Last posts on bellecour2024-03-29T13:17:09+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://www.hautetfort.com/https://www.hautetfort.com/explore/posts/tag/bellecour/atom.xmlSolkohttp://solko.hautetfort.com/about.htmlEn sursistag:solko.hautetfort.com,2013-09-25:51803752013-09-25T05:15:00+02:002013-09-25T05:15:00+02:00 Le plan social des librairies Chapitre qui prévoyait la suppression de...
<p class="MsoNoSpacing" style="text-align: justify;"><span style="font-family: helvetica; font-size: medium; color: #000000;">Le plan social des librairies <em>Chapitre</em> qui prévoyait la suppression de 271 postes en France, et la liquidation du magasin de Bellecour (l’ancien Flammarion) a été suspendue. La librairie lyonnaise est donc en sursis. </span></p><p class="MsoNoSpacing" style="text-align: justify;"><span style="font-family: helvetica; font-size: medium; color: #000000;"> En sursis également le petit théâtre d’André Sanfratello où nous jouâmes notre <span style="color: #ff0000;"><a href="http://www.ruedutheatre.info/article-3681000.html"><span style="color: #ff0000;"><em>Colline aux canuts</em></span></a></span> il y a déjà longtemps. Une subvention en moins (22 000 euros) de la DRAC, et l’<span style="color: #ff0000;"><a href="http://www.espace44.com/"><span style="color: #ff0000;">Espace 44</span></a></span> joue sa survie. Une pétition adressée à la ministre de la culture peut être signée<strong><span style="background-color: #ff0000;"><a href="https://secure.avaaz.org/fr/petition/Que_la_DRAC_RhoneAlpes_arrete_dasphyxier_les_Scene_Decouvertes_quelle_a_ellememe_contribue_a_creer/?copy"><span style="background-color: #ff0000;"> ICI</span></a></span></strong>.</span></p><p class="MsoNoSpacing" style="text-align: justify;"><span style="font-family: helvetica; font-size: medium; color: #000000;">En sursis, on le sent par ailleurs dans l'air de cette époque, tant de choses. Le durcissement de la société en général, les difficultés croissantes des gens, l'absence de visée, l'implantation du technologique en tous lieux, l'effacement d'une culture plurielle au profit de cet usage du divertissement de masse dont les pouvoirs aussi bien politiques qu'économiques usent et abusent ; tout cela fait que des habitudes s'estompent, des usages s'effacent, des lieux disparaissent. En sursis, par exemple, après celui de Lyon et celui de Marseille, le Grand Hôtel-Dieu de Paris. </span></p><p class="MsoNoSpacing" style="text-align: justify;"><span style="font-family: helvetica; font-size: medium; color: #000000;">On pourrait, mais je n'en ai pas le cœur, dresser un inventaire à la Prévert assez facilement en faisant une petite veille sur le web de tout ce qui, encore vivant, demeure en réalité en sursis. A commencer, dirait le philosophe, par soi-même. Mais justement. La tradition voulait que, face à nous qui passons, se dressât le monde, qui reste. Les dominants politiques de la planète ont, depuis un certain temps, programmé la disparition du monde traditionnel derrière ce qu'ils appellent le changement. Le monde, comme entité culturelle stable, est donc en train de s'émietter doucement. Et tous les individus sont sommés, dans cette évaporation, de positiver. Car leur dit-on, à eux qui ne sont que de passage, et alors qu'on a déjà programmé leur remplacement : "vous êtes la valeur étalon, vous êtes le citoyen référent, vous êtes le centre stable de toute cette agitation". C'est un monde inversé, comme en<span style="background-color: #ffffff; color: #ff0000;"><a href="http://www.jeanmarcmorandini.com/article-310236-morandini-zap-etats-unis-l-iowa-autorise-le-port-d-armes-pour-les-aveugles.html"><span style="background-color: #ffffff; color: #ff0000;"> Iowa</span></a></span> où l'on apprend que, par souci de non discrimination, les aveugles ont désormais le droit de porter une arme comme les voyants. Un de nos brillants politiques, n'en doutons pas, nous dira bientôt que l'Iowa est à la pointe du progrès. Au nom de la déraison des Droits de l'Homme, les droits de l'homme aussi, partout, sont en sursis.</span></p>
L U Chttp://l-illustretheatre.hautetfort.com/about.htmlEN GUISE DE DÉSERTtag:l-illustretheatre.hautetfort.com,2012-12-01:49149812012-12-01T11:46:00+01:002012-12-01T11:46:00+01:00 Demain, après de riches Rencontres organisées par Regard Indépendant...
