Last posts on anticor2024-03-29T12:34:28+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://www.hautetfort.com/https://www.hautetfort.com/explore/posts/tag/anticor/atom.xmlCreseveurhttp://creseveur.hautetfort.com/about.htmlL'association Anticor perd l'agrément qui lui permettait de se porter partie civiletag:creseveur.hautetfort.com,2023-11-16:64713502023-11-16T17:59:34+01:002023-11-16T17:59:34+01:00
<p style="text-align: center;"><img id="media-6490156" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://creseveur.hautetfort.com/media/01/01/1872089419.JPG" alt="Anticor perd son agrément.JPG" /></p>
lanverthttp://lanvert.hautetfort.com/about.htmlPourquoi l’agrément d’Anticor traîne-t-il ?tag:lanvert.hautetfort.com,2021-01-24:62930242021-01-24T18:10:00+01:002021-01-24T18:10:00+01:00 Anticor a demandé le renouvellement de l’agrément ministériel qui lui...
<div class="row justify-content-center"><div class="col-10"><p style="text-align: justify;">Anticor a demandé le renouvellement de l’agrément ministériel qui lui permet d’intervenir dans des procès majeurs impliquant des actes de corruption. Cet agrément est une condition sine qua non pour saisir un juge d’instruction. Le Premier Ministre a jusqu’au 2 février pour donner sa réponse.</p></div></div><div class="row justify-content-center"><div class="col-10 text-justify"><p style="text-align: justify;"><strong>Mini-moyens, maxi-influence : Anticor & les affaires d’État<br /></strong>Depuis sa création en 2002, 5000 adhérents ont rejoint Anticor. Cette petite association, qui n’accepte ni subvention publique, ni don des entreprises, défend sans relâche l’intérêt général. Elle le fait notamment grâce à cet agrément. Anticor l’a obtenu en 2015 et en 2018. Il a permis à l’association d’intervenir dans <a href="https://www.anticor.org/affaires/">de nombreux procès</a> : pour éviter que<strong> </strong>des scandales politiques soient enterrés mais aussi pour favoriser une culture de l’éthique.</p><p style="text-align: justify;"><strong>L’agrément, condition sine qua non de son action en justice<br /></strong>En France, le parquet décide seul de l’opportunité des poursuites : il peut donc classer une plainte sans suite. Or, dans les affaires politico-financières, l’action du parquet, hiérarchiquement soumis au Ministre de la justice, peut s’avérer difficile. Lorsque le parquet refuse de poursuivre, rien ne peut faire obstacle à sa décision, excepté une constitution de partie civile, qui nécessite un agrément ministériel prévu par la loi.</p><p style="text-align: justify;"><strong>Des procès qui agacent le pouvoir</strong><br />D’abord perçue comme un intrus dans des procès politico-financiers majeurs, l’association s’est au fil du temps imposée comme un acteur judiciaire de premier plan. Mais ses procès agacent le pouvoir :<br />• <a href="https://www.anticor.org/2019/09/12/affaire-des-mutuelles-de-bretagne-mise-en-examen-de-richard-ferrand/">L’affaire Richard Ferrand</a>, président de l’Assemblée nationale, mis en examen ;<br />• <a href="https://www.anticor.org/2020/06/25/affaire-kohler-anticor-depose-plainte-avec-constitution-de-partie-civile/">L’affaire Alexis Kohler</a>, secrétaire général de l’Élysée ;<br />• Mais aussi… <a href="https://www.anticor.org/2020/12/23/anticor-relance-le-dossier-alstom-en-se-constituant-partie-civile/">l’affaire Alstom</a>, <a href="https://www.anticor.org/2019/08/29/affaires-des-sondages-de-lelysee-six-proches-de-nicolas-sarkozy-sont-renvoyes-en-correctionnelle-suite-aux-plaintes-danticor/">l’affaire dite des « sondages de l’Élysée »</a>, <a href="https://www.anticor.org/2019/01/23/societe-du-grand-paris-le-parquet-national-financier-ouvre-une-enquete/">les 13 milliards de dérapage financier du Grand Paris</a>, le dossier <a href="https://www.anticor.org/2018/12/04/fraude-aux-subventions-europeennes-en-corse-anticor-depose-plainte/">des fraudes massives aux subventions agricoles en Corse</a> mais aussi de très nombreux dossiers moins médiatiques concernant de petits élus.</p></div></div><p style="text-align: justify;"><strong>Un agrément qui expire bientôt…</strong><br />Le délai de renouvellement de l’agrément expire dans quelques semaines… Après avoir égaré la demande d’agrément envoyée en recommandé par Anticor le 6 août dernier, les services du Ministère de la Justice procèdent depuis le 2 octobre à son instruction. En raison de<a href="https://www.anticor.org/2020/10/09/anticor-demande-a-la-cour-de-justice-de-la-republique-denqueter-sur-les-agissements-de-m-dupond-moretti-ministre-de-la-justice/"> la plainte déposée par Anticor contre Éric Dupond-Moretti pour prise illégale d’intérêts en octobre dernier</a>, c’est au Premier Ministre qu’il revient de prendre la décision avant le 3 février.</p><p style="text-align: justify;"><strong>… et de lourdes conséquences !</strong><br />• L’arrêt probable des instructions en cours, faute de personne habilitée à saisir un juge d’instruction (affaires Richard Ferrand, Alexis Kohler, et de nombreuses autres) ;<br />• L’impossibilité pour l’association de se constituer partie civile dans de nouvelles affaires, qui seront donc susceptibles d’échapper à la Justice, si le parquet n’agit pas.<br />Anticor demande simplement une application loyale des textes relatifs à l’agrément anticorruption. Il serait bien évidemment inimaginable que des entraves politiques viennent suppléer les critères réglementaires d’attribution de l’agrément, au risque de priver la lutte contre la corruption d’un acteur majeur, légitimant au passage une certaine culture de l’impunité et la défiance d’un certain nombre de nos concitoyens.</p><p style="text-align: justify;"><strong>Il appartient au Premier ministre de prendre la mesure de l’enjeu.</strong></p><blockquote><p style="text-align: justify;"><span class="aCOpRe">«</span> En matière de corruption, si nous sommes tous victimes dans les faits – le coût de la corruption a été chiffré à 120 milliards d’euros par an en France – personne ne peut se prétendre victime au sens procédural : le simple citoyen n’a pas d’intérêt à agir contre un élu corrompu. C’est là qu’interviennent les associations anti-corruption. En représentant l’intérêt général, elles permettent d’éviter que des scandales politiques soient enterrés. <span class="aCOpRe">»</span><br /><strong>Élise VAN BENEDEN</strong> – Présidente d’ANTICOR</p><p style="text-align: center;"><img style="margin: 0.7em 0;" src="https://statics.lesinrocks.com/content/thumbs/uploads/2010/10/width-1125-height-612-quality-10/manif_anticor_6042.jpg.webp" alt="manif_anticor_6042.jpg.webp" /></p></blockquote>
ylepapehttp://lactualitedessocialistes.hautetfort.com/about.htmlLe Media : Plongée dans la corruption en France PLONGÉE DANS LA CORRUPTION EN FRANCEtag:lactualitedessocialistes.hautetfort.com,2020-09-05:62613362020-09-05T14:33:00+02:002020-09-05T14:33:00+02:00 En plein cœur de l’été tandis que vous bronzez, d’autres blanchissent à...
<p><iframe width="560" height="315" src="https://www.youtube.com/embed/A-oaMneZ_0Y" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p><p><span class="style-scope yt-formatted-string" dir="auto">En plein cœur de l’été tandis que vous bronzez, d’autres blanchissent à la lecture de lourdes procédures judiciaires. C’est le cas d’Élise Van Beneden, jeune avocate de 34 ans, présidente depuis quelques mois d’Anticor, l’association de lutte contre la corruption, active dans une centaine de dossiers aujourd’hui à l’instruction ou sur le point d’être jugés.</span></p><p><span class="style-scope yt-formatted-string" dir="auto">Portée par plus de 4000 adhérents (à jour de leurs cotisations), l’association créée en 2002 par un juge d’instruction et une élue de la banlieue parisienne, a prospéré au point d’être devenue au fil des ans et des procédures, le palliatif indispensable à un Ministère public généralement défaillant et absent pour tout ce qui concerne la corruption politique : « Elle a été chiffrée par un rapport européen, avec la fraude fiscale, à environ 200 milliards d’euros en une année. C’est un manque à gagner énorme pour la collectivité » explique à Denis Robert la jeune avocate qui confesse travailler près de 4 à 5 heures par jour bénévolement pour sauver l’honneur de ses concitoyens. </span></p><p><span class="style-scope yt-formatted-string" dir="auto">En une heure de conversation libre et passionnante, la présidente d’Anticor revient sur l’histoire mouvementée de son association, son fonctionnement et apporte son éclairage sur les « affaires en cours » : Kohler, Balkany, détournement de l’argent du handicap, affaires marseillaises… L’association Anticor s’est souvent constituée partie civile pour déminer les blocages ou accélérer les procédures endormies. Cette bataille contre l’inertie, l’indifférence de certains magistrats, la mauvaise foi de nombre d’élus et d’avocats et le temps qui file sont le lot quotidien d’Anticor et sa présidente dévouée à ce qui est devenue – c’est un paradoxe- une véritable mission de service public. Sans Anticor, la corruption serait beaucoup plus galopante qu’elle ne l’est. Seul souci et il est de taille : l’habilitation nécessaire tous les trois ans du Ministère de la Justice. Justement, elle doit être délivrée début 2021 par le nouveau Garde des Sceaux qui, comme avocat, s’est souvent battu contre l’association comme dans le dossier Balkany où il fustigeait « la tyrannie de la transparence ». Une source d’inquiétude pour Élise qui prépare son dossier et ses armes. On voit mal, sauf énorme scandale, comment Éric Dupond Moretti pourrait lui refuser ce nouveau sésame des prétoires… Pour ceux qui voudraient en savoir plus avant ou après ce TPA : <a class="yt-simple-endpoint style-scope yt-formatted-string" dir="auto" spellcheck="false" href="https://www.youtube.com/redirect?v=A-oaMneZ_0Y&event=video_description&redir_token=QUFFLUhqbkkyMjdLellBaC13QktoNkZocjZPM3NpWS1hZ3xBQ3Jtc0tsd0FDN0F0bEJXUlZNNXlXenpEaTN0d1pFOFF2MVpOTURGWnYyNktrWG9na0ZHNm14VnZBbjlmY29vZS1RY3ZkcXl4X0hsLVRsQzRhSEQ0NUUzY1RJUUV0MnJHR2t3MzRxZWFUVjBuQWtvd2twYlo5VQ%3D%3D&q=https%3A%2F%2Fwww.anticor.org" target="_blank" rel="nofollow noopener">https://www.anticor.org</a> Et pour les conseils de lecture de l’invitée : </span></p>
Atelier des Idéeshttp://www.notreputeaux.com/about.htmlUne information fallacieuse désinforme les lecteurs.tag:www.notreputeaux.com,2018-10-07:60950672018-10-07T10:32:31+02:002018-10-07T10:32:31+02:00 7/10/2018. L’INFOX, contre le Maire de Puteaux, d’un journaliste...
