peurt consulter le site <a title="le projet Salinalgue" href="http://www.polemerpaca.com/domaines-d-activite/ressources-biologiques-marines/aquaculture-durable/salinalgue-309.html">polemerpaca.com</a></p>
Opapilleshttp://opapilles.hautetfort.com/about.htmlFais de la biotechnologie toi-mêmetag:opapilles.hautetfort.com,2010-11-08:29493372010-11-08T05:47:00+01:002010-11-08T05:47:00+01:00 Les bioamateurs, qui manipulent l'ADN dans leur garage, désirent s'initier...
<p><strong>Les bioamateurs, qui manipulent l'ADN dans leur garage,</strong> désirent s'initier aux gestes basiques du génie génétique, qu'ils jugent confisqués par les grands laboratoires. La plupart des composants nécessaires pour prélever l'ADN sur une bactérie, une plante ou la peau d'un animal, puis pour le décomposer et en recombiner le programme, sont désormais en vente libre. Des bio-kits sont disponibles sur internet.</p><p> </p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-2702661" style="margin: 0.7em 0;" src="http://opapilles.hautetfort.com/media/00/00/407965028.gif" alt="adn.gif" /></p><p> </p><p> </p><p><strong>Les membres de la communauté DIYbio (Fais de la biotechnologie toi-même)</strong> ont même mis au point en 2005 un thermocycleur rustique, nécessaire pour réussir l'une des opérations les plus délicates : la duplication de l'ADN, qui exige une quarantaine de cycles de chauffage. Une fois lavée, séchée puis mise à nue dans un tube, la pelote d'ADN peut alors être recombinée à l'envi. Certains DIYbiologistes espèrent transférer le parfum de la banane à la tomate ou, plus sérieusement, créer une molécule de bioéthanol surpuissant à base de sucre de canne. Selon leur avis, le danger n'est pas de leur côté mais plutôt du côté de l'opacité des multinationales de biotechnologie.</p><p>Pour en savoir plus, on peut lire l'article de Guillaume Malaurie sur le site <a title="La génétique de garage" href="http://hebdo.nouvelobs.com/sommaire/notre-epoque/101260/la-genetique-de-garage.html">hebdo.nouvelobs.com</a></p>
Opapilleshttp://opapilles.hautetfort.com/about.htmlDéforester en malaisie pour planter des palmiers...tag:opapilles.hautetfort.com,2010-07-17:28282762010-07-17T06:13:00+02:002010-07-17T06:13:00+02:00 Les membres de la tribu des Penan ont érigé des barricades au nord du...
<p><strong>Les membres de la tribu des Penan ont érigé des barricades</strong> au nord du Sarawak, dans la partie malaisienne de Bornéo, pour arrêter la destruction des forêts dont ils dépendent pour leur survie.</p> <div style="text-align: center;"><img id="media-2560751" style="margin: 0.7em 0;" src="http://opapilles.hautetfort.com/media/00/00/1035480314.jpg" alt="deforestation-palmiers.jpg" /></div> <p><br /> La compagnie malaisienne Lee Ling qui exploite les forêts de la région, projette de raser complètement les forêts des Penans et d'y planter des arbres à croissance rapide pour la production de pâte à papier.<br /> Au fur et à mesure que les forêts sont abattues, les rivières s'envasent, tuant le poisson. Le gibier s'enfuit au plus profond des dernières forêts restantes et les chasseurs penan rentrent chez eux les mains vides. Lorsque les arbres repoussent, la forêt est envahie d'épaisses broussailles et les sentiers que les Penans utilisent depuis des générations disparaissent.<br /> <br /> <strong>Dans les zones où les grands arbres de valeur ont été abattus</strong>, d'autres compagnies défrichent ce qu'il reste de forêt pour planter des palmiers à huile. L'huile de palme est utilisée pour produire des biocarburants, des produits alimentaires et des cosmétiques. Ces plantations représentent un danger encore plus grave pour les Penans que l'exploitation forestière car une fois les terres recouvertes de palmiers à huile, il ne leur reste rien.</p> <p>Lire l'article complet publié sur le site <a title="la déforesttation en Malaisie" href="http://www.notre-planete.info/actualites/lireactus.php?id=2467">notre-planete.info</a></p>
Opapilleshttp://opapilles.hautetfort.com/about.htmlL'alpiste faux-roseau peut servir de biocarburanttag:opapilles.hautetfort.com,2010-03-10:26407872010-03-10T06:10:00+01:002010-03-10T06:10:00+01:00 Une équipe de chercheurs de l'Université de Teesside, au Royaume-Uni, a...
