Last posts on barbouzes2024-03-28T12:21:00+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://www.hautetfort.com/https://www.hautetfort.com/explore/posts/tag/barbouzes/atom.xml.http://pdf31.hautetfort.com/about.htmlL’ex-futur général Benallatag:pdf31.hautetfort.com,2018-08-06:60709362018-08-06T20:06:00+02:002018-08-06T20:06:00+02:00 Publié par Guy Jovelin le 06 août 2018 Les barbouzes de l’Élysée : des...
<p style="text-align: left;">Publié par Guy Jovelin le 06 août 2018</p><p style="text-align: center;"><img id="media-5849987" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://pdf31.hautetfort.com/media/00/02/1876513773.jpg" alt="barbouzes,benella,général" /></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: 10pt;">Les barbouzes de l’Élysée : des hommes prêts à tout, déterminés et impitoyabes au service du Président…</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">Les cons hors d’âge de mon espèce n’ont pas pu résister aux envolées lyriques de Christian Jacob dénonçant dans cette sémillante affaire Benalla, la profanation de l’esprit même d’une Constitution de la Ve République on ne peut plus gaullienne. Sa nature sacrée interdirait la moindre entorse aux règles de droit, notamment dans les domaines de la sécurité en général et de la police en particulier.</span></p><section class="cb-entry-content entry-content clearfix"><div id="attachment_10546" class="wp-caption aligncenter" style="text-align: justify;"><p class="wp-caption-text"><span style="font-size: 10pt;">Affaire franco-marocaine pour affaire maroco-française, pourquoi ne pas évoquer celle de Ben Barka enlevé en 1965 et perdu corps et biens, à tout jamais. Pourquoi ne pas souligner les rôles d’Antoine Lopez, honorable correspondant du SDECE et de Leroy-Finville son supérieur traitant. Comment ne pas évoquer les Bernier et Figon barbotant dans les eaux salaces du milieu pour y repêcher l’insubmersible Bouchesseiche, gestapiste avéré reconverti dans le gang des tractions avant.</span></p></div><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">Je vous prie de m’excuser, j’allais oublier le très entreprenant Maître Lemarchand… Celui-là même qui avait fait ses classes en Algérie, en supervisant, pour le moins lamentablement faut-il le préciser, sous couvert du très œcuménique Mouvement pour la Communauté de Joël Le Tac, les barbouzes télécommandées par Alexandre Sanguinetti…</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">Et comme dans ce type de monde parallèle il ne faut jamais mettre ses œufs de vipère dans le même panier, la « Mission C » de Michel Hacq avait eu toute latitude pour monter ses coups tordus.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">Si nous parlions maintenant du non moins gaullien Service d’Action Civique (de sac et de corde bien évidemment) de Jacques Foccart et Charles Pasqua, exécuteurs des basses œuvres du régime (voir la chronique d’Alexis Arette évoquant le massacre d’Auriol).</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">Et notre bon Tartuffe Jacob, porte-parole de ces parlementaires tellement vertueux, tel un procureur de la magistrature couchée se drapant dans une toge mitée ressortie pour la circonstance, de pérorer sur le thème : « <em>Cachez ces actes que je ne saurais voir. Par de pareils objets, les âmes sont blessées ! Et cela fait venir de coupables pensées </em>». On ne pourrait mieux dire.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">Comme l’aurait souligné ma concierge, c’est vraiment l’hôpital qui se fout de la charité…</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">Et l’ex-futur général Benalla d’en faire les frais. Mais, à l’Élysée, n’est-on pas coutumier du fait. Dans le cadre de « la protection des élites » c’est ce qu’on appelle « <em>changer son fusible d’épaule </em>».</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">Source : <a href="http://eurolibertes.com/histoire/lex-futur-general-benalla/">eurolibertes</a></span></p></section>
J.-P. Chauvinhttp://jean-philippechauvin.hautetfort.com/about.htmlDes mousquetaires du Roi aux barbouzes de la République : l'affaire Benalla.tag:jean-philippechauvin.hautetfort.com,2018-07-23:60680922018-07-23T14:52:11+02:002018-07-23T14:52:11+02:00 C'est parfois à ce qui peut sembler dérisoire de prime abord que l'on...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: Verdana;">C'est parfois à ce qui peut sembler dérisoire de prime abord que l'on reconnaît un homme ou un régime politique, et qu'on le juge : ce n'est pas forcément juste mais c'est ainsi, et la politique, tout comme l'exercice de l’État, n'est pas un chemin de roses, même si les épines sont souvent bien là... L'affaire Benalla nous rappelle ces quelques vérités simples, et fournit l'occasion d'en tirer quelques leçons que la République se chargera sans doute d'oublier au prochain locataire de l'Elysée, avant l'affaire suivante : l'histoire sert-elle vraiment à quelque chose dans ce régime d'amnistie (celle qui accompagne l'amnésie) quinquennale, qui, d'une élection à l'autre, croit repartir à zéro, dans une sorte de « tabula rasa » permanente ? </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;">M. B</span><span style="font-size: 12pt; font-family: Verdana;">enalla révèle, à son corps défendant (sans jeu de mots au regard de sa fonction près du président Emmanuel Macron), les vices d'une République qui croit, sous la cinquième du nom, imiter la Monarchie quand elle n'en est que la caricature, parfois réussie, souvent affligeante, voire odieuse en certaines occasions. Ainsi, si l'on s'intéresse au cas des gardes du corps (ce qu'est M. Benalla, malgré la titulature de « conseiller » ou de « collaborateur du président » que la presse lui attribue) ou des serviteurs de l’État incarné, il y a une grande distance entre les mousquetaires du Roi (ou les Gardes suisses) et les barbouzes de la République qui, depuis le SAC gaulliste aux officines privées dites de sécurité, arpentent les allées du Pouvoir, voire du Parlement : <strong>le « pays légal »</strong> (qui semble avoir mieux résisté au passage du temps que le « pays réel », souvent difficile à définir ou à délimiter, et source de tous les phantasmes, élitaires ou populistes) <strong>évoque souvent de grands principes mais pratique « la petite vertu »</strong>...