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Christian COTTET-EMARD
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Une nouvelle pour l'été
tag:cottetemard.hautetfort.com,2020-07-18:6252443
2020-07-18T19:09:00+02:00
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La Rolls verte Antoine se p erdait souvent dans la...
<p class="p1" style="text-align: center;"><span style="font-size: 12pt;"><em><strong>La Rolls verte</strong></em></span></p><p class="p1" style="text-align: center;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-5943416" title="" src="http://cottetemard.hautetfort.com/media/00/00/3716306591.jpg" alt="mariage d'automne,christian cottet-emard,nouvelles,éditions germes de barbarie,le fleix,dordogne,aquitaine,périgord,oyonnax,librairie mille feuilles,ain,rhône-alpes auvergne,france,haut bugey,la rolls verte,©éditions germes de barbarie,droits réservés,copyright,blog littéraire de christian cottet-emard,rolls corniche,médiathèque municipale oyonnax,centre culturel aragon oyonnax,littérature,fiction" /></span></p><p class="p1" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Antoine se p</span><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">erdait souvent dans la contemplation d’une tache contre le mur de son bureau, la trace d’une grosse araignée qu’il avait écrasée quelques années auparavant et qui était restée là, tel le morne trophée d’une demi-décennie d’assemblées générales et de collisions au carrefour. Le jour où la Rolls verte se gara devant l’agence du quotidien local où Antoine végétait dans un emploi de rédacteur photographe, un rayon de soleil estival éclairait crûment la tache. La secrétaire indiqua le bureau d’Antoine à un jeune couple puis se déplaça en direction de la vitrine pour admirer la Rolls verte au volant de laquelle patientait un chauffeur. Sans chauffeur, une Rolls n’est pas tout à fait une Rolls, pensa Antoine à ce moment-là. Le jeune couple qui avait trouvé porte close à l’Office de tourisme voisin de l’agence cherchait à rejoindre une direction qu’il était impossible d’indiquer clairement en raison du plan de circulation complexe récemment inauguré. Pendant qu’Antoine réfléchissait au moyen de renseigner les visiteurs, ils se chamaillèrent un peu à propos de l’heure à laquelle ils devaient se présenter là où ils étaient attendus. Antoine apprit ainsi qu’ils s’appelaient Ricardo et Rozana. Ricardo était un jeune homme brun au teint mat et Rozana une jolie rousse aux yeux verts. Sa beauté espiègle fut sans doute pour quelque chose dans la décisiond’Antoine de les accompagner pour les emmener sur la bonne route. Au volant de son Ami 6 exténuée, Antoine avait du mal à quitter des yeux le rétroviseur qui encadrait l’image de la Rolls verte glissant dans les rues désertes du centre ville. À l’embranchement, Antoine fit demi-tour et indiqua d’un geste la nouvelle direction. Ricardo et Rozana le remercièrent par de grands signes de la main. De retour à l’agence, songeur, Antoine passa le reste de l’après-midi à bavarder avec la secrétaire sur le thème de la Rolls verte. Antoine n’y entendait rien en voitures mais un pigiste qui collectait des résultats sportifs assura qu’il s’agissait d’une Rolls Corniche, probablement un modèle datant de 1971.</span></p><p class="p1" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Le dimanche suivant, son dernier jour de travail avant les vacances, Antoine se leva d’un peu moins mauvaise humeur que d’habitude parce qu’il couvrait un concert du festival classique qui se tenait à l’abbatiale. Dans la foule des estivants, des touristes de passage et des abonnés au festival, quelques femmes portaient des chapeaux. Fidèle à son habitude, Antoine se posta à l’abri des regards dans une des chapelles, ce qui lui donnait non seulement une vue sur le public et sur la scène mais encore l’avantage d’une excellente acoustique. Pour prendre des photos sans déranger les artistes, Antoine utilisait un vieil appareil à téléobjectif réglé de manière à se passer de flash. Il plaisait à Antoine de reconvertir ainsi cette antiquité qui avait servi à couvrir de stupides matches de foot dans la région lyonnaise. C’est en orientant le téléobjectif vers un chapeau rose au milieu du public qu’Antoine vit apparaître Ricardo et Rozana dans le cadre. Rozana portait une petite robe rouge qui dévoilait ses épaules graciles et sa peau blanche piquetée de lentilles. Ricardo lui parla à l’oreille et Antoine appuya sur le déclencheur. Le chapeau rose coiffait une vieille dame au maintient rigide qui discutait avec Ricardo et Rozana en s’éventant avec le programme du concert. À l’entracte, Ricardo et Rozana trouvèrent Antoine sur le parvis de l’abbatiale, l’invitèrent à prendre un verre dans la semaine et le présentèrent à la vieille dame qui répondit à peine à son salut. Antoine détourna vite les yeux de son regard froid dans lequel il lui semblait lire une vague réprobation.</span></p><p class="p1" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Antoine sonna à la porte de la maison de maître où séjournaient Ricardo et Rozana jusqu’à la fin de l’été. Il fut accueilli avec chaleur par le jeune couple et éprouva un vif soulagement lorsque Ricardo l’informa du récent départ de la vieille dame à destination de Turin où elle avait sa résidence principale.</span></p><p class="p1" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">«Tante Martha à dû rentrer plus tôt que prévu. Allons fêter ça autour d’un verre.</span></p><p class="p1" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">— Tu exagères, Ricardo » , dit Rozana en riant.</span></p><p class="p1" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Maintenant, Antoine ne regrettait plus d’avoir accepté l’invitation du jeune couple à la sortie du concert. Il avait hésité, notamment lorsque Ricardo et Rozana lui avaient indiqué l’adresse de cette demeure de la fin du dix-neuvième siècle dont il avait parfois longé le parc en voiture lors de ses pérégrinations professionnelles. Pendant plusieurs jours, Antoine se vit franchir le portail au volant de son Ami 6 pourrie qu’il serait peut-être contraint de garer à côté de la Rolls verte. Fallait-il prévoir des fleurs pour la vieille dame? Le plus simple était d’oublier cette invitation mais cela n’était guère correct vis-à-vis de Ricardo et Rozana. Finalement, Antoine gara son Ami 6 à côté de la Rolls verte et gravit l’escalier de la terrasse en espérant se débarrasser au plus vite de son bouquet.</span></p><p class="p1" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">« Comme c’est gentil » dit Rozana. Elle l’embrassa sur les deux joues et disposa les fleurs dans un vase qui se trouvait déjà au milieu d’un guéridon abrité par un parasol. Ricardo apporta du Champagne. « On a de la chance, tante Martha adore le Champagne » plaisanta Ricardo en remplissant les flûtes. Lorsqu’Antoine prit congé, Ricardo lui serra la main et s’excusa de devoir aller répondre au téléphone. Rozana accompagna Antoine jusqu’à la voiture. Elle s’appuya contre la portière pour faire obstacle. « À demain, dit-elle » et elle ne libéra le passage que lorsque Antoine répondit : « eh bien oui, à demain. » À l’embranchement, Antoine manqua la direction de la nationale et rentra par la petite route à flanc de montagne. Le soleil couchant éclairait les pins noirs d’Autriche et les sapins. Dans le grand virage, le miroitement du lac se dévoila un instant avant de laisser la place aux futaies d’épicéas qui étiraient leurs ombres sur le goudron. Le lendemain en début d’après-midi, Antoine acheta des mignardises et reprit la petite route. Tout en bas, le lac était bleu comme la mer et pas un nuage ne troublait le ciel. Ricardo vint tout de suite à la rencontre d’Antoine et lui serra chaleureusement la main. « Nous avons cru que tu avais eu un empêchement, dit Rozana, mais je vois que tu as apporté de quoi te faire pardonner. » Elle ouvrit tout de suite la boîte de mignardises et en picora plusieurs pendant que Ricardo apportait le thé. Antoine ne buvait jamais de thé. « Je parie qu’Antoine préfère le café » dit Rozana. Antoine protesta. « Inutile, dit Ricardo, Rozana lit dans les pensées. Je vais te faire un café. » Antoine tenta de le dissuader mais Rozana lui fit les gros yeux. « Il est trop tard aujourd’hui, mais demain, nous irons faire un tour en voiture, nous préparerons un pique-nique, dit Rozana. Antoine, pouvons-nous compter sur toi vers dix heures ? Après, il y a le deuxième concert du festival à 17h, tu n’as pas oublié Ricardo ? »</span></p><p class="p1" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Une fois rentré, malgré l’heure tardive, Antoine passa l’aspirateur dans la voiture en prévision du pique-nique mais en pure perte car Ricardo et Rozana avaient décidé de profiter des congés du chauffeur pour prendre la Rolls. Ricardo conduisait en souplesse en suivant la direction indiquée par Antoine. Parfois, des gens s’arrêtaient au passage de la Rolls verte et la suivaient du regard jusqu’à ce qu’elle disparaisse de leur champ de vision. Après une montée assez raide à flanc de montagne au-dessus du lac, la Rolls traversa des vallonnements puis des prairies avant une série de virages en lisière de la forêt d’épicéas dont chaque aiguille brillait sous le soleil. Antoine indiqua un belvédère ombragé qui laissait suffisamment de place à Ricardo pour garer la voiture. Ce point de vue révélait le vert émeraude d’un autre lac beaucoup plus petit incrusté dans l’immensité du massif forestier. Antoine expliqua qu’il suffisait de descendre par la route forestière pour accéder à ce site classé particulièrement prisé par les estivants amateurs de baignade. L’idée enthousiasma Rozana mais Antoine recommanda de réserver cette excursion à un autre jour car l’arrivée de la Rolls risquait de provoquer un attroupement. Deux jours après, la vieille Ami 6 d’Antoine les conduisit au bord du petit lac. Ricardo et Rozana se baignèrent tout l’après-midi. Antoine les regarda effectuer plusieurs traversées sans parvenir à leur expliquer sa répulsion à se baigner dans les lacs ou les rivières. Assis sur le plaid où ils avaient déposé leurs vêtements, Antoine admirait leur manière de nager et de marcher, leur élégance naturelle lorsqu’ils revenaient vers lui pour se sécher au soleil avant de retourner dans l’eau.</span></p><p class="p1" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Depuis le début de ses vacances, Antoine passait ses journées en compagnie de Ricardo et Rozana. Pendant cet été exceptionnellement lumineux pour la région, il en perdait presque la notion du temps, surtout les jours de baignade qui obéissaient toujours aux mêmes insouciants rituels. Le soir, ils dînaient sur la terrasse où montaient les parfums des buis et des massifs de roses anciennes. Parfois, l’humeur de Ricardo et Rozana s’assombrissait subitement et une étrange mélancolie voilait ces instants heureux mais le malaise se dissipait aussi vite qu’il avait surgi. Lorsqu’Antoine rentrait chez lui, il ouvrait les fenêtres de son appartement et restait un long moment immobile dans la brève et tiède nuit d’été à peine troublée par de lointaines notes de musique. Le jour du concert de clôture du festival, une heure avant de partir, Ricardo se plaignit d’une migraine et préféra s’allonger dans l’obscurité. Pour couper court aux hésitations d’Antoine et Rozana, il dit sèchement : « Vous n’allez pas renoncer au concert parce que j’ai mal à la tête. » La fin du séjour de Ricardo et Rozana dans la maison de leur tante approchait. « Le chauffeur nous conduit à Genève où nous devons voir de la famille puis nous rentrons à Turin » soupira Rozana. Antoine trouva une place près du parvis de l’abbatiale et gara sa voiture. Il faisait très chaud sur le parvis et frais à l’intérieur. Dès le début des <a href="https://www.youtube.com/watch?v=JlOU5St8Xc4"><em>Marines</em> d’Edward Elgar</a>, Rozana se couvrit avec la veste qu’ Antoine tenait posée sur les genoux. Il regretta de ne pas avoir pensé à faire ce geste lui-même et ajusta plus confortablement la veste sur les épaules nues de Rozana. Elle tourna la tête et lui sourit longuement, comme si elle n’écoutait plus la musique. À la fin du troisième tableau, <em><a href="https://www.youtube.com/watch?v=hlmMXN26sww">Sabbath Morning at Sea</a></em>, Rozana saisit le poignet d’Antoine et le tint serré jusqu’à la fin du morceau. Dans la voiture, sur le chemin du retour, ils restèrent silencieux jusqu’au portail de la maison. Antoine arrêta le moteur. « On ne peut pas faire ça à Ricardo » dit-il. Rozana entoura le visage d’ Antoine de ses deux mains, le regarda fixement et murmura : « sauve-moi, sauve-nous. »</span></p><p class="p1" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Le lendemain, Antoine resta chez lui. Il tentait une fois de plus de réfléchir, de décrypter les paroles de Rozana lorsque Ricardo lui téléphona en fin d’après-midi. Sa voix était lointaine, monocorde comme détachée : « nous t’attendions aujourd’hui. Tu sais que nous partons bientôt. Rozana est triste de ne pas t’avoir vu. » Antoine passa les jours suivants sans répondre au téléphone. Lorsqu’il se décida, il entendit la voix de la secrétaire qui lui communiquait les dates de ses prochains congés hebdomadaires. Il avait oublié que ses vacances étaient presque terminées. Le vendredi, Rozana l’appela et lui apprit que Ricardo avait pris un avion pour rentrer directement à Turin. « Vous vous êtes disputés ? » s’inquiéta Antoine.</span></p><p class="p1" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">— Non, nous ne nous sommes pas disputés. S’il te plaît Antoine, ne dis rien et écoute-moi. Dimanche, je t’enverrai la voiture. Le chauffeur s’arrêtera en bas de chez toi à midi et t’attendra une demi-heure. Antoine, nous pourrions partir ensemble. Ce serait bien, vraiment bien. À dimanche, Antoine. Toute la journée de samedi, Antoine essaya sans succès de joindre Rozana par téléphone. Dimanche, après une nuit sans sommeil, il s’assit devant la fenêtre. Sa valise était bouclée depuis la veille. La Rolls verte s’arrêta à midi dans la rue déserte. Il avait encore la main sur la poignée de sa valise lorsqu’il suivit des yeux la voiture qui s’éloigna une demi-heure après.</span></p><p class="p1" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Antoine reprit le travail dans son agence qu’il trouvait plus sordide que jamais et passa la première partie de l’automne dans l’accablement. Parfois, sa vieille Ami 6 le menait devant le portail cadenassé de la maison de maître. Peu avant la Toussaint, il s’arrêta le cœur battant devant le portillon ouvert. Le cadenas avait disparu. Il sortit de la voiture, longea l’allée de buis qui menait à la terrasse et sonna. Pendant qu’il scrutait le parc sous le ciel bas, il entendit la porte s’ouvrir. La tante de Ricardo et Rozana lui envoya le même regard qu’elle lui avait réservé la première fois sur le parvis de l’abbatiale. « Je vous attendais, j’étais certaine que vous viendriez un jour, vous ou un autre, mais c’est inutile, vous devez rentrer chez vous. Vous savez, Ricardo et Rozana mènent leur vie et vous menez la vôtre. Vous ne devez pas vous interposer. Ils ont un rang à tenir. Vous ne pouvez pas comprendre, les personnes comme vous ne peuvent pas comprendre. » Antoine descendit l’escalier de la terrasse. Son pas crissa sur le gravier de l’allée. Il avait déjà franchi le portail lorsqu’une voix l’appela. Il reconnut le chauffeur de la Rolls verte qui le saluait. Antoine demanda : « comment vont Ricardo et Rozana ? » Le chauffeur s’approcha et Antoine posa la question qui lui brûlait les lèvres : « sont-ils toujours ensemble ? » Le chauffeur semblait hésitant. « Ensemble, je veux dire fiancés » insista Antoine. Le chauffeur marqua un long silence et regarda Antoine dans les yeux. Il hésita encore à parler puis se décida : « Je ne vous ai rien dit mais je pense qu’il n’est peut-être pas trop tard pour que vous sachiez que Monsieur Ricardo et Mademoiselle Rozana ne peuvent et ne doivent être fiancés puisqu’ils sont frère et sœur. »</span></p><p class="p1" style="text-align: justify;"> </p><p class="p1" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><em><img id="media-5943417" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" title="" src="http://cottetemard.hautetfort.com/media/01/02/4216383790.jpg" alt="mariage d'automne,christian cottet-emard,nouvelles,éditions germes de barbarie,le fleix,dordogne,aquitaine,périgord,oyonnax,librairie mille feuilles,ain,rhône-alpes auvergne,france,haut bugey,la rolls verte,©éditions germes de barbarie,droits réservés,copyright,blog littéraire de christian cottet-emard,rolls corniche,médiathèque municipale oyonnax,centre culturel aragon oyonnax,littérature,fiction" /></em><em>Nouvelle extraite de mon recueil </em><em><a href="https://germesdebarbarie.blogspot.com/2017/12/mariage-dautomne-un-recueil-de.html">Mariage d'automne, éditions germes de barbarie</a>, 2017. Tous droits réservés © éditions Germes de barbarie 2017.</em></span></p><p class="p1" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><em>Pour Oyonnax et sa région, ce livre est disponible en prêt à la médiathèque municipale d'Oyonnax au centre culturel Aragon.</em></span></p><p class="p1" style="text-align: justify;"><strong><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><em>Une lecture de Mariage d'automne par <a href="http://dpobel.over-blog.com/2017/07/cote-court-cottet-jardin.html">Didier Pobel</a> :</em></span></strong></p><p class="p1" style="text-align: justify;"><em><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">S'il fallait définir - quelle idée, on vous l'accorde! - les nouvelles de Christian Cottet-Emard, ce serait, disons, des traces. Traces de temps, traces d'amour, traces de vie. Quelque chose comme ces "grands rectangles clairs" laissés par les tableaux retirés d'un mur évoqués dans le sixième texte. L'intrigue a toujours la minceur d'un fil. Un barbecue noyé par l'orage sous lequel clapote "la ruine de nos existences". Les noces d'une amie où un invité chômeur, "pas à sa place", doute de son cadeau. Les manigances d'un étrange couple en Rolls verte. Les retrouvailles entre un vieil écrivain et une femme dont elle fut jadis brièvement l'amante...</span></em></p><p class="p1" style="text-align: justify;"><em><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"> Les protagonistes existent à peine. L'un d'eux s'adonne à la simple "observation de l'air", un autre se réconforte à la vue d'un forsythia au bord d'une voie ferrée. Il
Christian COTTET-EMARD
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Le resto qu'il faut (cela vaut aussi pour la Saint-Valentin).
tag:cottetemard.hautetfort.com,2020-02-14:6212651
2020-02-14T11:46:00+01:00
2020-02-14T11:46:00+01:00
La matinée se terminait lorsque la porte de la chambre s’ouvrit...