<p><strong style="font-size: small; text-align: justify;">Demain, après de riches <em>Rencontres</em></strong><span style="font-size: small; text-align: justify;"> organisées par </span><em style="font-size: small; text-align: justify;">Regard Indépendant</em><span style="font-size: small; text-align: justify;">, je filerai au théâtre Bellecour, 14 rue Trachel à Nice, pour aller voir</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="color: #008000;"><strong><em><span style="font-size: small;"> Trois Dames sur une Île déserte</span></em></strong></span><br /><span style="font-size: small;"> de Gilles ARBIER</span><br /><span style="font-size: small;"> « <em>Annie est une artiste peintre fauchée vivant à paris. Jeanne jongle à Londres entre ex maris et jeunes amants. A saintes, Suzanne poursuit sa triste vie de provinciale esseulée. Leurs regards se croisent et l'improbable se produit : elles se réveillent sur le sable chaud d'une île déserte.</em></span><br /><em><span style="font-size: small;"> Entre l'incompréhension de l'une, l'effroi de l'autre, et l'inquiétante tranquillité de la troisième, elles font connaissance. Chacune porte en elle un lourd passé : une peine de coeur que le temps n'a pas effacée.</span></em><br /><span style="font-size: small;"><em> De révélations en aveux, d'éclats de rire en déchirements, il apparaît clairement qu'elles ont aimé le même homme. Alexandre. Mort il y a vingt ans. Par qui ? Pourquoi ? Isolées du monde, toute vérité est bonne à dire… </em>»</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-3862528" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://l-illustretheatre.hautetfort.com/media/02/01/4003335677.jpg" alt="Illustre-A l'affiche-En guise de désert-Affiche 3 dames-01.jpg" /></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><strong><span style="font-size: small;">C’est un spectacle présenté par la <span style="color: #008000;">C<sup>ie</sup> les Mots en Scène</span>, donc cela me paraît intéressant à priori (nous verrons bien).</span></strong></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"> Il reste encore deux représentations :</span><br /><span style="font-size: small;"> aujourd’hui samedi 1<sup>er</sup> à 19h30 et demain dimanche 02 à 16h00.</span><br /><span style="font-size: small;"> Réservations au 04 93 87 08 86</span><br /><span style="font-size: small;"> Tarif = 16 € / réduit = 13 € (sur Billet-réduc, comme d’hab…)</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-3862531" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://l-illustretheatre.hautetfort.com/media/02/00/1407698374.jpg" alt="bellecour,les mots en scène" /></p>
L U Chttp://l-illustretheatre.hautetfort.com/about.htmlAH BON…tag:l-illustretheatre.hautetfort.com,2012-10-14:48648012012-10-14T11:36:00+02:002012-10-14T11:36:00+02:00 C’est ce jeudi 18 octobre prochain qu’aura lieu la première de la pièce...
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><strong><span style="font-size: small;">C’est ce jeudi 18 octobre prochain qu’aura lieu la première de la pièce<br /></span></strong><em><span style="color: #008000;"><strong><span style="font-size: small;">Deux sur la Balançoire<br /></span></strong></span></em><strong><span style="font-size: small;">dont je vous ai déjà parlé dans le billet du 27 septembre.</span></strong></p><p style="text-align: center;"><img id="media-3790231" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://l-illustretheatre.hautetfort.com/media/00/01/993427083.jpg" alt="deux sur la balançoire,bellecour" /></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><strong>Je vous ai dit qu’elle était très bien écrite.</strong> Vous avez peut-être alors pensé qu’il y avait de formidables "tirades". Ce n’est pas faux, il y a de belles répliques, faites avec de belles phrases.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"> Toutefois, ce n’est pas pour cela que je dis que cette pièce est bien écrite. C’est parce que les personnages sont fort bien dessinés, et parfois avec l’aide de presque rien : des bouts de phrases, des mini répliques, des quasi interjections.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><strong>Par exemple, au début de la pièce,</strong> les deux personnages ne se connaissent qu’à peine et se parlent au téléphone. Clara ayant annoncé lors d’une soirée qu’elle souhaitait vendre sa moto, Jerry saisit ce prétexte pour l’appeler. Il lui indique « <em>à un moment, je vous ai entendue, vous teniez tout un groupe en haleine en disant que vous aviez une moto à vendre</em> ». Mais la seule chose que répond Clara c’est : « <em>Ah bon…</em> ». Pas d’explication, aucune description, pas de négociation.