Last posts on miilos2024-03-29T07:07:51+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://www.hautetfort.com/https://www.hautetfort.com/explore/posts/tag/miilos/atom.xmlAtelier des Idéeshttp://www.notreputeaux.com/about.htmlL'endémie de Paris-Habitat-OPH.tag:www.notreputeaux.com,2016-10-07:58575122016-10-07T10:44:56+02:002016-10-07T10:44:56+02:00 6/10/2016 . Paris-Habitat-OPH est le premier propriétaire de...
<p><font>6/10/2016</font><strong><span style="font-size: 12pt;">. </span></strong></p><p><font>Paris-Habitat-OPH est le premier propriétaire de logements sociaux avec 120 000 logements en 2014 et le premier bailleur social public de France. La mairie de Paris détient 100 % du capital.</font></p><p><font>Le système de corruption historique qui le concerne est incompatible avec la compréhension</font><font> </font><font>citoyenne. Georges Pérol, directeur général de cet OPAC qui ne s’appelait pas encore Paris-Habitat, un Corrézien ami de</font><font> </font><font>Jacques Chirac, fut condamné à 2 ans de prison avec sursis et</font><font> </font><font>20 000 € d’amende pour trafic d’influence. Une vingtaine d’entreprises du BTP avaient versé plusieurs millions de francs au financier occulte du RPR, Jean-Claude Méry, en échange d’informations sur les marchés publics de l’Office de HLM. Jacques Chirac fut protégé par son immunité présidentielle. Jean Tiberi, mis en examen en tant qu’ancien dirigeant de l’OPAC, a bénéficié d’un non- lieu. Le juge Halphen, qui enquêtait sur ce dossier fut dessaisi. Bertrand Delanoë, premier maire socialiste de la ville avait promis l’exemplarité. En fin de sa mandature </font><em><font>Médiapar</font></em><font>t avait révélé que quatre de ses adjoints étaient logés en HLM à un tarif préférentiel...</font></p><p><font>La Cour des comptes a publié un rapport sur cet OPH en 2011. Puis la Miilos, organisme étatique de contrôle, a analysé le fonctionnement de l’OPH</font><font> </font><font>dans son rapport de 2011-151, rendu public en 2013. </font></p><p><font>Les principales recommandations ont été les suivantes :</font></p><p><font>Limiter la progression des charges de personnel dans un contexte budgétaire contraint. Contenir l’évolution du poste déplacements/missions/réceptions et réexaminer en particulier les charges de réception. Clarifier les dépenses liées au poste publicité/publications/relations publiques. </font><strong><font>Etablir dans les meilleurs délais un bilan financier définitif de l’opération de transfert du siège social.</font></strong><font> Rendre publique l’évaluation des actions conduites dans le cadre de la charte de développement durable et actualiser le plan d’action pour les années à venir.</font></p><p><span style="color: black;"><font>L’Office</font> <font>a publié un rapport en 2014. L’ANCOLS, organisme public de contrôle de la gestion des Offices de logements sociaux depuis 2015, n’a pas contrôlé Paris-Habitat. Mais, en janvier 2016, </font><em><font>Le Parisien</font></em><font>, puis en Juin</font><font> </font><font>2016, </font><em><font>Marianne, </font></em><font>ont effectué des recherches, en interne, sur les dérives nombreuses et graves de l’Office dont des fausses factures et des passe-droits.</font><font> </font><font>Anne Hidalgo s’en serait émue et aurait prévu l’éventualité de changer de directeur général : Stéphane</font><font> </font><font>Dambrine. Le président de l’Office, Roger Madec sénateur PS de Paris, a rédigé un démenti (partiel) aux accusations de </font><em><font>Marianne </font></em><font>dont il a demandé la publication. Selon le site </font></span><a href="http://www.batiweb.com/"><font>www.batiweb.com</font></a><span style="color: black;"><font>, il aurait cependant </font><font> </font><font>accepté l’idée de changer le directeur de l’OPH « qui n’est, en aucun cas, soupçonné de malversations ». Stéphane Dambrine, au salaire de 14 000 €/mois, avec voiture de fonction et chauffeur ainsi qu’un parachute doré prévu de 500 000 € vient, en effet, de quitter ses fonctions de directeur général de Paris- Habitat. Une sanction méritée ? Mais non ! Il n’a pas été « limogé », il aurait « bénéficié » d’une rupture conventionnelle de contrat, parce que son départ était, paraît-il, volontaire ! Il aurait bien sûr reçu une indemnité de 300 000 € pour fin de contrat.