<p style="text-align: left;"><img id="media-6090697" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://cottetemard.hautetfort.com/media/00/02/1663372334.jpg" alt="blog littéraire de christian cottet-emard,saint-valentin,amoureux,fête des amoureux,mariage d'automne,christian cottet-emard,éditions germes de barbarie,le fleix,périgord,aquitaine,bien le bonjour de l'adjudant kaiser,fiction,restaurant,choix du restaurant,resto,patates,pommes de terre,frites,rose,rosier sir edward elgar" /><img id="media-6090698" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://cottetemard.hautetfort.com/media/00/02/195687091.jpg" alt="blog littéraire de christian cottet-emard,saint-valentin,amoureux,fête des amoureux,mariage d'automne,christian cottet-emard,éditions germes de barbarie,le fleix,périgord,aquitaine,bien le bonjour de l'adjudant kaiser,fiction,restaurant,choix du restaurant,resto,patates,pommes de terre,frites,rose,rosier sir edward elgar" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-size: 12pt;"><span style="font-family: TimesNewRomanPSMT, serif;">La matinée se terminait lorsque la porte de la chambre s’ouvrit brusquement. Un jeune gars au physique de taurillon traversa la pièce en boitillant et jeta son sac sur le lit le plus proche de la fenêtre. Il s’assit, inspecta nerveusement les lieux et demanda avec un fort accent méridional : </span></span><span style="color: #000000; font-size: 12pt;"><span style="font-family: TimesNewRomanPSMT, serif;">« tu crois qu’on aura des frites à midi ? » </span></span></p><p align="JUSTIFY"><span style="color: #000000; font-size: 12pt;"><span style="font-family: TimesNewRomanPSMT, serif;">Louis répondit d’un haussement d’épaules. Dès lors, le type ne s’arrêta plus de parler, rendant toute lecture impossible. Il raconta qu’il était de Marseille, qu’il avait subi un claquage en crapahutant et qu’il allait être réformé lors de la commission suivant celle de vendredi. « Quand je serai sorti, j’emmènerai ma copine au resto. Et pour Noël aussi. » Pour ne pas avoir à répondre à son bavardage, Louis se laissa gagner par le sommeil. Lorsqu’il se réveilla, le gars le toisa avec perplexité. </span></span></p><p align="JUSTIFY"><span style="color: #000000; font-size: 12pt;"><span style="font-family: TimesNewRomanPSMT, serif;">« Toi, quand tu pionces, tu fais pas semblant. J’ai essayé de te réveiller pour la bouffe mais pas moyen. Alors tant pis, j’y suis allé car ici, vaut mieux pas être le dernier à se servir. En plus, on a eu des frites. Dis-donc, je voulais te demander, quel genre de resto tu conseilles pour sortir une nana ? » </span></span></p><p align="JUSTIFY"><span style="color: #000000; font-size: 12pt;"><span style="font-family: TimesNewRomanPSMT, serif;">Louis hésita à répondre. L’amateur de frites semblait sympathique mais il se méfiait de l’infirmier qui avait les yeux partout. Après l’allusion menaçante à la commission de réforme, il se tenait d’autant plus sur ses gardes mais il se décida. </span></span></p><p align="JUSTIFY"><span style="color: #000000; font-size: 12pt;"><span style="font-family: TimesNewRomanPSMT, serif;">« Ta copine, il faut lui payer un restaurant où tu puisses te sentir à l’aise. Pas un truc trop guindé où tu passerais plus de temps à surveiller tes couverts qu’à lui faire la conversation. » Le type hocha la tête. « Tu veux dire un resto pas trop snob ?</span></span></p><p align="JUSTIFY"><span style="color: #000000; font-size: 12pt;">— <span style="font-family: TimesNewRomanPSMT, serif;">Oui, c’est ça, pas trop guindé, mais pas un routier quand même. Pour une fois, tu te passeras de frites. »</span></span></p><p align="JUSTIFY"><span style="color: #000000; font-size: 12pt;"><span style="font-family: TimesNewRomanPSMT, serif;">Au lieu de réagir à la plaisanterie, l’autre sembla noter scrupuleusement le conseil. « Sûr, t’as raison, surtout pour Noël, ajouta-t-il sur un ton des plus sérieux. »</span></span></p><p align="JUSTIFY"><strong><span style="color: #000000; font-size: 10pt;"><span style="font-family: TimesNewRomanPSMT, serif;">Extrait de <em>Bien le bonjour de l'adjudant Kaiser</em>, nouvelle tirée de mon recueil <em>Mariage d'automne</em>, © <a href="https://germesdebarbarie.blogspot.com/2017/12/mariage-dautomne-un-recueil-de.html">éditions Germes de barbarie</a>.</span></span></strong></p><p align="JUSTIFY"><strong><span style="color: #000000; font-size: 10pt;"><span style="font-family: TimesNewRomanPSMT, serif;">La photo de la rose est un détail de la rose <a href="https://www.youtube.com/watch?v=I7bi_VFQUk0">Sir Eward Elgar.</a></span></span></strong></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 10pt;">(Musique du lien, <em>Salut d'amour</em> de <a href="https://www.google.com/search?q=sir+edward+elgar&rlz=1C5CHFA_enFR755FR755&source=lnms&tbm=isch&sa=X&ved=2ahUKEwi339bb79DnAhUBcBQKHdWkBmUQ_AUoAXoECBEQAw&biw=1256&bih=629">Sir Edward Elgar</a>)</span></p><p align="JUSTIFY"> </p><p><a title="WebAnalytics" href="http://www.xiti.com/xiti.asp?s=563914" target="_top"><script type="text/javascript"><!--Xt_param = 's=563914&p=page_ du_ jour';try {Xt_r = top.document.referrer;}catch(e) {Xt_r = document.referrer; }Xt_h = new Date();Xt_i = '<img width="39" height="25" border="0" alt="" ';Xt_i += 'src="http://logv4.xiti.com/hit.xiti?'+Xt_param;Xt_i += '&hl='+Xt_h.getHours()+'x'+Xt_h.getMinutes()+'x'+Xt_h.getSeconds();if(parseFloat(navigator.appVersion)>=4){Xt_s=screen;Xt_i+='&r='+Xt_s.width+'x'+Xt_s.height+'x'+Xt_s.pixelDepth+'x'+Xt_s.colorDepth;}document.write(Xt_i+'&ref='+Xt_r.replace(/[<>"]/g, '').replace(/&/g, '$')+'" title="Internet Audience">');//--></script><noscript>Mesure d'audience ROI statistique webanalytics par <img width="39" height="25" src="http://logv4.xiti.com/hit.xiti?s=563914&p=page_du_jour" alt="WebAnalytics" /></noscript></a></p>
Elisabeth
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Pascal, Jean Louis, Didier, Lionel, Serge et les autres.
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2019-09-15T17:11:00+02:00
2019-09-15T17:11:00+02:00
Mon premier amoureux s'appelait Pascal. J'étais dans sa classe, à l'école...
<p>Mon premier amoureux s'appelait Pascal. J'étais dans sa classe, à l'école maternelle qui était mixte. Il était blond et avait un visage d'ange, c'était mon avis. Un jour, en rentrant de l'école, pour exprimer mon amour pour ce petit garçon, je dis à ma mère : "je voudrais un petit frère qui s'appelle Pascal M....". Ma mère m'a écoutée sans comprendre vraiment, elle a souri et n'a pas relevé.</p><p>Mon deuxième amoureux s'appelait Jean Louis, fils de fermier. Je ne le voyais qu'à la sortie de la messe le dimanche, j'avais 11 ans et lui aussi, l'école des garçons était séparée de l'école des filles à l'époque. Il n'était pas amoureux de moi, il n'avait aucun regard pour moi, je le trouvais juste très beau. </p><p>Mon troisième amoureux s'appelait Didier, nous étions ensemble dans la même classe au lycée. J'avais tellement peur de lui avouer que je n'ai jamais pu lui en parler. Nous avions tous les deux 16 ans. Il a attendu le dernier jour de classe, au mois de juin, pour m'écrire (au dos de la photo de classe) qu'il pensait à moi toutes les nuits, mais je ne l'ai pas cru puisqu'il sortait avec Claudine depuis 8 mois.</p><p>Mon quatrième amoureux s'appelait Lionel, il habitait Paris et louait avec ses parents, sa soeur et leur petite bonne (ses parents étaient boulangers) une maison de vacances dans la même petite ville que celle où j'avais l'habitude de passer mes vacances. D'habitude ils partaient au Pays Basque. C'était au mois de juillet 1970, j'avais 18 ans et lui 20. Ses parents étaient amis avec un autre couple de vacanciers parisiens qui logeaient dans le même immeuble de vacances que le nôtre. Ils avaient décidé de changer de lieu de vacances, oubliant le Pays Basque pour une année. Nous avons dansé plusieurs slows ensemble, lors d'une soirée dans une salle du village mise à disposition pour les jeunes, avec disques et tourne disques, tables et chaises. Après les vacances, comme ses parents avaient donné leur adresse à ma mère avec laquelle ils avaient sympathisé, je lui ai écrit que je désirais le revoir. Il devait d'abord aller faire son service militaire. Nous nous sommes revus deux ans après, dans son studio. Après cette dernière rencontre, il a arrêté de m'écrire.</p><p><img id="media-6032074" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://boulevarddesresistants.hautetfort.com/media/02/00/3306855075.jpg" alt="souvenirs,enfance,amour,amoureux,école" /></p><p>Mon cinquième amoureux s'appelait Serge, il était marin sur le Porte-avions Clémenceau à Toulon et voyageait beaucoup. Ses parents habitait la petite ville où je passais mes vacances d'été avec mes parents depuis une dizaine d'années. On s'était rencontré avec ma soeur et ses copains au bar devant l'église du village, pendant le mois de juillet. On se retrouvait tous à la plage les après midi. Ils y allaient en mobylette et nous en voiture avec mon père. Nous nous sommes envoyé régulièrement des lettres amicales pendant presque deux ans. Puis, ce fut le silence complet. Je sais maintenant qu'il avait rencontré une fille de sa petite ville et qu'il s'était marié avec elle deux ans après avoir cessé toute correspondance avec moi.</p><p>Et puis il y a eu mon mari. Je travaillais depuis 3 mois dans un syndicat quand deux employés sont partis à la retraite. Il fallait donc les remplacer. Mon futur mari s'est présenté pour un entretien d'embauche et il a été choisi.</p>
loren
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Mélanger Nos Corps
tag:entreparenthese.hautetfort.com,2019-05-20:6152433
2019-05-20T11:44:09+02:00
2019-05-20T11:44:09+02:00
<p> </p><p> </p><p> </p><p style="text-align: center;"><a href="http://entreparenthese.hautetfort.com/media/02/01/1566536592.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-5993596" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://entreparenthese.hautetfort.com/media/02/01/1435003817.jpg" alt="melanger, corps, illustration, dessin, noir, blanc, amoureux" /></a></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"> </p>
Elisabeth
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LA VIE AVEC TOI
tag:boulevarddesresistants.hautetfort.com,2018-09-12:6084073
2018-09-12T12:18:00+02:00
2018-09-12T12:18:00+02:00
La vie avec toi c'était le pain perdu trempé dans le lait que tu faisais...
<p>La vie avec toi c'était le pain perdu trempé dans le lait que tu faisais dorer à la poêle. Les repas assis sur la moquette orange, entourés de quelques coussins. C'était les balades en voiture, dans la forêt, en Belgique ou à Amsterdam, les repas au restaurant, les pizzas, les tartes à la rhubarbe. Les 33 tours de musique américaine écoutés sur notre chaîne Hifi. C'était ta collection de timbres, de cartes postales et de pièces de monnaie. C'était la radio le samedi soir pour écouter les résultats des matchs de foot quand tu n'allais pas avec Jean Michel ou ton cousin Bernard dans le stade proche de notre studio. C'était ta collection de bouteilles de whisky vides alignées au-dessus de l'armoire. C'était tes cheveux longs et ta barbe, juste pour embêter ta mère. C'était les crêpes que tu voulais exactement rondes. C'était la bière, belge de préférence, tes verres et chopes de toutes les formes. C'était tes copains : Patrick, Michel et Didier qui passaient te voir dans notre studio en sortant des cours à la fac, ainsi que les parties de cartes avec Didier, Michel, Patrick ou Daniel. C'était nos rêves de maisons en pierres à retaper en Ardèche ou en Lozère. C'était notre projet de vie dans le sud.</p><p>Puis ce fût notre déménagement dans le sud où nous attendait une toute autre vie.</p><p><img id="media-5874822" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://boulevarddesresistants.hautetfort.com/media/02/00/2277589629.jpg" alt="souvenir,amoureux,vie de couple,mariage,fiancés,vie commune" /></p><p> </p>
Elisabeth
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AOUT 1973
tag:boulevarddesresistants.hautetfort.com,2018-06-19:6060832
2018-06-19T22:07:52+02:00
2018-06-19T22:07:52+02:00
Dans notre appartement neuf, j'avais apporté le peu de choses que je...
<p style="text-align: justify;">Dans notre appartement neuf, j'avais apporté le peu de choses que je possédais, tout ce qui m'était indispensable durant ma semaine de travail. J'avais vidé et rendu les clés de la petite chambre occupée pendant un an. J'avais dit au revoir, et non pas adieu, à Erica, ma camarade de formation. C'était elle qui m'avait alertée un an plus tôt que la chambre voisine de la sienne s'était libérée.</p><p style="text-align: justify;">D'un lit à une place, je suis passée à un lit à deux places. Maman m'a donné une paire de draps pour deux personnes et je lui ai rendu la paire pour une personne en échange. Une nouvelle vie commençait pour moi avec le garçon que j'aimais et nous nous préparions au mariage.</p><p><img id="media-5831584" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://boulevarddesresistants.hautetfort.com/media/01/01/3782655379.jpg" alt="souvenirs,amour,amoureux,chambre,espoir,nouvelle vie,déménagement" /></p>
tiniak
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Escale (à tort ?)
tag:pavupapri.hautetfort.com,2018-02-04:6023409
2018-02-04T04:01:00+01:00
2018-02-04T04:01:00+01:00
Un port... et l'âme détachée quittant la terre desséchée je vais, sans...
<p>Un port... et l'âme détachée<br />quittant la terre desséchée<br />je vais, sans regarder plus rien</p><p>Au col une feuille de chêne<br />et le sol meuble pour soutien</p><p>Je souffle fort - à perdre haleine !<br />un noroît chargé d'aquilon<br />poussant l'ombre que je promène<br />au-delà de ta triste plaine<br />à la recherche d'un vallon</p><p>Un souvenir de toi m'y mène</p><p>Rien ne saurait plus m'effrayer<br />que tu ne fusses vague chose<br />insensible au parfum de rose<br />où je plaidai quelque laurier</p><p>À qui ? À quoi ? À qu'est-ce ? À quai !</p><p> </p><p style="text-align: right;"><img id="media-5764081" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://pavupapri.hautetfort.com/media/01/01/1568573299.gif" alt="poésie,skate,kids,lovers" /></p><p style="text-align: right;"><span style="color: #999999;">tiniak ©2018 DUKOU ZUMIN &ditions TwalesK</span><br /><span style="color: #999999;">pour un Impromptu Littéraire - <a title="Atteindre le texte parmi les autres contributions au thème..." href="http://impromptuslitteraires.blogspot.fr/2018/01/tiniak-tous-poetes.html" target="_blank" rel="noopener noreferrer">tiki#305</a></span><br /><span style="color: #999999;">(composé sur des rimes empruntées au poème d'Antoine-Vincent Arnault <em>"La feuille"</em>)</span></p><p> </p>
Xavier JASSU
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Jésus et les Femmes
tag:lapinos.hautetfort.com,2017-12-18:6009268
2017-12-18T01:14:00+01:00
2017-12-18T01:14:00+01:00
Jean-Christian Petitfils est un archéologue catholique, dont le récent...
<p style="text-align: justify;">Jean-Christian Petitfils est un archéologue catholique, dont le récent ouvrage, <em>"Jésus"</em>, a rencontré un large succès il y a quelques années.</p><p style="text-align: justify;">Cet ouvrage collectionne et présente les preuves archéologiques de l'existence de Jésus-Christ et ses apôtres.</p><p style="text-align: justify;">Bien plus consistante que les preuves archéologiques s'avère la preuve <span style="text-decoration: underline;">historique</span> de l'antichristianisme, qui se manifeste à travers la démocratie-chrétienne ; ce monstre politico-religieux a en effet vidé la Parole de Dieu de sa substance et l'a remplacée par une doctrine sociale chimérique.</p><p style="text-align: justify;">J.-C. Petitfils est en outre l'auteur dans la (très mauvaise) collection des "dictionnaires amoureux", d'un "Dictionnaire amoureux de Jésus".</p><p style="text-align: justify;">A l'entrée "Jésus et les Femmes", J.-C. Petitfils commence : <em>- Jésus, assurément, n'était pas misogyne.</em></p><p style="text-align: justify;">Ce qui est exact, c'est que Jésus n'est pas "sexiste". Pourquoi ? Parce que Jésus <span style="text-decoration: underline;">n'approuve ni ne désapprouve aucune forme d'organisation sociale</span> ; or il n'est pas d'organisation sociale qui ne soit "sexiste". Les sociétés traditionnelles sont naturellement sexistes, c'est-à-dire qu'elles tiennent compte de la différence physique entre l'homme et la femme dans leur organisation.</p><p style="text-align: justify;">Cependant il est tout aussi vrai de dire que <span style="text-decoration: underline;">Jésus n'est pas féministe</span>, ainsi que la société moderne ploutocratique, où une place prééminente est accordée à l'argent ET à la femme - deux signes visibles que la culture moderne est une culture de mort. On note ici que c'est à une femme, Marthe, que Jésus explique que la mort est seulement une nécessité humaine, une femme que l'évangile décrit comme étant accaparée par des choses futiles.</p><p style="text-align: justify;">Jésus-Christ fustige la faiblesse, et la chair comme le signe de la faiblesse humaine ; Jésus est insensible lui-même à l'attrait de la chair. Certains athées, s'efforçant de nier la divinité de Jésus-Christ, s'efforcent de démontrer qu'il était "amoureux" ou qu'il a vécu maritalement avec telle ou telle ; ils savent très bien que démontrer l'attirance pour la chair de Jésus revient à prouver qu'il n'est qu'un homme, soumis aux besoins naturels et non libre.</p><p style="text-align: justify;">Or la sagesse antique associe fréquemment la femme à la chair ; par exemple quand elle fait d'une femme, Artémis, le symbole de la chasse, c'est-à-dire de la soumission à l'instinct naturel. Dionysos, qui est présenté comme un dieu raté par la mythologie antique - le plus humain des dieux en quelque sorte, est lui aussi nettement efféminé.</p><p style="text-align: justify;">Or Jésus-Christ ne remet pas en question cette sagesse antique, réputée "misogyne" parce qu'elle pointe du doigt la faiblesse pour mieux enseigner la force.</p>
Littérature de partout
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Pauline Klein, Les Souhaits ridicules
tag:litteraturedepartout.hautetfort.com,2017-02-16:5911206
2017-02-16T05:00:00+01:00
2017-02-16T05:00:00+01:00
...