</span><br /><span style="font-size: small;"> Il en faut plus à Jerry pour être déstabilisé, mais tout de même, voilà qui attisera sa curiosité. Ce simple petit « <em>Ah bon…</em> » en dit tout autant sur le personnage que quelques unes des grandes répliques de la pièce.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><strong>Je ne vais pas vous raconter tout le spectacle, je préfère le jouer directement devant vous.</strong> Aussi je vous encourage plutôt à venir ce week-end — ou bien le suivant, au théâtre Bellecour, 14 rue Trachel à Nice.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="text-decoration: underline;"><span style="font-size: small;"> Je vous rappelle les dates :</span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Les jeudi 18, vendredi 19 et samedi 20 à 19h30 et le dimanche 21 à 16h00 ;</span><br /><span style="font-size: small;"> puis les vendredi 26 et samedi 27, toujours à 19h30 et le dimanche 28, à 16h00.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Tarifs : 16 Euros — réduit : 13 Euros<br /></span><span style="font-size: small;">Renseignements / réservation : 04 93 87 08 86</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">« <em>Il paraît que c’est une pièce bien écrite…</em><br /></span><span style="font-size: small;"><em>— Ah bon…</em> »</span></p>
Albert Dreslonhttp://vanvesauquotidien.hautetfort.com/about.htmlVIE LOCALE : LES RENDEZ-VOUS DE VANVES A J – 14 DES ELECTIONS LEGISLATIVES SOUS UN CIEL ESTIVALtag:vanvesauquotidien.hautetfort.com,2012-05-28:47309542012-05-28T06:00:00+02:002012-05-28T06:00:00+02:00 Durant ce week-end de Pentecôte, certains ont décroché à juste raison...
<p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large; font-family: arial,helvetica,sans-serif;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: Times New Roman;">Durant ce week-end de Pentecôte, certains ont décroché à juste raison pour passer ce week-end en famille. Et tant mieux, il n’y a pas que la politique dans la vie ! Et beaucoup ont pu le vérifier encore ces jours-ci pour des événements heureux et moins heureux. <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>Mais les autres ont tracté tant sur le marché de la mairie d’Issy les Moulineaux Vendredi en fin d’après-midi que sur le marché de Vanves Samedi et celui de Corentin Celton Dimanche matin. Un bon point pour les équipes Santini et<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>Pieuchot qui portaient des tee-shirt bleu et blanc pour le premier, rouge pour le second. Ainsi que pour <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>l’urne à pédale ou vélo des Verts</span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large; font-family: arial,helvetica,sans-serif;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large; font-family: arial,helvetica,sans-serif;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: Times New Roman;">L’une des premières réunions publiques de la campagne s’était tenue le 24 Mai dernier à l’école Maternelle du Parc, la Mairie de Vanves comme à son habitude très santiniste, ayant donnée son autorisation à la dernière minute – alors qu’elle est obligatoire en période électorale – pour éviter trop de publicité et de trop de participation. Raté, car beaucoup de Vanvéens s’étaient déplacés pour écouter parler Alain Lipietz membre du bureau d’EELV (et ancien candidat malheuireux aux Présidentielles) et Elie Cohen, économiste sur le sujet majeur du jour : la crise financière de l’Europe. Passionnant, en dehors des couleurs politiques, d’écouter ces économistes, ces intellectuels rappelant ces années 20 et 30 qui ont impreigné cette Europe qu’ont construite et structurés nos péres politiques tant à droite qu’à gauche et au centre, devant des vanvéens verts et socialistes. </span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large; font-family: arial,helvetica,sans-serif;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large; font-family: arial,helvetica,sans-serif;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: Times New Roman;">La fête foraine de la place de la République n’a désemplit durant ce week-end. Après sondage, auprés des enfants dont Marion, 3 ans et 4 mois<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>notamment, au hit parade : Le manége à balançoire, la pêche au canard, la toupie, la mini grande roue, et le petit train jugé « trop mou ( ?) ». Avec deux vedettes : les barbes à papa, pour les parents autant que les enfants et les « clacs doigts » qui pête lorsqu’on le jette par terre. Côté sports, l’équipe de football <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>Expograph a remporté son championnat malgré une chaleur <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>qui a obligé