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Jeu et théorie du Duende, de Federico Garcia Lorca, éd. Allia
tag:tramesnomades.hautetfort.com,2020-06-25:6247883
2020-06-25T02:58:00+02:00
2020-06-25T02:58:00+02:00
Pour chercher le duende, il n’existe ni carte ni ascèse. On sait...
<p><span style="text-decoration: underline;"><img id="media-6148667" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://tramesnomades.hautetfort.com/media/00/02/3392201298.jpg" alt="1 Duende LORCA.jpg" /></span></p><div><span style="font-size: 12pt;">Pour chercher le duende, il n’existe ni carte ni ascèse. On sait seulement qu’il brûle le sang comme une pommade d’éclats de verre, qu’il épuise, qu’il rejette toute la douce géométrie apprise, qu’il brise les styles, qu’il s’appuie sur la douleur humaine qui n’a pas de consolation.</span></div><div> <span style="font-size: 8pt;">Federico Garcia Lorca, Jeu et théorie du Duende</span></div><div><span style="font-size: 8pt;"> (citation posée en 4ème de couverture, choix judicieux)</span></div><p><span style="text-decoration: underline;">Federico Garcia Lorca</span> évoque avec humour l’ennui subi lors de conférences, pour introduire son intervention sur le duende, cette notion intraduisible en français, et peut-être même en espagnol castillan (même si le mot est bien un terme de la langue castillane, et si ce qu’il recouvre est part indéracinable de l’identité espagnole). Feu créatif du flamenco andalou, de la poésie andalouse, notion et vécu ancrés d’abord en terre andalouse. Intraduisible, et difficile à définir. Lorca rappelle que ce mot est beaucoup évoqué en Andalousie, pour parler de danse, d’art. Reconnu par "instinct". Il y a "duende", ou pas. L’artiste sait qu’il est bon, très bon (le meilleur dit un danseur) quand il "a" le duende. Un état intense, de l’ordre de la transe corps esprit. "Mystère", dit Lorca, pour la musique de Falla, en citant Manuel Torres définissant le duende par ses "sonorités noires", au sujet de Falla et de tout ce qui est fort. Après avoir cité une danseuse gitane parlant du duende de… Bach ("là il y a du duende").</p><div><img id="media-6155117" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://tramesnomades.hautetfort.com/media/02/00/2759126241.jpg" alt="jeu et théorie du duende,federico garcia lorca,lorca,duende,création,espagne,andalousie,allia,éditions allia,line amselem" />Si la notion, cette pensée de la création, est andalouse, elle rejoint l’universalité d’une fraternité d’âmes à hauteur de cette mystique de l’art. "El duende es un poder y no un obrar" (un pouvoir, non un faire, non un œuvrer - je le traduis ainsi). Mystique de l’art, et mystique. Puisque sainte Thérèse est un des exemples de duende, transpercée par lui, pas par son ange, dit Lorca. Car elle a su trouver "le pont fragile qui unit les cinq sens à ce centre de chair à vif, de mer à vif, de l’Amour libéré du Temps." Le duende qui "ne se répète jamais" (à chaque fois c’est un autre) est pour l’Espagne un sommet avec Quevedo et Cervantès, rejoints par les "sons noirs" de Torres. Dimension cosmique, la source connaît la Voie lactée… Et le duende n’est ni muse ni ange, dans la théorie de Lorca, mais ce plus insaisissable.</div><div> </div><div>Dans un texte introductif la traductrice, <span style="text-decoration: underline;">Line Amselem</span>, dit - et c’est très juste - que "la conférence elle-même est une démonstration de duende", dont des journalistes présents témoigneront sans savoir comment le dire. Même sans la présence physique de l’auteur le texte en est une preuve : on le sent à la lecture (intellectuellement, émotionnellement, physiquement). </div><div> </div><div>S'il est présent dans la conférence de Lorca, ce duende de la pensée andalouse, concept et vécu inscrit presque biologiquement dans la chair et dans la terre, il l'est évidemment dans ses poèmes (qu'il n'aurait pas écrits autrement, car le duende est là, ou pas - et le poète ou l'artiste crée à la condition qu'il sache qu'il est là).</div><div>Poèmes de Lorca, ses <span style="text-decoration: underline;"><em>Complaintes gitanes</em></span> sont publiées aussi par les éditions Allia, toujours traduites et introduites par <span style="text-decoration: underline;">Line Amselem</span>... Introduction éclairante et superbe traduction, encore, assez libre pour donner toute la force du texte de Lorca.</div><div>Cette notion du duende je l'ai donnée comme clé de ma conception de la création (photographique ou poétique) dans mon texte sur la photographie, "expérience initiatique", livre <em>Ombres géométriques frôlées par le vent</em>. Je l'avais évoquée déjà, antérieurement, pour un texte publié avec une série de photographies dans la revue Babel heureuse. D'où l'importance pour moi de ce texte magnifique de Lorca. Unique. Personne n'a dit le duende comme lui. Texte qui est donc une nourriture puissante à laquelle revenir toujours... Les mots de Lorca s'infiltrent en nous à plusieurs niveaux du corps et de l'esprit, de l'inconscient à la sur-conscience... Il nous rappelle l'exigence fondatrice, celle que savent aussi Rilke et Char, notamment, eux qui sans être andalous ont, comme Bach, le duende... </div><div><div> </div><div><span style="text-decoration: underline; font-size: 12pt;">INCIPIT</span> :</div><div> Desde el año 1918…</div></div><div> "Depuis 1918, date à laquelle je suis entré à la Résidence d’Étudiants de Madrid, et jusqu’en 1928 où je l’ai quittée, après avoir achevé mes études de Philosophie et de Lettres, j’ai entendu dans ce salon raffiné, où se rendait la vieille aristocratie espagnole pour y corriger sa frivolité de plage française, près de mille conférences.</div><div> Moi qui avais envie de vent et de soleil, je m’y suis tellement ennuyé qu’en sortant je me suis senti recouvert d’une légère couche de cendre qui menaçait de se transformer en poivre tellement elle m’irritait.</div><div> Non. Je ne voudrais pas qu’il entre dans cette salle le terrible bourdon de l’ennui qui enfile toutes les têtes sur un délicat brin de sommeil et met sur les yeux de l’auditoire de tout petits paquets de pointes d’épingles."</div><div> </div><div>recension © MC San Juan</div><div> </div><div><span style="text-decoration: underline; font-size: 12pt;">LIENS…</span> </div><div> </div><div><div><span style="text-decoration: underline;">Jeu et théorie du Duende (éd.bilingue). Page éditeur, Allia</span>…</div><div dir="ltr" data-setdir="false"><a href="https://www.editions-allia.com/fr/livre/253/jeu-et-theorie-du-duende" target="_blank" rel="nofollow noopener">https://www.editions-allia.com/fr/livre/253/jeu-et-theorie-du-duende</a></div><div dir="ltr" data-setdir="false"> </div><div dir="ltr" data-setdir="false"><div dir="ltr" data-setdir="false"><span style="text-decoration: underline;">Complaintes gitanes, éd. Allia (bilingue)</span>...</div><div dir="ltr" data-setdir="false"><a class="" href="https://www.editions-allia.com/fr/livre/252/complaintes-gitanes" target="_blank" rel="nofollow noopener">https://www.editions-allia.com/fr/livre/252/complaintes-gitanes</a></div></div></div><div> </div><div><div dir="ltr" data-setdir="false"><span style="text-decoration: underline;">Note d'Esprits nomades (sur Le Romancero gitano)</span>...</div><div dir="ltr" data-setdir="false"><a href="https://www.espritsnomades.net/litterature/federico-garcia-lorca-le-romancero-gitan/" target="_blank" rel="nofollow noopener">https://www.espritsnomades.net/litterature/federico-garcia-lorca-le-romancero-gitan/</a></div></div><div> </div><div><div dir="ltr" data-setdir="false"><span style="text-decoration: underline;">Fiche wikipedia, Federico Garcia Lorca</span>...</div><div dir="ltr" data-setdir="false"><a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Federico_Garc%C3%ADa_Lorca" target="_blank" rel="nofollow noopener">https://fr.wikipedia.org/wiki/Federico_Garc%C3%ADa_Lorca</a></div><div dir="ltr" data-setdir="false">....................................................................................</div><div dir="ltr" data-setdir="false"> </div><div dir="ltr" data-setdir="false"><div dir="ltr" data-setdir="false"><span style="text-decoration: underline;">Andalousie. Notes antérieures</span>...</div><br /><div><div><span style="text-decoration: underline;">Andalousie… Deux livres</span> (L’Envoyé de l’esprit, et La Confrérie des Éveillés). Recension. Note du 22-06-20.</div><div dir="ltr" data-setdir="false"><a href="http://tramesnomades.hautetfort.com/archive/2020/06/22/andalousies-l-envoye-de-l-esprit-de-z-ev-ben-shimon-halevi-e-6247499.html" target="_blank" rel="nofollow noopener">http://tramesnomades.hautetfort.com/archive/2020/06/22/andalousies-l-envoye-de-l-esprit-de-z-ev-ben-shimon-halevi-e-6247499.html</a></div></div><div dir="ltr" data-setdir="false"><div dir="ltr" data-setdir="false"><div> </div><div><div><span style="text-decoration: underline;">Lire José Val del Omar</span> (cinéaste et poète natif de Grenade, Andalousie). Note du 23-07-15 (et notes associées…).</div><div dir="ltr" data-setdir="false"><a href="http://tramesnomades.hautetfort.com/archive/2015/07/23/lire-jose-val-del-omar-citations-espagnol-et-traduction-et-l-5661245.html" target="_blank" rel="nofollow noopener">http://tramesnomades.hautetfort.com/archive/2015/07/23/lire-jose-val-del-omar-citations-espagnol-et-traduction-et-l-5661245.html</a></div></div><div dir="ltr" data-setdir="false"><div dir="ltr" data-setdir="false"> </div></div><div><span style="text-decoration: underline;">Andalousie ? Non : Andalousies...</span> Identité, histoire, livres. Note du 27-05-15</div><div><a href="http://tramesnomades.hautetfort.com/archive/2015/05/27/andalousie-non-andalousies-5629169.html" target="_blank" rel="nofollow noopener">http://tramesnomades.hautetfort.com/archive/2015/05/27/andalousie-non-andalousies-5629169.html</a></div><div> </div><div><div><span style="text-decoration: underline;">Andalousie(s). Terre plurielle, de musique</span>. Découvrir. Note du 11-03-11… </div><div><a href="http://tramesnomades.hautetfort.com/archive/2011/03/11/andalousies-suite-voyage-d-une-melodie-terre-plurielle-aussi.html" target="_blank" rel="nofollow noopener">http://tramesnomades.hautetfort.com/archive/2011/03/11/andalousies-suite-voyage-d-une-melodie-terre-plurielle-aussi.html</a></div><div> </div></div></div><div><span style="text-decoration: underline;">Andalousie(s). Lieu, histoire et culture</span>. Note du 07-03-11...</div><div dir="ltr" data-setdir="false"><a href="http://tramesnomades.hautetfort.com/archive/2011/03/07/andalousies.html" target="_blank" rel="nofollow noopener">http://tramesnomades.hautetfort.com/archive/2011/03/07/andalousies.html</a></div></div></div></div>
MCSJuan
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Andalousie… L’Envoyé de l’esprit, de Z’ev ben Shimon Halevi. Et La Confrérie des Éveillés, de Jacques Attali.
tag:tramesnomades.hautetfort.com,2020-06-22:6247499
2020-06-22T23:52:00+02:00
2020-06-22T23:52:00+02:00
Double relecture. D’abord, un livre très particulier, d’un auteur...
<div><img id="media-6147996" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://tramesnomades.hautetfort.com/media/02/00/299699661.jpg" alt="1.Envoye-de-l-esprit.jpg" />Double relecture.</div><div> </div><div>D’abord, un livre très particulier, d’un auteur qui l’est encore plus. Une des quelques rencontres les plus inouïes que j’ai pu faire dans ma vie, jusqu’ici. Un beau caillou sur le chemin, un de ceux qui montrent la route du dehors et du dedans. L’auteur faisait des conférences-ateliers, réservées à un public invité, et disparaissait comme il était venu, peu soucieux d’être suivi par des curieux.</div><div>Le livre est <span style="text-decoration: underline;"><em>L’Envoyé de l’Esprit</em></span>, roman initiatique de <span style="text-decoration: underline;">Z’ev ben Shimon Halevi</span> (Warren Kenton est le nom anglais, transformé, le nom originel familial complet étant Z'ev ben Shimon ben Joshua Haham-Halevi.</div><div>C’est un kabbaliste anglais connaisseur de l’Andalousie juive et métisse (les diasporas de gens et d'idées ont leurs mystères). Sa tradition est celle dite de Toledano (lignée sépharade). Ce livre fait pénétrer comme peu le font, dans l’univers andalou, tel que perçu par les récits transmis de génération en génération. C’est un livre de mystique, dont le message est l’idéal d’une Andalousie spirituelle fraternelle, mais où cependant on enfermait ceux qui ne suivaient pas la loi du moment. </div><div><img id="media-6147997" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://tramesnomades.hautetfort.com/media/02/00/3471247028.jpg" alt="2 Attali.jpg" />Pour comprendre totalement le sens du livre de Zen Ben Shimon Halevi il faut revenir sur le titre et compléter par la lecture d’un autre livre, celui de <span style="text-decoration: underline;">Jacques Attali</span>, <span style="text-decoration: underline;"><em>La Confrérie des Éveillés</em></span>.</div><div> </div><div>Le titre, <em>L’Envoyé de l’Esprit</em>, se réfère aux croyances des diverses religions en un Messie (passé ou à venir). Lui, dans ce livre, à travers son personnage clé (celui de l’incipit, le voit comme une réalité plurielle, aux noms divers. Moïse, Jésus, le Katub des soufis, les trente-six Justes cachés de la tradition juive (etc.). Tout un paragraphe du livre développe cela, et c’est repris diversement.</div><div>La poétesse <span style="text-decoration: underline;">Kathleen Raine</span> (1908-2003) avait une grande proximité de pensée avec lui. Elle, qui traduisit Balzac, enseignait les mythes en littérature et était spécialiste de poètes comme Blake et Yeats.</div><div> </div><div><span style="text-decoration: underline;">L’INCIPIT</span> :</div><div>"Don Immanuel Cordovero, debout dans une pièce vide en haut de la maison qu’il avait achetée, parcourut des yeux la vieille ville de Zéona par un matin glacé du printemps 1491, le jour de l’Équinoxe, veille de la Pâque et vendredi précédant les Rameaux. Au sud, par-dessus les toits ocres, il pouvait distinguer les montagnes chauves de Tolède, mais vers le nord, la végétation abondante adoucissait la plaine aride qui s’étendait au-dessous de la ville. Cette verdure le réjouit ; il savait pourtant que l’été, aussi austère à sa manière que les hivers rigoureux de Castille, ne tarderait pas à la griller pour ne laisser que du brun. Le haut plateau du centre de l’Espagne, avec son air raréfié, ses ciels durs et sa lumière vive, semblait conçu pour les mystiques. Et il en avait abrité plus d’un, car il était propice à l’œuvre de l’Esprit. Peut-être était-ce parce qu’on se sentait plus près du céleste dans une atmosphère si subtile, se dit-il. Ce petit endroit reculé, avec sa réputation de calme, était parfait pour son année sabbatique." </div><div> </div><div><em>The Anointed</em> est le titre original, 1987. Traduction de Françoise et Guy Casaril, éd. L’Espace bleu, 1991.</div><div>(La couverture est une peinture d’Agnaldo Moreno, d’après un dessin de Mathyas Olah).</div><div>…………………………………………..</div><div> </div><div>L’autre livre, donc, est celui de <span style="text-decoration: underline;">Jacques Attali</span>, <em>La Confrérie des Éveillés</em>, Fayard ,2004. Livre de poche 2006 (et rééditions). </div><div>La couverture est une peinture du Christ à Emmaüs, de Vittore Carpaccio (détail).</div><div>L’auteur démonte de fausses idées sur une Andalousie rêvée. La réelle est à la fois cruelle et belle, la cruauté d’un règne conquérant d’après le début du XIIè siècle (le XIè siècle est différent) plus oubliée que celle de l’expulsion ou des conversions forcées de l’Inquisition (en nombre important). Avec ces deux livres on a un portrait déjà assez complet.</div><div> </div><div><span style="text-decoration: underline;">Double INCIPIT à lire</span> :</div><div> </div><div><span style="text-decoration: underline;">L’avertissement, début des deux pages</span> :</div><div> "Voici l’histoire de deux décennies fabuleuses qui mirent fin à la seule période de l’Histoire où la chrétienté, l’islam et le judaïsme vécurent en harmonie. En un seul moment - le XI è et le début du XII è siècle -, en un seul lieu - l’Andalousie -, les trois monothéismes choisirent de se respecter, de s’admirer, de se nourrir les uns des autres. En toute liberté, leurs plus grands philosophes dialoguaient alors en être eux (…).</div><div> Et puis tout dérapa."</div><div> .</div><div><span style="text-decoration: underline;"> Le chapitre premier</span> :</div><div> "En ce temps-là, à Cordoue, le pont de pierre jeté onze siècles auparavant à travers le Guadalquivir par les troupes de l’empereur Auguste était, en fin d’après-midi, le lieu de toutes les rencontres."</div><div> </div><div>recension © MC San Juan</div><div> </div><div><span style="text-decoration: underline;"><span style="font-size: 12pt;">LIENS..</span></span>.</div><div> </div><div><div><span style="text-decoration: underline;">Différents livres de Zev Ben Shimon Halevi. La Procure</span>… </div><div><a href="https://www.leslibrairiesprocure.com/personne/personne/zev-ben-shimon-halevi/68005/" target="_blank" rel="nofollow noopener">https://www.leslibrairiesprocure.com/personne/personne/zev-ben-shimon-halevi/68005/</a></div><div><div><span style="text-decoration: underline;">Fiche wikipedia… Z’ev ben Shimon Halevi.</span>..</div><div dir="ltr" data-setdir="false"><a class="" href="https://en.m.wikipedia.org/wiki/Z'ev_ben_Shimon_Halevi" target="_blank" rel="nofollow noopener">https://en.m.wikipedia.org/wiki/Z'ev_ben_Shimon_Halevi</a></div></div><div> </div><div><span style="text-decoration: underline;">La Confrérie des Éveillés, de Jacques Attali, page Livre de poche…</span></div><div dir="ltr" data-setdir="false"><a href="https://www.livredepoche.com/livre/la-confrerie-des-eveilles-9782253113799" target="_blank" rel="nofollow noopener">https://www.livredepoche.com/livre/la-confrerie-des-eveilles-9782253113799</a></div><div dir="ltr" data-setdir="false"><div dir="ltr" data-setdir="false"><span style="text-decoration: underline;">Jacques Attali, site officiel</span>...</div><div dir="ltr" data-setdir="false"><a class="" href="http://www.attali.com/" target="_blank" rel="nofollow noopener">http://www.attali.com</a></div></div></div>
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Droite et « extrême-droite » main dans la main pour gouverner l’Andalousie
tag:pdf31.hautetfort.com,2018-12-28:6116372
2018-12-28T08:52:00+01:00
2018-12-28T08:52:00+01:00
Publié par Guy Jovelin le 28 décembre 2018 Par perubu le...
<p style="text-align: justify;">Publié par Guy Jovelin le 28 décembre 2018</p><div id="home-main"><article id="post-area" class="post-1133063 post type-post status-publish format-image has-post-thumbnail hentry category-monde category-politique tag-andalousie tag-droite tag-extreme-droite tag-minorites tag-parlement-regional tag-parti-populaire tag-seville tag-xenophobie post_format-post-format-image"><div class="post-extra-panel" style="text-align: right;">Par <a title="Articles par perubu" href="https://www.fdesouche.com/author/perubu" rel="author">perubu</a> le 27/12/2018 </div><div class="post-extra-panel" style="text-align: justify;"> </div><div id="content-area"><div class="post-image"><span style="font-size: 10pt;"><img style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" src="https://www.fdesouche.com/miniatures/620x400/1133063.jpg" alt="" width="456" height="294" data-src="//www.fdesouche.com/miniatures/620x400/1133063.jpg" /></span></div><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;"><strong>Avec les voix du parti Vox (classé à l’extrême droite), la candidate de Ciudadanos (centre droite) est élue présidente du parlement régional. Et le leader du Parti populaire (droite) devrait devenir président de la région espagnole en janvier.</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">Pour la première fois depuis 1977 et le retour de la démocratie, un responsable d’extrême droite occupera un poste à responsabilité dans une institution espagnole : Manuel Gaviria, du parti Vox, est devenu jeudi vice-président du Parlement d’Andalousie. Il sera l’un des six membres du bureau de l’assemblée régionale. En échange, sa formation a permis l’élection de Marta Bosquet, candidate de Ciudadanos (centre droit) à la tête du Parlement qui siège à Séville.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">[…] C’est donc une formation xénophobe, opposée aux droits des femmes et des minorités, crispée sur l’unité du pays contestée par la tentative de sécession d’une partie de la société catalane, qui s’érige en arbitre. […]</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;"><a href="https://fr.news.yahoo.com/droite-extr%C3%AAme-droite-main-main-gouverner-landalousie-183528002.html" target="_blank"">news.yahoo/Libération</a> via <a href="https://www.fdesouche.com/1133063-droite-et-extreme-droite-main-dans-la-main-pour-gouverner-landalousie">fdesouche</a></span></p></div></article></div>
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VOX, parti de droite nationale, obtient 12 élus au Parlement régional d’Andalousie
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2018-12-04T11:35:00+01:00
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Publié par Guy Jovelin le 04 décembre 2018 Ecrit par Pierre-Alain...
<p style="text-align: justify;">Publié par Guy Jovelin le 04 décembre 2018</p><div id="post-101901" class="clearfix post-wrap post-101901 post type-post status-publish format-standard has-post-thumbnail hentry category-europe category-international tag-andalousie tag-espagne tag-vox"><div class="entry"><div style="text-align: right;"><h3 class="title"><span style="font-size: 10pt;">Ecrit par <a href="https://www.medias-presse.info/author/pad/">Pierre-Alain Depauw</a></span> </h3></div><p><span style="font-size: 10pt;"><img class="alignnone size-full wp-image-101903" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" src="https://www.medias-presse.info/wp-content/uploads/2018/12/vox-andalousie.jpg" sizes="(max-width: 960px) 100vw, 960px" srcset="https://www.medias-presse.info/wp-content/uploads/2018/12/vox-andalousie.jpg 960w, https://www.medias-presse.info/wp-content/uploads/2018/12/vox-andalousie-300x200.jpg 300w, https://www.medias-presse.info/wp-content/uploads/2018/12/vox-andalousie-768x511.jpg 768w, https://www.medias-presse.info/wp-content/uploads/2018/12/vox-andalousie-600x399.jpg 600w, https://www.medias-presse.info/wp-content/uploads/2018/12/vox-andalousie-83x55.jpg 83w, https://www.medias-presse.info/wp-content/uploads/2018/12/vox-andalousie-75x50.jpg 75w" alt="" width="569" height="379" /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">Espagne – Le parti Vox, caractérisé par son programme de droite nationale et pro-famille, a obtenu dimanche ses 12 premiers élus au Parlement régional d’Andalousie, mettant fin à la domination de la gauche qui perd sa majorité absolue dans la région la plus peuplée du pays. Il s’agit d’une véritable gifle pour le Premier ministre socialiste Pedro Sanchez.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">Vox est un parti fondé en 2013, opposé à l’immigration illégale et à l’indépendantisme catalan. «Les Andalous ont fait l’histoire (…) et se sont débarrassés de 36 ans de régime socialiste», a clamé son président Santiago Abascal.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">Voici les cinq points principaux sur lesquels il a mené sa campagne électorale :</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">1. La politique autonomiste a échoué et l’Etat doit recouvrer les compétences en matière de santé et d’éducation.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">2. La fin des impôts abusifs et injustes comme l’impôt sur les successions.</span></p><ol style="text-align: justify;"><li><span style="font-size: 10pt;">Le respect de ses traditions comme la semaine sainte, la chasse et la corrida.</span></li></ol><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">4. L’abrogation des lois idéologiques telles que celles du genre et celle de la mémoire historique.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">5. La lutte contre l’immigration illégale parce qu’elle est un problème pour la coexistence, la sécurité et la prospérité des Espagnols</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">Source : <a href="https://www.medias-presse.info/vox-parti-de-droite-nationale-obtient-12-elus-au-parlement-regional-dandalousie/101901/">medias-presse.info</a></span></p></div></div>
MCSJuan
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Federico Garcia Lorca l'immense. Une citation, et des poèmes...
tag:tramesnomades.hautetfort.com,2018-07-20:6067417
2018-07-20T03:29:00+02:00
2018-07-20T03:29:00+02:00
La pierre est un dos pour porter le temps / avec arbres de larmes et...
<p><img id="media-6158189" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://tramesnomades.hautetfort.com/media/00/01/2759126241.jpg" alt="poésie,citations,maurice ohana,andalousie,vicente pradal,federico garcia lorca,espagne,poètes espagnols" /></p><p>La pierre est un dos pour porter le temps / avec arbres de larmes et rubans et planètes.</p><p>Federico Garcia Lorca (Corps gisant, « Llanto pour Ignacio Sanchez Mejias »)</p><p>En espagnol… La piedra es una espalda para llevar al tiempo / con árboles de lágrimas y cintas y planetas. (Cuerpo presente, « Llanto por Ignacio Sánchez Mejías » /sur… poemas-del-alma.com)</p><p>Dans la suite du poème "porter" semble prendre le sens d’emporter… Pierre du gisant, pierre que les pluies fuient, pierre qui avale le temps, l’emporte avec la mort et le mort. </p><p><br /><span style="font-size: 10pt;"><img id="media-5843762" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://tramesnomades.hautetfort.com/media/02/00/2735160108.2.jpg" alt="LORCA 1.jpg" />Poèmes du Llanto pour Ignacio Sanchez Mejias, page sur le site créé par Gil Pressnitzer, Esprits nomades... Introduction de Gil Pressnitzer, et poèmes traduits par Vicente Pradal, dont Dépouille mortelle. Il traduit ainsi les vers cités ci-dessus : La pierre est une échine qui peut porter le temps / avec <img id="media-5843763" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://tramesnomades.hautetfort.com/media/00/01/3836166652.jpg" alt="ederico garcia lorca,lorca,poésie,llanto pour ignacio sanchez mejias,dépouille mortelle,citations,esprits nomades,maurice ohana,andalousie,vicente pradal" />arbres de larmes et rubans et planètes. Le poème intégral en français est sur cette page, après le texte de présentation... </span></p><p> </p><p> </p><p><span style="font-size: 10pt;"><a class="" href="https://www.espritsnomades.net/litterature/federico-garcia-lorca-les-chemins-sous-la-lune-du-poete/" target="_blank" rel="nofollow noopener"><span style="font-size: small;">https://www.espritsnomades.net/litterature/federico-garcia-lorca-les-chemins-sous-la-lune-du-poete/</span></a></span></p><p><span style="font-size: 10pt;">LORCA dans la collection Poésie/Gallimard, plusieurs volumes… <a href="http://www.gallimard.fr/Catalogue/GALLIMARD/Poesie-Gallimard/Poesies2">http://www.gallimard.fr/Catalogue/GALLIMARD/Poesie-Gallimard/Poesies2</a></span></p><p><span style="font-size: 10pt;">.......... <span style="font-size: 12pt;"><strong>LIRE en ESPAGNOL</strong></span>... ....</span></p><div><span style="text-decoration: underline;">Federico Garcia Lorca et la poésie espagnole, sur des sites dédiés</span>...</div><div> </div><div><span style="text-decoration: underline;">DOSSIER Federico Garcia Lorca</span>, sur <span style="text-decoration: underline;">Poemas del Alma</span>.</div><div>Présentation brève, nombreux poèmes, <span style="text-decoration: underline;"><strong>en espagnol</strong></span> (cliquer sur les titres et lire…), biographie… (Ce site présente beaucoup d’autres poètes, rubrique en haut de page)... <a class="" href="https://www.poemas-del-alma.com/federico-garcia-lorca.htm" target="_blank" rel="nofollow noopener"><span style="font-size: small;">https://www.poemas-del-alma.com/federico-garcia-lorca.htm</span></a></div><div> </div><div><span style="text-decoration: underline;">Quelques POÈMES de Federico Garcia Lorca</span>, <strong><span style="text-decoration: underline;">en espagnol</span></strong>. Et, en bas de page, après ses poèmes, liens vers de <span style="text-decoration: underline;">nombreux auteurs espagnols</span> (et poètes traduits en espagnol… comme Baudelaire… et d’autres)...</div><div><a href="https://www.zendalibros.com/los-mejores-poemas-garcia-lorca/" target="_blank" rel="nofollow noopener"><span style="font-size: small;">https://www.zendalibros.com/los-mejores-poemas-garcia-lorca/</span></a></div><div> </div>
Cinéma militant
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Album de famille
tag:cinemamilitant.hautetfort.com,2018-03-01:6030566
2018-03-01T11:44:12+01:00
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Réalisation: Fernand Melgar Année de sortie: 1993 Pays: Suisse...
<p><strong><img id="media-5776386" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://cinemamilitant.hautetfort.com/media/01/02/3887743294.jpg" alt="Album de famille,andalousie,espagne,précarité et pauvreté,émigration,immigration,suisse,documentaire,fernand melgar,1993" />Réalisation:</strong> Fernand Melgar</p><p><strong>Année de sortie:</strong> 1993</p><p><strong>Pays:</strong> Suisse</p><p><strong>Durée:</strong> 54 minutes</p><p style="text-align: justify;">À travers le témoignage des parents du réalisateur sur les 27 années que ces derniers passèrent en Suisse avant de revenir à leur village d’origine de Ronda (Andalousie, Espagne) ainsi qu’à l’aide de films d’actualités de l’époque, ce documentaire illustre l’expérience que vécurent bon nombre de travailleurs méridionaux ayant émigré dans ce même pays pendant les Trente Glorieuses, période d’essor économique sans précédent.</p><p> </p><p><iframe width="365" height="270" src="//tp.srgssr.ch/p/srf/embed?urn=urn:rts:video:6472782&start=" allowfullscreen="allowfullscreen" frameborder="0" name="Album de famille"></iframe></p>
Oderik
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Voyage en Andalousie - Cordoue
tag:lesvoyagesoderik.hautetfort.com,2017-01-16:5899393
2017-01-16T11:40:20+01:00
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Après une petite visite de Carmona sur la route nous visitons la belle...
<p><img id="media-5546586" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://lesvoyagesoderik.hautetfort.com/media/02/01/2845274652.JPG" alt="P1030632.JPG" />Après une petite visite de Carmona sur la route nous visitons la belle grenade et surtout la Mezquita, la mosquée-cathédrale, surement le monument le plus magnifique de ce périple. L'immense mosquée avec ses 850 colonnes et arcades contient en son centre une cathédrale. Le décalage entre le dépouillement musulman et le faste catholique est remarquable. <img id="media-5546588" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://lesvoyagesoderik.hautetfort.com/media/00/00/2144243969.JPG" alt="P1030652.JPG" /></p><p> </p><p>Ensuite visite de la vielle ville, de l'ancien palais et du vieux pont</p>
Ratatosk
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Darío Fernández-Morera, author of 'The Myth of the Andalusian Paradise'
tag:euro-synergies.hautetfort.com,2017-01-13:5898398
2017-01-13T20:56:29+01:00
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Darío Fernández-Morera, author of 'The Myth of the Andalusian...
<div id="watch-header" class="yt-card yt-card-has-padding"><div id="watch7-headline" class="clearfix"><div id="watch-headline-title"><p style="text-align: center;"><img id="media-5544778" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://euro-synergies.hautetfort.com/media/00/00/3215412339.jpg" alt="andalusianparadise.jpg" /></p><h1 class="watch-title-container"><span style="font-size: 24pt; font-family: 'arial black', sans-serif; color: #ff6600;"><strong><span id="eow-title" class="watch-title" dir="ltr" title="Darío Fernández-Morera, author of 'The Myth of the Andalusian Paradise' - Focus Today">Darío Fernández-Morera, author of 'The Myth of the Andalusian Paradise'</span></strong></span></h1><h1 class="watch-title-container"><span style="font-size: 14pt; font-family: 'arial black', sans-serif;"><strong><span id="eow-title" class="watch-title" dir="ltr" style="color: #999999;" title="Darío Fernández-Morera, author of 'The Myth of the Andalusian Paradise' - Focus Today">Focus Today</span></strong></span></h1></div></div><div id="watch7-user-header" class=" spf-link "><span style="font-size: 14pt; font-family: 'arial black', sans-serif;"><strong><span style="color: #999999;"><a class="yt-user-photo g-hovercard yt-uix-sessionlink spf-link " style="color: #999999;" href="https://www.youtube.com/user/theDoveTV" data-sessionlink="itct=CDAQ4TkiEwjisOnm0b_RAhVVsFUKHW1BDcAo-B0" data-ytid="UCk3d_OZ3ie6nR9QVluA-nSw"><span class="video-thumb yt-thumb yt-thumb-48 g-hovercard" data-ytid="UCk3d_OZ3ie6nR9QVluA-nSw"><span class="yt-thumb-square"><span class="yt-thumb-clip"><img src="https://yt3.ggpht.com/-mtFmKmlzCng/AAAAAAAAAAI/AAAAAAAAAAA/VGGhj6I5Xi0/s88-c-k-no-mo-rj-c0xffffff/photo.jpg" alt="theDoveTV" width="48" height="48" data-ytimg="1" /> </span></span></span></a></span></strong></span><div class="yt-user-info"><span style="font-size: 14pt; font-family: 'arial black', sans-serif;"><strong><span style="color: #999999;"><a class="g-hovercard yt-uix-sessionlink spf-link " style="color: #999999;" href="https://www.youtube.com/channel/UCk3d_OZ3ie6nR9QVluA-nSw" data-sessionlink="itct=CDAQ4TkiEwjisOnm0b_RAhVVsFUKHW1BDcAo-B0" data-ytid="UCk3d_OZ3ie6nR9QVluA-nSw">theDoveTV</a></span></strong></span></div></div></div><div id="action-panel-details" class="action-panel-content yt-uix-expander yt-card yt-card-has-padding" tabindex="0"><div id="watch-description" class="yt-uix-button-panel"><div id="watch-description-content"><div id="watch-description-clip"><div id="watch-description-text" class=""><p id="eow-description" class=""><strong><span style="font-size: 12pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999;">Darío Fernández-Morera, author of the new book, The Myth of the Andalusian Paradise: Muslims, Christians, and Jews under Islamic Rule in Medieval Spain, explains why President Obama is wrong to say that Islam has a proud tradition of tolerance.</span></strong><br /><br /><br /><strong><span style="font-size: 12pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999;">Originally aired on theDove TV & Radio 3-10-16</span></strong><br /><strong><span style="font-size: 12pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999;">See more at <a class="yt-uix-servicelink " style="color: #999999;" href="http://thedove.us/" target="_blank" rel="nofollow noopener" data-url="http://thedove.us" data-target-new-window="True" data-servicelink="CC8Q6TgYACITCOKw6ebRv9ECFVWwVQodbUENwCj4HQ">http://thedove.us</a> and <a class="yt-uix-servicelink " style="color: #999999;" href="http://facebook.com/thedoveonline" target="_blank" rel="nofollow noopener" data-url="http://facebook.com/thedoveonline" data-target-new-window="True" data-servicelink="CC8Q6TgYACITCOKw6ebRv9ECFVWwVQodbUENwCj4HQ">http://facebook.com/thedoveonline</a></span></strong></p><p class=""><iframe width="560" height="315" src="https://www.youtube.com/embed/REljGDVQJDs" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p><p class=""> </p></div></div></div></div></div>
Oderik
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Voyage en Andalousie - Séville
tag:lesvoyagesoderik.hautetfort.com,2017-01-10:5896970
2017-01-10T10:54:00+01:00
2017-01-10T10:54:00+01:00
La première chose qui marque en se promenant dans les petites rues du...