<p style="text-align: center;"> <img id="media-5567093" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://litteraturedepartout.hautetfort.com/media/01/02/3342091311.5.jpeg" alt="Unknown.jpeg" /></p><p style="padding-left: 150px;"><span style="font-size: 14.0pt; font-family: Baskerville;"> Il y a fort longtemps, dans une contrée retirée de Bretagne, je tombais secrètement amoureuse d’un jeune garçon rencontré en été. Il s’appelait Frédéric Bresson. Un après-midi, je l’avais suivi dans sa chambre. Il avait ouvert un coffre à jouets, et m’avait tendu une boussole. C’était une petite boîte ronde, légère et métallique, au fond de laquelle était dessiné un chat gris et noir. On raconte que le soir même, j’étais allée au lit avec l’objet, regardant les aiguilles osciller, et que je m’étais endormie en la serrant dans ma main. On raconte que j’avais passé la fin des vacances avec elle, la déposant à côté du lavabo quand je brossais mes dents, à droite de mon assiette lors des repas en famille, sous ma serviette de plage et sous mon oreiller.</span></p><p style="padding-left: 150px;"><span style="font-size: 14.0pt; font-family: Baskerville;"> Le jour de notre départ, Frédéric se tenait devant la porte de la maison. Je ne sais pas s’il se souvenait m’avoir offert cette boussole. Elle était là, au fond de ma poche. Nous nous sommes dit au revoir devant nos parents et je me suis installée à l’arrière de la voiture, à côté de mon petit frère. J’ai collé ma joue contre la vitre et j’ai écouté la musique de mon père. J’ai sorti la boussole de ma poche, je l’ai regardée encore, encore.</span></p><p style="padding-left: 150px;"><span style="font-size: 14.0pt; font-family: Baskerville;"> On raconte que, quelques kilomètres plus loin, mes parents, mon frère et moi nous sommes arrêtés sur le bord de l’autoroute pour déjeuner. J’ai posé la boussole devant moi sur la table. Puis nous sommes retournés à la voiture et repartis. Au bout de quelques minutes, j’ai ouvert mes mains, vides, j’ai fouillé dans mes poches, vides. J’avais oublié la boussole dans la station-service, et il n’était plus question de faire demi-tour.</span></p><p style="padding-left: 150px;"><span style="font-size: 14.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></p><p style="padding-left: 150px;"><span style="font-size: 14.0pt; font-family: Baskerville; color: blue;">Pauline Klein, <em>Les Souhaits ridicules,</em> Allia, 2917, p. 9-10.</span></p>
MILIQUE
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UN AVENIR A NOUVEAU LUMINEUX 13
tag:aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com,2016-12-20:5880657
2016-12-20T10:49:00+01:00
2016-12-20T10:49:00+01:00
A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va...
<p style="text-align: center;"><img id="media-5497832" style="margin: 0.7em 0px;" title="" src="http://aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com/media/02/00/292481516.jpg" alt="au magma présent de l'écriture," /></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 12pt; color: #0000ff;"><strong>A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.</strong></span><br /><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 12pt; color: #0000ff;"><strong>Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...</strong> </span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 18pt; color: #008000;"><strong>UN AVENIR A NOUVEAU LUMINEUX</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 18pt; color: #008000;"><strong> 13</strong></span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 14pt;"><strong><span style="color: #000000;">De fait, tu m'as intégré dans ton proche périmètre affectif.<br clear="none" />Penser à quelqu'un de l'extérieur, même fréquemment, même amoureusement, sans jamais mettre à sa disposition d'autres signes de soutien, sans jamais rien lui manifester de véritablement efficace, s'avère très insuffisant en plus de notoirement médiocre.<br clear="none" />Dérisoire jusqu'à l'obscène même.<br clear="none" /><br clear="none" />En mon tréfonds embrasé, il est clair que mon âme, mon cœur et mon esprit veulent converser avec toi.<br clear="none" />Être présents aussi, très présents même, au risque de l'être peut-être trop.</span></strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 14pt;"><strong><span style="color: #000000;"><br clear="none" />T'écouter, t'observer.<br />Échanger, partager avec toi.<br clear="none" />Je veux être tout proche de toi et tenir ta main dans la mienne.<br clear="none" />Je veux lire au creux de ton regard l'inespéré chemin qui m'a mené à toi.</span></strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 14pt;"><strong><span style="color: #000000;">(A SUIVRE...)</span></strong></span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 14pt;"><strong><span style="color: #000000;">P. MILIQUE</span></strong></span></p>
MILIQUE
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UN AMOUR INACHEVÉ 3
tag:aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com,2016-09-12:5838300
2016-09-12T09:35:00+02:00
2016-09-12T09:35:00+02:00
A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va...
<p style="text-align: center;"><img id="media-5437546" style="margin: 0.7em 0px;" title="" src="http://aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com/media/01/02/4004153196.jpg" alt="au magma présent de l'écriture," /></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 12pt; color: #0000ff;"><strong>A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.</strong></span><br /><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 12pt; color: #0000ff;"><strong>Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...</strong> </span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 18pt; color: #008000;"><strong>UN AMOUR INACHEVÉ</strong> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 18pt; color: #008000;"><strong>3<br /></strong></span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 14pt;"><strong><span style="color: #000000;">Mais déjà le quotidien grince, gémit, et résonne de dissonances nouvelles.<br clear="none" />Nos amoureux fébriles s'éprouvent progressivement comme désaccordés.<br clear="none" />Le travail de décomposition du temps et la lente érosion qui en découle<br clear="none" />Reflètent maintenant un impensable tendu de lassitude et de confusion.<br clear="none" />De leur quotidien n'émanent plus qu’afféteries et plaisirs sporadiques.<br clear="none" /><br clear="none" />Dès lors, l'univers ambiant devient de plus en plus conflictuels..<br clear="none" />Ils sont ensemble certes, mais seuls parce que terriblement distants.<br clear="none" />Ils ne le savent pas encore mais ils sont déjà en route pour le désastre.<br clear="none" />Cette accablante révélation leur fait conscientiser l'irrémédiable.<br clear="none" /></span></strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 14pt;"><strong><span style="color: #000000;">(A SUITE...)</span></strong></span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 14pt;"><strong><span style="color: #000000;">P. MILIQUE</span></strong></span></p>
MILIQUE
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HAVRE ULTIME
tag:aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com,2016-05-10:5787422
2016-05-10T14:01:00+02:00
2016-05-10T14:01:00+02:00
HAVRE ULTIME Tout de suite après le traumatisme amoureux...
<p style="text-align: center;"><img id="media-5344488" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com/media/00/02/1751029708.jpeg" alt="au magma présent de l'écriture," /></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 18pt; color: #008000;"><strong>HAVRE ULTIME</strong></span></p><p style="text-align: center;"><br clear="none" /><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 14pt;"><strong>Tout de suite après le traumatisme amoureux</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 14pt;"><strong>Qui a causé l'éclatement de son monde intime,</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 14pt;"><strong>Il a initié de nombreuses tentatives, toutes avortées,</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 14pt;"><strong>Glanant grâce à elles d'infimes quartz de lui-même</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 14pt;"><strong>Et faisant exploser les petites et les grandes vérités </strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 14pt;"><strong>A l’affût dans le tourbillon des apitoiements obscurs.</strong></span><br clear="none" /><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 14pt;"><strong>Sans verser une larme, il a poussé la logique à l'extrême </strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 14pt;"><strong>Dans l'éventualité d'une résolution de l'énigme posée</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 14pt;"><strong>Aux arcanes d'une mémoire écorchée au fil de sa colère.</strong></span><br clear="none" /><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 14pt;"><strong>Mais dans le capital-temps où chaque heure se ressemble</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 14pt;"><strong>S'est révélée l'annonce d'un désastre aux effluves fétides</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 14pt;"><strong>Arguant qu'il ne le retiendrait plus de ce côté-ci de la vie.</strong></span><br clear="none" /><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 14pt;"><strong>Il se mit dès lors à rédiger un chant d'adieu incisif</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 14pt;"><strong>Disant a d'autres le havre ultime d'une déchéance</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 14pt;"><strong>Qui désormais le fascine trop pour l'effrayer encore.</strong></span><br clear="none" /><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 14pt;"><strong>P. MILIQUE</strong></span></p>
MILIQUE
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A L'UNI DE L'IMPROBABLE
tag:aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com,2016-04-25:5781094
2016-04-25T14:03:00+02:00
2016-04-25T14:03:00+02:00
Arthur Rimbaud (1854 -- 1891) dessiné par Paul Verlaine...
<p style="text-align: center;"><img id="media-5333304" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com/media/01/01/312169163.jpg" alt="au magma présent de l'écriture," /></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 12pt; color: #0000ff;"><strong>Arthur Rimbaud (1854 -- 1891) dessiné par Paul Verlaine </strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><strong>(Copyright BNF/SIPAS)</strong></span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: arial black,sans-serif; font-size: 14pt;"><strong><span style="font-size: 18pt; color: #008000;">A L'UNI DE L'IMPROBABLE</span><br clear="none" /><br clear="none" /><strong>Le souci amoureux d'une langue dilatée, distendue,</strong><br clear="none" /><strong>Remue l'ombre et les échos enfouis aux forces obscures</strong><br clear="none" /><strong>D'un texte de presque rien aux fissures majeures,</strong><br clear="none" /><strong>A la fois inexpugnables et furtives.</strong><br clear="none" /><br clear="none" /><strong>Bercer cette parole lumineuse, la question est vive</strong><br clear="none" /><strong>De justifier l'apport de nouvelles sensations....</strong><br clear="none" /><strong>Le paradoxe dans l'écriture est qu'il existe parfois</strong><br clear="none" /><strong>Un réel manque de mots pour la dire.</strong><br clear="none" /><br clear="none" /><strong>Le temps de la poésie est lent tandis que le présent urge</strong><br clear="none" /><strong>A tisser la solitude d'une beauté ou celle d'une disgrâce</strong><br clear="none" /><strong>Noircies à l'écriture aigre du dessaisissement</strong><br clear="none" /><strong>De ces vies silencieuses jusqu'à être invisibles,</strong><br clear="none" /><strong>Unissant parfois l'aléatoire instable du mouvement.</strong><br clear="none" /><br clear="none" /><strong>Alors, tenter une prose émouvante comme une musique,</strong><br clear="none" /><strong>Quintessence d'un temps modulé au fil du réel réfuté,</strong><br clear="none" /><strong>Et user de la puissance de rassemblement du langage</strong><br clear="none" /><strong>Dans l'entrelacs indéfini en mal de sensations, </strong><br clear="none" /><strong>De l’ivresse des sens et des fragrances musquées,</strong><br clear="none" /><strong>Qui seuls autoriseront les mots impudiques </strong><br clear="none" /><strong>A faire une fois encore l'amour à la page...</strong><br clear="none" /><br clear="none" /><strong>P. MILIQUE</strong></strong></span></p>
tiniak
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pures pertes
tag:pavupapri.hautetfort.com,2016-04-19:5790850
2016-04-19T20:02:00+02:00
2016-04-19T20:02:00+02:00
La pierre ensoleillée où musardait un rêve La nuée aspirant l'ombre des...
<p>La pierre ensoleillée où musardait un rêve<br />La nuée aspirant l'ombre des ris du fleuve<br />Le frisson printanier d'une montée de sève<br />Le trésor océan paré de libre épreuve</p><p>Les gestes anodins dont fleurissait le sens<br />La croisée des chemins béante à l'ouverture<br />Les intimes festins perlés de fleuve essence<br />Le quadrille des mains griffant leur signature</p><p>Le chant, d'un seul couplet, que reprenait le jour<br />La touche pianotée avant de s'endormir<br />Le parfum résurgeant dans le moindre alentour<br />La goulée prodiguant son prochain souvenir</p><p>Et soudain, le regard butant sur l'horizon<br />Dire est une prison plus lourde qu'un silence<br />Aimer, un vain aveu, dérouté, sans maison<br />Rêver, le triste jeu d'une absurde évidence :</p><p>Pures pertes !<br />Dès lors, demeure au cœur, insistante, l'alerte</p><p> </p><p style="text-align: right;"><span style="color: #808080;"><img id="media-5350890" title="" src="http://pavupapri.hautetfort.com/media/01/01/4262164801.jpg" alt="poésie,Den,Delphine Signol,saltimbanques,déception amoureuse" width="175" height="137" /></span></p><p style="text-align: right;"><span style="color: #808080;">tiniak ©2016 DUKOU ZUMIN &ditions TwalesK</span></p>
Lizouzou
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”Comment tomber amoureux... sans tomber” de Susie Morgenstern
tag:lespetitslivresdelizouzou.hautetfort.com,2016-04-08:5759121
2016-04-08T16:44:25+02:00
2016-04-08T16:44:25+02:00
Annabelle vise l'excellence pour tout et tout le temps. Cette année...
<p style="text-align: center;"><img id="media-5292421" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lespetitslivresdelizouzou.hautetfort.com/media/00/02/1992966998.JPG" alt="comment, tomber, amoureux,sans, susie, morgentern, école des loisirs" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: tahoma,arial,helvetica,sans-serif; font-size: 12pt;">Annabelle vise l'excellence pour tout et tout le temps. Cette année c'est le bac, alors quand elle doit apprendre le français à Samuel, un américain, elle a peur qu'il la retarde dans son ambition. Néanmoins, ils deviennent amis, se voient et travaillent ensemble, mais jusqu'où ira leur relation ? </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: tahoma,arial,helvetica,sans-serif; font-size: 12pt;">Ne croyez pas que ce roman ne se focalise que sur le couple Annabelle-Samuel. Au contraire, ce livre est un festival de personnages. On apprend à connaître les problèmes de couple entre Lulu et Léonard, les parents d'Annabelle. Puis, nous faisons la connaissance de Sydney, le père de Samuel, l'ambassadeur des Etats-Unis qui n'a plu connu réellement l'amour depuis la mort de la mère de Samuel. Vient ensuite Anatole le frère d'Annabelle, secrètement amoureux de la sœur d'un copain. Et enfin, Marguerite la grand mère d'Annabelle et Anatole, va également rencontrer l'âme sœur... mais je ne vous en dit pas plus. Il y a également plusieurs autres personnages secondaires que l'on prend plaisir à rencontrer et à connaître.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: tahoma,arial,helvetica,sans-serif; font-size: 12pt;">J'ai beaucoup aimé ce roman car on ne parle pas que d'amour. On parle du quotidien des personnages avec leurs galères et leurs émotions. J'ai eu l'impression de lire les livres de Katherine Pancol, mais version jeunesse.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: tahoma,arial,helvetica,sans-serif; font-size: 12pt;">Je dois dire que Susie Morgenstern est une de mes auteurs favorites en jeunesse et encore une fois le charme a opéré. Et un dernier mot sur la couverture très colorée et toute mignonne, qui attire l'œil forcément !</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: tahoma,arial,helvetica,sans-serif; font-size: 12pt;">Bref, une charmante histoire que j'ai pris plaisir à découvrir !</span></p>
MILIQUE
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HAVRE ULTIME
tag:aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com,2016-03-25:5761761
2016-03-25T14:47:00+01:00
2016-03-25T14:47:00+01:00
HAVRE ULTIME Tout de suite après le traumatisme amoureux...
<p style="text-align: center;"><img id="media-5297176" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com/media/00/01/3881797131.jpg" alt="au magma présent de l'écriture," /></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 18pt; color: #008000;"><strong>HAVRE ULTIME</strong></span></p><p style="text-align: center;"><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 14pt;"><strong>Tout de suite après le traumatisme amoureux</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 14pt;"><strong>Qui a causé l'éclatement de son monde intime,</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 14pt;"><strong>Il a initié de nombreuses tentatives, toutes avortées,</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 14pt;"><strong>Glanant grâce à elles d'infimes quartz de lui-même</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 14pt;"><strong>Et faisant exploser les petites et les grandes vérités </strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 14pt;"><strong>A l’affût dans le tourbillon des apitoiements obscurs.</strong></span><br clear="none" /><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 14pt;"><strong>Sans verser une larme, il a poussé la logique à l'extrême </strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 14pt;"><strong>Dans l'éventualité d'une résolution de l'énigme posée</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 14pt;"><strong>Aux arcanes d'une mémoire écorchée au fil de sa colère.</strong></span><br clear="none" /><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 14pt;"><strong>Puis, dans le capital-temps où chaque heure se ressemble,</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 14pt;"><strong>S'est révélée l'annonce d'un désastre aux effluves fétides</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 14pt;"><strong>Arguant qu'il ne le retiendrait plus de ce côté-ci de la vie.</strong></span><br clear="none" /><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 14pt;"><strong>Il se mit dès lors à rédiger un chant d'adieu incisif</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 14pt;"><strong>Disant a d'autres le havre ultime d'une déchéance</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 14pt;"><strong>Qui désormais le fascine trop pour l'effrayer encore.</strong></span><br clear="none" /><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,sans-serif; font-size: 14pt;"><strong>P. MILIQUE</strong></span></p>
Zébra
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Caricature Saint-Valentin
tag:fanzine.hautetfort.com,2016-02-14:5759824
2016-02-14T17:11:00+01:00
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<p style="text-align: center;"><a href="http://fanzine.hautetfort.com/media/00/00/2265530266.jpg" target="_blank"><img id="media-5293810" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://fanzine.hautetfort.com/media/00/00/4019410854.jpg" alt="webzine,bd,gratuit,zébra,fanzine,bande-dessinée,caricature,saint-valentin,changement de sexe,amoureux,2016,dessin,presse,humour,zombi,gag" /></a></p>
MILIQUE
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IL EST DES JOURS
tag:aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com,2016-01-09:5709945
2016-01-09T15:09:00+01:00
2016-01-09T15:09:00+01:00
I L EST DES JOURS Il est des jours chagrins Où la vie...
