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Notes sur le tag : ”30 glorieuses”

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Dernières notes

La poule et le lapin

Une fois par semaine, après le dîner, mon père tuait une poule ou un lapin, qu'il choisissait dans la volière ou le clapier de notre jardin. Il attachait la poule par les deux pattes et la suspendait à un arbre, tête en bas. Puis, il ouvrait le bec de l'animal et   enfonçait un couteau dans sa gorge : il le retirait ensuite d'un coup sec, ce qui tranchait la gorge de la poule et...

Publié le 13/06/2007 dans Glorieuses... par Fournier | Lire la suite...

Les vacances de février

Pendant les vacances scolaires de février, nous nous occupions à laver les bouteilles vides, en vue de la prochaine cuvée de cidre de l'année. Nous faisions tremper les bouteilles usagées dans un bassin rempli d'eau, puis nous les lavions à la main. Il fallait remplir complètement la bouteille en la maintenant sous l'eau, puis laver l'intérieur en remuant une petite brosse que l'on faisait...

Publié le 13/06/2007 dans Glorieuses... par Fournier | Lire la suite...

L'instituteur

Dans les classes de CM1 et CM2, il y  avait deux instituteurs particulièrement craints par les élèves. Le premier, le plus jeune, était un colosse roux d'une force herculéenne : quand il se mettait en colère, sa voix résonnait dans toute la cour de l'école et faisait trembler les élèves. La torture était de passer au tableau pour y faire un exercice : si l'élève se trompait,...

Publié le 13/06/2007 dans Glorieuses... par Fournier | Lire la suite...

Le Vermifuge ”Teurtou”

Une fois par mois, toute la famille se déplaçait pour aller voir un vieux monsieur, guérisseur de son état, qu'on appelait un "toucheur" : ma mère était persuadée que ses passes magiques nous guérissaient des "vers" (ascaris) qui semblaient perturber, parfois, notre système nerveux. Le vieux monsieur, qui habitait, en pleine campagne, un lieu-dit appelé "le carrefour des treize poils"...

Publié le 13/06/2007 dans Glorieuses... par Fournier | Lire la suite...

La ferme

Tous les jeudis, jour de repos des écoliers, il fallait aller chercher la nourriture pour la semaine : mes parents n'avaient pas encore de voiture à la fin des années 70. Nous partions à vélo, mon frère et moi, pour une dizaine de kilomètres dans la campagne mayennaise. Nous allions toujours à la même ferme, qui portait le doux nom de "Chalopinnière", chercher deux ou trois poulets, des œufs...

Publié le 12/06/2007 dans Glorieuses... par Fournier | Lire la suite...

Noel

Noël était le moment que nous attendions tous avec une certaine excitation. La semaine précédant cet évènement, nous partions, dans la campagne environnante, chercher du houx avec des boules rouges, pour décorer la crèche : tous les ans, début décembre, celle-ci réapparaissait dans un coin de la maison. Joseph, Marie, l'âne et le bœuf attendaient patiemment l'arrivée du "petit Jésus", le 25...

Publié le 12/06/2007 dans Glorieuses... par Fournier | Lire la suite...

Greli Grelo

Nous jouions souvent, avec ma sœur, à un jeu qui nous occupait des après-midi entiers. Nous ramassions quelques petits cailloux pour jouer à "greli-grelo" : chacun notre tour, on mettait un certain nombre de cailloux dans les mains, on les joignait et on les remuait en faisant s'entrechoquer les cailloux, en disant la phrase : "Greli-grelo, combien j'ai de pierres dans mon sabot ?". Le...

Publié le 12/06/2007 dans Glorieuses... par Fournier | Lire la suite...

Culotte courte

L'hiver, en Mayenne, à cette époque (1960-1970), il faisait froid. Les garçons portaient la "culotte courte", de Pâques à la Toussaint , soit plus de 7 mois pendant lesquels les températures avoisinaient parfois le zéro degré, voire en dessous. Par grand froid, j'étais un des seuls enfants à ne pas porter le pantalon à l'école : je subissais parfois les railleries de mes camarades, qui...

Publié le 12/06/2007 dans Glorieuses... par Fournier | Lire la suite...

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