<p style="text-align: center;"><img id="media-5542709" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lesvoyagesoderik.hautetfort.com/media/02/00/2605012038.JPG" alt="P1030466.JPG" /></p><p>La première chose qui marque en se promenant dans les petites rues du vieux Séville se sont le orangers, là ou nous avons des platanes ils ont des orangers. Les rues en sont bordées, j'aimerai bien savoir ce qu'ils en font quand elles sont mures.</p><p>J'ai bien aimé la place d'Espagne, créée pour une exposition et parées de céramiques.</p><p style="text-align: center;"><img id="media-5542710" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lesvoyagesoderik.hautetfort.com/media/00/00/2443964303.JPG" alt="P1030504.JPG" /></p><p>Il faut voir les patios des anciennes demeures qui doivent conserver le frais en été.</p><p><img id="media-5542712" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://lesvoyagesoderik.hautetfort.com/media/02/00/5404226.JPG" alt="P1030567.JPG" /></p><p>Sinon bien sur à voir l'Alcazar avec ses beaux jardins et la cathédrale avec la Giralda, un minaret où le muezzin pouvait monter avec son cheval.</p><p> </p>
Oderik
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Voyage en Andalousie
tag:lesvoyagesoderik.hautetfort.com,2017-01-04:5894579
2017-01-04T10:42:03+01:00
2017-01-04T10:42:03+01:00
Après Lisbonne l'année dernière nouveau voyage de fin d'année en famille,...
<p><img id="media-5538604" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://lesvoyagesoderik.hautetfort.com/media/01/01/2845274652.JPG" alt="P1030632.JPG" />Après Lisbonne l'année dernière nouveau voyage de fin d'année en famille, cette fois en Andalousie: Séville, Cordoue, Grenade et Ronda.</p><p>Un temps superbe, grand soleil avec des pointes à 19°, de belles villes, moi qui aime les vieilles pierres je fut servi: palais somptueux, anciennes demeures, patios avec fontaine..., une excellente nourriture et de belles promenades dans les petites rues. le seul bémol est le paysage enter les villes: des champs surtout d'olivier à perte de vue, ce n'est pas beau.</p><p>Descriptif dans les jours à venir.</p>
MCSJuan
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”Un trait de khôl au bord des yeux”... Livres. Ou la trace sensible de la mémoire.
tag:tramesnomades.hautetfort.com,2016-02-29:5767294
2016-02-29T23:43:00+01:00
2016-02-29T23:43:00+01:00
Livre dont la dédicace est double, adressée à sa mère, qui est centrale dans...
<p>Livre dont la dédicace est double, adressée à sa mère, qui est centrale dans le livre, et à ses enfants, pour le devoir de transmission de la mémoire. </p><p><img id="media-6159817" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://tramesnomades.hautetfort.com/media/02/00/840294179.jpg" alt="laurence fontaine kerbellec,un trait de khôl au bord des yeux,livres,mémoire,transmission,métissage,pieds-noirs,espagne,andalousie,algérie,culture,guy jimenes,gil ben aych,carmencita ou l’aqueduc aux oranges" />L’auteur, Laurence Fontaine Kerbellec, est née d’un métissage entre exil pied-noir et ancrage normand. Elle, de cet exil et de cette culture dont vient sa mère, elle a reçu ce qui passe par les mots, les silences, le signe des douleurs, mais aussi par les minuscules choses qui traduisent des appartenances, des héritages. Elle a baigné, le sachant parfois et parfois le sachant moins, dans un espace nourri d’Oranie espagnole. Nourri, car la nourriture, la cuisine, cela est part importante de ce qui se transmet : le goût de recettes métissées, de certaines épices, de certaines couleurs, dans les plats (et des plats). Mais nourri aussi d’un reste d’accent, de parfums peut-être, de mots traversant les langues. De la tristesse, car l’exil est souffrance (et ce qui précéda l’exil autant que ce qui le suivit, ce fut souffrance), mais aussi une présence autre du corps, et du corps féminin. </p><p>D’où ce titre, si bien choisi, qui dit tant de choses… "<strong><span style="text-decoration: underline;">Un trait de khôl au bord des yeux</span></strong>" Car le khôl, venu de l’esthétique du Maghreb, est comme une empreinte. On marque son regard d’étrangeté, on lui fait signer sa part d’orient. Au bord des yeux, comme on est au bord des larmes. Regard ici, regard ailleurs (« là-bas »). Le khôl marque une frontière qu’inconsciemment on trace pour dire son statut d’exilée. (En tout cas ce fut un sens possible, qui s’est perdu ensuite, avec l’emprunt de ce signe par d’autres, loin, elles, d’avoir à dire le traumatisme d’une traversée non choisie, ou d’un héritage de mémoire à interroger, écrire, transmettre.)</p><p>En exergue, Maupassant, pour dire, à travers lui, quelque chose de l’amour d’un enfant pour sa mère : « On aime sa mère presque sans le savoir, sans le sentir, car cela est naturel comme de vivre. »</p><p>L’écriture est dans le sillage de cet amour : « Je veux tout savoir sur l’enfance et la jeunesse de ma mère ». Avec aussi l’attrait de ce qui diffère d’elle. La mère, fille du soleil, la fille qui en a aussi le goût mais sait vivre avec le froid normand…</p><p>Mais ce qui motive aussi ce désir d’écrire pour mieux connaître cette mère, c’est le besoin de se comprendre mieux soi-même : « Quand nos origines ne nous sont pas toutes dévoilées ou du moins dans le détail, on est en recherche de soi. C’est important de savoir d’où on vient pour mieux comprendre où on va et pourquoi on va dans cette direction. »</p><p>Ce livre intéressera ceux qui ont des racines identiques, car ils y trouveront un écho ou des repères. Mais il peut aussi concerner quiconque a le goût d’autrui, justement quand les vécus sont tout à fait autres. Comment les mémoires ancestrales font leur chemin dans les consciences, comment on trouve son identité à partir du croisement d’identités aux marques différentes, comment on entre dans le souvenir de joies et de douleurs, intimement, et comment cela se tisse avec les questionnements de l’histoire et de l’actualité, que ce soit formulé ou pas.</p><p>Il est diffusé aussi en e-book : <a href="https://www.publibook.com/un-trait-de-khol-au-bord-des-yeux.html/">https://www.publibook.com/un-trait-de-khol-au-bord-des-yeux.html/</a></p><p>……….. « Un trait de khôl au bord des yeux » est destiné aux adultes, mais la <span style="text-decoration: underline;">présentation sur Ricochet</span> le conseille aussi à partir de 13 ans (à juste titre) : <a href="http://www.ricochet-jeunes.org/livres/livre/46618-un-trait-de-khol-au-bord-des-yeux">http://www.ricochet-jeunes.org/livres/livre/46618-un-trait-de-khol-au-bord-des-yeux</a></p><p>Et c’est vrai que ce travail sur la mémoire passe bien dans cette littérature, car (on le voit aux notes sur les ouvrages que je mentionne ci-dessous) le fait que les livres soient destinés à un public jeune fait que les auteurs qui choisissent ce public (ou qui peuvent être lus aussi par ce public jeune) ont un regard qui tente de rendre à tous les protagonistes de leurs histoires leur humanité, sans polémiques inutiles, sans ostracisme. Et quand les personnages sont des enfants on voit mal comment on leur ferait porter le poids des responsabilités historiques, même quand l’auteur est extérieur à leur univers. Quand les auteurs parlent de leur propre mémoire, personnelle ou familiale, en s’adressant à des enfants ou à des jeunes, ils font un travail sur eux-mêmes, pour que le témoignage ne soit pas trop chargé de douleur ou de désespoir (ce qui serait traumatisant pour les lecteurs jeunes), mais en conservant la charge d’émotion. Et ce faisant ils opèrent une réparation, une guérison psychologique, contagieuse pour le lecteur (et c'est pourquoi ils devraient être lus aussi, ces livres, par les adultes). De plus, faisant entrer dans l’univers d’enfants ou d’adolescents dans l’Histoire, souvent, ils combattent les clichés et l’ostracisme dont ont tant souffert les exilés… </p><div dir="ltr" data-setdir="false">Autre livre d'elle, publié chez L'Harmattan, en 2016. (Mise à jour...)...</div><div dir="ltr" data-setdir="false"><span style="text-decoration: underline; font-size: 12pt;"><em><img id="media-6159807" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://tramesnomades.hautetfort.com/media/00/00/3286157149.jpg" alt="laurence fontaine kerbellec,un trait de khôl au bord des yeux,khôl,livres,mémoire,mère,transmission,culture familiale,métissage,pieds-noirs,espagne,andalousie,algérie,livres jeunesse,bibliographie" />Carmencita ou l'aqueduc aux oranges</em></span>... </div><div dir="ltr" data-setdir="false"><a class="" href="https://www.histoiredenlire.com/20e-siecle/carmencita-ou-l-aqueduc-des-oranges.php" target="_blank" rel="nofollow noopener">https://www.histoiredenlire.com/20e-siecle/carmencita-ou-l-aqueduc-des-oranges.php</a></div><div dir="ltr" data-setdir="false">et</div><div dir="ltr" data-setdir="false"><span style="text-decoration: underline;">Page éditeur, L'Harmattan</span>... <a class="" href="https://www.editions-harmattan.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=livre&no=49925" target="_blank" rel="nofollow noopener">https://www.editions-harmattan.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=livre&no=49925</a></div><div dir="ltr" data-setdir="false"> </div><div dir="ltr" data-setdir="false"> (C'est la suite de la plongée dans les mémoires familiales et dans l'héritage culturel qui vient de là...).</div><div dir="ltr" data-setdir="false"><span style="text-decoration: underline;">Résumé</span> (page éditeur)... </div><div dir="ltr" data-setdir="false">"Habituée aux petits bonheurs simples de l'enfance, Carmen doit affronter, à la mort de ses parents, la dure réalité du monde. Dans la province d'Alméria, sous l'éclatant soleil andalou, elle devra reprendre seule, l'exploitation familiale et, en même temps, se construire un destin. Avec ce roman ensoleillé, l'auteure nous offre un voyage où les parfums et les couleurs rivalisent, des jardins des haciendas aux pieds des orangers, de la chaleur des après-midi à la douceur des nuits."</div><p>......<strong> Lectures complémentaires (autres auteurs)</strong>…...</p><p>Transmission de la mémoire, littérature jeunesse ou conseillés aux jeunes...</p><p><strong>ALGÉRIE, guerre d’Algérie. Livres JEUNESSE</strong> (et pouvant être lus par des adultes…) </p><p><span style="text-decoration: underline;">Douleurs d’exil</span>. « <strong><span style="text-decoration: underline;">Le livre d’Étoile</span></strong> », et « <strong><span style="text-decoration: underline;">Le Voyage de Mémé</span></strong> », de <span style="text-decoration: underline;">Gil Ben Aych</span>, né à Tlemcen </p><p>Plusieurs ouvrages de <span style="text-decoration: underline;">Gil Ben Aych</span>, sur la mémoire, l’exil, la culture : <a href="http://www.ecoledesloisirs.fr/auteur/gil-ben-aych">http://www.ecoledesloisirs.fr/auteur/gil-ben-aych</a> </p><p>Un livre de lui, aux éds Exils : <a href="http://www.editions-exils.fr/auteurs/gil-ben-aych">http://www.editions-exils.fr/auteurs/gil-ben-aych</a> </p><p><span style="text-decoration: underline;">Article sur l’enseignement de la philosophie</span>, <span style="text-decoration: underline;">Le Parisien</span> (et mention d’un ouvrage paru chez L’Harmattan, en 2006, « <span style="text-decoration: underline;">Du bonheur d’enseigner la philosophie</span> » : <a href="http://www.leparisien.fr/val-de-marne/gil-ben-aych-un-prof-philosophe-a-l-unesco-17-11-2006-2007514266.php">http://www.leparisien.fr/val-de-marne/gil-ben-aych-un-prof-philosophe-a-l-unesco-17-11-2006-2007514266.php</a> </p><p>...</p><p><span style="text-decoration: underline;">Guy Jimenes</span>, auteur de livres pour la jeunesse né à Rio Salado, près d'Oran (ne traite pas surtout de l’Algérie - sauf le <strong>livre sur Abd-El-Kader,</strong> mais de questions qui relèvent d’une sensibilité aux malheurs liés à l’Histoire : la douleur des hommes dans les conflits, le rejet, l’exclusion)... <a class="" href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Guy_Jimenes" target="_blank" rel="nofollow noopener">https://fr.wikipedia.org/wiki/Guy_Jimenes</a></p><p>...</p><p><span style="text-decoration: underline;"><strong>Quand ils avaient mon âge. Alger 1954-1962</strong></span>, de <span style="text-decoration: underline;">Gilles Bonotaux et Hélène Lasserre</span>, éd. <span style="text-decoration: underline;">Autrement Jeunesse</span> : <a href="http://www.histoiredenlire.com/20e-siecle/avaient-age-alger.php">http://www.histoiredenlire.com/20e-siecle/avaient-age-alger.php</a> et (brève note sur Ricochet) <a href="http://www.ricochet-jeunes.org/livres/livre/12485-quand-ils-avaient-mon-age-alger-1954-1962">http://www.ricochet-jeunes.org/livres/livre/12485-quand-ils-avaient-mon-age-alger-1954-1962</a> </p><p>..........................................</p><div><img id="media-6162228" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://tramesnomades.hautetfort.com/media/00/00/2431993456.jpg" alt="laurence fontaine kerbellec,un trait de khôl au bord des yeux,livres,mémoire,transmission,métissage,pieds-noirs,espagne,andalousie,algérie,culture,guy jimenes,gil ben aych,carmencita ou l’aqueduc aux oranges" />Une publication de 2004 (éd. PEMF-diffusion Gandini/Serres, et sites-libraires).</div><div><span style="text-decoration: underline;">Marie-Claude San Juan et collectif</span> (entretiens, articles culture, iconographie ample)</div><div><span style="text-decoration: underline;"><em>Pieds-Noirs identité et culture</em></span></div><div>Une trace (et voir, titre, FNAC et autre sites)...</div><div><a class="" href="https://www.lalibrairie.com/livres/pieds-noirs--identite-et-culture-marie-claude-san-juan_0-411800_9782845265448.html" target="_blank" rel="nofollow noopener">https://www.lalibrairie.com/livres/pieds-noirs--identite-et-culture-marie-claude-san-juan_0-411800_9782845265448.html</a></div><p>..........................................</p><p>...Voir aussi, <strong><span style="text-decoration: underline;">mémoire, Algérie</span></strong>… note, <span style="text-decoration: underline;"><strong>BD, un album et une </strong></span><strong><u>bibliographie, plusieurs BD</u>...</strong> <a href="http://tramesnomades.hautetfort.com/archive/2015/04/30/petit-fils-d-algerie-bd-avril-2015-5613630.html">http://tramesnomades.hautetfort.com/archive/2015/04/30/petit-fils-d-algerie-bd-avril-2015-5613630.html</a> </p><p>et</p><div dir="ltr"><span style="text-decoration: underline;">Pages tissées</span>, <strong><span style="text-decoration: underline;">des blogs, des sites</span></strong>. <span style="text-decoration: underline;">Mémoires, exils</span>...</div><div dir="ltr"><a class="ydp73cb2824yiv4033486663" href="http://tramesnomades.hautetfort.com/archive/2015/04/05/pages-tissees-des-blogs-des-blogs-des-blogs-et-leurs-liens-s-5597880.html" target="_blank" rel="nofollow noopener">http://tramesnomades.hautetfort.com/archive/2015/04/05/pages-tissees-des-blogs-des-blogs-des-blogs-et-leurs-liens-s-5597880.html</a></div>
Cinéma militant
http://cinemamilitant.hautetfort.com/about.html
Marinaleda - les insoumis
tag:cinemamilitant.hautetfort.com,2016-01-24:5749433
2016-01-24T12:35:00+01:00
2016-01-24T12:35:00+01:00
Réalisation: Yannick Bovy Année de sortie: 2015 Pays: Belgique...
<p lang="zxx" style="margin-bottom: 0cm;"><strong><img id="media-5275455" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://cinemamilitant.hautetfort.com/media/01/00/3105826005.jpg" alt="Marinaleda les insoumis,soc (sindicato de obreros del campo),syndicalisme,occupation de terres,solidarité,autogestion,autoconstruction,marinaleda,andalousie,espagne,documentaire,yannick bovy,2015" />Réalisation:</strong> Yannick Bovy</p><p lang="zxx" style="margin-bottom: 0cm;"><strong>Année de sortie:</strong> 2015</p><p lang="zxx" style="margin-bottom: 0cm;"><strong>Pays:</strong> Belgique</p><p lang="zxx" style="margin-bottom: 0cm;"><strong>Durée:</strong> 26 minutes</p><p lang="zxx" style="margin-bottom: 0cm;" align="justify">Marinaleda est un village de 2'700 habitants en Andalousie (Espagne) qui connaît aujourd'hui une forme d'autogestion. Les décisions collectives s'y prennent en assemblée, le sol y a été municipalisé, un vaste programme de logements en autoconstruction permet aux locaux d'habiter dans un appartement décent pour la somme de 15 euros mensuels, le chômage a disparu puisque le travail a été réparti, de nombreux équipements collectifs y ont été construits ...</p><p lang="zxx" style="margin-bottom: 0cm;" align="justify">Remontant aux années 1970 où l'ensemble des terres du village appartenaient à un latifundiste et les habitants vivaient dans la misère, ce reportage donne une idée de l'ampleur du chemin parcouru en mettant en exergue ce qui l'a rendu possible: les nombreuses luttes collectives.</p><p lang="zxx" style="margin-bottom: 0cm;" align="justify"> </p><p><iframe width="365" height="260" src="https://www.youtube.com/embed/S5Wqtzjyvs8?rel=0" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p>
MCSJuan
http://tramesnomades.hautetfort.com/about.html
Lire José Val del Omar... Citations (espagnol-français) et liens…
tag:tramesnomades.hautetfort.com,2015-07-23:5661245
2015-07-23T02:19:00+02:00
2015-07-23T02:19:00+02:00
Citations … Je reprends et regroupe ici certains des fragments...
<p><span style="text-decoration: underline;"><img id="media-6161093" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://tramesnomades.hautetfort.com/media/00/02/3286157149.4.jpg" alt="val del omar,cinéma,poésie,citations,espagne,andalousie" />Citations</span>… Je reprends et regroupe ici certains des fragments de <span style="text-decoration: underline;">José Val del Omar</span>, découverts lors de l’exposition de juin et sur les sites associés. J’y ajoute deux pensées trouvées sur des pages de blogs (des passionnés connaisseurs de l’auteur cinéaste et poète). Et je fais de l’ensemble une <span style="text-decoration: underline;">traduction</span> personnelle, libre…</p><p>« Somos los terminales nerviosos de la retina colectiva» (Nous sommes les terminaux nerveux de la rétine collective)</p><p>« Lo que llamamos contranos u opuestos son trozos de la Unidad. » (Ce que nous appelons présences contraires ou réalités adverses sont des fragments de l’Un).</p><p><span style="font-size: small;">« Todo desea ser Todo, y para ser Todo hay que no ser nada. Comenzar por quedar vacio. » (En tout il y a désir d’être le Tout, et pour être Tout il faut n’être rien. Commencer par rester vide.)</span></p><p><span style="font-size: small;"> « Somos los terminales nerviosos de la retina colectiva» (Nous sommes les terminaux nerveux de la rétine collective)</span></p><p><span style="font-size: small;">« El circuito eléctrico nos introduce en el simultáneo. Todo se convierte en directo camino » (Par le circuit électrique nous pénétrons dans le simultané. Tout se transforme en voie directe.)</span></p><p><span style="font-size: small;"><em>« </em>Existe en la sustancia una Conciencia Colectiva que alumbra y taladra nuestras miserias. » (Il existe dans la matrice matérielle une Conscience collective qui illumine et transperce nos misères.)</span></p><p><span style="font-size: small;">« El mirar sólo desde una parte nos amodorra. » (Le regard qui ne viendrait que d’une source partielle nous transformerait en dormeurs.)</span></p><p><span style="font-size: small;">« El propio hombre es una insólita unita contradictoria a la que llamamos individuo. » (En soi l’être humain est une insolite unité en contradiction avec ce que nous appelons individu ou individuation.)</span></p><p><span style="font-size: small;">« El hombre está en camino hacia la Unidad; ese camino es pálpito entre diferencias. » (L’être humain est en chemin vers l’Unité, vers le Un; ce chemin palpite entre les réalités divergentes.) </span></p><p><span style="font-size: small;">«Sobre el diario parpadeo, todo marchitándose y todo naciendo. » (Sur le cillement léger du jour, tout s’étiolant et tout venant au monde.)</span></p><p><span style="font-size: small;">«Lo más opuesto se conjuga y armoniza.» (Du plus lointain opposé tout se rejoint et crée l’harmonie.)</span></p><p><span style="font-size: small;">………………</span></p><p><span style="font-size: small;">Une de ses réflexions sur le cinéma : «Puedo deciros que en las proyecciones cinematográficas puras el telón desaparece, la retina del espectador desaparece, sólo queda nuestra pantalla psíquica absorbiendo los rayos luminosos como si fuera la superficie de un lago profundo, sobre el que se proyecta un sueño y en el cual el instinto se reconoce. Y conectarse. Y fundirse. » (Je peux vous dire qu’à la projection des films le rideau disparaît, la rétine du spectateur disparaît, seul demeure l’écran psychique absorbant les rayons lumineux comme si c’était la surface d’un lac profond, sur lequel se projette un rêve et dans lequel la part profonde de l’être se reconnaît. Et ainsi se relier. Et se fondre en cela.). Source : <a href="https://navegandohaciamoonfleet.wordpress.com/2015/05/21/citas-un-lago-profundo/"><span style="color: #0563c1;">https://navegandohaciamoonfleet.wordpress.com/2015/05/21/citas-un-lago-profundo/</span></a></span></p><p><span style="font-size: small;">Pensées sur la perception du réel, le rêve et la conscience : « Tras la verdad palpable, hoy nos adentramos más y más en un profundo sueño táctil.» (Après le temps de la vérité palpable, actuellement nous pénétrons de plus en plus dans un profond rêve tactile). Source (page avec un poème en hommage à l’auteur « en risque de parrhèsia »).</span></p><p><span style="font-size: small;">Le livre « Val del Omar sin fin » est une publication de la Filmoteca de Andalucia, Granada. </span></p><p><span style="font-size: small;">…………………………………………………………………</span></p><p><span style="font-size: small;">LIENS : </span></p><p><span style="font-size: small;">Page de blog. « José Val del Omar, un genio olvidado ». Génie oublié : <a href="http://osomosonosomos.blogspot.fr/2009/05/jose-val-del-omar-un-genio-olvidado.html"><span style="color: #0563c1;">http://osomosonosomos.blogspot.fr/2009/05/jose-val-del-omar-un-genio-olvidado.html</span></a></span></p><p><span style="font-size: small;">Parrhèsia ? Une parole qui ose une mise en danger, éthique du risque de dire plutôt que le silence : <a href="http://www.cip-idf.org/article.php3?id_article=4440"><span style="color: #0563c1;">http://www.cip-idf.org/article.php3?id_article=4440</span></a></span></p><p><span style="font-size: small;">Textes et livres de et sur José Val del Omar, sur le site dédié : <a href="http://www.valdelomar.com/"><span style="color: #0563c1;">http://www.valdelomar.com</span></a></span></p><p><span style="font-size: small;">Soundcloud : <a href="https://soundcloud.com/val_del_omar"><span style="color: #0563c1;">https://soundcloud.com/val_del_omar</span></a></span></p><p><span style="font-size: small;">Fiche wikipedia : <a href="https://es.wikipedia.org/wiki/Jos%C3%A9_Val_del_Omar"><span style="color: #0563c1;">https://es.wikipedia.org/wiki/Jos%C3%A9_Val_del_Omar</span></a> </span></p><p><span style="font-size: small;">Page Facebook : <span lang="EN-US" style="color: black; line-height: 107%; font-family: 'Calibri',sans-serif; mso-bidi-font-family: 'Times New Roman'; mso-ansi-language: EN-US; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-fareast-font-family: Calibri; mso-fareast-theme-font: minor-latin; mso-hansi-theme-font: minor-latin; mso-bidi-theme-font: minor-bidi; mso-fareast-language: EN-US; mso-bidi-language: AR-SA;"><a href="https://www.facebook.com/pages/Val-del-Omar/46660711337?fref=photo"><span style="color: #0563c1;">https://www.facebook.com/pages/Val-del-Omar/46660711337?fref=photo</span></a></span></span></p><div dir="ltr" data-setdir="false"><div dir="ltr" data-setdir="false">...</div><div dir="ltr" data-setdir="false"><span style="text-decoration: underline;">NOTES précédentes (Val del Omar)</span>...</div><div dir="ltr" data-setdir="false"> </div><div dir="ltr" data-setdir="false"><div dir="ltr" data-setdir="false"><div dir="ltr" data-setdir="false"><span style="text-decoration: underline;">José Val del Omar dans Carnival-Intact-Project</span>, exposition, note du 17-06-15...</div></div><div><div dir="ltr" data-setdir="false"><a class="" href="http://tramesnomades.hautetfort.com/archive/2015/06/17/carnival-intact-project-tweeter-module-par-sara-malinarich-e-5641083.html" target="_blank" rel="nofollow noopener">http://tramesnomades.hautetfort.com/archive/2015/06/17/carnival-intact-project-tweeter-module-par-sara-malinarich-e-5641083.html</a></div></div></div><div dir="ltr" data-setdir="false"> </div><div dir="ltr" data-setdir="false"><span style="text-decoration: underline;">Découvrir José Val del Omar</span>, note du 16-06-15... <span style="font-size: small;"><span style="color: black; font-family: 'Calibri',sans-serif;"><a href="http://tramesnomades.hautetfort.com/archive/2015/06/16/decouvrir-jose-val-del-omar-ou-note-introductive-a-l-exposit-5640549.html">http://tramesnomades.hautetfort.com/archive/2015/06/16/decouvrir-jose-val-del-omar-ou-note-introductive-a-l-exposit-5640549.html</a></span></span></div><div dir="ltr" data-setdir="false"> </div></div>
MCSJuan
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Découvrir José Val del Omar. Note introductive à l’exposition d’une héritière du cinéaste-poète, Sara Malinarich
tag:tramesnomades.hautetfort.com,2015-06-16:5640549
2015-06-16T02:13:00+02:00
2015-06-16T02:13:00+02:00
Note introductive, car pour comprendre la démarche de Sara Malinarich...