<p style="text-align: center;"><img id="media-5202022" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com/media/01/02/1588548046.jpg" alt="au magma présent de l'écriture," /></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large; color: #008000;">I<strong>L EST DES JOURS</strong></span><br clear="none" /><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Il est des jours chagrins</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Où la vie dégrade la vie,</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Où l'amour perd la face.</strong></span><br clear="none" /><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Il est des jours où ta main</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Cherche la mienne égarée</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Dans l'ombre crépusculaire.</strong></span><br clear="none" /><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Il est certains grands soirs</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Où elles se rapprochent,</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Se tortillent, s’enlacent,</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Et se bouleversent enfin</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Dans un dernier sursaut</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>De pudeur ou de peur.</strong></span><br clear="none" /><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Il est des nuits qui me font rire,</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Elles devraient me faire gémir.</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Et mes yeux en ces moments</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Se raccrochent, suppliants,</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>A l'étoile infinie des tiens.</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Il est des heures enténébrées</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Qui n'en finissent pas d'exister</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Tandis que des vagues bleutées</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Déferlent sur ton corps dénudé,</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Avec mon âme à fleur de cœur.</strong></span><br clear="none" /><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Il est des jours telles des vies mon amour,</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Qui ne devraient jamais fermer les yeux.</strong></span><br clear="none" /><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>P. MILIQUE</strong></span></p>
MILIQUE
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IL FAIT BEAU
tag:aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com,2015-08-13:5639124
2015-08-13T15:34:00+02:00
2015-08-13T15:34:00+02:00
IL FAIT BEAU Vivre sans amours c'est vivre au cœur d'un...
<p style="text-align: center;"><img id="media-5072097" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com/media/00/01/2450409991.jpg" alt="au magma présent de l'écriture," /></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large; color: #008000;"><strong>IL FAIT BEAU</strong></span></p><p style="text-align: center;"><br clear="none" /><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Vivre sans amours c'est vivre au cœur d'un désert</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Une vie de fleur morte que, grâce à toi, je ne vis plus.</strong></span><br clear="none" /><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Sur le trait fin de l'horizon qu'un oiseau fait frémir</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Se balance l'aube tandis que les papillons de mon âme</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Butinent le nectar généreux posé par la rosée du matin:</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Je t'aime.</strong></span><br clear="none" /><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Ton cœur est si emprunt de bonté et de disponibilité,</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Ton mystère déborde de tant d'ardeur et d'espérance</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Qu'une impétuosité magnifique a décrété d'un bonheur</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Beau comme l'arc-en-ciel qui depuis embrase nos cœurs,</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Délicat comme un bouton de rose qui s'éveille, stupéfait.</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Je t'aime.</strong></span><br clear="none" /><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>L'amour, c'est comme la lumière de la vie,</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>L'amour, c'est tel un été qui dure toujours.</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>C'est fort ce qu'il fait beau quand on aime.</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Je t'aime.</strong></span><br clear="none" /><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>P. MILIQUE</strong></span></p>
MILIQUE
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LES LENDEMAINS RAVIS
tag:aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com,2015-07-13:5626773
2015-07-13T14:56:00+02:00
2015-07-13T14:56:00+02:00
LES LENDEMAINS RAVIS Pages d'amour d'une essentielle...
<p style="text-align: center;"><img id="media-5049367" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com/media/01/00/705557612.jpg" alt="au magma présent de l'écriture," /></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large; color: #008000;"><strong>LES LENDEMAINS RAVIS</strong></span></p><p style="text-align: center;"><br clear="none" /><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Pages d'amour d'une essentielle limpidité,</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Déchirantes de vives fulgurances moirées.</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Ce sont des pages d'amour joliment cornées</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>D'avoir, au fil du temps, été lues et relues.</strong></span><br clear="none" /><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Il en est une dont chacun rêve de posséder le livre:</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Celle qui est la merveille des lendemains ravis,</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Celle qui, orgueilleuse, étincelle à l'égal du ciel,</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Celle de promesse innée bien trop rarement tenue.</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Page qui se précipite au pays rare du Bonheur,</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Page du salut immanent au soleil qui se dresse.</strong></span><br clear="none" /><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>P. MILIQUE</strong></span></p>
Littérature de partout
http://litteraturedepartout.hautetfort.com/about.html
Johannes Bobrowski, Boehlendorff et quelques autres, traduction J.-C. Schneider
tag:litteraturedepartout.hautetfort.com,2015-03-23:5588553
2015-03-23T05:00:00+01:00
2015-03-23T05:00:00+01:00
À propos de poésies posthumes Comme...
<p style="text-align: center;"><img id="media-4979950" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://litteraturedepartout.hautetfort.com/media/01/02/338351056.jpg" alt="Johannes Bobrowski, Boehlendorff et quelques autres, traduction J.-C. Schneider, bergère,baisers, amoureux, vie, tombeau" /></p><p> </p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 106.35pt; text-align: justify; padding-left: 60px;"><em style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville; color: blue;"><span style="mso-spacerun: yes;"> </span>À propos de poésies posthumes</span></em></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 106.35pt; text-align: justify; padding-left: 60px;"><em style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville; color: blue;"> </span></em></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 106.35pt; text-align: justify; padding-left: 60px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Comme dans les monts d’Alk</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 106.35pt; text-align: justify; padding-left: 60px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Lorsqu’y court, aussi leste,</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 106.35pt; text-align: justify; padding-left: 60px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">La bergère, qu’en plaine,</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 106.35pt; text-align: justify; padding-left: 60px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Et du roc fait son lit,</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 106.35pt; text-align: justify; padding-left: 60px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Mais dessus le pied déli-</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 106.35pt; text-align: justify; padding-left: 60px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Cat, pour mille baisers,</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 106.35pt; text-align: justify; padding-left: 60px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Ne veut plus avancer,</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 106.35pt; text-align: justify; padding-left: 60px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Quand moi, pour l’approcher,</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 106.35pt; text-align: justify; padding-left: 60px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Je saute les rochers,</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 106.35pt; text-align: justify; padding-left: 60px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Tant l’amour a des ailes,</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 106.35pt; text-align: justify; padding-left: 60px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Nonobstant les cailloux</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 106.35pt; text-align: justify; padding-left: 60px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Courant au-devant d’elle</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 106.35pt; text-align: justify; padding-left: 60px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Je tombe à deux genoux</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 106.35pt; text-align: justify; padding-left: 60px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Et aperçoit en haut</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 106.35pt; text-align: justify; padding-left: 60px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Ma vie et mon tombeau.</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 106.35pt; text-align: justify; padding-left: 60px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 106.35pt; text-align: justify; padding-left: 60px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville; color: blue;">Johannes Bobrowski, <em style="mso-bidi-font-style: normal;">Boehlendorff et quelques</em></span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 106.35pt; text-align: justify; padding-left: 60px;"><em style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville; color: blue;"><span style="mso-spacerun: yes;"> </span>autres</span></em><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville; color: blue;">, traduit de l’allemand par Jean-Claude </span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 106.35pt; text-align: justify; padding-left: 60px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville; color: blue;">Schneider, La Dogana, 1993, p. 61.</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 106.35pt; text-align: justify; padding-left: 60px;"><em style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville; color: blue;"> </span></em></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 106.35pt; text-align: justify; padding-left: 60px;"><em style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></em></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 106.35pt; text-align: justify; padding-left: 60px;"><em style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></em></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 106.35pt; text-align: justify; padding-left: 60px;"><em style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></em></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 106.35pt; text-align: justify; padding-left: 60px;"><em style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></em></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 106.35pt; text-align: justify;"><em style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></em></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 106.35pt; text-align: justify;"><em style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></em></p>
MILIQUE
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A L'INSTAR DE L'AMOUR 2
tag:aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com,2014-09-03:5413275
2014-09-03T09:14:00+02:00
2014-09-03T09:14:00+02:00
A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à...
<p style="text-align: center;"><img id="media-4632761" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com/media/00/01/2977099754.jpg" alt="au magma présent de l'écriture," /></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="page-break-before: always;" align="CENTER"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: small;"><strong><span style="color: #0000ff;"><span style="font-family: Arial Black,sans-serif;">A l'attention des multiples lecteurs</span></span></strong> <strong><span style="color: #0000ff;"><span style="font-family: Arial Black,sans-serif;">qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.<br />Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...</span></span></strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large; color: #339966;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="color: #008000;">A L'INSTAR DE L'AMOUR</span><br /></strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large; color: #339966;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="color: #008000;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;">2</span><br /></span></strong></span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">Une souffrance exaltée le précède de peu :</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">Et si le bonheur n'était que la promesse travestie du malheur ?</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"> </strong></span></p><p style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">Une fois surmonté le néant inhérent à la vie de chacun,</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">Il convient de contourner les obstacles qui ajournent le bonheur</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">En remplaçant le malheur latent d'être heureux</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">Par l'espoir légitime d'y parvenir un jour.</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">Au final, le perpétuelle quête de cet état fugace</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">Ne sera pas parvenue à faire abandonner</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">La grandeur simple du plaisir d'exister.</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"> </strong></span></p><p style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">Donc, l'expérience du bonheur trouvé</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">Est inséparable de la crainte de le perdre.</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">Ce qui fait de chaque homme heureux... un homme averti.</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">(A SUIVRE...)</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: center;"> </p><p style="margin-bottom: 0.0001pt; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">P. MILIQUE</strong></span></p>
Lizouzou
http://lespetitslivresdelizouzou.hautetfort.com/about.html
”T'choupi est amoureux” de Thierry Courtin
tag:lespetitslivresdelizouzou.hautetfort.com,2014-07-06:5387149
2014-07-06T09:33:00+02:00
2014-07-06T09:33:00+02:00
Tchoupi s'amuse beaucoup avec sa copine Nina : ils font du vélo...
<p style="text-align: center;"><img id="media-4587939" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lespetitslivresdelizouzou.hautetfort.com/media/02/00/3936339341.JPG" alt="t'choupi est amoureux.JPG" /></p><p> </p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #800080; font-family: tahoma,arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;">Tchoupi s'amuse beaucoup avec sa copine Nina : ils font du vélo ensemble, partagent un goûter, jouent à la dinette. Mais Pilou, le copain de T'choupi se moquent d'eux en leur disant qu'ils sont des "z'amoureux" ! T'choupi demande alors à son père ce que cela signifie. T'choupi en est sûr : il est amoureux de Nina. Encore plus quand elle lui fait un bisou après lui avoir offert un très beau dessin !</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #800080; font-family: tahoma,arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;">Ah la la, l'amour ! Pas évident d'expliquer un si grand concept aux tout petits ! Thierry Courtin, l'auteur et le créateur du fameux personnage de T'choupi, y arrive à merveille. Bah oui, qu'est ce que ça veut dire d'être amoureux ? C'est passé du bon temps ensemble et se faire des bisous bien sûr ! ;)</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #800080; font-family: tahoma,arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;">C'est drôle de voir T'choupi si heureux et si gêné quand Nina lui fait un petit bisou sur la joue ! ^^</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #800080; font-family: tahoma,arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;">Le petit plus des albums de T'choupi c'est qu'ils abordent des thèmes vastes et différents à chaque fois. C'est aussi un très bon moyen pour les parents d'aborder un tel sujet. C'est aussi l'occasion pour l'enfant de se livrer, faut pas croire, les enfants sont parfois très précoces sur l'amour ! ;)</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #800080; font-family: tahoma,arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;">Encore une fois, les couleurs sont vives, le texte est simple et accessible. L'image sur une page et le texte sur l'autre page. Des pages indéchirables et une couverture cartonnée. Bref, une recette qui marche et fonctionne à tous les coups !</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #800080; font-family: tahoma,arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;">Je remercie les éditions <a title="Nathan" href="http://www.nathan.fr/" target="_blank">Nathan </a>!</span></p>
Littérature de partout
http://litteraturedepartout.hautetfort.com/about.html
Guillaume des Autels (1529-v. 1580), Amoureux repos
tag:litteraturedepartout.hautetfort.com,2014-04-10:5343060
2014-04-10T05:00:00+02:00
2014-04-10T05:00:00+02:00
De son amour...
<p style="text-align: center;"><img id="media-4514213" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://litteraturedepartout.hautetfort.com/media/01/02/599541714.2.jpg" alt="imgres-1.jpg" /></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 3cm; padding-left: 60px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville; color: blue;"><span style="mso-spacerun: yes;"> </span>De son amour</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 3cm; padding-left: 60px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 3cm; padding-left: 60px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Quand je la vis en si grand' vertu, belle,</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 3cm; padding-left: 60px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Et, en beauté, si grande, vertueuse,</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 3cm; padding-left: 60px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">De l'arc brûlant la flèche impétueuse</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 3cm; padding-left: 60px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Me rendit serf amoureusement d'elle :</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 3cm; padding-left: 60px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 3cm; padding-left: 60px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Lui obligeant mon affection telle,</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 3cm; padding-left: 60px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Cette fureur encor plus chaleureuse,</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 3cm; padding-left: 60px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Vint commander à mon âme amoureuse</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 3cm; padding-left: 60px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">De l'adorer comme sainte immortelle.</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 3cm; padding-left: 60px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 3cm; padding-left: 60px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Ainsi dévot ma sainte s'adorait,</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 3cm; padding-left: 60px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Ou bien plutôt par dulie honorait :</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 3cm; padding-left: 60px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Voici, Amour, qui mon âme a meurtrie,</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 3cm; padding-left: 60px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 3cm; padding-left: 60px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Poussa quasi ma jeune passion</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 3cm; padding-left: 60px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Jusqu'au plus haut de l'adoration</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 3cm; padding-left: 60px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Qu'ont appelée nos maîtres saints, latrie.</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 3cm; padding-left: 60px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 3cm; padding-left: 60px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville; color: blue;">Guillaume des Autels, <em style="mso-bidi-font-style: normal;">Amoureux repos</em>, Jean </span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 3cm; padding-left: 60px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville; color: blue;">Temporal, 1553, n.p. [Gallica/BNF]</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 3cm; padding-left: 60px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"><span style="color: #ff0000;">[graphie modernisée]</span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 3cm; padding-left: 60px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 3cm; padding-left: 60px;"><em style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">dulie</span></em><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> = culte rendu aux saints ; <em style="mso-bidi-font-style: normal;">latrie</em> = culte </span></p><p style="padding-left: 60px;"><!--[if gte mso 9]><xml> <o:OfficeDocumentSettings> <o:AllowPNG/> </o:OfficeDocumentSettings></xml><![endif]--><!--[if gte mso 9]><xml> <w:WordDocument> <w:Zoom>0</w:Zoom> <w:TrackMoves>false</w:TrackMoves> <w:TrackFormatting/> <w:HyphenationZone>21</w:HyphenationZone> <w:PunctuationKerning/> <w:DrawingGridHorizontalSpacing>18 pt</w:DrawingGridHorizontalSpacing> <w:DrawingGridVerticalSpacing>18 pt</w:DrawingGridVerticalSpacing> <w:DisplayHorizontalDrawingGridEvery>0</w:DisplayHorizontalDrawingGridEvery> <w:DisplayVerticalDrawingGridEvery>0</w:DisplayVerticalDrawingGridEvery> <w:ValidateAgainstSchemas/> <w:SaveIfXMLInvalid>false</w:SaveIfXMLInvalid> <w:IgnoreMixedContent>false</w:IgnoreMixedContent> <w:AlwaysShowPlaceholderText>false</w:AlwaysShowPlaceholderText> <w:Compatibility> <w:BreakWrappedTables/> <w:DontGrowAutofit/> <w:DontAutofitConstrainedTables/> <w:DontVertAlignInTxbx/> </w:Compatibility> </w:WordDocument></xml><![endif]--><!--[if gte mso 9]><xml> <w:LatentStyles DefLockedState="false" LatentStyleCount="276"> </w:LatentStyles></xml><![endif]--> <!--[if gte mso 10]><style> /* Style Definitions */table.MsoNormalTable{mso-style-name:"Tableau Normal";mso-tstyle-rowband-size:0;mso-tstyle-colband-size:0;mso-style-noshow:yes;mso-style-parent:"";mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt;mso-para-margin:0cm;mso-para-margin-bottom:.0001pt;mso-pagination:widow-orphan;font-size:12.0pt;font-family:"Times New Roman";mso-ascii-font-family:Cambria;mso-ascii-theme-font:minor-latin;mso-fareast-font-family:"Times New Roman";mso-fareast-theme-font:minor-fareast;mso-hansi-font-family:Cambria;mso-hansi-theme-font:minor-latin;}</style><![endif]--> <!--StartFragment--> <!--EndFragment--></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 3cm; padding-left: 60px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">rendu à Dieu.</span></p>
Littérature de partout
http://litteraturedepartout.hautetfort.com/about.html
Pontus de Tyard (1521-1605), Continuation des erreurs amoureuses
tag:litteraturedepartout.hautetfort.com,2014-04-05:5339947
2014-04-05T05:00:00+02:00
2014-04-05T05:00:00+02:00
Des yeux, auxquels ainsi qu'en un trophée, L'arc, et les traits...