de faire des demi-mi temps pour rafraichir les joueurs. Enfin, la section<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>Boule Lyonnaise s’est illustré lors du grand concours (historique) de Bellecour dans la « mecque » de la boule Lyonnaise (Lyon) dont les finales se déroulent place Bellecourt : Stephane et Sege Engels, Emmanuel Cremades, Jérome Permet et Paolo Caetano sont allés jusqu’en quart de finale : Sur 512 participants, ils sont arrivés dans les 8 premiers. Une première pour Vanves. </span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large; font-family: arial,helvetica,sans-serif;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large; font-family: arial,helvetica,sans-serif;"><span style="font-family: Times New Roman;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="mso-spacerun: yes;"> </span></strong><span style="mso-spacerun: yes;"> </span><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"></strong></span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large; font-family: arial,helvetica,sans-serif;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: Times New Roman;">Mercredi 30 Mai 2012 </span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large; font-family: arial,helvetica,sans-serif;"><span style="font-family: Times New Roman;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">A 19H à l’Hôtel de ville : </strong>Conseil Municipal avec à l’ordre du jour, des demandes de subventions auprès du Conseil Général pour les travaux de sécurisation de l’écoler maternelle Gambetta, d’isolation de l’étage de l’école maternelle Marceau, l’attribution du marché passé pour la location de deux auticars scolaires d’occasion, le bilan des acquisitions et des cessions immpobilière en2011, l’adoption d’un avebnant au contrat de cession de service public du maché couvert, le mous du Commerce 2012, l’approbation de la convention pour le logement des ménages reconnus prioritaitres urgant au tiitre du DALO, la modification de la grille tarifaitre d’ateliers à l’(ESCAL, le projrt « formation générale BAFA » pour les 17-25 ans, , le versement de deux subventions exceptionnelles à l’UNICEF et au Stade de Vanves, et l’adhésion de Velizy à GPSO. </span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large; font-family: arial,helvetica,sans-serif;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: Times New Roman;">Jeudi 31 Mai 2012 </span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large; font-family: arial,helvetica,sans-serif;"><span style="font-family: Times New Roman;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">A 19H30 à la salle Henri Louis Barolet (Piscine) :</strong> Réunion publique de quartier (Hauts de Vanves) avec à l’O<em><span style="font-style: normal; mso-bidi-font-style: italic;">rdre du jour : Présentation de la situation des finances locales</span></em>, <em><span style="font-style: normal; mso-bidi-font-style: italic;">Point d'étape sur le création du métro de la société du Grand Paris et de la future station du Clos Montholon</span></em></span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large; font-family: arial,helvetica,sans-serif;"><em><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-style: normal; mso-bidi-font-style: italic;"><span style="font-family: Times New Roman;">Vendredi 1<sup>er</sup> Juin 2012</span></span></strong></em></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large; font-family: arial,helvetica,sans-serif;"><span style="font-family: Times New Roman;"><em><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-style: normal; mso-bidi-font-style: italic;">A 18H30<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>à l’Arc de Triomphe : </span></strong></em><em><span style="font-style: normal; mso-bidi-font-style: italic;">La 71éme section de l’UNC, Vanves-Malakoff présidée par Paul Guillaud paticipe<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>au ravivage de la<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>flamme à laquerlle il a invité toutes les associations patriotiques de la ville<strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"> </strong></span></em></span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large; font-family: arial,helvetica,sans-serif;"><span style="font-family: Times New Roman;"><em><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-style: normal; mso-bidi-font-style: italic;">A partir de 19H à Vanves : </span></strong></em><em><span style="font-style: normal; mso-bidi-font-style: italic;">La 13éme Fête des Voisin qui se déroulera à Vanves bien sûr comme dans 900 villes, avec la participation de 7 millions de français (15 millions dans le monde et 35 pays).<strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"> </strong></span></em></span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large; font-family: arial,helvetica,sans-serif;"><span style="font-family: Times New Roman;"><em><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-style: normal; mso-bidi-font-style: italic;">A 20H45 à la salle des Cinéastes : </span></strong></em><em><span style="font-style: normal; mso-bidi-font-style: italic;">Projection publique du CIV<span style="mso-spacerun: yes;"> </span></span></em></span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large; font-family: arial,helvetica,sans-serif;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: Times New Roman;">Samedi 2 Juun 2012 </span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large; font-family: arial,helvetica,sans-serif;"><span style="font-family: Times New Roman;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">A 9H au PMS André Roche (et à la piscine) : </strong>Vanves accueille la 20éme édition du « Parcours moteur des Hauts-de-Seine » organisée par l’association Kiwanisport, en partenariat avec le comité départemental du Sport Adapté, la ville de Vanves et le Conseil général des Hauts-de-Seine. Peut être pour la dernière fois, puisque se pose la question du parking pour de très nombreux véhicules qui se garaient sur le terrain de football annexe. Mais depuis qu’il est en pelouse synthétique, comment la mairie va s’en sortir ? <strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"></strong></span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large; font-family: arial,helvetica,sans-serif;"><span style="font-family: Times New Roman;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">A 20H à la salle Panopée : </strong>Gala de danse de la section Gymnastique volontaire </span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large; font-family: arial,helvetica,sans-serif;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: Times New Roman;">Dimanche 3 Juin 2012</span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-family: Times New Roman;"><span style="font-size: large; font-family: arial,helvetica,sans-serif;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">A 9H au PMS A.Roche et dans les rues de vanves : </strong></span><span style="font-size: 9pt;"><span style="font-size: large; font-family: arial,helvetica,sans-serif;">La Foulée Vanvéenne qui avait réuni prés de 500 participants sur 5 et 10 km dont 32 stadistes de la section athlétisme et 3 élus, Daniel Mahé, Antoinette Girondo et Gérard Laubier. Elle a été remporté par un stadiste stadiste.<span style="mso-spacerun: yes;"> </span></span></span></span></p>
Solkohttp://lesruesdelyon.hautetfort.com/about.htmlEmile Zolatag:lesruesdelyon.hautetfort.com,2010-04-17:27066002010-04-17T15:44:00+02:002010-04-17T15:44:00+02:00 C’est depuis sa mort en 1902 que le pesant auteur des Rougon...
<p class="MsoNoSpacing" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: "Cambria","serif"; font-size: 12pt; mso-ascii-theme-font: major-latin; mso-hansi-theme-font: major-latin;"><span style="color: #000000;">C’est depuis sa mort en 1902 <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>que le pesant auteur des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Rougon Macquart</i> a vu son nom attribué à l’ancienne rue <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Saint-Dominique.</i> . Il faut dire qu’après avoir donné le nom de Victor Hugo en 1885, à l’ancienne rue <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Bourbon</i>, la municipalité lyonnaise ne brillait pas par son audace littéraire en s’alignant de façon on ne peut plus conventionnelle à des gloires nationales, alors qu’on eût aimé qu’elle eût la reconnaissance locale plus leste.</span></span></p> <div style="text-align: center"><span style="font-family: "Cambria","serif"; font-size: 12pt; mso-ascii-theme-font: major-latin; mso-hansi-theme-font: major-latin;"><img src="http://lesruesdelyon.hautetfort.com/media/02/00/1226264065.jpg" alt="zola 1.jpg" id="media-2409921" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" /></span></div> <p class="MsoNoSpacing" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: "Cambria","serif"; font-size: 12pt; mso-ascii-theme-font: major-latin; mso-hansi-theme-font: major-latin;"><span style="color: #000000;">La rue <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>portait depuis <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>1562 le nom de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Saint-Dominique</i> pour avoir été ouverte (par le baron des Adrets) sur le territoire des Jacobins, ou frère prêcheurs de l’ordre de saint-Dominique.