</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"> </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: Verdana;">Les oppositions à M. Macron, qui se gardent bien d'évoquer la nature même d'un État ou celle de l'esprit du temps qui autorisent un M. Bellana, oublient de préciser que ce n'est pas (ou pas seulement) l'actuel locataire de l'Elysée qui peut être considéré comme responsable d'une situation qu'il a mal gérée devant l'Opinion, prise à témoin par tous les Tartuffes d'un système dont ils ont, pour la plupart, largement profité lorsque leurs partis respectifs tenaient le Pouvoir : <strong>les précédents quinquennats ou septennats ont tous été émaillés de scandales qui, parfois, ont atteint jusqu'au sommet de l’État</strong>, et les histoires d'écoutes, de crocs-en-jambes et de règlements de comptes, de fausses factures et d'emplois fictifs, de passe-droits et de pots-de-vin, etc. emplissent les colonnes des collections du <strong><em>Canard enchaîné</em></strong> et les archives nationales. A croire que la République, née avec le très corrompu Danton, ne peut se défaire de cet héritage maudit et renouer avec l'honneur, apanage d'une Monarchie, ce que Montesquieu avait souligné en son temps... </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"> </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: Verdana;">Alexandre Dumas comme Paul Féval ont, en littérature, rappelé cette vérité simple d'une <strong>fidélité au Roi qui n'est pas une idolâtrie mais service d'un homme-institution, du Roi-État</strong>, qui, lui-même, se doit de respecter les règles d'un honneur qui peut l'amener jusqu'au sacrifice suprême : l'honneur de la Monarchie est aussi à ce prix, et le roi Louis XVI en a assumé toutes les conséquences, d'ailleurs. Les provinces de France elles-mêmes participaient à cette conception ancienne de l'honneur, comme la Bretagne nous le rappelle à travers sa devise latine « <strong>Potius Mori quam Foedari</strong> », c'est-à-dire «<strong> Plutôt la mort que la souillure</strong> ». </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"> </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: Verdana;">Quand M. d'Artagnan sortait l'épée du fourreau ou arrêtait l'homme le plus riche du royaume, Nicolas Fouquet ; quand il se lançait à la conquête des remparts de Maëstricht sous lesquels il laissera sa vie, il servait son roi et la France, et n'en profitait pas pour « se servir », ou n'agissait pas par orgueil ou individualisme : sa cause était celle de l’État et son service gratuit, non pas privé mais public au sens premier du terme. « <strong>Tant vaut l’État, tant vaut sa raison</strong> », écrivait Maurras. Mais c'est aussi valable pour les raisons d'être et d'agir des personnels de celui-ci, et la République, qui repose sur le « mérite », confond trop souvent ce dernier avec une « méritocratie » qui en oublie ses propres devoirs politiques et sociaux parce que ne voulant voir que les qualités individuelles sans les conjuguer au nécessaire service de tous. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;">M. M</span><span style="font-size: 12pt; font-family: Verdana;">acron qui, depuis son élection et dans un réflexe monarchique qu'on peut lui reconnaître sans déchoir, a voulu restaurer de la verticalité dans l'exercice de la magistrature suprême de l’État, se retrouve piégé par une République qui, fondamentalement, ne sait plus où se trouvent les règles élémentaires de l'honneur parce qu'elle n'en a jamais vu autre chose, dès ses premiers pas des années 1790, qu'une valeur « d'Ancien régime » sans intérêt et que l'on devait même dénoncer comme vestige du monde d'avant-République... C'était la vertu (républicaine) contre l'honneur (monarchique). Dans l'affaire qui porte son nom, <strong>M. Benalla, faute de voir le Pouvoir autrement que comme une chasse gardée dont il tenait quelques clés</strong> (y compris celles de l'Assemblée nationale...), a nui aux deux principes, et la République se retrouve à découvert...</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"> </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: Verdana;">Il y a eu (et il y en a sans doute encore), en République, quelques politiques et hommes d’État persuadés que les valeurs anciennes de l'honneur et du service devaient retrouver leur place dans l'exercice de l’État, au bénéfice de la France et des Français, parfois « malgré eux ». Mais ils furent plus des exceptions que la règle, et <strong>la République, par essence, penche toujours du côté de la facilité quand la Monarchie, elle, se voulait plus exigeante</strong> et pouvait l'être, n'étant pas la proie des féodalités qui, trop souvent aujourd'hui, imposent leurs mauvaises habitudes et leur idéologie indexée sur le rapport à l'argent et à son pouvoir discrétionnaire. <strong>Quand la République, du coup, en devient arbitraire, la Monarchie, les mains déliées mais « captive » de son honneur qui est aussi l'un de ses éléments de légitimité, peut rester ce que l'autorité suprême doit être, c'est-à-dire arbitrale ! </strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="font-family: Verdana;"> </span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"> </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"> </span></p>
Ratatoskhttp://euro-synergies.hautetfort.com/about.htmlLes antifas sans cagoule...tag:euro-synergies.hautetfort.com,2017-11-24:60023982017-11-24T16:39:51+01:002017-11-24T16:39:51+01:00 Les antifas sans cagoule... par Ferdinand le Pic Ex:...