<p style="text-align: center;"><img id="media-4509132" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://litteraturedepartout.hautetfort.com/media/01/01/3716306591.8.jpg" alt="imgres.jpg" /></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Des yeux, auxquels ainsi qu'en un trophée,</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">L'arc, et les traits d'amour sont amassés :</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Des cheveux d'or, crêpés, et enlacés</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">D'une coiffure en fin or étoffée :</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Et de la main, qui rendait échauffée</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">La volonté des fiers cœurs englacés :</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Et des doux mots doucement prononcés,</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Fut dessus moi victoire prononcée.</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">O de beauté céleste simulacre,</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Riche ornement, et pompe de Nature,</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Des rais divins lumière gracieuse</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Doit ta victoire être plus glorieuse,</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Pour tant de pleurs, fruit de ma peine dure,</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Qu'incessamment en ton nom je consacre.</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville; color: blue;">Pontus de Tyard, <em style="mso-bidi-font-style: normal;">Continuation des erreurs amoureuses</em>, Lyon, Jean de Tournes, 1551, p. 10, dans Gallica/BNF.</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">[graphie modernisée]</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></p><p><!--[if gte mso 9]><xml> <o:OfficeDocumentSettings> <o:AllowPNG/> </o:OfficeDocumentSettings></xml><![endif]--><!--[if gte mso 9]><xml> <w:WordDocument> <w:Zoom>0</w:Zoom> <w:TrackMoves>false</w:TrackMoves> <w:TrackFormatting/> <w:HyphenationZone>21</w:HyphenationZone> <w:PunctuationKerning/> <w:DrawingGridHorizontalSpacing>18 pt</w:DrawingGridHorizontalSpacing> <w:DrawingGridVerticalSpacing>18 pt</w:DrawingGridVerticalSpacing> <w:DisplayHorizontalDrawingGridEvery>0</w:DisplayHorizontalDrawingGridEvery> <w:DisplayVerticalDrawingGridEvery>0</w:DisplayVerticalDrawingGridEvery> <w:ValidateAgainstSchemas/> <w:SaveIfXMLInvalid>false</w:SaveIfXMLInvalid> <w:IgnoreMixedContent>false</w:IgnoreMixedContent> <w:AlwaysShowPlaceholderText>false</w:AlwaysShowPlaceholderText> <w:Compatibility> <w:BreakWrappedTables/> <w:DontGrowAutofit/> <w:DontAutofitConstrainedTables/> <w:DontVertAlignInTxbx/> </w:Compatibility> </w:WordDocument></xml><![endif]--><!--[if gte mso 9]><xml> <w:LatentStyles DefLockedState="false" LatentStyleCount="276"> </w:LatentStyles></xml><![endif]--> <!--[if gte mso 10]><style> /* Style Definitions */table.MsoNormalTable{mso-style-name:"Tableau Normal";mso-tstyle-rowband-size:0;mso-tstyle-colband-size:0;mso-style-noshow:yes;mso-style-parent:"";mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt;mso-para-margin:0cm;mso-para-margin-bottom:.0001pt;mso-pagination:widow-orphan;font-size:12.0pt;font-family:"Times New Roman";mso-ascii-font-family:Cambria;mso-ascii-theme-font:minor-latin;mso-fareast-font-family:"Times New Roman";mso-fareast-theme-font:minor-fareast;mso-hansi-font-family:Cambria;mso-hansi-theme-font:minor-latin;}</style><![endif]--> <!--StartFragment--> <!--EndFragment--></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></p>
Kraly
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Pensée du Jour...
tag:lessongesdunenuit.hautetfort.com,2014-02-28:5309956
2014-02-28T05:00:00+01:00
2014-02-28T05:00:00+01:00
« L'amoureux qui espère ressent plus de bonheur que l'amoureux qui a...
<div class="title" style="padding: 0px; margin: 0px;"><h2 class="post-title entry-title" style="padding-top: 30px; padding-right: 35px; padding-bottom: 0px; padding-left: 35px; font-size: 30px; font-family: 'Open Sans Condensed', sans-serif; color: #171717; line-height: 30px; text-align: left; font-weight: bold; margin: 0px;"><span style="font-family: 'book antiqua', palatino; font-size: medium; color: #00ff00;"><img id="media-4458997" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://lessongesdunenuit.hautetfort.com/media/01/00/4105864202.22.jpeg" alt="amoureux,ressentir,jacquard,bonheur,réflexions,comprendre,savoir" />« L'amoureux qui espère ressent plus de bonheur que l'amoureux qui a obtenu! »</span></h2></div><div class="entry" style="padding-top: 10px; padding-right: 15px; padding-bottom: 10px; padding-left: 15px; margin: 0px;"><p style="margin-top: 0px; margin-right: 0px; margin-bottom: 10px; margin-left: 0px; line-height: 22px; padding: 0px;"><span style="color: #ff0000;"><em>Albert Jacquard</em></span></p></div>
Prieto
http://www.chemindamourverslepere.com/about.html
Audience du Pape François aux couples de fiancés
tag:www.chemindamourverslepere.com,2014-02-14:5298138
2014-02-14T07:27:00+01:00
2014-02-14T07:27:00+01:00
Le Pape François reçoit en audience à 11h45 les couples de fiancés, en ce...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;">Le Pape François reçoit en audience à 11h45 les couples de fiancés, en ce jour de la fête de <span style="color: #008080;"><a title="Saint Valentin" href="http://nominis.cef.fr/contenus/saint/641/Saint-Valentin.html" target="_blank"><span style="color: #008080;">Saint Valentin</span></a></span>, devenu le patron des amoureux. C'est le Conseil pontifical pour la famille qui est à l'origine de cette initiative.</span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;"><em><iframe width="480" height="270" src="http://www.youtube.com/embed/c6OUy4UVMeI?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen=""></iframe></em></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;">Le Pape François a rencontré ce midi les vingt mille fiancés catholiques rassemblés Place St Pierre à l'invitation du <span style="color: #008080;"><a title="Conseil pontifical pour la famille" href="http://www.familiam.org/famiglia_fra/00002624_HOME_FRA.html" target="_blank"><span style="color: #008080;">Conseil pontifical pour la famille</span></a></span>. Engagés dans la voie du mariage, ils entendaient approfondir leur vocation matrimoniale autour d'une formule : On ne se marie pas après que tous les problèmes aient été résolus mais pour les résoudre ensemble. Et le courageux 'Pour Toujours' doit être une perspective de joie, un avenir d'espérance.<br /><br />A la conclusion de la manifestation, faite de lectures, de chants et de témoignages, le Saint-Père s'est adressé à l'assemblée rappelant d'emblée qu'il faut se poser la question de savoir s'il est possible de s'aimer pour toujours. Car, de nos jours, "tant de personnes craignent de faire des choix définitifs. Il leur semble impossible de s'engager pour la vie... C'est une mentalité qui conduit beaucoup à dire 'Ensemble tant que dure l'amour'. Mais alors qu'est ce que l'amour ? Ne s'agit-il que d'un sentiment, un état psycho-physique ? Comme ça on ne peut rien bâtir de solide. L'amour est une relation et une réalité qui grandit comme un bâtiment qu'on construit à deux, et non seul... Ne fondez rien sur le sable de sentiments qui vont et viennent. Construisez sur le rocher de l'amour, de l'amour qui vient de Dieu. La famille naît d'un projet d'amour qui grandit à l'instar d'un bâtiment afin d'être un espace d'affection, d'espérance et de partage. L'amour de Dieu est pour toujours, et l'amour fondant la famille doit l'être également. Il ne faut pas se laisser dominer par la culture du provisoire... La crainte du 'Pour Toujours' doit être vaincue jour après jour dans la confiance au Seigneur, par une vie qui devient un cheminement spirituel commun... Ce 'Pour Toujours' n'est pas une question de durée et le mariage ne réussit pas par la seule durée mais par sa qualité. Vivre ensemble et s'aimer pour toujours est le défi des époux chrétiens... Dans le Pater nous demandons à recevoir le pain quotidien. Nous demandons au Seigneur de nous apprendre à aimer et de nous aimer les uns les autres. Seigneur donne-nous aujourd'hui notre amour quotidien !... Vivre ensemble est un patient cheminement, beau et fascinant" qui a des règles. Elles peuvent se résumer en 'S'il te plaît', 'Merci' et 'Pardon'... Le véritable amour ne peut s'imposer par la dureté et l'agressivité...mais par la gentillesse, qui est la soeur de la charité... Dans ce monde souvent violent et arrogant, nos familles ont besoin de beaucoup de gentillesse". Et puis la gratitude est importante. Savons nous remercier ? Dans vos rapports actuels et demain dans le mariage, a dit le Pape à l'assemblée, "ayez toujours conscience de ce que l'autre est don de Dieu, pour lequel il faut rendre grâce. On dit toujours merci pour les dons de Dieu... Vraiment il faut savoir dire merci afin d'aller de l'avant ensemble. On fait tant d'erreurs dans la vie, mais il faut savoir s'excuser... Ainsi peut grandir la famille chrétienne, même s'il n'existe pas de famille parfaite, de mari parfait, d'épouse parfaite". Jésus, qui sait bien que nous sommes tous pécheurs, nous enseigne qu'il ne faut pas finir la journée sans se demander pardon les uns aux autres, car la famille doit retrouver la paix du foyer. Et puis que le mariage ne soit pas une chose mondaine mais une véritable fête chrétienne. Les Noces de Cana sont le modèle de cette "fête nuptiale qui rendra authentique votre mariage par la présence du Seigneur comme don de sa grâce... Votre mariage doit aussi être sobre et révéler l'essentiel". "Si le décor est important dans une fête il ne saurait indiquer le motif profond de votre joie, la bénédiction du Seigneur sur votre amour".<br /><br />Source : <a title="Vatican Information Service" href="http://visnews-fr.blogspot.fr/2014/02/le-pape-rencontre-des-milliers-de.html" target="_blank"><span style="color: #008080;">Vatican Information Service</span></a> (Publié VIS Archive 01 - 14.2.14)<br /></span></p>
Le Corbeau 78
http://corboland78.hautetfort.com/about.html
Il est encore temps
tag:corboland78.hautetfort.com,2014-02-14:5297373
2014-02-14T05:00:00+01:00
2014-02-14T05:00:00+01:00
Il y a quarante-huit heures j’évoquais Félix à l’occasion de sa fête,...
<p>Il y a quarante-huit heures j’évoquais Félix à l’occasion de sa fête, aujourd’hui Valentin, vous allez penser que je me suis plongé dans <em>Les riches heures de la vie des saints</em> pour trouver l’inspiration quotidienne à la rédaction de mes billets. Je comprends votre réaction mais pourtant mon intention est beaucoup plus louable, en tout cas plus raisonnée.</p><p>C’est aujourd’hui la Saint-Valentin. Normalement vous êtes tous sensés le savoir, mais s’il en est qui débarquent, hâtez-vous de réparer cet oubli sinon gare aux conséquences. Je m’adresse particulièrement aux messieurs, faire l’économie d’un mot gentil et d’un modeste présent à votre dulcinée en ce jour vous expose à des récriminations durant plusieurs mois. Une économie qui pourrait s’avérer vous coûter bien cher finalement. Tant que la journée n’est pas terminée, vous êtes encore dans les clous…</p><p>Le 14 février, jour de la Saint-Valentin, est considéré dans de nombreux pays comme la fête des amoureux. Les couples en profitent pour échanger des mots doux et des cadeaux comme preuves d’amour ainsi que des roses rouges qui sont l’emblème de la passion. À l’origine une coutume païenne, cette fête a finalement été assimilée par l'Église catholique romaine par la désignation de saint Valentin comme saint patron des amoureux.</p><p>Un saint auxquels les commerçants vouent un culte voyant si l’on se fie à leurs vitrines et qui vous interdit de déclarer ingénument « Ah, c’est aujourd’hui ? J’avais oublié. »</p><p> </p><p> </p><p><iframe width="445" height="250" frameborder="0" src="http://www.dailymotion.com/embed/video/x5nqgd?autoPlay=1" allowfullscreen=""></iframe><br /><a href="http://www.dailymotion.com/video/x5nqgd_georges-brassens-les-amoureux-des-b_music" target="_blank">Georges Brassens - Les amoureux des banc publics</a> <em>par <a href="http://www.dailymotion.com/bidoudelo" target="_blank">bidoudelo</a></em></p><p> </p><p> </p>
Littérature de partout
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Mina Loy, Manifeste féministe & écrits modernistes
tag:litteraturedepartout.hautetfort.com,2014-02-06:5290145
2014-02-06T05:01:00+01:00
2014-02-06T05:01:00+01:00
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Il n'y a pas de demi-mesure — NUL coup de griffe à la surface du monceau d'ordure s de la tradition ne conduira à la </span><span style="text-decoration: underline;"><span style="font-size: 16.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Réforme</span></span><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">, la seule méthode est une </span><span style="text-decoration: underline;"><span style="font-size: 16.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Démolition Absolue</span></span><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">. </span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 120.5pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Cessez de placer votre confiance dans la législation économique, les croisades contre le vice & l'éducation égalitaire — vous glosez à côté de la </span><span style="text-decoration: underline;"><span style="font-size: 16.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Réalité</span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 120.5pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Des carrières libérales et commerciales s'ouvrent à vous —</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 120.5pt; text-align: justify;"><span style="text-decoration: underline;"><span style="font-size: 18.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Est-ce là tout ce que vous voulez ?</span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 120.5pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 120.5pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">[...]</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 120.5pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 120.5pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville; color: blue;">Aphorismes sur le modernisme</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 120.5pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville; color: blue;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 120.5pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> Le </span><span style="font-size: 13.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">MODERNISME </span><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">est un prophète criant dans le désert que l'Humanité épuise son temps.</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 120.5pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 120.5pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> La </span><span style="font-size: 13.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">MORALE </span><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">a été inventée comme excuse pour assassiner le voisinage.</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 120.5pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 120.5pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> Les </span><span style="font-size: 13.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">ANARCHISTES </span><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">en art en sont les aristocrates immédiats.</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 120.5pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 120.5pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville; color: blue;">Notes sur l'existence</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 120.5pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 120.5pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> La guerre n'a laissé aucune trace en nous à l'exception de la disgrâce de quelques vieilles dames qui publiquement se vautrent sur la tombe de leurs fils alors qu'elles auraient dû savoir comment mieux les élever. </span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 120.5pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 120.5pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> Tomber amoureux est un tour de passe-passe qui consiste à magnifier un être humain à des proportions telles que toutes les comparaisons s'évanouissent.</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 120.5pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 120.5pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> Considérant ma vie passée, je peux en tirer une loi absolue de la physique — que l'énergie est toujours perdue.</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 120.5pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 120.5pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville; color: blue;">Mina Loy, <em>Manifeste féministe & écrits modernistes</em>, traduction [de l'anglais] et préface d'Olivier Apert, NOUS, 2014, p. 15-16, 49, 50, 51, 59, 61, 61.</span></p><!--EndFragment-->
MILIQUE
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JE DENONCE 8
tag:aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com,2013-12-27:3689889
2013-12-27T12:34:00+01:00
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Je dénonce cette réalité de l'argent Qui fait qu'il y...
<p style="text-align: center;"><img id="media-3093568" style="margin: 0.7em 0pt;" title="" src="http://aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com/media/00/00/1953638897.2.jpeg" alt="DENONCIATION.jpeg" /></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: x-large; color: #0000ff;"><strong><span style="font-family: arial black,avant garde;">Je dénonce cette réalité de l'argent<br /></span></strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: x-large; color: #0000ff;"><strong><span style="font-family: arial black,avant garde;">Qui fait qu'il y aura toujours d'excellents avocats</span></strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: medium; font-family: arial black,avant garde; color: #000080;"><span style="font-size: x-large; color: #0000ff;"><strong>Pour défendre ceux que j'accuse.</strong></span><br /></span></p>
MILIQUE
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LA PISTE AUX ÉTOILES: L'AMOUR ACIDE EST DANGEREUX « DANS MA 4L EN ÉCOUTANT LES METEORS »
tag:aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com,2013-12-23:5252973
2013-12-23T00:36:00+01:00
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LA PISTE AUX ÉTOILES L'AMOUR ACIDE EST DANGEREUX...
<p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><iframe width="280px" height="270px" src="http://download.arteradio.com/static/player/export.html?ids=616278" frameborder="no" marginheight="no" marginwidth="no"></iframe></span></p><p style="text-align: center;"> </p><h1 style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: x-large; color: #000000;"> <a class="read" title="Cacher le contenu de la fiche son nommée La piste aux étoiles" href="http://www.arteradio.com/son/616278/"><span style="color: #000000;"><strong>LA PISTE AUX ÉTOILES</strong></span></a></span><br /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: x-large; color: #0000ff;"> L'AMOUR ACIDE EST DANGEREUX</span></h1><h1 style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large; color: #993300;"> (6’08’’)</span><br /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: x-large; color: #993300;"> « DANS MA 4L EN ÉCOUTANT LES METEORS » </span></h1><div class="authors" style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: x-large;"> <a class="author" title="Afficher la liste des sons de l'auteur Thierry Pelletier" href="http://www.arteradio.com/auteur/609713/thierry_pelletier/">T<strong>hierry PELLETIER</strong></a></span></div><div class="authors" style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong><br /></strong></span></div><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large; color: #008000;"><strong>Une drôle d'histoire d'amour et de toxiques dans les années 80. Rocker et bolchevique, Thierry Pelletier a un cœur gros comme ça et la plume qui va avec pour raconter la zone et les bons moments de la vie. Extrait de son recueil "Les rois du rock" aux éditions Libertalia.</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong><br /></strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Enregistrement : 16 mai 13</strong></span><br /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Mise en ondes & mix : Samuel Hirsch</strong></span><br /><strong>Texte & voix : Thierry Pelletier</strong></p>
MILIQUE
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SONGE CARESSANT
tag:aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com,2013-10-18:3223528
2013-10-18T17:49:00+02:00
2013-10-18T17:49:00+02:00
SONGE CARESSANT Sur l'étroit sentier du jamais...
<p style="text-align: center;"><img id="media-2991276" style="margin: 0.7em 0pt;" title="" src="http://aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com/media/02/02/2583446105.jpg" alt="CARESSE.jpg" /></p><p style="margin-bottom: 0cm;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large; color: #008000;"><strong>SONGE CARESSANT</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Sur l'étroit sentier du jamais encore foulé</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Surgit parfois l'inattendu et le déroutant.</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Les forces de l'ordre et du désordre</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Qui trament l'imaginaire amoureux</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Installent un rapport inédit au monde.</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>S'il est un chemin sur lequel il est aisé de se perdre,</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>C'est bien celui, quêteur, qui se cache</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Sous l'envoûtante flambée d'amour.</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Victime de ses propres égarements,</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Il perçoit le retour d'une lumière dans le désert</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Qui devient rayonnement d’extrême douceur.</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Petit miracle de sensibilité et de délicatesse</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Débordant d'une toute puissance sublime et dérisoire</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Qui ouvre grand l'horizon d'un probable</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Et transforme la vie en songe caressant</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Ne serait-ce que pour brûler un peu de désespérance.</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>P. MILIQUE</strong></span></p>
VALERIE BERGMANN
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Le Kiosque des amoureux XIXème siècle
tag:valeriebergmann.hautetfort.com,2013-10-04:5188472
2013-10-04T18:53:00+02:00
2013-10-04T18:53:00+02:00
Kiosque Peynet à Valence Entrée Mozart (à lire sous la lyre,...