</font></span></p><p><span style="color: black;"><font> </font><font>Dans le hall du siège de Paris-Habitat, rue Claude Bernard, </font><em><font>Marianne </font></em><font>a compté 7 chauffeuses LC3 Le Corbusier en acier chromé et cuir Poltrona bleu nuit, à 3586 € HT, l’unité ! Quel prix ! De plus la facture, publiée par Atlantico, comportait 8 fauteuils. Ce n’est là qu’un minuscule détail parmi les énormes critiques contre l’Office. Stéphane Dambrine savait-il, qu’en mai 2016, 450 309 demandeurs attendaient un logement social en Île- de- France (compte non tenu des 183 930 demandes de mutation de locataires HLM) ?</font></span></p><p><span style="color: black;"><font>L’ANCOLS, joint par courrier il y a trois semaines, afin de savoir si cet organisme avait contrôlé Paris-Habitat - OPH a</font><font> </font><font>répondu le 6/10. En écrivant dans Puteaux Infos de septembre que le rapport de L’ANCOLS sur cet OPH serait resté confidentiel Madame le maire de Puteaux donne une information inexacte. Le rapport suivant de la Miilos, précédent organisme de contrôle officiel des OPH, est bien accessible à tout citoyen : </font></span></p><p style="background: white;"><em><span style="color: black; font-family: 'Times New Roman',serif; font-size: 12pt;">Bonjour. Nous accusons réception de votre courrier du 12 septembre 2016 concernant votre demande de rapport.</span></em></p><p style="background: white;"><em><span style="color: black; font-family: 'Times New Roman',serif; font-size: 12pt;">Le dernier rapport de l’OPH PARIS HABITAT (75) en notre possession est celui de la Miilos (n° 2011-151 de janvier 2013) que vous avez déjà consulté.</span></em></p><p style="background: white;"><em><span style="color: black; font-family: 'Times New Roman',serif; font-size: 12pt;">Bien cordialement. La cellule rapports.</span></em></p><p><span style="color: black; font-family: 'Times New Roman',serif; font-size: 12pt;">D’ailleurs, il était peu vraisemblable que deux rapports de contrôle officiel d’un même OPH puissent être aussi peu séparés dans le temps.</span></p><p><strong><span style="color: black;"><font>Madame Anne Hidalgo, imposez dans les faits votre désir de sobriété gestionnaire et d’exemplarité. Demandez à la Justice de sanctionner les égarés de l’éthique. </font></span></strong></p><p><strong><span style="color: black;"><font>Droite et gauche : même combat.</font></span></strong></p><p style="background: white;"><span style="color: black; font-family: 'Times New Roman',serif; font-size: 12pt;">Annie Keszey.</span></p><p><span style="color: black;"><font> </font></span></p><p><font> </font></p>
Atelier des Idéeshttp://www.rupture-et-metamorphose.org/about.htmlL'endémie de Paris-Habitat-OPH.tag:www.rupture-et-metamorphose.org,2016-09-29:58541972016-09-29T17:19:00+02:002016-09-29T17:19:00+02:00 26/09/2016 . Paris-Habitat-OPH est le premier propriétaire de...
<p><font>26/09/2016</font><strong><span style="font-size: 12pt;">. </span></strong><font>Paris-Habitat-OPH est le premier propriétaire de logements sociaux avec 120 000 logements en 2014 et le premier bailleur social public de France. La mairie de Paris détient 100 % du capital.</font></p><p><font>Le système de corruption historique qui le concerne est incompatible avec la compréhension</font><font> </font><font>citoyenne. Georges Pérol, directeur général de cet OPAC qui ne s’appelait pas encore Paris-Habitat, un Corrézien ami de</font><font> </font><font>Jacques Chirac, fut condamné à 2 ans de prison avec sursis et</font><font> </font><font>20 000 € d’amende pour trafic d’influence. Une vingtaine d’entreprises du BTP avaient versé plusieurs millions de francs au financier occulte du RPR, Jean-Claude Méry, en échange d’informations sur les marchés publics de l’Office de HLM. Jacques Chirac fut protégé par son immunité présidentielle. Jean Tiberi, mis en examen en tant qu’ancien dirigeant de l’OPAC, a bénéficié d’un non- lieu. Le juge Halphen, qui enquêtait sur ce dossier fut dessaisi. Bertrand Delanoë, premier maire socialiste de la ville avait promis l’exemplarité. En fin de sa mandature </font><em><font>Médiapar</font></em><font>t avait révélé que quatre de ses adjoints étaient logés en HLM à un tarif préférentiel...