<p><img id="media-6161101" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://tramesnomades.hautetfort.com/media/01/00/3286157149.2.jpg" alt="val del omar,sara malinarich,cinéma,poésie,espagne,andalousie,mamia bretesché,citations,diego quemada-díez,métaphysique,olivier arezki,olivier hadouchi,maria zambrano,mystique" /><span style="font-size: 10pt;">Note introductive, car pour comprendre la démarche de <span style="text-decoration: underline;">Sara Malinarich</span> (note qui va suivre) il faut se situer dans le sillage de <span style="text-decoration: underline;">José Val del Omar</span>, cinéaste, inventeur et chercheur, poète, présent dans l’exposition que j’ai vue il y a quelques jours, et qui est toujours visible, galerie Mamia Bretesché. Doublement présent. D’abord par la continuité d’une inventivité technique (et de la réflexion qu’elle induit sur ce qu’est regarder, sur le rapport entre la vue et les autres sens, sur les interférences tant visuelles que sonores). Ensuite par ses textes, citations transférées par des tweets, eux-mêmes envoyés au logiciel inventé pour métamorphose éclatée en graphisme et couleurs. Je ne connaissais pas José Val del Omar cinéaste et inventeur, découvert grâce à cette exposition. (J’ai du mal à comprendre comment c’est possible. le Jeu de Paume avait pourtant créé un événement pour faire connaître le cinéma expérimental espagnol dont il fut - et reste après sa mort - un maître, mais, autrement, apparemment, grand silence réducteur.) On est enfoui dans une masse d’informations où surnage beaucoup de vide et on rate des clés essentielles, pour comprendre l’art, le réel, et soi.</span></p><p><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">Je ne le connaissais pas plus comme poète, et les fragments que j’ai découverts m’ont paru de la plus haute poésie (voir ci-dessous, citations, et note suivante, exergues et textes saisis dans mes photographies : j’ai tenté de les rendre bien lisibles...). Il suffit de trois vers, trois phrases, pour découvrir un auteur et savoir s’il devient essentiel ou ne le sera jamais. Lui sera plus qu'essentiel pour moi. Pour compenser le manque antérieur j’ai cherché (sur la Toile) ses films, ses écrits, et des présentations de son œuvre, tout regardé, tout écouté, tout lu (en français, en espagnol). Enthousiasme total. Quelqu’un dit de lui (vidéo sur son cinéma) qu’il fait une sorte d’alchimie. Et c’est exactement cela. Hypnotique, fascinant. Mais pas hypnotique d’une manière qui nous endormirait : au contraire, plutôt de l’ordre de l’effet méditatif, qui fait accéder à d’autres dimensions du réel intérieur et extérieur, en secouant pour réveiller, éveiller. </span></p><p><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;"><span style="text-decoration: underline;">Poète</span>, <span style="text-decoration: underline;">José Val del Omar</span> l’est aussi dans les titres et sous-titres. Comme pour « <span style="text-decoration: underline;">Fuego en Castilla</span> », sous-titre : « Ensayo sómnambulo de visión táctil en noche de un mundo palpable. » (Essai somnambule de vision tactile dans la nuit d’un monde palpable). L’essai c’est aussi à comprendre au sens philosophique, des concepts sont pensés avec des formes, du mouvement, des instants photographiques. Création formelle et création de pensée. Poète, dans le choix des exergues. Pour « Fuego en Castilla », c’est Federico Garcia Lorca : « En España, / todas las primaveras viene la muerte / y levanta las cortinas. » (En Espagne, la mort vient pour tous les printemps, et soulève les rideaux). Poète, aussi, et penseur, dans le choix de mettre « Sin fin » au lieu de Fin pour clore ses films. Sans fin, lente poursuite du sens dans la perception, la recherche technique. Sans fin dans la durée et sans fin dans l’espace. Parce que les interférences visuelles et sonores (diaphonie...) se prolongent hors du film. </span></p><p><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;"><span style="text-decoration: underline;">Poète</span>, Val del Omar, autant que cinéaste, et cinéaste en poète. <span style="text-decoration: underline;">Diego Quemada-Díez</span>, réalisateur, en parle dans un entretien au sujet d’un film sur les migrants (Guatemala et Mexique vers les USA), « Rêves d’or », propos recueillis en 2012 par Carine Trenteun sur <span style="text-decoration: underline;">CinéMatraque</span> (Citation qui éclaire la démarche de José Val del Omar – la poésie par les mots et la poésie comme éthique cinématographique) : <a href="http://www.cinematraque.com/2013/12/rencontre-avec-diego-quemada-diez-realisateur-de-reves-dor-la-jaula-de-oro/"><span style="color: #0000ff;">http://www.cinematraque.com/2013/12/rencontre-avec-diego-quemada-diez-realisateur-de-reves-dor-la-jaula-de-oro/#</span></a> : « <span style="text-decoration: underline;">Mon poète préféré, José Val del Omar,</span> qui est aussi réalisateur, dit que le cinéma relève d’un acte de manipulation extrême, car les gens entrent dans une pièce sombre où on ne leur montre juste qu’une partie de la réalité. Les spectateurs viennent pour que nous déposions nos rêves. Toute cette manipulation ne se justifie que s’il y a un but poétique. Nous avons donc une grande responsabilité. Cette poésie doit être générée par de l’empathie et de l’amour. Toute la construction d’un univers de fiction est reliée à tous ces éléments pris de la réalité, tous ces témoignages. » Diego Quemada-Diez en parle aussi là, insistant sur cette référence première, intensément présente : <a href="http://www.festival-cannes.fr/fr/theDailyArticle/60190.html"><span style="color: #0000ff;">http://www.festival-cannes.fr/fr/theDailyArticle/60190.html</span></a> </span></p><p><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;"><span style="text-decoration: underline;">Poète</span>. Les fragments donnés à lire en légende des créations graphiques proposées par Sara Malinarich (renvoi de citations du poète aux expéditeurs de messages adressés au logiciel, voir l'explication de la démarche dans la note à venir) sont révélateurs de la manière dont José Val del Omar pense la place de la conscience individuelle dans la conscience globale : lui, nous, le monde-cosmos... </span></p><p><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;"><span style="text-decoration: underline;">Citations</span> : « Lo que llamamos contranos u opuestos son trozos de la Unidad. » (Ce que nous appelons présences contraires ou réalités adverses sont des fragments de l’Un). </span></p><p><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">... « Todo desea ser Todo, y para ser Todo hay que no ser nada. Comenzar por quedar vacio. » (En tout il y a désir d’être le Tout, et pour être Tout il faut n’être rien. Commencer par rester vide.)</span></p><p><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">...........</span></p><p><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">J’ai trouvé des notes en français : d’<span style="text-decoration: underline;">Olivier Arezki</span> (article, 2003, et page de liens), d’Olivier Hadouchi (chronique, 2007 puis 2010), du Jeu de Paume (deux pages de présentation d’un événement sur le cinéma expérimental espagnol, 2011), un dossier de créations sur des vidéos en espagnol.</span></p><p><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;"><span style="text-decoration: underline;">J'avais lu l’article d’Olivier Arezki</span>, paru en 2003, sur le court-métrage « <span style="text-decoration: underline;">Fuego en Castilla</span> ». Hélas, lien inactif, maintenant... « José Val del Omar est un cinéaste alchimiste convoquant divers éléments, tels le feu, la terre, et l’eau. Un poète qui passe d’une incursion dans le monde contemporain où le temps file à toute vitesse (horloge, montage rapide et saccadé), avec des voitures filant, phares allumés, à un ciel traversé de sombres nuages. Sa caméra effectue souvent des envolées verticales, et sait abolir la perspective pour lui substituer des images anamorphosées, répandre des formes allongées (on pense au Greco), évanescentes, animer des statues, par des jeux de montage et de lumières, violents et très sophistiqués qui utilisent à merveille les richesses et les subtilités du noir et blanc (contrastes, palettes de gris, jeu sur les tonalités…). »</span></p><p><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;"><span style="text-decoration: underline;">La longue chronique d’</span><span style="text-decoration: underline;">Olivier Hadouchi</span>, en deux parties, enrichie de notes : excellente analyse, très grande maîtrise du sujet. Et en plus il met en exergue une citation de <span style="text-decoration: underline;">Maria Zambrano</span>, philosophe que j’apprécie particulièrement, et qui, effectivement, rejoint ce qu'on découvre de José Val del Omar, êtres en affinité : « Pur oubli dans la nuit/ puisqu’il fait toujours nuit / pour celui qui vit à moitié.». Mars 2010 (trace antérieure, moins ample, 2007), CinéFabrika, « l’autre revue du cinéma et des arts visuels », « <span style="text-decoration: underline;">Notes autour de Val del Omar et d’un cinéma de la métamorphose et du crépitement</span> », <span style="text-decoration: underline;">première partie</span> : <a href="http://cinefabrika.blogspot.fr/2010/03/notes-autour-du-cinema-de-val-del-omar.html"><span style="color: #0000ff;">http://cinefabrika.blogspot.fr/2010/03/notes-autour-du-cinema-de-val-del-omar.html</span></a> </span></p><p><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;"><span style="text-decoration: underline;">Citations (le texte d'Olivier Hadouchi)</span> : « Cinéaste espagnol né à Grenade en 1904, il est notamment l’auteur d’un des plus grands accomplissements filmiques tous genres, supports et catégories confondus, un « triptyque élémentaire d’Espagne » réunissant trois films réalisés à plusieurs années voire décennies d’intervalle » (...) « ...mettant la technique au service de la libération, pour réunir Jean de la Croix et Prométhée, l’albumine et l’aluminium, l’incarnation métaphysique et le fil à haute tension. Espoir de participer à l’émergence d’une autre voie, et que nous appelons « cinéma expérimental » par commodité, car il s’agit en premier lieu d’un cinéma d’avant-garde, à partir d’une appréhension originale de cette notion. Soit d’un cinéma élargi qui ouvre intensément les portes de la perception, travaille sur ses matières mêmes (penchant pour l’anamorphose, le décentrement, le reflet...) » (...) « ... inventeur de néologismes (‘mécamystique’ est le plus révélateur)... »</span></p><p><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;"><span style="text-decoration: underline;">Deuxième partie</span>... <a href="http://cinefabrika.blogspot.fr/2010/03/notes-autour-de-val-del-omar-2eme-p.html"><span style="color: #0000ff;">http://cinefabrika.blogspot.fr/2010/03/notes-autour-de-val-del-omar-2eme-p.html</span></a> <span style="text-decoration: underline;">Citations</span> : « Topographie(s) plurielle(s) d’une Espagne palimpseste. » (...) « En Andalousie, Grenade tournée vers le sud et l’est : l’Orient » (...) « Val del Omar juxtapose : une étoile de David en mosaïque, des inscriptions calligraphiées en arabe, des chants et des danses gitans andalous. »</span></p><p><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;"><span style="text-decoration: underline;">Page de présentation</span>, site, Jeu de Paume. « La sélection s’ouvre avec un artiste essentiel, José Val del Omar» ... <a href="http://www.jeudepaume.org/index.php?page=article&idArt=1446"><span style="color: #0000ff;">http://www.jeudepaume.org/index.php?page=article&idArt=1446</span></a> </span></p><p><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;"><span style="text-decoration: underline;">Jeu de Paume</span>. <span style="text-decoration: underline;">50 ans de cinéma expérimental en Espagne</span> (mars-avril 2011). Document pdf... <a href="http://www.jeudepaume.org/pdf/DelExtasisAlArrebato.pdf"><span style="color: #0000ff;">http://www.jeudepaume.org/pdf/DelExtasisAlArrebato.pdf</span></a></span></p><p><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;"><span style="text-decoration: underline;">DOSSIER</span>, créations de José Val del Omar, sur <span style="text-decoration: underline;">Point to Point</span>, BLOG... <a href="http://pointopoint.blogg.org/jose-val-del-omar-un-fantastico-fantastic-a116322996"><span style="color: #0000ff;">http://pointopoint.blogg.org/jose-val-del-omar-un-fantastico-fantastic-a116322996</span></a> </span></p><p><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;"><span style="text-decoration: underline;">Le cinéma de José Val del Omar. Présentation, vidéo</span> <a href="https://www.youtube.com/watch?v=F_emTQaMFPY"><span style="color: #0000ff;">https://www.youtube.com/watch?v=F_emTQaMFPY</span></a> </span></p><p><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;"><span style="text-decoration: underline;">Film</span>. "<span style="text-decoration: underline;">Aguaespejo granadino"</span> - 1955 José Val del Omar (<span style="text-decoration: underline;">« Miroir d’eau grenadin ». L’eau-miroir de Grenade, l’eau comme miroir. Sur la pierre et l’eau dans la réalité et la culture andalouse)</span></span></p><p><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;"><span style="text-decoration: underline;">Val del Omar, entre cinéaste, génial technicien, et alchimiste (mot employé par celui qui introduit la vidéo). En espagnol </span><a href="https://www.youtube.com/watch?v=Nk7t8hRyFRE"><span style="color: #0000ff;">https://www.youtube.com/watch?v=Nk7t8hRyFRE</span></a></span></p><p><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;"><span style="text-decoration: underline;">SITE DÉDIÉ (très riche et très beau, complet : le cinéma de Val del Omar, les collages, les textes)</span>...<a href="http://www.valdelomar.com/"><span style="color: #0000ff;">http://www.valdelomar.com</span></a></span></p><p><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;"><span style="text-decoration: underline;">Page Facebook dédiée</span>... <a href="https://www.facebook.com/pages/Val-del-Omar/46660711337"><span style="color: #0000ff;">https://www.facebook.com/pages/Val-del-Omar/46660711337</span></a></span></p><p><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;"><span style="text-decoration: underline;">Fiche Wikipedia (filmographie et bibliographie : livres « de », livres « sur » Val del Omar) </span> <a href="http://es.wikipedia.org/wiki/Jos%C3%A9_Val_del_Omar"><span style="color: #0000ff;">http://es.wikipedia.org/wiki/Jos%C3%A9_Val_del_Omar</span></a></span></p><p><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;">.............................................................................................................................................</span></p><p><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;"><span style="text-decoration: underline;">Sur l'exposition de Sara </span><span style="text-decoration: underline;">Malinarich,</span> note qui suit.</span></p><p>Val del Omar… <span style="text-decoration: underline;">NOTES suivantes</span>...</p><div><span style="text-decoration: underline;">Lire José Val del Omar</span>, note du 23-07-15… <a class="" href="http://tramesnomades.hautetfort.com/archive/2015/07/23/lire-jose-val-del-omar-citations-espagnol-et-traduction-et-l-5661245.html" target="_blank" rel="nofollow noopener">http://tramesnomades.hautetfort.com/archive/2015/07/23/lire-jose-val-del-omar-citations-espagnol-et-traduction-et-l-5661245.html</a></div><div> </div><div><span style="text-decoration: underline;">José Val del Omar dans Carnival- Intact-Project, exposition de Sara Malinarich</span>, note du 17-06-15… <a href="http://tramesnomades.hautetfort.com/archive/2015/06/17/carnival-intact-project-tweeter-module-par-sara-malinarich-e-5641083.html" target="_blank" rel="nofollow noopener">http://tramesnomades.hautetfort.com/archive/2015/06/17/carnival-intact-project-tweeter-module-par-sara-malinarich-e-5641083.html</a></div>
MCSJuan
http://tramesnomades.hautetfort.com/about.html
Andalousie ? Non : Andalousies... Identité, histoire, livres.
tag:tramesnomades.hautetfort.com,2015-05-27:5629169
2015-05-27T02:36:00+02:00
2015-05-27T02:36:00+02:00
...
<p><img id="media-5053883" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://tramesnomades.hautetfort.com/media/00/02/437455869.gif" alt="Blas Infante.gif" /><img id="media-5053884" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://tramesnomades.hautetfort.com/media/01/01/2777877216.jpg" alt="ANDALOUSIE.jpg" /></p><p> </p><p> </p><p> </p><p> </p><p> </p><p><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><strong><br /><img id="media-6161284" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://tramesnomades.hautetfort.com/media/00/00/3286157149.3.jpg" alt="andalousie,identité,mémoire,histoire,spiritualité,mystique,conversos,marranes,sépharades,migrations,fraternité,jacques berque,marlène samoun,rachid brahim-djelloul,blas infante,gabriel martinez-gros,pierre guichard,ébane mexcin,espagne,zev ben shimon halevi,warren kenton,citations,livres" /></strong></span></span></p><p> </p><p> </p><p> </p><p> </p><p> </p><p><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><strong>J’appelle à des Andalousies toujours recommencées, dont nous portons en nous à la fois les décombres amoncelés et l’inlassable espérance.</strong><span style="font-size: medium;"> </span></span></span></p><p><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 8pt;"> <strong>Jacques Berque</strong><strong>,</strong> né en Algérie, leçon de clôture prononcée au Collège de France, en juin 1981.</span></p><p><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">Ancestrale Andalousie à l’histoire complexe, aux récits parfois contraires. Et même si la réalité est recouverte en partie par une mythologie idéale, il reste des mémoires transmises, qui touchent à un mystère identitaire. Ce qui est passé, de génération en génération, c’est un goût musical commun à plusieurs rives, les mêmes chants, un tissage de langues, une esthétique visuelle, architecturale notamment, qui transcende les frontières. Et des visages qui se ressemblent, car les gènes, au cours des siècles, ont circulé... Emprunts biologiques nés d’amours frontières. Andalousies, dit Jacques Berque, car ce pluriel donne une direction à la fraternité que les êtres humains, malgré tout, cherchent. L’Andalousie a ceci de particulier, qu’elle reste, plus qu’une région, une patrie intérieure des exilés, longtemps après qu’ils aient raconté leurs migrations, ou leur fuite, longtemps après, chez leurs descendants. Elle se fait centre diasporique, repère. Et quand on entend chanter Marlène Samoun, pour des chants sépharades en plusieurs langues, ou qu’on entend le violon ou la voix de Rachid Brahim-Djelloul, on part dans un voyage intime, on pénètre dans les douleurs et les joies de milliers de noms (avec les nôtres peut-être), dans un passé lointain, et dans le présent si proche qu’il suffit de quelques mots en espagnol ou de quelques heures en train, pour traverser le temps... Elle est peut-être, notre Andalousie métisse, la patrie intérieure de tous les humanistes, de tous ceux qui refusent les entraves de la haine, les pièges des barrières</span></p><p><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">Il y a aussi, dans la souterraine identité andalouse (et espagnole), la conscience marrane. Ce mot peut se lire comme une injure faite aux conversos (porcs, pour ne pas vouloir en manger), ou trouver dans l'hébreu le sens de consciences forcées (à la conversion). Car des 5% de Juifs, seuls 12% partirent. C'est ainsi que certains donnèrent des saints chrétiens, authentiques mystiques ne sachant plus leur identité religieuse familiale (car leurs parents les protégeaient en ne la leur disant pas...). Et c'est ainsi que l'Espagne andalouse s'interrogea beaucoup, après le franquisme, sur les interférences cachées de ses visages culturels et spirituels...</span></p><p><span style="font-family: Calibri;"><span style="font-size: medium;"><img id="media-6138175" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://tramesnomades.hautetfort.com/media/02/02/299699661.jpg" alt="andalousie,identité,mémoire,histoire,spiritualité,mystique,conversos,marranes,sépharades,migrations,fraternité,jacques berque,marlène samoun,rachid brahim-djelloul,blas infante,gabriel martinez-gros,pierre guichard,ébane mexcin,espagne,zev ben shimon halevi,warren kenton,citations,livres" /><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">On peut aller plus loin dans les questions, et sentir, encore plus, le ridicule des enfermements identitaires. Zev ben Shimon Halevi (Warren Kenton), kabbaliste anglais fascinant, écrivit un roman initiatique sur l'Andalousie des mystiques, "L'Envoyé de l'Esprit", publié d'abord en anglais à Londres et à New York, puis en français en 1991. Rencontres de destins, groupes hétérogènes qui s'enseignent. Talmud, kabbale et soufisme qui se frôlent et s'interpénètrent, familles qui se croisent... Chrétiens récents aux antécédents juifs "ou" musulmans, et même juifs "et" musulmans. Cela commence par "un matin glacé du printemps de 1491". Cela finit sur une scène de mort et son contraire. On parle de "l'envoyé de ce temps". (Non le Messie final des uns ou des autres, mais le "Katub", un esprit ordinaire en apparence - singulier ou pluriel - qui supporte le monde par son feu intérieur... Que les êtres ne reconnaissent pas, ou reconnaissent, et qui meurt, comme tous, suivi par un autre.) Il y a Rachel et Avraham, Hakim et Mora, à la fin, page 239. Rachel... "Mon père était juif et ma mère maure, avant que nous devenions chrétiens.", avait-elle dit, page 100... </span></span></span></p><p><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">Encore plus loin? Si on parle à un taoïste ou un mystique tibétain, il dira que, sans doute, dans d'autres vies que parcourut notre âme, nous avons, nous, parcouru plus que des vies. En voyageur d'identité... Juif une vie, musulman une autre, chrétien la suivante, athée cérébral une autre fois, ou avant. Agnostique, souvent, en recherche de lucidité. Méditant parfois, et sage, peut-être, ou fou. En tout cas ennemi de soi-même dans les vies d'intégrisme, d'inquisition, de fermeture communautaire, tuant son miroir ou son frère. Mais il dira aussi qu'au bout du bout du temps (qui n'est pas ce que l'on croit) on finit par prendre conscience de ce que sont les mirages de nos rivages intérieurs, et par se voir soi-même dans l'autre, sage ou fou. Car notre réalité est une mise en abyme...</span></p><p><span style="font-family: Times New Roman;"><span style="font-size: medium;">............................ </span></span></p><p><span style="font-size: 10pt;"><strong><span style="text-decoration: underline;">LECTURES....</span></strong></span></p><p><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;"><em><span style="text-decoration: underline;">El Ideal Andaluz</span></em>, de <span style="text-decoration: underline;">Blas Infante</span>, Sevilla, Arévalo, 1915. Réédition du livre, Sevilla, par Junta de Andalucía, 2010, centrodeestudiosandaluces.es </span></p><div><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">. Sur le livre <em><span style="text-decoration: underline;">El ideal andaluz</span></em> et l’auteur <span style="text-decoration: underline;">Blas Infante</span>, "père de l’identité andalouse"... Site anglophone, mais la page est en espagnol…</span></div><div><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;"><a class="" href="https://www.goodreads.com/book/show/4778538-ideal-andaluz" target="_blank" rel="nofollow noopener">https://www.goodreads.com/book/show/4778538-ideal-andaluz</a></span></div><div><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">. Hommage (andalou) à <span style="text-decoration: underline;">Blas Infante</span>, auteur d’<em>El ideal andaluz</em>...</span></div><div dir="ltr" data-setdir="false"><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;"><a class="" href="https://iniciativadelpuebloandaluz.org/tributo-al-ideal-andaluz-de-blas-infante/" target="_blank" rel="nofollow noopener">https://iniciativadelpuebloandaluz.org/tributo-al-ideal-andaluz-de-blas-infante/</a></span></div><p><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;"><em><span style="text-decoration: underline;">Al-Andalus, 711-1492</span></em>, Histoire de l’Espagne musulmane, de <span style="text-decoration: underline;">Pierre Guichard</span>. Sur le site Bibliomonde : </span><a href="http://www.bibliomonde.com/livre/andalus-711-1492-1814.html"><span style="color: #0000ff; font-family: Calibri; font-size: medium;">http://www.bibliomonde.com/livre/andalus-711-1492-1814.html</span></a>...<span style="font-size: 10pt;">et...<span style="text-decoration: underline;"><em>Al-Andalus, 711-1492</em></span>, <span style="text-decoration: underline;">coll. Pluriel</span>… <a class="" href="https://www.fayard.fr/pluriel/al-andalus-9782818501917" target="_blank" rel="nofollow noopener">https://www.fayard.fr/pluriel/al-andalus-9782818501917</a></span></p><div><span style="font-size: 10pt;">. <em>Identité andalouse</em>, de <span style="text-decoration: underline;">Gabriel Martinez-Gros</span>, Actes Sud. page sur Decitre...</span></div><div><span style="font-size: 10pt;"><a class="" href="https://www.decitre.fr/livres/identite-andalouse-9782742710546.html" target="_blank" rel="nofollow noopener">https://www.decitre.fr/livres/identite-andalouse-9782742710546.html</a></span></div><div><div> </div><div><div><span style="font-size: 10pt;"><strong><span style="text-decoration: underline;"><span style="color: #ff0000; text-decoration: underline;"><img id="media-6161285" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://tramesnomades.hautetfort.com/media/01/00/3286157149.3.jpg" alt="andalousie,identité,mémoire,histoire,spiritualité,mystique,conversos,marranes,sépharades,migrations,fraternité,jacques berque,marlène samoun,rachid brahim-djelloul,blas infante,gabriel martinez-gros,pierre guichard,ébane mexcin,espagne,zev ben shimon halevi,warren kenton,citations,livres" />Mise à jour</span></span></strong> (juillet 2020). Andalousie… <span style="text-decoration: underline;">Deux autres livres</span> (<span style="text-decoration: underline;"><em>L’Envoyé de l’esprit</em></span>, et <em>La Confrérie des Éveillés</em>). Recension. <span style="text-decoration: underline;">Note du 22-06-20</span> (classée catégorie "Andalousie")...</span></div><div dir="ltr" data-setdir="false"><span style="font-size: 10pt;"><a class="" href="http://tramesnomades.hautetfort.com/archive/2020/06/22/andalousies-l-envoye-de-l-esprit-de-z-ev-ben-shimon-halevi-e-6247499.html" target="_blank" rel="nofollow noopener">http://tramesnomades.hautetfort.com/archive/2020/06/22/andalousies-l-envoye-de-l-esprit-de-z-ev-ben-shimon-halevi-e-6247499.html</a></span></div></div></div><p><span style="font-size: 10pt;">.......................</span></p><p><span style="font-size: 10pt;"><strong><span style="text-decoration: underline;">Sites...</span></strong></span></p><p><span style="font-size: 10pt;">L’Andalousie par elle-même, <span style="text-decoration: underline;">Así es Andalucía</span>, andalucia.org : <a href="http://bit.ly/1RmaP9r"><span style="color: #0000ff;">http://bit.ly/1RmaP9r</span></a></span></p><p><span style="font-size: 10pt;"><span style="text-decoration: underline;">Fiche wikipedia. Andalousie.</span> (liens, dont portails): <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Andalousie"><span style="color: #0000ff;">http://fr.wikipedia.org/wiki/Andalousie</span></a></span></p><p><span style="font-size: 10pt;">.......................</span></p><p><span style="font-size: 10pt;"><strong><span style="text-decoration: underline;">Notes antérieures...</span></strong></span></p><p><span style="font-size: 10pt;"><span style="font-family: Calibri;">Multiples liens, livres et musique, sites dédiés, aussi : </span><a href="http://tramesnomades.hautetfort.com/archive/2011/03/07/andalousies.html"><span style="color: #0000ff; font-family: Calibri;">http://tramesnomades.hautetfort.com/archive/2011/03/07/andalousies.html</span></a></span></p><p><span style="font-family: Calibri; font-size: 10pt;">Autre <span style="text-decoration: underline;">note</span>, complémentaire, le <span style="text-decoration: underline;">11-03-11.</span></span></p>
diazd
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En Andalousie, la protestation a des airs de flamenco !
tag:e-mosaique.hautetfort.com,2014-08-20:5422854
2014-08-20T16:49:57+02:00
2014-08-20T16:49:57+02:00
L’Andalousie, dans le sud de l’Espagne, est la patrie du flamenco , un...
<p><strong><a href="http://e-mosaique.hautetfort.com/media/01/01/3545652147.jpg" target="_blank"><img id="media-4648476" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://e-mosaique.hautetfort.com/media/01/01/2016320873.jpg" alt="andalousie.jpg" /></a>L’Andalousie, dans le sud de l’Espagne, est la patrie du <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Flamenco">flamenco</a>, un genre artistique sur base de folklore, caractérisé par sa musique riche d’émotion, son chant puissant et sa danse sensuelle. Les paroles évoquent souvent l’amour et la séparation, mais aussi la douleur, la pauvreté et le chagrin — des sujets qui ne sont que trop familiers ces dernières années pour les Andalous.</strong></p><p>L’Espagne a taillé sans pitié dans les dépenses depuis que le pays est aux prises, ces dernières années, avec une crise économique destructrice. Le nombre de pauvres et de chômeurs a explosé dans toute l’Espagne, mais l’Andalousie souffre particulièrement.</p><p>Si les manifestations n’ont rien de rare, un collectif donne aux siennes un cachet purement andalou. Fin juin, trois membres de <a href="http://www.flo6x8.com/flo6x8">FLO6x8</a>, un collectif d’activistes artistes, ont interrompu successivement une séance du parlement d’Andalousie en chantant des chansons dans le style flamenco, qui dénonçaient le chômage, la corruption et la crise.</p><p>A chaque fois, les protestataires ont été évacués de la galerie du public à peine avaient-ils commencé à chanter. A l’époque, les médias n’en ont que peu parlé, mais une vidéo de l’action avec un nouveau montage <a href="https://www.facebook.com/photo.php?v=10202645342869927&fref=nf">publiée sur Facebook</a> est devenue virale depuis.</p><p><a title="Nouvel Obs" href="http://rue89.nouvelobs.com/zapnet/2014/08/03/andalousie-protestation-a-airs-flamenco-254048" target="_blank">Source Nouvel Obs</a></p><p><iframe width="440" height="248" src="http://www.youtube.com/embed/KxHBWmVRB8A" frameborder="0" allowfullscreen=""></iframe></p>
Tinou
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105. L'Andalousie, épilogue
tag:tinouaujourlejour.hautetfort.com,2014-06-18:5393397
2014-06-18T06:33:00+02:00
2014-06-18T06:33:00+02:00
Mercredi 4 juin 2014 : visite de Cordoue Départ du...
<p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;"><strong><span style="text-decoration: underline;">Mercredi 4 juin 2014</span></strong> : visite de Cordoue</span></p><p class="MsoNormal"> <br /><img id="media-4598908" src="http://static.hautetfort.com/backend/graphics/insert-multimedia.jpg" alt=" http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/00/01/4056027968.mp3" /></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">Départ du bus à 8h30 en direction de Cordoue. Le temps est splendide comme les jours précédents.</span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">Le programme indique la visite de la cathédrale de Cordoue, puis une balade dans le quartier juif de Santa Cruz.</span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">Les cars nous laissent sur les bords du Guadalquivir et nous traversons l’ancien pont romain à pieds pour pénétrer à l’intérieur de la forteresse. </span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">Pour l’historique de la cathédrale, reportez-vous <em><strong><a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Mosqu%C3%A9e-cath%C3%A9drale_de_Cordoue">ICI.</a></strong></em></span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">À cet instant de la matinée, je ne m’attendais absolument pas à ce que j’allais voir et qui me laissa très perplexe pour ne pas dire totalement ahurie !</span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">— <em>Vous avez détruit ce que l’on ne voyait nulle part pour construire ce que l’on voit partout ! </em></span><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">s’exclama l’empereur Charles Quint quand il découvrit pour la première fois les lieux.</span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">Pourquoi une telle colère, me direz-vous ?</span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">Eh bien, à l’origine, se dressait une magnifique mosquée construite par les Musulmans de 785 à 987.</span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">Au XIIIe siècle, la ville de Cordoue est reprise par Ferdinand III de Castille et la mosquée est reconvertie en église. Une partie des colonnades est démolie, les ouvertures sont bouchées et remplacées par de multiples petites chapelles toutes plus surchargées les unes que les autres. Enfin, en 1239 la partie centrale de la mosquée est remplacée par la construction d’une cathédrale. Pour achever le massacre, le minaret fut caché dans la construction du clocher.</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4598909" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/01/02/2937322256.jpg" alt="espagne, andalousie, cordoue" /></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">Quand on pénètre à l’intérieur, on est un peu déboussolé ! La mosquée a perdu toute sa beauté et sa pureté originelle et que dire de la cathédrale avec ses mélanges de style renaissance, gothique, baroque ! Tout cela est bien fouillis … </span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4598910" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/01/02/2006971570.JPG" alt="espagne, andalousie, cordoue" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4598911" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/01/01/2568472927.jpg" alt="espagne, andalousie, cordoue" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4598912" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/00/01/696748478.jpg" alt="espagne, andalousie, cordoue" /></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">Je repense alors à la basilique Sainte-Sophie à Istanbul qui fut transformée en mosquée. Cette reconversion n’enlève nullement la beauté des deux architectures. Mais ici, dans le cas de Cordoue, il faut bien avouer que les catholiques ont eu la main lourde !</span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">Alors, doit-on parler d’une mosquée, d’une cathédrale ou des deux à la fois ? Pour l’église espagnole propriétaire des lieux, il n’est pas question d’employer le mot de mosquée.</span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">Aujourd’hui encore le sujet prête à polémiques. Il arrive parfois que des touristes de confession musulmane s’agenouillent pour faire la prière. Ils sont aussitôt remis au pas et on leur demande gentiment de bien vouloir se relever.</span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">Nous quittons bientôt les lieux pour flâner ensuite dans les ruelles fleuries du quartier juif de Santa Cruz. </span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4598915" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/01/01/880982278.jpg" alt="espagne, andalousie, cordoue" /></p><p class="MsoNormal"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-4598916" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/02/01/3319008211.jpg" alt="espagne, andalousie, cordoue" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4598918" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/01/01/1790231966.jpg" alt="espagne, andalousie, cordoue" /></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">À midi, déjeuner dans <span style="color: #339966;"><em><strong><a href="http://www.restaurantealmudaina.com/salones.html"><span style="color: #339966;">ce beau restaurant</span></a> </strong></em></span>:</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4598913" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/02/02/2365930526.jpg" alt="espagne, andalousie, cordoue" /></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">Nous avons encore du temps pour nous balader dans la ville puis retour à Séville.</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4598919" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/01/02/446311735.jpg" alt="espagne, andalousie, cordoue" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4598920" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/02/01/3761169423.jpg" alt="espagne, andalousie, cordoue" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4598921" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/02/00/2076157465.jpg" alt="espagne, andalousie, cordoue" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4598922" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/01/00/981029933.jpg" alt="espagne, andalousie, cordoue" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4598923" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/01/00/3234700565.jpg" alt="espagne, andalousie, cordoue" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4598924" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/00/01/3775669695.JPG" alt="espagne, andalousie, cordoue" /></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">Sur le bateau c’est la soirée du capitaine. Je zappe le cocktail de gala pour n’arriver qu’au moment du dîner. Le voyage s’achève et il faut penser à boucler la valise !</span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;"><strong><span style="text-decoration: underline;">Jeudi 5 juin</span></strong> : retour en France</span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">Dès 5h30 ma valise est dans le couloir, ornée de son petit ruban rouge. Ceux qui ont pris l’avion à Paris ne partent que dans la soirée ce qui leur laisse la possibilité de pouvoir se balader encore dans Séville.</span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">Pour nous, les « Nantais », c’est le départ vers l’aéroport. Une escale d’une heure nous attend ensuite à Barcelone où je constate avec grand plaisir que les fumeurs n’ont pas été oubliés comme à Roissy et enfin l’avion atterrit vers 13h30 à Nantes.</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4598914" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/01/02/3373968905.JPG" alt="espagne, andalousie, cordoue" /></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">Derrière les vitres, alors que j’attends ma valise sur le tapis roulant, j’aperçois Christine qui me fait des grands gestes. À sont teint hâlé, j’en conclus qu’elle a eu beau temps durant sa semaine en Vendée ! </span></p><p> </p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">FIN</span></p>
Tinou
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101. L'Andalousie -6-
tag:tinouaujourlejour.hautetfort.com,2014-06-15:5391680
2014-06-15T15:47:00+02:00
2014-06-15T15:47:00+02:00
Mardi 3 juin 2014 : visite de Grenade Le bateau a...
<p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;"><span style="text-decoration: underline;"><strong>Mardi 3 juin 2014</strong></span> : visite de Grenade</span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;"><br /><img id="media-4595841" src="http://static.hautetfort.com/backend/graphics/insert-multimedia.jpg" alt=" http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/02/01/3211214122.mp3" /><br /></span></p><p class="MsoNormal"> <span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">Le bateau a retrouvé sa place initiale sur le quai à Séville. De ma cabine je peux apercevoir les bateaux amarrés sur la rive d'en face.</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4595780" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/01/00/676941333.JPG" alt="Andalousi3e 009.JPG" /></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">Le petit déjeuner est servi à partir de 5h du matin ce qui signifie que nous nous levons aux aurores. En effet, nous avons trois heures de bus avant l’arrivée à Grenade et si nous voulons en profiter, eh bien, il faut faire quelques efforts. D’ailleurs ça n’est pas la mer à boire malgré ce qu’en disent quelques grincheux !</span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">Bref, à 6h15 les trois cars se mettent en route. La plupart des passagers se rendort.</span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">Toute la matinée est consacrée à la visite de l’Alhambra et ses jardins réputés.</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4595786" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/00/01/2718688114.jpg" alt="Andalousi2e 165a.jpg" /></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">Pour l’historique des lieux, reportez-vous <em><strong><a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Alhambra_(Grenade)">ICI.</a></strong></em></span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">La première chose constatée est la grande affluence de touristes dès l’ouverture. Il sera bien difficile de faire des photos sans voir des têtes un peu partout !</span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">Le guide s’attarde un peu trop longtemps sur le palais de Charles Quint, cette bâtisse austère qui se dresse au milieu de l’Alhambra et qui vient rappeler la reconquête de l’Espagne par les rois catholiques.</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4595789" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/00/02/2683153104.jpg" alt="Andalousi2e 171a.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4595790" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/01/00/427415678.jpg" alt="Andalousi2e 172a.jpg" /></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">Une immense cour arrondie se trouve à l’intérieur du palais.</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4595792" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/00/02/1420917109.jpg" alt="Andalousi2e 170a.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4595793" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/01/01/3586728713.jpg" alt="Andalousi2e 169a.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4595795" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/00/00/1381097747.jpg" alt="Andalousi2e 202a.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4595796" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/01/00/1330958763.jpg" alt="Andalousi2e 205a.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4595797" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/00/01/3537363253.jpg" alt="Andalousi2e 196a.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4595798" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/00/02/1064974594.jpg" alt="Andalousi2e 213a.jpg" /></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">Je dois dire que j’ai été très déçue par cette visite ; je m’attendais à quelque chose de plus somptueux, plus grandiose. Ayant déjà visité Topkapi à Istanbul, puis le palais de la Bahia à Marrakech, je reste donc un peu sur ma faim. Je zappe d’ailleurs une partie des jardins, préférant attendre le groupe, assise à l’ombre car il fait très chaud !</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4595799" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/02/02/2665552484.jpg" alt="Andalousi2e 219a.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4595800" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/00/01/3637231746.jpg" alt="Andalousi2e 225a.jpg" /></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">Voici des grenades :</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4595802" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/02/01/779180677.jpg" alt="Andalousi2e 230a.jpg" /></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">Au moment du départ, le guide de notre car s’aperçoit qu’il manque une personne à l’appel. Il reste donc sur place tandis que nous redescendons la colline pour aller déjeuner dans la ville.</span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">Ce n’est que deux heures plus tard que nous verrons réapparaître la disparue, très en colère.</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4595804" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/00/00/2787034368.jpg" alt="Andalousi2e 242a.jpg" /></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">Après le déjeuner, nous partons flâner dans Grenade puis autour de la cathédrale. On peut encore apercevoir la neige sur la Sierra Nevada.</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4595807" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/00/02/2853213759.jpg" alt="Andalousi2e 266a.jpg" /></p><p class="MsoNormal"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-4595806" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/01/00/2085188898.jpg" alt="Andalousi2e 260a.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4595809" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/01/00/3889706804.jpg" alt="Andalousi2e 264a.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4595812" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/00/00/746906769.jpg" alt="Andalousi2e 265a.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4595814" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/02/00/1102003328.jpg" alt="Andalousi2e 274a.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4595817" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/01/01/1531323626.jpg" alt="Andalousi2e 269a.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4595829" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/00/02/3139171768.jpg" alt="Andalousi2e 245a.jpg" /></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">Il fait si chaud à Grenade que des toiles sont tendues au-dessus des rues principales pour apporter un peu d’ombre !</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4595831" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/00/02/4141044915.jpg" alt="Andalousi2e 247a.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4595835" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/01/00/1032816406.jpg" alt="Andalousi2e 246a.jpg" /></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">Les journaux viennent nous rappeler que le roi Juan Carlos a abdiqué il y a deux jours.</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4595839" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/01/00/3619327391.jpg" alt="Andalousi2e 268b.jpg" /></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">Bon, maintenant il faut faire le trajet du retour.</span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">En conclusion, beaucoup de route pour peu de temps … Je reste sur ma faim.</span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">À demain</span></p><p> </p><p class="MsoNormal"> </p>
Tinou
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94. L'Andalousie -1-
tag:tinouaujourlejour.hautetfort.com,2014-06-07:5386254
2014-06-07T08:10:00+02:00
2014-06-07T08:10:00+02:00
Jeudi 29 mai 2014 : Arrivée à Séville ...