<p style="text-align: center;"><img id="media-5727836" style="margin: 0.7em 0px;" title="" src="http://euro-synergies.hautetfort.com/media/02/00/3272917506.jpg" alt="AF1.jpg" /></p><h3 id="p2" style="text-align: left;"><span style="font-size: 24pt; font-family: arial black, sans-serif; color: #ff6600;"><strong>Les antifas sans cagoule...</strong></span></h3><p style="text-align: left;"><span style="font-size: 18pt; font-family: arial black, sans-serif;"><strong><span style="color: #999999;">par Ferdinand le Pic</span></strong></span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-size: 12pt; font-family: arial black, sans-serif;"><strong><span style="color: #999999;"><span style="font-size: 18pt;">Ex: http://metapoinfos.hautetfort.com</span> </span></strong></span></p><div class="posttext"><div class="posttext-decorator1"><div class="posttext-decorator2"><p style="text-align: left;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999;">Nous reproduisons c-dessous un article fort intéressant de Ferdinand le Pic, consacré aux antifas et cueilli dans le n°101 d'<em><a style="color: #999999;" href="http://antipresse.tumblr.com/manifeste">Antipresse</a></em>, lettre d'information de Slobodan Despot, dont la nouvelle formule sera disponible en début d'année 2018.</span></strong></span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-size: 12pt; color: #ff6600;"><strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Les antifas sans cagoule</span></strong></span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999;">Ils frappent partout, mais semblent venir de nulle part. Ils dénoncent un «fascisme» omniprésent et fantasmé. Ils n’ont aucune existence juridique mais bénéficient d’incroyables indulgences judiciaires. Qui sont-ils?</span></strong></span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999;">Les Antifas se plaisent à revêtir le noir, toujours encapuchonnés et masqués comme les Black Blocks, dont ils sont l’avatar. Comme on le sait, la dénomination <em>Schwarzer Block</em> fut imaginée dans les années 1980 par la police de Berlin-Ouest pour désigner les Autonomes de Kreuzberg. Ce quartier jouxtant le «Mur» faisait encore partie du secteur d’occupation US jusqu’en 1990. Autrement dit, les Black Blocks sont nés dans un territoire sous contrôle militaire américain.</span></strong></span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999;">C’est important, car au même moment apparaissait aux États-Unis, plus exactement à Minneapolis (Minnesota) l’<em>Anti-Racist Action Network</em> (ARA). Ce groupe recrutait dans les mêmes éprouvettes punk et squat qu’au sein du laboratoire de Berlin Ouest. Entre scientifiques de l’agitprop, on collabore. Dissous en 2013 pour ressusciter sous le nom de <a style="color: #999999;" href="https://antipresse.us1.list-manage.com/track/click?u=2629b793135807a38735c3ef1&id=f05fa693f0&e=ed3ea9e4a4"><em>Torch Antifa Network</em></a>, le but de ce mouvement était, dès l’origine, de combattre le sexisme, l'homophobie, les idées anti-immigrationnistes, le nativisme, l'antisémitisme ou encore l'anti-avortement. Bref, quelques-uns des leviers de démantèlement d’une société traditionnelle bordée d’ignobles frontières, que l’on retrouve aussi bien dans les programmes officiels de la Commission de Bruxelles et de ses ONG-écrans que dans les feuilles de route de la galaxie Soros.</span></strong></span></p><p style="color: #202020; font-family: 'Open Sans', helvetica, sans-serif; font-size: 18px; text-align: left;"><span style="font-size: 12pt; color: #ff6600;"><strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Les étranges filières de l’argent «humanitaire»</span></strong></span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999;">Mais on a beau se faire appeler du doux nom d’Anti-Racist Action Network, cela ne suffit pas: il faut des sous. En cherchant un peu, on les trouve en Alabama, du côté du SPLC (<em>Southern Poverty Law Center</em>), <a style="color: #999999;" href="https://antipresse.us1.list-manage.com/track/click?u=2629b793135807a38735c3ef1&id=6c77da11ae&e=ed3ea9e4a4">une ONG qui se targue, sur son propre site web, d’être la matrice de l’ARA</a>. Autrement dit, la genèse des Antifas américains n’a évidemment rien de spontané. C’est à ce richissime SPLC qu’a incombé la tâche de créer cet ARA de laboratoire. Il est vrai qu’avec une dotation de financement de plus de 300 millions de dollars, le SPLC a de quoi voir venir, même si on retranche le salaire net de son président, <a style="color: #999999;" href="https://antipresse.us1.list-manage.com/track/click?u=2629b793135807a38735c3ef1&id=55dd4910b6&e=ed3ea9e4a4">qui émarge à plus de 300'000 dollars par an</a>. C’est beau le «non-profit» politique au pays de l’oncle Sam!