<p>Une équipe de chercheurs de l'Université de Teesside, au Royaume-Uni, a découvert que <b>l'alpiste faux-roseau (Phalaris arundinacea) peut servir de biocarburant pour les centrales électriques à biomasse</b> et être cultivé sur des sites industriels abandonnés.</p> <div style="text-align: center"><img src="http://opapilles.hautetfort.com/media/00/02/341573115.jpg" id="media-2320829" alt="alpiste.jpg" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" name="media-2320829" /></div> <p>L'alpiste faux-roseau est une graminée vivace très présente en Europe, Amérique du Nord, Afrique du Nord et Asie. Lorsque l'herbe atteint sa maturité, ce qui prend deux années, elle est fauchée et mise en balles avant d'être transformée en briquettes et granulés. La combustion de cette plante n'a pas d'impact sur l'environnement car son bilan carbone est neutre. En effet, les cultures brûlées à des fins de production de carburant entrent dans la catégorie des «énergies renouvelables». Leur combustion libère du gaz carbonique (CO2) dans l'atmosphère, mais il en a été extrait lors de la croissance des cultures. Le bilan carbone de ces biocarburants est donc neutre, étant donné qu'ils n'ont aucun impact sur les taux de CO2 dans l'atmosphère.</p> <p><b>De plus, les travaux suggèrent que la culture de l'alpiste améliore la qualité des sols et la biodiversité</b> des sites où elle est pratiquée, sans occuper de surfaces agricoles destinées à l'alimentation.</p> <p>Pour en savoir plus on peut consulter l'article de <a title="l'alpiste" href="http://www.notre-planete.info/actualites/lireactus.php?id=2296">notre-planete.info</a></p>
Opapilleshttp://opapilles.hautetfort.com/about.htmlUne pénurie alimentaire planétaire est-elle prévisible ?tag:opapilles.hautetfort.com,2008-12-02:19243762008-12-02T06:05:00+01:002008-12-02T06:05:00+01:00 Vers un crash alimentaire , un documentaire de Yves Billy et Richard Prost...
<p style="margin-bottom: 0cm;"><b>Vers un crash alimentaire</b>, un documentaire de Yves Billy et Richard Prost diffusé <b>ce mardi 2 décembre à 21h sur ARTE</b> et rediffusé le jeudi 11 décembre à 09H55.<br /> La récente flambée des prix agricoles a été un coup de semonce : jamais le monde n’avait affronté <b>une crise alimentaire</b> d’une telle ampleur. Mais comme le montre l’enquête d’Yves Billy et Richard Prost, les difficultés ne font que commencer. Les stocks mondiaux de céréales baissent depuis huit années consécutives et n’assurent plus à la population mondiale qu’une avance de vingt jours d’alimentation, bien en deçà du niveau officiel de sécurité fixé à soixante-dix jours. 925 millions de personnes souffrent de la faim sur la planète et leur nombre croît de plus en plus vite. À la hausse du prix des matières premières, à la raréfaction de l’eau et des surfaces arables et aux ravages causés par les dérèglements climatiques, se sont ajoutés deux phénomènes récents : la demande chinoise en céréales et les biocarburants. Le productivisme agricole, qui en un demi-siècle a épuisé les sols et pollué l’environnement, a atteint ses limites. Dans les pays du Sud, les cultures d’exportation ont mis la survie des populations locales à la merci des cours mondiaux.<br /> Conjuguées au dérèglement climatique, les logiques économiques actuelles conduisent à brève échéance à une catastrophe alimentaire planétaire. Est-il trop tard pour inverser la tendance ?</p> <p style="margin-bottom: 0cm;"> </p> <div><object height="280" width="460" codebase="http://download.macromedia.com/pub/shockwave/cabs/flash/swflash.cab#version=6,0,40,0" classid="clsid:d27cdb6e-ae6d-11cf-96b8-444553540000"><param name="allowFullScreen" value="true" /> <param name="allowScriptAccess" value="always" /> <param name="src" value="http://www.dailymotion.com/swf/k5sBitGv2S0KAhR2IA&related=0&canvas=medium" /> <embed height="280" width="460" src="http://www.dailymotion.com/swf/k5sBitGv2S0KAhR2IA&related=0&canvas=medium" allowscriptaccess="always" allowfullscreen="true" type="application/x-shockwave-flash" /></object></div> <p>Pour en savoir plus consulter <a title="vers le crash alimentaire" href="http://www.arte.tv/crash-alimentaire">le site d'Arte</a></p>
mh,http://www.lalettredemh.com/about.htmlBiocarburants : Entêtés les français ?tag:www.lalettredemh.com,2008-10-26:18635352008-10-26T08:08:00+01:002008-10-26T08:08:00+01:00 Biocarburants, agro carburant, j’ai un peu de mal avec tous ces trucs qui...