<p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;"><span style="text-decoration: underline;"><strong><br /><img id="media-4586255" src="http://static.hautetfort.com/backend/graphics/insert-multimedia.jpg" alt=" http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/02/02/1213864387.mp3" /><br /></strong></span></span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;"><span style="text-decoration: underline;"><strong>Jeudi 29 mai 2014 </strong></span>: Arrivée à Séville</span></p><p class="MsoNormal"> <span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">Christine passe me chercher à 5h30 et nous prenons l’autoroute en direction de Nantes. Le temps est gris mais il ne fait pas froid. Nous sommes le jeudi de l’Ascension et le trafic est très fluide.</span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">Après un petit déjeuner pris à mi-chemin, nous arrivons à l’aéroport à 8h10.</span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;"><em>— J’espère que tu vas avoir beau temps en Vendée. Repose-toi bien et à la semaine prochaine, Christine !</em></span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4586257" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/00/00/1602846468.JPG" alt="voyage, andalousie, espagne, seville" /></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">11h, l’avion décolle et atterrit vers 13h à Séville. Ce qui frappe tout de suite c’est la couleur du ciel, d’un beau bleu profond sans un seul nuage.</span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">Nous sommes attendus par trois guides qui nous mènent jusqu’aux cars et en route pour un tour de ville en bus.</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4586258" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/02/00/2308341871.jpg" alt="voyage, andalousie, espagne, seville" /></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">Nous nous arrêtons bientôt sur la place d’Espagne, construite lors de l’exposition ibéro-américaine de 1929 et qui forme un demi-cercle autour duquel ont été placés 58 bancs d’azulejos représentant les provinces.</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4586259" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/02/01/3560725145.JPG" alt="voyage, andalousie, espagne, seville" /></p><p class="MsoNormal"> </p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">Le guide nous emmène ensuite visiter la cathédrale. </span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;"><em>— Rendez-vous dans une heure près de la fontaine pour ceux qui préfèrent se balader</em>.</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4586263" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/00/00/2843081077.jpg" alt="voyage, andalousie, espagne, seville" /></p><p class="MsoNormal"> </p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">Je pars donc de mon côté et je me retrouve bientôt à la terrasse d’un café pour une petite pause.</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4586260" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/00/00/3837614206.jpg" alt="voyage, andalousie, espagne, seville" /></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">À 17h nous rejoignons les bus, direction le bateau. Il est amarré sur le Guadalquivir, le long du parc Santa Luisa où se trouvent les magnifiques pavillons construits pour l’expo de 1929.</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4586262" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/00/01/2418048156.JPG" alt="voyage, andalousie, espagne, seville" /></p><p class="MsoNormal"> </p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">Chacun prend possession de sa cabine ; la mienne se situe au pont inférieur et du hublot je peux apercevoir les bateaux amarrés en face, dans le quartier de Triana.</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4586264" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/02/02/676941333.JPG" alt="voyage, andalousie, espagne, seville" /></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">À 19h c’est la présentation de l’équipage puis nous passons à table. Étant seule, je ne me suis pas inscrite sur la liste pour la répartition des places. Je me retrouve à une grande table où déjà six personnes sont installées. Je sens tout de suite que l’ambiance ne sera pas des plus folichonnes, mais bon … Je m’en fiche un peu. Je suis même capable de sauter deux ou trois repas si cela devient vraiment trop ennuyeux. Mais cela ne se produira pas … </span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">À 22h je rejoins ma cabine. Demain les choses sérieuses commencent !</span></p><p class="MsoNormal"><em><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">À suivre ...</span></em></p><p class="MsoNormal"> </p><p class="MsoNormal"><span style="color: #993366;"><em><strong><a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/S%C3%A9ville"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #993366;">Généralités sur Séville</span></a></strong></em></span></p><p><em style="color: #99cc00;"><strong><a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Cath%C3%A9drale_Notre-Dame_du_Si%C3%A8ge_de_S%C3%A9ville"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #99cc00;">Cathédrale de Séville</span></a></strong></em></p><p><iframe width="560" height="315" src="http://www.youtube.com/embed/LnV7IkZU-OY" frameborder="0" allowfullscreen=""></iframe></p>
Tinou
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93. Retour d'Andalousie
tag:tinouaujourlejour.hautetfort.com,2014-06-06:5385974
2014-06-06T18:12:22+02:00
2014-06-06T18:12:22+02:00
Retour en terre tourangelle ! Avant de commencer le carnet de voyage, voici...
<p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">Retour en terre tourangelle ! Avant de commencer le carnet de voyage, voici quelques photos prises en Espagne et au Portugal.</span></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;"><br /><img id="media-4585669" src="http://static.hautetfort.com/backend/graphics/insert-multimedia.jpg" alt=" http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/01/02/1355377662.mp3" /><br /></span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4585665" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/01/01/1287869455.jpg" alt="Andalousi1e 097a.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4585657" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/01/00/3394709153.jpg" alt="Andalousi1e 094a.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4585654" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/01/00/2144313892.JPG" alt="Andalousi1e 087.JPG" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4585650" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/02/00/3712890798.jpg" alt="Andalousi1e 320a.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4585647" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/02/02/3317334231.jpg" alt="Andalousi1e 296a.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4585644" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/00/02/3803130614.jpg" alt="Andalousi1e 384a.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4585642" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/01/00/235815541.jpg" alt="Andalousi1e 369a.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4585640" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/02/01/2554645318.jpg" alt="Andalousi1e 492a.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4585639" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/02/00/776720726.JPG" alt="Andalousi1e 592.JPG" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4585637" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/01/00/565349879.JPG" alt="Andalousi2e 061.JPG" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4585635" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/02/01/2753348510.JPG" alt="Andalousi2e 105.JPG" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4585634" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/02/02/1009900893.JPG" alt="Andalousi2e 150.JPG" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4585633" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/00/00/249821959.JPG" alt="Andalousi2e 304.JPG" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4585631" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/02/01/2417686351.jpg" alt="Andalousi2e 268a.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4585629" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/02/00/2041011054.JPG" alt="Andalousi2e 285.JPG" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4585628" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/01/00/4045768584.jpg" alt="Andalousi2e 346a.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4585627" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/02/02/446311735.jpg" alt="Andalousi2e 354a.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4585626" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/01/02/1666073348.JPG" alt="Andalousi2e 355.JPG" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4585624" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/01/00/2076157465.jpg" alt="Andalousi2e 361a.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4585622" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/01/01/2917549316.jpg" alt="Andalousi2e 367a.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4585620" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/02/00/2415922342.jpg" alt="Andalousi2e 373a.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4585619" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/00/01/914746876.jpg" alt="Andalousi2e 386a.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4585618" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/02/01/210734220.jpg" alt="Andalousi2e 388a.jpg" /></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">Rendez-vous demain ! </span></p>
Tinou
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88. Maman les p'tits bateaux
tag:tinouaujourlejour.hautetfort.com,2014-05-22:5375185
2014-05-22T12:24:12+02:00
2014-05-22T12:24:12+02:00
Dans une semaine exactement, je serai à bord de l'avion en partance pour...
<p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">Dans une semaine exactement, je serai à bord de l'avion en partance pour Séville. On peut dire que ce voyage tombe à propos car en ce moment j'ai bien du mal à émerger : le problème avec les rats n'est toujours pas résolu, Théo me manque énormément et il pleut des cordes ! Rajoutez à ça mes enceintes d'ordinateur qui ne fonctionnent plus, une prise électrique que j'ai cassée, une rentrée d'argent qui se fait attendre ...</span></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">Donc jeudi matin, direction Nantes ! Christine m'emmène en voiture car elle part une semaine chez sa mère en Vendée. Au retour, elle passera me chercher à l'aéroport. </span></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">J'ai reçu le carnet de voyage mais j'avoue que je ne l'ai pas étudié très en profondeur. Mon guide du routard date de plus de treize ans, mais ce sera bien suffisant pour les visites historiques. </span></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">Voici le bateau :</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4567173" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/00/00/83282157.jpg" alt="belle de cadix2.jpg" /></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">J'ai la <span style="color: #993366;"><em><strong><a href="http://www.eurorivercruises.com/fleet/belle%20de%20cadix.html"><span style="color: #993366;">cabine 120 </span></a></strong></em></span>sur le pont principal, tout près du restaurant.</span></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">Je n'ai encore réservé aucune excursion, je le ferai le jour de l'arrivée.</span></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">Durant cette croisière, nous allons donc descendre le Guadalquivir de Séville à Cadix, puis le bateau prendra la mer jusqu'à Vila Real, au Portugal. Retour à Cadix, puis excursion jusqu'au rocher de Gibraltar. De Séville nous devons également nous rendre à Grenade et à Cordoue. Beaucoup de car en perspective, mais ça permet de découvrir les paysages ! </span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4567174" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/02/01/3698615540.2.jpg" alt="carte.jpg" /></p>
Wilmax
http://islamineurope.hautetfort.com/about.html
Pour l'islamiste Hassan Iquioussen à la mosquée ASSALAM de Pont-à-Mousson: l'Occident est l'ennemi
tag:islamineurope.hautetfort.com,2013-11-16:5222747
2013-11-16T13:48:00+01:00
2013-11-16T13:48:00+01:00
La ville de Lorraine Pont-à-Mousson en Meurthe-et-Moselle est peuplée...
<p align="justify"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: medium;">La ville de Lorraine Pont-à-Mousson en Meurthe-et-Moselle est peuplée d'environ 16000 habitants, et peut s'enorgueillir d'un patrimoine Historique magnifique et conséquent. Cette ville, fondée en 1261 par Thibault II de Bar, abrite l'Eglise Saint-Martin, l'Eglise Saint-Laurent, la Maison des Sept Péchés Capitaux, l'Abbaye des prémontrés.</span><br /><span style="font-size: medium;"> <span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif;">Le centre culturel musulman dispose à Pont-à-Mousson d'une Mosquée.</span><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif;"> Le 12 décembre 2010, <a title="mosquée pont-à-mousson - Hassan Iquioussen" href="http://img15.hostingpics.net/pics/620788iqouissenpontamousson2.png" target="_blank">la Mosquée ASSALAM de Pont-à-Mousson a acceuilli l'islamiste Hassan Iquioussen,</a> pour un prêche que l'on peut retrouver en intégralité en format audio mp3 sur le site de la Mosquée. Hassan Iquioussen est membre de l'UOIF (Union des Organisations Islamiques de France), <a title="UOIF" href="http://www.islamisation.fr/5-_uoif_freres_musulmans/">organisation controversée sur ses prises de position dans le monde islamique sur le voile intégral ou les caricatures de Mohammed</a>. Hassan Iquioussen est également imam de la Mosquée d'Escaudain dans le Nord. <a title="Hassan Iquioussen antisémite" href="http://mondelibre.blogspot.fr/2004_10_01_archive.html" target="_blank">Il a par le passé tenu dans des prèches, des propos à caractère antisémite.</a></span></span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img style="margin: 0.7em 0;" src="http://img15.hostingpics.net/pics/857596MosqueBziersHassanIquioussen.png" alt="857596MosqueBziersHassanIquioussen.png" /></p><p align="left"><span style="font-size: medium;"><em><strong><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif;">L'imam Hassan Iquioussen(sur la photo, en conférence à la Grande Mosquée Ar-Rahma de Béziers)</span><br /></strong></em></span></p><p align="justify"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: medium;"><a title="conférence Iquoissien" href="http://www.assalam54.com/multimedia/audio-mp3/conf%C3%A9rences/">Voici quelques extraits de ce prêche (en gras italique) "réveille toi avant qu'il ne soit trop tard!"</a> (<a title="conférece Iquouissen" href="http://img15.hostingpics.net/pics/967867iqouissenpontamousson1.png" target="_blank">hard-copy 1</a>) (<a title="mosquée pont-à-mousson Hassan Iquioussen" href="http://img15.hostingpics.net/pics/620788iqouissenpontamousson2.png" target="_blank">hard-copy 2</a>). Les commentaires sont en police normale:</span></p><p align="justify"><span style="font-size: medium;"><em><strong><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif;">"Il y a des êtres humains qui veulent vivre sur Terre comme s'ils étaient au Paradis.</span><br /> <span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif;">Voila ce qui est arrivé aux Musulmans quand il dormaient. Nous sommes au V siècle, en europe, en Andalousie au sud de l'Espagne.</span><br /> <span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif;">Les Musulmans sont installés depuis longtemps et vivent de manière prospère.</span><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif;"> Mais ils sont progressivement gagnés par la décadence, en vivant dans l'excès, l'opulence et la richesse à outrance. Ils se sont divisés et dans leur lutte interne ont pactisé avec le Diable: les Catholiques et les Chrétiens, qui n'avaient qu'un projet, manger du musulman, il faut les "matar", les tuer, les éliminer, les faire disparaître car se sont des païens. Les villes et les forteresses tombent les unes après les autres.</span><br /> <span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif;">Vous avez fait un peu de littérature, vous vous souvenez de ce qu'a écrit Corneille ? Le Cid.</span><br /> <span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif;">C'était un diable, un sheitan, un mercenaire sans foi ni lois, un Rambo.</span><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif;"> Son boulot avec ses milliers de cavaliers c'est attaquer les Musulmans, les tailler en pièces et il était parfois engagé par des musulmans contre des musulmans.</span><br /> <span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif;">Au cours d'une bataille, Le Cid assiège Valence pendant des mois, il a dit aux musulmans : "rendez-vous et vous aurez la vie sauve !", les musulmans aux alentours ne sont pas venus les aider. A la fin, se trouvant sans vivres, le notable de la ville décide de se rendre en compagnie de quelques Musulmans malgré les protestations, "il ne faut pas se rendre car le Cid n'a pas de paroles", mais ils se sont finalement rendus. Ils ont préféré vivre comme des esclaves au lieu de rester des hommes libres.<br />Ceux qui ont continué à résister au sein de la forteresse ont été arrêté. Vous savez ce qu'à fait Le Cid ? Il a organisé un bûcher, ils ont enterré le notable jusqu'à la moitié de son ventre, et ils l'ont brûlé, le Cid veut marquer les consciences, semer la peur, la terreur dans ce qui reste des contrées musulmanes, pour que plus personne ne résiste et ne se lève contre l'injustice et la barbarie de ces conquérants.</span><br /> <span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif;">Malgré cela, parmi ces personnes, des musulmans ne dorment pas, comme Abdoul Wahlid, ce savant ne resta pas les bras croisés, et a fait le tour des villes et des villages d'Andalousie, se rendant dans chaque Mosquée : "l'ennemi est aux portes", voilà ce qu'il a fait. Tout ceci n'est pas que de l'Histoire, c'est de l'actualité, regardez ce qui se passe actuellement. Il prend contact avec le peuple, avec les dirigeants, tout le monde pleure, tout le monde l'applaudit, tout le monde dit : "tu as raison !" Tout le monde reconnaît que c'est vrai. Mais une fois qu'il part, plus rien. Les musulmans retournent à ce que Zyriab leur a enseigné. Qui est Zyriab ? Originaire d'Irak, Zyriab était un chanteur et musicien qui a quitté Bagdad et est venu s'installer à Cordoue. Il a ramené la mode, la musique. Et on chante, on danse, on boit un petit coup, les musulmans se transforment en cigales, alors qu'il y a le Feu.</span><br /> <span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif;">Abdoul Wahlid est épuisé, découragé, il a tout essayé pour mobilier les Musulmans, mais ils n'ont pas bougé et ils ne bougeront pas. Il conseille alors de demander de l'aide aux Frères de l'autre côté de la Méditerranée, pour qu'ils viennent nous sauver des griffes du Monstre. Et c'est ce qui va se passer. </span><br /> <span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif;">Ils sont allés cherchez leurs Frères Musulmans Almoravides au Maghreb. Qu'est-ce qu'il y a au Maghreb ? Ils ont à leur tête un homme exceptionnel Yousuf Tashfin, c'est comme ça que l'appelle les Kouffars, très pieux, qui va répandre l'Islam, avec des gens qui ne connaissent pas la mode, qui ne connaissent pas la musique, qui ne connaissent pas l'alcool, qui ne connaissent pas la luxure. Il prend ses hommes et il remonte jusqu'à Tanger.</span><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif;"> Les Almoravides vont remonter la Frontière au Portugal.</span><br /> <span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif;">en 498, face à face entre les musulmans d'Espagne et du Maghreb et les armées européennes, un massacre à la tronçonneuse, et à 80 ans, </span><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif;">Yousuf Tashfin</span><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif;"> va les tailler en pièces. Alphonse, alors Roi des Chrétiens a levé une coalition, l'ONU, pour attaquer, mais les musulmans sont divisés, ils regardent la télé, ils jouent à la playstation. Il n'y a que le support qui change, le fond est toujours le même. </span><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif;">Yousuf Tashfin</span><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif;"> va les rassembler.</span><br /> </strong></em><em><strong><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif;">Yousuf Tashfin dit : "</span></strong></em><em><strong><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif;">On va se mettre derrière et sur les côtés, on va vous laisser faire, quand vous allez commencer à vous prendre une claque, l'ennemi pensera qu'il a gagné et on va arriver et on va les massacrer". La victoire est totale. Ne vous divisez pas, et restez unis et éveillés. </span><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif;">Après cette victoire, Yousuf Tashfin</span><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif;"> repart au Maghreb rassuré.</span><br /> <span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif;">Alphonse a réussi à se barrer le traitre, il a réussi à se cacher à Tolède, les Musulmans vont se diviser de nouveau et font des pactes avec Alphonse contre leur Frères Musulmans. Yousuf Tashfin sera obligé de revenir, de sermoner les Musulmans qui n'ont pas entendu sa parole, et remporte </span></strong></em><em><strong><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif;">de nouveau </span></strong></em><em><strong><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif;">des victoires décisives en Andalousie qui restera Musulmane pendant 400 ans de plus.</span><br /> <span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif;">En 1492, l'Espagne est cependant définitivement reconquise par les Chrétiens, les mosquées sont transformées en Eglises, plus d'écoles privées, plus de tribunal, vos enfants changent de prénom, catéchisme, toi, ta femme se convertissent, les Musulmans se convertissent avec la langue, interdit de porter leurs vêtements, interdit d'avoir une porte à l'entrée de leur maison, pour que n'importe quel Chrétien puisse entrer dans la maison, et, s'il surprend des Musulmans en train d'appliquer des principes islamiques, ces derniers sont condamnés et brûlés vivants en place publique.</span><br /> <span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif;">Malgré tous ces massacres, après 100 ans, il y a toujours des Musulmans, ils ont fait des Mosquées et des écoles sous terre, et des imams vivaient en permanence sous terre. Gimenez le diable, le cardinal d'Espagne, quand il a vu qu'après 100 ans, qu'ils étaient toujours Musulmans, n'a trouvé qu'une solution : 2 millions de Musulmans sont expulsés, ou jetés à la mer, et se retrouvent dans le Maghreb.</span><br /> <span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif;">Mais aujourd'hui il y a pire que ça, tu rentres chez toi, et tu n'es même pas conscient des problèmes. Avec internet, la télé, on te prend ton âme et tu n'es pas conscient, il n'y a que le vendredi que tu te réveilles, tu vas à la Mosquée, "salut à la semaine prochaine !" et tu disparais.</span><br /> <span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif;">Pour régler les problèmes, Il faut venir à la Mosquée. Sinon quoi ? On attend qu'Alphonse débarque et on appelle Yousuf Tashfin ? Le problème c'est que les Yousuf Tashfin, il n'y en a plus, on ne viendra pas à votre secours. L'Histoire se répète.</span><br /> <span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif;">Regardez les Missionnaires Chrétiens en Afrique, comment ils font pour convertir les Musulmans : tu veux à boire ? tu veux à manger ? Tu veux un médicament ?</span><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif;"> Un Passeport ? Un Visa ? Avant de te donner tout ça, lis la Bible d'abord, deviens chrétien et tu auras le Paradis. Il fait ça, et directement il se retrouve à l'université de truc et de machin. Tu vends ton âme.</span>"</strong></em></span></p><p align="justify"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: medium;">Iquioussen traite, dans des propos très crus, la diffusion de l'Islam comme une guerre contre l'Occident : la piété, la Foi et les Lois Divines d'Allah opposées à la musique, la mode, la danse, les arts, la "luxure", lutter contre les valeurs Occidentales et toute forme d'Art et de Culture.</span><br /><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: medium;"> Il fait un parallèle entre les Jihad islamiques, les Croisades du Moyen-âge et la période actuelle en mélangeant habilement passé et présent, pour suggérer que cette guerre totale entre Islam et Occident est toujours en cours aujourd'hui. Il fait passer les Musulmans pour des victimes, alors qu'ils étaient en Espagne eux-mêmes des envahisseurs, en oubliant sciemment les violences et persécutions faites au Chrétiens et aux Juifs soumis à la dhimmitude du pacte d'Omar, ainsi que les villes incendiées et pillées (razzia). Quelques rappels historiques :</span><br /><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: medium;"> En 796 eut lieu à Cordoue une sévère répression de la révolte des autochtones dans la même ville, 20 000 familles prirent la route de l’exil. En 817 une révolte de convertis forcés à Cordoue provoqua l’ expulsion des habitants. En 850, le prêtre Perfectus est décapité publiquement pour blasphème, ayant voulu débattre des erreurs de l'islam et la même année, le marchand chrétien Johannes de Cordoue est torturé puis emprisonné pour avoir prononcé le nom de Mahomet pendant une vente. En 851, d'Abd el Rahman II de Cordoue promulgue un édit menaçant de mort tous les blasphémateurs envers l'islam et emprisonne tous les chefs de la communauté chrétienne de la cité. L’année d’après a lieu l’ épuration de l'administration de Cordoue de ses éléments chrétiens, ainsi que la destruction des églises datant d'après la conquête arabe. En 900 est prise une mesure radicale : l’interdiction pour les chrétiens de Cordoue de construire de nouvelles églises. En 976, après l’invasion almoravide le Calife Almanzor, organise au pied de la Sierra Nevada une véritable Inquisition officielle, la seconde depuis l’Inquisition judaïque, et expurge toute les bibliothèques du califat , sans en exclure la biblihothèque royale d’Al-Hakam II, essentiellement composée d’ouvrages accumulés par les wisigoths, qui seront brûlés par un gigantesque autodafé.</span></p><p align="justify"><span style="font-size: medium;"><strong><em><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif;">"Le Loi sur l'interdiction du port du voile est injuste, à nous de faire pression sur eux pour abroger cette loi. Entrez en contact avec les maires, les députés, votez et entrez dans les partis politiques, plaignez-vous auprès des maires, des politiques."</span></em></strong></span><br /><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: medium;"> Hassan Iquouissen distille ici un Message à caractère politique.</span></p><p align="justify"><span style="font-size: medium;"><strong><em><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif;">"S'il y a beaucoup d'orphelins c'est à cause de l'Occident qui exploite les pays du tiers-monde qui les empêche de se développer économiquement en maintenant au pouvoir des dictateurs qui dirigent les pays Musulmans ou il n'y a pas de liberté, pas de démocratie, et si jamais un peuple arrive à voter et mettre au pouvoir des gens qu'on a choisi, on fait un coup d'état, ou on fait un embargo. C'est l'occident qui est machiavélique, qui exploite et qui vole les richesses pour semer la zizanie en permanence pour vendre des armes."</span></em></strong></span><br /><span style="font-size: medium;"> <span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif;">Pour Iquioussen, seul l'Occident est responsable des malheurs des pays Musulmans, il</span><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif;"> oublie de signaler que le Savoir, les Arts et la Culture du Monde arabo-musulman se sont éteints progressivement au fur et à mesure de la progression de l'Islam. Les échanges culturels avec les Perses, les Chrétiens d'Orient (ayant traduits </span><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif;">aux arabo-musulmans </span><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif;">une grande partie des ouvrages grecs de Philosophie, de Sciences, Aristote, Galien, Hipparque, etc... ) ont disparu au détriment de la montée de l'Islam. </span><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif;"><a title="Science dans le monde musulman 2008" href="http://www.lemonde.fr/idees/article/2010/11/18/les-societes-musulmanes-face-au-aux-defis-de-la-science_1441778_3232.html">En 2008, la totalité des publications scientifiques du monde Musulman, 57 pays soit plus de 1,2 milliards d'habitants, est équivalente aux publications scientifiques de ...l'Italie. </a><br /> </span><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif;">Les Musulmans doivent aujourd'hui se prendre eux-même en charge et se débarasser du Totalitarisme pour mener leur révolution. (La Tunisie y parviendra-t-elle ?)</span></span></p><p align="justify"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: medium;">Est-ce que ce sermon vous semble être un message de Tolérance, d'intégration ? Est-ce que, d'après-vous, ce prèche peut contribuer à améliorer les relations entre Communautés ? Est-ce que ce "Message" est adapté pour être dispensé dans un lieu de Culte, de prière, de reccueillement, d'humilité ?</span></p><p align="justify"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: medium;"><span style="font-size: small;"><strong>article publié sur http://islamineurope.unblog.fr le 23 janvier 2011</strong></span><br /></span></p>
Tinou
http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/about.html
192. Maman les p'tits bateaux
tag:tinouaujourlejour.hautetfort.com,2013-11-08:5216165
2013-11-08T07:13:00+01:00
2013-11-08T07:13:00+01:00
Au mois d’août, au retour de la croisière sur le Danube qui s’était achevée...
<p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">Au mois d’août, au retour de la croisière sur le Danube qui s’était achevée par un circuit en car, le niveau d’eau du Danube étant trop bas, j’avais envoyé un courrier à Croisieurope leur faisant part de ma déception. Une lettre tout en nuances afin de ne pas heurter les susceptibilités… Et j’ai bien fait car, en retour, j’ai obtenu le remboursement de deux excursions – soit 80 euros- puis un avoir de 340 euros pour une prochaine croisière.</span></p><p class="MsoNormal"><span style="color: #333399; font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">Hier je décide donc de réserver une place pour la croisière sur la Volga, d’Astrakhan à Moscou. Comme je n’arrivais pas à ouvrir le site, j’ai appelé par téléphone. Il restait seulement deux places disponibles, une en mai et l’autre en septembre, mais plus de cabines individuelles. Il fallait compter un supplément de 900 euros pour une cabine double, ce qui me parait exorbitant ! Donc pas de croisière sur la Volga pour cette fois-ci.</span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">Je me suis alors rabattue sur l’Andalousie. Plus aucune disponibilité pour avril … Tant pis, je partirai en mai. J’ai donc réservé cette croisière – à la fois fluviale et maritime- qui va me faire découvrir successivement Séville, Cadix, Vila Real au Portugal – où j’espère pouvoir rencontrer mon copain Jo et sa femme Olimpe – et enfin une excursion jusqu’au rocher de Gibraltar.</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4318933" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://tinouaujourlejour.hautetfort.com/media/00/01/1878773558.jpg" alt="croisiere, andalousie" /></p><p class="MsoNormal"><span style="color: #333399; font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">J’ai opté pour un départ depuis Nantes, ce qui me permettra de laisser ma voiture sur place. </span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #333399;">C'est le moment de chanter :</span></p><p><iframe width="480" height="270" frameborder="0" src="http://www.dailymotion.com/embed/video/x55gc0"></iframe><br /><a href="http://www.dailymotion.com/video/x55gc0_luis-mariano-la-belle-de-cadix_music" target="_blank">Luis MARIANO La belle de Cadix</a> <em>par <a href="http://www.dailymotion.com/fgomez54" target="_blank">fgomez54</a></em></p>
MCSJuan
http://tramesnomades.hautetfort.com/about.html
Andalousie… Rêve, mémoire… Illusion ? Utopie ?
tag:tramesnomades.hautetfort.com,2013-10-18:5199167
2013-10-18T01:47:00+02:00
2013-10-18T01:47:00+02:00
Je viens de lire une réflexion de Jean Daniel, titrée « L'illusion...
<p><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: Calibri;">Je viens de lire une réflexion de Jean Daniel, titrée « L'illusion andalouse », et publiée le 09-10-2013 dans le Nouvel Obs… Questionnement percutant. Andalousie, plurielle… réelle, ou fantasmée. Oui, l’ombre est présente autant que la lumière. Mais beauté du rêve, quand même, d’une sagesse possible, d’une fraternité cependant tissée, et de proximités reconstruites…</span></span></p><p><span style="font-family: Calibri;"><span style="font-size: medium;">Bea</span><span style="font-size: medium;">u texte, à lire lentement et relire. Exercice de lucidité, non pour nier la possibilité de la fraternité, mais pour insister sur les pièges de ce qui l’entrave, sur ce qui fait de la haine entre les communautés une fatalité transmise par enfermement identitaire sur soi. Ignorance et mépris de l’autre, fiction de sa supériorité comme individu d’appartenance… La rencontre, souvent, se ferait par l’art, les créations croisées… et la possibilité offerte de rejoindre l’universel.</span></span></p><p><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">La chronique est à lire là : </span><a href="http://tempsreel.nouvelobs.com/jean-daniel/20131009.OBS0285/l-illusion-andalouse.html"><span style="color: #0000ff; font-family: Calibri; font-size: small;">http://tempsreel.nouvelobs.com/jean-daniel/20131009.OBS0285/l-illusion-andalouse.html</span></a></p><p><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: Calibri;">De ce lieu, de son histoire complexe, on peut garder, je pense, ce qui effectivement demeure en héritage, si souvent, dans la culture de ceux qui ont une ascendance issue de ce rivage (ou de ceux qui, pour une raison ou une autre, sont attirés par ce qui n’est pas qu’un mirage). Le goût du partage en création (musique andalouse qui, de l’Espagne au Maghreb, et, en écho de présences, en France - Marseille, Paris - marque des identités croisées, des consciences traversées par des appartenances frontières où l’autre est aussi l’étranger que l’on porte en soi). Goût du son des langues… Parentés philosophiques : sagesses. Mystiques en miroir. </span></span></p><p><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">…………. </span></p><p><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">Dans le prolongement de cette lecture on pourra aborder (ou retrouver) deux ouvrages essentiels. </span></p><p><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">De<span style="text-decoration: underline;"> Jean Daniel</span>, « <span style="text-decoration: underline;">La prison juive. Humeurs et méditations d’un témoin</span> », poches, Odile Jacob (Autre regard sur le rapport à l’identité, une ouverture, le témoignage d’une sagesse vécue…). <span style="font-family: Calibri;"><span style="text-decoration: underline;">Christian Makarian</span> écrit ceci sur ce livre, dans L’Express du 27-11-2003 </span><em><span style="font-family: Calibri;">: </span></em></span><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: Calibri;">« Fort d'une puissante culture juive, en admiration devant l'édifice du christianisme, empathique envers l'islam, le directeur-fondateur du <em>Nouvel Observateur</em> propose sa propre clef, son passe personnel: pour échapper à la prison qu'il décrit, il n'y a que l'universalisme. ».</span> </span><span style="text-decoration: underline;">La prison juive, humeurs et méditations d’un témoin</span>,sur <span style="text-decoration: underline;">Decitre</span> : <a href="http://www.decitre.fr/livres/la-prison-juive-9782738115645.html">http://www.decitre.fr/livres/la-prison-juive-9782738115645.html</a> </p><p><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">D’<span style="text-decoration: underline;">Amin Maalouf</span>, « <span style="text-decoration: underline;">Les identités meurtrières</span> », Livre de poche. « Ce qui fait que je suis moi-même et pas un autre, c'est que je suis ainsi à la lisière de deux pays de deux ou trois langues, de plusieurs traditions culturelles. </span><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">C'est cela mon identité... ». Page éditeur, <span style="text-decoration: underline;">Grasset</span> : <a href="http://www.grasset.fr/les-identites-meurtrieres-9782246548812">http://www.grasset.fr/les-identites-meurtrieres-9782246548812</a> ... <span style="text-decoration: underline;">Decitre</span></span><span style="color: #0000ff; font-family: Calibri; font-size: small;"><span style="font-size: medium;"> : </span><a style="color: #0000ff; font-size: small;" href="http://www.decitre.fr/livres/les-identites-meurtrieres-9782246548812.html">http://www.decitre.fr/livres/les-identites-meurtrieres-9782246548812.html</a><span style="color: #0000ff; font-size: small;"> .....</span></span><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;"><span style="text-decoration: underline;">Citations</span> du livre sur <span style="text-decoration: underline;">evene.fr</span> : </span><span style="color: #0000ff; font-family: Calibri; font-size: small;"><a href="http://www.evene.fr/livres/livre/amin-maalouf-les-identites-meurtrieres-6889.php?citations">http://www.evene.fr/livres/livre/amin-maalouf-les-identites-meurtrieres-6889.php?citations</a> </span></p><p><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: Calibri;">Pour changer de regard il faut donc développer une éthique personnelle, faite de liberté intérieure, de refus des cadres formels rigides, de recherche de la sagesse. Cela passe par la traversée des frontières mentales et des réelles frontières culturelles. Nécessité du voyage, sous une forme ou une autre, ne serait-ce que par les livres…</span></span></p><p><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;"><span style="text-decoration: underline;">Clin d’œil musical à l'éthique méditerranéenne questionnant l'identité singulière pour l'ouvrir à la pluralité</span>, cet orchestre regroupant seize pays du pourtour méditerranéen, <span style="text-decoration: underline;">Mediterranean Charlie Orchestra</span>. </span><span style="text-decoration: underline;">Laurent Dussutour</span>, <span style="text-decoration: underline;">JournalVentilo</span>, résume ainsi l’orientation méditerranéenne de l’orchestre, inspiré aussi par Conrad : « Le véritable sens musical proposé par le MCO est loin du sens commun, proposant un objet jazzistique non identifié, ce qui est le propre de l’esprit du genre ! Au-delà d’un « troisième courant » du jazz qui consisterait à rapprocher classique et notes bleues, c’est plus à une odyssée méditerranéenne rompant avec le tropisme transatlantique du genre que convie ce projet. » : <a href="http://www.journalventilo.fr/mediterranean-charlie-orchestra/">http://www.journalventilo.fr/mediterranean-charlie-orchestra</a> </p><p>L’orchestre a une <span style="text-decoration: underline;">page Facebook</span> : <a href="https://www.facebook.com/179835852047859/videos/596901680341272/">https://www.facebook.com/179835852047859/videos/596901680341272/</a></p><p>...........</p><p>...<span style="text-decoration: underline;">Jean Daniel</span>... Fiche <span style="text-decoration: underline;">wikipedia</span> <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Daniel">https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Daniel</a> </p><p>Jean Daniel, observateur du XXème siècle, sur <span style="text-decoration: underline;">culture-libre</span> <a href="http://www.culture-libre.org/wiki/Jean_Daniel_:_Observateur_du_XX%C3%A8me_si%C3%A8cle">http://www.culture-libre.org/wiki/Jean_Daniel_:_Observateur_du_XXème_siècle</a></p><p><span style="text-decoration: underline;">Chroniques</span>, Jean Daniel, Obs : <a href="http://tempsreel.nouvelobs.com/journaliste/16443/jean-daniel.html">http://tempsreel.nouvelobs.com/journaliste/16443/jean-daniel.html</a> </p><p>...<span style="text-decoration: underline;">Amin Maalouf.</span>.. Fiche <span style="text-decoration: underline;">wikipedia</span> <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Amin_Maalouf">https://fr.wikipedia.org/wiki/Amin_Maalouf</a></p><p>................... <span style="color: #ff00ff;"><strong>MISE à JOUR</strong></span>... LIVRE... <span style="text-decoration: underline;">Identité et violence</span>, d’Amartya Sen, éd. Odile Jacob : <a href="http://www.odilejacob.fr/catalogue/sciences-humaines/religions-spiritualites/identite-et-violence_9782738118356.php">http://www.odilejacob.fr/catalogue/sciences-humaines/religions-spiritualites/identite-et-violence_9782738118356.php</a></p><p>.................. Voir aussi, <span style="text-decoration: underline;">Méditerranées,</span> film d'<span style="text-decoration: underline;">Olivier PY</span>, commentaires croisés (identité, Méditerranée...)... <a href="http://tramesnomades.hautetfort.com/archive/2013/07/24/mediterranees-d-olivier-py-sur-vivre-a-belcourt-de-luc-dema.html">http://tramesnomades.hautetfort.com/archive/2013/07/24/mediterranees-d-olivier-py-sur-vivre-a-belcourt-de-luc-dema.html</a> </p>
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FEDERICO GARCIA LORCA, «GACELA DE L'AMOUR IMPREVU» suivi de ”GACELA DE L'AMOUR DESESPEREE”
tag:aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com,2013-06-29:5108975
2013-06-29T05:10:00+02:00
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FEDERICO GARCIA LORCA «GACELA DE L'AMOUR IMPREVU»...