</span></span></p> <p class="MsoNoSpacing" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: "Cambria","serif"; font-size: 12pt; mso-ascii-theme-font: major-latin; mso-hansi-theme-font: major-latin;"><span style="color: #000000;">En 1714, pour entreprendre la reconstruction de leur couvent, les Jacobins avaient vendu en bordure de la rue Saint-Dominique des terrains propres à bâtir : le prix était alors de 16 francs cinquante le m2 ; et les numéros 3 à 13 de la rue virent ainsi le jour.</span></span></p> <p class="MsoNoSpacing" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: "Cambria","serif"; font-size: 12pt; mso-ascii-theme-font: major-latin; mso-hansi-theme-font: major-latin;"><span style="color: #000000;">Pour la petite histoire, cette artère <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>porta le nom de <a href="http://lesruesdelyon.hautetfort.com/archive/2010/04/15/chalier.html"><span style="color: #ff0000;">Joseph Marie Chalier</span></a> pendant peu de temps, juste après le siège de 1793. Le prévôt général de la maréchaussée, Bonnot de Mably, qui eut pour précepteur Jean Jacques Rousseau, y habita. Voilà pourquoi Rousseau, qui y séjourna, la cite dans le livre 4 de ses <em>Confessions</em>, au cours de l’épisode communément appelé « le taffetatier indélicat » :</span></span></p> <p class="MsoNoSpacing" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: "Cambria","serif"; font-size: 12pt; mso-ascii-theme-font: major-latin; mso-hansi-theme-font: major-latin;"><span style="color: #000000;">« J'étais un soir assis en Bellecour après un très mince souper, rêvant aux moyens de me tirer d'affaire, quand un homme en bonnet vint s'asseoir à côté de moi. Cet homme avait l'air d'un de ces ouvriers en soie qu'on appelle, à Lyon, des taffetatiers. Il m'adresse la parole; je lui réponds. A peine avions-nous causé un quart d'heure, que, toujours avec le même sang-froid et sans changer de ton, il me propose de nous amuser de compagnie. J'attendais qu'il m'expliquât quel était cet amusement, mais sans rien ajouter, il se mit en devoir de m'en donner l'exemple. Nous nous touchions presque, et la nuit n'était pas assez obscure pour m'empêcher de voir à quel exercice il se préparait. Il n'en voulait point à ma personne; du moins rien n'annonçait cette intention, et le lieu ne l'eût pas favorisée: il ne voulait exactement, comme il me l'avait dit, que s'amuser et que je m'amusasse, chacun pour son compte; et cela lui paraissait si simple, qu'il n'avait pas même supposé qu'il ne me le parût pas comme à lui. Je fus si effrayé de cette impudence, que, sans lui répondre, je me levai précipitamment et me mis à fuir à toutes jambes, croyant avoir ce misérable à mes trousses. J'étais si troublé, qu'au lieu de gagner mon logis par la rue <em>Saint-Dominique</em>, je courus du côté du quai, et ne m'arrêtai qu'au delà du pont de bois, aussi tremblant que si je venais de commettre un crime. J'étais sujet au même vice: ce souvenir m'en guérit pour longtemps. »</span></span></p> <p class="MsoNoSpacing" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: "Cambria","serif"; font-size: 12pt; mso-ascii-theme-font: major-latin; mso-hansi-theme-font: major-latin;"><span style="color: #000000;"> </span></span></p> <p class="MsoNoSpacing" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: "Cambria","serif"; font-size: 12pt; mso-ascii-theme-font: major-latin; mso-hansi-theme-font: major-latin;"><span style="color: #000000;">La rue <em>Saint-Dominique</em> <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>fut, avec la rue <em>Mercière</em>, l’une des premières où s’expérimenta en 1835 l’éclairage au gaz. Brun de la Valette rappelle qu’elle fut longtemps la rue des d’où partaient les diligences pour Grenoble : on voyait donc de nombreux hôtels. Un apothicaire du nom de <em>Fleurant</em> s’y trouva, dont Molière emprunta le nom pour son <em>Malade Imaginaire</em>. La tradition, dit-il, assure<span style="mso-spacerun: yes;"> </span> que les boiseries de cette pharmacie venaient de Saint-Jean.</span></span></p> <p class="MsoNoSpacing" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: "Cambria","serif"; font-size: 12pt; mso-ascii-theme-font: major-latin; mso-hansi-theme-font: major-latin;"><span style="color: #000000;">Au 17 de la rue <em>Emile Zola</em> se trouve le magasin <em>Pignol</em>, dont la saga débuta en 1954 avec l’idée de proposer des pizzas aux clients, à une époque où les pâtisseries ne proposaient que du sucré.</span></span></p>
Le Corbeau 78http://corboland78.hautetfort.com/about.htmlChez Guignoltag:corboland78.hautetfort.com,2008-12-13:19456422008-12-13T12:22:00+01:002008-12-13T12:22:00+01:00 J'ai pris quelques...