<p style="text-align: center;"><span style="color: #ffcc00;"><strong>Kiosque Peynet à Valence</strong></span></p><p style="text-align: center;"><strong><span><span style="color: #ffcc00;">Entrée Mozart (à lire sous la lyre, au-dessus du cœur doré)</span></span></strong></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4274821" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://valeriebergmann.hautetfort.com/media/01/01/2161012692.jpg" alt="photo,art,kiosque,amoureux,voeu,musiciens,mozart,beethoven,coeur,jardins,valence,drôme" /></p><p style="text-align: center;"><em><span style="color: #ffcc00;">S'embrasser au-dessous porte bonheur, alors si vous passez par là...</span></em></p>
MILIQUE
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A L'UNI DE L'IMPROBABLE
tag:aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com,2013-09-24:5137217
2013-09-24T09:22:00+02:00
2013-09-24T09:22:00+02:00
A L'UNI DE L'IMPROBABLE Le...
<p style="text-align: center;"><img id="media-4207900" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com/media/00/02/3570421902.jpg" alt="au magma present de l'ecriture" /></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: x-large; color: #008000;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">A L'UNI DE L'IMPROBABLE</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"> </strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">Le souci amoureux d'une langue dilatée, distendue,</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">Remue l'ombre et les échos enfouis aux forces obscures</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">D'un texte de presque rien aux fissures majeures,</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">A la fois furtives et inexpugnables</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"> </strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">Bercer cette parole lumineuse! La question est vive</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">De justifier l'apport de nouvelles sensations....</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">Le paradoxe dans l'écriture est qu'il existe parfois</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">Un réel manque de mots pour le dire.</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"> </strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">Le temps de la poésie est lent tendis que le présent urge</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">A tisser la solitude d'une beauté ou celle d'une disgrâce</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">Noircies à l'écriture aigre du dessaisissement</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">De ces vies silencieuses jusqu'à être invisibles,</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">Unissant parfois l'improbable du stable et du mouvement.</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"> </strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">Alors, tenter une prose émouvante comme une musique,</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">Quintessence d'un temps modulé au fil d'un réel réfuté,</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">Et user de la puissance de rassemblement du langage</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">Dans l'entrelacs indéfini des sensations, des odeurs et des sens,</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">Qui seuls autorisent les mots, impudiques, à faire l'amour à la page...</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"> </strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">P. MILIQUE</strong></span></p>
MILIQUE
http://aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com/about.html
S.O.S AMOUREUX
tag:aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com,2013-06-16:5071106
2013-06-16T09:43:00+02:00
2013-06-16T09:43:00+02:00
S.O.S AMOUREUX Il a connu le goût...
<p style="text-align: center;"><img id="media-4102562" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com/media/00/02/958483513.jpg" alt="AMOUR PERDU.jpg" /></p><p style="text-align: center;"> </p><div><h1 style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: x-large; color: #008000;"><strong>S.O.S AMOUREUX </strong></span></h1><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong> </strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Il a connu le goût mielleux du baiser de chair</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Et livré sans retenu son trouble au plaisir permis</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Par cette histoire d’amour magnifiant l’inespéré.</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong> </strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Il s’est nourri avec gourmandise de volupté et de tendresse</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Dans un aboutissement passionnel sans limites.</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong> </strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Mais il doit dans l’urgence exprimer l’intense du vrai :</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Un destin tragique et confus, inextricablement mêlé,</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Les a, tout au long de leur vie, plongés vers le chaos,</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Vers ce but cauchemardesque qu’aucun d’eux n’avait perçu.</strong></span></p></div><div style="text-align: center;"> </div><div><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>De fait, ils souffrent désormais de cette épreuve lourde et moite</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Qui retombe inerte et livide sur leurs cœurs</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Où la fin si redoutée, et si honnie, a déjà commencé.</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong> </strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Cette histoire d’amour, c’est son histoire de vie :</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>C’est aussi celle de son naufrage.</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong> </strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>P. MILIQUE</strong></span></p></div>
Olivier GOMEZ
http://photographe.hautetfort.com/about.html
ET LE BISOU...
tag:photographe.hautetfort.com,2013-06-06:5090416
2013-06-06T14:35:00+02:00
2013-06-06T14:35:00+02:00
... Sur les quais rouennais en fête ;)
<p style="text-align: justify;"> ... Sur les quais rouennais en fête ;)</p><p style="text-align: justify;"><a href="http://photographe.hautetfort.com/media/02/01/3906802380.jpg" target="_blank"><img id="media-4133428" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://photographe.hautetfort.com/media/02/01/184775112.jpg" alt="olivier gomez,photographe corse,armada 2013,rouen" /></a></p>
Kraly
http://lessongesdunenuit.hautetfort.com/about.html
Hommage à Georges...
tag:lessongesdunenuit.hautetfort.com,2013-05-25:5078642
2013-05-25T05:00:00+02:00
2013-05-25T05:00:00+02:00
<p><iframe width="560" height="315" src="http://www.youtube.com/embed/L4l_Lg0PRkA" frameborder="0" allowfullscreen=""></iframe></p>
Kraly
http://lessongesdunenuit.hautetfort.com/about.html
Poème du jour...
tag:lessongesdunenuit.hautetfort.com,2013-03-21:5021189
2013-03-21T05:00:00+01:00
2013-03-21T05:00:00+01:00
Vers amoureux. Comme en un préau d'hôpital de fous Le monde...
<h2 class="h2" style="font-family: Times; font-size: medium;" title="Poème Charles Cros."><span style="color: #ff0000; font-family: 'book antiqua', palatino; font-size: medium;"><img id="media-4023560" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://lessongesdunenuit.hautetfort.com/media/01/01/1072060335.5.jpeg" alt="images-3.jpeg" />Vers amoureux.</span></h2><p><span style="font-family: 'book antiqua', palatino; font-size: medium; color: #cc99ff;">Comme en un préau d'hôpital de fous </span><br /><span style="font-family: 'book antiqua', palatino; font-size: medium; color: #cc99ff;">Le monde anxieux s'empresse et s'agite </span><br /><span style="font-family: 'book antiqua', palatino; font-size: medium; color: #cc99ff;">Autour de mes yeux, poursuivant au gîte </span><br /><span style="font-family: 'book antiqua', palatino; font-size: medium; color: #cc99ff;">Le rêve que j'ai quand je pense à vous.</span><br /><br /><span style="font-family: 'book antiqua', palatino; font-size: medium; color: #cc99ff;">Mais n'en pouvant plus, pourtant, je m'isole </span><br /><span style="font-family: 'book antiqua', palatino; font-size: medium; color: #cc99ff;">En mes souvenirs. Je ferme les yeux ; </span><br /><span style="font-family: 'book antiqua', palatino; font-size: medium; color: #cc99ff;">Je vous vois passer dans les lointains bleus, </span><br /><span style="font-family: 'book antiqua', palatino; font-size: medium; color: #cc99ff;">Et j'entends le son de votre parole.</span><br /><br /><span style="font-family: 'book antiqua', palatino; font-size: medium; color: #cc99ff;"><span class="texte-invisible">xxxxxxxxxxxxxxxxxx</span><strong>*</strong></span><br /><br /><span style="font-family: 'book antiqua', palatino; font-size: medium; color: #cc99ff;">Pour moi, je m'ennuie en ces temps railleurs. </span><br /><span style="font-family: 'book antiqua', palatino; font-size: medium; color: #cc99ff;">Je sais que la terre aussi vous obsède. </span><br /><span style="font-family: 'book antiqua', palatino; font-size: medium; color: #cc99ff;">Voulez-vous tenter (étant deux on s'aide) </span><br /><span style="font-family: 'book antiqua', palatino; font-size: medium; color: #cc99ff;">Une évasion vers des cieux meilleurs ?</span><br /><br /><br /><br /><span style="font-family: 'book antiqua', palatino; font-size: medium;"><span style="color: #ff0000;"><em><a class="citation" title="Poèmes Charles Cros." href="http://www.poesie-francaise.fr/poemes-charles-cros/"><span style="color: #ff0000;">Charles Cros</span></a></em></span>.</span></p>
Sandra Mézière
http://www.inthemoodforluxe.com/about.html
Découvrez le nouveau site d'avis de clients pour les amoureux des hôtels de luxe : http://inthemoodforhotelsdeluxe.com
tag:www.inthemoodforluxe.com,2013-03-17:4987458
2013-03-17T14:19:43+01:00
2013-03-17T14:19:43+01:00
Présentation de Inthemoodforhotelsdeluxe.com (...
<p style="text-align: center;"><span style="text-decoration: underline;"><strong>Présentation de Inthemoodforhotelsdeluxe.com (<a href="http://inthemoodforhotelsdeluxe.com">http://inthemoodforhotelsdeluxe.com</a> ) et du concept du site</strong></span></p><p style="text-align: center;"><a href="http://inthemoodforhotelsdeluxe.com"><img id="media-3970590" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://www.inthemoodforluxe.com/media/01/00/1643572272.jpg" alt="site.jpg" /></a></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="text-decoration: underline;"><strong>Principe du site lancé le 12 février 2013:</strong></span></p><p style="text-align: justify;">Permettre à des clients d’hôtels de luxe de donner leurs avis (vérifiés) sur des hôtels de luxe (minimum 4*) et sur des tea times d’hôtels de luxe, leur permettre de devenir membres du site au bout de trois avis sur des hôtels de luxe et, ainsi, leur permettre de participer aux concours mis en ligne sur le site et de remporter des cadeaux en partenariat avec des marques de luxe.</p><p style="text-align: center;"><span style="text-decoration: underline;"><strong>Pourquoi ce site?</strong></span></p><p style="text-align: justify;">L’idée de ce site est née de notre connaissance et passion des hôtels de luxe mais surtout d’un constat simple. Certes, il existe de multiples sites d’avis de clients mais aucun ne prend en compte la spécificité des établissements et la spécificité de la clientèle habituée des hôtels de luxe. Or, nous pensons que les hôtels de luxe ne répondent ni aux mêmes critères ni aux même exigences qu’un hôtel d’une, deux ou trois étoile(s).</p><p style="text-align: justify;">Lorsque nous cherchons des avis de clients sur ces hôtels de luxe, nous tombons bien souvent sur des sites avec des avis avec lesquels nous sommes en total désaccord car trop indulgents ou ne prenant pas en compte l’exigence qu’implique le standing supposé de ces hôtels, c’est la raison pour laquelle, pour être membre du site, il faudra donner au moins trois avis et donc avoir une certaine expertise dans le domaine des hôtels de luxe, ce qui constituera une vraie garantie pour les lecteurs de ce site (puisque les avis des membres seront signalés comme tels) mais aussi pour les hôteliers ou marques partenaires. Nous distinguons ainsi les avis des lecteurs de ceux des membres ou de l’équipe rédactionnelle du site . Exigence ne signifie cependant pas intransigeance et il s’agit ici d’être aussi juste que possible.</p><p style="text-align: justify;">L’autre atout de notre site est que les avis seront toujours vérifiés. Ainsi, un avis de client sera toujours modéré et devra être accompagné d’une preuve de séjour pour être validé. Au moindre doute, l’avis ne sera pas publié. Par ailleurs, tout établissement qui mettra en doute la fiabilité de cet avis aura un droit de réponse publié sur le site et en cas de preuve de mauvaise foi du supposé client, l’établissement pourra demander le retrait de l’avis.</p><p style="text-align: center;"><strong><span style="text-decoration: underline;">Comment donner votre avis sur un hôtel?</span></strong></p><p style="text-align: justify;">Le site s’enrichira progressivement des avis des clients des hôtels de luxe mais aussi de ceux la rédaction d’Inthemoodforhotelsdeluxe.com.</p><p style="text-align: justify;">Ces avis de clients devront être accompagnés de l’envoi d’une preuve de séjour (de préférence une facture) et être datés. Tout avis non fiable sera refusé.</p><p style="text-align: justify;"><span style="text-decoration: underline;"><strong>Pour donner votre avis:</strong></span></p><p style="text-align: justify;">1/ <strong>Si l’hôtel figure déjà dans notre base de données et possède déjà sa fiche, il vous suffira</strong>:</p><p style="text-align: justify;">a/ de copier/coller le formulaire d’avis de clients dans « poster un commentaire » suite à la fiche de l’hôtel concerné, de remplir le formulaire en Français et de le valider en cliquant sur »poster un commentaire » puis</p><p style="text-align: justify;">b/ de joindre la preuve de votre séjour à votre commentaire (de préfèrence une facture), par email, à <a href="mailto:inthemoodforluxe@gmail.com"><span style="color: #6d6d6d;">inthemoodforluxe@gmail.com</span></a> en précisant, dans l’intitulé de votre email, le nom de l’hôtel précédé de la mention « Formulaire client ».</p><p style="text-align: justify;">2/<strong> Si l’hôtel ne figure pas encore dans notre base de données, et à condition qu’il s’agisse au mimimum d’un hôtel 4 étoiles</strong>, il vous suffira alors :</p><p style="text-align: justify;">de copier/coller et remplir le formulaire d’avis de clients en Français et de nous l’envoyer par email accompagné de votre preuve de séjour à <a href="mailto:inthemoodforluxe@mail.com"><span style="color: #6d6d6d;">inthemoodforluxe@mail.com</span></a> avec, également, le nom de l’hôtel concerné dans l’intitulé de votre email précédé de la mention « Formulaire client ». Dans votre email, il vous faudra préciser les nom et prénom sous lesquels vous souhaitez que votre fiche soit publiée.</p><p style="text-align: justify;">Dans tous les cas, vous devrez préciser si vous avez déjà laissé un avis sur le site puisque, au bout de trois avis sur des hôtels, vous deviendrez membre du site. Un numéro vous sera attribué vous permettant ainsi de participer à nos concours. Il vous suffira de nous rappeler votre numéro de membre à chaque nouvel avis.</p><p style="text-align: center;"><span style="text-decoration: underline;"><strong>Le barème de notation des hôtels:</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #ff0000;">1M</span>: Inadmissible. N’a de luxe que le nom.</p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #ff0000;">2M</span>: Médiocre.</p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #ff0000;">3M</span>: Pas mal.</p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #ff0000;">4M</span>: Bien.</p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #ff0000;">5M</span>: Très bien</p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #ff0000;">Label inthemoodforluxe</span> : Etablissement remarquable et singulier dans lequel l’exception(nel) est la règle. Ce label pourra aussi être attribué par la rédaction si nous avons testé l’hôtel.</p><p style="text-align: center;"><span style="text-decoration: underline;"><strong>FORMULAIRE D’AVIS DE CLIENT POUR LES HÔTELS DE LUXE:</strong></span></p><p style="text-align: center;"><em>Vous pouvez, si vous le souhaitez, ajouter un commentaire à votre notation, pour chaque critère que vous devrez noter de 1M à 5M, et jusqu’au « Label Inthemoodforluxe » pour l’appréciation globale. </em></p><p style="text-align: center;">-Nom de l’établissement:</p><p style="text-align: center;">-Ville/Etat/ Continent de l’établissement:</p><p style="text-align: center;">- Si vous êtes membre de Inthemoodforhotelsdeluxe.com (si vous avez déjà laissé 3 avis sur des hôtels de luxe, avis validés et vérifiés), donnez ici votre numéro de membre attribué par Inthemoodforhotelsdeluxe.com sinon laissez ce champ libre:</p><p style="text-align: center;">-Dates de votre séjour:</p><p style="text-align: center;">-Service (1M à 5M):</p><p style="text-align: center;">-Amabilité (1M à 5M):</p><p style="text-align: center;">-Propreté (1M à 5M):</p><p style="text-align: center;">-Loisirs/Animations (1M à 5M):</p><p style="text-align: center;">-Gastronomie (1M à 5M):</p><p style="text-align: center;">-Situation (1M à 5M):</p><p style="text-align: center;">-Décoration (1M à 5M):</p><p style="text-align: center;">-Confort de la chambre (1M à 5M):</p><p style="text-align: center;">-Equipements de l’hôtel (1M à 5M):</p><p style="text-align: center;">-Rapport qualité/prix (1M à 5M):</p><p style="text-align: center;">-Originalité- Le(s) plus qui fait/font de cet hôtel un établissement « in the mood for luxe» (1M à 5M):</p><p style="text-align: center;">-Inconvénient(s) de cet hôtel (facultatif):</p><p style="text-align: center;">-Recommanderiez-vous cet hôtel (Oui ou Non):</p><p style="text-align: center;">- Remarques et/ou conseils pour les futurs clients (facultatif):</p><p style="text-align: center;">-Bilan et appréciation globale (Attention: c’est cette note qui permettra d’attribuer une classification à l’établissement. Vous pouvez, si vous le souhaitez, ajouter des commentaires à votre notation) – (1M à 5M ou Label inthemoodforluxe ):</p><p style="text-align: center;"><span style="text-decoration: underline;"><strong><strong>FORMULAIRE D’AVIS DE CLIENTS POUR LES TEA TIMES DES HÔTELS DE LUXE:</strong></strong></span></p><p style="text-align: justify;">Le site propose aussi de tester les tea times des hôtels de luxe (au minimum 4 étoiles ) qui seront notés, de 1M à 5M, et pourront aussi obtenir le Label inthemoodforluxe. Ils sont jugés selon les critères suivants:</p><p style="text-align: center;">-Service (1M à 5M):</p><p style="text-align: center;">-Amabilité (1M à 5M):</p><p style="text-align: center;">-Qualité des mets et boissons du tea time (1M à 5M):</p><p style="text-align: center;">-Variété des mets et boissons proposés (1M à 5M):</p><p style="text-align: center;">-Situation de l’établissement (1M à 5M):</p><p style="text-align: center;">-Décoration du lieu où est servi le tea time (1M à 5M):</p><p style="text-align: center;">-Recommanderiez-vous ce tea time ( Oui ou Non):</p><p style="text-align: center;">-Le (s) plus de ce tea time:</p><p style="text-align: center;">-Le(s)e moins de ce tea time:</p><p style="text-align: center;">-Appréciation globale (1M à 5M ou label inthemoodforluxe) avec un commentaire si vous le souhaitez:</p><p style="text-align: center;"><span style="text-decoration: underline;"><strong>Comment devenir membre du site?</strong></span></p><p style="text-align: justify;">A partir de 3 avis vérifiés sur des hôtels de 4 étoiles minimum (hors tea times), vous pourrez devenir membres du site. Un numéro vous sera attribué. Vous pourrez ainsi participer aux concours qui vous permettront de remporter des cadeaux de luxe (séjours ou autres en fonction de nos partenariats). Les avis laissés par des membres seront également spécifiés comme tels et différenciés des avis des simples lecteurs du site.</p><p style="text-align: center;"><span style="text-decoration: underline;"><strong>Marques, hôtels : Comment devenir partenaire du site?</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="text-decoration: underline;"><strong>3 possibilités s’offrent à vous:</strong></span></p><p style="text-align: justify;">1/Vous êtes un établissement hôtelier, un groupe hôtelier ou une marque de luxe dans le domaine du tourisme ou un autre domaine et vous souhaitez faire figurer une publicité sur ce site afin de cibler votre clientèle? Des encarts publicitaires (photos ou vidéos), de différents formats et à différents emplacements, d’une durée de 15 jours à 1 an pourront vous être alloués. Contactez-nous à <a href="mailto:inthemoodforluxe@gmail.com"><span style="color: #6d6d6d;">inthemoodforluxe@gmail.com</span></a> pour en savoir plus.</p><p style="text-align: justify;">2/Vous êtes un établissement hôtelier et vous souhaitez qu’une nuit dans votre établissement fasse l’objet d’un concours et soit testé par un de nos membres. Dans ce cas, le client gagnant donnera son avis sur votre établissement qui figurera à la une du site (dans le slider, menu déroulant). Contactez-nous à <a href="mailto:inthemoodforluxe@gmail.com"><span style="color: #6d6d6d;">inthemoodforluxe@gmail.com</span></a> .</p><p style="text-align: justify;">3/ Vous êtes une marque de luxe dans le domaine du tourisme ou un autre domaine et vous souhaitez qu’un lot (vêtements, accessoires de luxe etc) soit l’objet d’un de nos concours. Dans ce cas, votre marque sera citée et mise en avant. Contactez-nous à <a href="mailto:inthemoodforluxe@gmail.com"><span style="color: #6d6d6d;">inthemoodforluxe@gmail.com</span></a> .</p><p style="text-align: justify;">Pour toute autre suggestion de partenariat ou si vous souhaitez que votre établissement soit testé ou visité par la rédaction d’inthemoodforhotelsdeluxe.com, vous pouvez également nous contacter à <a href="mailto:inthemoodforluxe@gmail.com"><span style="color: #6d6d6d;">inthemoodforluxe@gmail.com</span></a> .</p><p style="text-align: justify;"><strong><span style="text-decoration: underline;">Contact</span></strong></p><p style="text-align: justify;">Pour toute autre question, proposition, réclamation, relation presse etc, vous pouvez nous contacter par email à <a href="mailto:inthemoodforluxe@gmail.com"><span style="color: #6d6d6d;">inthemoodforluxe@gmail.com</span></a></p><p style="text-align: justify;"><span style="text-decoration: underline;"><strong>Réseaux sociaux</strong></span></p><p style="text-align: justify;">Suivez-nous également sur twitter ( <a href="http://twitter.com/leshotelsdeluxe"><span style="color: #6d6d6d;">http://twitter.com/leshotelsdeluxe</span></a> ) et Facebook (<a href="http://facebook.com/inthemoodforhotelsdeluxe"><span style="color: #6d6d6d;">http://facebook.com/inthemoodforhotelsdeluxe</span></a> ).</p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><strong>Découvrez le site : <a href="http://inthemoodforhotelsdeluxe.com">http://inthemoodforhotelsdeluxe.com</a></strong></span></p>
MILIQUE
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Paul ELUARD: ”JE NE SUIS PAS SEUL”
tag:aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com,2012-12-20:4933730
2012-12-20T22:11:00+01:00
2012-12-20T22:11:00+01:00
JE NE SUIS PAS SEUL POEMES DE L'ETE 23/07/1979 -...