<p><img src="http://lalettredemh.hautetfort.com/media/01/01/81769147.jpg" id="media-1351572" alt="essence.jpg" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" />Biocarburants, agro carburant, j’ai un peu de mal avec tous ces trucs qui sont censées remplacer l’essence… bon disons le pétrole. Alors je vous lance l’info toutes crue.<br /> <br /> Extrait de Vedura.fr : publié le vendredi 24 octobre 2008</p> <p><br /> Nicolas Hulot déplore "l’entêtement français"<br /> Le ministre du budget Eric Woerth est revenu sur la décision d'arrêter les avantages fiscaux relatifs à la culture des biocarburants en 2012. Nicolas Hulot s’insurge contre cette décision.<br /> <br /> L’article qui prévoyait de réduire progressivement, puis d'annuler complètement en 2012 les réductions fiscales sur les cultures de biocarburants a été complètement modifié : Eric Woerth va au contraire augmenter les réductions fiscales prévues par produits, pour 2009, 2010 et 2011. "Le gouvernement proposait pour 2009 13,5 euros de réduction par hectolitre de biodiesel et 17 euros pour l'éthanol. Je vous propose, pour 2009, 15 et 21 euros" a-t-il expliqué devant l’assemblée nationale. Les avantages fiscaux aux filières des biocarburants auraient déjà coûté 800 millions d’euros à l’Etat en 2008.</p> <p>Suite à cette annonce, Nicolas Hulot a déploré "l’entêtement " français sur les biocarburants. Avec lui, les associations l<a target="_blank" href="http://www.amisdelaterre.org/">es Amis de la Terre,</a> <a target="_blank" href="http://www.oxfam.org/fr">Oxfam</a> et Agir ici ont réalisé une campagne "<a href="http://www.agrocarb.fr/">les agrocarburants, ça nourrit pas son monde</a>", et s’opposent à la politique française d’incorporation de 10 % de biocarburants dans l'essence à l’horizon 2015.<br /> <br /> <a target="_blank" href="http://www.vedura.fr/actualite/4558-biocarburants-nicolas-hulot">La suite là.</a></p>
adibs1http://adibs1.hautetfort.com/about.htmlLa France va limiter les biocarburants de 1ère générationtag:adibs1.hautetfort.com,2008-04-26:15886862008-04-26T09:58:00+02:002008-04-26T09:58:00+02:00 La France veut faire "une pause" dans les biocarburants de première...
<div style="text-align: center"><img width="343" src="http://blog2b.hosting.dotgee.net/blog/wp-content/uploads/energie/biocarburants_auto.jpg" height="515" /></div> <p>La France veut faire "une pause" dans les biocarburants de première génération, qui sont fabriqués à partir de plantes vivrières et sont accusés de concurrencer les cultures alimentaires, a annoncé mardi à Rome le ministre français de l'Ecologie, Jean-Louis Borloo. </p> <p>"La position de la France est claire: cap sur la deuxième génération de biocarburants", c'est-à-dire des carburants fabriqués à partir de plantes non vivrières, et "pause sur de nouvelles capacités de production (de biocarburants) d'origine agricole", a déclaré le ministre français.</p> <p>Les investissements déjà lancés pour produire des biocarburants de 1ère génération seront toutefois "honorés", a-t-il précisé.</p> <p>M. Borloo s'exprimait en marge du Forum international de l'énergie, qui a réuni de dimanche à mardi des pays producteurs et consommateurs de pétrole.</p> <p>Le ministre a souhaité également que les biocarburants importés "respectent les normes de travail internationales", permettent des "réductions d'émissions de CO2", remplissent "des critères de durabilité dans leur production".</p> <p>Il a souhaité "qu'on amplifie la recherche sur la deuxième génération pour que ces biocarburants ne soient en aucun cas en concurrence avec des sites (...) alimentaires".</p> <p>La France va prendre à partir du 1er juillet la présidence de l'<font color="#003399">Union européenne</font>, qui s'est fixée pour objectif que les biocarburants représentent 10% de sa consommation de carburants en 2020.</p> <p>Pays producteurs et consommateurs présents à Rome ont accusé les biocarburants fabriqués à partir notamment de céréales de contribuer à la flambée des prix agricoles, qui a provoqué ces derniers jours des émeutes de la faim dans plusieurs pays.</p>
Gaëlle Mannhttp://gaelle.hautetfort.com/about.htmlLes Affameurstag:gaelle.hautetfort.com,2008-04-16:15678352008-04-16T18:18:00+02:002008-04-16T18:18:00+02:00 Les émeutes de la faim ayant fait irruption dans les journaux télévisés,...