<p> J'ai pris quelques jours de congés pour visiter Lyon et comme convenu me voici de retour. Le plus éprouvant n'est pas le voyage Paris-Lyon qui ne dure que deux heures en TGV mais de rallier la gare de départ depuis ma banlieue. Bus et RER en ce lundi matin sont un calvaire. Je chasse de mes pensées ce départ gâché pour ne plus penser qu'à l'arrivée. L'hôtel est loin de la gare de Part Dieu, le temps de prendre possession de la vaste chambre et nous descendons déjeuner au restaurant de l'hôtel. Peu de choix, qualité moyenne, prix exorbitant, ça commence mal mais surtout je me sens arnaqué. Nous débutons notre visite de la ville en empruntant le métro. La station près de notre hôtel se nomme Sans Souci et la ligne est directe pour la place Bellecour, troisième plus grande place de France après l'esplanade des Quinconces à Bordeaux et celle de la Concorde à Paris. On la doit à Louis XIV dont la statue équestre trône en plein milieu. Pour être franc je n'ai rien trouvé à noter de particulier dans mon calepin à son sujet si ce n'est que d'ici j'ai pu apercevoir pour la première fois la basilique de Fourvière au loin au-delà de la Saône. J'y reviendrai plus tard. A cette époque de l'année une immense roue (manège) lumineuse attire tous les regards et donne un air de fête à l'endroit. La ville célèbre aujourd'hui le dernier jour de la Fête des Lumières et particulièrement Marie en ce jour de l'Immaculée Conception. Nous traversons le fleuve par le pont Bonaparte et nous engageons dans la rue Saint-Jean, nous sommes dans le vieux Lyon. Rues et ruelles pavées livrées aux touristes qui s'attardent devant les vitrines des commerces, marchands de jouets en bois, livres, bibelots exotiques. ou bien s'agglutinent pour lire les menus des bouchons, les fameux bistrots lyonnais, avec l'idée d'y revenir plus tard. La montée des Chazeaux, tout en escaliers, nous amène jusqu'au pied de la basilique de Fourvière en passant par les Jardins du Rosaire. Elle est superbe bien qu'elle n'ait pas un style défini. De l'extérieur, entièrement ravalée d'un blanc neige elle resplendit au soleil et du parvis nous surplombons toute la ville. Au-dessous de nous le vieux Lyon, à gauche les pentes de la Croix Rousse, devant nous la presqu'île entre Saône et Rhône avec la trouée de la place Bellecour, là-bas la Tour du Crayon qui doit son nom évident à sa forme et qui appartient au Crédit Lyonnais, d'ailleurs s'est écrit dessus! Il est 17h une messe débute dans la nef comble et illuminée, sans être particulièrement croyant, c'est assez impressionnant. Quand nous ressortons, les éclairages de la Fête des Lumières commencent à parer la ville de ses habits nocturnes en bleu, argent ou rouge. Nous descendons de la colline, place des Jacobins la Fontaine aux Poissons et place des Célestins projections sur la façade du théâtre. Dans les rues, farandoles de lumignons posés sur les rebords des fenêtres. La foule se densifie et les rues devenues piétonnes canalisent cette houle humaine vers la cathédrale Saint-Jean d'où partira la procession mariale, bougie à la main, jusqu'à la basilique, là-haut sur la colline. La cathédrale est enveloppée de couleurs vives et chaudes mouvantes.</p> <p>Soudain je pense aux Etats-Unis car le plan de Lyon ressemble vaguement à New York, la presqu'île serait Manhattan, bordée à l'ouest par la Saône et à l'est par le Rhône, la Croix Rousse dans le Bronx, le vieux Lyon dans le New Jersey, Part Dieu entre Brooklyn et Queens. C'est du moins l'idée toute personnelle que je m'en fais... De plus en dirigeant mon regard vers Fourvière d'où la basilique domine et protège la cité, "Merci Marie" proclame un panneau lumineux géant, comme ailleurs sur une autre colline on peut lire "Hollywood". Qiuand nous décidons de rentrer à la chambre, l'accès au métro oblige à faire la queue patiemment tant la foule s'y presse. Nous abandonnons l'idée et rentrons à pied, la route est très longue par le cours Gambetta puis le cours Dylan Thomas.