<p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-size: 12.0pt; color: #002060;">7/10/2018. </span></strong></p><p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-size: 14.0pt; color: #002060;">L’INFOX, contre le Maire de Puteaux, d’un journaliste putéolien, conseiller municipal de l’opposition, membre du bureau de l’Association privée ANTICOR</span></strong><strong><span style="font-size: 12.0pt; color: #002060;"> !</span></strong></p><p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-size: 12.0pt; color: black;">L’INFOX, (information + intoxication) mot français pour « fake news », (paraît-il), est une information mensongère ou délibérément biaisée visant à désinformer le public et servant, par exemple, à défavoriser un parti politique, à entacher la réputation d’une personnalité ou d’une entreprise, ou à contrer une vérité scientifique établie.</span></strong></p><p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-size: 12.0pt; color: #002060;">Sur son site personnel Facebook, site public même si les visiteurs sont peut-être soumis à un tri, Christophe Grébert, le 25 septembre, à 16 : 05 a publié l’INFOX, information fallacieuse et biaisée suivante, dans le but principal d’entacher comme toujours la réputation du Maire de Puteaux:</span></strong></p><p style="text-align: justify;"><strong><em><span style="font-size: 12.0pt; color: #002060;">« Une habitante de Puteaux, âgée de 71 ans, expulsée à la demande du propriétaire de son logement. Elle est en attente d’une HLM depuis 14 ans ! Aucune solution trouvée par la municipalité. Le maire Joëlle Ceccaldi-Raynaud refuse même de lui accorder un RDV.</span></em></strong></p><p style="text-align: justify;"><strong><em><span style="font-size: 12.0pt; color: #002060;">La honte du jour à #Puteaux». (Copie du tweet conservée</span></em></strong><strong><span style="font-size: 12.0pt; color: #002060;">).</span></strong></p><p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-size: 12.0pt; color: #002060;">Preuve de l’INFOX.</span></strong></p><p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-size: 12.0pt; color: #002060;">Remarque : pour prouver il faut connaître le sujet et tenter de faire prévaloir la raison contre une émotivité mauvaise conseillère.</span></strong></p><p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-size: 12.0pt; color: #002060;">Ce tweet, compassionnel en surface, mais pour « affaiblir la réputation du maire », en profondeur, occulte les données indispensables.</span></strong></p><p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-size: 12.0pt; color: #002060;">Oui, cette habitante de 71 ans, que l’on désignera par le prénom d’emprunt « Louise » a demandé une HLM pendant 14 ans. Elle n’est pas la seule dans ce cas. Les gouvernements successifs sont responsables de l’insuffisance de logements sociaux, particulièrement en Île-de-France. Elle n’était pas prioritaire puisqu’elle était logée dans un «deux pièces » privé, décent, soigné, confortable, au loyer très raisonnable de 550 €/mois. </span></strong></p><p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-size: 12.0pt; color: #002060;">Oui, Louise a été informée par son propriétaire qu’elle devait quitter ce logement qu’il souhaitait légitimement récupérer en fin de bail. L’inquiétude de Louise n’a alors cessé de croître puisqu’elle n’a pu trouver aucun autre logement privé, semblable et financièrement accessible, à Puteaux.</span></strong></p><p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-size: 12.0pt; color: #002060;">Menacée sérieusement et légalement d’expulsion, puisqu’elle ne partait pas, Louise et moi avons, ensemble, assisté au jugement du tribunal de Nanterre afin d’obtenir un délai. Louise a obtenu satisfaction et le délai accordé s’est heureusement prolongé par la trêve hivernale jusqu’au 31/03/2018. </span></strong></p><p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-size: 12.0pt; color: #002060;">Louise, cependant, depuis la nouvelle de l’obligation de quitter son logement privé avait constitué un dossier « DALO » et la Commission de médiation, placée sous l’autorité du préfet et non pas du maire, l’a déclarée prioritaire et devant être relogée en urgence. Dans le 92 on sait que de nombreuses décisions de la commission DALO ne sont pas appliquées plaçant ainsi l’Etat hors-sa- loi. L’attente prévue pour les prioritaires est au maximum de six mois mais des familles de Puteaux et autres communes du 92 attendent depuis cinq ans !</span></strong></p><p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-size: 12.0pt; color: #c00000;">A partir de ce moment c’était donc le préfet du 92 qui avait l’obligation d’attribuer un logement social à Louise sur le contingent des logements réservés dans les</span></strong> <strong><span style="font-size: 12.0pt; color: #c00000;">communes et non pas le Maire de Puteaux.</span></strong></p><p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-size: 12.0pt; color: #002060;">Depuis 2017, Louise a rencontré et reçu l’appui de plusieurs personnalités qui ont accepté de soutenir sa cause, par exemple : M le Président des Anciens combattants, M Franchi conseiller municipal et fils du maire, une professionnelle de la Maison du droit de Puteaux. Elle a été reçue en entretien par Mme Madrid à l’OPH. Pour Louise, le ministre du Logement a été joint par courrier : il a répondu en précisant qu’il était intervenu auprès du préfet des Hauts-de- Seine. </span></strong><strong><span style="font-size: 12.0pt; color: #c00000;">Madame le Maire de Puteaux a reçu plusieurs courriers de Louise auxquels elle a répondu. Le 5/07/2018, par exemple, elle a écrit à Louise pour lui exprimer sa satisfaction de l’intervention du ministre Monsieur Jacques Mézard auprès du préfet afin qu’un logement lui soit attribué. Le Maire confirme aussi, de sa part, le meilleur suivi du dossier.</span></strong></p><p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-size: 12.0pt; color: #002060;">Mais surtout, l’information essentielle que néglige l’infox est que Louise, à partir de sa position de prioritaire DALO, a reçu trois propositions de logement social</span></strong><strong><span style="font-size: 12.0pt; color: #c00000;">. Nous avons visité ensemble le premier logement, à Garches, dans un immeuble soigné. Le studio parfaitement « décent » comme l’impose la loi, spacieux, était desservi par un ascenseur. Un arrêt de bus était très proche de l’immeuble. Louise a refusé le logement. Elle ne voulait pas habiter loin de Puteaux, sa ville depuis près de trente ans. Soit. Dans son dossier DALO, Louise avait cependant demandé plusieurs communes.</span></strong></p><p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-size: 12.0pt; color: #c00000;">Un second logement social a été proposé à Louise. Cette fois à PUTEAUX ! Proposition parfaitement conforme à sa situation de femme seule et à la législation des HLM. C’était un autre studio. J’ai imaginé le bonheur de Louise ! Malheureusement, contre toute attente, Louise m’a exposé les raisons qui motivaient son refus. Elle voulait un « deux pièces », ce qu’elle avait inscrit d’ailleurs dans son dossier. J’ai argumenté contre cette décision déraisonnable fondée sur des exigences discutables. Par exemple Louise voulait deux pièces parce qu’elle ne supportait pas de mettre son lit et une table dans une même pièce !!! Elle souhaitait aussi pouvoir recevoir sa fille qui revenait périodiquement de l’étranger où elle résidait. Très tard, trop tard, Louise a changé d’avis, début juillet, et a fait prévenir le bailleur de son acceptation du logement par une employée de l’OPH, par téléphone ! Le studio avait été attribué à un autre prioritaire DALO, plus déterminé et plus rapide.</span></strong></p><p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-size: 12.0pt; color: #c00000;">Alors, et c’est rare, en urgence en effet, un troisième logement social a été attribué à Louise, dans une autre commune du 92. Elle a refusé cette nouvelle attribution. Cette commune cependant n’appartenait pas aux vœux de son dossier. </span></strong></p><p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-size: 12.0pt; color: #002060;">L’expulsion n’a eu lieu « que » le 24/09/2018 et donc avec un rare délai supplémentaire de six mois, d’origine indéterminée. Interrompue ce 24/09, l’expulsion a été repoussée au 28/09/2018, en raison de l’état de santé préoccupant de Louise qui a été hospitalisée par les pompiers ce même jour. Ce jour- là aussi, sa fille, prévenue par un ami contre l’avis de Louise, était présente auprès de sa mère, avec affection et efficacité. Les meubles de Louise ont été placés, en urgence, avant l’expulsion définitive du 28/09, dans un garde-meubles.</span></strong></p><p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-size: 12.0pt; color: #c00000;">Louise a-t-elle eu raison de préférer ses rêves au réalisme qu’imposait sa situation dangereuse et déprimante ? Je pense que non parce qu’elle était dans l’incertitude du futur proche.</span></strong></p><p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-size: 12.0pt;">Le 25/09/2018, pourtant, j’ai écrit une nouvelle demande au préfet et suis retournée à l’OPH de Puteaux pour Louise : un logement de deux-pièces était peut-être disponible ce jour-là ? Une employée de l’OPH m’a opposé sa technicité froide. Il n’y avait aucun logement disponible et puis, il aurait fallu attendre la réunion de la Commission d’attribution dont la date était inconnue. Le 27/09/2018, Louise, sortie de l’hôpital par sa fille, est venue aussi à l’OPH de Puteaux, elle a reçu une réponse semblable. </span></strong></p><p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-size: 12.0pt;">Louise est maintenant hébergée chez des amis. Elle est très soutenue, concrètement, par plusieurs personnes compétentes souhaitant la fin de son cauchemar dont une professionnelle de la Maison du droit. Le Maire de Puteaux, en particulier, vient d’être joint à nouveau, par courrier. Je viens de recommander à Louise, si elle le souhaite, de joindre le préfet afin de préciser, à partir de deux arguments légaux, qu’elle reste bien prioritaire DALO. Louise est retournée à l’OPH pour préciser sa situation : elle a été écoutée avec « humanité ».</span></strong></p><p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-size: 12.0pt; color: #002060;">Conseiller municipal d’opposition, formaté au harcèlement durable du Maire de Puteaux dont il veut la place, Christophe Grébert a utilisé un fait tragique dans son seul intérêt personnel, politique. Il consacre deux minutes à l’écriture, sur son fauteuil, d’une information fallacieuse qui sera son seul soutien à cette habitante en grande difficulté. Or, ce jour-là, comme tous les citoyens au courant de la situation dangereuse de Louise, l’auteur de l’infox était concerné par l’application du second paragraphe, ignoré, de l’article 223-6 du code pénal modifié par deux ordonnances. </span></strong></p><p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-size: 12.0pt; color: #002060;">Quant à la conclusion du texte « La honte du jour #Puteaux » elle n’appartient pas aux critiques saines, exactes, pertinentes, opérationnelles et non émotionnelles, seules adaptées aux buts concrets que l’on souhaite atteindre. Il nous faut relire « Le verbe contre la barbarie » du linguiste Alain Bentolila.</span></strong></p><p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-size: 12.0pt; color: #002060;">L’infox d’actualité ne se justifie pas par l’histoire vraie, tragique de Louise, mais s’explique par l’historique relationnel conflictuel et endémique entre Christophe Grébert et le maire de Puteaux depuis une quinzaine d’années.</span></strong></p><p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-size: 12.0pt; font-family: 'Calibri',sans-serif; color: #002060;">Annie Keszey. LaREM- Génération. Puteaux.</span></strong></p>
Atelier des Idéeshttp://www.atelier-idees.org/about.htmlLettre à Monsieur le Responsable d'ANTICOR.tag:www.atelier-idees.org,2018-06-22:60616092018-06-22T19:30:00+02:002018-06-22T19:30:00+02:00 Annie Keszey, LaREM-Génération Puteaux, à Monsieur Jean- Christophe ...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="color: #002060;">Annie Keszey, LaREM-Génération Puteaux, à Monsieur Jean- Christophe Picard, responsable d’ANTICOR.</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="color: #002060;">Copies à Monsieur Emmanuel Macron et à Monsieur Christophe Castaner.</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="color: #002060;">Monsieur,</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="color: #002060;">Dans votre dernière lettre aux adhérents vous regrettez une récente campagne de dénigrement contre votre association. Les citoyens ordinaires et civiques ne critiquent évidemment pas votre engagement contre la corruption à combattre énergiquement en effet. Pour avoir lu plusieurs avis sur votre association, de personnels de l’Institution judiciaire en particulier, je regrette aujourd’hui l’agrément et son renouvellement que vous avez reçus de ministres, gardes des Sceaux, qui vous donnent un pouvoir de dénonciation alors que vous êtes une association privée. Vous avez reçu le droit de vous substituer à l’Institution judiciaire ce qui est une anomalie de la République et de la Démocratie. Je vous joins ma première position écrite (publiée sur mes blogs) : je précise pourquoi j’estime anormal qu’ANTICOR soit délégataire du rôle de la puissance publique.</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="color: #002060;">Sur Internet, l’on apprend, si c’est exact, que vous êtes radical de gauche : c’est une difficulté pour juger équitablement indépendamment des idéologies et convictions contraires. Vos termes spécialisés s’écartent parfois, me semble-t- il, de la rigueur du vocabulaire juridique : vous écrivez que « vous portez plainte ». Cette expression n’est-elle pas réservée aux victimes et ne devriez-vous pas utiliser plus exactement : « dénoncer » *? Votre association a des membres et je préfèrerais n’en connaître aucun. Or, ces membres qui combattent la corruption ne devraient-ils pas respecter strictement la morale et l’éthique, connaître les lois, pour les appliquer, dont celles sur la présomption d’innocence et l’autorité de la chose jugée, éviter les injures envers autrui telle que, sur Twitter, « La majorité municipale : une bande de vieux croulants »..., s’interdire le harcèlement indécent, pendant des années, contre une personne dénoncée pour corruption en dehors de toute décision de justice ? Ces pratiques « radicalisent » les adversaires, légitimement, et sont contraires à tout climat de paix. Ces pratiques ne risquent-elles pas de discréditer votre association que l’on souhaiterait « parfaite » ?</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="color: #002060;">Pourquoi ne militez-vous pas plutôt pour redonner à l’Etat français son indépendance ? L’association parallèle « Transparency International » reconnaît que les pays nordiques sont les moins corrompus du monde (Danemark, Finlande, Suède...). Pour quelles raisons ? Leur contexte constitutionnel est très fort, ils ont un médiateur public, un National Audit Office chargé de surveiller la gestion de l’argent public, des effectifs et des moyens suffisants quant à la Justice et à la Police, la culture appliquée de la transparence et, surtout, une Justice indépendante du Pouvoir politique.</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="color: #002060;">Tracfin, l'Agence française anti-corruption et autres peuvent aussi progresser.</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="color: #002060;">Alors, bon courage et merci. Bien sûr, pour cette nouvelle action/réforme indispensable j’accepterais de faire un don à ANTICOR.</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="color: #002060;">*Maître Eolas.</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="color: #002060;">Annie Keszey. LaREM-Génération Puteaux.</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="color: #002060;">Domaines : notreputeaux.com/rupture-et-metamorphose.org/ atelier-ides.org. </span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="color: #002060;"> </span></strong></span></p>