<p style="text-align: center;"><iframe width="425" height="319" frameborder="0" marginheight="0" marginwidth="0" scrolling="no" src="http://www.ina.fr/video/embed/CPB79055961/1019544/f6d4ef1e5d2a7f5359b350d693da3394/425/319/0"></iframe></p><p style="text-align: center;"> </p><h2 class="titre-propre" style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: x-large;"><strong>JE NE SUIS PAS SEUL</strong></span></h2><p style="text-align: center;"><span style="color: #339966; font-family: arial black,avant garde; font-size: x-large;"><strong>POEMES DE L'ETE</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #0000ff; font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>23/07/1979 - 01min58s</strong></span></p><p style="text-align: center;"> </p><h3 class="titre-propre" style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Production</strong></span></h3><p style="text-align: center;"> </p><fieldset><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong><label>producteur ou co-producteur:</label> </strong></span><div><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong> Antenne 2 </strong></span></div></fieldset><h3 class="titre-propre" style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Générique</strong></span></h3><p style="text-align: center;"> </p><fieldset><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong><label>réalisateur:</label></strong></span><div><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong> Sanders, Dirk </strong></span></div></fieldset><p style="text-align: center;"> </p><fieldset><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong><label>auteur de l'oeuvre pré-existante:</label></strong></span><div><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong> Eluard, Paul </strong></span></div></fieldset><p style="text-align: center;"> </p><fieldset class="dernier"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong><label>interprète:</label></strong></span><div style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong> Weber, Jacques </strong></span></div></fieldset>
MILIQUE
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LES FRANCAIS ET LE LIVRE: ”BOOK CROSSING”
tag:aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com,2012-11-05:4886372
2012-11-05T01:10:00+01:00
2012-11-05T01:10:00+01:00
BOOK CROSSING C'est mieux ensemble...
<p style="text-align: center;"><iframe width="425" height="319" frameborder="0" marginheight="0" marginwidth="0" scrolling="no" src="http://www.ina.fr/video/embed/2653965001009/1019544/f6d4ef1e5d2a7f5359b350d693da3394/425/319/0"></iframe></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"> </p><h2 class="titre-propre" style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: arial black,avant garde; font-size: x-large;"><strong>BOOK CROSSING</strong></span></h2><p style="text-align: center;"><span style="color: #0000ff; font-family: arial black,avant garde; font-size: x-large;"><strong>C'est mieux ensemble</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>16/09/2004 - 04min33s</strong></span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="color: #339966; font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Reportage sur le book crossing, le passe livre. Des amoureux des livres qui ont envie de les faire partager les abandonnent dans la ville. Un forum internet permet de les suivre. Commentaire sur images factuelles alternant avec les interviews de deux book crossers, qui se rencontrent pour la première fois.</strong></span></p><p style="text-align: center;"> </p><div class="hab-qr" style="text-align: center;"><h3 class="titre-propre"><span style="color: #000000; font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Production</strong></span></h3><fieldset><span style="color: #000000; font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong><label>producteur ou co-producteur:</label> </strong></span><div><span style="color: #000000; font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong> France 3 Rennes </strong></span></div></fieldset><h3 class="titre-propre"><span style="color: #000000; font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Générique</strong></span></h3><fieldset><span style="color: #000000; font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong><label>journaliste:</label></strong></span><div><span style="color: #000000; font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong> Grammont, Stéphane </strong></span></div></fieldset><fieldset class="dernier"><span style="color: #000000; font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong><label>journaliste reporter d'images:</label></strong></span><div><span style="color: #000000; font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong> Bouilly, Thierry </strong></span></div></fieldset></div><div class="bas" style="text-align: center;"> </div>
Ventura's blog
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MARIONS-LES !
tag:lespoemesdolivia.hautetfort.com,2012-09-12:4831278
2012-09-12T21:42:00+02:00
2012-09-12T21:42:00+02:00
Il t'a ouvert ses bras, Tu ne le voyais pas, Tu es devenue sa reine,...
<p style="text-align: center;"><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif; font-size: small;">Il t'a ouvert ses bras,</span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif; font-size: small;">Tu ne le voyais pas,</span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif; font-size: small;">Tu es devenue sa reine,</span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif; font-size: small;">Tu t'es sentie sereine,</span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif; font-size: small;"><br /></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif; font-size: small;">Tu as enfin osé,</span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif; font-size: small;">Tu t'es exprimé,</span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif; font-size: small;">Tu as pris ton envol,</span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif; font-size: small;">Sans perdre la boussole,</span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif; font-size: small;"><br /></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif; font-size: small;">Tu as longtemps douté,</span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif; font-size: small;">Et sans te l'avouer,</span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif; font-size: small;">Tu voulais grandir,</span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif; font-size: small;">Et ne plus souffrir,</span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif; font-size: small;"><br /></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif; font-size: small;">A pas de velours,</span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif; font-size: small;">Est né votre amour,</span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif; font-size: small;">Soyez heureux,</span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif; font-size: small;">Les amoureux !</span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif; font-size: small;"><br /></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif; font-size: small;"><br /></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif; font-size: x-small;">A Nathalie et Maurice</span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif; font-size: x-small;">pour leur mariage 11.08.12</span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif; font-size: small;"><span style="font-size: x-small;">4.07.12</span><br /></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif; font-size: small;"><br /></span></p>
L'autre jour
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Amûr libre
tag:lautrejour.hautetfort.com,2012-08-06:4799278
2012-08-06T22:36:00+02:00
2012-08-06T22:36:00+02:00
Ça vous évoque l’amour, ça ? Moi, ça me ferait plutôt penser à...
<p><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif; font-size: medium;">Ça vous évoque l’amour, ça ?</span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: medium;"><img id="media-3695345" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lautrejour.hautetfort.com/media/01/02/3121166817.JPG" alt="2012-07-25 Cadenas N-Dame DSCN5677_713 (Small).JPG" /></span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif; font-size: medium;">Moi, ça me ferait plutôt penser à certains gadgets médiévaux verrouillés pour rouiller.</span></p><p style="text-align: right;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif;">Il y a des bouquinistes pour vendre ces choses 8 euros.</span><img id="media-3695361" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lautrejour.hautetfort.com/media/01/01/1539841706.JPG" alt="2012-07-25 Cadenas N-Dame DSCN5679_715 (Small).JPG" /></span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif;">On trouve les tailles et modèles les plus divers.</span><img id="media-3695354" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lautrejour.hautetfort.com/media/02/00/1909150417.JPG" alt="2012-07-25 Cadenas N-Dame DSCN5680_716 (Small).JPG" /></span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif; font-size: medium;">Il y a même des antivols en U. Je vous épargne la photo.</span></p><p><span style="font-size: medium;"><img id="media-3695367" style="margin: 0.7em auto; display: block;" title="" src="http://lautrejour.hautetfort.com/media/01/00/33033324.JPG" alt="2012-07-25 Cadenas N-Dame DSCN5678_714 (Small).JPG" /></span></p><p><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif; font-size: medium;">Seul mérite à leur reconnaître, ils luisent plutôt joliment, au soleil couchant – vus de loin.</span></p><p><span style="font-size: medium;"><img id="media-3695369" style="margin: 0.7em auto; display: block;" title="" src="http://lautrejour.hautetfort.com/media/02/00/3430281276.JPG" alt="2012-07-31 Cadenas DSCN5691_725 (Small).JPG" /></span></p><p><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif; font-size: medium;">Comment ça, « tu es aigrie, tu dis ça par pure jalousie, parce que tu n’as pas de cadenas, toi » ? </span></p><p><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif; font-size: medium;">Pas du tout. Tenez, une preuve de ma bienveillance envers les ferrailleurs amoureux :</span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: medium;"><strong><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif;">« Encadenassés de tous les pays, aimez-vous librement ! »</span></strong></span></p><p><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif; font-size: medium;">Car aimer, c'est donner la liberté, non ?</span></p><p><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif; font-size: medium;">Et, vous qui visitez Paris l’été, allez faire un tour à quelques encablures de là, un peu plus en amont sur le fleuve. Pas besoin de débourser 8 euros, c’est gratuit. On y danse sur de la salsa ou d’autres rythmes pas enchaînés pour un sou et qui ne connaissent pas la rouille. Les corps ont l’air de n’appartenir qu'à ceux qui les remuent. Et on n’y voit pas le moindre cadenas à l’horizon. Enfin, à un horizon de quelques encablures.</span></p>
MILIQUE
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A L'UNI DE L'IMPROBABLE
tag:aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com,2012-06-14:4638754
2012-06-14T06:29:00+02:00
2012-06-14T06:29:00+02:00
A L'UNI DE L'IMPROBABLE Le souci amoureux...
<p style="text-align: center;"><img id="media-3489118" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com/media/01/01/4261905518.jpeg" alt="ecrivain-public__a177767.jpeg" /></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-size: medium;">A L'UNI DE L'IMPROBABLE </span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-size: medium;">Le souci amoureux d'une langue dilatée, distendue,</span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-size: medium;">Remue l'ombre et les échos enfouis aux forces obscures</span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-size: medium;">D'un texte de presque rien aux fissures majeures,</span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-size: medium;">A la fois inscrites dans le furtif et l'inexpugnable.</span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-size: medium;">Bercer cette parole lumineuse! La question est vive</span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-size: medium;">De justifier l'apport de nouvelles sensations....</span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-size: medium;">Le paradoxe dans l'écriture est qu'il existe parfois</span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-size: medium;">Un réel manque de mots pour l'exprimer.</span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-size: medium;">Le temps de la poésie est lent tandis que le présent urge,</span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-size: medium;">A tisser la solitude d'une beauté ou bien d'une disgrâce</span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-size: medium;">Noircies à l'écriture aigre du dessaisissement</span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-size: medium;">De ces vies silencieuses jusqu'à être invisibles,</span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-size: medium;">Unissant parfois l'improbable du stable et du mouvement.</span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-size: medium;">Alors, tenter une prose émouvante comme une musique,</span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-size: medium;">Quintessence d'un temps modulé au fil d'un réel réfuté,</span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-size: medium;">Et user de la puissance de rassemblement du langage</span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-size: medium;">Dans l'entrelacs indéfini des sensations, des odeurs et des sens,</span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-size: medium;">Qui seuls autorisent les mots, impudiques, à faire l'amour à la page... </span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-size: medium;">P. MILIQUE </span></p>
Frasby
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tag:certainsjours.hautetfort.com,2012-06-12:4662177
2012-06-12T22:34:00+02:00
2012-06-12T22:34:00+02:00
Photo : Danse et...
<p style="text-align: justify;"> </p><p><a href="http://certainsjours.hautetfort.com/archive/2011/12/12/la-chair-est-tendre.html" target="_blank"><img id="media-3517432" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://certainsjours.hautetfort.com/media/00/01/262773888.JPG" alt="couple champetreCF2011.JPG" /></a></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify; padding-left: 60px;"><a href="http://www.backtoclassics.com/images/pics/gustavecourbet/gustavecourbet_loversinthecountryside.jpg" target="_blank"><object id="gsSong2958500944" width="227" height="40" data="http://grooveshark.com/songWidget.swf" type="application/x-shockwave-flash"><param name="wmode" value="window" /><param name="allowScriptAccess" value="always" /><param name="flashvars" value="hostname=cowbell.grooveshark.com&songIDs=29585009&style=metal&p=0" /><param name="src" value="http://grooveshark.com/songWidget.swf" /><img src="http://www.hautetfort.com/admin/javascript/tinymce/themes/advanced/img/trans.gif" class="mceItemMedia mceItemFlash" width="227" height="40" data-mce-json="{'video':{},'params':{'wmode':'window','allowScriptAccess':'always','flashvars':'hostname=cowbell.grooveshark.com&songIDs=29585009&style=metal&p=0','src':'http://grooveshark.com/songWidget.swf'},'object_html':'<span>Le Printemps Des Amoureux Est Venu by <a href="http://grooveshark.com/artist/Jonathan+Richman/22912" title="Jonathan Richman">Jonathan Richman</a> on Grooveshark</span>'}" alt="" /></object></a></p><p style="text-align: justify; padding-left: 90px;"> </p><p style="padding-left: 90px; text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="text-decoration: underline;">Photo</span> : Danse et chant du printemps. Les amoureux de Lyon, photographiés, s'en allant <a href="http://uploads2.wikipaintings.org/images/pierre-auguste-renoir/the-lovers.jpg" target="_blank">au Parc.</a> Un bref instant d'apaisement pour <a href="http://certainsjours.hautetfort.com/archive/2009/07/14/coeur-de-lyon.html" target="_blank">oublier</a> les<a href="http://www.ledauphine.com/fr/images/EF532E55-69D6-48EC-834A-F6FF6799D0CB/LDL_06/le-tweet-controverse-de-valerie-trierweiler.jpg" target="_blank"> aviniles hirosites ed glureche</a> et de <a href="http://www.youtube.com/watch?v=rjDQjUfuGW0" target="_blank">sajoulie...</a></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;">© Frb 2012</p>
MILIQUE
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A L'AFFUT DE LA VERITE
tag:aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com,2012-03-09:4019003
2012-03-09T06:58:00+01:00
2012-03-09T06:58:00+01:00
A L'AFFUT DE LA VERITE Les poèmes sont de surprenantes...
<p style="text-align: center;"><img id="media-3345027" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com/media/00/00/1426029227.jpg" alt="poesie.jpg" /></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="margin-top: 0.49cm; margin-bottom: 0.21cm;" align="CENTER"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>A L'AFFUT DE LA VERITE<br /><br /><br />Les poèmes sont de surprenantes esquisses<br />Dont l'approche est comme un frôlement amoureux.</strong></span></p><p style="margin-top: 0.49cm; margin-bottom: 0.21cm;" align="CENTER"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong><br />Être de mots à l'imaginaire créateur,<br />Il s'octroie des heures d'exaltation<br />A composer des textes tels des chansons de signes.</strong></span></p><p style="margin-top: 0.49cm; margin-bottom: 0.21cm;" align="CENTER"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong><br />La main court et court encore<br />Au cœur d'un certain idéal poétique,<br />Grande exploratrice de la pensée.</strong></span></p><p style="margin-top: 0.49cm; margin-bottom: 0.21cm;" align="CENTER"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong><br />Alors, avec des accès d'ingénuité plutôt touchants,<br />Il s'offre des possibilités quasi inépuisables<br />Rien qu'à débusquer un essentiel à l'affût de la vérité.<br /><br /><br />P. MILIQUE</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm;"> </p>
Claudine
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LES CONTES DE POLYCARPE : Le Gué Renviens (3e conte)
tag:claudinecholletecrivain.hautetfort.com,2012-01-10:4376093
2012-01-10T14:57:00+01:00
2012-01-10T14:57:00+01:00
J'ai extrait du tome IV ( POLYCARPE, LE NOMBRE D'OR) trois anecdotes...