<p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong><iframe width="481" height="139" src="http://www.franceculture.fr/player/export-reecouter?content=4653162" frameborder="0" scrolling="no"></iframe></strong></span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: x-large;"><strong>FEDERICO GARCIA LORCA</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large; color: #339966;"><strong> «GACELA DE L'AMOUR IMPREVU»</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>LU PAR <span style="color: #0000ff;">LAURENT STOCKER</span></strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong> suivi de</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large; color: #339966;"><strong> "GACELA DE L'AMOUR DESESPEREE"</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>LU PAR <span style="color: #0000ff;">ADELINE D'HERMY</span></strong></span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Poèmes extraits du recueil « <em>DIVAN DE TAMARIT</em> » Gallimard.</strong></span></p><p class="Paragraphedeliste" style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Traduction de <span style="color: #0000ff;">Claude COUFFON</span> et <span style="color: #0000ff;">Bernard SESE</span></strong></span></p><p class="Paragraphedeliste" style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong><span style="color: #0000ff;"><br /></span></strong></span></p><p class="Paragraphedeliste" style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large; color: #008000;"><strong>Federico Garcia Lorca naît en 1899 au sein d'une famille andalouse aisée et libérale. Il s'intéresse très tôt aux différents domaines des arts et emprunte la voie de la poésie dès 1921 avec <em>Canciones</em> puis <em>Romancero gitano</em> (1928). En alliant modernité et folklore populaire, Garcia Lorca emporte rapidement la reconnaissance du public. Ses nombreux voyages, notamment sur le continent américain, ont approfondi et enrichi ses oeuvres (<em>Poète à New York</em>, 1934). Dès 1935, Garcia Lorca bifurque légèrement vers le chemin dramatique. Il fonde <em>la Barraca</em>, sa propre compagnie théâtrale et met en scène de grands classiques. Il peut alors y représenter ses pièces <em>Noces de sang</em> (1933), <em>Yerma </em>(1935) et <em>la Maison de Bernarda</em> (1936). Cette trilogie tragique reste l'une de ses oeuvres majeures. Federico Garcia Lorca est fusillé par les franquistes en 1936.</strong></span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Choix de <span style="color: #0000ff;">Baptiste Guiton</span></strong></span></p><p class="Paragraphedeliste" style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Réalisation : <span style="color: #0000ff;">Marguerite Gateau</span></strong></span></p><p class="Paragraphedeliste" style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Prise de son et mixage : <span style="color: #0000ff;">Bernard Lagnel</span></strong></span></p><p class="Paragraphedeliste" style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Montage : <span style="color: #0000ff;">Manon Houssin</span></strong></span></p><p class="Paragraphedeliste" style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong><em>Assistante à la réalisation : <span style="color: #0000ff;">Pauline Ziadé</span></em></strong></span></p>
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FEDERICO GARCIA LORCA, «NU» suivi de ”A MALAGA” (1925)
tag:aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com,2013-06-27:5108122
2013-06-27T17:24:00+02:00
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FEDERICO GARCIA LORCA «NU» Suivi de "A...
<p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong><iframe width="481" height="139" src="http://www.franceculture.fr/player/export-reecouter?content=4652850" frameborder="0" scrolling="no"></iframe></strong></span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: x-large; color: #0000ff;"><strong>FEDERICO GARCIA LORCA</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: x-large; color: #008000;"><strong> «NU»</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: x-large;"><strong> Suivi de</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: x-large; color: #008000;"><strong> "A MALAGA" </strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Lus par <span style="color: #0000ff;">Nazim Boudjenah</span></strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Extraits du recueil « Eros avec Bâton » (1925), <em>Chansons</em>, Gallimard.</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong><br /></strong></span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Traduction d’<span style="color: #0000ff;">André BELAMICH</span></strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong><span style="color: #0000ff;"><br /></span></strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large; color: #008000;"><strong>Federico Garcia Lorca naît en 1899 au sein d'une famille andalouse aisée et libérale. Il s'intéresse très tôt aux différents domaines des arts et emprunte la voie de la poésie dès 1921 avec <em>Canciones</em> puis <em>Romancero gitano</em> (1928). En alliant modernité et folklore populaire, Garcia Lorca emporte rapidement la reconnaissance du public. Ses nombreux voyages, notamment sur le continent américain, ont approfondi et enrichi ses oeuvres (<em>Poète à New York</em>, 1934). Dès 1935, Garcia Lorca bifurque légèrement vers le chemin dramatique. Il fonde <em>la Barraca</em>, sa propre compagnie théâtrale et met en scène de grands classiques. Il peut alors y représenter ses pièces <em>Noces de sang</em> (1933), <em>Yerma </em>(1935) et <em>la Maison de Bernarda</em> (1936). Cette trilogie tragique reste l'une de ses oeuvres majeures. Federico Garcia Lorca est fusillé par les franquistes en 1936.</strong></span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Choix de <span style="color: #0000ff;">Baptiste Guiton</span></strong></span></p><p class="Paragraphedeliste" style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Réalisation : <span style="color: #0000ff;">Marguerite Gateau</span></strong></span></p><p class="Paragraphedeliste" style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Prise de son et mixage : <span style="color: #0000ff;">Bernard Lagnel</span></strong></span></p><p class="Paragraphedeliste" style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Montage : <span style="color: #0000ff;">Manon Houssin</span></strong></span></p><p class="Paragraphedeliste" style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong><em>Assistante à la réalisation : <span style="color: #0000ff;">Pauline Ziadé</span></em></strong></span></p>
MILIQUE
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FEDERICO GARCIA LORCA, EXTRAIT DE«PLUIE» (1919)
tag:aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com,2013-06-27:5107271
2013-06-27T01:04:00+02:00
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FEDERICO GARCIA LORCA EXTRAIT DE «PLUIE»...
<p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong><iframe width="481" height="139" src="http://www.franceculture.fr/player/export-reecouter?content=4652076" frameborder="0" scrolling="no"></iframe></strong></span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large; color: #0000ff;"><strong>FEDERICO GARCIA LORCA</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong> EXTRAIT DE</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: x-large; color: #339966;"><strong>«PLUIE»</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>(1919)</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Lu par <span style="color: #0000ff;">Adeline d'HERMY</span></strong></span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Extrait du recueil <em>Livre de poèmes</em> (1921), Gallimard.</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Traduction d’<span style="color: #0000ff;">André BELAMICH</span></strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong><span style="color: #0000ff;"><br /></span></strong></span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large; color: #008000;"><strong>Federico Garcia Lorca naît en 1899 au sein d'une famille andalouse aisée et libérale. Il s'intéresse très tôt aux différents domaines des arts et emprunte la voie de la poésie dès 1921 avec <em>Canciones</em> puis <em>Romancero gitano</em> (1928). En alliant modernité et folklore populaire, Garcia Lorca emporte rapidement la reconnaissance du public. Ses nombreux voyages, notamment sur le continent américain, ont approfondi et enrichi ses oeuvres (<em>Poète à New York</em>, 1934). Dès 1935, Garcia Lorca bifurque légèrement vers le chemin dramatique. Il fonde <em>la Barraca</em>, sa propre compagnie théâtrale et met en scène de grands classiques. Il peut alors y représenter ses pièces <em>Noces de sang</em> (1933), <em>Yerma </em>(1935) et <em>la Maison de Bernarda</em> (1936). Cette trilogie tragique reste l'une de ses oeuvres majeures. Federico Garcia Lorca est fusillé par les franquistes en 1936.</strong></span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Choix de <span style="color: #0000ff;">Baptiste Guiton</span></strong></span></p><p class="Paragraphedeliste" style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Réalisation : <span style="color: #0000ff;">Marguerite Gateau</span></strong></span></p><p class="Paragraphedeliste" style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Prise de son et mixage : <span style="color: #0000ff;">Bernard Lagnel</span></strong></span></p><p class="Paragraphedeliste" style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Montage : <span style="color: #0000ff;">Manon Houssin</span></strong></span></p><p class="Paragraphedeliste" style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong><em>Assistante à la réalisation : <span style="color: #0000ff;">Pauline Ziadé</span></em></strong></span></p>
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FEDERICO GARCIA LORCA, « MADRIGAL D'ETE» (1920)
tag:aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com,2013-06-25:5106415
2013-06-25T17:17:00+02:00
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FEDERICO GARCIA LORCA « MADRIGAL D'ETE» (1920)...
<p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong><iframe width="481" height="139" src="http://www.franceculture.fr/player/export-reecouter?content=4651122" frameborder="0" scrolling="no"></iframe></strong></span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: x-large; color: #0000ff;"><strong>FEDERICO GARCIA LORCA</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: x-large;"><strong>« MADRIGAL D'ETE» </strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>(1920)</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Lu par <span style="color: #0000ff;">Félicien JUTTNER</span></strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Extrait du recueil <em>Livre de poèmes</em> (1921), Gallimard.</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Traduction d’<span style="color: #0000ff;">André Belamich</span></strong></span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large; color: #008000;"><strong>Federico Garcia Lorca naît en 1899 au sein d'une famille andalouse aisée et libérale. Il s'intéresse très tôt aux différents domaines des arts et emprunte la voie de la poésie dès 1921 avec <em>Canciones</em> puis <em>Romancero gitano</em> (1928). En alliant modernité et folklore populaire, Garcia Lorca emporte rapidement la reconnaissance du public. Ses nombreux voyages, notamment sur le continent américain, ont approfondi et enrichi ses oeuvres (<em>Poète à New York</em>, 1934). Dès 1935, Garcia Lorca bifurque légèrement vers le chemin dramatique. Il fonde <em>la Barraca</em>, sa propre compagnie théâtrale et met en scène de grands classiques. Il peut alors y représenter ses pièces <em>Noces de sang</em> (1933), <em>Yerma </em>(1935) et <em>la Maison de Bernarda</em> (1936). Cette trilogie tragique reste l'une de ses oeuvres majeures. Federico Garcia Lorca est fusillé par les franquistes en 1936.</strong></span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Choix de <span style="color: #0000ff;">Baptiste Guiton</span></strong></span></p><p class="Paragraphedeliste" style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Réalisation : <span style="color: #0000ff;">Marguerite Gateau</span></strong></span></p><p class="Paragraphedeliste" style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Prise de son et mixage : <span style="color: #0000ff;">Bernard Lagnel</span></strong></span></p><p class="Paragraphedeliste" style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Montage : <span style="color: #0000ff;">Manon Houssin</span></strong></span></p><p class="Paragraphedeliste" style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong><em>Assistante à la réalisation : <span style="color: #0000ff;">Pauline Ziadé</span></em></strong></span></p>
Nathalie MANRIQUE
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Résumés
tag:nathaliemanrique.hautetfort.com,2013-02-27:2543036
2013-02-27T15:28:00+01:00
2013-02-27T15:28:00+01:00
Un vocabulaire de parenté gitan Une terminologie marquée par le...
<p style="text-align: center;"><strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">Un vocabulaire de parenté gitan</span></strong></p><p style="text-align: center;"><strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">Une terminologie marquée par le don </span></strong></p><p style="text-align: justify;" align="center"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small; text-align: justify;">La terminologie espagnole de type eskimo est le modèle de référence utilisé par la communauté gitane de Morote et de San Juan pour désigner les membres de la parenté. Elle renvoie généralement aux mêmes positions généalogiques (consanguines et affines) que les vocables castillans. Cependant, les usages des termes castillans par ces Gitans peuvent parfois sembler incongrus aux non-Gitans (Payos). En outre, les comportements associés à ces mêmes termes diffèrent parfois de manière significative de ceux que les Payos adoptent. Par ailleurs, un même vocable (chachi et son corollaire féminin chacha) n’apparaît que dans les désignations de la consanguinité et de l’affinité des femmes gitanes. Il met en relief une certaine prépondérance des liens utérins, contrairement à l’idéologie gitane fortement androcentrée. En fait, il ne fait qu’affirmer la prégnance du don masculin (en particulier nourricier) et son pouvoir structurant de l’organisation sociale gitane et de ses représentations.</span></p><p style="text-align: justify;" align="center"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small; text-align: justify;"> </span></p><p align="center"> <strong style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">Le sang affecté</strong></p><p align="center"> <span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;"><strong>Sangs et affection dans une communauté gitane du Sud de l’Espagne</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;">Chez les Gitans de Morote et de San Juan (Andalousie), l’affection (<em>cariño</em>) ne concerne que des individus reliés par des liens de sang. La transmission du sang (lors de la procréation et du mariage) est perçue comme un don nourricier qui ne peut s’exécuter qu’entre individus de sangs proches mais pas trop, c’est-à-dire dont la relation de <em>cariño</em> concerne au plus près les ascendants directs du couple. Le <em>cariño</em> révèle <em>in fine</em> l’identité de chacun, la place qu’il occupe au sein de l’organisation sociale gitane et surtout, les frontières de l’inceste. Ainsi, les individus reliés par des liens de <em>cariño</em> ne peuvent s’épouser. L’affection et l’alliance apparaissent donc comme étant des notions antinomiques. Le mariage par rapt, seule pratique matrimoniale usitée par les Gitans de ces bourgs, représente donc la forme de mariage idéale.</span></p><p><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;">Mots clé : Gitans, Espagne, identité, sang, affects, relations nourricières, mariages, inceste.</span></p><p><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;"><em>2012 : </em>« Le sang affecté. Sangs et affection dans une communauté gitane du Sud de l'Espagne », <em>in</em> Nicoletta Diasio et Virginie Vinel (eds),<em> Corps, </em></span><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;">n°1</span><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;">0 :</span><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;"><em> Corps des Affects</em></span><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;"><em>.</em> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;"><strong> </strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;"><strong>La moustache de la distinction</strong></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;">Les Gitans de Morote et de San Juan, deux petits bourgs du Sud de l’Espagne, découpent le monde en catégories hiérarchisées entre elles en fonction de la dialectique donateur/donataire. De la sorte, plus les êtres qui les composent sont par « nature » des donateurs (qualité innée), plus leur statut est situé à un niveau supérieur. Cette qualité s’exprime, dans les discours, par la notion de pureté de sang : plus le sang d’un individu est pur, plus il est « naturellement » enclin à donner mais également, plus il est plein de vie. En effet, le don révèle la vitalité d’un individu face à un autre qui subit l’action. Cette vitalité démontre sa maîtrise du jeu des interactions. La catégorie suprême des donateurs regroupe les hommes d’âge mûr. Au sein de chaque catégorie, c’est-à-dire entre pairs, le statut de chacun est plus instable : chacun doit démontrer sa propension à la prodigalité afin de bénéficier de l’estime de leurs pairs. Les différences de statuts entre individus et catégorie sont révélées à tous au travers de l’abondance de la pilosité arborée, comme si la profusion de poils était incompatible avec l’acte du don, c’est-à-dire avec une vitalité et une pureté de sang affirmées.</span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;">Mots clés : Espagne, Gitans, <em style="mso-bidi-font-style: normal;">Payos, </em>organisation sociale, hiérarchie, statut, donateur/donataire, sang, pureté, vitalité, hommes, femmes, pilosité, moustache</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small; font-family: arial,helvetica,sans-serif;"><em>2010 : </em>« La moustache de la distinction », <em>in</em> Dimitri Karadimas (ed.), <em>Cahiers d’anthropologie sociale</em>, n°6, Éditions de L’Herne, pp. 85-93</span></p><p style="text-align: justify;"> Vous pouvez lire le texte dans son intégralité <a id="media-4638735" href="http://nathaliemanrique.hautetfort.com/media/02/02/1224729900.doc">ici</a></p><p style="text-align: justify;"> </p><p align="center"><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif;"><strong>Des patronymes devenus gitans</strong></span><br /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;">La question de la catégorisation des populations a toujours été en Espagne, surtout en période de quête d’hégémonie (lors du processus de construction de la nation espagnole), un thème important. A Morote, depuis le XVII<sup>e</sup> siècle, différentes stratégies furent utilisées pour classer ces résidants « particuliers » de la circonscription et ces familles de passage que l’on ne voulait pourtant pas distinguer trop abruptement du reste des habitants : succédant aux ethnonymes qui furent rapidement prohibés par différentes lois, les professions, lieux de résidence et patronymes, devinrent des critères qui, mettant en lumière quelques particularités gitanes, furent et sont employés pour distinguer les Gitans du reste de la population locale. Les patronymes, sont en effet actuellement une des principales données classificatoires des Gitans espagnols. Pourtant, ils sont issus du stock castillan (ou d’une autre langue régionale). En fait, à Morote s’est déroulé ce processus d’« ethnicisation » du stock nominal gitan, c’est-à-dire, de diminution sensible du nombre de noms portés par les familles gitanes au cours de l’histoire, processus qui révèle les mécanismes internes et externes au groupe qui ont permis l’apparition à Morote d’une « onomastique gitane ».</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small; font-family: arial,helvetica,sans-serif;"><em>2010 </em>: « Des patronymes devenus gitans »,<em> in</em> Samuel Delepine (ed.), <em>Études Tsiganes</em>, n°39-40, pp. 96-111</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><span style="font-family: 'Times New Roman','serif'; mso-fareast-font-family: 'Times New Roman'; mso-bidi-font-style: italic; mso-ansi-language: FR; mso-fareast-language: FR; mso-bidi-language: AR-SA;"> </span></span>Vous pouvez lire le texte dans son intégralité <a id="media-4638736" href="http://nathaliemanrique.hautetfort.com/media/02/00/3724780840.pdf">ici</a></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;"><strong>Corpo-real identities: Perspectives from a Gyspy community</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;">For a very long time, philosophers have been debating whether there is not one but two routes to reach truth: the empirical and the abstract. According to Bachelard (1993: 239 [1938]), 'we have to accept a real break between sensible knowledge and scientific knowledge' (my translation). For Bachelard, two categories of knowledge shape our understanding of the world. He called the first 'empirical knowledge' (<em>connaissance empirique</em>) and the second 'scientific knowledge' (<em>connaissance scientifique</em>). The understanding of truth, then, can take two different directions: on the one hand, 'rational interpretation [which] comes from the immediate observation of raw facts' (Héritier 1996: 150, my translation), 'facts of life' (Franklin 1997; Carsten 2001) or 'facts of nature' (Strathern 1992a) and, on the other hand, truth that emerges from abstraction. While 'empirical facts', according to Bachelard, are based on everyday life experiences, 'scientific facts' are built on scientific reality; that is, on a logical construction of the relationship between different observable facts by means of controlled experiments. The latter facts are immersed in a scientific language; a sort of metalanguage which, borrowing from Lévi-Strauss on myth, 'makes full use of discourse, but does so by situating its own significant oppositions at a higher level of complexity than that required by language operating for profane ends' (1977: 66). Even if we do not conclude that scientific facts are similar to mythological narrative, as the former are based on experimental criteria which can be questioned and the latter need only faith to be considered true, these two discourses act at the same level. These metalanguages, by means of their systems of classification, place the symbolic order of humans and things at a level that can be separated from empirical facts and local representations of the world. That is why only specialists are supposed to know the rules or the 'significant oppositions' on which such knowledge is founded, in contrast with the 'facts of life', which can be verified by ordinary people.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;">This time-honoured philosophical discussion has interesting repercussions for the anthropology of kinship. Bodily identity is represented in Western societies through a merger of these two perceptions of truth, which are thus rendered indistinguishable: facts of life and scientific or mythological facts are merged in Western understandings of how an individual transmits identity to another and how the degree of proximity between two people is estimated.</span></p><p> </p><p><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;"><em>2009 :</em>«Corpo-real identities: Perspectives from a Gypsy Community», <em>in</em> <em>European Kinship in the Age of Biotechnology,</em>Jeanette Edwards & Carles Salazar (eds), Oxford & Manchester, Berghahn Books, pp. 97-111<em>.</em></span></p><p>Vous pouvez lire le texte dans son intégralité <a title="European Kinship" href="http://nathaliemanrique.hautetfort.com/files/European%20kinship%2072.pdf" target="_blank">ici</a></p><p> </p><p> </p><p><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;"> </span></p><p> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;"><strong>La lune pétrifiée<br />Représentations parthénogénétiques dans une communauté gitane<br />(Grenade)</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;">Morote, et à 50 kilomètres, San Juan. Deux bourgs retenus par quelques pinèdes sur les versants des monts orientaux de l'Andalousie rurale. La population, disséminée sur un large territoire, a cruellement souffert des grandes migrations des années 1960-1970 qui ont amplement contribué à l'abandon de plusieurs quartiers et hameaux. Aujourd'hui, les capitales avoisinantes absorbent régulièrement les jeunes adultes partis pour leurs études et qui reviennent rarement dans cette zone à fort taux de chômage. Les Gitans représentent environ 5% de la population de la circonscription de Morote (environ 9 000 habitants) et 9% de celle de San Juan (où sur près de 1 200 résidants du chef-lieu, 25% sont gitans). Ils sont ouvriers agricoles et circulent une bonne partie de l'année d'une exploitation agricole à une autre, au gré des cycles de récolte. Installés dans des quartiers périphériques, ils jouissent de territoires dont certains sont rarement fréquentés par les <em>Castellanos</em> ou <em>Payos,</em> c'est-à-dire les non-Gitans.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;"><strong> </strong> Un jour, lors d'une conversation avec une Gitane, celle-ci me prévient brusquement : « Tu sais, quand tu as tes règles, il ne faut pas pétrir de pain : les coups répétés de ton ventre contre les rebords de la table risquent de coaguler ton sang. Alors, tu peux devenir enceinte. » Intriguée, je poursuis : « Mais on ne peut pétrir aucune pâte ? - Si, les <em>tortas,</em> tu peux, mais pas le pain, ni les beignets. »</span></p><p> </p><p><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;"><em>2004</em> <em>:</em> «La lune pétrifiée. Représentations parthénogénétiques dans une communauté gitane (Grenade)», <em>in</em> Françoise Héritier & Margarita Xanthakou (eds), <em>Corps et Affects</em>, Odile Jacob, pp. 205-220.</span></p><p><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;"> Vous pouvez lire le texte dans son intégralité <a title="European Kinship" href="http://nathaliemanrique.hautetfort.com/files/European%20kinship%2072.pdf" target="_blank">ici</a></span></p><p style="text-align: center;"> </p>
Ratatosk
http://euro-synergies.hautetfort.com/about.html
DESMONTANDO EL MITO ANDALUSÍ. ANDALUCÍA Y LA IDENTIDAD CASTELLANA.
tag:euro-synergies.hautetfort.com,2013-01-21:4959066
2013-01-21T00:05:00+01:00
2013-01-21T00:05:00+01:00
DESMONTANDO EL MITO ANDALUSÍ. ANDALUCÍA Y LA IDENTIDAD...
<h3 class="post-title entry-title" style="text-align: left;"><span style="color: #ff6600; font-size: xx-large;"><strong><span style="font-family: arial black,avant garde;"><a href="http://enricravello.blogspot.be/2013/01/desmontando-el-mito-del-andalusi.html"><span style="color: #ff6600;">DESMONTANDO EL MITO ANDALUSÍ. </span></a></span></strong></span></h3><h3 class="post-title entry-title" style="text-align: left;"><span style="color: #ff6600; font-size: xx-large;"><strong><span style="font-family: arial black,avant garde;"><a href="http://enricravello.blogspot.be/2013/01/desmontando-el-mito-del-andalusi.html"><span style="color: #ff6600;">ANDALUCÍA Y LA IDENTIDAD CASTELLANA. </span></a></span></strong></span></h3><h3 class="post-title entry-title" style="text-align: left;"><strong><span style="font-size: large; font-family: arial black,avant garde; color: #c0c0c0;">Enrique Ravello</span></strong></h3><p style="text-align: left;"><strong><span style="font-size: large; font-family: arial black,avant garde; color: #c0c0c0;">Ex: http://enricravello.blogspot.com/</span></strong></p><p> </p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;" href="http://4.bp.blogspot.com/-HJbyFbUR_fM/UPAz_uFJzlI/AAAAAAAAAaU/I_x9UBBar50/s1600/andaluciabb.jpg"><img src="http://4.bp.blogspot.com/-HJbyFbUR_fM/UPAz_uFJzlI/AAAAAAAAAaU/I_x9UBBar50/s400/andaluciabb.jpg" alt="" width="400" height="215" border="0" /></a></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span lang="ES"><br /></span></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"> </div><div class="MsoNormal" style="text-align: left;"><strong><span style="font-size: small; font-family: arial,helvetica,sans-serif; color: #c0c0c0;" lang="ES">El nacionalismo andaluz de reivindicación “andalusí” parece obedecer más a causas psicológicas que a políticas e histórica. Sus defensores –afortunadamente pocos- pretenden que todo los andaluces renuncien a su historia y a su herencia para adoptar la de quienes fueron vencidos por sus antepasados castellanos. Un caso único en Europa. La historia andaluza –la real- nada tiene que ver con esos espejismos orientalizantes</span></strong></div><div class="MsoNormal" style="text-align: left;"><strong><span style="font-size: small; font-family: arial,helvetica,sans-serif; color: #c0c0c0;"> <span lang="ES"> </span></span></strong></div><div class="MsoNormal" style="text-align: left;"><span style="color: #ff6600;"><strong><span style="font-size: small; font-family: arial,helvetica,sans-serif;"> <span lang="ES">Andalucía céltica y megalítica.</span></span></strong></span></div><div class="MsoNormal" style="text-align: left;"> </div><div class="MsoNormal" style="text-align: left;"><strong><span style="font-size: small; font-family: arial,helvetica,sans-serif; color: #c0c0c0;" lang="ES"> Fue el célebre arqueólogo británico de la Universidad de Cambridge, Colin Renfrew, quien aplicando el método de datación del carbono 14 explicó el fenómeno del megalitismo atlántico y mediterráneo desde una perspectiva científica. Los primeros constructores de megalitos habrían estado en la zona de las islas británicas, y serían los autores del famoso conjunto de Stonehenge. Desde allí esta civilización fue expandiéndose hacia el sur de la fachada atlántica europea, para adentrarse en el Mediterráneo</span></strong></div><div class="MsoNormal" style="text-align: left;"><strong><span style="font-size: small; font-family: arial,helvetica,sans-serif; color: #c0c0c0;" lang="ES"> Precisamente al megalitismos debemos remontar una de las primera culturas conocidas en el actual suelo andaluz, la llamada cultura de El Argar, cuyos protagonistas –que llegaron a formar estados centralizados y ciudades bien organizadas– pertenecían a un sustrato mediterráneo común a toda la Península Ibérica. Gente muy similar a los constructores de los <em style="mso-bidi-font-style: normal;">talaiots</em> de Menorca o de los <em style="mso-bidi-font-style: normal;">nuraghe</em> de Cerdeña.</span></strong></div><div class="MsoNormal" style="text-align: left;"><strong><span style="font-size: small; font-family: arial,helvetica,sans-serif; color: #c0c0c0;" lang="ES"> Siglos más tarde aparecen referencias escritas a una mítica cultura en suelo andaluz, Tartessos, cuyo nombre encontramos también en la Biblia. El nombre de Tartessos se puede traducir por “la tierra” y es obligado señalar que en el gaélico actual –la lengua céltica de Irlanda y Escocia– “tir” significa precisamente tierra o país, del mismo modo que en el protocelta encontramos el ´termino “têrsos” con idéntico significado. No hay duda de que la aristocracia de Tartessos estaba constituida por pueblos célticos que se habían asentado en la zona, llegados desde la Meseta, así lo prueba el nombre de su mítico rey, Argantonio.</span></strong></div><div class="MsoNormal" style="text-align: left;"><strong><span style="font-size: small; font-family: arial,helvetica,sans-serif; color: #c0c0c0;" lang="ES"> Andalucía no fue ajena a la presencia de colonias orientales de fundación fenicia –con la especial importancia de Cádiz– y cartaginesas. Pero la influencia de éstas se ha exagerado, incluso en la toponimia. Términos como Malaca (Málaga) o Sexi (Almuñécar) han sido recientemente interpretados desde raíces terminológicas indoeuropeas por el catedrático de Filología de la Universidad de Salamanca, Francisco Villar.</span></strong></div><div class="MsoNormal" style="text-align: left;"> </div><div class="MsoNormal" style="text-align: left;"><span style="color: #ff6600;"><strong><span style="font-size: small; font-family: arial,helvetica,sans-serif;"> <span lang="ES">Andalucía romana y vándala.</span></span></strong></span></div><div class="MsoNormal" style="text-align: left;"> </div><div class="MsoNormal" style="text-align: left;"><strong><span style="font-size: small; font-family: arial,helvetica,sans-serif; color: #c0c0c0;" lang="ES"> La Bética fue una de las provincias hispanas más romanizadas. E Hispania uno de los territorios del Imperio romano de mayor impronta latina. En torno al cambio de Era se calcula que el número de itálicos o descendientes de itálicos asentados en Hispania era de un millón de personas, aproximadamente el 15% de la población total.</span></strong></div><div class="MsoNormal" style="text-align: left;"><strong><span style="font-size: small; font-family: arial,helvetica,sans-serif; color: #c0c0c0;" lang="ES"> El latín se convirtió en el único idioma, despareciendo todas las lenguas hispanoceltas anteriores. El aporte de la Bética a la cultura romana fue de la mayor importancia, la grandeza de Roma no hubiera sido igual sin filósofos como Séneca o emperadores como Trajano y Adriano.</span></strong></div><div class="MsoNormal" style="text-align: left;"><strong><span style="font-size: small; font-family: arial,helvetica,sans-serif; color: #c0c0c0;" lang="ES"> Testimonio de la presencia romana lo tenemos también en la arquitectura. La típica casa andaluza con patio interior es heredera directa de la casa romana que los pobladores itálicos llevaron a la Bética. En absoluto se trata de una construcción árabe, quienes solo adaptaron esa construcción a su modo de vida: cerrando ventanas y orientando la vida hacia el interior de la vivienda alrededor del patio. Posteriormente, fueron los repobladores cristianos los que volvieron a darle la antigua disposición romana más orientada al exterior, es decir a la vida en la ciudad de hombres y mujeres libres.</span></strong></div><div class="MsoNormal" style="text-align: left;"><strong><span style="font-size: small; font-family: arial,helvetica,sans-serif; color: #c0c0c0;" lang="ES"> La llegada de los pueblos germánicos terminó con el orden romano para dar paso a la Edad Media. De entre los germanos que llegaron a Hispania, los vándalos –que darán el nombre a Andalucía– tienen una especial importancia. Procedentes de la actual Dinamarca, en el siglo III d. C ya están en Europa central desde donde atraviesan el limes imperial. A pesar de la prohibición romana para construir naves con función bélica, los vándalos pusieron en pie un importante imperio naval en la zona de la Bética, ahora ocupada por ellos. Un vez vencidos por los godos –los germanos que dominaron el grueso de la península–, los vándalos atravesaron con sus naves el estrecho de Gibraltar para asentase en el norte de África, donde el reino vándalo duró varios siglos.</span></strong></div><div class="MsoNormal" style="text-align: left;"><strong><span style="font-size: small; font-family: arial,helvetica,sans-serif; color: #c0c0c0;" lang="ES"> Precisamente fueron los habitantes autóctonos del norte de África, los que –tras ser vencidos militarmente por los vándalos– dan al lugar de procedencia de éstos –la península ibérica. El nombre de Yazira al-Andalus, es decir “la isla de los vándalos”. Nombre que siguieron usando los invasores musulmanes durante los siglos de su presencia en España e incluso en la actualidad. Vale la pena remarcar que Al-Andalus significa precisamente “tierra de vándalos”, o lo que es lo mismo “tierra de germanos”. Curiosa etimología.</span></strong></div><div class="MsoNormal" style="text-align: left;"> </div><div class="MsoNormal" style="text-align: left;"><strong><span style="font-size: small; font-family: arial,helvetica,sans-serif; color: #c0c0c0;"> <span lang="ES"><span style="color: #ff6600;">Andalucía castellana y leonesa</span>.</span></span></strong></div><div class="MsoNormal" style="text-align: left;"> </div><div class="MsoNormal" style="text-align: left;"><strong><span style="font-size: small; font-family: arial,helvetica,sans-serif; color: #c0c0c0;" lang="ES"> Como en la mayor parte de España, serían los procesos históricos que conocemos como repoblación y reconquista los que darán lugar a la composición etnográfica. Los datos de las expulsiones y adjudicaciones de tierras son claros y objetivos, de ellos nos hablan los <em style="mso-bidi-font-style: normal;">Libros de</em> <em style="mso-bidi-font-style: normal;">Repartimento</em>. La expulsión de la población musulmana de Andalucía fue completa y está constatada. El territorio baldío fue repoblado por una abrumadora mayoría de pequeños propietarios libres en un proceso que el catedrático de Historia medieval de Sevilla, Manuel González Jiménez, en su obra <em style="mso-bidi-font-style: normal;">Entorno a los orígenes de Andalucía, </em>describe como “el mayor proceso de cambio de propiedad de la tierra en la historia de Andalucía”. El proceso de repoblación de la zona del Guadalquivir es muy similar a la que también realizaron los castellano-leoneses siglos antes en el valle del Duero, siempre a base de pequeñas propiedades agrícolas adjudicadas a familias de guerreros-campesinos. Un posterior proceso de enriquecimiento y de acumulación de propiedades dará lugar al nacimiento de una gran lacra para el campesinado andaluz: el latifundio. Pero es necesario señalar que en el momento de la reconquista y repoblación de Andalucía, ésta se organiza agrícolamente como ún territorio idéntico al resto de Castilla. </span></strong></div><div class="MsoNormal" style="text-align: left;"><strong><span style="font-size: small; font-family: arial,helvetica,sans-serif; color: #c0c0c0;" lang="ES"> Esos mismos <em style="mso-bidi-font-style: normal;">Libros del Repartimiento</em>, así como posteriores estudios jurídicos y onomásticos, nos permiten conocer con detalle los pobladores que llegaron a Andalucía después de la derrota y expulsión islámica. Todos los datos coinciden en señalar que entre el 90-95% procedía de la Meseta norte, sur o de los que ya habían repoblado Extremadura –con fuerte presencia de leoneses–. La única zona que marca una diferencia es la provincia de Almería, donde el contingente de valencianos, catalanes y –sobre todo– mallorquines llegó hasta el 15%, de ahí que el escudo almeriense luzca las cuatro barras.</span></strong></div><div class="MsoNormal" style="text-align: left;"><strong><span style="font-size: small; font-family: arial,helvetica,sans-serif; color: #c0c0c0;" lang="ES"> Una tarea de recuperación y de concienciación de la identidad andaluza, como continuidad de la castellana, es urgente y necesaria. Especialmente ante los tiempos presentes y futuros, en los que nostalgias y reivindicaciones sobre Al-Ándalus se oyen ya en algunos minaretes y en algunos palacios árabes no tan lejanos.</span></strong></div><div class="MsoNormal" style="padding: 0cm; text-align: left;"> </div><div class="MsoNormal" style="padding: 0cm; text-align: left;"><span style="color: #ff6600;"><strong><span style="font-size: small; font-family: arial,helvetica,sans-serif;"> <span lang="ES">Una bandera de mentira.</span></span></strong></span></div><div class="MsoNormal" style="padding: 0cm; text-align: left;"> </div><div class="MsoNormal" style="padding: 0cm; text-align: left;"><strong><span style="font-size: small; font-family: arial,helvetica,sans-serif; color: #c0c0c0;" lang="ES"> En 1981 Andalucía se convirtió en autonomía histórica, ocasión que muchos aprovecharon para inventarse una nueva historia que contradijera la realidad andaluza como fruto de la reconquista y repoblación castellana. El momento más simbólico de esta tergiversación oficial fue la elección de la bandera verdi-blanca. En lugar de inspirarse en los colores de Castilla-León que aparecen en el escudo de Fernando el Santo, conquistador de Sevilla. Y en los escudos de Córdoba, Granada, Almería y Jaén, en este último se lee la leyenda “muy noble y muy leal ciudad de Jaén guarda y defendimento de los Reynos de Castilla”, la junta de Andalucía se inclinó por una bandera similar a la de Arabia Saudita.</span></strong></div><div class="MsoNormal" style="padding: 0cm; text-align: left;"><strong><span style="font-size: small; font-family: arial,helvetica,sans-serif; color: #c0c0c0;" lang="ES"> Con esta desafortunada elección a los andaluces se les obliga a llevar oficialmente los colores de los enemigos de sus antepasados castellanos. El uso del color blanco en los estandartes andalusíes fue generalizado por los almohades en 1146, cuando desembarcaron en Cádiz con la intención de reunir a todos los musulmanes de Al-Ándalus. En 1195 el sultán Ben Yusuf derrotó a Alfonso VIII de Castilla, en la batalla de Alarcos, para conmemoras esa victoria hizo ondear sobre la mezquita de Sevilla una vadera verde y blanca –la inspiradora de la actual bandera andaluza. Simbolizando la unida almohade (blanco) y la colaboración de todos los musulmanes andalusíes en la victoria sobre los castellanos cristianos (el verde color del Islam y de los Omeya)</span></strong></div><div class="MsoNormal" style="padding: 0cm; text-align: left;"><strong><span style="font-size: small; font-family: arial,helvetica,sans-serif; color: #c0c0c0;" lang="ES"> En el siglo XVII el duque de Medina Sidonia se rebela contra la Corona hispánica e intenta proclamar la independencia andaluza con el apoyo de los moriscos capitaneados por Tahir al Horr. Como reconocimiento a esta colaboración morisca, el duque traidor enarbolaba una bandera blanca y verde, el color de la fe islámica de sus compinches sediciosos. Inspirada en estos acontecimientos históricos y basados en una fantasía histórica opuesta a la verdad, la Asamblea de Roda aprobó en 1918, el actual diseño de la bandera verdi-blanca que en aquel momento representaba una Andalucía que incluía Murcia y Badajoz. El “autor” intelectual de esta aberración de la vexilología, fue el poeta y “padre de la patria andaluza”, Blas Infante, convertido al final de su vida a la religión musulmana, último agravio a los castellanos que reconquistaron esas tierras y a los actuales andaluces, sus descendientes directos.</span></strong></div><div class="MsoNormal" style="padding: 0cm; text-align: left;"> </div><div class="MsoNormal" style="padding: 0cm; text-align: left;"><strong><span style="font-size: small; font-family: arial,helvetica,sans-serif; color: #c0c0c0;" lang="ES"> Enric Ravello</span></strong></div><div class="MsoNormal" style="padding: 0cm; text-align: left;"><strong><span style="font-size: small; font-family: arial,helvetica,sans-serif; color: #c0c0c0;" lang="ES"> Secretario de relaciones nacionales e internacionales de PxC y PxL</span></strong></div>
Véronique Massenot
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Décollage immédiat !
tag:correspondances.hautetfort.com,2012-12-28:4940314
2012-12-28T17:51:00+01:00
2012-12-28T17:51:00+01:00
Tandis que je vous prépare tout un tas de notes à venir (d'une part, le...