Atelier des Idéeshttp://www.atelier-idees.org/about.htmlEst-il normal qu'ANTICOR, association privée, soit délégataire du rôle de la puissance publique?tag:www.atelier-idees.org,2018-06-22:60616082018-06-22T19:23:28+02:002018-06-22T19:23:28+02:00 NON ! Bien sûr, le moment serait mal choisi par Emmanuel...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt;"><strong><span style="color: #002060;">NON !</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt;"><strong><em><span style="color: #002060;">Bien sûr, le moment serait mal choisi par Emmanuel Macron pour réviser maintenant l’étrange statut, privilégié et inadapté d’ANTICOR : l’association vient de dénoncer Alexis Kohler, Secrétaire général de l’Elysée, pour prise illégale d’intérêt et trafic d’influence. La source d’information d’ANTICOR aurait été Mediapart. Le moment propice viendra. La Démocratie française doit toujours gagner en rigueur</span></em><span style="color: #002060;">.</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt;"><strong><span style="color: #002060;">Le responsable actuel de l’association est Jean-Christophe Picard. </span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt;"><strong><span style="color: #002060;">L’association, créée en 2002, tire sa puissance d’un agrément qui lui aurait été donné en mars 2015 par la garde des Sceaux de l’époque, Christiane Taubira, qui fut membre du comité de parrainage de l’association, agrément renouvelé en 2018 par l’actuelle garde des Sceaux. Toute insinuation d’une prise illégale d’intérêt ou d’un trafic d’influence fut évacuée...Cet agrément permet à ANTICOR de se porter partie civile pour un certain nombre d’infractions et sous certaines conditions de contourner le Parquet. </span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt;"><strong><span style="color: #002060;">« Est-il normal qu’une association qui défend des idées et a des positions idéologiques soit délégataire du rôle de la puissance publique et puisse se comporter comme un procureur ? Quelle légitimité a cette suppléance privée », s’insurge le pénaliste Jean-Yves Leborgne. « On peut comprendre qu’une veuve soit partie civile mais des intérêts privés peuvent-ils représenter l’intérêt général ? »</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt;"><strong><span style="color: #002060;">Maître Daniel Soulez Larivière renchérit : «Il y a deux parquets en France, celui de la République et celui privé, c’est-à-dire des parties civiles. Le Parquet National Financier n’était pas obligé d’ouvrir si vite. Cela ne se voit nulle part ailleurs. » « ANTICOR, parquet bis, ne dépend en rien de l’Autorité publique et s’érige en autorité semi-judiciaire ».</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt;"><strong><span style="color: #002060;">L’avocat pénaliste Gilles-William Golnadel s’interroge : « Est-il acceptable qu’ANTICOR joue les Savonarole alors qu’elle tire son agrément d’une ministre de la Justice qui était à l’époque un de leurs membres (<em>du comité de parrainage</em>) ». C’est la question qui interpelle clairement la légitimité d’ANTICOR.</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt;"><strong><em><span style="color: #c00000;">ANTICOR humilie en décernant périodiquement des casseroles. Ce sont des fautes. Sans appliquer la présomption d’innocence (en la trahissant même dans la pétition contre Mme Fillon sur change.org), sans s’impliquer jamais dans la défense, de droit, des mis en cause, ANTICOR ne peut prétendre rendre la Justice en récompensant ou en humiliant.</span></em></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt;"><strong><em><span style="color: #002060;">OUI, il faut combattre « l’inertie judiciaire » par des réformes, afin que l’indispensable lutte anti-corruption revienne en totalité à la Justice publique nationale.</span></em></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt;"><strong><em><span style="color: #002060;">ANTICOR, aux membres, pour certains, porteurs d’idéologies et sans la formation juridique de haut niveau obligatoirement requise, doit perdre son agrément et cesser de se substituer à la Justice étatique. </span></em></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt;"><strong><span style="color: #002060;">Extraits du texte de Paule Gonzalès, Le Figaro du 5/06/2018 et de la réponse d’ANTICOR.</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt;"><strong><em><span style="color: #002060;">Annie Keszey. LaREM- génération Puteaux.</span></em></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt;"><strong><em><span style="color: #002060;">Domaines : notreputeaux.com, rupture-et-metamorphose.org, atelier-idees.org</span></em></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt;"><strong><span style="color: #002060;"> </span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt;"><strong><span style="color: #002060;"> </span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt;"><strong><span style="color: #002060;"> </span></strong></span></p>
Atelier des Idéeshttp://www.rupture-et-metamorphose.org/about.htmlLettre à Monsieur le Responsable d'ANTICOR.tag:www.rupture-et-metamorphose.org,2018-06-22:60616042018-06-22T19:16:00+02:002018-06-22T19:16:00+02:00 Annie Keszey, LaREM-Génération Puteaux, à Monsieur Jean- Christophe ...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="color: #002060;">Annie Keszey, LaREM-Génération Puteaux, à Monsieur Jean- Christophe Picard, responsable d’ANTICOR.</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="color: #002060;">Copies à Monsieur Emmanuel Macron et à Monsieur Christophe Castaner.</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="color: #002060;">Monsieur,</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="color: #002060;">Dans votre dernière lettre aux adhérents vous regrettez une récente campagne de dénigrement contre votre association. Les citoyens ordinaires et civiques ne critiquent évidemment pas votre engagement contre la corruption à combattre énergiquement en effet. Pour avoir lu plusieurs avis sur votre association, de personnels de l’Institution judiciaire en particulier, je regrette aujourd’hui l’agrément et son renouvellement que vous avez reçus de ministres, gardes des Sceaux, qui vous donnent un pouvoir de dénonciation alors que vous êtes une association privée. Vous avez reçu le droit de vous substituer à l’Institution judiciaire ce qui est une anomalie de la République et de la Démocratie. Je vous joins ma première position écrite (publiée sur mes blogs) : je précise pourquoi j’estime anormal qu’ANTICOR soit délégataire du rôle de la puissance publique.</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="color: #002060;">Sur Internet, l’on apprend, si c’est exact, que vous êtes radical de gauche : c’est une difficulté pour juger équitablement indépendamment des idéologies et convictions contraires. Vos termes spécialisés s’écartent parfois, me semble -t-il, de la rigueur du vocabulaire juridique : vous écrivez que « vous portez plainte ». Cette expression n’est-elle pas réservée aux victimes et ne devriez-vous pas utiliser plus exactement : « dénoncer » *? Votre association a des membres et je préfèrerais n’en connaître aucun. Or, ces membres qui combattent la corruption ne devraient-ils pas respecter strictement la morale et l’éthique, connaître les lois, pour les appliquer, dont celles sur la présomption d’innocence et l’autorité de la chose jugée, éviter les injures envers autrui telle que, sur Twitter, « La majorité municipale : une bande de vieux croulants »..., s’interdire le harcèlement indécent, pendant des années, contre une personne dénoncée pour corruption en dehors de toute décision de justice ? Ces pratiques « radicalisent » les adversaires, légitimement, et sont contraires à tout climat de paix. Ces pratiques ne risquent-elles pas de discréditer votre association que l’on souhaiterait « parfaite » ?</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="color: #002060;">Pourquoi ne militez-vous pas plutôt pour redonner à l’Etat français son indépendance ? L’association parallèle « Transparency International » reconnaît que les pays nordiques sont les moins corrompus du monde (Danemark, Finlande, Suède...). Pour quelles raisons ? Leur contexte constitutionnel est très fort, ils ont un médiateur public, un National Audit Office chargé de surveiller la gestion de l’argent public, des effectifs et des moyens suffisants quant à la Justice et à la Police, la culture appliquée de la transparence et, surtout, une Justice indépendante du Pouvoir politique.</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="color: #002060;">Tracfin, l'Agence française anti-corruption et autres peuvent aussi progresser.</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="color: #002060;">Alors, bon courage et merci. Bien sûr, pour cette nouvelle action/réforme indispensable j’accepterais de faire un don à ANTICOR.</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="color: #002060;">*Maître Eolas.</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="color: #002060;">Annie Keszey. LaREM-Génération Puteaux.</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="color: #002060;">Domaines : notreputeaux.com/rupture-et-metamorphose.org/ atelier-ides.org. </span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="color: #002060;"> </span></strong></span></p>
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<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="color: #002060;">Annie Keszey, LaREM-Génération Puteaux, à Monsieur Jean- Christophe Picard, responsable d’ANTICOR.</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="color: #002060;">Copies à Monsieur Emmanuel Macron et à Monsieur Christophe Castaner.</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="color: #002060;">Monsieur,</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="color: #002060;">Dans votre dernière lettre aux adhérents vous regrettez une récente campagne de dénigrement contre votre association. Les citoyens ordinaires et civiques ne critiquent évidemment pas votre engagement contre la corruption à combattre énergiquement en effet. Pour avoir lu plusieurs avis sur votre association, de personnels de l’Institution judiciaire en particulier, je regrette aujourd’hui l’agrément et son renouvellement que vous avez reçus de ministres, gardes des Sceaux, qui vous donnent un pouvoir de dénonciation alors que vous êtes une association privée. Vous avez reçu le droit de vous substituer à l’Institution judiciaire ce qui est une anomalie de la République et de la Démocratie. Je vous joins ma première position écrite (publiée sur mes blogs) : je précise pourquoi j’estime anormal qu’ANTICOR soit délégataire du rôle de la puissance publique.</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="color: #002060;">Sur Internet, l’on apprend, si c’est exact, que vous êtes radical de gauche : c’est une difficulté pour juger équitablement indépendamment des idéologies et convictions contraires. Vos termes spécialisés s’écartent parfois, me semble-t- il, de la rigueur du vocabulaire juridique : vous écrivez que « vous portez plainte ». Cette expression n’est-elle pas réservée aux victimes et ne devriez-vous pas utiliser plus exactement : « dénoncer » *? Votre association a des membres et je préfèrerais n’en connaître aucun. Or, ces membres qui combattent la corruption ne devraient-ils pas respecter strictement la morale et l’éthique, connaître les lois, pour les appliquer, dont celles sur la présomption d’innocence et l’autorité de la chose jugée, éviter les injures envers autrui telle que, sur Twitter, « La majorité municipale : une bande de vieux croulants »..., s’interdire le harcèlement indécent, pendant des années, contre une personne dénoncée pour corruption en dehors de toute décision de justice ? Ces pratiques « radicalisent » les adversaires, légitimement, et sont contraires à tout climat de paix. Ces pratiques ne risquent-elles pas de discréditer votre association que l’on souhaiterait « parfaite » ?</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="color: #002060;">Pourquoi ne militez-vous pas plutôt pour redonner à l’Etat français son indépendance ? L’association parallèle « Transparency International » reconnaît que les pays nordiques sont les moins corrompus du monde (Danemark, Finlande, Suède...). Pour quelles raisons ? Leur contexte constitutionnel est très fort, ils ont un médiateur public, un National Audit Office chargé de surveiller la gestion de l’argent public, des effectifs et des moyens suffisants quant à la Justice et à la Police, la culture appliquée de la transparence et, surtout, une Justice indépendante du Pouvoir politique.</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="color: #002060;">Tracfin, l'Agence française anti-corruption et autres peuvent aussi progresser.</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="color: #002060;">Alors, bon courage et merci. Bien sûr, pour cette nouvelle action/réforme indispensable j’accepterais de faire un don à ANTICOR.</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="color: #002060;">*Maître Eolas.</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="color: #002060;">Annie Keszey. LaREM-Génération Puteaux.</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="color: #002060;">Domaines : notreputeaux.com/rupture-et-metamorphose.org/ atelier-ides.org. </span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"><strong><span style="color: #002060;"> </span></strong></span></p>
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<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt;"><strong><span style="color: #002060;">NON !</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt;"><strong><em><span style="color: #002060;">Bien sûr, le moment serait mal choisi par Emmanuel Macron pour réviser maintenant l’étrange statut, privilégié et inadapté d’ANTICOR : l’association vient de dénoncer Alexis Kohler, Secrétaire général de l’Elysée, pour prise illégale d’intérêt et trafic d’influence. La source d’information d’ANTICOR aurait été Mediapart</span></em></strong><strong><em><span style="color: #002060;">!</span></em></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt;"><strong><em><span style="color: #002060;">Le moment propice viendra. La Démocratie française doit toujours gagner en rigueur</span></em><span style="color: #002060;">.</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt;"><strong><span style="color: #002060;">Le responsable actuel de l’association est Jean-Christophe Picard. </span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt;"><strong><span style="color: #002060;">L’association, créée en 2002, tire sa puissance d’un agrément qui lui aurait été donné en mars 2015 par la garde des Sceaux de l’époque, Christiane Taubira, renouvelé en 2018 par l'actuelle garde des Sceaux. Christiane Taubira fut membre du comité de parrainage de l’association. Toute insinuation d’une prise illégale d’intérêt ou d’un trafic d’influence fut évacuée...Cet agrément permet à ANTICOR de se porter partie civile pour un nombre fini d’infractions et sous certaines conditions de contourner le Parquet.</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt;"><strong><span style="color: #002060;">« Est-il normal qu’une association qui défend des idées et a des positions idéologiques soit délégataire du rôle de la puissance publique et puisse se comporter comme un procureur ? Quelle légitimité a cette suppléance privée », s’insurge le pénaliste Jean-Yves Leborgne. « On peut comprendre qu’une veuve soit partie civile mais des intérêts privés peuvent-ils représenter l’intérêt général ? »</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt;"><strong><span style="color: #002060;">Maître Daniel Soulez Larivière renchérit : «Il y a deux parquets en France, celui de la République et celui privé, c’est-à-dire des parties civiles. Le Parquet National Financier n’était pas obligé d’ouvrir si vite. Cela ne se voit nulle part ailleurs. » « ANTICOR, parquet bis, ne dépend en rien de l’Autorité publique et s’érige en autorité semi-judiciaire ».</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt;"><strong><span style="color: #002060;">L’avocat pénaliste Gilles-William Golnadel s’interroge : « Est-il acceptable qu’ANTICOR joue les Savonarole alors qu’elle tire son agrément d’une ministre de la Justice qui fut un de leurs membres (du comité de parrainage) ». C’est la question qui interpelle clairement la légitimité d’ANTICOR.</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt;"><strong><em><span style="color: #c00000;">ANTICOR humilie en décernant périodiquement des casseroles. Ce sont des fautes. Sans appliquer la présomption d’innocence (en la trahissant même dans la pétition contre Mme Fillon sur change.org), sans s’impliquer jamais dans la défense, de droit, des mis en cause, ANTICOR ne peut prétendre rendre la Justice en récompensant ou en humiliant.</span></em></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt;"><strong><em><span style="color: #002060;">OUI, il faut combattre « l’inertie judiciaire » par des réformes, afin que l’indispensable lutte anti-corruption revienne en totalité à la Justice publique nationale.</span></em></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt;"><strong><em><span style="color: #002060;">ANTICOR, aux membres, pour certains, porteurs d’idéologies et sans la formation juridique de haut niveau obligatoirement requise, doit perdre son agrément et cesser de se substituer à la Justice étatique. </span></em></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt;"><strong><span style="color: #002060;">Extraits du texte de Paule Gonzalès, Le Figaro du 5/06/2018 et de la réponse d'Anticor.</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt;"><strong><em><span style="color: #002060;">Annie Keszey. LaREM- génération Puteaux.</span></em></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt;"><strong><span style="color: #002060;"> </span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt;"><strong><span style="color: #002060;"> </span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt;"><strong><span style="color: #002060;"> </span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt;"> </span></p>
Atelier des Idéeshttp://www.notreputeaux.com/about.htmlEst-il normal qu'ANTICOR, association privée, soit délégataire du rôle de la puissance publique?tag:www.notreputeaux.com,2018-06-10:60584812018-06-10T18:26:00+02:002018-06-10T18:26:00+02:00 NON ! Bien sûr, le moment serait mal choisi par...