</span></strong></span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999;">Mais si ces gens-là ont les moyens, ils ne jouent pas pour autant la transparence sur l’origine des fonds. Il est vrai qu’on n’aime jamais trop raconter <a style="color: #999999;" href="https://antipresse.us1.list-manage.com/track/click?u=2629b793135807a38735c3ef1&id=dbf436c6e0&e=ed3ea9e4a4">pourquoi ces fonds devraient transiter par les Iles Caïmans ni comment ils ont connu la tirelire d’un certain Bernard Madoff.</a></span></strong></span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999;">Mais pourquoi le SPLC? Très simple, en dehors de la défense de ses minorités préférées, la spécialité du SPLC est de ficher ses adversaires politiques, systématiquement qualifiés de «fascistes», qu’ils le soient ou non, puis de publier ses listes noires très élaborées et constamment mises à jour. <a style="color: #999999;" href="https://antipresse.us1.list-manage.com/track/click?u=2629b793135807a38735c3ef1&id=d242976fe8&e=ed3ea9e4a4">Un travail de pro qui est devenu une référence du genre</a>.</span></strong></span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-5727839" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://euro-synergies.hautetfort.com/media/00/00/459974150.jpg" alt="AF2t.jpg" /></p><p style="color: #202020; font-family: 'Open Sans', helvetica, sans-serif; font-size: 18px; text-align: left;"><span style="font-size: 12pt; color: #ff6600;"><strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Et les barbouzes qui s’en mêlent</span></strong></span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999;">Ce modèle d’activisme et de fichage très professionnel ne vient évidemment pas de nulle part. Il est notamment issu du modèle imaginé par le mouvement <a style="color: #999999;" href="https://antipresse.us1.list-manage.com/track/click?u=2629b793135807a38735c3ef1&id=b6115dafd4&e=ed3ea9e4a4"><em>Friends of Democracy</em></a> qui était en réalité une antenne américaine des services secrets britanniques durant la Seconde Guerre mondiale. Son but officiel était de pousser les Américains à entrer en guerre, tout en fichant les récalcitrants, ce qu’il a continué à faire jusqu’à la fin du conflit.</span></strong></span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999;">Son organe de communication avait pour titre <em>Propaganda Battlefront</em> dont on peut encore trouver des <a style="color: #999999;" href="https://antipresse.us1.list-manage.com/track/click?u=2629b793135807a38735c3ef1&id=2d4d3aec2d&e=ed3ea9e4a4">copies en ligne</a>.</span></strong></span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999;">On notera, juste en passant, que <a style="color: #999999;" href="https://antipresse.us1.list-manage.com/track/click?u=2629b793135807a38735c3ef1&id=b224f3f662&e=ed3ea9e4a4">ce nom a été ranimé</a> en 2012 par <a style="color: #999999;" href="https://antipresse.us1.list-manage.com/track/click?u=2629b793135807a38735c3ef1&id=41520ffe01&e=ed3ea9e4a4">Jonathan Soros</a>, fils de George Soros. Ce choix n’est évidemment pas un hasard.</span></strong></span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999;">Pour revenir à nos Britanniques, ces derniers furent également très actifs à domicile, puisque, toujours dans les années 1980, ils fondaient à Londres L'<em>Anti-Fascist Action</em> (AFA), recrutant là encore dans les mêmes milieux punk et squat. Le label «action antifasciste» avait quant à lui été inventé par les communistes européens des années trente. Une contrefaçon de marque politique non déposée qui présentait l’avantage de donner l’illusion d’une filiation légitime. (Il paraît que question détournement d’image, on sait très bien faire dans les services.)</span></strong></span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999;">A la veille de la chute du Mur, on voit donc bourgeonner aux États-Unis et partout en Europe les mêmes affiliations à un antifascisme «Canada Dry», qui a le goût et l’odeur de l’antifascisme communiste historique, mais pas une goutte de communisme dans sa composition chimique. Une façon de monopoliser l’usage de l’infamante étiquette «fasciste» contre tout adversaire d’un postcommunisme 100 % américanisé, tel qu’il apparaîtra dès 1989, avec la chute du Mur.