</font></p><p><font>La Cour des comptes a publié un rapport sur cet OPH en 2011. Puis la Miilos, organisme étatique de contrôle, a analysé le fonctionnement de l’OPH</font><font> </font><font>dans son rapport de 2011-151, rendu public en 2013. </font></p><p><font>Les principales recommandations ont été les suivantes :</font></p><p><font>Limiter la progression des charges de personnel dans un contexte budgétaire contraint. Contenir l’évolution du poste déplacements/missions/réceptions et réexaminer en particulier les charges de réception. Clarifier les dépenses liées au poste publicité/publications/relations publiques. Etablir dans les meilleurs délais un bilan financier définitif de l’opération de transfert du siège social. Rendre publique l’évaluation des actions conduites dans le cadre de la charte de développement durable et actualiser le plan d’action pour les années à venir.</font></p><p><span style="color: black;"><font>L’Office</font> <font>a publié un rapport en 2014. L’ANCOLS, organisme public de contrôle de la gestion des Offices de logements sociaux depuis 2015, n’a pas publié, sur son site, de rapport sur Paris-Habitat. Mais, en janvier 2016, </font><em><font>Le Parisien</font></em><font>, puis en Juin</font><font> </font><font>2016, </font><em><font>Marianne, </font></em><font>ont effectué des recherches, en interne, sur les dérives nombreuses et graves de l’Office dont des fausses factures et des passe-droits.</font><font> </font><font>Anne Hidalgo s’en serait émue et aurait prévu l’éventualité de changer de directeur général : Stéphane</font><font> </font><font>Dambrine. Le président de l’Office, Roger Madec sénateur PS de Paris, a rédigé un démenti (partiel) aux accusations de </font><em><font>Marianne </font></em><font>dont il a demandé la publication. Selon le site </font></span><a href="http://www.batiweb.com/"><font>www.batiweb.com</font></a><span style="color: black;"><font>, il aurait cependant accepté l’idée de changer le directeur de l’OPH « qui n’est, en aucun cas, soupçonné de malversations ». Stéphane Dambrine, au salaire de 14 000 €/mois, avec voiture de fonction et chauffeur ainsi qu’un parachute doré prévu de 500 000 € vient, en effet, de quitter ses fonctions de directeur général de Paris- Habitat. Une sanction méritée ? Mais non ! Il n’a pas été « limogé », il aurait « bénéficié » d’une rupture conventionnelle de contrat, parce que son départ était, paraît-il, volontaire ! Il aurait bien sûr reçu une indemnité de 300 000 € pour fin de contrat. </font></span></p><p><span style="color: black;"><font>Dans le hall du siège de Paris-Habitat, rue Claude Bernard, </font><em><font>Marianne </font></em><font>a compté 7 chauffeuses LC3 Le Corbusier en acier chromé et cuir Poltrona bleu nuit, à 3586 € HT, l’unité ! Quel prix ! De plus la facture, publiée par Atlantico, comportait 8 fauteuils : où est le huitième ? Ce n’est là qu’un minuscule détail parmi les énormes critiques contre l’Office. Stéphane Dambrine savait-il, qu’en mai 2016, 450 309 demandeurs attendaient un logement social en Île- de- France (compte non tenu des 183 930 demandes de mutation de locataires HLM) ?</font></span></p><p><span style="color: black;"><font>Madame Anne Hidalgo, imposez dans les faits votre désir de sobriété gestionnaire et d’exemplarité. Demandez à la Justice de sanctionner les égarés de l’éthique. Droite et gauche : même combat.</font></span></p><p><span style="color: black; font-family: 'Calibri',sans-serif; font-size: 11pt;">L’ANCOLS, joint par courrier il y a quinze jours, afin de savoir si cet organisme avait contrôlé Paris-Habitat, n’a pas encore répondu, mais cela ne saurait tarder : transparence démocratique oblige</span></p>
Atelier des Idéeshttp://www.atelier-idees.org/about.htmlL'endémie de Paris-Habitat-OPH.tag:www.atelier-idees.org,2016-09-29:58541962016-09-29T17:16:00+02:002016-09-29T17:16:00+02:00 26/09/2016 . Paris-Habitat-OPH est le premier propriétaire de...