</p> <p>Le lendemain visite de la Croix Rousse, quartier du nord de la ville. Nous prenons le métro car il est très agréable, confortable et "mignon" avec ses trains courts. A l'extrémité de chaque wagon une large baie vitrée donne une vue panoramique sur le trajet et permet de constater que ça monte sérieusement, d'ailleurs une crémaillère sous le métro en témoigne et nous constatons que nous glissons au fond de notre siège! Visite du quartier pentu et des traboules, ces passages étroits faits d'escaliers, de couloirs et de placettes entre les immeubles. Vous entrez par une rue et ressortez par une autre à l'issue d'un dédale de couloirs. Rues escarpées, rue de la Grande Côte (inutile d'expliquer). Point de vue sur la basilique au loin dans la brume car aujourd'hui il fait moins beau, pluie et neige sont prévues par la météo. Redescente vers la place des Terreaux et la très belle fontaine de Bartholdi, puis l'Hôtel de Ville. Nous traversons la Saône par le pont de la Feuillée. Quartier Saint-Paul, je pense au film de Bertrand Tavernier. De nouveau dans la rue Saint-Jean qui attire comme un aimant. En cette fin de matinée elle est plus calme qu'hier soir, nous cherchons un bouchon car il est temps de déjeuner. Tout est plein, frigorifiés nous regardons les trognes souriantes, le verre à la main, les veinards attablés au chaud. Enfin nous dénichons une table à l'auberge Rabelais. Saladier Lyonnais et saucisson chaud avec un pot de Beaujolais. L'adresse n'est pas mémorable mais le décor est agréable, vieilles pierres et tentures, le temps du repas, bien au chaud, c'est notre tour de regarder les badauds coller leur nez sur les vitres embuées du restaurant. La pluie arrive comme prévue en cours de journée, néanmoins nous continuons notre exploration de la ville avec les Halles, bâtiment clos et moderne. A cette heure peu de monde mais les étals débordent de produits appétissants et luxueux, ça sent le marché pour rupins. Petits restaurants et encas sur le pouce chez certains commerçants comme le plateau d'huîtres chez le poissonnier.</p> <p>Déjà notre dernier jour, il pleut toujours et sans discontinuer depuis hier. Nous visitons le musée de la Miniature rue Saint-Jean pour être à l'abri mais il s'avère que la visite est particulièrement intéressante. Maquettes et objets expliquant les trucages au cinéma, ainsi que des miniatures représentant des échoppes de commerces ou des pièces d'appartement. C'est absolument merveilleux et à voir. Retour à la cathédrale Saint-Jean car il est bientôt midi et son horloge astronomique va bientôt se déclencher. L'horloge affiche les dates jusqu'en 2019. Quid après ? C'est inquiétant. Mais pas au point de me couper l'appétit. Une belle gamelle où se cotoeint museau, pieds de porc, lentilles et pommes de terre pour débuter, puis une andouillette avec un pot de Côte du Rhône. Dehors il neige faiblement, c'est plus romantique que la pluie. Quand nous reprenons le métro, quelqu'un est tombé sur les voies, le trafic est interrompu un quart d'heure, ça va nous ne sommes pas pressés, nous sommes en vacances. Je vous rassure avant que vous ne vous plaigniez de mon indifférence, le tombé sur les rails s'en tirera sans gros dommages. Dans l'après-midi nous allons à Part Dieu. Si vous aimez les centres commerciaux vous erez gâtés, tous les blaireaux et les enseignes habituelles sont là comme partout. Si comme vous moi vous détestez ces zones d'étalages clinquants, vous souffrirez car en plus c'est très grand. Finalement je préfère ressortir dans le froid, au grand désespoir de ma moitié qui y aurait passé la soirée à tourner et piétiner dans les rayons et allées. Je l'entraîne au hasard, vers la place Bellecour où nous croisons quelques supporters du Bayern de Munich encore assez sages, qui passa un 3-2 ce soir à l'OL sur leur pelouse de Gerland. Plus tard rue Victor Hugo, une gaufre et une boisson chaude dans un troquet sympathique en regardant les passants emmitouflés se hâter sous la bruine neigeuse. Au bout de la rue, la place Carnot au pied de la gare de Perrache où s'est installé un Marché de Noël. Dans la nuit tombée maintenant, alors que quelques flocons volent au vent, les petits chalets éclairés d'ampoules multicolores nous plongent pour quelques temps dans la féerie des fêtes de fin d'année.</p> <p>Demain matin le TGV nous ramènera à Paris, traversant des champs enneigés comme des photos de cartes postales. Bien sûr il y avait mille autres choses à voir Lyon, milles autres choses à déguster. Pour ceux qui seraient intéressés par cette ville je conseille vivement la lecture du blog de SOLKO <a href="http://solko.hautetfort.com/">http://solko.hautetfort.com/</a> pour satisfaire votre curiosité.</p> <p> </p> <p><img src="http://corboland78.hautetfort.com/media/00/01/1141174886.jpg" alt="Lyon.jpg" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0px; border-width: 0px;" id="media-1451888" /></p>