</span></strong></span></p><p style="color: #202020; font-family: 'Open Sans', helvetica, sans-serif; font-size: 18px; text-align: left;"><span style="font-size: 12pt; color: #ff6600;"><strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Une galaxie hors la loi</span></strong></span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999;">Il existe donc une raison objective à la simultanéité de l’apparition des Antifas ces années-là. Mais comme c’est encore le cas aujourd’hui, on se garda bien de créer la moindre structure juridique qui permettrait de remonter jusqu’aux organisateurs et financeurs avérés. Il vaut toujours mieux, surtout lorsqu’on travaille avec le grand banditisme. Un nom fut en effet exposé au grand jour pour ses liens avec la mafia de Manchester. Il s’agissait de Desmond «Dessie» Noonan, grand Antifa devant l’éternel mais surtout braqueur professionnel et chef de gang, soupçonné d’une centaine de meurtres (1). Outre ses responsabilités directes dans l’AFA, il fut également l’un des exécuteurs attitrés des basses œuvres de l’IRA. <a style="color: #999999;" href="https://antipresse.us1.list-manage.com/track/click?u=2629b793135807a38735c3ef1&id=eb1acc3edd&e=ed3ea9e4a4">Il mourut finalement poignardé devant chez lui</a> à Chorlton (sud de Manchester), en 2005.</span></strong></span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-5727840" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://euro-synergies.hautetfort.com/media/01/01/3117715810.jpg" alt="AF3.jpg" /></p><p style="text-align: left;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999;">Son frère Dominic Noonan prit le relais. Outre ses activités mafieuses, on le filma en train de diriger les graves émeutes de Manchester de 2011, dont le déclencheur fut la mort de son neveu, Mark Duggan. Ce dernier, soupçonné d’être impliqué dans un trafic de cocaïne, s’était fait abattre par la police le 4 août 2011, ayant résisté à son arrestation dans le quartier de Tottenham. Il s’ensuivit <a style="color: #999999;" href="https://antipresse.us1.list-manage.com/track/click?u=2629b793135807a38735c3ef1&id=34b87af08a&e=ed3ea9e4a4">une semaine d’insurrection</a> qui s’étendit jusqu’à Liverpool, Birmingham, Leicester ou encore le Grand Londres, faisant 5 morts et près de 200 blessés parmi les seuls policiers.</span></strong></span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999;">La porosité des services de renseignement, de la mafia et des activistes d’extrême gauche n’est pas sans nous rappeler le rôle des Brigades rouges dans le réseau Gladio, piloté par l’OTAN. Il se trouve que justement les Autonomes Ouest-berlinois de la guerre froide finissante étaient eux-mêmes affiliés au mouvement italien <em>Autonomia Operaia</em> (« Autonomie ouvrière»), très proche des Brigades rouges. Le monde est si petit!</span></strong></span></p><p style="color: #202020; font-family: 'Open Sans', helvetica, sans-serif; font-size: 18px; text-align: left;"><span style="font-size: 12pt; color: #ff6600;"><strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Tout ce que la police n’ose pas faire</span></strong></span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999;">Mais le point commun le plus spécifique à tous ces Antifas du monde demeure le fichage. Derrière leurs épais écrans de fumée lacrymogène, leurs capuches noires et leurs casses de vitrines qui font toujours les gros titres, il leur incombe essentiellement de ficher en masse leurs adversaires politiques et d’en exposer publiquement les identités et les occupations, exclusivement sur la base de leurs opinions politiques ou religieuses. Une tâche qui est précisément interdite aux autorités, en démocratie.</span></strong></span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999;">Ces mouvements sont donc objectivement, à cet égard, des supplétifs des services de police et de renseignement. Ce qui explique notamment leur proximité, voire la facilité de leur noyautage, leur impunité ou encore l’extrême difficulté qu’on peut avoir à les identifier.</span></strong></span></p><p style="color: #202020; font-family: 'Open Sans', helvetica, sans-serif; font-size: 18px; text-align: left;"><span style="font-size: 12pt; color: #ff6600;"><strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Le cas Joachim Landwehr</span></strong></span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999;">C’est par exemple le cas de <a style="color: #999999;" href="https://antipresse.us1.list-manage.com/track/click?u=2629b793135807a38735c3ef1&id=126e7a65ae&e=ed3ea9e4a4">Joachim Landwehr (28 ans), citoyen helvétique, condamné à 7 ans de prison le 11 octobre dernier</a> par le tribunal correctionnel de Paris, pour avoir, le 18 mai 2016, bouté le feu à l’habitacle d’une voiture de police grâce à un engin pyrotechnique, avec ses deux occupants encore coincés à bord. Une peine plutôt légère pour une atteinte à la vie de policiers.</span></strong></span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999;">On sait que Landwehr est lié au groupe suisse «Action Autonome», dont les mots d’ordre passent notamment par le site <rage.noblogs.org/>, dont 90 % du contenu relève du fichage, avec un degré de précision qui dépasse très largement les capacités d’une équipe d’amateurs, même à temps plein. On se demande d’ailleurs ce qu’attend le Préposé cantonal à la protection de données pour se saisir du dossier.