<p style="text-align: justify;"><br />Tandis que je vous prépare tout un tas de notes à venir (d'une part, le récit de mon récent séjour à Maurice et de l'autre, ma prochaine carte de vœux) je vous invite à patienter à bord de mon <em><strong><a href="http://longcourrier.uniterre.com/" target="_blank">Long Courrier</a></strong></em>, blog de voyage en ligne sur <a href="http://www.uniterre.com/blog/coup-de-coeur/long-courrier/" target="_blank"><strong>Uniterre</strong></a>, spécialiste du genre qui le présente ainsi :</p><blockquote><p style="text-align: justify;"><span style="color: #008000;">Un souffle de vent, la pluie qui prend le relais par intermittence, et nous voilà partis en voyage…Véronique Massenot est de ce type de voyageur que l’on ne fait plus ou presque, qui devient rare et précieux, de ceux et celles qu’un rien fait vibrer, qu’un détail peut transporter : l’inclinaison des blés sous le vent, les ondulations régulières du sable sur une plage bretonne, un temple bouddhiste en plein centre de la France : «<span style="color: #ffffff;">-</span>Il n'est pas toujours nécessaire de parcourir plusieurs milliers de kilomètres pour se sentir totalement dépaysé... J'ai découvert le Temple des Mille Bouddhas, caché dans le coeur du Morvan</span><span style="color: #ffffff;">-</span><span style="color: #008000;">». La destination importe peu pourvu qu’il y ait l’ivresse…des couleurs et des saveurs, car nous avons affaire à une gastronome, qui n’hésite pas à nous indiquer le site de son ancienne correspondante turque, devenue écrivain culinaire, ou encore la recette du roti prata, sorte de crêpes indiennes fourrées ! Constitué de tableaux photographiques pris au cours des voyages et des promenades de Véronique en France et aussi dans d’autres régions du monde, ce blog peut se feuilleter comme un album. Des textes indiquent parfois les circonstances d’un cliché. On l’aura compris ici le voyage est surtout visuel, évocateur et se vit en tant que tel et non comme un voyage dans un lieu ou vers une destination. Comme disait Lao Tseu, considéré comme le père fondateur du taoïsme chinois, "Un voyage de 1000 km commence toujours par un pas."</span></p></blockquote><p> </p><p>Vous y verrez surtout des photographies, prises lors de mes périples en <strong><a href="http://longcourrier.uniterre.com/entry_tags.php?w=longcourrier&id=29255&tags=Californie&k=1" target="_blank">Californie</a></strong>, en <strong><a href="http://longcourrier.uniterre.com/entry_tags.php?w=longcourrier&tags=Andalousie&id=6581&k=1" target="_blank">Andalousie</a> </strong>ou ailleurs - notamment sur différentes îles de mon <a href="http://longcourrier.uniterre.com/entry_tags.php?w=longcourrier&tags=oc%C3%A9an_indien&id=3984&k=1" target="_blank"><strong>Océan</strong></a> préféré !</p><p style="text-align: center;">♥ Comme ici, à Mayotte, en musique... ♥</p><p><iframe width="400" height="300" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" frameborder="0" src="http://www.dailymotion.com/embed/video/xia1kc"></iframe></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small; color: #008000;">BON(S) VOYAGE(S) !</span></p><p style="text-align: center;"> <span style="color: #ffffff;">*</span></p>
capableu
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Blancanieves
tag:bleucapa.hautetfort.com,2012-11-02:4884652
2012-11-02T13:27:00+01:00
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Blancanieves d e Pablo Berger , film espagnol tout juste...
<p style="text-align: center;"><a href="http://bleucapa.hautetfort.com/media/00/02/3589760833.jpg" target="_blank"><img id="media-3820219" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bleucapa.hautetfort.com/media/00/02/3767376957.jpg" alt="cinémé,espagne,andalousie,noir et blanc,muet,pablo berger,séville" /></a></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: Tahoma; font-size: medium;"><span style="font-family: Tahoma; font-size: medium;"><span style="font-family: Tahoma; font-size: medium;"><strong><span style="font-size: large;">Blancanieves</span></strong> d</span><span style="font-family: Tahoma; font-size: medium;">e Pablo Berger</span></span>, film espagnol tout juste sorti en Espagne, était au programme de l’impeccable <a href="http://www.cinemed.tm.fr/cgi-bin/film/film.cgi?id=14491&festi=64&uk=&mod=prog&lemenu=2">CINEMED</a> 2012 de Montpellier.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: Tahoma; font-size: medium;">Quel film! Le scénario, les acteurs sont magnifiques et les références et hommages au cinéma muet, Griffith, Murnau, excellents. D</span><span style="font-family: Tahoma; font-size: medium;">'entrée de jeu, le carton nous informe que la narration est singulière "Nunca antes te contaron el cuento así." L</span><span style="font-family: Tahoma; font-size: medium;">a vie n’est pas un conte pour enfants… </span><span style="font-family: Tahoma; font-size: medium;">Le noir et blanc n'est là que pour mieux nous ancrer dans les années 20 avec le muet et le jeu marqué des acteurs. L'indispensable accompagnement musical est très présent et le traitement de l'image, cadre et lumière, est actuel, sans effets spéciaux mais avec toute la palette de la grammaire cinématographique : plans, angles, mouvements traités avec une virtuosité maîtrisée, efficace, esthétique. Un</span><span style="font-family: Tahoma; font-size: medium;"> feu d'artifice.</span><span style="font-family: Tahoma; font-size: medium;"> Seu bémol, la dernière partie m'a paru un peu longue.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: Tahoma; font-size: medium;">Selon moi, j'en assume la subjectivité pro-hisapnique, Blancanieves est plus inventif encore, plus riche et plus subtil que l'autre film </span><span style="font-family: Tahoma; font-size: medium;">récent en noir et blanc <a href="http://bleucapa.hautetfort.com/archive/2011/11/28/the-artist.html">"The Artist"</a>.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: left;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: Tahoma;">M</span><span style="font-family: Tahoma;">e encantó </span></span><span style="font-size: medium;">Blancanieves</span><span style="font-size: medium;">. </span><span style="font-size: medium;"><a title="BLANCANIEVES" href="http://blancaniev.es/">Site / Bande Annonce</a></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: center;"><span style="font-size: small;"><a href="http://bleucapa.hautetfort.com/media/01/02/1176720612.png" target="_blank"><img id="media-3819637" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bleucapa.hautetfort.com/media/01/02/820383371.png" alt="Carmencita2-11-02 à 13.17.13.png" /></a></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: center;"> <span style="font-size: small;">Blancanieves, Carmen (<a style="text-decoration: none; outline-style: none; outline-width: initial; outline-color: initial; color: #000000;" href="http://www.hoycinema.com/perfil/Macarena-Garcia.htm"><strong>Macarena García</strong></a>)</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: center;"><a href="http://bleucapa.hautetfort.com/media/02/00/2619887314.png" target="_blank"><img id="media-3819641" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bleucapa.hautetfort.com/media/02/00/1104626698.png" alt="cinémé,espagne,noir et blanc,muet,pablo berger,séville" /></a></p><p class="MsoNormal" style="text-align: right;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;"> La </span><span style="font-size: small;"><span style="font-size: small;">marâtre</span>, Encarna (<a style="text-decoration: none; outline-style: none; outline-width: initial; outline-color: initial; color: #000000;" href="http://www.hoycinema.com/perfil/maribel-verdu.htm"><strong>Maribel Verdú</strong></a>)</span> </span> </p><p class="MsoNormal" style="text-align: center;"><span style="font-size: small;"><strong><img id="media-3820129" style="margin-top: 0.2em; margin-right: 1.4em; margin-bottom: 0.7em; margin-left: 0px;" title="" src="http://bleucapa.hautetfort.com/media/00/01/176846685.jpg" alt="cinémé,espagne,andalousie,noir et blanc,muet,pablo berger,séville" /></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: center;"><span style="font-size: small;">Le père torero Antonio Villalta (<a style="text-decoration: none; outline-style: none; outline-width: initial; outline-color: initial; color: #000000;" href="http://www.hoycinema.com/perfil/Daniel-Gimnez-Cacho.htm">Daniel Giménez Cacho</a>) </span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: small;"><img id="media-3820138" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bleucapa.hautetfort.com/media/00/00/1481633215.jpg" alt="cinémé,espagne,andalousie,noir et blanc,muet,pablo berger,séville" /></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: small;"> Blancanieves enfant, Carmencita (Sofía Oria)</span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: small;"><img id="media-3820135" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bleucapa.hautetfort.com/media/00/02/1754092355.jpg" alt="cinémé,espagne,andalousie,noir et blanc,muet,pablo berger,séville" /></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: small;">La grand-mère de Blancanieves, Doña Concha (<a style="text-decoration: none; outline-style: none; outline-width: initial; outline-color: initial; color: #000000;" href="http://www.hoycinema.com/perfil/Angela-Molina.htm">Ángela Molina</a>) </span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: small;"><img id="media-3820139" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bleucapa.hautetfort.com/media/02/02/1770162873.jpg" alt="cinémé,espagne,andalousie,noir et blanc,muet,pablo berger,séville" /></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: small;">La troupe de nains, des mini-toreros.</span></p><p style="text-align: center;"> </p><p class="MsoNormal" style="text-align: right;"> </p>
Fiso
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Dernier jour de vacances (entre Torre del Mar y Torremolinos)
tag:2yeux2oreilles.hautetfort.com,2012-10-26:4878240
2012-10-26T21:19:30+02:00
2012-10-26T21:19:30+02:00
La nuit a été étrange. Lovées sous notre couette, dans un studio au bord de...
<p>La nuit a été étrange. Lovées sous notre couette, dans un studio au bord de la piscine ouvert aux 4 vents, nous avons entendu le fracas de la pluie toute la nuit, comme si nous dormions en plein air. Boug', complètement déboussolée, s'est même réveillée plusieurs fois en sursaut pour éponger la plage arrière de la voiture (sic!) Moi j'ai rêvé de baisers passionnés sur un parking. La faute sans doute aux vodka caramel, vin blanc et café irlandès que j'ai bus hier soir.</p><p>Après le déjeuner, et malgré la pluie, nous sommes allées nous balader le long de la côte, en repérage, car j'ai le projet d'acheter un pied-à-terre en Andalousie. La région de Cadiz n'étant paraît-il pas une bonne idée, j'ai revu mes prétentions d'authenticité à la baisse et reconsidéré la costa del sol. Mais vraiment, la zone qui court de Marbella à Malaga et attire son lot de charters en direct de Manchester, à grands coups de pintes de bières et musique beuglante, ne m'attire pas le moins du monde. J'ai la prétention, s'agissant d'un endroit où je m'offrirai du bon temps, de vouloir choisir mes voisins. M. Villages m'a proposé la région à l'est de Malaga, qu'on appelle la costa tropical, en ligne droite de Grenade. Comme je ne connais pas, j'ai proposé à Boug' d'aller s'y balader, histoire de voir si le coin me plairait.</p><p>A Torre del Mar, j'ai aimé la hauteur raisonnable des immeubles, le front de mer dépourvu de boutiques à touristes, les nombreux restaurants de poissons et cafeteria con churros. Boug' et moi on s'est bu un verre en terrasse, à quelques mètres de la plage, en s'imaginant se balader avec nos déambulateurs, à la retraite, et tremper nos churros dans du chocolat chaud. Et puis, des trombes d'eau se sont nouveau déversées et on a pataugé dans les flaques. Dommage pour nos sandales qui avaient enfin séché ...</p><p>Au retour, on a rejoint Malaga par la route de la côte, histoire de voir les petits villages. Jusqu'à Rincon de la Victoria, ça va. Le village de pêcheurs de Benajarafe, avec ses quelques barques colorées posées sur le sable, m'a bien plus aussi. Comme on n'avait pas fait les andouilles depuis Tarifa, on s'est arrêtées sur une plage de rochers et une vague a profité d'un moment de distraction pour me tremper lâchement le bas du pantalon.</p><p>Comme le soleil perçait un peu à travers les nuages, j'ai proposé à Boug' d'aller prendre l'apéro au centre de Torremolinos. On y a bu notre meilleure sangria de tout le séjour et mangé de succulents chocos grillés au beurre, ail et persil ainsi que des tortillitas de camarones.</p><p>Un retour à la maison où on a proposé à M. et Mme Villages de sortir dîner avec nous, offre qu'ils ont décliné, et puis nous sommes retournées à La Chacha nous taper un second round de fruits de mer. Vacances pluvieuses mais vacances heureuses, Boug' a aimé l'Andalousie, le tinto de verano, le chocolate con churros, le lomo, les tapas. Elle envisage même d'apprendre le <span style="text-decoration: line-through;">portuguais</span> l'espagnol (blague privée).</p>
Fiso
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Un déjeuner à Osuna
tag:2yeux2oreilles.hautetfort.com,2012-10-21:4901305
2012-10-21T19:20:00+02:00
2012-10-21T19:20:00+02:00
C'est sous la pluie, discontiunue depuis jeudi soir, que nous quittons...
<p>C'est sous la pluie, discontiunue depuis jeudi soir, que nous quittons Grenade et le chevalier au bouclier vert. <br />Sur ses conseils, j'ai programmé mon GPS pour Osuna, où nous déjeunerons, à mi-chemin entre Grenade et Jerez de la Frontera, notre destination.</p><p><iframe width="640" height="480" frameborder="0" scrolling="no" marginheight="0" marginwidth="0" src="https://maps.google.fr/maps?f=d&source=s_d&saddr=Granada,+Espagne&daddr=Osuna,+Espagne&hl=fr&geocode=FadENwIdlxnJ_ymP3nGTvvxxDTG1O01AAFj5Ig%3BFT8xOAIdQCOy_ynXDNKIqKsSDTEdn61BNpVx4w&aq=0&oq=osuna&sll=46.22475,2.0517&sspn=10.398802,28.256836&mra=ls&ie=UTF8&t=m&ll=37.361426,-4.592285&spn=2.095677,3.515625&z=8&output=embed"></iframe><br /><small><a style="color: #0000ff; text-align: left;" href="https://maps.google.fr/maps?f=d&source=embed&saddr=Granada,+Espagne&daddr=Osuna,+Espagne&hl=fr&geocode=FadENwIdlxnJ_ymP3nGTvvxxDTG1O01AAFj5Ig%3BFT8xOAIdQCOy_ynXDNKIqKsSDTEdn61BNpVx4w&aq=0&oq=osuna&sll=46.22475,2.0517&sspn=10.398802,28.256836&mra=ls&ie=UTF8&t=m&ll=37.361426,-4.592285&spn=2.095677,3.515625&z=8">Agrandir le plan</a></small></p><p>Après la reconquête chrétienne, Osuna tomba sous le commandement des ducs d'Osuna. Ceux-ci firent sa prospérité, dont les nombreux édifices de styles Renaissance et Baroque témoignent. <br />En ce dimanche après-midi, la ville semble assoupie. La première personne que nous croisons est un peintre, devant l'église Notre Dame de l'Assomption. Nous nous engageons dans une rue au hasard, dans l'espoir d'y trouver une terrasse accueillante (car la pluie a disparu).</p><p>Inspirée par l'animation qui règne à l'extérieur et à l'intérieur du restaurant Torres Vera, nous y entrons. En Espagne, j'aime m'installer au coeur de l'action : au comptoir, là où je peux assister, amusée, à la prestation comico-théâtrale des serveurs, assistés des cuisiniers. Au Torres Vera, on va être servies. Le serveur le plus âgé ne tarde pas à satisfaire sa curiosité et désigne son collègue, un grand brun à la mine renfrognée, qui parlerait français. J'aime bien les mines renfrognées et Manuel confirmera vite mon a priori. <br />Mais pour l'heure, un cuissot séché sous le nez, un verre de tinto verano dans la main, nous nous penchons sur la carte des tapas. Faire un choix est un déchirement tant elle est est founie et alléchante : poissons, charcuterie, viandes ou légumes, le gourmand est comblé ici et nous, on va goûter à autant que possible. <br />Manuel s'est enfin intéressé à nous et à ma demande, nous fait ses suggestions. <br />Nous commençons par de superbes calamars frits au beurre et persil. S'ensuit un <em>solomillo con yucca, guacamole y reduccion de vino tinto</em> (filet mignon de porc recouvert de guacamole et saupoudré de copeaux de manioc, en réduction de vin rouge). Un plat haut en couleurs où le mélange des textures, entre crémeux et fermeté, et celui des saveurs sucrées et acidulées promettent une belle expérience gustative. <br />Mises en appétit par ces premiers échantillons, nous poursuivons avec une assiette de <em>bacalaillas fritas</em> (1€30), gobées par Boug' à la manière des harengs hollandais. Nous terminerons cette dégustation avec un <em>lomo con salsa verde</em> (1€20), des <em>croquetas caseras</em> (1€20), désormais un rituel Bougrenettiste, un <em>chipiron a la plancha</em> (1€50) et une <em>calabacin relleno</em> (1€20). Un festin qui nous aura coûté moins de 10€ à deux.</p><p style="text-align: center;"><img id="media-3842634" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://2yeux2oreilles.hautetfort.com/media/01/00/4114478330.jpg" alt="osuna, andalousie, torres vera" /></p><p>C'est l'heure du café, que Boug' commande. "Viens le faire toi-même" répond Manuel, qui sait parler aux femmes. Qu'à cela ne tienne, Boug' passe derrière le comptoir, sous le regard amusé des clients. Entourée des deux serveurs, je me demande si je vais la récupérer .. surtout que Manuel commence à lui faire des bises. Ils prennent la pose tous deux, pour une photo souvenir où mon amie rayonne. Ah on peut dire qu'elle s'est bien intégrée en Andalousie, la Boug' !</p><p>La pause qui se voulait courte a mis à mal notre timing (comme d'habitude mais c'est bien ça les vacances : ne pas regarder la montre). Lorsque nous quittons Torres Vera, le soleil a disparu et le ciel est d'un blanc cendré. Nous n'avons malheureusement pas le temps de partir à la découverte des nombreux joyaux architecturaux de la ville mais nous rejoignons la voiture en passant par la rue San Pedro, où une façade avait attiré notre attention, un peu plus tôt.</p><p>Le Palais du Marquis de la Gomera, édifice baroque du 18ème siècle, aujourd'hui un hôtel http://www.hotelpalaciodelmarques.es/, arbore le blanc et ocre qu'on retrouve souvent en Andalousie. La réceptionniste nous autorise à pénétrer dans le patio de l'hôtel où la chapelle privée a été conservée. Tout à côté, la Cilla del Cabildo, de la même époque, arbore sur sa façade une tour blanche qui m'intrigue : une représentation de la Giralda de Séville.</p><p><a href="http://2yeux2oreilles.hautetfort.com/media/01/01/3462163847.jpg" target="_blank"><img id="media-3842635" style="margin: 0.7em auto; display: block;" title="" src="http://2yeux2oreilles.hautetfort.com/media/01/01/4046484875.jpg" alt="osuna, andalousie, torres vera" /></a></p><p>Il est presque 17 heures lorsque nous quittons Osuna. Avec Montilla, elle est une de nos pauses éclair qui aurait mérité plus de temps. Et le déjeuner à Torres Vera restera, pour moi, un des plus beaux souvenirs gastronomiques et humains de ce voyage.</p><p><strong>Torres Vera</strong><br />27, calle Alfonso XII<br />Tel : 955 820 855</p>
capableu
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Le chimiste de Séville / 25 août
tag:bleucapa.hautetfort.com,2012-10-18:4813321
2012-10-18T10:48:00+02:00
2012-10-18T10:48:00+02:00
Le chimiste de Séville Nouvelle / guy rieutort...
<div style="color: #000000; font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 11px; background-image: initial; background-attachment: initial; background-origin: initial; background-clip: initial; background-color: #ffffff; outline-width: 0px; outline-style: initial; outline-color: initial; margin: 8px;"><div style="color: #000000; font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 11px; background-image: initial; background-attachment: initial; background-origin: initial; background-clip: initial; background-color: #ffffff; outline-width: 0px; outline-style: initial; outline-color: initial; margin: 8px;"><div style="color: #000000; font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 11px; background-image: initial; background-attachment: initial; background-origin: initial; background-clip: initial; background-color: #ffffff; outline-width: 0px; outline-style: initial; outline-color: initial; margin: 8px;"><p style="text-align: center;"><a href="http://bleucapa.hautetfort.com/media/02/02/586562589.jpg" target="_blank"><br /><img id="media-3708975" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bleucapa.hautetfort.com/media/02/02/584800583.jpg" alt="Le-Chimiste-Couve-4-Super.jpg" /></a></p><p class="MsoNormal" style="margin-bottom: 11.0pt; text-align: center; text-indent: 14.2pt; mso-pagination: none; mso-layout-grid-align: none; text-autospace: none;" align="center"><span style="font-size: xx-large;"><strong><span style="font-family: Arial;">Le chimiste de Séville</span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin-bottom: 11.0pt; text-align: center; text-indent: 14.2pt; mso-pagination: none; mso-layout-grid-align: none; text-autospace: none;" align="center"><span style="font-family: Arial; font-size: x-large;">Nouvelle / guy rieutort</span></p><div><table style="cursor: default; border-width: 1px; border-color: #bbbbbb; border-style: dashed;" cellspacing="0" cellpadding="0" align="left"><tbody><tr><td style="padding: 0cm;" align="left" valign="top"><br /><div style="text-align: right;"><table cellspacing="0" cellpadding="0" align="left"><tbody><tr><td style="padding: 0cm;" align="left" valign="top"><p class="MsoNormal" style="margin-left: 35.45pt; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph; line-height: 64.35pt; mso-line-height-rule: exactly; page-break-after: avoid; mso-element: dropcap-in-margin; mso-element-wrap: around; mso-element-anchor-vertical: paragraph; mso-element-anchor-horizontal: page; mso-element-left: 32.05pt; mso-element-top: -3.45pt; mso-height-rule: exactly; mso-element-linespan: 2;"><span style="font-size: 60.5pt; mso-bidi-font-size: 14.0pt; font-family: Arial; mso-text-raise: 6.0pt;">E</span></p></td></tr></tbody></table></div><p class="MsoNormal" style="margin-left: 35.45pt; line-height: 200%; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; line-height: 200%; font-family: Arial;">lle inventait tous les jours, il subissait chaque instant. Le couple résidait dans un appartement plus taudis que palace, calle de los Boteros à Séville. Elle était artiste, lui chimiste. Chaque jour, de l’aube à 17 heures, elle peignait des quantités de toiles dans le capharnaüm de son atelier de lumières et d’odeurs d’huile de térébenthine, de pigments minéraux mêlées au moisi et au tabac froid, tout en écoutant des musiques du monde et Nina Hagen à plein volume. Le soir venu, elle arpentait les rues effervescentes et magiques de sa ville andalouse</span><span style="font-size: 14.0pt; line-height: 200%;">.</span><span style="font-size: 14.0pt; line-height: 200%; font-family: Arial;"> De Séville, elle connaissait toutes les venelles, les arpentait chimères en tête. Dans le silence et le retrait de son labo aux volets clos, aussi net et rangé qu'un bloc opératoire qui sentait le remugle et les produits chimiques, lui travaillait sans cesse. Il faisait des expériences.</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 35.45pt; line-height: 200%; text-align: right;"><span style="font-size: 14.0pt; line-height: 200%; font-family: Arial;">(à suivre...) </span></p></td></tr></tbody></table></div><p> </p></div></div></div>
Fiso
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Mercredi 17 : la cathédrale et ses alentours à Grenade
tag:2yeux2oreilles.hautetfort.com,2012-10-17:4876277
2012-10-17T23:41:00+02:00
2012-10-17T23:41:00+02:00
Bruno ne travaille pas ce matin, nous nous réveillons à 10h et paressons...
<p>Bruno ne travaille pas ce matin, nous nous réveillons à 10h et paressons dans la cuisine autour d'un café. Nous descendons à travers l'Albayzin, gobons au passage un des délicieux piononos de la pâtisserie Pasteles puis entrons au bar Marivi pour un chocolate con churros. Le patron secoue la tête : trop tard pour des churros, il est 14h ! Je n'avais pas réalisé l'heure.</p><p>Nous continuons notre descente jusqu'au rio Darro. Le bar Ras, où j'avais égayé ma solitude en février dernier, en discutant avec Fernando, le patron est ouvert, mais je n'y vois pas Fernando. "Il est occupé" répond, un peu sèchement, la jeune femme au comptoir. Fernando, en cuisine, passe la tête par une lucarne, ne me reconnaît d'abord pas, puis avec mon aide se souvient de la soirée avec "Ricardo corazon de leon". Nous nous installons au fond de la salle et déjeunons, elle de veau en sauce et moi d'un délicieux lapin grillé à l'ail.</p><p>Sur la plaza Larga, nous faisons la queue sour le cagnard pendant 45 minutes pour acheter une carte touristique à 31€, valable 3 jours, et qui donne accès aux principaux sites touristiques de Grenade, ainsi qu'à 5 trajets en bus municipaux. <br />Pour aujourd'hui, nous nous contenterons de la visite de la cathédrale et de la chapelle royale, une découverte pour moi aussi. La cathédrale de Grenade est un édifice incroyablement beau.</p><p style="text-align: center;"><a href="http://2yeux2oreilles.hautetfort.com/media/00/02/894835950.jpg" target="_blank"><img id="media-3812087" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://2yeux2oreilles.hautetfort.com/media/00/02/1055834224.jpg" alt="grenade,andalousie" /></a></p><p>Une traversée rapide de l'ancien marché de la soie, un coup d'oeil au Corral del Carbon, à l'Ayuntamiento, puis la place Bib al Rambla, celle de Pescaderia, une bière sur la place de l'Université, un pichet de sangria et qq tapas dans une taverne où trône un superbe taureau fort bien monté.</p><p>Retour au Corral del Carbon et son voisin, le restaurant <span style="font-size: large; color: #ff6600;"><strong><a href="http://lacorraladelcarbon.com/" target="_blank"><span style="color: #ff6600;">La Corrala del Carbon</span></a></strong></span> où Bruno m'avait emmenée en février et où nous mangeons des tapas de thon cuit. Boug' se lance dans la dégustation d'un Maestrante, blanc semi-doux qu'elle apprécie grandement, moi je reste au Ribera. De quoi faire couler una <em>tosta de pimientos del piquillo</em> avec thon à l'huile, acompagnée d'une salade verte saupoudrée de grains de grenade. Puis grimpette à travers l'Albayzin, histoire de brûler tout ça.</p><p style="text-align: center;"><a href="http://2yeux2oreilles.hautetfort.com/media/02/01/1859409912.jpg" target="_blank"><img id="media-3812095" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://2yeux2oreilles.hautetfort.com/media/02/01/1268349796.jpg" alt="grenade,andalousie" /></a></p>
Fiso
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Lundi 15 : De Torremolinos à Lucena
tag:2yeux2oreilles.hautetfort.com,2012-10-16:4876035
2012-10-16T14:13:00+02:00
2012-10-16T14:13:00+02:00
Bruno et M. Villages m'ont tout deux conseillé de prendre la nouvelle...