<h4 style="text-align: justify;"><em><span style="color: #000080;">J'ai extrait du tome IV ( POLYCARPE, LE NOMBRE D'OR) trois anecdotes inventées pour illustrer l'histoire du village, composées sous forme de contes, dans "l'esprit" du Décaméron. C'est à dire de façon imagée et burlesque qui décrit avec empathie les pitoyables humains...</span></em></h4><p style="text-align: center;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: large; color: #000080;">troisième conte</span><br /><br /></p><p style="text-align: left;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: large; color: #000080;"> LE GUÉ RENVIENS<br /><br />Des dialogues décousus s’échangeaient autour de la table. Un moment, il fut question des sites sacrés et de la légende de Frère Prosper. Basile raconta, pour ceux qui ne la connaissaient pas, la version originale de Max. Des applaudissements saluèrent le conteur et l’inventeur de la légende. <br />− Vous devriez faire profiter tous nos amis de la légende du Cheval mort, dit Polycarpe.<br />− Non, non, se défendit le centenaire. C’est trop long, je n’ai pas assez de souffle. Avez-vous écouté celle que j’ai enregistrée sur le magnéto ?<br />− Le gué de Renviens ! Oui, oui. C’est captivant.<br />− Raconte, raconte ! implora Zorba.<br />− Max, s’il vous plait, on adore vos histoires, l’encouragea Lily.<br />− Allez, Max, ne vous faites pas prier, insista Basile.<br />− Bon, chevrota Max, si vous y tenez.<br />− Parle à ton rythme, nous avons la vie devant nous, lui chuchota son optimiste épouse.<br />Les convives s’accoudèrent, tout ouïe. Zorba se précipita sur les genoux de son grand-père. Le silence n’était interrompu que par quelques stridulations de pipits.<br /><br />Il faut s’imaginer au début du XVIIIe siècle, commença-t-il. Cette histoire dont la fin étrange ne fut jamais vraiment élucidée, s’est déroulée ici, à Rochebourg. Vous connaissez tous la maison qui porte encore le nom de “L’huilerie” : elle abritait, à ce moment-là, le moulin à huile de la paroisse. </span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: large; color: #000080;"><br /></span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-3378725" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://claudinecholletecrivain.hautetfort.com/media/01/00/2826414584.jpg" alt="moulin à huile de noix.jpg" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: large; color: #000080;">Maître Jehan Coulefin, patron huilier de père en fils, était flanqué six mois durant d’un commis surnommé Casse-noix, chargé de séparer les amandes des coques, lequel se louait au maréchal-ferrant le reste de l’année. Ce notable aisé avait été séduit par une belle rousse gironde qui lui faisait des yeux de velours mais louchait en réalité sur sa fortune. Une fille, prénommée Anastasie, naquit quelques mois seulement après leurs noces, scellant définitivement une bien malheureuse union. <br />Les années passant, la fillette devenait de plus en plus gracieuse tandis que l’épouse se métamorphosait en énorme matrone acariâtre. Asthmatique, elle ne pouvait plus dormir autrement qu’assise et son obésité la clouait sur son fauteuil également la journée. Coulefin compensait cette union désastreuse en vouant à sa fille une véritable adoration. <br />Il s’occupait aussi de quelques fermières des environs, mais passons. <br />Anastasie était son rayon de soleil, sa joie de vivre, ce que son acrimonieuse épouse, aigrie et jalouse, lui faisait payer en poussant des cris à casser la tête et en lançant des ordres, enrageant de n’être pas obéie au doigt et à l’œil. Elle s’empoisonnait le sang de ne pouvoir obtenir de Coulefin l’allégeance absolue. <br />L’argent était la seule chose qui la calmait et la consolait, aussi son mari lui confia-t-il les comptes de l’huilerie pour avoir la paix. Elle comptait et recomptait les pièces d’or, les faisait couler dans ses mains, caressait les lingots, entrait en extase à la pensée de sa richesse. Si bien que Coulefin conçut une sorte de siège coffre-fort sur lequel l’épouse trônait, nuit et jour, comme une poule qui couve ses œufs. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: large; color: #000080;"><br /></span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-3378729" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://claudinecholletecrivain.hautetfort.com/media/02/01/2120999896.jpeg" alt="maritorne.jpeg" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: large; color: #000080;">Or, un jour, deux brigands firent irruption dans l’huilerie, saucissonnèrent Coulefin et entreprirent de lui griller les orteils pour lui faire dire où se trouvait sa fortune. Alors qu’il était sur le point de révéler l’astucieuse cachette aux chauffeurs affairés à le torturer, la maritorne quitta son coffre-trône et, saisissant les maillets destinés à casser les noix, leur asséna des coups sur la tête propres à assommer un bœuf. Puis elle les ligota et libéra Coulefin. Avait-elle agi ainsi pour sauvegarder son époux ou son or ? Nul ne le saura jamais car toutes ces émotions lui furent fatales. Le cœur lâcha. Morte, elle se répandit sur le sol comme de la gelée de veau. En attendant, elle avait sauvé la fortune de l’huilier. <br />Anastasie devint une jeune fille merveilleuse. Riche, jolie et savante, elle savait également tenir une maison à la perfection. De nombreux clients et fournisseurs avaient l’occasion de l’apercevoir, lisant sur le balcon, brodant dans son petit jardin, ou l’entendaient chanter et jouer de la musique. Avec eux, elle échangeait facilement quelques mots, joyeux et candides. </span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-3378731" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://claudinecholletecrivain.hautetfort.com/media/00/00/1461306312.jpg" alt="jeune fille brodant.jpg" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: large; color: #000080;"><br />Pour Coulefin, Anastasie était toujours sa petite fille qu’il ne voulait pas voir grandir. Jusqu’au moment où elle fut invitée à son premier bal. Il refusait d’admettre que son adorable trésor était en âge de se marier. Il ne pouvait même pas imaginer la maison sans elle, sans ses rires et son joyeux babil. Il subtilisa les invitations, éconduisit les nombreux partis. Lorsqu’un jeune prétendant, Fortunio Fromentin, auquel il trouva l’air complètement idiot, eut le culot de demander la main de sa fille et d’insister, Coulefin fut pris d’une rage folle et le chassa à coups de bâton. Il ignorait que ce jeune homme et Anastasie se connaissaient depuis plusieurs mois. <br />En apportant sa cargaison de fruits à l’huilerie, l’automne passé, Fortunio avait aperçu Anastasie et ressenti un vrai coup de foudre. Pour la revoir, il avait proposé à tous les paysans de porter leurs noix au moulin. Les jeunes gens s’étaient parlé et − oh, merveille ! − avaient découvert qu’ils avaient exactement les mêmes goûts, les mêmes avis, les mêmes envies. Et depuis, quand Fortunio venait chercher son contingent d’huile, grâce à la complicité de Casse-noix qui faisait le guet, les jeunes gens flirtaient dans le pailler. <br />Lorsque Coulefin surprit les amoureux, il cloîtra sa fille dans sa chambre et fit poser des barreaux aux fenêtres. Anastasie, qui avait été une enfant docile et aimante, se mit à détester ce père possessif. Elle inventa un stratagème pour le tromper et retrouver Fortunio. Contre quelques pistoles, elle obtint de Casse-noix qu’il reproduise chez son maréchal-ferrant un double des grosses clés de son appartement. Ainsi, Fortunio se laissait enfermer dans la soue, l’ancien abri à cochons depuis longtemps désaffecté et, muni de la copie des clés, il se glissait la nuit dans le lit d’Anastasie.<br />Le jour arriva enfin où les jeunes gens décidèrent de vivre leur vie. Anastasie était résolue à quitter cette maison devenue sa prison. Fortunio avait trouvé la chaumière où abriter leur amour et un emploi de palefrenier dans un relais de poste. Anastasie écoula discrètement ses affaires et quelques petits objets auxquels elle tenait beaucoup dans les charrettes des fournisseurs. Elle comptait naïvement sur la complicité de Casse-noix. <br />Vous vous doutez que ce commis vénal n’avait pas trouvé mieux, pour doubler la mise, que vendre la mèche en prévenant Coulefin. Celui-ci, aveuglé par le dépit d’avoir été trompé, n’éprouvait plus aucune pitié pour cette fille adorée qu’il aurait préféré voir morte plutôt que libre. Il laissa la fuite s’organiser pour les surprendre le moment venu. Il facilita même les choses en graissant la patte de Casse-noix pour “oublier” les clés sur les portes. Le commis reçut une somme aussi élevée de la main d’Anastasie pour la même mission.<br />La nuit du départ, Fortunio enroba les sabots de son cheval avec des haillons pour arriver silencieusement à l’huilerie. Anastasie, enveloppée d’une cape sombre, sortit dans la ruelle et, soulevée par Fortunio, monta en croupe pour la première fois de sa vie. </span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-3378733" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://claudinecholletecrivain.hautetfort.com/media/00/02/21991917.jpg" alt="fuite des amoureux.jpg" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: large; color: #000080;"><br />Voilà nos deux amoureux en route, au petit trot, vers leur destinée. Ils devaient longer la rivière jusqu’au petit pont de madriers qui se trouve près de chez Flora.<br />Mais soudain, un bruit effrayant de galopade et de ferraille les alerta. La nuit était assez claire pour distinguer les poitrails brillants de deux montures qui semblaient fondre sur eux à la vitesse de la lumière, chevauchées par des cavaliers noirs et masqués. Coulefin avait engagé deux spadassins pour leur barrer la route et, si nécessaire, les éliminer.<br />Que faire ? Devant eux la rivière profonde était infranchissable. À cet endroit, le courant était vif. Qu’ils s’enfuient en aval ou en amont de la rive, les hommes à leurs trousses les rattraperaient comme l’éclair. Le cheval de Fortunio se cabrait, hennissait, sentant le danger. Ils étaient perdus.</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-3378736" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://claudinecholletecrivain.hautetfort.com/media/01/00/735502927.jpg" alt="torrent.jpg" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: large; color: #000080;"><br />C’est alors qu’une chose se produisit, vraiment incroyable sous les yeux épouvantés des poursuivants dont les montures pilèrent d’effroi. La foudre venue de nulle part crépita sur la rivière et les eaux se séparèrent. Le cheval de Fortunio fit une volte gracieuse puis caracola dans le lit de la rivière qui, lorsqu’ils furent de l’autre côté, reprit son cours normal. <br />Qu’à cela ne tienne, les tueurs à gages empoignèrent leurs arquebuses, visèrent les cavaliers, tirèrent. Et là, second miracle, le cheval et les amoureux en selle, comme une bulle qui éclate, disparurent instantanément. <br />On dit que le soulèvement du fond du lit qui forme à cet endroit comme une minuscule île permettant de passer à gué s’est constitué à cette occasion. <br />Les deux sbires ne demandèrent pas leur reste et galopèrent jusqu’aux confins du royaume. Mais la rumeur de cette aventure surnaturelle revint au pays et aux oreilles de Coulefin qui en perdit la raison. Tous les jours, jusqu’à la fin de sa vie, il se rendait à l’endroit de la rivière où sa fille avait disparu et il l’appelait lugubrement : <br />« Anastasie ! Renviens-toi ! Renviens-toi ! »<br />Depuis cet endroit fut baptisé le gué de Renviens. <br />Quant à nos amoureux, la légende prétend qu’ils se sont bel et bien retrouvés sains et saufs à quelques lieues de là, que Fortunio a fait de bonnes affaires et qu’ils eurent une nombreuse descendance. D’après les registres de la paroisse, chaque fille aînée de la lignée se prénomme Anastasie. Et la dernière aurait émigré… à La Réunion. Dit-on.<br /></span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-3378737" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://claudinecholletecrivain.hautetfort.com/media/01/00/2291936538.jpg" alt="chaumi10.jpg" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: large; color: #000080;"><br />Cette chute sur mesure tira des exclamations ironiques et des applaudissements crépitèrent. <br />Polycarpe alla chercher de l’eau fraîche pour le centenaire dont les yeux pétillaient de malice. Alors qu’il se penchait vers le conteur pour lui verser de quoi se désaltérer, ce dernier lui susurra :<br />− Excusez-moi, cher ami, d’avoir renoncé au récit du Cheval mort, mais il y a des détails que Pélagie ignore encore. Elle ne sait toujours pas que j’avais négocié sa reprise et que mon camarade m’avait soudoyé pour que je l’épouse enceinte… Voyez-vous, je l’ai achetée à ce maquignon de Marcel au prix d’une génisse pleine!<br />− Il n’était pas question de cela dans votre histoire ! s’indigna Polycarpe, à voix basse.<br />− Tant mieux. Je n’en suis pas tellement fier. De toute mon existence de minotier, ce fut ma plus mauvaise négociation. <br />Polycarpe eut un petit instant de doute. Max était-il épuisé par son récit ? Perdait-il les pédales ? Ou bien poussait-il l’humour à un haut degré de sophistication ? Un peu de tout cela probablement. L’ancien meunier n’avait jamais été un grand sentimental, il était tout à fait capable d’avoir monnayé sa femme… Mais il y avait prescription. </span></p>
Lizouzou
http://lespetitslivresdelizouzou.hautetfort.com/about.html
”Comment se débarasser d'un vampire amoureux” de Beth Fantaskey
tag:lespetitslivresdelizouzou.hautetfort.com,2011-10-04:3804449
2011-10-04T09:14:00+02:00
2011-10-04T09:14:00+02:00
Jessica est née en Roumanie, mais elle a été adopté petite par un couple...
<p style="text-align: center;"><img id="media-3224866" style="margin: 0.7em 0px;" title="" src="http://lespetitslivresdelizouzou.hautetfort.com/media/02/02/2328528225.gif" alt="comment-se-debarasser-d-un-vampire-amoureux.gif" /></p><p><span style="color: #800080; font-family: trebuchet ms,geneva; font-size: small;">Jessica est née en Roumanie, mais elle a été adopté petite par un couple d'américain. Aujourd'hui, Jessica a 17 ans et commence son année de terminale. Elle doit logiquement vivre sa vie de petite lycéenne américaine... c'est sans compter l'arrivée d'un nouvel élève assez étrange : Lucius. A partir de là, la vie de Jessica est chamboulée : elle apprend qu'elle est une princesse vampire de Roumanie et qu'elle est promise à Lucius depuis sa naissance ...</span><br /><br /><span style="color: #800080; font-family: trebuchet ms,geneva; font-size: small;">On assiste à la découverte de Jessica sur sa véritable nature : ses doutes, ses questionnements et bien sur sa relation avec Lucius. On retrouve pas mal d'humour, qui fait du bien pour un bit-lit. </span><br /><span style="color: #800080; font-family: trebuchet ms,geneva; font-size: small;">Encore une histoire de vampire me direz-vous, mais même s'il y a quelques points communs avec Twilight, l'histoire est différente par certains aspects et on s'y plonge avec plaisir !</span><br /><span style="color: #800080; font-family: trebuchet ms,geneva; font-size: small;">Je l'ai lu rapidement et j'ai bien aimé la fin, même si on peut la deviner, notamment grâce à quelques indices glissés par ci par là !</span><br /><span style="color: #800080; font-family: trebuchet ms,geneva; font-size: small;">La couverture est magnifique et le genre "je t'aime moi non plus" m'a donné envie de lire ce livre.</span></p><p> </p><p style="text-align: right;"><span style="color: #800080;"><span style="color: #800080; font-family: trebuchet ms,geneva; font-size: small;">Bref une lecture rapide, légère et facile d'accès ... autrement dit un agréable moment !</span></span></p><p style="text-align: right;"><span style="color: #800080;"><span style="color: #800080; font-family: trebuchet ms,geneva; font-size: small;"></span></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #800080;"><span style="color: #800080; font-family: trebuchet ms,geneva; font-size: small;">Oh et puis il est en format poche donc profitez-en ! </span></span></p><p style="text-align: left;"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-3224869" style="margin: 0.7em 0px;" title="" src="http://lespetitslivresdelizouzou.hautetfort.com/media/00/01/3656759488.jpg" alt="26516-h350.jpg" /></p><p style="text-align: left;"><span style="color: #800080;"><span style="color: #800080; font-family: trebuchet ms,geneva; font-size: small;"></span></span></p>
Kyral
http://blogdeblagues.hautetfort.com/about.html
Miaou miaou
tag:blogdeblagues.hautetfort.com,2011-02-14:3094708
2011-02-14T08:00:00+01:00
2011-02-14T08:00:00+01:00
Que disent deux chats amoureux ? On est félin pour l'autre....
<p><span style="font-size: small; color: #000000;">Que disent deux chats amoureux ?</span></p><p><span style="font-size: small; color: #eee8aa; background-color: #eee8aa;">On est félin pour l'autre.</span></p><p><em><span style="font-size: small; color: #000000;">Pour voir la réponse, sélectionnez la zone colorée.</span></em></p>
Dermo
http://ronis.hautetfort.com/about.html
Amoureux de Paris
tag:ronis.hautetfort.com,2010-04-23:2714339
2010-04-23T01:07:00+02:00
2010-04-23T01:07:00+02:00
LE SOLEIL EST DE RETOUR... ENFIN. JE NE SAIS PAS SI C'EST LE REVEIL...
<p><img id="media-2420464" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" src="http://ronis.hautetfort.com/media/01/01/36843070.JPG" alt="P1060946.JPG" /><strong><span style="font-family: mceinline;">LE SOLEIL EST DE RETOUR... ENFIN.</span></strong></p><p><strong><span style="font-family: mceinline;">JE NE SAIS PAS SI C'EST LE REVEIL DE LA NATURE OU UNE EXPO SUR DOISNEAU QUE J'AI VUE CE WEEK-END MAIS UNE INSPIRATION ME VIENT LORS D'UNE PROMENADE DE FIN D'APRES MIDI.</span></strong></p><p><strong><span style="font-family: mceinline;">QUOIQU'IL EN SOIT, JE ME SURPRENDS A PRENDRE DES CLICHES DES AMOUREUX QUE JE CROISE.</span></strong></p><p><span style="font-family: mceinline;"><strong>OUI, JE SAIS, MA MUSE PEUT PARFOIS SE MONTRER QUELQUE PEU VOYEUSE...</strong></span></p><p> </p><p> </p><p> </p><p> </p><p><span style="font-family: mceinline; font-size: 10pt;"><strong>Ce n'est qu'un début, je pense que d'autres photos seront mises dans cet album... surtout si vous m'y encouragez...</strong></span></p>