<p><font>26/09/2016</font><strong><span style="font-size: 12pt;">. </span></strong></p><p><font>Paris-Habitat-OPH est le premier propriétaire de logements sociaux avec 120 000 logements en 2014 et le premier bailleur social public de France. La mairie de Paris détient 100 % du capital.</font></p><p><font>Le système de corruption historique qui le concerne est incompatible avec la compréhension</font><font> </font><font>citoyenne. Georges Pérol, directeur général de cet OPAC qui ne s’appelait pas encore Paris-Habitat, un Corrézien ami de</font><font> </font><font>Jacques Chirac, fut condamné à 2 ans de prison avec sursis et</font><font> </font><font>20 000 € d’amende pour trafic d’influence. Une vingtaine d’entreprises du BTP avaient versé plusieurs millions de francs au financier occulte du RPR, Jean-Claude Méry, en échange d’informations sur les marchés publics de l’Office de HLM. Jacques Chirac fut protégé par son immunité présidentielle. Jean Tiberi, mis en examen en tant qu’ancien dirigeant de l’OPAC, a bénéficié d’un non- lieu. Le juge Halphen, qui enquêtait sur ce dossier fut dessaisi. Bertrand Delanoë, premier maire socialiste de la ville avait promis l’exemplarité. En fin de sa mandature </font><em><font>Médiapar</font></em><font>t avait révélé que quatre de ses adjoints étaient logés en HLM à un tarif préférentiel...</font></p><p><font>La Cour des comptes a publié un rapport sur cet OPH en 2011. Puis la Miilos, organisme étatique de contrôle, a analysé le fonctionnement de l’OPH</font><font> </font><font>dans son rapport de 2011-151, rendu public en 2013. </font></p><p><font>Les principales recommandations ont été les suivantes :</font></p><p><font>Limiter la progression des charges de personnel dans un contexte budgétaire contraint. Contenir l’évolution du poste déplacements/missions/réceptions et réexaminer en particulier les charges de réception. Clarifier les dépenses liées au poste publicité/publications/relations publiques. Etablir dans les meilleurs délais un bilan financier définitif de l’opération de transfert du siège social. Rendre publique l’évaluation des actions conduites dans le cadre de la charte de développement durable et actualiser le plan d’action pour les années à venir.</font></p><p><span style="color: black;"><font>L’Office</font> <font>a publié un rapport en 2014. L’ANCOLS, organisme public de contrôle de la gestion des Offices de logements sociaux depuis 2015, n’a pas publié, sur son site, de rapport sur Paris-Habitat. Mais, en janvier 2016, </font><em><font>Le Parisien</font></em><font>, puis en Juin</font><font> </font><font>2016, </font><em><font>Marianne, </font></em><font>ont effectué des recherches, en interne, sur les dérives nombreuses et graves de l’Office dont des fausses factures et des passe-droits.</font><font> </font><font>Anne Hidalgo s’en serait émue et aurait prévu l’éventualité de changer de directeur général : Stéphane</font><font> </font><font>Dambrine. Le président de l’Office, Roger Madec sénateur PS de Paris, a rédigé un démenti (partiel) aux accusations de </font><em><font>Marianne </font></em><font>dont il a demandé la publication. Selon le site </font></span><a href="http://www.batiweb.com/"><font>www.batiweb.com</font></a><span style="color: black;"><font>, il aurait cependant accepté l’idée de changer le directeur de l’OPH « qui n’est, en aucun cas, soupçonné de malversations ». Stéphane Dambrine, au salaire de 14 000 €/mois, avec voiture de fonction et chauffeur ainsi qu’un parachute doré prévu de 500 000 € vient, en effet, de quitter ses fonctions de directeur général de Paris- Habitat. Une sanction méritée ? Mais non ! Il n’a pas été « limogé », il aurait « bénéficié » d’une rupture conventionnelle de contrat, parce que son départ était, paraît-il, volontaire ! Il aurait bien sûr reçu une indemnité de 300 000 € pour fin de contrat. </font></span></p><p><span style="color: black;"><font>Dans le hall du siège de Paris-Habitat, rue Claude Bernard, </font><em><font>Marianne </font></em><font>a compté 7 chauffeuses LC3 Le Corbusier en acier chromé et cuir Poltrona bleu nuit, à 3586 € HT, l’unité ! Quel prix ! De plus la facture, publiée par Atlantico, comportait 8 fauteuils : où est le huitième ? Ce n’est là qu’un minuscule détail parmi les énormes critiques contre l’Office. Stéphane Dambrine savait-il, qu’en mai 2016, 450 309 demandeurs attendaient un logement social en Île- de- France (compte non tenu des 183 930 demandes de mutation de locataires HLM) ?</font></span></p><p><span style="color: black;"><font>Madame Anne Hidalgo, imposez dans les faits votre désir de sobriété gestionnaire et d’exemplarité. Demandez à la Justice de sanctionner les égarés de l’éthique. Droite et gauche : même combat.</font></span></p><p><span style="color: black; font-family: 'Calibri',sans-serif; font-size: 11pt;">L’ANCOLS, joint par courrier il y a quinze jours, afin de savoir si cet organisme avait contrôlé Paris-Habitat, n’a pas encore répondu, mais cela ne saurait tarder : transparence démocratique oblige. Annie KESZEY</span></p><p><span style="color: #993300; font-family: 'Calibri',sans-serif; font-size: 11pt; background-color: #993300;"> </span></p>