<p>Bruno et M. Villages m'ont tout deux conseillé de prendre la nouvelle autoroute, que mon GPS ne m'indiquerait sûrement pas, pour monter vers Cordoba. J'ignore donc ses recommandations et me perds un peu dans Torremolinos.</p><p>Notre première étape est la ville d'Antequera. Avant notre départ, Bruno m'avait envoyé un long mail, magnifiquement écrit, dans lequel il vantait les charmes du centre de l'Andalousie :</p><p><em>" Sur la route, vous pouvez également faire des haltes touristico-gastronomiques. Un chapelet de villages et gros bourgs mignons tout pleins qui sont le coeur géographique de l´Andalousie, et de son âme. Les gens y sont particulièrement adorables, ce sont les meilleures personnes parmi mes clients. Une suggestion parmi d'autres, <strong>Antequera</strong>, à 40km de Málaga. La petite ville andalouse parfaite perchée sur son rocher, avec ses ruines romaines, son château arabe, ses ruelles qui en serpentent avec une vue spectaculaire."</em></p><p>L'ascension de la côte de San Judas, jusqu'à l'Arche des Géants, et derrière elle, l'Alcazaba (forteresse) nous dérouille les articulations. De là-haut, la vue est magnifique. En redescendant vers la voiture, nous buvons, au café La Guagua, notre premier chocolat espagnol bien épais, un régal.</p><p style="text-align: center;"><a href="http://2yeux2oreilles.hautetfort.com/media/00/00/1968330813.jpg" target="_blank"><img id="media-3811976" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://2yeux2oreilles.hautetfort.com/media/00/00/371432734.jpg" alt="antequera,lucena,andalousie" /></a></p><p>A Paris, naviguant sur les sites de réservations d'hôtels, j'avais eu un coup de coeur pour le superbe cloître de l'hôtel <span style="font-size: large; color: #ff6600;"><strong><a href="http://www.hotelansantodomingo.com/" target="_blank"><span style="color: #ff6600;">AN Santo Domingo</span></a></strong></span> (63€ la chambre, petit-déjeuner inclus), sis dans un ancien couvent de la ville de Lucena, à mi-chemin entre Malaga et Cordoba. La ville ne semblant par ailleurs pas dénuée d'intérêt, je l'avais choisi pour notre première nuit en Andalousie.</p><p>Lucena, aujourd'hui célèbre pour son artisanat du bois et jadis appelée la "ville des Juifs", connut son heure de gloire aux 11ème et 13ème siècles, âge d'or du judaïsme espagnol. Elle fut alors fréquentée par d'éminents intellectuels, et plus particulièrement des philosophes et poètes, comme Ishaq ibn Levi dont on peut voir plusieurs statues. Lucena accueillit même une académie d'études talmudiques.</p><p>Le soir venu, la demoiselle de la réception nous indique la rue Jaime et les abords de la plaza Nueva pour dîner. Nous nous installons sur la terrasse de la maison Espuela, face à une pena et buvons notre première sangria en dégustant quelques tapas, dont les mystérieux <em>flamenquines</em>.</p><p style="text-align: center;"><a href="http://2yeux2oreilles.hautetfort.com/media/01/02/2478328222.jpg" target="_blank"><img id="media-3811981" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://2yeux2oreilles.hautetfort.com/media/01/02/3465277221.jpg" alt="antequera,lucena,andalousie" /></a></p><p>Le lendemain, nous nous réveillons à 8h pour visiter, avant de partir, les monuments fermés la veille. La Casa de los Condes de Santa Ana, superbe maison seigneuriale, nous est ouverte par une charmante femme. lI eût été dommage de rater un si bel endroit.</p><p style="text-align: center;"><a href="http://2yeux2oreilles.hautetfort.com/media/00/02/2093762314.jpg" target="_blank"><img id="media-3812009" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://2yeux2oreilles.hautetfort.com/media/00/02/2492501631.jpg" alt="antequera,lucena,andalousie" /></a></p><p style="text-align: left;">Il abrite, de plus, une émouvante exposition de photos "<span style="font-size: large; color: #ff6600;"><strong><a href="http://www.gritosdelibertad.org/" target="_blank"><span style="color: #ff6600;">Gritos de libertad</span></a></strong></span>" (cris de liberté), illustrée de propos de Cicéron, Robespierre, Lacordaire, Federico Garcia Lorca ou encore Platon.</p><p style="text-align: center;"><br /><a href="http://2yeux2oreilles.hautetfort.com/media/02/00/4196470055.jpg" target="_blank"><img id="media-3812017" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://2yeux2oreilles.hautetfort.com/media/02/00/2104901543.jpg" alt="antequera,lucena,andalousie" /></a></p><p style="text-align: center;"><a href="http://2yeux2oreilles.hautetfort.com/media/02/01/1673751334.jpg" target="_blank"><img id="media-3812026" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://2yeux2oreilles.hautetfort.com/media/02/01/987121015.jpg" alt="lucena, gritos de libertad" /></a></p><p style="text-align: center;"><a href="http://2yeux2oreilles.hautetfort.com/media/01/00/2723001574.jpg" target="_blank"><img id="media-3812027" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://2yeux2oreilles.hautetfort.com/media/01/00/129395911.jpg" alt="andalousie, lucena, gritos de libertad" /></a></p><p>"Cuando podemos besar a quien queremos, cada beso es un beso a la libertad" (quand on peut embrasser qui on veut, chaque baiser est un baiser à la liberté).</p><p>[Je découvrirai, à mon retour en France, que nous y sommes allées le jour de l'inauguration. On a raté les tapas du cocktail à 20h30, Boug' ! ]</p><p>La belle église de San Martin est toujours fermée mais la paroisse de San Mateo, sur la plaza Nueva, est belle. A côté, il y a le Castillo del Moral, où Boabdil, le roi maure déchu de Grenade, a été emprisonné. L'endroit est aujourd'hui le musée archéologique et ethnologique de Lucena.<br /><br />En redescendant vers l'hôtel, nous entrons dans une boutique où j'ai le coup de coeur pour un sac à main multicolore qui remplacera tous ceux, abîmés, que je traîne. Dans la boutique, une femme brune entend mon accent et nous apostrophe "Francesas de Espana o francesas de Francia ?" <br />La jolie brune bouclée s'appelle Carmen. Originaire de Lucena, elle a vécu 20 ans en France, à Gonesse, et est revenue ici il y a 8 ans, avec son mari, espérant couler des jours heureux en attendant la retraite. Hélas, Lucena, comme le reste de l'Espagne, est frappée par la crise et Carmen et son mari, patron d'une entreprise de 40 employés, sont pris à la gorge. La maison est aujourd'hui invendable, et l'entreprise, une chaîne à la patte avec potentiellement 40 personnes sur le carreau. Carmen a les larmes aux yeux. Elle raconte son arrivée à Gonesse, ses premiers pas dans la ville, son angoisse de ne pas connaître un mot de français, sa sensation de se sentir en prison. Aujourd'hui, c'est ici, dans sa ville natale, que Carmen se sent prisonnière. Elle n'a même plus d'argent pour s'offrir une esacapade dans les rues de Paris, comme elle en rêve.<br />Nous restons un long momentà bavarder avec elle, dans cette boutique qui liquide son stock avant de fermer, elle aussi, comme tant d'autres.</p>
Fiso
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Lundi 15 : de Paris à Torremolinos
tag:2yeux2oreilles.hautetfort.com,2012-10-15:4876010
2012-10-15T19:37:00+02:00
2012-10-15T19:37:00+02:00
Le premier jour de mes vacances, le réveil sonne à 4h. Une demie-heure plus...
<p>Le premier jour de mes vacances, le réveil sonne à 4h. Une demie-heure plus tard, je reçois un sms : "Je suis devant chez vous". Pour être à Roissy avant la mise en route des transports en commun et sans laisser une partie du budget vacances dans un taxi, j'ai choisi l'option covoiturage. 15 euros et notre charmant conducteur vient nous chercher à domicile et nous fait la causette jusqu'à notre terminal (si ce très bon plan vous intéresse, envoyez moi un mail).</p><p>C'est qu'aujourd'hui, Boug' et moi on s'envole pour l'Andalousie. Point de départ et d'arrivée : Malaga où, vers 9h30, nous prenons une voiture de location. Je râle, je déteste la Ford Fiesta, c'est un veau.</p><p>J'appelle M. Villages et branche mon GPS. Dans sa maison sur la colline, il y a foule, 3 couples de Suisses, très sympas, qui nous mettent vite à l'aise. Je bois un délicieux café erythréen aux épices et vers 11h, vais m'allonger pour une courte heure de repos car la journée va être longue face à mes 3 heures de sommeil.</p><p>Lorsque j'émerge vers 13 heures, espérant que Boug' ne se soit pas ennuyée en mon absence, je la retrouve sur la terrasse, entourée des Suisses et attablée devant une assiette de jambons et olives. A l'alcool, je préfère un jus de passion. Peu après, le monsieur que j'avais hâte de rencontrer nous rejoint : le papa de M. Villages, un débonnaire moustachu, originaire de Galice, qui a gardé un joli accent. <br />Après avoir montré à Boug' l'arrière de la maison où je me suis souvent prélassée au bord de la piscine, l'Italienne du groupe improvise une assiette de tomates et de moelleuse mozzarella di bufala. La pause café se prolonge et il est plus de 15h lorsque nous quittons le joyeux groupe pour entreprendre notre périple andalou qui durera presque 2 semaines.</p>
Fiso
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Balade dans le Rialejo
tag:2yeux2oreilles.hautetfort.com,2012-02-27:4618288
2012-02-27T16:06:00+01:00
2012-02-27T16:06:00+01:00
Mon réveil me tire du sommeil à 10h. Je petit-déjeune en terminant Salammbô...
<p>Mon réveil me tire du sommeil à 10h. Je petit-déjeune en terminant Salammbô puis me fais une session nostalgie en écoutant un album de Wham ! sur lequel je chante. Un des ouvriers de B. monte même en croyant que c'est B. qui fait des vocalises. En fait, B., après un premier réveil, est retourné se coucher. Il se lève peu après et je lui raconte mon voyage au Maroc avec Yo pendant qu'il déjeune. J'ai prévu, au mois 5 comme on dit là-bas, de retourner dans le nord du Maroc pour séjourner à Tanger, Tetouan, Chefchaouen et peut-être même Meknès, que je n'ai vues que furtivement. J'aimerais commencer mon voyage ici, en Andalousie, mais cette fois sur sa côte Ouest, en aterrissant à Jerez, où j'ai travaillé mais peu flâné, et en allant surtout me perdre à Cadiz et alentours. De là, je suivrai la côte et prendrai un bateau pour Tanger. B. envisage même de m'y rejoindre et cela m'enchante. <br /><br />Vers 12h30, je descends à pied dans Albaicin, prenant des ruelles qui me sont maintenant familières. A certains angles de rues, il y a ces jolies plaques bleues et blanches qui signale leur nom, comme celle-ci "Cruz de arqueros". Je me perds - suivant les conseils de B mais avec beaucoup de zèle - dans le labyrinthe de Albaicin, tant et si bien que j'atterris non pas près de la Plaza Nueva, comme prévu, mais du côté de celle del Triunfo.</p><p>De là, pour éviter la calle Elvira, sans intérêt, je monte et descends des escaliers, tourne à droite puis à gauche. Enfin, j'atteins la Caldaderia Vieja et entre dans la brasserie La Riviera, celle où nous avons mangé de roboratifs tapas samedi soir.</p><p style="text-align: center;"><a href="http://2yeux2oreilles.hautetfort.com/media/00/00/2039875619.jpg" target="_blank"><img id="media-3463030" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://2yeux2oreilles.hautetfort.com/media/00/00/3403725715.jpg" alt="Grenade, Andalousie, WajDi, Zarxas" /></a></p><p>Après avoir dévoré montadito, brochette et salade et sifflé le verre que m'a offert le serveur, qui m'a reconnue, je prends la Santa Escolastica en direction du Realejo, l'ancien quartier juif de Grenade. Un bandeau lumineux affiche 24°C. Le quartier derrière les statues des rois catholiques est très sympa, les rues sont bordées de quantités de bars.</p><p>Je me perds dans Damasqueros, où les terrasses au soleil sont prises d'assaut, longe la place Campo del Principe, remonte jusqu'à la plaza San Cecilio où, surplombée par le palace hotel Alhambra, se dresse la petite église de San Cecilio. Digestion aidant, j'ai un sérieux coup de barre et profite un long moment, sur ses marches, du soleil et d'une brise rafraîchissante. Les rues du Realejo sont désertes, on se croirait dans un village de campagne écrasé par la moiteur d'une après-midi d'été. Il y a bien deux touristes anglophones qui jaillissent d'on ne sait où, en shorts, et aussi ces deux jeunes, elle hurlant sur le porte-bagages de la bicyclette, dont je me demande bien comment ils arrivent sains et saufs en bas de la pente qu'ils dévalent à toute allure.</p><p style="text-align: center;"><a href="http://2yeux2oreilles.hautetfort.com/media/01/00/3933142245.jpg" target="_blank"><img id="media-3463036" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://2yeux2oreilles.hautetfort.com/media/01/00/1219505218.jpg" alt="Grenade, Andalousie, WajDi, Zarxas" /></a></p><p>Après cette pause, je m'engage dans une jolie allée bordée de maisons magnifiques, signalée comme étant une impasse et qui s'avère être, en effet, une impasse, même pour les piétons.</p><p>De là, je redescends sur la calle Molinos et tombe devant un bâtiment, voisin du théâtre Alhambra, qui me semble d'inspiration mauresque et arbore le mot <em>Masagra</em> sur sa façade. Il faudra que je demande à B. ce que ça peut être. Un peu plus loin, à gauche, le centre de lettres modernes se trouve lui aussi dans un ensemble architectural très élégant, en jaune safran et blanc.</p><p style="text-align: center;"><a href="http://2yeux2oreilles.hautetfort.com/media/02/00/736109349.jpg" target="_blank"><img id="media-3463042" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://2yeux2oreilles.hautetfort.com/media/02/00/1976567282.jpg" alt="Grenade, Andalousie, WajDi, Zarxas" /></a></p><p>Je descends la cuesta Molinos, débouche sur le paseo de la Bomba qui longe la rivière Genil et rejoins le Paseo del Salon. Là, je traverse la terrasse du restaurant Las Titas. J'aimerais bien me poser dans un café avec option wifi. Je dédaigne la terrasse du café Futbol, pourtant proche mais privée de soleil.</p><p>Finalement, je traverse Puerta Real et déniche, près de la cathédrale, un salon de thé marocain où je tente, tant bien que mal, d'écrire mes billets en retard tout en discutant avec le serveur berbère et fort sympathique, originaire de Nador. Lorsque mon ordinateur s'éteint, à bout de batterie, je plie bagage. C'est l'heure des tapas.</p><p>NB : J'ai demandé à B. : <em>Masagra</em>, c'est le siège départemental des services de l'eau.</p>
Fiso
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Où courir à Grenade ? (c'est la reprise !)
tag:2yeux2oreilles.hautetfort.com,2012-02-26:4618316
2012-02-26T22:08:00+01:00
2012-02-26T22:08:00+01:00
Ce matin, je me suis levée tard. J'ai déjeuné d'un café, de quelques...
<p>Ce matin, je me suis levée tard. J'ai déjeuné d'un café, de quelques tranches de pain et d'un bout de fromage. B. se lève encore plus tard, lui, mis K.O. par le café bu la veille.</p><p>Nous discutons longtemps de religions, conversation très intéressante, comme toutes celles que j'ai eues jusqu'ici avec lui. Je m'incruste dans sa séance de jogging le long de la rivière. Il ne sera pas dit que j'aurai amené ma tenue de joggeuse pour rien, et si j'ai abandonné tout espoir de courir dans son quartier, beaucoup trop escarpé pour moi, je souhaite vraiment profiter du beau temps pour reprendre la course, que j'ai arrêtée il y a 4 mois. B. m'apprend que les étirements avant de courir, que je pratique depuis toujours, sont non seulement inutiles mais de surcroît, mauvais pour les muscles. <br /><br />Il se gare tout à côté de l'endroit où il m'a récupérée la veille, en route pour Malaga, et nous nous longeons la rivière en nous éloignant des terrasses où se prélassent les Granadinos.</p><p>Très vite, après le quartier escarpé du Realejo, petit frère de l'Albaicin, d'où émergent de superbes demeures, on se trouve sur le paseo Fuente de la Bicha. Le chemin devient de terre, une végétation touffue de joncs remplace les élégants palmiers, B. s'élance, puis me distance. Je suis son tee-shirt rouge qui trotte à bonne allure et s'éloigne jusqu'à disparaitre. Le parcours, qui totalise 14 kms, est vraiment très agréable et fréquenté par les promeneurs, familles, joggeurs et cyclistes.</p><p>Après le quartier du Realejo, que je parcourerai le lendemain, on longe à droite ceux de Bola de Oro, puis El Serrallo. Ensuite, après un court voisinage avec l'autoroute qui mène à la Sierra Nevada, le sentier s'enfonce à travers champs et les habitations se raréfient. Je demande l'heure à une femme, elle m'indique 18h40. J'ai dû courir une demie-heure, je m'arrête et marche tranquillement.</p><p>Après 5 minutes, B. vient à ma rencontre, toujours courant. "On a commencé à quelle heure ?" lui demandé-je. "18h22" dit-il en s'éloignant. Zut, je n'ai donc couru que 20 minutes ? Je reprends la course, une petite dizaine de minutes, je pense, et le retrouve à sa voiture. C'était, pour moi, une petite séance mais la reprise est faite.<br /><br />Pour fêter ça, peut-être, ou juste pour terminer le weekend en beauté, B. débouche une bouteille de rosé de sa Provence natale, ouvre le bocal d'olives noires préparées par son maçon, tranche <em>chistorra</em> et <em>chorizo</em>, me sert une assiette de lentille aux poivrons qu'il a - très bien - cuisinées. Ensuite, nous mangeons un peu de fromage et finissons par un bol de fraises arrosées de citron - et de sucre - et une anone (la fameuse <span style="color: #ff6600; font-size: large;"><strong><a title="Miam ! " href="http://2yeux2oreilles.hautetfort.com/archive/2007/07/18/conoces-el-guanabana.html" target="_blank"><span style="color: #ff6600;"><em>guanabana</em></span></a></strong></span>, version miniature). </p>
Fiso
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Virée sur la Costa del Sol (sans bikini)
tag:2yeux2oreilles.hautetfort.com,2012-02-25:4618212
2012-02-25T22:45:00+01:00
2012-02-25T22:45:00+01:00
B. doit aller faire quelques emplettes à l'Ikea de Malaga et propose, si...
<p>B. doit aller faire quelques emplettes à l'Ikea de Malaga et propose, si j'en ai envie, de me déposer dansle centre de Malaga pour m'y promener. Je descends d'abord petit-déjeuner en ville et profiter du wifi du café Futbol, d'où je discute avec Mère Mi, entre deux coupures d'internet, tout en plongeant des churros aériens dans un épais chocolat chaud. J'envoie également un mail à ma copine Susan de Malaga, sans grand espoir qu'elle le lise à temps, mais sait-on jamais ?</p><p>Deux heures plus tard, je reçois un sms de B. qui me dit être en route, me laissant juste le temps d'une agréable promenade jusqu'au puente Genil, un joli pont de pierre qui enjmabe la rivière du même nom. Ce quartier, que je ne connais pas, semble fort agréable. " Quel timing parfait" constate B. alors que nous quittons Grenade.</p><p style="text-align: center;"><a href="http://2yeux2oreilles.hautetfort.com/media/01/00/3377429409.jpg" target="_blank"><img id="media-3462945" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://2yeux2oreilles.hautetfort.com/media/01/00/1063263571.jpg" alt="granada,salobrena,malaga,andalousie" /></a></p><p>Dans le col du "Soupir du Maure", par là même où Boabdil quitta sa ville, les amandiers sont déjà en fleurs. B. vante les villages berbères du versant sud de la Sierra Nevada, seulement fréquentés par les touristes "se situant entre Ardèche et Larzac" . A droite, un gigantesque barrage founit en eau la province de Grenade.</p><p>Bientôt, on aperçoit sur un piton, le village blanc de Salobrena. B. a acheté un terrain dans cet endroit dont le front de mer, non constructible, a été épargné par les ensembles gigantesques qu'on trouve dans la province de Malaga. Salobrena accueille une significative communauté belge car c'est là que la famille royale a sa résidence d'été, et là d'ailleurs que le roi Baudouin poussa son dernier soupir. De tout en haut de la ville, la vue sur la côte est absolument spendide. En contrebas, les champs de canne longent toujours la mer car, je l'ai appris lors de ce séjour, on fabrique même du rhum ici.</p><p style="text-align: center;"><a href="http://2yeux2oreilles.hautetfort.com/media/00/00/3765726754.jpg" target="_blank"><img id="media-3462955" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://2yeux2oreilles.hautetfort.com/media/00/00/2369831235.jpg" alt="granada,salobrena,malaga,andalousie" /></a></p><p>A Malaga, B. me dépose sur la place du general Torrijos. Je rejoins rapidement la bâtisse jaune de l'ayuntamiento, puis la cathédrale car ma première priorité est de manger. Il est 15h30 et je meurs de faim. Rue Granada, je m'offre une salade d'avocats et tomates cerise et une friture de calamars.</p><p>Je suis maintenant prête pour la visite du musée Picasso, situé dans le très beau palais Buenavista. C'est un endroit très agréable que ces salles au plafond en bois sculpté. Je n'y trouve hélas aucune des oeuvres que je connais, et surtout pas Guernica, que j'ai étudié au lycée en classe d'espagnol et qui m'a fait aimer Picasso. Guernica, comme la plupart des pièces maitresses de Picasso, ne se trouve pas dans sa ville natale mais au musée Reina Sofia de Madrid. Picasso a quitté Malaga à l'âge de 19 ans et n'y est jamais revenu. Mon guide, qui date quand même de 2005, vante les patisseries et le patio du café du musée. Pourtant, ceux-ci sont absolument déserts, et je m'y installe quand même pour déguster un délicieux muffin à la crème de citron (c'était ça ou une mousse aux 3 chocolats).</p><p>En attendant que B. sonne le rappel des troupes, je traîne dans la ville, me pèle en essayant, en vain, de me connecter au wifi du café-restaurant El Jardin, idéalement situé sur une place derrière la cathédrale, mais à l'ombre, donc. Finalement, le code écrit par le serveur était à traduire en minuscules, et je réussis tout de même à papoter avec Mère Mi sur Skype (vive la retraite !).</p><p style="text-align: center;"><a href="http://2yeux2oreilles.hautetfort.com/media/02/02/570077666.jpg" target="_blank"><img id="media-3462959" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://2yeux2oreilles.hautetfort.com/media/02/02/2954946803.jpg" alt="granada,salobrena,malaga,andalousie" /></a></p><p>B. me récupère sur un rond-point. Le pauvre a passé cette journée ensoleillée dans un magasin ...</p><p>Dans la voiture, sur le siège arrière, je comate en écoutant Chambao, groupe électro de Malaga. Vers 20h, nous voilà enfin de retour à Grenade où B. me donne une pause jusqu'à 22h, heure à laquelle nous irons rejoindre un de ses amis dans le centre pour quelques verres. A l'heure dite, j'entends B. qui dit dans son téléphone "Salimos ahora mismo". Ce que je ne savais pas, c'est que nous descendrions à pied à travers Albaycin. "On en a pour 15 minutes à peine" dit B. " 15 minutes, tu rêves, ça va nous prendre au moins 20 minutes. Si j'avais su, j'aurais mis mon jean et mes baskets". Sacré bizutage qu'il m'inflige, l'ami B. ! Je prie pour ne pas me casser, de nouveau, la gueule du haut de mes bottines mais c'est avec un soulagement non feint que j'atteins le bout de Caldoneja Vieja, la rue des teterias marocaines. <br /><br />Devant un bar de la calle Cetti Meriem, un gaillard soulève Bruno dans ses bras avant de me réserver le même accueil. Nous entrons, commandons des verres, on nous offre successivement des brochettes de viande et des montaditos de lomo, jamon tomate y aioli tout chauds. A. me parle - vite - j'ai du mal à suivre et me contente de les écouter. Je suis troublée de voir ces deux amis s'étreindre, troublée aussi que A. me palpe les mollets et tire sur ma mini-jupe - il dit qu'il n'a pas vu de mini-jupe pareille depuis les années 80- </p><p>Je ne sais pas si A. me trouve coincée, en tout cas, il me soulève dans ses bras à plusieurs reprises en disant "Détends-toi, tout va bien". Les contacts sont constants entre les Andalous., ils sont aussi expressifs verbalement que physiquement. B., en bon provençal, s'y sent dans son élément. Je me fais embrasser aussi, et ne boude pas mon plaisir, et B. traduit l'avertissement que me lance A. : "Toi, tu me plais, je ne vais pas te draguer mais avant la fin de la soirée, je t'embrasserai sur la bouche". Olé !</p>
Fiso
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Shopping concret, art abstrait et chipirones
tag:2yeux2oreilles.hautetfort.com,2012-02-24:4618204
2012-02-24T22:34:00+01:00
2012-02-24T22:34:00+01:00
Après la journée de la veille, bien remplie, et un savoureux pionono imbibé...
<p>Après la journée de la veille, bien remplie, et un savoureux pionono imbibé de sirop de chez Pasteles, je m'offre une matinée à la maison, au soleil sur la terrasse, entre révision de l'espagnol, magazines féminins à la con et Salammbô en version bande dessinée. J'ai hâte de me taper un barbecue sur la terrasse de B., c'est moi qui vous le dis. Une vue pareille, ça fait rêver, non ?</p><p style="text-align: center;"><a href="http://2yeux2oreilles.hautetfort.com/media/00/01/2435039840.jpg" target="_blank"><img id="media-3462933" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://2yeux2oreilles.hautetfort.com/media/00/01/1168133683.jpg" alt="grenade,andalousie,wajdi" /></a></p><p>Vers 17h, B. me dépose dans le barrio Figares, calle Manuel de Falla, dont je connais maintenant l'identité, grâce à lui.</p><p>"Tu vas aller faire du shopping sur Recogidas" me taquine-t-il. "Sûrement pas, je suis là pour me cultiver !" répliqué-je en m'éloignant.</p><p>Une heure plus tard, j'ai claqué 50€ de maquillage chez Kiko, marque de cosmétiques made in Milano. La faute de la vendeuse, elle n'avait qu'à pas être si jolie avec son rouge à lèvres vif. Du coup, j'ai voulu lui ressembler et j'ai acheté le même. J'ai bien flashé sur un top en soie à 10€ chez Zara, mais comme il ne restait qu'une taille S, et que ça me paraissait large, j'ai filé en cabine sans réussir à y passer ne serait ce que les épaules. Je me perds avec plaisir dans les rues du centre. <br />Purée, il est déjà 20h, j'ai intêrêt à tracer si je veux arriver avant la fermeture du centre José Guerrero ! </p><p>Il y a du monde dans le cente d'art abstrait car on y inaugure, aujourd'hui même, une exposition sur Manuel Rivera. Je goûte peu ses oeuvres qui ressemblent à du grillage cloué sur une toile et file au dernier étage où je découvre avec un peu de déception quelques toiles seulement de José Guerrero. C'est de l'abstrait aussi et je n'en suis pas amatrice.</p><p>En revanche, les tapas de chez Poe, ça c'est du concret, me dis-je 30 minutes plus tard en m'attablant devant un verre de vin, dans ce bar intimiste à la déco mâtinée d'Afrique Noire, de la calle Paz. Les repas ne coûtent pas cher en Espagne. Il suffit de boire. Voilà un concept qui plairait à mes amis de La Comète. Un verre acheté, un tapa offert ! On te tend même la carte pour que tu fasses ton choix.</p><p>Chez Poe, je me déleste donc de 2,30€, le prix de mon verre de rouge - car j'ai décidé de ne plus boire de bière, en hommage à Fernando - et déguste un très bon ragoût de pollo en salsa de coco con polenta, servi dans un caquelon en terre cuite. Comme j'ai commencé à choper les us et coutumes espagnols ( "Tu as bien pris le rythme de la sieste, c'est bien", m'a dit B.), je change de bar et rejoins la plaza Pescaderia qui compte, fort logiquement, au moins 2 très bons restaurants de poissons. Cunini, plutôt chic, et Oliver, bordélique et bruyant. J'ai encore un peu de mal à supporter d'être seule dans cette incroyable convivialité espagnole, mais le cafard des deux premiers jours m'a définitivement quittée. Je me siffle donc un petit verre de blanc qu'on me sert avec un bocadillo de atun fort savoureux. D'excellente humeur, je m'offre en dessert une assiette de chipirones frits qui fondent dans la bouche.</p><p style="text-align: center;"><a href="http://2yeux2oreilles.hautetfort.com/media/01/02/146908257.jpg" target="_blank"><img id="media-3462938" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://2yeux2oreilles.hautetfort.com/media/01/02/33567971.jpg" alt="grenade,andalousie,wajdi" /></a></p><p>La prochaine fois, j'essaie la cafeteria Alhambra, pensé-je en m'éloignant. D'ailleurs, c'est elle que j'indique au couple d'Espagnols (sic) qui m'arrête sur la plaza Bib-Rambla et me demande où prendre un verre et manger quelque chose. <br />Sur Gran Via, alors que j'attends que mon feu passe au vert (oui, oui, ça m'arrive), je vois passer le bus n°7, hésite, tape un sprint et m'installe face à une jeune fille aux ongles corail qui s'est visiblement aspergée de parfum. </p>
MCSJuan
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Andalousie(s). Terre plurielle, de musique. Découvrir...
tag:tramesnomades.hautetfort.com,2011-03-11:3138066
2011-03-11T02:14:00+01:00
2011-03-11T02:14:00+01:00
Informations, pages et vidéos... Musique, liens ... La fiche wikipedia...