</span></strong></span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999;">On sait également qu’il était présent lors de la manif antifa de Lausanne de mai 2011, et que c’est sans doute lui aussi qui a mis en ligne <a style="color: #999999;" href="https://antipresse.us1.list-manage.com/track/click?u=2629b793135807a38735c3ef1&id=f106490934&e=ed3ea9e4a4">une petite vidéo de propagande à la gloire de sa promenade</a>.</span></strong></span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999;">On sait enfin qu’il fut <a style="color: #999999;" href="https://antipresse.us1.list-manage.com/track/click?u=2629b793135807a38735c3ef1&id=7098f6d610&e=ed3ea9e4a4">acquitté en août 2017 par le tribunal de police de Genève</a>, alors qu’il y avait participé à une manifestation interdite.</span></strong></span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-5727841" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://euro-synergies.hautetfort.com/media/00/01/200559986.jpg" alt="AF4.jpg" /></p><p style="color: #202020; font-family: 'Open Sans', helvetica, sans-serif; font-size: 18px; text-align: left;"><span style="font-size: 12pt; color: #ff6600;"><strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Des agitateurs venus de la «haute»</span></strong></span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999;">En revanche, on connaît mieux les profils de ces complices parisiens. Par exemple, Antonin Bernanos, condamné à 5 ans de prison dont 2 avec sursis, est l’arrière petit-fils du grand écrivain Georges Bernanos. On reste issu d’un milieu plutôt cultivé et protégé chez les Antifas. On imagine que l’œuvre de l’illustre aïeul avait encore sa place dans les discussions familiales. Yves, le père du délinquant et réalisateur sans succès de courts-métrages, le confirmait lors d’une interview pour KTO, l’organe cathodique de l’archevêché de Paris, <a style="color: #999999;" href="https://antipresse.us1.list-manage.com/track/click?u=2629b793135807a38735c3ef1&id=eab685feed&e=ed3ea9e4a4">lequel diffusa d’ailleurs l’un de ces courts-métrages</a>, par charité chrétienne sans doute. Mais on n’a pas trop de mal à comprendre que c’est sa femme, Geneviève, qui fait bouillir la marmite. Elle a la sécurité de l’emploi comme fonctionnaire. Elle est en effet directrice de l’aménagement et du développement à la mairie de Nanterre. Côté convictions, elle est <a style="color: #999999;" href="https://antipresse.us1.list-manage.com/track/click?u=2629b793135807a38735c3ef1&id=dd91898348&e=ed3ea9e4a4">fière de n’avoir pas raté une seule fête de l’Huma</a> depuis ses 15 ans.</span></strong></span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999;">Dès l’arrestation de leurs deux fils (Angel, le plus jeune, sera mis hors de cause), Monsieur et Madame Bernanos ont arpenté les radios, les salles de rédaction, les collectifs et manifs en
Kurganhttp://bouquinorium.hautetfort.com/about.htmlBob MALOUBIER : Plonge dans l’or noir, espion !tag:bouquinorium.hautetfort.com,2016-06-28:58184422016-06-28T18:25:00+02:002016-06-28T18:25:00+02:00 Bob MALOUBIER : "Plonge dans l’or noir, espion !" Laissé...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt;"><strong>Bob MALOUBIER : <br />"Plonge dans l’or noir, espion !"</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">Laissé pour mort ici, prisonnier là, la France libre et le maquis, les parachutages en Indochine dès 1945, ce n’est encore pour Bob Maloubier qu’un prologue. Fondateur du 11ème bataillon de choc et des nageurs de combat d’Aspretto, recruteur et instructeur d’espions, il devient l’exécuteur des hautes et nasses œuvres des services secrets, parfois avec l’aide de truands au grand cœur, tel Jo Attia. Chef de la sécurité au Gabon, mêlé à la guerre du Biafra, côté Nigérian, il plonge dans l’or noir à travers tout le Moyen-Orient en ébullition… </span><br /><span style="font-size: 10pt;">On ne résume pas <strong>Bob Maloubier</strong>, on le lit. Et comme l’humour, lui aussi, coule à flots, on ne s’ennuie pas. C’est James Bond sous les traits d’un major Thompson.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">Robert LAFONT, collection "Vécu", 1986.</span><br /><span style="font-size: 10pt;">413 pages – 15,5 x 24 cms – 600 grammes. </span><br /><span style="font-size: 10pt;">16 pages de reproductions photographiques (N&B, papier glacé) hors-texte.</span><br /><span style="font-size: 10pt;">Broché, reliure souple… très beau portrait de Bob Maloubier sur dernier plat.