<strong>Les émeutes de la faim ayant fait irruption dans les journaux télévisés, l'heure est à la mobilisation</strong>. De Paris à Washington, chacun y va de son idée pour venir en aide aux populations des pays pauvres incapables de faire face à l'augmentation des prix des denrées alimentaires de base, notamment le <strong>riz</strong>. <div id="pubOAS_middle" class="banner300"> <center><script type="text/javascript"> //<![CDATA[ if (provenance_elt !=-1) {OAS_AD('x40')} else {OAS_AD('Middle')} //]]> </script><a target="_blank" href="http://www.mondepub.fr/internet.php"></a><br /> <script src="http://ad.fr.doubleclick.net/adj/N964.lemonde.mt/B2825837;sz=300x250;click0=http://pubs.lemonde.fr/5c/ANALYSES-LEMONDE/articles_analyses/exclu/2025618541/Middle/OasDefault/lm_escp_pib04_m/escp300.html/35323761343032323434323037666630?;click=;ord=2025618541?" language="JavaScript1.1" type="text/javascript"> </script></center> </div> <p>Pourtant, comment ne pas se sentir mal à l'aise face à ces élans du coeur ? Car les plus généreux aujourd'hui sont peut-être les plus responsables de ce dérèglement planétaire. Les <strong>nouvelles habitudes alimentaires des pays émergents</strong>, largement importées des pays développés, expliquent en grande partie l'explosion de la demande, et donc les tensions sur les prix.</p> <p>Ce n'est pas la seule raison. La concurrence des <strong>biocarburants</strong> en est une autre, essentielle. Or les Etats-Unis, si généreux avec le Programme alimentaire mondial, ont confirmé leur volonté de doubler les surfaces déjà très importantes qu'ils consacrent aux biocarburants. Face à l'automobiliste américain, le paysan haïtien ne fait pas le poids. Même chose pour l'Europe. Non seulement elle veut développer les biocarburants, mais, dans les négociations internationales, elle maintient une <strong>politique protectionniste</strong> qui déstabilise depuis longtemps les agricultures du tiers-monde et freine la réduction de la pauvreté.</p> <p>Quant à la responsabilité de la <strong>Banque mondiale et au Fonds monétaire international</strong> (FMI), elle est également considérable. Pendant des décennies, ces institutions ont expliqué aux pays émergents que l'agriculture avait son avenir derrière elle. Les pays émergents ont ainsi favorisé les <strong>cultures d'exportation</strong>, destinées à leur rapporter des devises ; ils récoltent aujourd'hui les fruits amers de cette politique. Ainsi le Sénégal exporte des produits alimentaires - que l'Europe taxe quand il a l'audace de vouloir les transformer sur place -, mais doit importer environ 80 % du riz qu'il consomme. Or, non seulement le riz devient rare, mais les <strong>spéculateurs</strong> en font parfois grimper les prix de 30 % en une journée. La générosité soudaine de l'Occident ne saurait faire oublier la part de responsabilité qui est la sienne dans la crise majeure qui menace aujourd'hui.</p> <p><em>(Le Monde 16 avril 2008)</em></p> <p><font color="#0000FF">Les pays du Tiers-monde, et les "émergents", ont des gouvernements qui sont, eux aussi, largement responsables de ces pénuries alimentaires!</font></p>
PPhttp://plunkett.hautetfort.com/about.htmlEmeutes de la faim : le produit d'un systèmetag:plunkett.hautetfort.com,2008-04-14:15631442008-04-14T10:03:00+02:002008-04-14T10:03:00+02:00 http://www.liberation.fr/actualite/economie_terre/321065.FR.php
<a href="http://www.liberation.fr/actualite/economie_terre/321065.FR.php"><font color="#FF0000"><strong>http://www.liberation.fr/actualite/economie_terre/321065.FR.php</strong></font></a>
.../...http://seteperledelamediterrannee.hautetfort.com/about.htmlUsine Nouvelle 19/03/2008 – DIESTER à SÈTEtag:seteperledelamediterrannee.hautetfort.com,2008-03-19:21761872008-03-19T12:52:00+01:002008-03-19T12:52:00+01:00 Energie DIESTER INDUSTRIE INAUGURE A SÈTE UNE UNITÉ DE DIESTER...