<p style="text-align: justify;"><span style="color: #000080; font-size: 14pt;"> </span><span style="color: #000080; font-size: 14pt;"><strong>NON !</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000080; font-size: 14pt;"><strong><em>Bien sûr, le moment serait mal choisi par Emmanuel Macron pour réviser maintenant l’étrange statut, privilégié et inadapté d’ANTICOR : l’association vient de dénoncer Alexis Kohler, Secrétaire général de l’Elysée, pour prise illégale d’intérêt et trafic d’influence. La source d’information d’ANTICOR aurait été Mediapart</em></strong><strong><em>!</em></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000080; font-size: 14pt;"><strong><em>Le moment propice viendra. La Démocratie française doit toujours gagner en rigueur</em>.</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000080; font-size: 14pt;"><strong>Le responsable actuel de l’association est Jean-Christophe Picard. </strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000080; font-size: 14pt;"><strong>L’association, créée en 2002, tire sa puissance d’un agrément qui lui aurait été donné en mars 2015 par la garde des Sceaux de l’époque, Christiane Taubira, renouvelé par l'actuelle garde des Sceaux en 2018. Christiane Taubira fut un membre du comité de parrainage de l’association. Toute insinuation d’une prise illégale d’intérêt ou d’un trafic d’influence fut évacuée...Cet agrément permet à ANTICOR de se porter partie civile pour un nombre fini d’infractions et sous certaines conditions de contourner le Parquet.</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000080; font-size: 14pt;"><strong>« Est-il normal qu’une association qui défend des idées et a des positions idéologiques soit délégataire du rôle de la puissance publique et puisse se comporter comme un procureur ? Quelle légitimité a cette suppléance privée », s’insurge le pénaliste Jean-Yves Leborgne. « On peut comprendre qu’une veuve soit partie civile mais des intérêts privés peuvent-ils représenter l’intérêt général ? »</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000080; font-size: 14pt;"><strong>Maître Daniel Soulez Larivière renchérit : «Il y a deux parquets en France, celui de la République et celui privé, c’est-à-dire des parties civiles. Le Parquet National Financier n’était pas obligé d’ouvrir si vite. Cela ne se voit nulle part ailleurs. » « ANTICOR, parquet bis, ne dépend en rien de l’Autorité publique et s’érige en autorité semi-judiciaire ».</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000080; font-size: 14pt;"><strong>L’avocat pénaliste Gilles-William Golnadel s’interroge : « Est-il acceptable qu’ANTICOR joue les Savonarole alors qu’elle tire son agrément d’une ministre de la Justice qui fut un de leurs membres (du comité de parrainage) ». C’est la question qui interpelle clairement la légitimité d’ANTICOR.</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt;"><strong><span style="color: #ff0000;"><em>ANTICOR humilie en décernant périodiquement des casseroles. Ce sont des fautes. Sans appliquer la présomption d’innocence (en la trahissant même dans la pétition contre Mme Fillon sur change.org), sans s’impliquer jamais dans la défense, de droit, des mis en cause, ANTICOR ne peut prétendre rendre la Justice en récompensant ou en humiliant.</em></span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000080; font-size: 14pt;"><strong><em>OUI, il faut combattre « l’inertie judiciaire » par des réformes, afin que l’indispensable lutte anti-corruption revienne en totalité à la Justice publique nationale.</em></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000080; font-size: 14pt;"><strong><em>ANTICOR, aux membres, pour certains, porteurs d’idéologies et sans la formation juridique de haut niveau obligatoirement requise, doit perdre son agrément et cesser de se substituer à la Justice étatique. </em></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000080; font-size: 14pt;"><strong>Extraits du texte de Paule Gonzalès, Le Figaro du 5/06/2018 et de la réponse d'ANTICOR.</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000080; font-size: 14pt;"><strong><em>Annie Keszey. LaREM- génération Puteaux.</em></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000080; font-size: 14pt;"><strong> </strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000080; font-size: 14pt;"><strong> </strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000080; font-size: 14pt;"><strong> </strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000080; font-size: 14pt;"> </span></p>
Creseveurhttp://creseveur.hautetfort.com/about.htmlMacron en plein tropisme poutinien de contrôle de la presse avec l'affaire Ferrandtag:creseveur.hautetfort.com,2017-06-01:59498312017-06-01T11:58:06+02:002017-06-01T11:58:06+02:00
<p style="text-align: center;"><img id="media-5636790" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://creseveur.hautetfort.com/media/01/01/178691023.JPG" alt="Macron invite la presse à ne pas parler des affaires.JPG" /></p>
ylepapehttp://lactualitedessocialistes.hautetfort.com/about.html« En termes d’efficacité répressive, la transaction pénale est un mirage » Par Eric Alt (Vice-président de l’associationtag:lactualitedessocialistes.hautetfort.com,2016-05-26:58058982016-05-26T18:00:00+02:002016-05-26T18:00:00+02:00 La transaction pénale a disparu du texte de la loi Sapin 2 à la suite de...
<div class="copy-paste-block"><p>La transaction pénale a disparu du texte de la loi Sapin 2 à la suite de l’avis du Conseil d’Etat. Celui-ci a considéré qu’en l’absence de contradiction et de débat public, l’intervention de la justice perd sa valeur d’exemplarité. La recherche de la vérité s’en trouve affectée.</p><p>En outre, la victime se trouve privée d’une participation personnelle au procès pénal et son intervention est cantonnée à une demande d’indemnisation devant une juridiction civile. Mais le Conseil d’Etat n’interdit pas de réécrire le texte. Faut-il pour autant le faire ?</p><p>Si la réponse était affirmative, la logique serait d’importer non pas cette seule mesure, mais aussi d’autres procédures, qui rendent le droit américain plus efficace dans la lutte contre la corruption.</p><p><a href="http://www.lemonde.fr/idees/article/2016/05/23/en-termes-d-efficacite-repressive-la-transaction-penale-est-un-mirage_4924962_3232.html#CERoHVgsDwB7dmKm.99"><strong>Lire la suite</strong></a><br />__________________<br />__________________</p><br /><br /></div>
Atelier des Idéeshttp://www.atelier-idees.org/about.htmlSOCIOLOGIE DU CLIENTELISME.tag:www.atelier-idees.org,2016-02-26:57654332016-02-26T09:34:58+01:002016-02-26T09:34:58+01:00 23/02/2016. Sociologie du clientélisme. Hélène Combes- Gabriel Vommaro....
<p><font>23/02/2016. <span style="font-family: 'Arial Black',sans-serif;">Sociologie du clientélisme. Hélène Combes- Gabriel Vommaro. Collection Repères. La découverte. 10 €.</span></font></p><p><span style="font-family: 'Arial Black',sans-serif;"><font>La recherche au-delà des antagonismes. Quelques extraits discontinus.</font></span></p><p><span style="font-family: 'Arial',sans-serif;"><font>Hélène Combes est chercheur au CNRS, rattachée au CERI*-Sciences Po. Gabriel Vommaro est chercheur au CONICET* (Argentine). [* Centres de recherches.]</font></span></p><p><span style="font-family: 'Arial',sans-serif;"><font>Dans cet ouvrage, les auteurs étudient l’ensemble des acteurs et des pratiques concentrés dans le reportage « Puteaux, la ville où il fait bon vivre », l’œil du 20 heures sur France 2, du 18 juin 2015 : une émission de cinq minutes et vingt-huit secondes. Un personnel politique local très préoccupé par un travail de proximité. Des ressources publiques qui circulent, des administrés issus plutôt des milieux populaires et demandeurs d’accès à des services publics, et un intermédiaire-une secrétaire de mairie-qui se fait le porte-parole de ces demandes. Des opposants appartenant aux classes moyennes supérieures, extérieurs à ou exclus de ce qu’ils dénoncent comme des pratiques jugées antidémocratiques et qui ont trouvé un allié de taille : un grand journal télé. Enfin le recours à un concept initialement forgé dans les sciences sociales et qui est passé dans le discours courant : le clientélisme.</font></span></p><p><span style="font-family: 'Arial',sans-serif;"><font>Le clientélisme, concept-valise, existe depuis l’Antiquité romaine même si le terme est apparu beaucoup plus tard. Des anthropologues ont proposé une nomenclature des systèmes clientélaires : féodal, patrimonial et industriel... La question est parfois de savoir, selon les lieux et les époques, si le clientélisme a été un vecteur de modernisation ou pas...</font></span></p><p><span style="font-family: 'Arial',sans-serif;"><font>Deux raisons expliquent le choix des auteurs de faire du clientélisme l’objet de cette publication. En premier lieu, un ouvrage de synthèse fait défaut en langue française. En second lieu le clientélisme reste un thème d’actualité dans le débat universitaire, les medias et le champ politique, et ce dans de nombreux pays...Dans ce contexte d’aspiration à une vie politique vertueuse et de démocratie de la « défiance » (Rosanvallon-2006), force est de constater que tout lien politique tend à faire naître le soupçon...L’usage du conditionnel au fil du texte du livre sert précisément à marquer la distance entre la description des faits et sa construction par les acteurs.</font></span></p><p><span style="font-family: 'Arial',sans-serif;"><font>Les auteurs démontrent que la mobilisation de « la boîte à outils actuelle » du clientélisme pour comprendre les relations politiques d’interconnaissance, localisées et personnalisées, occulte souvent les phénomènes à l’œuvre plutôt qu’elle ne les rend compréhensibles. <span style="color: #c00000;">Il faut adopter une autre méthodologie scientifique pour mieux comprendre la diversité des liens politiques dans leur complexité et leur diversité</span>...Il est impossible de s’en tenir aux résultats des enquêtes de terrain et d’exonérer de la critique les grilles d’analyse qui les ont informées, déformées parfois. Le dernier chapitre propose des pistes méthodologiques et théoriques pour renouveler le débat sur le clientélisme... Il s’agit aujourd’hui de dépasser une étiquette schématique et englobante pour comprendre la diversité des liens politiques dans leur complexité.</font></span></p><p><span style="font-family: 'Arial',sans-serif;"><font>Le travail politique se nourrit le plus souvent de rapports d’interconnaissance...</font></span></p><p><span style="font-family: 'Arial',sans-serif;"><font>La notion de clientélisme est ici interrogée de façon critique et comparatiste par les deux auteurs. L’évolution inachevée de la notion, le rapport clientélaire, apparaît déjà dans sa définition. En 1976, Jean-François Médard a proposé : « Le rapport de clientèle est un rapport de dépendance personnelle non liée à la parenté, qui repose sur un échange réciproque de faveurs entre deux personnes, le patron et le client, qui contrôlent des ressources inégales ». Cette définition a été nuancée et amendée au fil des décennies. <span style="color: #c00000;">En 2015, les deux auteurs, au début de leur voyage au long cours de 127 pages, définissent le clientélisme comme un rapport politique personnalisé entre des acteurs dotés de ressources inégales, où des échanges de biens - généralement publics - interviennent : <strong>un rapport régulé par des principes moraux mobilisés de manière contradictoire à la fois par les acteurs qui sont engagés dans cette relation et par ceux qui y restent extérieurs (intellectuels, experts, concurrents politiques),</strong> lesquels la dénoncent alors comme déviante ou pathologique.</span></font></span></p><p><span style="font-family: 'Arial',sans-serif;"><font>Pitt-Rivers montre que l’asymétrie des prestations matérielles « peut très bien se doubler d’une certaine symétrie des prestations immatérielles », c’est-à-dire de l’honneur ou du prestige que le patron et le client retirent de leur relation. En effet, pour l’anthropologue britannique « l’honneur est l’épine dorsale du patronage », « le patron comme le client voient leur prestige augmenter par la relation de patronage ; le client participe au prestige du patron et celui-ci augmente le sien en accordant de la protection à ceux qui reconnaissent son pouvoir...Les clients ne cherchent pas obligatoirement à être achetés, mais plutôt de l’assistance...</font></span></p><p><span style="font-family: 'Arial',sans-serif;"><font>Les rapports qualifiés de clientélisme sont des relations nouées d’échanges sur le temps long de la vie des individus et créateurs d’obligations de type moral...On n’échange pas seulement des biens matériels, mais aussi de sentiments et des valeurs : des reconnaissances symboliques, de la déférence, de la gratitude...</font></span></p><p><span style="font-family: 'Arial',sans-serif;"><font>L’ouvrage s’attache à étudier l’histoire savante du concept, depuis l’anthropologie du monde méditerranéen des années 1950- 1960 jusqu’aux études récentes du vote <em>buying</em> et différents cas nationaux où ce concept a été utilisé pour rendre compte de rapports politiques personnalisés où interviennent des échanges de biens : la France et l’Italie, l’Argentine et le Mexique. Les acteurs de la relation clientélaire sont analysés à partir d’exemples tirés des Etats-Unis, de l’Egypte, du Japon. Une analyse comparative s’intéresse à l’Europe et à l’Amérique latine. La diffusion de normes internationales de la démocratie nécessite aussi de s’intéresser à l’échelon national.</font></span></p><p><span style="font-family: 'Arial',sans-serif;"><font>Les principaux anthropologues, de Julian Pitt-Rivers en 1954 à Jean-François Médard en 1976, ne permettent pas de dégager un concept consensuel du clientélisme. Les Etats décentralisés où l’appareil administratif n’arrive pas à s’implanter de manière homogène sur l’ensemble du territoire et où les élites locales « placent » leurs partisans dans l’administration, favoriseraient ce type de rapport. Les Etats centralisés et favorisant l’accès méritocratique à l’appareil administratif seraient des remèdes à la primauté des rapports personnalisés et de clientèle...</font></span></p><p><span style="font-family: 'Arial',sans-serif;"><font>Le chapitre II décrit les acteurs du clientélisme : les machines politiques- le patron, un acteur classique mais aujourd’hui oublié - l’«intermédiaire», une figure clé - <span style="color: #c00000;">le client, un acteur longtemps peu écouté.