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Notes sur le tag : Étienne faure

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Dernières notes

Étienne Faure, Vues prenables

Hep, taxi, ce qui nous fuit dans le rétroviseur déjà n’est plus d’époque, à vivre ici, voir venir, dans une amphigourique attente ou merdier d’être né, l’enfer pavé d’intentions plus ou moins bonnes, cette envie de disparaître — pas grand chose, une demi-vie, une heure — puis l’idée de durer qui persiste — et rattraper sa nuit dans le train.   Seul et...

Publié le 16/03/2016 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Étienne Faure, Souvenirs souvenirs, dans Rehauts

                        Comment fonctionne le théâtre, c’est la question dès qu’on entre dans le paysage d’une station, l’été balnéaire, au bord du débordement, puis vide l’hiver de toute âme, vacance qui accentue le décor de plage : vieux ressac, débris de fioles, de...

Publié le 18/09/2015 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Étienne Faure, Vues prenables

                            0 false 21 18 pt 18 pt 0 0 false false false /* Style Definitions */table.MsoNormalTable{mso-style-name:"Tableau...

Publié le 16/11/2014 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Étienne Faure, Ciné plage

                        Ciné plage   À rouler vite un soir vers l'ouest à la clameur de sang, la nuit ne parvint pas à tomber comme on atteignait la jetée rouge encore, puis réveillé au matin par la rade sans même ouvrit l'œil on voyait le livre...

Publié le 01/11/2013 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Étienne Faure, La vie bon train, proses de gare

  Lents comme des états d'âme, après l'été les trains revenaient, las d'avoir trimballé tous ces corps à la mer, à la montagne, dans des contrées dont furent natifs les pères (introuvables sur la carte), à grincer de nouveau en gare, y faire leur entrée, annoncer le pire qui toujours sera à venir, le soleil ras rougissant la face des ultimes voyageurs ;...

Publié le 12/06/2013 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Étienne Faure, Légèrement frôlée — Horizon du sol

Où est l'exil en sueur, en train jadis accompli si les avions, presque à la vitesse du mensonge, nous déposent en des lieux prémédités de loin, transmis par la parole, des papiers traduits ou rédigés dans la langue des mères, où est l'exil, un écart temporel réduit à rien — espace crânien où l'on revient sur ses pas pour retrouver l'idée perdue en route —...

Publié le 27/04/2013 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Étienne Faure, Légèrement frôlée

Des femmes sont des tombeaux qui passent avec les désirs dans la rue, où s'enfouissent les chers secrets, catimini, le bruit du mâchefer dans la cour traversée jadis pour elle, un bouquet à la main — c'était cela sans doute, faire la cour, ce bouquet sec d'amour aujourd'hui conservé dans du papier journal aux nouvelles défraîchies.   L'hiver, avant de se...

Publié le 02/11/2012 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Étienne Faure, Correspondances, dans Théodore Balmoral

Transie je suis sur le quai d'hiver et tente en vain l'espoir au cœur d'arriver à temps malgré la neige, le gel qui tout met à distance derrière la vitre de ce temps où l'on s'aimait sans hésiter, prenant la vie comme si elle venait, à perdre connaissance puis vie, de nouveau se perdre depuis le quai où l'on s'est tant quittés dans les films, yeux mouillés par...

Publié le 14/07/2012 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Étienne Faure, Légèrement frôlée

La blessure que reçut hier le fruit gagne ainsi qu’une gangrène au mois d’août mille neuf cent dix-huit ou quarante-trois après la classe inspirant ce chagrin d’automne comme on rentre à pas lent, une pomme à couteau dans la poche ou mains en l’air devant l’ennemi criant ce mot d’arrière-saison — schnell , après guerre longtemps fut le cri des enfants...

Publié le 15/10/2011 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

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