<p><a href="http://www.usinenouvelle.com/article/page_res_art.cfm?id_categorie=46">Energie</a></p> <h3>DIESTER INDUSTRIE INAUGURE A SÈTE UNE UNITÉ DE DIESTER</h3> <p>19/03/2008</p> <p><a href="http://www.usinenouvelle.com/article/diester-industrie-inaugure-a-sete-une-unite-de-diester.134059">http://www.usinenouvelle.com/article/diester-industrie-in...</a></p> <p>Investissement</p> <p><img style="margin: 0px 15px 0px 0px; display: inline" title="Diester Industrie inaugure a Sète une unité de diester" alt="Diester Industrie inaugure a Sète une unité de diester" align="left" src="http://www.usinenouvelle.com/upload/visuels/fr/Image_d_article/UsineProlea_Prolea_img_fr.jpg" />Le ministre de l'Agriculture et de la Pêche, <strong>Michel BARNER</strong>, s'est déplacé mardi après-midi sur la zone portuaire de Sète (Hérault) pour inaugurer aux côtés du président de <strong>DIESTER Industrie</strong> et de <strong>SAIPOL</strong>, <strong>Philippe TILLOUS-BORDE</strong>, l'usine de fabrication de diester en service depuis 2006.</p> <p>L'unité d'estérification a créé sur le site sétois, déjà occupé par une usine de trituration d'oléagineux et de raffinage d'huiles végétales, 23 emplois directs, ainsi qu'une trentaine d'emplois indirects.</p> <p>Sa production a démarré à 160 000 tonnes de diester et atteint aujourd'hui les 200 000 tonnes annuels. </p> <p><br /> Le diester est obtenu à partir de graines d'oléagineux, à 70 % de colza et 30 % de tournesol, et la production part toutes les semaines en bateau vers les raffineries de l'étang de Berre, à 6 heures de mer.</p> <p>L'usine de Sète représente le dixième de la production totale de Diester Industrie, qui possède 8 sites industriels en France.</p> <p>Cet investissement de 30 millions d'euros a été financé par <strong>SOFIPROTEOL</strong>, l'établissement financier de <strong>PROLEA</strong>, la filière française des huiles et protéines végétales.</p> <p>« <em>Ce site agroindustriel a aussi consolidé 1 250 emplois, en grande partie dans le milieu rural</em> », affirme le président de <strong>SOFIPROTEOL</strong>, Xavier <strong>BEULIN</strong>, présent à Sète mardi. <em>Il représente le mariage intelligent des intérêts agricoles et industriels. La répartition de la valeur ajoutée se fait entre tous les maillons de la chaîne</em> ».</p> <p>Cependant, tout comme le président de <strong>DIESTER Industrie</strong> , Xavier <strong>BEULIN</strong> a interpellé le ministre de l'Agriculture sur la nécessité d'un « <em>contrat de confiance durable</em> ». « <em>Je sais que l'on peut compter sur vous pour continuer sur un cadre stable, notamment au niveau de la fiscalité</em> » a-t-il déclaré. Il a aussi signalé que l'augmentation du coût des matières premières alimentaires peut menacer l'équilibre de la filière des biocarburants.</p> <p><strong>En Languedoc-Roussillon, Sylvie Brouillet<br /></strong></p> <p>@ <a href="mailto:regions@usinenouvelle.com">Rédaction L'Usine Nouvelle</a></p>
claudeguillemainhttp://almozambique.hautetfort.com/about.htmlLes biocarburants sont accusés d'affamer la planètetag:almozambique.hautetfort.com,2007-10-16:12686972007-10-16T11:22:51+02:002007-10-16T11:22:51+02:00 "Il ne se passe plus un seul jour sans de nouvelles critiques",...