<p><span style="text-decoration: underline;">Informations, pages et vidéos... <strong>Musique, liens</strong>...</span></p><div><span style="text-decoration: underline;">La fiche wikipedia "Musique andalouse"</span> distingue (à juste titre) la musique andalouse (celle du flamenco et de la culture gitane - qui porte une influence de la musique arabe - et la musique arabo-andalouse : elle ne doit "pas être confondue avec la musique arabo-andalouse"…</div><div>Notes sur le flamenco, le cante jondo, et le duende.</div><div><span style="text-decoration: underline;">Figures majeures</span> : <span style="text-decoration: underline;">Federico Garcia Lorca</span> (poète, et théoricien du duende, <span style="text-decoration: underline;">Paco de Lucia</span> (guitariste).</div><div>(Lien vers la fiche de l’un et de l’autre : cliquer sur leurs noms sous les portraits).</div><div><span style="text-decoration: underline;">Bibliographie</span>, deux livres essentiels <span style="text-decoration: underline;">sur le duende</span>.</div><div>Fiches wikipedia indiquées : notions dans les articles</div><div>(flamenco, duende, cante jondo, guitare flamenca).</div><div>Celle sur le duende est essentielle (à lire avant les autres…)... <span style="text-decoration: underline;"><a class="" href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Musique_andalouse" target="_blank" rel="nofollow noopener"><span style="font-size: small;">https://fr.wikipedia.org/wiki/Musique_andalouse</span></a></span></div><p><span style="text-decoration: underline;">Fiche wikipedia</span>."<span style="text-decoration: underline;">Musique arabo-andalouse"</span> (histoire, bibiographie, noms et liens) : <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Musique_arabo-andalouse">https://fr.wikipedia.org/wiki/Musique_arabo-andalouse</a> </p><p><span style="text-decoration: underline;">Musique andalouse</span>, sur <span style="text-decoration: underline;">darnna.com</span> : <a href="http://www.darnna.com/musique.htm">http://www.darnna.com/musique.htm</a> </p><p>Sur <span style="text-decoration: underline;">Akadem</span>, <span style="text-decoration: underline;">musique judéo-andalouse</span>, <span style="text-decoration: underline;">13 vidéos</span> (concerts) : <a href="http://www.akadem.org/sommaire/themes/culture/musique/musique-judeo-andalouse/">http://www.akadem.org/sommaire/themes/culture/musique/musique-judeo-andalouse/</a> </p><p>Et...</p><p><span style="text-decoration: underline;">Musique classique algérienne arabo-andalouse</span>, sur <span style="text-decoration: underline;">okbob.net, site algérien</span> : <a href="http://www.okbob.net/article-musique-classique-algerienne-haouzi-58824997.html">http://www.okbob.net/article-musique-classique-algerienne-haouzi-58824997.html</a> </p><p><span style="text-decoration: underline;">Voyage dans une mémoire musicale juive andalouse, vidéo</span> : <a href="https://www.youtube.com/watch?v=UY5HWB9Qvzo">https://www.youtube.com/watch?v=UY5HWB9Qvzo</a> (Même si les appellations sont à nuancer. Cf Lili Boniche (cité en légende de la vidéo) : «Est-ce qu'on dit d'un musicien musulman, qu'il joue de la musique islamo-arabe ? Je joue de la musique arabe, un point c'est tout !»)</p><p><span style="text-decoration: underline;">Musique judéo-andalouse</span>, sur <span style="text-decoration: underline;">okbob.net</span> : <a href="http://www.okbob.net/article-12600429.html">http://www.okbob.net/article-12600429.html</a> </p><p>Page sur <span style="text-decoration: underline;">Dafina</span>, <span style="text-decoration: underline;">musique juive marocaine</span> : <a href="http://www.dafina.net/lamusiquejuivemarocaine.htm">http://www.dafina.net/lamusiquejuivemarocaine.htm</a> </p><p><span style="text-decoration: underline;">Musique judéo-andalouse marocaine</span> (sur un <span style="text-decoration: underline;">site israélien</span> un <span style="text-decoration: underline;">texte sur l’histoire et l’actualité de la musique andalouse</span>, comme vestige d’une civilisation hispano-maghrébine). <span style="text-decoration: underline;">CITATION</span> (début du texte qui cite un article de revue) : « En 1988, Daniel Eisenberg écrit sur la Musique Andalouse dans"The Journal of Hispanic Philology » : " Cette musique est l'un des vestiges les plus attrayants et surtout le moins connu en Occident, d'une civilisation très raffinée, la civilisation hispano-maghrébine, née de la fusion des cultures marocaines et andalouses, et dont le Maroc est devenu, l'héritier fondamental." / " La musique andalouse marocaine est donc une synthèse des traditions musicales arabes, berbères et espagnoles. Elle est nettement différente de la musique orientale »."... <a href="http://www.terredisrael.com/musique-andalouse-1.php">http://www.terredisrael.com/musique-andalouse-1.php</a> </p><p><span style="text-decoration: underline;"><strong>FLAMENCO</strong>, musique et danse, influences</span>...</p><div><p>"<strong><span style="text-decoration: underline;">Vertiges, du flamenco à la transe</span></strong>". Spectacle mis en scène par le cinéaste <span style="text-decoration: underline;">Tony Gatlif</span> (natif d’Algérie, mère gitane et père berbère). <span style="text-decoration: underline;"><strong>DVD, Arte</strong></span>... <a href="https://boutique.arte.tv/detail/vertigesduflamencoalatranse" target="_blank" rel="nofollow noopener">https://boutique.arte.tv/detail/vertigesduflamencoalatranse </a></p><p><span style="text-decoration: underline;"><strong>Vertiges</strong></span>. <span style="text-decoration: underline;">Bande-annonce du film</span>… <a href="https://www.youtube.com/watch?v=GvMuzMrP7dA" target="_blank" rel="nofollow noopener">https://www.youtube.com/watch?v=GvMuzMrP7dA</a></p></div><div>Au centre de la culture personnelle de <span style="text-decoration: underline;">Tony Gatlif</span> il y a cette perception qui recrée les interconnexions andalouses. </div><div>'A l'origine de la musique qu'il aime, explique le cinéaste, né en 1948 en Algérie d'un père berbère et d'une mère gitane, <em>"il y a la musique soufie"</em>.Quant à la musique gitane, il l'a toujours, dit-il, <em>"reçue comme une transe. Le rythme monte, gagne les coeurs et les emballe jusqu'au vertige"</em>. On retrouve la même force dans la musique tzigane et dans la musique orientale, poursuit-il. Dans ce spectacle, il réunit les deux, et même un peu plus. Toutes les musiques qui l'ont <em>"marqué depuis l'enfance</em><em> »</em>. Article, <span style="text-decoration: underline;">Le Monde</span>...</div><div><a class="" href="https://www.lemonde.fr/culture/article/2007/06/07/spectacle-vertiges-musicaux-de-tony-gatlif_920251_3246.html" target="_blank" rel="nofollow noopener"><span style="font-size: small;">https://www.lemonde.fr/culture/article/2007/06/07/spectacle-vertiges-musicaux-de-tony-gatlif_920251_3246.html</span></a></div><p>..................................</p><p><span style="font-size: small;"><span style="font-family: Calibri;"><strong><span style="text-decoration: underline;">Cheikh Raymond Leiris</span></strong> (1912-22 juin 1961) , <span style="text-decoration: underline;">maître du M<strong>alouf</strong></span>, assassiné à Constantine, biographie : <strong><a href="http://www.altaiir-enricomacias.com/pageshtml1/005musiquearabo/00504raymondleyris/0050402portraitraymondleyris.html">http://www.altaiir-enricomacias.com/pageshtml1/005musiquearabo/00504raymondleyris/0050402portraitraymondleyris.html</a> .......</strong></span></span><span style="font-size: small;"><span style="font-family: Calibri;"><strong>Vidéo (l'orchestre, archives) : <a href="http://www.dailymotion.com/video/x3d1lt_cheikh-raymond-leyris-malouf-consta_music">http://www.dailymotion.com/video/x3d1lt_cheikh-raymond-leyris-malouf-consta_music</a> / </strong></span></span><span style="font-size: small;"><span style="font-family: Calibri;"><strong>Reinette l'Oranaise : <a class="" href="https://www.youtube.com/watch?v=PmiWBZauvTI" target="_blank" rel="nofollow noopener">https://www.youtube.com/watch?v=PmiWBZauvTI</a> / Lili Boniche : <a href="http://www.youtube.com/watch?v=XfndAriojx8&feature=related">http://www.youtube.com/watch?v=XfndAriojx8&feature=related</a> ("<span style="text-decoration: underline;">Alger, Alger</span>").</strong></span></span></p><p><span style="font-size: small;"><span style="font-family: Calibri;"><span style="font-size: x-small;"><span style="font-size: xx-small;"> </span></span></span></span><span style="text-decoration: underline;"><strong>Musique. Le Malouf, DOSSIER</strong>,</span> sur <em>Constantine d'hier et aujourd'hui </em>: <a href="http://www.constantine-hier-aujourdhui.fr/LaCulture/malouf.htm">http://www.constantine-hier-aujourdhui.fr/LaCulture/malouf.htm</a> (instruments, musiciens, photographies, vidéos).</p><p>.................................</p><p><strong><span style="text-decoration: underline;">Musique issue de l'Andalousie</span></strong>... Chants (voix, violon, duo et ensemble orchestral) :</p><p><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;"><span style="text-decoration: underline;">Marlène Samoun et Rachid Brahim Djelloul</span>, duo hébreu-arabe : </span><span style="color: black; font-family: 'Verdana','sans-serif';"><a href="http://marlenesamoun.com/page2.html"><span style="color: #0000ff; font-size: medium;">http://marlenesamoun.com/page2.html</span></a></span></p><p><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;"><span style="text-decoration: underline;">Marlène Samoun</span>, <span style="text-decoration: underline;">chants sépharades</span>, en ligne : </span><span style="color: black; font-family: 'Verdana','sans-serif';"><a href="http://marlenesamoun.com/page3.html"><span style="font-family: 'Calibri','sans-serif';"><span style="color: #0000ff; font-size: medium;">http://marlenesamoun.com/page3.html</span></span></a></span></p><p><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;"><span style="text-decoration: underline;">Vidéo</span>. <span style="text-decoration: underline;">Marlène Samoun, entre chants juifs sépharades et gospel</span> : </span><span style="color: black; font-family: 'Verdana','sans-serif';"><a href="https://www.youtube.com/watch?v=bQ8L51V3YBE"><span style="font-family: 'Calibri','sans-serif';"><span style="color: #0000ff; font-size: medium;">https://www.youtube.com/watch?v=bQ8L51V3YBE</span></span></a></span></p><p><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;"><span style="text-decoration: underline;">Ensemble Amedyez</span>. Souvenirs d'Al-Andalus (<span style="text-decoration: underline;">Amel Brahim-Djelloul et Rachid Brahim-Djelloul</span>)... </span><a href="http://www.dailymotion.com/video/xigy9s_amedyez-souvenirs-d-al-andalus-amel-brahim-djelloul-et-l-ensemble-amedyez_music"><span style="color: #0000ff; font-family: Calibri; font-size: medium;">http://www.dailymotion.com/video/xigy9s_amedyez-souvenirs-d-al-andalus-amel-brahim-djelloul-et-l-ensemble-amedyez_music</span></a><span style="font-size: small;"><span style="font-family: Calibri;"><span style="font-size: x-small;"><span style="font-size: xx-small;"> </span></span></span></span></p><p>..........................................................................................................................................</p><p><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;"><span style="text-decoration: underline;">Deux blogs</span> ont disparu, que j'avais choisi de mettre en valeur. Des musiciens (des passionnés, très connaisseurs d'Enrico Macias et de la culture andalouse). Des Français d'origine algérienne, ou Franco-Algériens. Fraternels, cherchant à dire les proximités.</span></p><p><span style="font-family: Calibri; font-size: small;"><span style="text-decoration: underline;">Le BLOG El Duende</span>, était sous-titré <span style="font-family: Verdana; font-size: small;">« <span style="text-decoration: underline;">Enrico et nos Andalousies</span> </span><span style="font-family: Verdana; font-size: small;">». Mais malheureusement les liens renvoient maintenant à un blog musical qui n'a rien à voir... </span></span></p><p><span style="font-family: Calibri; font-size: small;">On y trouvait beaucoup de références, de vidéos (souvenirs et actualités). Ainsi « <span style="text-decoration: underline;">Joselito</span> chante toujours », (celui qu’on nommait autrefois « l’enfant à la voix d’or »). Dans la riche rubrique « Andalousie », il y avait un montage sur la ville de Grenade, en vidéo, avec, en fond musical, « Granada », avc la voix de la blogueuse, </span><span style="font-family: Calibri; font-size: small;">musicienne. Pour comprendre cette notion de « duende » il faut se référer à ce qu'en dit Lorca (un feu créatif intérieur, qui est, ou pas : s'il est il y a art, et sinon, rien. L</span><span style="font-family: Calibri; font-size: small;">es thèmes du blog étaient : <span style="text-decoration: underline;">l’Andalousie, et Enrico Macia</span>s (passion qu’on retrouve souvent chez des blogueurs soucieux de culture andalouse et d'humanisme). Parmi ses catégories (nombreuses) : chanteurs, <span style="text-decoration: underline;">musique maghrébine arabo-andalouse, chanteurs pieds-noirs</span>, Enrico Macias et l'Andalousie (bien sûr). Mais aussi sa région en France (la Charente) et divers coups de coeur et coups de colère, comme celui-ci, notamment, qui va si bien avec les valeurs andalouses, affirmées ddans une note ("Nous sommes tous des terriens"). et le profil ans le profil. </span></p><p><span style="font-family: Calibri; font-size: small;">........................................</span></p><p><span style="font-family: Calibri; font-size: small;"><span style="text-decoration: underline;">BLOG Kdi.musicblog </span><span style="color: #00ffff;"> </span>(<span style="font-family: Verdana; font-size: small;">« </span><span style="text-decoration: underline;">Enrico et moi</span> <span style="font-family: Verdana; font-size: small;">»</span>). Ce blog aussi a disparu (cela tient peut-être à l'hébergeur, le même que celui d'el duende...). </span></p><p>Le blogueur « <strong>kdi</strong> » (Khadi), lui aussi, s'intéressait, dans son blog, à la culture plurielle d'une <span style="text-decoration: underline;">Algérie fraternelle</span>, diasporique ou pas. (Une vidéo présentait un moment d’<span style="text-decoration: underline;">i</span>nterview où est évoquée la ville d’<span style="text-decoration: underline;">Enrico Macias</span> : (Smaïn sur Constantine et Enrico Macias - interviewé par « kdi ». Chez lui aussi beaucoup de notes sur Enrico Macias, dont les dernières informations. Dans ses derniers posts, des infos sur les albums de Macias, et une photographie de la maison d'Enrico Macias à Constantine (lui, Khadi, devant la maison d'Enrico Macias à Constantine). Sur son blog, se mêlent Algériens natifs de diverses origines (Algériens et Pieds-Noirs), mais aussi (êtres et visages, peu importe d'où), d'autres artistes, dont Pierre Perret. Parmi les rubriques, l'Algérie, et sa ville de naissance en France, Thionville (plusieurs notes pour ces deux références). Fraternité... Et, pour des amis, il chante Enrico Macias.</p><p>.....................................................................................................................................................</p><p><span style="color: #ff00ff;"><strong>VOIR AUSSI la note du 07-03-2011.</strong></span> </p><p><strong><span style="text-decoration: underline;">Andalousie(s). Lieu, histoire et culture...</span>... </strong><a href="http://tramesnomades.hautetfort.com/archive/2011/03/07/andalousies.html">http://tramesnomades.hautetfort.com/archive/2011/03/07/andalousies.html</a> </p><p>.........................................................</p><p><span style="color: #ff00ff;"><strong><span style="text-decoration: underline;">Mise à jour, 6 février 2020... Liens vérifiés.</span></strong></span></p>
MCSJuan
http://tramesnomades.hautetfort.com/about.html
Andalousie(s). Lieu, histoire et culture...
tag:tramesnomades.hautetfort.com,2011-03-07:3133736
2011-03-07T23:57:00+01:00
2011-03-07T23:57:00+01:00
« J’appelle à des Andalousies toujours recommencées, dont nous...
<p><span style="font-family: Calibri;"><span style="font-size: x-large;">« <strong>J’appelle à des Andalousies toujours recommencées, dont nous portons en nous à la fois les décombres amoncelés et l’inlassable espérance.</strong></span><span style="font-size: small;"> » <strong><span style="text-decoration: underline;">Jacques Berque</span></strong>, né en Algérie, leçon de clôture prononcée au Collège de France, en juin 1981. (Citation que j’avais choisie comme exergue d’un petit portail et qui convient aussi pour cette note…).</span></span></p><p><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: Calibri;">L’Andalousie, qui a fêté fin février </span><span style="font-family: Calibri;">un anniversaire important pour cette communauté autonome d’Espagne, est beaucoup plus qu’une région du sud de l’Europe. Elle représente un centre de mémoire et d’Histoire pour la Méditerranée entière, et un symbole (complexe) non seulement pour les descendants des diverses communautés humaines qui en sont issues et qui ont donné des diasporas méditerranéennes diverses, mais aussi pour tous ceux qui oeuvrent pour la fraternité humaine. Ci-dessous, de quoi donner un écho à cette fête, notamment avec les vidéos du spectacle musical de <span style="text-decoration: underline;">Tony Gatlif.</span>.. et de quoi entrer dans l'histoire et la mémoire, en commençant par noter le titre du livre de <span style="text-decoration: underline;">Jacques Attali</span>. (Tous deux, aussi, sont nés en Algérie).</span></span></p><p><span style="font-family: Calibri; font-size: small;">…………………………………............................</span></p><p><span style="font-size: small;"><span style="font-family: Calibri;"><em>Pour connaître cette culture, je note quelques <strong>clés</strong></em><strong> :</strong></span></span></p><p><span style="font-family: Calibri;"><span style="font-size: small;"><strong><span style="text-decoration: underline;">LECTURES</span></strong>: </span></span></p><p><span style="font-family: Calibri;"><span style="font-size: small;"><img id="media-6138173" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://tramesnomades.hautetfort.com/media/00/00/3471247028.jpg" alt="andalousie,citations,espagne,jacques berque,jacques attali,federico garcia lorca,la confrérie des éveillés,el duende,tony gatlif,ignacio garate-martinez" />"<strong><span style="text-decoration: underline;">La Confrérie des Eveillés</span></strong>" </span><span style="font-size: small;">, de <span style="text-decoration: underline;">Jacques <strong>Attali</strong></span>, <em>Fayard</em> 2004, Livre de Poche 2006 (6,50 E.). (XIIème siècle, Cordoue, Averroès et Maïmonide, l’Andalousie, les pays des rives méditerranéennes, la pensée religieuse et philosophique, l’influence d’Aristote, l’Histoire…). ("<strong><span style="font-size: x-small;">Voici l'histoire de deux décennies fabuleuses qui mirent fin à la seule période de l'Histoire où la chrétienté, l'islam et le judaïsme vécurent en harmonie. En un seul moment - le XIè et le début du XIIè siècle -, en un seul lieu - l'Andalousie -, les trois monothéismes choisirent de se respecter, de s'admirer, de se nourrir les uns des autres. </span></strong> ")........ Le livre de Jacques Attali comporte une <span style="text-decoration: underline;">liste de références bibliographiques</span> précieuses. </span></span><span style="font-family: Calibri;"><span style="font-size: small;">Et lire "<strong><span style="text-decoration: underline;">Jeu et théorie du Duende</span></strong>", de <span style="text-decoration: underline;">Federico Garcia <strong>Lorca</strong></span>, éd. <em>Allia</em>, 2008 (3E.). Publication bilingue d'une conférence de Garcia Lorca, donnée en 1933 et 1934, sur ce "<strong><span style="font-size: x-small;">pouvoir mystérieux... qu'aucun philosophe n'explique</span></strong>", <span style="text-decoration: underline;">Goethe</span> cité par Lorca, ces "<strong><span style="font-size: x-small;">sonorités noires</span></strong>", <span style="text-decoration: underline;">Manuel Torres</span> cité aussi par Lorca. ("<strong><span style="font-size: x-small;">Dans toute l'Andalousie, roc de Jaén ou coquillage de Cadix, les gens parlent sans cesse du <em>duende</em> et le remarquent dès qu'il apparaît avec un instinct efficace</span></strong>.", dit <span style="text-decoration: underline;">Lorca</span> pour introduire sa réflexion sur le duende, dont il dit "...<strong><span style="font-size: x-small;">qu'il brûle le sang comme une pommade d'éclats de verre</span></strong>" et que "<strong><span style="font-size: x-small;">Les grands artistes du sud de l'Espagne (...) savent qu'aucune émotion n'est possible sans l'arrivée du </span></strong><em><strong><span style="font-size: x-small;">duende</span></strong>.</em> " ( Ce qui signifie tout autant celle de l'artiste que celle des auditeurs, spectateurs...).</span></span></p><div><span style="text-decoration: underline;"><strong>Le Duende (jouer sa vie)</strong></span> , LIVRE d'<span style="text-decoration: underline;">Ignacio Garate-Martinez</span> (psychanalyste), essai suivi de la conférence de <span style="text-decoration: underline;">Federico Garcia Lorca</span>. <span style="text-decoration: underline;">Encre marine</span>/Les belles lettres </div><div><a class="" href="https://www.lesbelleslettres.com/livre/2646-le-duende-jouer-sa-vie" target="_blank" rel="nofollow noopener"><span style="font-size: small;">https://www.lesbelleslettres.com/livre/2646-le-duende-jouer-sa-vie</span></a></div><p><span style="font-family: Calibri;"><span style="font-size: small;">...........................</span></span></p><p><span style="font-family: Calibri;"><span style="font-size: small;"><span style="text-decoration: underline;"><strong>LIVRE.</strong> Écrits de spécialistes</span> (mais lire au moins le paragraphe qui présente le livre sur la page indiquée...) : "<strong><span style="text-decoration: underline;">Histoire de l'Andalousie, mémoire et enjeux</span></strong>", co-édition <em>L'Archange Minotaure</em> / <em>L'Institut du Monde Arabe</em>, 2003... <a class="" href="https://www.decitre.fr/livres/histoire-de-l-andalousie-9782914453332.html" target="_blank" rel="nofollow noopener">https://www.decitre.fr/livres/histoire-de-l-andalou<span style="font-size: 10pt;">sie-9782914453332.html</span></a></span></span></p><p><span style="font-size: small;"><span style="font-family: Calibri;"><strong><span style="text-decoration: underline;">Andalousie, la RÉGION</span></strong> : </span></span><a href="http://www.juntadeandalucia.es/index.html"><span style="font-family: Calibri; font-size: small;">http://www.juntadeandalucia.es/index.html</span></a><span style="font-family: Calibri;"><span style="font-size: small;"> (La « junta », c’est-à-dire la région du sud espagnol, autonome, comme toutes les régions d’Espagne).</span></span></p><p><span style="font-family: Calibri;"><span style="font-size: small;"><strong><span style="text-decoration: underline;">Culture andalouse</span></strong>, d'après Le Routard : <a href="http://www.routard.com/guide/andalousie/875/culture.htm"><span style="font-family: Calibri; font-size: small;">http://www.routard.com/guide/andalousie/875/culture.htm</span></a></span></span></p><p><span style="font-size: xx-small;"><span style="font-family: Calibri;"><span style="font-size: small;"><strong><span style="text-decoration: underline;">HISTOIRE.</span></strong></span></span><span style="font-family: Calibri;"><span style="font-size: small;"> <strong><span style="text-decoration: underline;">L'Andalousie</span></strong> sur <span style="text-decoration: underline;">herodote.net</span> : </span></span></span><span style="font-size: xx-small;"><span style="font-family: Calibri;"><span style="text-decoration: underline;"><span style="font-size: small;">La chute de Grenade en 1492</span></span><span style="font-size: small;">...</span><a href="http://www.herodote.net/histoire/evenement.php?jour=14920102&get_all=1"><span style="font-size: small;">http://www.herodote.net/histoire/evenement.php?jour=14920102&get_all=1</span></a><span style="font-size: small;"> <span style="text-decoration: underline;">et ce qui précéda (Tolède, Cordoue, Grenade, 711-1492)</span>... </span><a href="http://www.herodote.net/histoire/synthese.php?ID=569"><span style="font-size: small;">http://www.herodote.net/histoire/synthese.php?ID=569</span></a><span style="font-size: small;"> </span></span></span></p><p><span style="font-family: Calibri; font-size: small;"> </span><strong><span style="font-family: Calibri; font-size: small;"><u>Tony Gatlif, cinéaste, filme un parcours qui traverse l'Andalousie (de la France à l'Algérie) </u></span></strong><span style="font-family: Calibri; font-size: small;">: </span><a style="font-family: Calibri; font-size: small;" href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Tony_Gatlif">http://fr.wikipedia.org/wiki/Tony_Gatlif</a><span style="font-family: Calibri; font-size: small;"> ..... <span style="text-decoration: underline;"><strong>FILM</strong>. </span></span><span style="text-decoration: underline;"><strong>Exils</strong></span><strong style="font-family: Calibri; font-size: small;">, </strong><span style="font-family: Calibri; font-size: small;">2004 (un jeune Pied-Noir algérien et une jeune Française d'origine algérienne partent ensemble vers l'Algérie). <span style="text-decoration: underline;">B</span></span><span style="text-decoration: underline;">ande-annonce </span><span style="font-family: Calibri; font-size: small;">: </span><a style="font-family: Calibri; font-size: small;" href="http://www.dailymotion.com/video/x97dwu_exils-bande-annonce-fr_shortfilms">http://www.dailymotion.com/video/x97dwu_exils-bande-annonce-fr_shortfilms</a><span style="font-family: Calibri; font-size: small;"> (France-Espagne-Algérie, la route vers l'origine, </span><strong style="font-family: Calibri; font-size: small;"><span style="text-decoration: underline;">en passant par l'Andalousie</span></strong><span style="font-family: Calibri; font-size: small;">) puis </span><a style="font-family: Calibri; font-size: small;" href="http://www.youtube.com/watch?v=0fniWXT3zFc&feature=related">http://www.youtube.com/watch?v=0fniWXT3zFc&feature=related</a><span style="font-family: Calibri; font-size: small;"> (exil, blessures, mémoire... résilience?) et (retour en arrière), flamenco.</span></p><p><span style="font-family: Times New Roman;"><span style="font-size: small;"><strong><span style="text-decoration: underline;">Billet d'humeur</span></strong> (et commentaires, dont un développé) sur le <strong><span style="text-decoration: underline;">blog</span></strong> d'Omar Tounsi, "rbati" (de Rabat), marocain passionné par Al Andalus. C'est une réaction à une émission de télévision arabe diffusant de fausses informations sur l'histoire des exilés andalous. Le blogueur développe son point de vue, en s'appuyant sur des faits, et même si certaines interprétations de ces faits peuvent être discutées il a raison de mettre des récits fictionnels (histoires officielles) en question : <a href="http://toons.canalblog.com/archives/2008/08/06/10150834.html"><span style="font-family: Calibri; font-size: small;">htttp://toons.canalblog.com/archives/2008/08/06/10150834.html</span></a><span style="mso-spacerun: yes;"><span style="font-family: Calibri; font-size: small;"> </span></span></span></span></p><p><span style="font-size: small;"><span style="font-family: Calibri;"><span style="text-decoration: underline;">Autres infos</span> : <span style="text-decoration: underline;">Association andalouse</span> <em>Alhambra</em>, créée en 1996 : </span></span><a href="http://www.alhambra-asso.com/"><span style="font-family: Calibri; font-size: small;">http://www.alhambra-asso.com/</span></a><span style="font-size: small;"><span style="font-family: Calibri;"> Promotion de la culture andalouse, et des cultures du bassin méditerranéen. Communauté andalouse hors frontières de l’Andalousie. Initiative du chanteur andalou Luis de la Carrasca.</span></span></p><p>…………………………………….........................................................................................................</p><p><span style="color: #ff00ff;"><strong>MISE à JOUR de cette note, le 6 février 2020</strong></span> (liens vérifiés...).</p><p>.<span style="font-size: 10pt;"><span style="font-family: Calibri;">..........</span></span></p><p><span style="font-size: 10pt;"><span style="font-family: Calibri;"><span style="color: #ff00ff;"><strong>VOIR AUSSI la note du 11-03-2011</strong></span> (<span style="text-decoration: underline;"><strong>MUSIQUE andalouse : </strong> textes, vidéos-concerts, et LIENS)</span>... (Mise à jour le 6 février 2020.) .. </span></span><a href="http://tramesnomades.hautetfort.com/archive/2011/03/11/andalousies-suite-voyage-d-une-melodie-terre-plurielle-aussi.html">http://tramesnomades.hautetfort.com/archive/2011/03/11/andalousies-suite-voyage-d-une-melodie-terre-plurielle-aussi.html</a> </p>
nauher
http://off-shore.hautetfort.com/about.html
4-À feu et à sang
tag:off-shore.hautetfort.com,2010-10-02:2924083
2010-10-02T09:04:00+02:00
2010-10-02T09:04:00+02:00
"À l'aveugle" est un ensemble de douze photographies de Georges a....
<p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;">"À l'aveugle" est un ensemble de douze photographies de Georges a. Bertrand, que celui-ci m'a envoyées sans la moindre indication. Il s'agit d'écrire pour chacune un texte dans ces conditions d'ignorance. Une fois achevé ce premier travail il me donnera les informations que je désire, et j'écrirai pour chacun de ces clichés un second texte : ce sera la série "À la lumière de..."</span></p><p> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-2673153" style="margin: 0.7em 0;" src="http://off-shore.hautetfort.com/media/02/02/3517358014.jpg" alt="n10.jpg" /></p><p> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: large;">Le désir, c'est l'ombre. Non pas l'ombre seule, car en sa continuité, elle n'aurait pas plus de prix que la pleine lumiè</span></span><span style="font-size: small;"><span style="font-size: large;">re. Mais l'ombre fureteuse, nappe de grâce intérieure (notre vie, nos pulsions) taillant sa route pour aller du nœud dans les cheveux aux yeux, des yeux à la dentelle. En plus, me dis-je, gitane, andalouse, qui sait... Babil méditerranéen, ardant notre compassion d'un <em>Canto</em> de Lorca. Et nous imaginons toujours, dans cette voix plus nue que l'épaule tremblante, une histoire déchirée, un mélodrame dont, en d'autres endroits, notre esprit se détournerait. Mais nous l'écoutons, religieux, quasi. Elle chante le désir, l'ombre du désir, mélange de chevelure en mouvement, floue, de guipure odorante et de pupille-feu.</span></span><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;"><br /></span></p>
VCI
http://lvci.hautetfort.com/about.html
Espagne : ”OPERATION PORCINE”, PREMIER ACTE DE RESISTANCE A SEVILLE
tag:lvci.hautetfort.com,2010-05-30:2766714
2010-05-30T11:47:00+02:00
2010-05-30T11:47:00+02:00
Source Le nouveau NH Baptisée « Opération...
<div class="posttext"> <div class="posttext-decorator1"> <div class="posttext-decorator2"> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Arial; font-size: 9pt;"><strong>Source <a target="_blank" href="http://www.national-hebdo.net/spip.php?article1351"><span style="background-color: #ff0000;"><span style="color: #ffffff;"><em>Le nouveau NH</em></span></span></a></strong></span></p> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"> </p> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Arial; font-size: 9pt;">Baptisée « Opération Porcine » (Voir vidéo) un groupe d’une quinzaine de citoyens opposés à la construction d’une mosquée sur un terrain du quartier Los Géronimos de Séville a eu l’idée d’y enterrer un cochon. La loi islamique ne permettant pas de construire une Mosquée sur un lieu « souillé », les musulmans de la ville qui s’étaient vu concédés ce terrain par la municipalité de la ville auraient pour l’instant renoncé à leur projet. Pour l’instant, car selon un professeur d’histoire de l’Islam à l’université de Séville, Anne Torres, ce simulacre d’enterrement d’un cochon de lait qui s’est déroulée le cinq avril dernier n’aurait qu’une portée symbolique. Quoiqu’il en soit du débat qui s’est ouvert sur cette question, des centaines d’affiches « Stop à l’islamisation » fleurissent depuis sur tous les murs du quartier avec l’approbation des riverains.</span></p> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"> </p> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Arial; font-size: 9pt;"><strong>Voir la vidéo : <a target="_blank" href="http://www.minutodigital.com/noticias/2010/04/05/entierran-un-cerdo-en-un-solar-cedido-para-la-construccion-de-una-mezquita-en-sevilla/"><span style="color: #ff0000;">cli</span><span style="color: #ff6600;">quez</span> <span style="color: #ff0000;">ici</span></a></strong></span></p> </div> </div> </div>
Nicolas Balu
http://facesdeblog.hautetfort.com/about.html
Les sévillans (II)
tag:facesdeblog.hautetfort.com,2009-06-12:2235668
2009-06-12T15:03:00+02:00
2009-06-12T15:03:00+02:00
C'est un travelo donc. On en était resté là. La suite du texte de...
<p><b>C'est un travelo donc. On en était resté là. La suite du texte de</b> <a href="http://www.micheldelcastillo.com" title="Michel Del Castillo"><b>Michel del Castillo</b></a> <b>tiré de <span style="text-decoration: underline;">Nos Andalousies...</span></b></p> <p><img src="http://facesdeblog.hautetfort.com/media/01/02/871041750.jpg" alt="Séville 122.jpg" id="media-1815969" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" /><i>Immense, carré d'épaule, des pieds de footballeurs, une perruque rousse au dessus d'un visage chevalin outrageusement fardé, formant un plateau où tiendraient dix couverts, vêtu d'une robe d'été à pois rouges décolletée et brandissant au bout d'un bras musclé un sac blanc, que sa main de forgeron tient comme une massue. Son oeil noir, cerné de kohl, étincelle de fureur.</i></p> <p><i>"Ose prétendre qu'elle ne l'est pas, IMPERATRICE !, menace-t-il, d'une voix de baryton verdien. Ose donc !"</i></p> <p><i>Bien entendu, notre interlocuteur n'osera pas. Qui, du reste, oserait défier cette Gorgone en fureur ? Le spectacle qu'offre cette créature surréelle est si extravagant, les motifs de sa colère si saugrenus, que je l'observe avec stupéfaction, m'efforçant de contenir le rire qui me secoue. Il saute aux yeux qu'il vient de quitter le tapin pour applaudir "sa" Vierge, "son" Impératrice, dès que le paso aura tourné le coin de la rue, il retournera sur les quais pour pratiquer son métier. Les propos de notre voisin n'avaient rien d'offensant pour la Macarena, ni pour sa couronne, ils ne contenaient aucune intention maligne. Simplement, ils n'étaient pas assez laudatifs et notre Gorgone les trouvait, du coup, presque injurieux. D'où sa fureur, ses menaces ubuesques.</i></p> <div style="text-align: center"> <div style="text-align: center"> <div style="text-align: center"><img src="http://facesdeblog.hautetfort.com/media/01/00/2071928830.jpg" alt="Séville 235.jpg" id="media-1815962" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" /></div> </div> </div> <p><i>D'où vient que ce monstre, au sens étymologique du terme, me paraisse incarner la démesure andalouse, son comique involontaire, son caractère kitch ? C'est qu'il suffit de se promener au hasard des rues pour apercevoir partout ces notes discordantes, ces dissonances, plus évidentes encore depuis la disparition de Franco et l'instauration de la démocratie. Ce vieillard accroupi en plein centre de la ville, ses revues, ses journaux, étalés autour de lui ou accrochés à des fils, a-t-il fait exprès d'afficher, côte à côte, les images pieuses -Sacré-Coeur d'un rouge saignant, Vierges larmoyantes, saintes extatiques - et les albums pornographiques qu'il propose à la vente ? Ce voisinage hilarant ne choque apparemment personne. "C'est la démocratie" répondraient fièrement les passants, si on les interrogeait.</i></p> <p>(A noter que ce texte a été publié en 1985)<img src="http://facesdeblog.hautetfort.com/media/00/01/1139821328.jpg" alt="sevilla enfant de choeur.jpg" id="media-1812272" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" /></p> <div style="text-align: center"> <div style="text-align: center"></div> </div> <div style="text-align: center;"></div> <div style="text-align: center;"> <div style="text-align: center"> <div style="text-align: center"><img src="http://facesdeblog.hautetfort.com/media/00/02/1589457909.jpg" alt="Séville 201ter.jpg" id="media-1815971" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" /></div> </div> </div> <div style="text-align: center;"> <div style="text-align: center"></div> <div style="text-align: center"> <div style="text-align: center"></div> </div> </div>
Ithur Burua
http://ithurburua.hautetfort.com/about.html
BLOG EN PAUSE
tag:ithurburua.hautetfort.com,2008-09-24:1808914
2008-09-24T03:56:00+02:00
2008-09-24T03:56:00+02:00
Ce blog est en pause 10 jours environ je vais là en ANDALOUSIE...
<p><strong><span style="color: #ff0000;">Ce blog est en pause 10 jours environ je vais là en ANDALOUSIE</span></strong></p> <p><strong><span style="color: #ff0000;">Nous nous essayons au camping-car</span></strong></p> <p><strong><span style="color: #ff0000;">Mais j'espère vous retrouver pour continuer le voyage</span></strong></p> <p><strong><span style="color: #ff0000;">Passez quand même si vous voulez y faire un petit tour le <span style="text-decoration: underline;">8 Octobre</span></span></strong></p> <p><strong><span style="color: #ff0000;">quelqu'un sera content</span></strong></p> <p><strong><span style="color: #ff0000;">A bientôt mamita !!!!!!!!!!</span></strong></p> <p><strong><span style="color: #ff0000;"><a href="http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/1/1e/PatioDeLosLeones.jpg"><img border="0" width="500" src="http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/1/1e/PatioDeLosLeones.jpg" alt="Image:PatioDeLosLeones.jpg" height="329" /></a></span></strong></p>
J.-P. Chauvin
http://jean-philippechauvin.hautetfort.com/about.html
Retour d'Andalousie.
tag:jean-philippechauvin.hautetfort.com,2008-02-27:1486845
2008-02-27T12:49:54+01:00
2008-02-27T12:49:54+01:00
Me voici revenu d’Andalousie après un séjour de quelques jours en cette...
<span style="font-size: 10pt; font-family: Verdana">Me voici revenu d’Andalousie après un séjour de quelques jours en cette <b>Al-Andalous</b> aux richesses culturelles multiples, de la <b>Mezquita</b> de Cordoue à l’<b>Alhambra</b> de Grenade, perché sur les hauteurs. Un voyage scolaire formidable avec des collègues motivés qui l’avaient préparé avec soin et passion, et des élèves curieux et, souvent, émerveillés par tant de beautés et d’Histoire concentrés en quelques lieux magiques : il y aura aussi un « après » par l’organisation d’une soirée autour de ce voyage, la présentation des photos et des récits qu’en auront faits les élèves eux-mêmes.</span> <p><span style="font-size: 10pt; font-family: Verdana"> </span></p> <span style="font-size: 10pt; font-family: Verdana">Ce qui m’a frappé dans les différents lieux visités dont je faisais la présentation historique et religieuse, c’est la succession de peuples, de cultures, voire de civilisations, différents qui, en définitive (mais l’Histoire ne s’arrête pas là…), ont fait de l’Andalousie ce qu’elle est, une sorte de <b>superposition</b> de formes et de styles et de « <b>conservatoire</b> » des traditions anciennes toujours actualisé, remis en cause ou conforté en certains de ses caractères selon les idées ou les enjeux du moment, par les « vainqueurs », Wisigoths, Maures ou Chrétiens de la Reconquista : ainsi, les mosquées ne sont pas détruites mais « christianisées », parfois fort maladroitement et peu esthétiquement (comme le reconnaît Charles Quint après la construction de la cathédrale au cœur de la Mezquita de Cordoue), mais il en reste la structure principale, comme si chaque religion ou civilisation qui succédait à la précédente s’en voulait, non l’héritière religieuse mais bien plutôt « <b>l’aboutissement</b> », l’achèvement de la grande quête spirituelle et civilisationnelle qui est aussi celle de la communauté nouvellement dépositaire du lieu… Cela ne s’est pas toujours fait de manière pacifique et la tolérance envers ceux qui pensent (ou prient) différemment n’a souvent été qu’un apaisement passager, « contractuel » mais toujours susceptible d’être remis en cause : l’histoire de la péninsule ibérique au Moyen-Âge n’est pas de tout repos…</span> <p><span style="font-size: 10pt; font-family: Verdana"> </span></p> <span style="font-size: 10pt; font-family: Verdana">Après les soubresauts d’un XXe siècle cruel pour l’Espagne et la « <b>révolution tranquille</b> » de la Monarchie espagnole incarnée depuis les années soixante par celui qui fut l’héritier du « <b>caudillo</b> » Franco puis « <b>le roi</b> », au sens le plus noble du terme, <b>Juan Carlos 1<sup>er</sup></b>, il faut souhaiter que l’Histoire, sans s’arrêter pour autant (l’immobilisme n’est qu’une soumission au présent et la perte de maîtrise de son propre destin, de sa liberté), ne se rejoue pas sur le mode de la tragédie. Or l’Espagne, riche de son histoire, en est aussi parfois prisonnière quand la Mémoire devient un simple enjeu idéologique (et juridique…) et que les communautés se font communautarismes ou identitarismes, au risque de détricoter un ensemble national en oubliant que « <b>toute vraie tradition est critique </b>» selon l’heureuse formule de Maurras. Le fait que la famille royale soit, aujourd’hui, attaquée de la façon la plus vile par quelques séparatistes et grands hommes d’affaires dans une sorte d’alliance paradoxale (mais, somme toute, assez logique), peut inquiéter : vouloir détruire l’institution qui est le « <b>trait d’union</b> » par excellence entre les diversités espagnoles, c’est préparer l’éclatement d’un pays au plus grand bénéfice de quelques intérêts particuliers et au détriment de <b>l’équilibre politique nécessaire à toute vie « démocratique »</b>, au sens que lui donne La Tour du Pin lorsqu’il évoque la « <b>démocratie locale</b> ». La vieille antienne monarchique « <b>Sub rege, rei publicae </b>» (Sous le roi, les libertés publiques) est d’ailleurs tout aussi valable pour notre voisin ibérique que pour notre propre nation…</span> <p><span style="font-size: 10pt; font-family: Verdana"> </span></p> <p><span style="font-size: 10pt; font-family: Verdana"> </span></p>