</span></font></span></p><p><span style="font-family: 'Arial',sans-serif;"><font>En Amérique, la machine politique est une organisation conçue pour gagner des élections en mobilisant des clientèles dans le cadre de relations personnelles et de solidarités ethniques. La fidélisation des clientèles repose sur la distribution d’incitations matérielles, notamment des emplois publics, réels ou fictifs...Au Japon le clientélisme joue un rôle central dans le système politique et est au cœur de l’échec de l’opposition (Scheiner 2006). Son ouvrage s’intitule d’ailleurs <em>La Démocratie sans compétition au Japon...</em> </font></span></p><p><span style="font-family: 'Arial',sans-serif;"><font>Le «patron » est la figure tutélaire sise tout en haut de la pyramide du pouvoir clientélaire. Ainsi <em>le boss</em> américain apparaît au moment de l’instauration du suffrage universel alors que la démocratisation précède le développement de l’administration dans des villes en mutation, marquées par un fort afflux de population immigrée. Entre 1870 et 1900, les maires de New York, appuyés sur la machine politique, font passer le nombre d’emplois municipaux de 4 222 à 20 516 (de 2.86% de la population à 5.97%)...</font></span></p><p><span style="font-family: 'Arial',sans-serif;"><font>L’intermédiaire est généralement sociable, bien intégré dans la vie du quartier. Le destin des intermédiaires dépend de leur capacité « à s’assurer une carrière dans un parti et la maîtrise, à l’intérieur des collectivités locales, des leviers de la redistribution des biens publics (emplois, logements sociaux, différentes allocations et subventions). Il étudie les courriers des administrés, les reçoit et transmet les demandes...Nous sommes là au cœur du métier politique de l’élu comme en témoigne le travail de proximité qu’il accomplit...</font></span></p><p><font><span style="color: #c00000; font-family: 'Arial',sans-serif;">Le client : c’est sur son rôle que le concept de clientélisme évolue depuis quelques années. Auyero, en 1999, a remis le client au centre de l’analyse du clientélisme. Son travail « prend au sérieux les perceptions des acteurs des échanges clientélistes, et tient compte de l’interface entre la structure des réseaux d’échanges et les actions - individuelles et collectives - des acteurs engagés dans ces réseaux. Pour l’auteur, reconstruire la perspective du client implique de prendre en compte l’ensemble de ses actions, de ses évaluations et de ses croyances. </span><span style="font-family: 'Arial',sans-serif;">Les relations patrons/clients sont à géométrie variable...Les clients ne sont pas répartis sur un seul cercle, aux relations les plus intimes mais sur des cercles concentriques. Pour Auyero, les voisins hors cercles ou les acteurs du quartier qui n’y résident pas et/ou qui ne sont pas intéressés par les échanges clientélaires sont ceux qui recodent ces rapports comme des formes de pression ou de domination des « pauvres »...Notons d’ailleurs que les classes moyennes ne sont pas partie prenante des relations clientélaires. Or, ce sont généralement elles qui dénoncent comme clientélistes certaines pratiques, à l’instar...des opposants de Puteaux - exemple qui ouvre cet ouvrage...Dès lors, il s’agit de comprendre comment s’articulent l’ensemble des évaluations morales -internes et externes - du légitime et de l’illégitime en politique. L’appartenance sociale des acteurs partie prenante de la relation est souvent essentielle. Ceux qui sont vus depuis l’extérieur comme des acteurs « manipulés »apparaissent dans leurs propres visions de leurs rapports au politique - lorsqu’ils doivent par exemple expliquer les raisons de leur participation à des meetings - comme des personnes qui savent « collaborer » ainsi que « remercier » et « reconnaître » l’aide prêtée par le dirigeant du quartier qui les sollicite...<span style="color: #c00000;">Les</span> <span style="color: #c00000;">difficultés méthodologiques de l’analyse du clientélisme sont justement liées à cette tonalité morale des échanges et à une trop faible attention prêtée au contexte de construction de ses dimensions diverses et contradictoires...Les clients, peu étudiés jusqu’aux années 2000, font aujourd’hui l’objet de toutes les attentions. Certains travaux portant sur ces derniers permettent de complexifier la perception de la relation de clientèle et de dépasser une vision misérabiliste de la politique en milieux populaires... </span></span></font></p><p><span style="font-family: 'Arial',sans-serif;"><font>Contrairement à l’Italie par exemple, le cas français n’a pas produit de débats historiographiques nourris. Le patronage aristocratique de l’Ancien régime a été remplacé par un répertoire d’action « national et autonome »...Le discours républicain, qui charrie la figure de l’électeur rationnel, se révèle peu propice au développement de travaux sur le maintien de solidarités locales influant sur les comportements civiques...Des accusations de clientélisme animent de manière sporadique mais régulière la vie politique française : la Corse, les élections législatives de 1977 dans la ceinture rouge parisienne, le RPR des champs (Corrèze) et celui des villes (Clichy), plus récemment les primaires du PS à Marseille ou les élections municipales à Sarcelles. Cependant, ces accusations restent locales et ne se structurent pas nationalement...Dans le cas français, si le clientélisme ne fait qu’occasionnellement débat, c’est qu’il a rarement été brandi par des hommes politiques à l’encontre de leurs adversaires. Ce travail de délégitimation des adversaires propres à la bataille politique a porté à différentes périodes, sur d’autres aspects de la vie politique : les scandales politico-financiers des années 1930, les financements illégaux des partis dans les années 1990 ou la corruption. De plus, la judiciarisation des activités publiques dans les années 1990 s’est accompagnée d’une batterie propre de qualifications : abus de biens publics, abus de confiance, trafic d’influence, etc. Si ces délits concernent avant tout les faits de corruption, leur condamnation a aussi une incidence sur le régime des faveurs (voir les emplois fictifs de la mairie de Paris ou l’affaire Elf)...<span style="color: #c00000;">Dans le cas français, le faible intérêt des universitaires pour la notion s’est donc doublé d’une distinction entre catégories de la lutte politique et catégories de l’incrimination judiciaire...La justice n’a pas recours à la notion de clientélisme...</span> </font></span></p><p><span style="font-family: 'Arial',sans-serif;"><font>Le renouvellement de l’intérêt politique et public pour le concept de clientélisme est désormais lié à la constitution d’un espace international de la gouvernance et à la circulation des normes en son sein. Pour les entreprises d’exportation de la démocratie libérale occidentale (Transparency International...), d’une part, et celles de promotion des programmes de lutte contre la pauvreté (le FMI, la banque mondiale...), d’autre part, la question du clientélisme est centrale. La mise en place de programmes sociaux « compensatoires » des politiques d’ajustement est dès lors associée non seulement à la réduction de la pauvreté, mais aussi à la viabilité politique des réformes économiques...L’enjeu est de «cibler pour mieux administrer ». Sous l’influence de la théorie des « capacités » de l’économiste de Harvard Amartya Sen, pour réduire la pauvreté, il faut désormais renforcer les capacités des pauvres devenus entre-temps « des protagonistes de la lutte » selon la banque mondiale, ce qui signifie entre autres promouvoir la participation de la société civile à la mise en œuvre des programmes sociaux. <em>L’empowerment-</em>c’est-à-dire l’accroissement des capacités autonomes-serait incompatible avec le clientélisme. Le label « qualité de la démocratie » et la lutte pour la transparence ont pour cible toutes les pratiques corrompues depuis les années 2000 .Cette entrée sur le marché intellectuel « d’entrepreneurs moraux » s’est accomplie au moyen de deux opérations : le recours aux statistiques (touchant aussi les achats de votes) et la construction d’une définition des rapports de clientèle permettant d’identifier un moment d’échange social proprement pathologique. C’est Larry Diamond et Leonardo Morlino qui ont identifié les huit dimensions conceptuelles de la « qualité de la démocratie » : la liberté, l’empire du droit, l’accountability verticale (responsabilité, obligation de rendre des comptes), la réceptivité, l’équité, la participation, la concurrence politique et l’accountability horizontale. De nouvelles organisations de contrôles apparaissent...</font></span></p><p><font><span style="color: #002060; font-family: 'Arial',sans-serif;"> « Anticor » association contre la corruption financière et pour l’éthique en politique surveille, dénonce : c’est acceptable, sauf en cas d’erreur. Anticor condamne, mais de quel droit ? Philippe Sanmarco, auteur d’une intervention très sérieuse lors d’un séminaire à l’Université d’Aix Marseille a dénoncé le clientélisme politique dans cette région, en 2003. Il a inspiré Anticor. Or, depuis treize ans, les chercheurs progressent. Anticor doit actualiser ses sources afin d’interroger le lien social de manière moins instrumentaliste, plus « savante », moins exposée à un éventuel arbitraire</span><span style="font-family: 'Arial',sans-serif;">. Annie Keszey.</span></font></p>
Atelier des Idéeshttp://www.rupture-et-metamorphose.org/about.htmlCasserole décernée au maire de Puteaux par Anticor.tag:www.rupture-et-metamorphose.org,2016-02-01:57536442016-02-01T18:22:00+01:002016-02-01T18:22:00+01:00 A Monsieur le président d’Anticor. Objet : la casserole...
<p><font>A Monsieur le président d’Anticor.</font></p><p><font><font>Objet : la casserole décernée à Madame Ceccaldi-Raynaud, maire de Puteaux. </font></font></p><p><font>Monsieur,</font></p><p><font>Sur le site Internet d’Anticor, vous publiez, en particulier, les raisons qui vous ont fait attribuer une casserole à Madame Ceccaldi-Raynaud, maire de Puteaux.</font></p><p><font>Je vous avais déjà exprimé des réserves sur vos pratiques en janvier 2014 à propos d’autres faits.</font></p><p><font>Votre positionnement « anti-corruption » est défini avec rigueur. Il est politiquement utile et correspond à la définition des dictionnaires et de la Justice. Donc, soyez remercié.</font></p><p><font>Vous militez aussi pour « l’éthique en politique », pour la morale donc, et je vous l’avais déjà écrit en 2014, vos positions sont idéologiques, confuses, très imparfaites et peuvent nuire inutilement aux personnes que vous « canardez ». Les preuves que vous donnez sur votre site pour justifier « la casserole » révèlent, par leur style, votre « copinage » avec l’opposant putéolien du MoDem, dont vous reproduisez d’ailleurs un tweet, à droite de votre écran. C’est un tweet d’opinion, légal, issu des critiques permanentes à la kalachnikov verbale de l’opposant chronique du maire de Puteaux, qui n’a cependant pas sa place sur le site Anticor tenu impérativement, me semble-t-il, à l’objectivité, à la froideur des faits. </font></p><p><font>L'opposant local du MoDem a été menteur et tricheur, je vous en ai adressé les preuves en 2014. Que font ses « opinions » sur votre site « éthique » ? </font></p><p><font>Revenons à la casserole.</font></p><p><font>Vous ressassez l’histoire de retraits du Canard Enchaîné de 2011. Le premier procès et deux procès suivants en appel ont abouti à la décision d’absence de coupables en 2015. Finalement, il n’y a donc pas eu de condamnations. Pourquoi évacuez- vous les décisions de Justice pour vous situer, en empruntant le radotage local, en amont ? Le fils de la maire, a bien reçu un nombre déraisonnable, légal, de délégations. On peut supposer que ce sont les prémices d’une prolongation de la « Monarchie élective ». Cette prolongation serait, à torts partagés, entre le fils héritier et les électeurs : ces mêmes électeurs qui, aussi, n’auraient pas repéré un autre candidat plus motivant. L’opposition de Puteaux n’a aucune vision de la ville du futur, aucune idée gestionnaire créative. Conduite par l’opposant du MoDem, elle pleurniche contre « la vilaine madame la maire » dont elle souhaite la place. Depuis 1789, révolution imparfaite, les monarchies électives ne cessent de s’épanouir. Pourquoi l’Etat ne sort- il pas un interdit législatif ? Pourquoi ne le demandez-vous pas ? N’importe quelle famille accepte-t-elle de contrarier ses intérêts ? Le favoritisme risqué des enfants, des parents ou des amis (candidatures de Jean Sarkozy ou d’Amin Khiari pour l’Epad... Soutiens douteux exercés par Jean-Paul Huchon... Instauration de la retraite à 70 ans par François Hollande pour ses amis...) et le népotisme actif ont été dénoncés par vous-même et vous avez fait des propositions. Que sont-elles devenues ?</font></p><p><font>Vous énumérez quelques-uns des cadeaux (en évitant bien sûr de citer les séries de casseroles concrètes) faits par la maire à des citoyens précis. On peut estimer en effet qu’il s’agit peut-être de clientélisme électoral, légal cependant, parfaitement accepté par les bénéficiaires. Mais pourquoi serait-elle la seule accusée ? Tous les milieux politiques trempent dans la démocratie « grise ». Le clientélisme est généralisé et vous devez mettre à jour votre liste. Vous devez aussi moduler vos propos : ce n’est pas parce qu’un électeur reçoit une cafetière qu’il perd son libre arbitre.</font></p><p><font>Prouvez ce que vous écrivez et luttez contre tous les concernés qui dérivent.</font></p><p><font>Au fait, ne seriez-vous pas vous-même en position de clientélisme tant vous restez peu enclin à interroger la véracité des propos de votre source principale : pour la promouvoir peut-être ?</font></p><p><font>Médiapart est un journal courageux qui applique « le droit de savoir » des lecteurs. Il a révélé de la part de la maire des actions « fumantes ». Mais, que devient la présomption d’innocence ? Un journaliste peut-il se substituer au juge ? Les faits révélés seraient à l’étude par la Justice, seule habilitée à les traiter à partir de preuves. Pourquoi n’attendez-vous pas le résultat de ces investigations (même si elles sont parfois imparfaites), avant de prendre parti ? </font></p><p><font>Il vous manque « le doute philosophique », subtil et soucieux du respect de la personne.</font></p><p><font>Ne confondez plus « faire traîner une casserole » et «faire passer à la casserole ». Bon courage pour que vos initiatives progressent encore vers la vérité. Annie Keszey. </font></p>
Atelier des Idéeshttp://www.atelier-idees.org/about.htmlCasserole décernée au maire de Puteaux par Anticor.tag:www.atelier-idees.org,2016-02-01:57536432016-02-01T18:20:00+01:002016-02-01T18:20:00+01:00 A Monsieur le président d’Anticor. Objet : la casserole...
