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Notes sur le tag : prose

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Dernières notes

Nouvelle / Mariage d'automne

Tristan ramassa une pomme de pin. L’océan s’était retiré et l’on pouvait s’approcher des bancs de sable. Tristan pataugea dans les petites flaques où se reflétaient des lambeaux de ciel qui brillaient comme des écailles de poisson puis se dirigea vers les dunes. Il aboutit à une cuvette où le bleu des panicauts se détachait  de la blancheur du sable. Il prit la direction du phare...

Publié le 04/07/2022 dans LE BLOG... par Christian COTTET-EMARD | Lire la suite...

Les dimanches poétiques (292)

"Nous avons tous besoin d'aller chez le médecin, à la pharmacie, sinon pour nous-mêmes, du moins pour accompagner nos enfants, à la consultation des nourrissons, ils sont pesés, ils sont mesurés, on entreprend immédiatement de nous classer, de nous situer, de nous transformer en points sur des graphiques, nous sommes évalués par rapport à la moyenne, vaccinés contre presque tout sauf la...

Publié le 20/03/2022 dans La plume et... par Do | Lire la suite...

Pourquoi j'ai modifié la fin de mon GRAND VARIABLE dans la nouvelle édition

Samia, l'un des personnages du Grand variable (dessin de Frédéric Guénot)   Pour cette nouvelle édition du Grand variable , j'ai légèrement modifié la fin, le centième épisode dont le sens risquait aujourd'hui de porter à confusion. Pour m'en expliquer, je dois préciser que beaucoup n'ont vu dans ce livre qu'un récit onirique, une sorte de fantaisie, alors que l'ouvrage ne...

Publié le 11/09/2021 dans LE BLOG... par Christian COTTET-EMARD | Lire la suite...

L'homme qui sent la patate

(Extrait de mon livre, Le grand variable , qui vient de sortir dans une nouvelle édition.) Le jour de mon entrée à l'usine, je suis pris en charge par l'homme qui sent la patate. Petit, rondouillard, toujours suant, cet homme a pour mission de m'apprendre le maniement de la machine à lier des boîtes en carton pliées à plat. Il sent les pommes de terre car il en consomme de si grandes...

Publié le 02/09/2021 dans LE BLOG... par Christian COTTET-EMARD | Lire la suite...

Épuisé peu de temps après sa publication en 2002, mon GRAND VARIABLE sort dans une nouvelle...

Curieux destin que celui des livres. Je me suis attelé à mon Grand variable en novembre 1996, en même temps qu’à un autre livre, et j’ai terminé la version manuscrite en octobre 1997, l’année du passage près de la Terre de la comète Hale Bopp. J’utilisais des cahiers en papier recyclé offerts par ma fille alors écolière. J’écrivais avec des stylos à plume jetables à l’encre de couleur,...

Publié le 27/08/2021 dans LE BLOG... par Christian COTTET-EMARD | Lire la suite...

Les dimanches poétiques (284)

"Elle la regarde, s'interrompt dans la répartition des assiettes et des couverts sur la table. Mais enfin, Clara, quand cesseras-tu d'en demander toujours plus à la vie? Un silence. La main de son père toujours sur son épaule. Je ne demande rien, maman, j'essaie simplement d'arrêter de me brutaliser, je fais ce que je peux. Elle voudrait ajouter que la vie court vite, qu'elle court sur les...

Publié le 22/08/2021 dans La plume et... par Do | Lire la suite...

Vient de paraître :

Nouvelle édition illustrée, revue et commentée 4ème de couverture : Dans sa solitude, le narrateur a braqué la lunette astronomique de l’enseigne de vaisseau Mhorn sur le monde terrestre, beaucoup plus énigmatique que les plus lointaines planètes. Que voit-il ? Des personnages pétris de matière solaire ou encore une jeune fille qui pourrait bien être une comète. C’est que la...

Publié le 22/08/2021 dans LE BLOG... par Christian COTTET-EMARD | Lire la suite...

Les dimanches poétiques (282)

"Il la regarde avec un enchantement vermillon dans le coeur. Il aime décidément tout chez elle, ses joues roses lorsqu'elle s'emporte, cette perle de sueur sur le bout du nez, et sa façon de porter ample ses chemises sur un corps d'une si extrême minceur. Peut-être tout cet élan vers elle est-il aussi programmé? Il s'en fout. La vie commence peut-être quand on sait qu'on n'en a pas....

Publié le 25/07/2021 dans La plume et... par Do | Lire la suite...

LE THE (Théodore de BANVILLE (1823-1891)

Miss Hellen, versez-moi le Thé Dans la belle tasse chinoise, Où des poissons d'or cherchent noise Au monstre rose épouvanté. J'aime la folle cruauté Des chimères qu'on apprivoise : Miss Hellen, versez-moi le Thé Dans la belle tasse chinoise. Là sous un ciel rouge irrité, Une dame fière et sournoise Montre en ses longs yeux de turquoise L'extase et la naïveté ;...

Publié le 09/05/2019 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

Les dimanches poétiques (226)

"Trop de bruits, de rires, de mouvements. Il s'en veut mais parfois même la joie l'épuise. La vie elle-même. Dans son battement, son activisme forcené, sa vitesse, son grouillement permanent. Il ne supporte plus tout ça très longtemps. Il lui faut de longues plages de calme et de silence, de repos. Comme on reprend son souffle. Il a besoin de tellement plus de temps, de lenteur. C'est...

Publié le 10/06/2018 dans La plume et... par Do | Lire la suite...

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