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">Etat = de minuscules micro-frottis en bord de premier plat ; une fine cassure de lecture ; et quelques petits chocs, doublés d’une légère marque de pliure, en haut à gauche (bordure extérieure) de quatrième… mais rien de vraiment grave pour autant, l’ensemble est toujours bien "carré et compact", les plats sont propres et brillants, et l’intérieur est parfait ! Un ouvrage assez rare (comme tous ceux de Bob Maloubier), qui ne demande qu’à faire le bonheur d’un passionné collectionneur.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;"><strong><font face="Verdana">>>> </font>22</strong> <strong>€uros. </strong><span style="color: #ff0000;">/ disponible. </span></span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-5401273" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bouquinorium.hautetfort.com/media/00/00/2332419318.jpg" alt="bob maloubier,espions,plongeurs,aventuriers,truands,barbouzes,services secrets,nageurs de combat,résistance,indochine,afrique,moyen-orient,11ème bataillon de choc,aventures" /><br /><span style="font-size: 8pt;">Ailleurs = 25 €uros sur naturabuy.fr / 29,80 €uros sur le-livre.com</span><br /><span style="font-size: 8pt;">De 11,36 (couv légèrement déchirée) à 24,88 €uros (et plus) sur Amazon.fr.</span><br /><span style="font-size: 8pt;">Trois exemplaire, de 18,09 à 35,80 €uros (en passant par 28,90) sur abebooks.fr</span><br /><span style="font-size: 8pt;">De 18,60 à 49,99 €uros sur Priceminister / 40,20 €uros sur chapitre.com</span><br /><span style="font-family: Verdana; font-size: 8pt;">Prix honnête, moyen et conseillé : entre 25 et 30 €uros !</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-5401280" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bouquinorium.hautetfort.com/media/02/00/3433405990.jpg" alt="bob maloubier,espions,plongeurs,aventuriers,truands,barbouzes,services secrets,nageurs de combat,résistance,indochine,afrique,moyen-orient,11ème bataillon de choc,aventures" /><img id="media-5401285" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bouquinorium.hautetfort.com/media/01/01/2868120516.jpg" alt="bob maloubier,espions,plongeurs,aventuriers,truands,barbouzes,services secrets,nageurs de combat,résistance,indochine,afrique,moyen-orient,11ème bataillon de choc,aventures" /><img id="media-5401287" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bouquinorium.hautetfort.com/media/02/01/416602068.jpg" alt="bob maloubier,espions,plongeurs,aventuriers,truands,barbouzes,services secrets,nageurs de combat,résistance,indochine,afrique,moyen-orient,11ème bataillon de choc,aventures" /><img id="media-5401298" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bouquinorium.hautetfort.com/media/00/00/632618596.jpg" alt="bob maloubier,espions,plongeurs,aventuriers,truands,barbouzes,services secrets,nageurs de combat,résistance,indochine,afrique,moyen-orient,11ème bataillon de choc,aventures" /><img id="media-5401302" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bouquinorium.hautetfort.com/media/00/00/1645511860.jpg" alt="bob maloubier,espions,plongeurs,aventuriers,truands,barbouzes,services secrets,nageurs de combat,résistance,indochine,afrique,moyen-orient,11ème bataillon de choc,aventures" /></p>
Notehttp://unebibliothequeau13.hautetfort.com/about.htmlJournal d'une mère de famille pied-noirtag:unebibliothequeau13.hautetfort.com,2012-02-19:45995412012-02-19T20:58:00+01:002012-02-19T20:58:00+01:00 Titre : Journal d'une mère de famille pied-noir...
<p><img id="media-3439659" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://unebibliothequeau13.hautetfort.com/media/01/02/2568717067.jpg" alt="guerre d'algérie,fln,massacres,barbouzes,1962" /> </p><p style="font-weight: normal;"><strong>Titre : Journal d'une mère de famille pied-noir<br /></strong></p><p style="font-weight: normal;"><strong>Auteur : Francine Dessaigne<br /></strong></p><p style="font-weight: normal;"><strong>Illustrateur :</strong></p><p style="font-weight: normal;"><strong>Traducteur </strong></p><p style="font-weight: normal;"><strong>Editeur : L'Esprit nouveau<br /></strong></p><p style="font-weight: normal;"><strong>Genre : Témoignage<br /></strong></p><p style="font-weight: normal;"><strong>Eléments de signalement : Avant-propos de Louis Rougier<br /></strong></p><p style="font-weight: normal;"><strong>Date de parution : 1962<br /></strong></p><p style="font-weight: normal;"><strong>Date de cette édition :1962<br /></strong></p><p style="font-weight: normal;"><strong>Pays de l'auteur : France</strong></p><p style="font-weight: normal;"><strong>Nombre de pages : 242</strong></p><p style="font-weight: normal;"><strong>Format : 14 X 20<br /></strong></p><p style="font-weight: normal;"><strong>Censure :</strong></p><p style="font-weight: normal;"><strong>Dédicace :</strong></p><p style="font-weight: normal;"><strong>Arrivée dans la bibliothèque : Années 80<br /></strong></p><p> </p><p style="font-weight: normal;"><strong>Première phrase : </strong></p><p style="font-weight: normal;"><strong>Première phrase de la page 30 : </strong></p><p style="font-weight: normal;"><strong>Dernière phrase : </strong></p><p style="font-weight: normal;"><strong>COMMENTAIRE</strong></p><p style="font-weight: normal;"><span style="font-size: medium;">Meurtres et assassinats se succèdent. Le F.L.N. ne fait pas de quartier, ni aux français, ni aux algériens qui ne sont pas "des leurs". Ce qui est le plus stupéfiant pour moi dans ce livres, c'est la confiance aveugle des français d'Algérie, les pied-noirs, envers les dirigeants français et même algériens. <br /></span></p><p style="font-weight: normal;"><strong>Extrait<br /></strong></p><div><span style="font-size: medium;">"Lundi 12 mars 1962. - Un instituteur et un instructeur ont été tué par le F.L.N. devant leurs élèves, à la sortie des classes. Le personnel enseignant décide de faire grève dans les écoles primaires.</span></div><div><span style="font-size: medium;">Les journaux ne paraissent pas aujourd'hui. La grève a été décidée après l'assassinat de deux reporters.</span></div><div><span style="font-size: medium;">Les habitants de Bab-El-Oued ont découvert en sortant ce matin un cadavre qui se balançait au-dessus de leurs têtes. Un câble avait été tendu entre deux balcons du troisième étage de part et d'autre d'une rue. L'homme, entièrement nu, pendait au milieu. Il paraît que c'était un barbouze."</span></div><p> </p><p><iframe width="320" height="240" style="width: 120px; height: 240px;" src="http://rcm-fr.amazon.fr/e/cm?t=httpssitesg05-21&o=8&p=8&l=as1&asins=B003WS7EY2&ref=tf_til&fc1=000000&IS2=1&lt1=_blank&m=amazon&lc1=0000FF&bc1=000000&bg1=FFFFFF&f=ifr" scrolling="no" marginwidth="0" marginheight="0" frameborder="0"></iframe></p>
Zedhttp://metapoinfos.hautetfort.com/about.htmlUn terroriste très néo con...tag:metapoinfos.hautetfort.com,2011-08-15:37420362011-08-15T17:35:00+02:002011-08-15T17:35:00+02:00 Dans le numéro 72 de Flash, le journal gentil et intelligent,...
<p><span style="font-size: small;">Dans le numéro 72 de </span><em><span style="font-size: small;">Flash, </span></em><span style="font-size: small;">le journal gentil et intelligent, on s'intéresse au très étrange <strong>Anders Behring Breivik</strong>, puis on part crapahuter sur les cyber champs de bataille où la guerre fait rage. Pour nous remettre de nos émotions, <strong>Philippe Randa</strong> nous commente le hit parade de l'été - sexe, pognon et politique – avant de nous laisser partir faire la teuf avec <strong>Topoline</strong> à Saint Eustache, au concert de <strong>Pierre Henry</strong> ... Bonne lecture !</span></p><p> </p><p> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-3157964" style="margin: 0.7em 0pt;" title="" src="http://metapoinfos.hautetfort.com/media/00/02/4263970121.jpg" alt="Anders Behring Breivik, Christian Bouchet, Clovis Casadue,barbouzes, Iran, CIA, Mossad, Cyberattaques, Troisième guerre mondiale, Marie-Claude Roy , Maurras, Action Française, François Marcilhac, Arnaud Guyot-Jeannin, Sexe, pognon, politique, Philippe Randa, Ramezanali Vashegani Farahani, Pierre Henry, techno, Saint Eustache, Topoline" /></p><p> </p><p><span style="font-size: small;">Au sommaire : </span></p><p> </p><p><span style="font-size: small;"><strong>Anders Behring Breivik, un terroriste très néo con</strong> : Christian Bouchet balaie les fantasmes et Clovis Casadue débusque les barbouzes</span></p><p> </p><p><span style="font-size: small;"><strong>Purges des scientifiques en Iran</strong> : pas de vacances pour la CIA et le Mossad</span></p><p> </p><p><span style="font-size: small;"><strong>Cyberattaques</strong> : la Troisième guerre mondiale fait rage ; Marie-Claude Roy se planque</span></p><p> </p><p><span style="font-size: small;"><strong>Maurras (suite et fin)</strong> : qu'en dit-on à l'Action Française ? François Marcilhac se confesse dans ce numéro</span></p><p> </p><p><span style="font-size: small;"><strong>Le pouvoir économique a-t-il totalement mangé le pouvoir politique ?</strong> Eléments de réponse avec Arnaud Guyot-Jeannin</span></p><p> </p><p><span style="font-size: small;"><strong>Sexe, pognon et politique</strong> : le hit parade de l'été commenté par Philippe Randa</span></p><p> </p><p><span style="font-size: small;"><strong>Culture iranienne ?</strong> L'intellectuel iranien Ramezanali Vashegani Farahani malmène les idées reçues</span></p><p> </p><p><span style="font-size: small;"><strong>Pierre Henry</strong> : le père de la techno a fait trembler Saint Eustache ; Topoline y était</span></p>