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Notes sur le tag : antoine emaz

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Dernières notes

Antoine Emaz, ”Planche”, dans Rehauts, n° 31, avril 2013

                                      Planche   Il n'y a pas vraiment de morale de vivre, sauf vivre, et quelques principes que chacun invente, rabote, bricole au fil des années. La vie n'est ni...

Publié le 23/09/2013 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Antoine Emaz, De l'air

Rentrée (28.08.04)   la pluie grise moite orage devant et puis plus rien comme si ça s'effondrait dedans laissait comme du sol nu raviné battu   peu à glaner dans cette fatigue   état sans poids attente et la tête cherche une prise pour la main   du sable rapporté sous les doigts la mer maintenant son bruit loin de ressac et...

Publié le 04/09/2013 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Porté par ses limites...

La mémoire, c'est notre clé de lecture du réel. Dans un autre ordre d'idée, j'ai toujours admiré cette pensée de Jakobson , ce doit être dans les questions de poétique :  "la forme n'existe que répétée".  Il en va exactement de même pour les émotions : si on ne reconnaît pas, on est bouleversé, on reste muet, sans prise. ANTOINE EMAZ ; Entretiens. (Et plus encore ICI )...

Publié le 06/07/2013 dans Certains jours par Frasby | Lire la suite...

Antoine Emaz, Cambouis

   On écrit sans doute parce qu'on n'a rien d'autre pour tenir droit dans un monde de travers.      Je crois n'avoir jamais connu que des poètes fêlés. Qu'ils soient bons ou mauvais est une autre affaire, mais ce lien entre écriture et fêlure, oui. Et une fêlure d'être, profonde, pas l'égratignure sociale ou l'écorchure de vanité. Pas non plus des êtres...

Publié le 18/05/2013 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Antoine Emaz, Jours / Tage

21. 06. 07   Le monde tourne meule broie   sang tous ces jours   drapeaux ou pas   impasse   il n'y a pas de dernier mot   on écrase on force au silence   un peuple se tait   mais par les bords revient une lutte de rien orientée mort   et là plus personne ne peut...

Publié le 10/03/2013 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Antoine Emaz, Plaie, encres de Djamel Meskache : recension

  Avant la table des matières qui reproduit l'incipit des 28 séquences du livre, deux dates indiquent la durée de la rédaction, 2. 09. 07 - 23. 11 07. L'ensemble a été écrit dans un laps de temps assez bref, comme d'une seule coulée, ce qui assure une homogénéité forte autour du seul motif, une rupture. On n'en lira pas le récit ; Plaie ne reconstitue rien de l'événement...

Publié le 22/08/2012 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Antoine Emaz, Peau

               Seul, 6 (18. 11. 06)   Il n'y a pas de bout de la nuit seulement une maison vide et silencieuse de tous ses murs   on est dedans   pas en prison   mais dedans   et la nuit comme aveugle tourne en rond   les mots piochent piquent des étoiles on dira ça...

Publié le 05/08/2012 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

A travers temps

Si on tentait de se replier sans mots il n'y aurait peut-être plus rien ANTOINE EMAZ : in "Ras" éditions Tarabuste, 2001. Le ciel a refermé la cabane dans les pluies. Les choses n'ont pas eu lieu, nous n'avons rien écrit. Je reprends le fil d'un monde de légendes : rêve d'archéoptéryx caché dessous la pierre, de scarabées volants,  chute des engoulevents aux...

Publié le 22/05/2012 dans Certains jours par Frasby | Lire la suite...

Antoine Emaz, Sauf

                                 L'élan, l'impact   Au commencement, une poignée de terre ou une tête, serrée, trop. Fuir haut.   Gong bleu. N'importe où l'impact. Un long frémissement à peine, immense, léger.         Une tête contre le...

Publié le 01/01/2012 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Antoine Emaz, Peau

  Vert, I (31.09.05)   on marche dans le jardin il y a peu à dire seulement voir la lumière sur la haie de fusains un reste de pluie brille sur les feuilles de lierre   rien ne bouge sauf le corps tout entier une odeur d'eau la terre acide les feuilles les aiguilles de pin silence sauf les...

Publié le 13/12/2011 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

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