<p><font>A Monsieur le président d’Anticor.</font></p><p><font><font>Objet : la casserole décernée à Madame Ceccaldi-Raynaud, maire de Puteaux. </font></font></p><p><font>Monsieur,</font></p><p><font>Sur le site Internet d’Anticor, vous publiez, en particulier, les raisons qui vous ont fait attribuer une casserole à Madame Ceccaldi-Raynaud, maire de Puteaux.</font></p><p><font>Je vous avais déjà exprimé des réserves sur vos pratiques en janvier 2014 à propos d’autres faits.</font></p><p><font>Votre positionnement « anti-corruption » est défini avec rigueur. Il est politiquement utile et correspond à la définition des dictionnaires et de la Justice. Donc, soyez remercié.</font></p><p><font>Vous militez aussi pour « l’éthique en politique », pour la morale donc, et je vous l’avais déjà écrit en 2014, vos positions sont idéologiques, confuses, très imparfaites et peuvent nuire inutilement aux personnes que vous « canardez ». Les preuves que vous donnez sur votre site pour justifier « la casserole » révèlent, par leur style, votre « copinage » avec l’opposant putéolien du MoDem, dont vous reproduisez d’ailleurs un tweet, à droite de votre écran. C’est un tweet d’opinion, légal, issu des critiques permanentes à la kalachnikov verbale de l’opposant chronique du maire de Puteaux, qui n’a cependant pas sa place sur le site Anticor tenu impérativement, me semble-t-il, à l’objectivité, à la froideur des faits. </font></p><p><font>L'opposant local du MoDem a été menteur et tricheur, je vous en ai adressé les preuves en 2014. Que font ses « opinions » sur votre site « éthique » ? </font></p><p><font>Revenons à la casserole.</font></p><p><font>Vous ressassez l’histoire de retraits du Canard Enchaîné de 2011. Le premier procès et deux procès suivants en appel ont abouti à la décision d’absence de coupables en 2015. Finalement, il n’y a donc pas eu de condamnations. Pourquoi évacuez- vous les décisions de Justice pour vous situer, en empruntant le radotage local, en amont ? Le fils de la maire, a bien reçu un nombre déraisonnable, légal, de délégations. On peut supposer que ce sont les prémices d’une prolongation de la « Monarchie élective ». Cette prolongation serait, à torts partagés, entre le fils héritier et les électeurs : ces mêmes électeurs qui, aussi, n’auraient pas repéré un autre candidat plus motivant. L’opposition de Puteaux n’a aucune vision de la ville du futur, aucune idée gestionnaire créative. Conduite par l’opposant du MoDem, elle pleurniche contre « la vilaine madame la maire » dont elle souhaite la place. Depuis 1789, révolution imparfaite, les monarchies électives ne cessent de s’épanouir. Pourquoi l’Etat ne sort- il pas un interdit législatif ? Pourquoi ne le demandez-vous pas ? N’importe quelle famille accepte-t-elle de contrarier ses intérêts ? Le favoritisme risqué des enfants, des parents ou des amis (candidatures de Jean Sarkozy ou d’Amin Khiari pour l’Epad... Soutiens douteux exercés par Jean-Paul Huchon... Instauration de la retraite à 70 ans par François Hollande pour ses amis...) et le népotisme actif ont été dénoncés par vous-même et vous avez fait des propositions. Que sont-elles devenues ?</font></p><p><font>Vous énumérez quelques-uns des cadeaux (en évitant bien sûr de citer les séries de casseroles concrètes) faits par la maire à des citoyens précis. On peut estimer en effet qu’il s’agit peut-être de clientélisme électoral, légal cependant, parfaitement accepté par les bénéficiaires. Mais pourquoi serait-elle la seule accusée ? Tous les milieux politiques trempent dans la démocratie « grise ». Le clientélisme est généralisé et vous devez mettre à jour votre liste. Vous devez aussi moduler vos propos : ce n’est pas parce qu’un électeur reçoit une cafetière qu’il perd son libre arbitre.</font></p><p><font>Prouvez ce que vous écrivez et luttez contre tous les concernés qui dérivent.</font></p><p><font>Au fait, ne seriez-vous pas vous-même en position de clientélisme tant vous restez peu enclin à interroger la véracité des propos de votre source principale : pour la promouvoir peut-être ?</font></p><p><font>Médiapart est un journal courageux qui applique « le droit de savoir » des lecteurs. Il a révélé de la part de la maire des actions « fumantes ». Mais, que devient la présomption d’innocence ? Un journaliste peut-il se substituer au juge ? Les faits révélés seraient à l’étude par la Justice, seule habilitée à les traiter à partir de preuves. Pourquoi n’attendez-vous pas le résultat de ces investigations (même si elles sont parfois imparfaites), avant de prendre parti ? </font></p><p><font>Il vous manque « le doute philosophique », subtil et soucieux du respect de la personne.</font></p><p><font>Ne confondez plus « faire traîner une casserole » et «faire passer à la casserole ». Bon courage pour que vos initiatives progressent encore vers la vérité. Annie Keszey. </font></p>
Atelier des Idéeshttp://www.notreputeaux.com/about.htmlCASSEROLE décernée à la maire de Puteaux par Anticor.tag:www.notreputeaux.com,2016-02-01:57536422016-02-01T18:17:00+01:002016-02-01T18:17:00+01:00 A Monsieur le responsable d’Anticor. Objet : la casserole...
<p><font>A Monsieur le responsable d’Anticor.</font></p><p><font><font>Objet : la casserole décernée à Madame Ceccaldi-Raynaud, maire de Puteaux. </font></font></p><p><font>Monsieur,</font></p><p><font>Sur le site Internet d’Anticor, vous publiez, en particulier, les raisons qui vous ont fait attribuer une casserole à Madame Ceccaldi-Raynaud, maire de Puteaux.</font></p><p><font>Je vous avais déjà exprimé des réserves sur vos pratiques en janvier 2014 à propos d’autres faits.</font></p><p><font>Votre positionnement « anti-corruption » est défini avec rigueur. Il est politiquement utile et correspond à la définition des dictionnaires et de la Justice. Donc, soyez remercié.</font></p><p><font>Vous militez aussi pour « l’éthique en politique », pour la morale donc, et je vous l’avais déjà écrit en 2014, vos positions sont idéologiques, confuses, très imparfaites et peuvent nuire inutilement aux personnes que vous « canardez ». Les preuves que vous donnez sur votre site pour justifier « la casserole » révèlent, par leur style, votre « copinage » avec l’opposant putéolien du MoDem, dont vous reproduisez d’ailleurs un tweet, à droite de votre écran. C’est un tweet d’opinion, légal, issu des critiques permanentes à la kalachnikov verbale de l’opposant chronique du maire de Puteaux, qui n’a cependant pas sa place sur le site Anticor tenu impérativement, me semble-t-il, à l’objectivité, à la froideur des faits. </font></p><p><font>L'opposant local du MoDem a été menteur et tricheur, je vous en ai adressé les preuves en 2014. Que font ses « opinions » sur votre site « éthique » ? </font></p><p><font>Revenons à la casserole.</font></p><p><font>Vous ressassez l’histoire de retraits du Canard Enchaîné de 2011. Le premier procès et deux procès suivants en appel ont abouti à la décision d’absence de coupables en 2015. Finalement, il n’y a donc pas eu de condamnations. Pourquoi évacuez- vous les décisions de Justice pour vous situer, en empruntant le radotage local, en amont ? Le fils de la maire, a bien reçu un nombre déraisonnable, légal, de délégations. On peut supposer que ce sont les prémices d’une prolongation de la « Monarchie élective ». Cette prolongation serait, à torts partagés, entre le fils héritier et les électeurs : ces mêmes électeurs qui, aussi, n’auraient pas repéré un autre candidat plus motivant. L’opposition de Puteaux n’a aucune vision de la ville du futur, aucune idée gestionnaire créative. Conduite par l’opposant du MoDem, elle pleurniche contre « la vilaine madame la maire » dont elle souhaite la place. Depuis 1789, révolution imparfaite, les monarchies électives ne cessent de s’épanouir. Pourquoi l’Etat ne sort- il pas un interdit législatif ? Pourquoi ne le demandez-vous pas ? N’importe quelle famille accepte-t-elle de contrarier ses intérêts ? Le favoritisme risqué des enfants, des parents ou des amis (candidatures de Jean Sarkozy ou d’Amin Khiari pour l’Epad... Soutiens douteux exercés par Jean-Paul Huchon... Instauration de la retraite à 70 ans par François Hollande pour ses amis...) et le népotisme actif ont été dénoncés par vous-même et vous avez fait des propositions. Que sont-elles devenues ?</font></p><p><font>Vous énumérez quelques-uns des cadeaux (en évitant bien sûr de citer les séries de casseroles concrètes) faits par la maire à des citoyens précis. On peut estimer en effet qu’il s’agit peut-être de clientélisme électoral, légal cependant, parfaitement accepté par les bénéficiaires. Mais pourquoi serait-elle la seule accusée ? Tous les milieux politiques trempent dans la démocratie « grise ». Le clientélisme est généralisé et vous devez mettre à jour votre liste. Vous devez aussi moduler vos propos : ce n’est pas parce qu’un électeur reçoit une cafetière qu’il perd son libre arbitre.</font></p><p><font>Prouvez ce que vous écrivez et luttez contre tous les concernés qui dérivent.</font></p><p><font>Au fait, ne seriez-vous pas vous-même en position de clientélisme tant vous restez peu enclin à interroger la véracité des propos de votre source principale : pour la promouvoir peut-être ?</font></p><p><font>Médiapart est un journal courageux qui applique « le droit de savoir » des lecteurs. Il a révélé de la part de la maire des actions « fumantes ». Mais, que devient la présomption d’innocence ? Un journaliste peut-il se substituer au juge ? Les faits révélés seraient à l’étude par la Justice, seule habilitée à les traiter à partir de preuves. Pourquoi n’attendez-vous pas le résultat de ces investigations (même si elles sont parfois imparfaites), avant de prendre parti ? </font></p><p><font>Il vous manque « le doute philosophique », subtil et soucieux du respect de la personne.</font></p><p><font>Ne confondez plus « faire traîner une casserole » et «faire passer à la casserole ». Bon courage pour que vos initiatives progressent encore vers la vérité. Annie Keszey. </font></p>
ZEC & Ciehttp://zec.hautetfort.com/about.htmlINA : Anticor dépose plainte pour détournement de fonds publics et favoritismetag:zec.hautetfort.com,2015-05-29:56308932015-05-29T18:14:59+02:002015-05-29T18:14:59+02:00 29 mai 2015, par ANTICOR Le 28 avril dernier, Anticor exprimait...
<div style="text-align: justify;">29 mai 2015, par <a href="http://www.anticor.org/author/severine-tessier/" target="_blank">ANTICOR </a></div><div style="text-align: justify;"><p style="text-align: center;"><img style="margin: 0.7em 0;" src="http://www.anticor.org/wp-content/uploads/2012/07/anticororg_logo_rvb.png" alt="anticororg_logo_rvb.png" width="170" height="38" /></p></div><p style="text-align: justify;"><img id="media-4822586" title="" src="http://zec.hautetfort.com/media/01/02/2595204095.png" alt="3992716853.png" width="24" height="21" />Le 28 avril dernier, Anticor exprimait une position claire après les révélations sur les frais de taxi de la présidente de l’INA : « Nous ne pouvons pas imaginer que Mme Saal soit maintenue dans ses fonctions et qu’elle ne fasse l’objet d’aucune poursuite. D’autant que l’INA perçoit, chaque année, 90 millions d’euros au titre de la contribution à l’audiovisuel public. En cas d’inaction persistante, nous saisirons nous-même le Procureur de la République.</p><p style="text-align: justify;">Depuis, nous avons pris acte, avec satisfaction, de la démission de la présidente de l’INA.</p><p style="text-align: justify;">Par contre, nous nous étonnons qu’un mois après, aucune plainte n’ait été déposée par les autorités compétentes. Pire, la Ministre de la Culture a simplement annoncé « qu’il y aura peut-être des suites pénales »… Comment peut-on encore tergiverser alors que Mme Saal a elle-même reconnu avoir fait payer à l’INA des dépenses étrangères à ses fonctions ?</p><p style="text-align: justify;">De même, nous sommes surpris de l’absence de réaction après l’article du Canard Enchainé, publié le 6 mai 2015, faisant état de graves irrégularités lors de la passation de plusieurs marchés publics, toujours à l’INA, mais entre 2010 et 2014, sous la présidence de Mathieu Gallet.</p><p style="text-align: justify;">Pour que toute la lumière soit faite sur la gestion de cet établissement public, Anticor dépose plainte contre X pour détournement de fonds publics et délit de favoritisme."</p><h3 style="text-align: center;">*</h3><p style="text-align: justify;"><a title="" href="http://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2015/05/20/agnes-saal-de-retour-au-ministere-de-la-culture_4636934_3236.html" target="_blank">selon le Monde,</a> Agnès Saal a trouvé un point de chute au ministère de la Culture. Elle qui avait déjà brillé dans ce ministère sous Jospin, de 1997 à 2001, s'est vu convié la tâche de <em>chargée de mission sur les questions de gestion prévisionnelle des emplois et des compétences. </em>Un poste inédit ! Un poste sur mesure pour Agnès Saal. De la haute couture socialiste.</p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"> </p>
Atelier des Idéeshttp://www.notreputeaux.com/about.html”ANTICOR” SANS COR DE BRUME.tag:www.notreputeaux.com,2014-02-23:53061312014-02-23T16:33:32+01:002014-02-23T16:33:32+01:00 Lettre ouverte et RAR à ANTICOR et au journal Le...