<a target="_blank" href="http://almozambique.hautetfort.com/media/01/01/570faae9068db344ee73b406f4cb207d.jpg"><img src="http://almozambique.hautetfort.com/media/01/01/570faae9068db344ee73b406f4cb207d.jpg" alt="570faae9068db344ee73b406f4cb207d.jpg" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0px; border-width: 0px" id="media-605979" name="media-605979" /></a> <table border="0" cellpadding="0" cellspacing="0"> <tbody> <tr> <td class="texte1">"Il ne se passe plus un seul jour sans de nouvelles critiques", constate le quotidien suisse. Hier portés aux nues, les biocarburants sont accusés de tous les maux. Ils feraient courir un danger à l'environnement et à l'alimentation dans les pays les plus pauvres. A l'occasion du la Journée mondiale de l'alimentation, le journal prend position : "Il n'est pas raisonnable d'utiliser des plantes destinées à l'alimentation humaine ou animale pour remplir le réservoir des voitures", c'est "absurde".</td> </tr> <tr> <td height="5"><img src="http://www.courrierinternational.com/img/espaceur.gif" /></td> </tr> </tbody> </table> <table border="0" width="100%" cellpadding="0" cellspacing="0"> <tbody> <tr> <td valign="middle"> <div><a rel="nofollow" target="_blank" href="http://www.letemps.ch/"><font color="#003399">http://www.letemps. ch/</font></a></div> </td> <td width="12"></td> </tr> </tbody> </table> <table border="0" width="369" cellpadding="0" cellspacing="0"> <tbody> <tr> <td width="12"><font color="#003399"><img border="0" width="12" src="http://www.letemps.ch/images/blanck.gif" height="12" /></font></td> <td width="345" valign="top"> <table border="0" width="345" cellpadding="0" cellspacing="0"> <tbody> <tr> <td colspan="3" valign="top"> <div><span class="times"><span class="size22"><a rel="nofollow" target="_blank" href="http://www.letemps.ch/template/tempsFort.asp?page=3&article=217130" class="navtimes"><font color="#003399">L'essence verte sur le banc des accusés</font></a></span></span><br /> <br /></div> </td> </tr> <tr> <td valign="top"><span class="size9"><span class="red">16.10.2007</span></span><br /> <a rel="nofollow" target="_blank" href="http://www.letemps.ch/template/tempsFort.asp?page=3&article=217130" class="navbody"><font color="#003399">• Après l'euphorie des débuts, les biocarburants sont âprement critiqués. Débat.</font></a><br /> <font color="#003399"><img border="0" width="10" src="http://www.letemps.ch/images/next2_red.gif" height="5" /></font> <a rel="nofollow" target="_blank" href="http://www.letemps.ch/template/tempsFort.asp?page=3&article=217130"><font color="#003399">Les biocarburants affament-ils la planète?</font></a><br /> <font color="#003399"><img border="0" width="10" src="http://www.letemps.ch/images/next2_red.gif" height="5" /></font> <a rel="nofollow" target="_blank" href="http://www.letemps.ch/template/tempsFort.asp?page=3&article=217133"><font color="#003399">Les pays pauvres se ruinent pour les denrées de base</font></a><br /> <font color="#003399"><img border="0" width="10" src="http://www.letemps.ch/images/next2_red.gif" height="5" /></font> <a rel="nofollow" target="_blank" href="http://www.letemps.ch/template/tempsFort.asp?page=3&article=217136"><font color="#003399">Les nouvelles générations de biocarburants</font></a><br /> <font color="#003399"><img border="0" width="10" src="http://www.letemps.ch/images/next2_red.gif" height="5" /></font> <a rel="nofollow" target="_blank" href="http://www.letemps.ch/template/editoriaux.asp?page=1&article=217146"><font color="#003399">L'éditorial: Un monde absurde</font></a><br /> <font color="#003399"><img border="0" width="10" src="http://www.letemps.ch/images/next2_red.gif" height="5" /></font> <a rel="nofollow" target="_blank" href="http://www.letemps.ch/template/forum.asp?page=forum&contenuPage=listMessages&ThemeId=93"><font color="#003399">Le forum sur le réchauffement climatique</font></a></td> </tr> </tbody> </table> </td> </tr> </tbody> </table>
PPhttp://plunkett.hautetfort.com/about.htmlBizarre Lula ! Pour qui roule-t-il ?tag:plunkett.hautetfort.com,2007-10-16:12686212007-10-16T10:30:00+02:002007-10-16T10:30:00+02:00 Washington n'est pas loin :
<strong><em>Washington n'est pas loin :</em></strong>