<p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><strong><span style="font-size: medium; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: Times New Roman;">Lettre ouverte et RAR<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>à ANTICOR et au journal <span style="mso-spacerun: yes;"> </span><em style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Parisien.</em></span></span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><strong><span style="font-size: medium; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-size: medium; font-family: Times New Roman;"> </span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><strong><span style="font-size: medium; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-family: Times New Roman;">L’association ANTICOR lutte contre la CORRUPTION. Sa définition de la corruption concernée est claire, stricte, conceptuelle : c’est celle que sanctionne la justice. Elle concerne les usages suspects, abusifs, voire privatifs que des politiques font des moyens de l’Etat dont les fonds publics. </span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><strong><span style="font-size: medium; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-family: Times New Roman;">Les électeurs de France et le président d’ANTICOR en particulier, informés par les medias, ont la possibilité de connaître les « affaires de corruption » et leur dénouement. Par exemple, en février 2014, François Pérol, ex-secrétaire-adjoint de l’Elysée pendant le mandat de Nicolas Sarkozy, président du directoire de la BPCE, est mis en examen pour prise illégale d’intérêt …ANTICOR s’était saisi de cette affaire et avait déposé plainte en 2009. </span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><strong><span style="font-size: medium; mso-ansi-language: FR;"><a href="http://www.anticor.org/"><span style="font-family: Times New Roman;">http://www.anticor.org</span></a></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><strong><span style="font-size: medium; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-family: Times New Roman;">Cet espace financier dans lequel ANTICOR <em style="mso-bidi-font-style: normal;">lave plus blanc</em> est strictement circonscrit. L’association propose un label ANTI-CORRUPTION<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>aux candidats responsables d’une liste pour les élections municipales de 2014, octroyé à deux cents candidats à la date du 22 février 2014.</span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><strong><span style="font-size: medium; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-family: Times New Roman;">C’est clair.</span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><strong><span style="font-size: medium; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><strong><span style="font-size: medium; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-family: Times New Roman;">Par contre, l’usage par ANTICOR, dangereux pour les électeurs, du mot « ETHIQUE » assombrit et perturbe sérieusement la démarche de purification. Les candidats au label, aux comportements « éthiques », à « l’éthique politique » s’engagent en signant une charte « éthique » ! </span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 11pt; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-family: Times New Roman;"><strong><span style="font-size: medium;">ANTICOR navigue alors dans la brume du mot et distille le doute. C’est immaîtrisable par<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>cette organisation, faute d’enquêtes possibles, cors de brume ! ANTICOR doit circonscrire avec rigueur l’ensemble de ses propos.</span></strong></span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><strong><span style="font-size: medium; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-family: Times New Roman;">L’éthique est une notion plus vaste, plus complexe, plus mouvante que la seule honnêteté financière : elle s’inscrit dans les philosophies, les morales, les valeurs, les religions, la déontologie, l’éthique des Droits de l’homme, la bioéthique…Edgar Morin, dans <em style="mso-bidi-font-style: normal;">La Méthode</em> nous explique l’écologie de l’action : l’action éthique, selon le milieu dans lequel elle se développe peut dévier et même se retourner, inverser l’initiative initiale. Il y a des illusions éthiques dans l’esprit humain : on croît œuvrer pour le bien de l’humanité et on fait tout le contraire…</span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><strong><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: Times New Roman;"><em style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="mso-ansi-language: FR;">Le Parisien 92 </span></em><span style="mso-ansi-language: FR;">du 22 février 2014, dans son cahier central, informe les électeurs que 31 candidats du département ont signé la charte anticorruption. Avec une rare prudence, le journaliste PA, évite le présent et le passé des candidats pour informer « sur la série d’engagements que chacun a promis de respecter », dans l’avenir. Sur la photographie jointe, Christophe Grébert, candidat du Modem à Puteaux et son ami politique proche, Pierre Creuzet de Nanterre, occupent la première place et tiennent l’image du label ANTICOR</span></span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><strong><span style="font-size: medium; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-family: Times New Roman;">Or, de 2008 à 2013, Christophe Grébert, journaliste partisan et blogueur, a illustré les propos d’Edgar Morin. Il<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>dupe les électeurs parce qu’il ment, triche, manipule, désinforme, censure son blog sur lequel il milite pour la liberté d’expression et se « victimise » à outrance. La justice l’a condamné deux fois : pour diffamation et atteinte à la vie privée* (*Historique avec preuves adressé en RAR à François Bayrou). Il commet froidement les écarts qu’il dénonce chez ses ennemis, <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>matraqués.</span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><strong><span style="font-size: medium; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-family: Times New Roman;">Il s’auto-absout de ses déviances, bien sûr jugées,<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>par cynisme, parfaitement « éthiques », parce qu’il affirme combattre héroïquement le SYSTEME en place : SYSTEME dans lequel il a voulu entrer le soir du premier tour de l’élection municipale de 2008 en s’associant à la liste de Monsieur Charles Ceccaldi-Raynaud, ancien maire de Puteaux, qui l’a repoussé. Monsieur Charles Ceccaldi-Raynaud <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>est le créateur autoproclamé (dans un supplément de l’Express de 2006) du SYSTEME CECCALDI. Sylvie Cancelloni, ex-acolyte pirouette (droite-centre- gauche- centre- droite et inversement) de Christophe Grébert a fait une nouvelle tentative pour cette même fusion, en 2013, pour 2014, mais en vain. </span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><strong><span style="font-size: medium; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-family: Times New Roman;">Stéphane Vazia, autre labellisé ANTICOR de Puteaux, jamais condamné jusqu’à ce jour par la justice, n’est pas visible sur la photographie. Afin de limiter les votes « blancs », c’était à lui ou à un<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>candidat semblable, intellectuellement, moralement net et sûr que revenait la tenue de l’affiche du label.</span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><strong><span style="font-size: medium; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-family: Times New Roman;">La photographie mériterait d’ailleurs une fine analyse…Christophe Grébert, soutenu par l’ex-sénateur Denis Badré, voisine avec l’opposant au maire Denis Badré ! </span></span></strong></p><p><strong><span style="font-size: 11pt; font-family: 'Times New Roman','serif'; mso-ansi-language: FR; mso-fareast-font-family: Calibri; mso-fareast-language: EN-US; mso-bidi-language: AR-SA;"><span style="font-size: medium;">Ce présent politique confus, <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>nuit à la réputation des candidats sincères labellisés. ANTICOR saura perfectionner sa méthodologie.<a href="http://www.notreputeaux.com-/"><span style="color: #0000ff;">www.notreputeaux.com-</span></a> <a href="http://www.atelier-idees.org/">www.atelier-idees.org</a> - Annie Keszey.</span><span style="mso-spacerun: yes;"><span style="font-size: medium;"> </span> </span></span></strong></p>
Atelier des Idéeshttp://www.rupture-et-metamorphose.org/about.html”ANTICOR”, sans cor de brume.tag:www.rupture-et-metamorphose.org,2014-02-23:53061252014-02-23T16:26:26+01:002014-02-23T16:26:26+01:00 Lettre ouverte et RAR à ANTICOR et au journal Le...
<p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><strong><span style="font-size: medium; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: Times New Roman;">Lettre ouverte et RAR<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>à ANTICOR et au journal <span style="mso-spacerun: yes;"> </span><em style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Parisien.</em></span></span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><strong><span style="font-size: medium; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-size: medium; font-family: Times New Roman;"> </span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><strong><span style="font-size: medium; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-family: Times New Roman;">L’association ANTICOR lutte contre la CORRUPTION. Sa définition de la corruption concernée est claire, stricte, conceptuelle : c’est celle que sanctionne la justice. Elle concerne les usages suspects, abusifs, voire privatifs que des politiques font des moyens de l’Etat dont les fonds publics. </span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><strong><span style="font-size: medium; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-family: Times New Roman;">Les électeurs de France et le président d’ANTICOR en particulier, informés par les medias, ont la possibilité de connaître les « affaires de corruption » et leur dénouement. Par exemple, en février 2014, François Pérol, ex-secrétaire-adjoint de l’Elysée pendant le mandat de Nicolas Sarkozy, président du directoire de la BPCE, est mis en examen pour prise illégale d’intérêt …ANTICOR s’était saisi de cette affaire et avait déposé plainte en 2009. </span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><strong><span style="font-size: medium; mso-ansi-language: FR;"><a href="http://www.anticor.org/"><span style="font-family: Times New Roman;">http://www.anticor.org</span></a></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><strong><span style="font-size: medium; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-family: Times New Roman;">Cet espace financier dans lequel ANTICOR <em style="mso-bidi-font-style: normal;">lave plus blanc</em> est strictement circonscrit. L’association propose un label ANTI-CORRUPTION<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>aux candidats responsables d’une liste pour les élections municipales de 2014, octroyé à deux cents candidats à la date du 22 février 2014.</span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><strong><span style="font-size: medium; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-family: Times New Roman;">C’est clair.</span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><strong><span style="font-size: medium; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><strong><span style="font-size: medium; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-family: Times New Roman;">Par contre, l’usage par ANTICOR, dangereux pour les électeurs, du mot « ETHIQUE » assombrit et perturbe sérieusement la démarche de purification. Les candidats au label, aux comportements « éthiques », à « l’éthique politique » s’engagent en signant une charte « éthique » ! </span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 11pt; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-family: Times New Roman;"><strong><span style="font-size: medium;">ANTICOR navigue alors dans la brume du mot et distille le doute. C’est immaîtrisable par<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>cette organisation, faute d’enquêtes possibles, cors de brume ! ANTICOR doit circonscrire avec rigueur l’ensemble de ses propos.</span></strong></span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><strong><span style="font-size: medium; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-family: Times New Roman;">L’éthique est une notion plus vaste, plus complexe, plus mouvante que la seule honnêteté financière : elle s’inscrit dans les philosophies, les morales, les valeurs, les religions, la déontologie, l’éthique des Droits de l’homme, la bioéthique…Edgar Morin, dans <em style="mso-bidi-font-style: normal;">La Méthode</em> nous explique l’écologie de l’action : l’action éthique, selon le milieu dans lequel elle se développe peut dévier et même se retourner, inverser l’initiative initiale. Il y a des illusions éthiques dans l’esprit humain : on croît œuvrer pour le bien de l’humanité et on fait tout le contraire…</span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><strong><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: Times New Roman;"><em style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="mso-ansi-language: FR;">Le Parisien 92 </span></em><span style="mso-ansi-language: FR;">du 22 février 2014, dans son cahier central, informe les électeurs que 31 candidats du département ont signé la charte anticorruption. Avec une rare prudence, le journaliste PA, évite le présent et le passé des candidats pour informer « sur la série d’engagements que chacun a promis de respecter », dans l’avenir. Sur la photographie jointe, Christophe Grébert, candidat du Modem à Puteaux et son ami politique proche, Pierre Creuzet de Nanterre, occupent la première place et tiennent l’image du label ANTICOR</span></span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><strong><span style="font-size: medium; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-family: Times New Roman;">Or, de 2008 à 2013, Christophe Grébert, journaliste partisan et blogueur, a illustré les propos d’Edgar Morin. Il<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>dupe les électeurs parce qu’il ment, triche, manipule, désinforme, censure son blog sur lequel il milite pour la liberté d’expression et se « victimise » à outrance. La justice l’a condamné deux fois : pour diffamation et atteinte à la vie privée* (*Historique avec preuves adressé en RAR à François Bayrou). Il commet froidement les écarts qu’il dénonce chez ses ennemis, <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>matraqués.</span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><strong><span style="font-size: medium; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-family: Times New Roman;">Il s’auto-absout de ses déviances, bien sûr jugées,<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>par cynisme, parfaitement « éthiques », parce qu’il affirme combattre héroïquement le SYSTEME en place : SYSTEME dans lequel il a voulu entrer le soir du premier tour de l’élection municipale de 2008 en s’associant à la liste de Monsieur Charles Ceccaldi-Raynaud, ancien maire de Puteaux, qui l’a repoussé. Monsieur Charles Ceccaldi-Raynaud <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>est le créateur autoproclamé (dans un supplément de l’Express de 2006) du SYSTEME CECCALDI. Sylvie Cancelloni, ex-acolyte pirouette (droite-centre- gauche- centre- droite et inversement) de Christophe Grébert a fait une nouvelle tentative pour cette même fusion, en 2013, pour 2014, mais en vain. </span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><strong><span style="font-size: medium; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-family: Times New Roman;">Stéphane Vazia, autre labellisé ANTICOR de Puteaux, jamais condamné jusqu’à ce jour par la justice, n’est pas visible sur la photographie. Afin de limiter les votes « blancs », c’était à lui ou à un<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>candidat semblable, intellectuellement, moralement net et sûr que revenait la tenue de l’affiche du label.</span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><strong><span style="font-size: medium; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-family: Times New Roman;">La photographie mériterait d’ailleurs une fine analyse…Christophe Grébert, soutenu par l’ex-sénateur Denis Badré, voisine avec l’opposant au maire Denis Badré ! </span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 11pt; mso-ansi-language: FR;"><strong><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: Times New Roman;">Ce présent politique confus, <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>nuit à la réputation des candidats sincères labellisés. ANTICOR saura perfectionner sa méthodologie.</span><a href="http://www.notreputeaux.com-/"><span style="color: #0000ff; font-family: Times New Roman;">www.notreputeaux.com-</span></a><a href="http://www.atelier-idees.org/"><span style="font-family: Times New Roman;">www.atelier-idees.org</span></a></span></strong><span style="font-family: Times New Roman;"><strong><span style="font-size: medium;"> - Annie Keszey</span></strong>.<span style="mso-spacerun: yes;"> </span></span></span></p>
Atelier des Idéeshttp://www.atelier-idees.org/about.html”ANTICOR” SANS COR DE BRUME.tag:www.atelier-idees.org,2014-02-23:53061202014-02-23T16:14:00+01:002014-02-23T16:14:00+01:00 Lettre ouverte et RAR à ANTICOR et au journal Le Parisien....
<p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: medium;"><strong><span style="mso-ansi-language: FR;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: Times New Roman;">Lettre ouverte et RAR<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>à ANTICOR et au journal <em style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Parisien.</em></span></span></span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: medium;"><strong><span style="mso-ansi-language: FR;"><span style="font-size: medium; font-family: Times New Roman;"> </span></span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><strong><span style="mso-ansi-language: FR;"><span style="font-family: Times New Roman;">L’association ANTICOR lutte contre la CORRUPTION. Sa définition de la corruption concernée est claire, stricte, conceptuelle : c’est celle que sanctionne la justice. Elle concerne les usages suspects, abusifs, voire privatifs que des politiques font des moyens de l’Etat dont les fonds publics. </span></span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><strong><span style="mso-ansi-language: FR;"><span style="font-family: Times New Roman;">Les électeurs de France et le président d’ANTICOR en particulier, informés par les medias, ont la possibilité de connaître les « affaires de corruption » et leur dénouement. Par exemple, en février 2014, François Pérol, ex-secrétaire-adjoint de l’Elysée pendant le mandat de Nicolas Sarkozy, président du directoire de la BPCE, est mis en examen pour prise illégale d’intérêt …ANTICOR s’était saisi de cette affaire et avait déposé plainte en 2009. </span></span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><strong><span style="mso-ansi-language: FR;"><a href="http://www.anticor.org/"><span style="font-family: Times New Roman;">http://www.anticor.org</span></a></span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><strong><span style="mso-ansi-language: FR;"><span style="font-family: Times New Roman;">Cet espace financier dans lequel ANTICOR <em style="mso-bidi-font-style: normal;">lave plus blanc</em> est strictement circonscrit. L’association propose un label ANTI-CORRUPTION<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>aux candidats responsables d’une liste pour les élections municipales de 2014, octroyé à deux cents candidats à la date du 22 février 2014.</span></span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><strong><span style="mso-ansi-language: FR;"><span style="font-family: Times New Roman;">C’est clair.</span></span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><strong><span style="mso-ansi-language: FR;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><strong><span style="mso-ansi-language: FR;"><span style="font-family: Times New Roman;">Par contre, l’usage par ANTICOR, dangereux pour les électeurs, du mot « ETHIQUE » assombrit et perturbe sérieusement la démarche de purification. Les candidats au label, aux comportements « éthiques », à « l’éthique politique » s’engagent en signant une charte « éthique » ! </span></span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 11pt; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-family: Times New Roman;"><span style="font-size: medium;"><strong>ANTICOR navigue alors dans la brume du mot et distille le doute. C’est immaîtrisable par<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>cette organisation, faute d’enquêtes possibles, cors de brume ! ANTICOR doit circonscrire avec rigueur l’ensemble de ses propos.</strong></span></span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><strong><span style="font-size: medium; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-family: Times New Roman;">L’éthique est une notion plus vaste, plus complexe, plus mouvante que la seule honnêteté financière : elle s’inscrit dans les philosophies, les morales, les valeurs, les religions, la déontologie, l’éthique des Droits de l’homme, la bioéthique…Edgar Morin, dans <em style="mso-bidi-font-style: normal;">La Méthode</em> nous explique l’écologie de l’action : l’action éthique, selon le milieu dans lequel elle se développe peut dévier et même se retourner, inverser l’initiative initiale. Il y a des illusions éthiques dans l’esprit humain : on croît œuvrer pour le bien de l’humanité et on fait tout le contraire…</span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><strong><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: Times New Roman;"><em style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="mso-ansi-language: FR;">Le Parisien 92 </span></em><span style="mso-ansi-language: FR;">du 22 février 2014, dans son cahier central, informe les électeurs que 31 candidats du département ont signé la charte anticorruption. Avec une rare prudence, le journaliste PA, évite le présent et le passé des candidats pour informer « sur la série d’engagements que chacun a promis de respecter », dans l’avenir. Sur la photographie jointe, Christophe Grébert, candidat du Modem à Puteaux et son ami politique proche, Pierre Creuzet de Nanterre, occupent la première place et tiennent l’image du label ANTICOR</span></span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><strong><span style="font-size: medium; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-family: Times New Roman;">Or, de 2008 à 2013, Christophe Grébert, journaliste partisan et blogueur, a illustré les propos d’Edgar Morin. Il<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>dupe les électeurs parce qu’il ment, triche, manipule, désinforme, censure son blog sur lequel il milite pour la liberté d’expression et se « victimise » à outrance. La justice l’a condamné deux fois : pour diffamation et atteinte à la vie privée* (*Historique avec preuves adressé en RAR à François Bayrou). Il commet froidement les écarts qu’il dénonce chez ses ennemis, <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>matraqués.</span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><strong><span style="font-size: medium; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-family: Times New Roman;">Il s’auto-absout de ses déviances, bien sûr jugées,<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>par cynisme, parfaitement « éthiques », parce qu’il affirme combattre héroïquement le SYSTEME en place : SYSTEME dans lequel il a voulu entrer le soir du premier tour de l’élection municipale de 2008 en s’associant à la liste de Monsieur Charles Ceccaldi-Raynaud, ancien maire de Puteaux, qui l’a repoussé. Monsieur Charles Ceccaldi-Raynaud <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>est le créateur autoproclamé (dans un supplément de l’Express de 2006) du SYSTEME CECCALDI. Sylvie Cancelloni, ex-acolyte pirouette (droite-centre- gauche- centre- droite et inversement) de Christophe Grébert a fait une nouvelle tentative pour cette même fusion, en 2013, pour 2014, mais en vain. </span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><strong><span style="font-size: medium; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-family: Times New Roman;">Stéphane Vazia, autre labellisé ANTICOR de Puteaux, jamais condamné jusqu’à ce jour par la justice, n’est pas visible sur la photographie. Afin de limiter les votes « blancs », c’était à lui ou à un<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>candidat semblable, intellectuellement, moralement net et sûr que revenait la tenue de l’affiche du label.</span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><strong><span style="font-size: medium; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-family: Times New Roman;">La photographie mériterait d’ailleurs une fine analyse…Christophe Grébert, soutenu par l’ex-sénateur Denis Badré, voisine avec l’opposant au maire Denis Badré ! </span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 11pt; mso-ansi-language: FR;"><strong><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: Times New Roman;">Ce présent politique confus, <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>nuit à la réputation des candidats sincères labellisés. ANTICOR saura perfectionner sa méthodologie.</span><a href="http://www.notreputeaux.com-/"><span style="color: #0000ff; font-family: Times New Roman;">www.notreputeaux.com-</span></a><a href="http://www.atelier-idees.org/"><span style="font-family: Times New Roman;">www.atelier-idees.org</span></a></span><span style="font-family: Times New Roman;"><span style="font-size: medium;"> - Annie Keszey.</span><span style="mso-spacerun: yes;"><span style="font-size: medium;"> </span> </span></span></strong></span></p>
Cap21 Lorrainehttp://cap21lorraine.hautetfort.com/about.html• Anticor dénonce les attaques contre le juge Gentiltag:cap21lorraine.hautetfort.com,2013-03-31:50317932013-03-31T09:30:00+02:002013-03-31T09:30:00+02:00 AFFAIRE BETTENCOURT : AGIR CONTRE LA CORRUPTION, POUR L’ETAT DE DROIT....
<p style="text-align: center;"><strong>AFFAIRE BETTENCOURT :<br />AGIR CONTRE LA CORRUPTION, POUR L’ETAT DE DROIT.</strong></p><p>Anticor dénonce les attaques et les menaces visant le Juge Jean-Michel Gentil, qui, avec deux de ses collègues, a eu l’audace de considérer que M. Nicolas Sarkozy était un justiciable comme les autres.</p><p>Sans préjudice de toute appréciation sur le fond du dossier, l’arrogance, l’injure et le mépris pour la justice manifesté par certaines personnalités politiques, n’ont rien qui mérite l’estime.</p><p>Car l’égalité devant la loi et la séparation des pouvoirs sont des principes qui fondent la République. Ils sont inscrits dans la Déclaration des droits de l’homme de 1789. Un ancien président de la République, comme tout citoyen, ne peut être au-dessus des lois.</p><p>Trop souvent, la justice a été entravée. L’idéal d’une République “irréprochable” ou “exemplaire” s’est éloigné. <a title="Anticor signe l'appel de 82 magistrats pour agir efficacement contre la corruption" href="http://www.anticor.org/2012/06/29/anticor-signe-lappel-de-82-magistrats-pour-agir-efficacement-contre-la-corruption/" target="_blank">L’appel à agir contre la corruption</a>, signé par Anticor et par de nombreux magistrats spécialisés en matière économique et financière, dont M. Gentil, garde toute son actualité. Il est temps pour le gouvernement de rassurer sur sa détermination à faire de la France un pays exemplaire. Le combat contre la crise impose aussi de lutter contre tous ceux qui détournent ou accaparent frauduleusement la richesse.</p>
gergovie67http://environnementemptreinte.hautetfort.com/about.htmlNOUS AVONS BESOIN DE VOTRE SOUTIEN ! ANTICOR, l'ASSOCIATION QUI LUTTE CONTRE LA CORRUPTION !tag:environnementemptreinte.hautetfort.com,2012-03-13:46360462012-03-13T15:38:26+01:002012-03-13T15:38:26+01:00 En octobre dernier, les magistrats de la Cour des Comptes ont rendu à...
<p style="font-size: 1em; text-align: left;" align="center"><a href="http://anticor.aiderenligne.fr/irregularites-depenses-communication-gouvernement.html" target="_blank"><img style="border-style: none;" title="DON ACTION ANTICOR" src="http://anticor.files.wordpress.com/2012/03/donactionanticor1.jpeg?w=252&h=39" alt="252" height="39" /></a> </p><p style="font-size: 1em; text-align: left;" align="center"><strong>En octobre dernier, les magistrats de la Cour des Comptes ont rendu à la Commission des Finances de l'Assemblée nationale, un rapport sur les dépenses de communication d'une dizaine de Ministères, dont Matignon.</strong></p><p style="font-size: 1em; text-align: left;"><strong>On y découvre que de nombreux contrats ont été passés en violation du Code des marchés publics </strong>: sans publicité ni mise en concurrence, ou avec des régularisations de commandes a posteriori, ou bien encore sans que les magistrats aient pu obtenir la preuve de la réalisation effective des travaux commandés. Sont cités entre autres 3 contrats passés par Matignon avec la société de Pierre Giacometti (qui avait conseillé Nicolas Sarkozy pendant la campagne présidentielle de 2007), pour un montant de près de 700 000 € HT.</p><p style="font-size: 1em;"><strong>Ces contrats ayant été conclus sans publicité ni mise en concurrence, contrairement aux règles des marchés publics, se pose la légitime question du favoritisme.</strong></p><p style="font-size: 1em;"><a style="text-decoration: none; color: #772124; font-weight: bold;" href="http://anticor.files.wordpress.com/2012/03/couverture-rapport-cour-des-comptes-copie.jpg" target="_blank"><img style="border-style: none;" title="Couverture rapport Cour des Comptes octobre 2011" src="http://anticor.files.wordpress.com/2012/03/couverture-rapport-cour-des-comptes-copie.jpg?w=212&h=300" alt="212" height="300" /></a>La Cour des comptes révèle aussi des dépenses importantes n'ayant rien à voir avec l'intérêt général, qui seul peut justifier les dépenses publiques. Il s'agit d'études d'image et d'impact médiatique personnels de certains Ministres : Jean-Louis Borloo, Hervé Morin ou Rachida Dati. Un marché de « coaching en image » d'un montant de 105 000 € a également été passé pour 5 mois au profit du Ministre de l'immigration Eric Besson.<strong></strong></p><p style="font-size: 1em;"><strong>La question du détournement de fonds publics se pose donc tout aussi légitimement.</strong></p><p style="font-size: 1em;">Si une association comme la nôtre ne dépose pas plainte, le rigoureux travail de contrôle de nos magistrats aux comptes (financé par les contribuables) restera sans aucune conséquence, comme dans l'affaire des <a href="http://www.leparisien.fr/politique/sondages-de-l-elysee-une-association-porte-plainte-11-02-2010-812483.php" target="_blank">sondages de l'Élysée</a> ou dans <a href="http://anticor.org/2012/02/02/affaire-de-leau-a-lille-grace-a-vos-dons-la-consignation-permettant-louverture-de-linformation-judiciaire-vient-detre-deposee/" target="_blank">l'affaire de l'eau à Lille</a> , dans un oubli bien accommodant pour les uns ou les autres.</p><p style="font-size: 1em;"><strong>Pourtant, suite à ce rapport le sénateur André Vallini (le « Monsieur Justice » de François Hollande) avait annoncé en novembre la création d'une enquête parlementaire au Sénat.</strong>Elle devait porter sur ces irrégularités de dépenses de communication du gouvernement et sur l'affaire des sondages de l'Élysée. Un mois plus tard, <a href="http://anticor.org/2011/12/08/commission-denquete-les-senateurs-p-s-font-marche-arriere-anticor-prend-le-relais/" target="_blank">les sénateurs socialistes ont fait marche arrière</a> , arguant du pourvoi en cassation d'Anticor dans l'affaire des sondages de l'Elysée. Pour quelles raisons n'ont-ils pas ouvert la commission d'enquête sur les irrégularités de dépenses de communication du gouvernement Fillon ?… Curieux mystère, pas encore expliqué à ce jour…</p><p style="font-size: 1em;"><strong>Notre rôle « d'empêcheurs d'enterrer les affaires en rond » nous a donc amenés à déposer plainte pour favoritisme et détournement de fonds publics, via Maître Karsenti avocat d'Anticor vendredi 9 mars, auprès du Procureur de la République du TGI de Paris.</strong></p><p style="font-size: 1em;">Pour une association citoyenne comme la nôtre, ne fonctionnant que grâce aux cotisations de ses adhérents et à quelques dons modestes, cette plainte va générer des frais judiciaires lourds à supporter, d'autant que nous savons d'expérience que de nombreuses barrières nous seront opposées dans cette démarche, afin d'empêcher l'ouverture d'une enquête. On peut donc s'attendre à une procédure longue et complexe (voir notre <a href="http://anticor.org/boite-a-questions/" target="_blank">exemple</a> sur l'affaire des sondages de l'Elysée dans la Boîte à questions de notre site).</p><p style="font-size: 1em;">C'est pourquoi nous avons besoin de faire appel à votre soutien financier.</p><p style="font-size: 1em;"><span style="color: #0000ff;"><em><strong>Si vous n'acceptez pas qu'il y ait en France une justice à 2 vitesses et si vous souhaitez qu'une enquête puisse être ouverte, faites un don en ligne ou par chèque <a href="http://anticor.aiderenligne.fr/irregularites-depenses-communication-gouvernement.html" target="_blank">en cliquant ici</a> ou sur le bouton dédié en haut de la page d'accueil de notre site.</strong></em></span></p><p style="font-size: 1em;">Chaque donateur sera ensuite informé par mail des avancées de la procédure jusqu'à son terme.</p><p style="font-size: 1em;">Merci à vous ! source association anticor</p>